diff options
Diffstat (limited to 'fr_FR.ISO8859-1')
115 files changed, 5127 insertions, 5127 deletions
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/committers-guide/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/committers-guide/article.sgml index e20b33a3a1..4e43551453 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/committers-guide/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/committers-guide/article.sgml @@ -10,8 +10,8 @@ The FreeBSD French Documentation Project $FreeBSD$ - Original revision: n.nn ---> + Original revision: n.nn +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -61,7 +61,7 @@ <entry><emphasis>Machine d'archive principale</emphasis></entry> <entry><hostid>freefall.FreeBSD.org</hostid></entry> </row> - + <row> <entry> <emphasis>Machine d'archive internationale pour les codes de @@ -74,12 +74,12 @@ <entry><emphasis>Méthode de connexion</emphasis></entry> <entry>&man.ssh.1;</entry> </row> - - <row> + + <row> <entry><emphasis>Répertoire CVSROOT</emphasis></entry> <entry>/home/ncvs</entry> </row> - + <row> <entry><emphasis>Répertoire CVSROOT pour la version internationale des codes de cryptographie</emphasis></entry> @@ -92,7 +92,7 @@ <entry>&a.jdp; et &a.peter; ainsi que &a.asami; pour <filename>ports/</filename></entry> </row> - + <row> <entry> <emphasis>Administrateur des archives CVS pour la version @@ -101,19 +101,19 @@ <entry>&a.markm;</entry> </row> - <row> + <row> <entry><emphasis>Liste de diffusion</emphasis></entry> <entry><email>cvs-committers@FreeBSD.org</email></entry> </row> - - <row> + + <row> <entry><emphasis>Etiquettes CVS importantes</emphasis></entry> <entry>RELENG_3 (3.x-STABLE), HEAD (-CURRENT)</entry> </row> </tbody> </tgroup> </informaltable> - + <para>Il vous est demandé d'utiliser &man.ssh.1; ou &man.telnet.1; et Kerberos 5 pour vous connecter aux machines d'archive. Ces méthodes sont globalement plus sûres qu'un simple &man.telnet.1; ou @@ -147,8 +147,8 @@ local à jour des sources. N'oubliez cependant pas de positionner <envar>CVS_RSH</envar> à <wordasword>ssh</wordasword> de façon à utiliser un moyen de transmission sécurisé et fiable. D'une autre côté, - si vous ne savez pas ce que cela veut dire, tenez-vous en s'il vous - plaît à la méthode qui consiste à vous connecter à + si vous ne savez pas ce que cela veut dire, tenez-vous en s'il vous + plaît à la méthode qui consiste à vous connecter à <hostid>freefall</hostid> et mettre en place vos modifications avec &man.patch.1;.</para> @@ -172,16 +172,16 @@ <quote>propriétaires</quote> des archives CVS et sont responsables de chaque et de <emphasis>toute</emphasis> modification directe de celles-ci pour mise au propre ou rectification d'erreur CVS dûe à un - <foreignphrase>committer</foreignphrase>. Personne d'autre ne doit + <foreignphrase>committer</foreignphrase>. Personne d'autre ne doit intervenir directement sur les archives. Si vous faites un fausse manipulation, une importation incorrecte ou vous trompez d'étiquette par exemple, n'essayez <emphasis role="bold">pas</emphasis> de la - rectifier vous-même ! Envoyez immédiatement un courrier + rectifier vous-même ! Envoyez immédiatement un courrier électronique ou téléphonez à John ou Peter et expliquez leur le problème. Satoshi Asami est aussi Administrateur CVS pour la partie <filename>ports/</filename> de l'arborescence. Mark Murray est l'administrateur des archives internationales pour les logiciels de - cryptographie, en Afrique du Sud.</para> + cryptographie, en Afrique du Sud.</para> <para>Si vous êtes nouveau <foreignphrase>committer</foreignphrase>, la première chose à faire est de vous ajouter vous-même à la liste des @@ -193,12 +193,12 @@ <para>L'étape suivante consiste à vous présenter aux autres <foreignphrase>committers</foreignphrase>, sans quoi ils n'auront aucune - idée de qui vous êtes et à quoi vous travaillez. Il n'est pas + idée de qui vous êtes et à quoi vous travaillez. Il n'est pas nécessaire de rédiger une biographie exhaustive, