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@@ -11,7 +11,7 @@
$FreeBSD$
Original revision: n.nn
--->
+-->
<article lang="fr">
<articleinfo>
@@ -37,7 +37,7 @@
<releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo>
<abstract>
<para>Félicitations pour avoir installé FreeBSD! Cette
-introduction concerne les nouveaux venus &agrave; la fois &agrave; FreeBSD
+introduction concerne les nouveaux venus &agrave; la fois &agrave; FreeBSD
<emphasis>et</emphasis> &agrave; Unix&nbsp;-&nbsp;elle commence donc par les bases. Elle
suppose que vous utilisiez la version 2.0.5 ou une version ultérieure de
FreeBSD telle que distribuée par Walnut Creek ou FreeBSD.ORG, que votre
@@ -52,9 +52,9 @@ système n'a (jusqu'&agrave; présent) qu'un seul utilisateur (vous)&nbsp;-&nbsp;e
<para>Ouvrez une session (quand vous obtenez &agrave; l'écran l'invite
<prompt>login:</prompt>) avec le compte utilisateur que vous avez
défini &agrave; l'installation ou sous le compte super-utilisateur
- <firstterm>root</firstterm>. (FreeBSD a déj&agrave; créé le compte root lors de
-l'installation; root peut accéder &agrave; tous les répertoires et tout faire, y
-compris effacer des fichiers essentiels, donc soyez prudents!). Les symboles %
+ <firstterm>root</firstterm>. (FreeBSD a déj&agrave; créé le compte root lors de
+l'installation; root peut accéder &agrave; tous les répertoires et tout faire, y
+compris effacer des fichiers essentiels, donc soyez prudents!). Les symboles %
et # dans les exemples sont l'invite du système (la votre peut être différente),
où % correspond &agrave; un utilisateur normal et # distingue le compte root.</para>
<para>Pour terminer la session (vous obtiendrez &agrave; nouveau l'invite
@@ -64,8 +64,8 @@ où % correspond &agrave; un utilisateur normal et # distingue le compte root.</p
</informalexample>
autant de fois que nécessaire. Bien sûr, n'oubliez pas la touche
<keysym>Entrée</keysym> &agrave; la fin des commandes, et rappelez-vous qu'Unix
-fait la distinction entre les majuscules et les
-minuscules&nbsp;-&nbsp;<command>exit</command>, mais pas
+fait la distinction entre les majuscules et les
+minuscules&nbsp;-&nbsp;<command>exit</command>, mais pas
<command>EXIT</command>.</para>
<para>Pour arrêtez l'ordinateur, tapez:
<informalexample>
@@ -81,26 +81,26 @@ ou:
</informalexample>
</para>
<para>Vous pouvez aussi redémarrer avec:
-<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Delete</keycap></keycombo>.
+<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Delete</keycap></keycombo>.
Laissez au système un peu de temps pour faire son travail. Cette séquence est,
dans les plus récentes versions de FreeBSD, l'équivalent de la commande
<command>/sbin/reboot</command>, et il est nettement préférable de l'employer
-que d'utiliser l'interrupteur de réinitialisation de votre machine. A moins que
+que d'utiliser l'interrupteur de réinitialisation de votre machine. A moins que
vous ne vouliez tout réinstaller ?</para>
</sect1>
<sect1>
<title>Créer un Nouveau Compte Utilisateur avec les Mêmes Droits que Root</title>
<para>Si vous n'avez pas créé de compte utilisateur au moment de l'installation,
et utilisez donc le compte root, vous devriez maintenant définir un nouvel
-utilisateur avec:
+utilisateur avec:
<informalexample>
<screen># <userinput>adduser</userinput></screen>
</informalexample>
-La première fois que vous utiliserez adduser, le programme vous demandera
+La première fois que vous utiliserez adduser, le programme vous demandera
peut-être de lui indiquer des options par défaut qu'il sauvegardera. Par
exemple, vous préférez peut-être que l'interpréteur de commandes soit csh, s'il
vous propose l'interpréteur sh. Sinon, tapez simplement Entrée pour conserver
-les valeurs par défaut. Celles-ci sont enregistrées dans le fichier
+les valeurs par défaut. Celles-ci sont enregistrées dans le fichier
<filename>/etc/adduser.conf</filename>, que vous pouvez éditer.
Supposons que vous ayez créé l'utilisateur <emphasis>jacques</emphasis> dont
le nom est <emphasis>Jacques Dupont</emphasis>. Attribuez un mot de passe
@@ -110,12 +110,12 @@ voulez que jacques appartienne &agrave; d'autres groupes, répondez:
<informalexample>
<screen>Login group is ``jacques''. Invite jacques into other groups: <userinput>wheel</userinput></screen>
</informalexample>
-Vous pourrez alors ouvrir une session avec le compte
+Vous pourrez alors ouvrir une session avec le compte
<emphasis>jacques</emphasis> puis utiliser la commande
<command>su</command> pour devenir root. Vous n'aurez dorénavant
plus besoin d'ouvrir immédiatement une session avec le compte root.</para>
<para>Vous pouvez quitter <command>adduser</command> &agrave; tout moment en tapant
-<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo>, et
+<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo>, et
pour finir vous pourrez valider le nouveau compte utilisateur ou simplement
taper <keycap>n</keycap> pour non. Peut-être voudrez vous créer un second
compte utilisateur (jeanne?), vous aurez ainsi une issue de secours si vous
@@ -123,9 +123,9 @@ modifiez les fichiers de configuration de jacques et que quelque chose tourne
mal.</para>
<para>Une fois que vous avez fini, utilisez <command>exit</command>
pour revenir &agrave; l'invite <prompt>login:</prompt>
-et ouvrez une session sous le compte <emphasis>jacques</emphasis>. Il est
+et ouvrez une session sous le compte <emphasis>jacques</emphasis>. Il est
toujours préférable de travailler autant que possible avec un compte utilisateur
-ordinaire qui n'a pas autant de droits&nbsp;-&nbsp;et donc ne présente pas autant de
+ordinaire qui n'a pas autant de droits&nbsp;-&nbsp;et donc ne présente pas autant de
risques&nbsp;-&nbsp;que root.</para>
<para>Si vous avez déj&agrave; créé un compte et que vous voulez que cet utilisateur
puisse utiliser <command>su</command> pour devenir root, vous pouvez devenir
@@ -162,7 +162,7 @@ courant.</para>
<listitem>
<para>Donne la liste des fichiers du répertoire courant suivis d'une
<literal>*</literal> pour les exécutables, d'un <literal>/</literal> pour
-les répertoires, et d'une <literal>@</literal> pour les liens
+les répertoires, et d'une <literal>@</literal> pour les liens
symboliques.</para>
</listitem>
</varlistentry>
@@ -185,8 +185,8 @@ sans l'option <option>-a</option>.</para>
<parameter>..</parameter></command> remonte d'un niveau dans l'arborescence;
notez l'espace après <command>cd</command>. <command>cd
<parameter>/usr/local</parameter></command> va dans ce répertoire. <command>cd
-<parameter>~</parameter></command> va dans le répertoire de
-l'utilisateur courant&nbsp;-&nbsp;e.g., <filename>/usr/home/jacques</filename>.
+<parameter>~</parameter></command> va dans le répertoire de
+l'utilisateur courant&nbsp;-&nbsp;e.g., <filename>/usr/home/jacques</filename>.
Essayez <command>cd <parameter>/cdrom</parameter></command>, puis
<command>ls</command>, pour voir si votre CDROM est monté et fonctionne.</para>
</listitem>
@@ -194,8 +194,8 @@ Essayez <command>cd <parameter>/cdrom</parameter></command>, puis
<varlistentry><term><command>view <replaceable>nom_de fichier</replaceable></command></term>
<listitem>
<para>Vous permet de visualiser le fichier
-<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> sans le modifier. Essayez
-<command>view <parameter>/etc/fstab</parameter></command>.
+<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> sans le modifier. Essayez
+<command>view <parameter>/etc/fstab</parameter></command>.
<command>:q</command> pour quitter.</para>
</listitem>
</varlistentry>
@@ -203,9 +203,9 @@ Essayez <command>cd <parameter>/cdrom</parameter></command>, puis
<listitem>
<para>Liste <replaceable>nom_de_fichier</replaceable> &agrave; l'écran. S'il
est trop long et que vous n'en voyez que la fin, appuyez sur
-<keycap>Arrêt Défil</keycap> et utilisez <keycap>flèche-vers-le-haut</keycap>
+<keycap>Arrêt Défil</keycap> et utilisez <keycap>flèche-vers-le-haut</keycap>
pour revenir en arrière; vous pouvez aussi utiliser <keycap>Arrêt Défil</keycap>
-avec les pages de manuel. Appuyez &agrave; nouveau sur
+avec les pages de manuel. Appuyez &agrave; nouveau sur
<keycap>Arrêt Défil</keycap> pour
terminer votre lecture. Essayez <command>cat</command> sur quelques fichiers
&ldquo;.&rdquo; de votre répertoire utilisateur&nbsp;-&nbsp;<command>cat
@@ -215,8 +215,8 @@ terminer votre lecture. Essayez <command>cat</command> sur quelques fichiers
</listitem>
</varlistentry>
</variablelist>
-Notez les alias de quelques commandes <command>ls</command>
-dans le fichier <filename>.cshrc</filename> (ils sont très pratiques).
+Notez les alias de quelques commandes <command>ls</command>
+dans le fichier <filename>.cshrc</filename> (ils sont très pratiques).
Vous pouvez créer d'autres alias en éditant le fichier
<filename>.cshrc</filename>. Vous pouvez aussi les mettre &agrave; disposition
de tous les utilisateurs en les définissant dans le fichier de configuration
@@ -226,7 +226,7 @@ général <filename>/etc/csh.cshrc</filename>.</para>
<title>Obtenir de l'Aide et de l'Information</title>
<para>Voici quelques moyens d'obtenir de l'aide.
<replaceable>Texte</replaceable> désigne quelque chose de votre choix
-&nbsp;-&nbsp;normalement une commande ou un nom de fichier&nbsp;-&nbsp;que vous
+&nbsp;-&nbsp;normalement une commande ou un nom de fichier&nbsp;-&nbsp;que vous
tapez.</para>
<variablelist>
<varlistentry><term><command>apropos <replaceable>texte</replaceable></command></term>
@@ -237,10 +237,10 @@ dans la <database>base de données whatis</database>.</para>
</varlistentry>
<varlistentry><term><command>man <replaceable>texte</replaceable></command></term>
<listitem>
-<para>La page de manuel pour <replaceable>texte</replaceable>. C'est la
+<para>La page de manuel pour <replaceable>texte</replaceable>. C'est la
principale source de documentation des systèmes Unix. <command>man
<parameter>ls</parameter></command> vous expliquera toutes les possibilités
-d'utilisation de la commande <command>ls</command>. Utilisez
+d'utilisation de la commande <command>ls</command>. Utilisez
<keycap>Entrée</keycap> pour faire défiler le texte,
<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>b</keycap></keycombo> pour remonter
d'une page, <keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>f</keycap></keycombo> pour
@@ -284,11 +284,11 @@ d'usage courant comme <command>cat</command>,
<command>script</command>. <command>more</command> vous permet de lire
une page &agrave; la fois comme sous DOS, e.g., <command>ls -l |
more</command> ou <command>more
-<replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command>.
+<replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command>.
<literal>*</literal> sert de caractère de substitution&nbsp;-&nbsp;e.g., <command>ls
w*</command> vous donnera la liste de tous les fichiers commençant par
<literal>w</literal>.</para>
-<para>Certaines de ces commandes ne fonctionnent pas correctement?
+<para>Certaines de ces commandes ne fonctionnent pas correctement?
<command>locate</command> et <command>whatis</command>
interrogent une base de données qui est reconstruite chaque semaine.
Si votre machine n'est pas en service le weekend (et sous FreeBSD), vous
@@ -304,7 +304,7 @@ et mensuelle de temps &agrave; autre. Faites-le sous le compte root et attendez
</screen></informalexample></para>
<para>Si vous êtes las d'attendre, appuyez sur
<keycombo><keycap>Alt</keycap><keycap>F2</keycap></keycombo> pour obtenir une
-nouvelle <firstterm>console virtuelle</firstterm>, et rouvrir une session.
+nouvelle <firstterm>console virtuelle</firstterm>, et rouvrir une session.
Après tout, c'est un système multi-utilisateurs, multi-tâches. Ces
commandes afficheront probablement des messages &agrave; l'écran pendant
qu'elles s'exécutent; vous pouvez taper <command>clear</command> pour effacer
@@ -323,23 +323,23 @@ Administration Handbook</citetitle> (Prentice-Hall, 1995, ISBN
0-13-15051-7)&nbsp;-&nbsp;deuxième édition avec une couverture rouge; ou
&AElig;leen Frisch's <citetitle>Essential System
Administration</citetitle> (O'Reilly &amp; Associates, 1993, ISBN
-0-937175-80-3)<footnote><para>N.d.T.: traduit en français sous le titre
+0-937175-80-3)<footnote><para>N.d.T.: traduit en français sous le titre
<citetitle>Les Bases de l'Administration Système</citetitle>, chez le même
éditeur.</para></footnote>. J'ai personnellement utilisé Nemeth.</para>
</sect1>
<sect1>
<title>Editer des Fichiers Texte</title>
-<para>Pour configurer votre système, vous devez éditer des fichiers texte. Ils
+<para>Pour configurer votre système, vous devez éditer des fichiers texte. Ils
sont presque tous dans le répertoire <filename>/etc</filename>; vous devrez
-utiliser la commande <command>su</command> pour devenir root pour les
+utiliser la commande <command>su</command> pour devenir root pour les
modifier. Vous pouvez vous servir de l'éditeur simple <command>ee</command>,
mais &agrave; long terme, cela vaut la peine d'apprendre &agrave; utiliser
<command>vi</command>. Il y a une excellente introduction &agrave; vi dans
<filename>/usr/src/contrib/nvi/docs/tutorial</filename> si vous l'avez
-installé. Sinon vous pouvez le télécharger par ftp sur
+installé. Sinon vous pouvez le télécharger par ftp sur
<ulink url="ftp://ftp.cdrom.com">ftp://ftp.cdrom.com</ulink>
-dans le répertoire
-<filename>FreeBSD/FreeBSD-current/src/contrib/nvi/tutorial</filename>.</para>
+dans le répertoire
+<filename>FreeBSD/FreeBSD-current/src/contrib/nvi/tutorial</filename>.</para>
<para>Avant d'éditer un fichier, faites-en une copie de sauvegarde. Supposons
que vous vouliez modifier le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Avec
la commande <command>cd /etc</command> vous allez dans le répertoire
@@ -371,7 +371,7 @@ pour remettre l'original &agrave; sa place.</para>
<screen># <userinput>vi <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></userinput></screen>
</informalexample>
déplacez vous dans le fichier avec les touches flèches. <keycap>Echap</keycap> (la touche d'échappement) met <command>vi</command> en mode commande. Voici
-quelques-unes de ces commandes:
+quelques-unes de ces commandes:
<variablelist>
<varlistentry><term><command>x</command></term>
<listitem>
@@ -401,7 +401,7 @@ commande. Vous pouvez alors taper:
<variablelist>
<varlistentry><term><command>:w</command></term>
<listitem>
-<para>pour enregistrer le fichier modifié sur disque et continuer &agrave;
+<para>pour enregistrer le fichier modifié sur disque et continuer &agrave;
l'éditer,</para>
</listitem>
</varlistentry>
@@ -447,17 +447,17 @@ Entrée) recherche ensuite la prochaine occurrence de <replaceable>texte</replace
</variablelist>
</para>
<para>Entraînez-vous &agrave; utiliser <command>vi</command> dans votre répertoire utilisateur
-en créant un nouveau fichier avec <command>vi
+en créant un nouveau fichier avec <command>vi
<replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command> puis ajoutez-y et effacez du texte,
enregistrez le ficher et rééditez-le. <command>vi</command> peut vous réserver
des surprises parce qu'il est assez complexe, et il vous arrivera de taper
accidentellement des commandes au résultat inattendu. (Certains aiment
-vraiment <command>vi</command>&nbsp;-&nbsp;il est bien plus puissant qu'EDIT
+vraiment <command>vi</command>&nbsp;-&nbsp;il est bien plus puissant qu'EDIT
de DOS&nbsp;-&nbsp;voyez par exemple la commande <command>:r</command> command.) Utilisez
-<keycap>Echap</keycap> une ou plusieurs fois pour être sûr que vous êtes en mode
-commande quand vous êtes dans l'embarras, enregistrez régulièrement vos
-modifications avec la commande <command>:w</command>, et utilisez la commande
-<command>:q!</command> pour sortir et rééditer la dernière version enregistrée
+<keycap>Echap</keycap> une ou plusieurs fois pour être sûr que vous êtes en mode
+commande quand vous êtes dans l'embarras, enregistrez régulièrement vos
+modifications avec la commande <command>:w</command>, et utilisez la commande
+<command>:q!</command> pour sortir et rééditer la dernière version enregistrée
avec <command>:w</command> au besoin.</para>
<para>Vous pouvez maintenant <command>cd</command> vers <filename>/etc</filename>,
<command>su</command> pour devenir root, utiliser <command>vi</command> pour éditer le
@@ -466,7 +466,7 @@ wheel pour qu'il ait les mêmes droits que root. Ajoutez juste une virgule puis
le nom de l'utilisateur &agrave; la fin de la première ligne, appuyez sur
<keycap>Echap</keycap>, et utilisez la commande <command>:wq</command> pour enregistrer
le fichier et quitter l'éditeur. La modification est aussitôt prise en compte
-par le système. (vous n'avez pas mis de blanc après la virgule,
+par le système. (vous n'avez pas mis de blanc après la virgule,
n'est-ce-pas?)</para>
</sect1>
<sect1>
@@ -486,7 +486,7 @@ lecteur de disquettes A:, <command>su</command> pour devenir root, et tapez:
<informalexample>
<screen># <userinput>/sbin/mount -t msdos /dev/fd0 /mnt</userinput></screen>
</informalexample>
-pour monter le lecteur de disquettes dans le répertoire
+pour monter le lecteur de disquettes dans le répertoire
<filename>/mnt</filename>.</para>
<para>Ensuite (plus besoin d'être root, vous pouvez utiliser
<command>exit</command> pour redevenir l'utilisateur jacques), vous pouvez aller
@@ -504,9 +504,9 @@ résultat de la commande
<informalexample>
<screen>% <userinput>/sbin/dmesg &gt; dmesg.txt</userinput></screen>
</informalexample>
-et en copiant <filename>dmesg.txt</filename> sur la disquette.
+et en copiant <filename>dmesg.txt</filename> sur la disquette.
<command>/sbin/dmesg</command> liste les informations affichées au démarrage
-du système, qu'il est utile de comprendre, parce qu'elles décrivent la
+du système, qu'il est utile de comprendre, parce qu'elles décrivent la
configuration matérielle reconnue par FreeBSD au démarrage.
Si vous posez des questions sur <email>freebsd-questions@FreeBSD.ORG</email> ou
dans un forum USENET&nbsp;-&nbsp;du type &ldquo;FreeBSD ne reconnaît pas mon
@@ -519,7 +519,7 @@ root) pour retirer la disquette avec la commande:
</informalexample>
et redémarrer la machine pour passer sous DOS. Copiez ces fichiers dans un
répertoire DOS, éditez-les avec DOS EDIT, Windows Notepad, ou un traitement
-de texte, faites une petite modification pour avoir &agrave; les enregistrer et
+de texte, faites une petite modification pour avoir &agrave; les enregistrer et
imprimez-les comme d'habitude sous DOS ou Windows. J'espère que cela marche!
Les pages de manuel s'impriment mieux avec la commande <command>print</command>
du DOS. (Copier des fichiers de FreeBSD vers une partition DOS montée est
@@ -527,7 +527,7 @@ dans certains cas encore un peu risqué).</para>
<para>Pour pouvoir imprimer depuis FreeBSD, il faut définir l'imprimante dans
le fichier <filename>/etc/printcap</filename> et créer le répertoire tampon
correspondant dans <filename>/var/spool/output</filename>. Si votre imprimante
-est sur le port <hardware>lpt0</hardware> (qui s'appelle <hardware>LPT1</hardware> sous DOS),
+est sur le port <hardware>lpt0</hardware> (qui s'appelle <hardware>LPT1</hardware> sous DOS),
il suffit d'aller dans le répertoire <filename>/var/spool/output</filename> et
(sous le compte root) de créer le répertoire <filename>lpd</filename>, s'il n'existe
pas, en tapant:
@@ -535,9 +535,9 @@ pas, en tapant:
<screen># <userinput>mkdir lpd</userinput></screen>
</informalexample>
L'imprimante devrait alors répondre si elle était sous tension au démarrage du
-système et les commandes lp ou lpr devraient envoyer un fichier &agrave;
-l'imprimante. Que le fichier s'imprime ou non dépend de la
-configuration de l'imprimante, qui est décrite dans le
+système et les commandes lp ou lpr devraient envoyer un fichier &agrave;
+l'imprimante. Que le fichier s'imprime ou non dépend de la
+configuration de l'imprimante, qui est décrite dans le
<ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD.</ulink></para>
</sect1>
<sect1>
@@ -569,7 +569,7 @@ sous-répertoires&nbsp;-&nbsp;attention!</para>
<listitem>
<para>liste les fichiers du répertoire courant et de tous ses sous-répertoires;
j'en utilisais une variante, <command>ls -AFR &gt; where.txt</command>,
-pour avoir la liste de tous les fichiers du répertoire racine
+pour avoir la liste de tous les fichiers du répertoire racine
<filename>/</filename> et (indépendamment) du répertoire
<filename>/usr</filename> avant de trouver un meilleur moyen pour rechercher
des fichiers.</para>
@@ -577,7 +577,7 @@ des fichiers.</para>
</varlistentry>
<varlistentry><term><command>passwd</command></term>
<listitem>
-<para>pour changer le mot de passe d'un utilisateur
+<para>pour changer le mot de passe d'un utilisateur
(ou le mot de passe root).</para>
</listitem>
</varlistentry>
@@ -587,8 +587,8 @@ des fichiers.</para>
</listitem>
</varlistentry>
</variablelist></para>
-<para>Avec le commande <command>find</command> vous pouvez localiser le fichier
-<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> dans <filename>/usr</filename> ou un
+<para>Avec le commande <command>find</command> vous pouvez localiser le fichier
+<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> dans <filename>/usr</filename> ou un
de ses sous-répertoires:
<informalexample>
<screen>% <userinput>find /usr -name "<replaceable>nom_de_fichier</replaceable>"</userinput></screen>
@@ -609,34 +609,34 @@ Desk</ulink>.</para>
<sect1>
<title>Etapes Suivantes</title>
<para>Vous avez maintenant les outils nécessaires &agrave; l'exploration du système et
-&agrave; l'édition de fichiers. Il y a énormément d'informations dans le
+&agrave; l'édition de fichiers. Il y a énormément d'informations dans le
<ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD
</ulink> (que vous avez probablement aussi sur votre disque
-dur) et sur le
+dur) et sur le
<ulink url="http://www.freebsd.org/">
site Internet de FreeBSD</ulink>. Il y a un grand nombre de logiciels sur le
CDROM de <ulink url="http://www.cdrom.com/">Walnut Creek</ulink> et sur leur
-site Internet. Le "manuel" vous explique comment les utiliser
+site Internet. Le "manuel" vous explique comment les utiliser
(installer le logiciel s'il existe, avec <command>pkg_add
/cdrom/packages/All/<replaceable>nom_du_logiciel</replaceable></command>,
où <replaceable>nom_du_logiciel</replaceable> est le nom du fichier
correspondant au logiciel voulu). Le CDROM donne la liste des logiciels
-pré-compilés ou non <footnote><para>N.d.T: Les logiciels prévus pour être utilisés avec FreeBSD peuvent être pré-compilés (&ldquo;packages&rdquo;) ou
-disponibles sous forme de code source (&ldquo;ports&rdquo;) livré avec
-les procédures nécessaires &agrave; sa compilation.</para></footnote> avec une
-courte description de
+pré-compilés ou non <footnote><para>N.d.T: Les logiciels prévus pour être utilisés avec FreeBSD peuvent être pré-compilés (&ldquo;packages&rdquo;) ou
+disponibles sous forme de code source (&ldquo;ports&rdquo;) livré avec
+les procédures nécessaires &agrave; sa compilation.</para></footnote> avec une
+courte description de
chacun dans <filename>/cdrom/packages/index</filename>,
<filename>/cdrom/packages/index.txt</filename> et
<filename>/cdrom/ports/index</filename>. Il y a des descriptifs plus détaillés
dans <filename>/cdrom/ports/*/*/pkg/DESCR</filename>, où les
-<literal>*</literal>s désignent respectivement les sous-répertoires regroupant
+<literal>*</literal>s désignent respectivement les sous-répertoires regroupant
les logiciels par catégories et les noms des logiciels.</para>
<para>Si vous trouvez le "manuel" trop subtil (avec ses commandes
<command>lndir</command> et ainsi de suite) en ce qui concerne l'installation des
logiciel &agrave; compiler, voici une méthode qui fonctionne habituellement:</para>
<para>Trouvez le logiciel que vous voulez, par exemple <command>kermit</command>. Il
y aura un sous-répertoire correspondant sur le CDROM. Copiez ce sous-répertoire
-dans <filename>/usr/local</filename> (l&agrave; où l'on met généralement les logiciels
+dans <filename>/usr/local</filename> (l&agrave; où l'on met généralement les logiciels
que l'on installe pour les mettre &agrave; la disposition de tous les utilisateurs)
avec:
<informalexample>
@@ -649,7 +649,7 @@ qui contient tous les fichiers du sous-répertoire
<filename>/cdrom/ports/distfiles</filename> un fichier dont le nom
indique que c'est le logiciel que vous voulez installer. Copiez ce fichier dans
<filename>/usr/ports/distfiles</filename>; avec les versions récentes,
-vous pouvez sauter cette étape, FreeBSD s'en chargera.
+vous pouvez sauter cette étape, FreeBSD s'en chargera.
Dans le cas de <command>kermit</command>, il n'y a aucun fichier associé dans
<filename>/cdrom/ports/distfiles</filename>.</para>
<para>Puis <command>cd</command> dans le sous-répertoire de
@@ -661,19 +661,19 @@ Dans le cas de <command>kermit</command>, il n'y a aucun fichier associé dans
</para>
<para>Pendant l'installation, le système ira chercher par ftp les
fichiers compressés qu'il ne trouve pas dans
-<filename>/usr/ports/distfiles</filename>. Si vous n'êtes pas
+<filename>/usr/ports/distfiles</filename>. Si vous n'êtes pas
encore connecté &agrave; l'Internet et que le fichier correspondant au
logiciel n'existe pas dans
-<filename>/cdrom/ports/distfiles</filename>, vous devrez récupérer
+<filename>/cdrom/ports/distfiles</filename>, vous devrez récupérer
ce fichier sur une autre machine et le copier dans
<filename>/usr/ports/distfiles</filename> depuis une disquette ou
-votre partition Dos. Lisez <filename>Makefile</filename> (Avec <command>cat</command>,
+votre partition Dos. Lisez <filename>Makefile</filename> (Avec <command>cat</command>,
<command>more</command> ou <command>view</command>) pour trouver sur quel site (le
-"master distribution site"&nbsp;-&nbsp;site de distribution d'origine) aller pour
+"master distribution site"&nbsp;-&nbsp;site de distribution d'origine) aller pour
récupérer le fichier et pour connaître
son nom. Ce nom sera tronqué si vous téléchargez le fichier sous DOS, et
vous devrez redonner au fichier son nom d'origine après l'avoir recopié
-dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename>
+dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename>
(avec la commande <command>mv</command>) pour que FreeBSD le trouve.
(Utilisez le transfert de fichier en mode binaire!) Revenez ensuite dans
<filename>/usr/local/kermit</filename>, trouvez le sous-répertoire où est
@@ -692,7 +692,7 @@ fichier <filename>.cshrc</filename> de votre répertoire utilisateur. L'instructi
path d'Unix fonctionne de la même façon que sous DOS, &agrave; ceci près que, pour des
raisons de sécurité, le répertoire courant n'y est pas défini (par défaut); si
le programme que vous cherchez se trouve dans le répertoire courant, vous devrez
-faire précéder le nom du programme de <filename>./</filename> pour l'exécuter
+faire précéder le nom du programme de <filename>./</filename> pour l'exécuter
(pas d'espace après le &ldquo;<filename>/</filename>&rdquo;.) </para>
<para>Vous voudrez peut-être installer la version la plus récente de Netscape
depuis leur <ulink url="ftp://ftp.netscape.com">site ftp</ulink>. (Netscape
@@ -701,8 +701,8 @@ a besoin du gestionnaire graphique X Window.) Il vous faut la version
<command>gunzip <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command> puis <command>tar xvf
<replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command>, recopiez l'exécutable dans
<filename>/usr/local/bin</filename> ou dans tout autre répertoire où vous mettez les programmes, <command>rehash</command>, et ajoutez les lignes suivantes aux fichiers
-<filename>.cshrc</filename> dans les répertoires de tous les
-utilisateurs ou (plus simplement) au fichier
+<filename>.cshrc</filename> dans les répertoires de tous les
+utilisateurs ou (plus simplement) au fichier
<filename>/etc/csh.cshrc</filename> de démarrage de l'interpréteur de commandes
csh applicable &agrave; tous les utilisateurs:
<informalexample>
@@ -725,9 +725,9 @@ de l'ancien, qui s'appelle <filename>/usr/local/lib/netscape/netscape.bin</filen
<para>Votre interpréteur de commandes est la composante la plus importante de
votre environnement de travail. C'est l'équivalent de COMMAND.COM sous DOS.
C'est lui qui analyse les commandes que vous tapez au clavier et communique
-avec le reste du système d'exploitation. Vous pouvez aussi écrire des
+avec le reste du système d'exploitation. Vous pouvez aussi écrire des
procédures, qui sont l'équivalent des fichiers .BAT de DOS.</para>
-<para>Deux interpréteurs de commandes sont pré-installés par FreeBSD : csh et
+<para>Deux interpréteurs de commandes sont pré-installés par FreeBSD : csh et
sh. csh est utile pour le travail en ligne de commande, mais vous devriez mieux
écrire vos procédures pour sh (ou bash). <command>echo $SHELL</command> vous
retourne le nom de l'interpréteur que vous utilisez actuellement.</para>
@@ -736,9 +736,9 @@ plus encore. Il vous permet de rappeler des commandes avec les touches flèches
et de les éditer. Il sait compléter les noms de fichiers avec la touche Tab (csh
utilise la touche Echap) et il vous permet de revenir dans le répertoire où vous
étiez auparavant avec <command>cd -</command>. Il est aussi plus facile de
-modifier l'invite du système avec tcsh. Il vous rend la vie beaucoup plus
+modifier l'invite du système avec tcsh. Il vous rend la vie beaucoup plus
facile.</para>
-<para>Voici les trois étapes pour installer un nouvel interpréteur de
+<para>Voici les trois étapes pour installer un nouvel interpréteur de
commandes:</para>
<para>Installez l'interpréteur, pré-compilé ou non, comme vous le feriez pour
n'importe quel autre logiciel. Utilisez <command>rehash</command> puis
@@ -748,12 +748,12 @@ assurer qu'il est bien installé.</para>
ajoutez-y une ligne pour le nouvel interpréteur, dans notre cas
/usr/local/bin/tcsh, et enregistrez votre modification. (certaines procédures
d'installation font cela pour vous.)</para>
-<para>Utilisez <command>chsh</command> pour changer de façon permanente
+<para>Utilisez <command>chsh</command> pour changer de façon permanente
d'interpréteur de commandes, ou tapez <command>tcsh</command> sous l'invite
du système pour changer d'interpréteur sans ouvrir de nouvelle session.</para>
<para>Note: Il peut être dangereux de changer l'interpréteur de commandes du
compte root en autre chose que sh ou csh avec les premières versions de FreeBSD
-et de nombreuses autres versions d'Unix; vous pourriez ne plus avoir
+et de nombreuses autres versions d'Unix; vous pourriez ne plus avoir
d'interpréteur de commandes quand le système passe en mode mono-utilisateur.
La solution est d'utiliser <command>su -m</command> pour devenir root et
disposer de tcsh, parce que l'interpréteur de commandes est partie intégrante
@@ -761,7 +761,7 @@ de l'environnement. Vous pouvez rendre ce fonctionnement définitif en ajoutant
un alias dans votre fichier <filename>.tchsrc</filename>:</para>
<informalexample><screen>alias su su -m</screen>
</informalexample>
-<para>Quand tcsh démarre, il lit les fichiers
+<para>Quand tcsh démarre, il lit les fichiers
<filename>/etc/csh.cshrc</filename> et <filename>/etc/csh.login</filename>.
Il lit aussi le fichier <filename>.login</filename> de votre répertoire
utilisateur, ainsi que le fichier <filename>.cshrc</filename>, &agrave; moins que vous
@@ -771,8 +771,8 @@ créer un en copiant simplement <filename>.cshrc</filename> dans
<para>Maintenant que vous avez installé tcsh, vous pouvez modifier l'invite
du système. Vous trouverez plus de détails dans les pages de manuel de tcsh,
mais voici une ligne que vous pouvez mettre dans votre fichier
-<filename>.tchsrc</filename>, qui vous dira combien de commandes vous avez
-tapées, quelle heure il est, et dans quel répertoire vous vous
+<filename>.tchsrc</filename>, qui vous dira combien de commandes vous avez
+tapées, quelle heure il est, et dans quel répertoire vous vous
trouvez. Un > sera aussi
affiché si vous êtes un utilisateur ordinaire et un # si vous êtes root, mais
tcsh fait cela de toute façon:</para>
@@ -787,42 +787,42 @@ pas les espaces et les guillemets. Vous pouvez forcer la relecture du fichier
été positionnées avec la commande <command>env</command>. Le résultat vous
indiquera entre autres quels sont votre éditeur et votre gestionnaire de page
affichée par défaut, et quel type de terminal vous utilisez. Une
-commande utile si vous vous connectez &agrave; distance et ne pouvez exécuter un
-programme parce que le terminal n'est pas adapté est
+commande utile si vous vous connectez &agrave; distance et ne pouvez exécuter un
+programme parce que le terminal n'est pas adapté est
<command>setenv TERM vt100</command>.</para>
</sect1>
<sect1>
<title>Autres</title>
<para>En tant que root, vous pouvez démonter le CDROM avec <command>/sbin/umount
/cdrom</command>, le sortir du lecteur, en mettre un autre, et monter ce dernier avec
-<command>/sbin/mount_cd9660 /dev/cd0a /cdrom</command> en supposant que
-<hardware>cd0a</hardware> est le nom du périphérique associé &agrave; votre lecteur de
+<command>/sbin/mount_cd9660 /dev/cd0a /cdrom</command> en supposant que
+<hardware>cd0a</hardware> est le nom du périphérique associé &agrave; votre lecteur de
CDROMs.</para>
-<para>Le système de fichier actif&nbsp;-&nbsp;le deuxième CDROM de la
+<para>Le système de fichier actif&nbsp;-&nbsp;le deuxième CDROM de la
distribution de FreeBSD&nbsp;-&nbsp;est utile si vous manquez d'espace disque.
Vous pouvez essayez d'utiliser <command>emacs</command> ou des jeux depuis le
cdrom. Vous devrez utiliser <command>lndir</command>, qui est installé en même temps
-que le gestionnaire graphique X Window, pour dire au(x) programme(s)
+que le gestionnaire graphique X Window, pour dire au(x) programme(s)
où trouver les fichiers dont il a besoin, parce qu'ils se trouvent dans le
système de fichiers <filename>/cdrom</filename> et non dans
<filename>/usr</filename> et ses sous-répertoires, où ils devraient
normalement être. Lisez <command>man lndir</command>.</para>
<para>Vous pouvez supprimer un utilisateur (par example, jacques) en utilisant
la commande <command>vipw</command> pour éditer le fichier <filename>master.passwd</filename>
-(n'utilisez pas <command>vi</command> directement sur le fichier
+(n'utilisez pas <command>vi</command> directement sur le fichier
<filename>master.passwd</filename>); effacez la ligne pour jacques et sauvez le
-fichier. Editez ensuite <filename>/etc/group</filename> et supprimez toutes
+fichier. Editez ensuite <filename>/etc/group</filename> et supprimez toutes
les occurrences de jacques.
Enfin, allez dans <filename>/usr/home</filename> et utilisez
<command>rm -R jacques</command> (pour effacer les fichiers et sous-répertoires
du répertoire utilisateur de jacques).</para>
</sect1>
<sect1>
-<title>Vos Commentaires sont la Bienvenue</title>
+<title>Vos Commentaires sont la Bienvenue</title>
<para>Si vous utilisez ce guide, je suis intéressée de savoir où il ne vous est
pas suffisamment clair et ce que vous trouvez qu'il y manque, et aussi s'il vous
a été utile. <footnote><para>N.d.T.: en anglais !</para></footnote>
-Mes remerciements &agrave; Eugene W. Stark, professeur d'informatique
+Mes remerciements &agrave; Eugene W. Stark, professeur d'informatique
&agrave; SUNY-Stony Brook, et &agrave; John Fieber pour ses commentaires pertinents.</para>
<para>Annelise Anderson, <email>andrsn@hoover.stanford.edu</email></para>
</sect1>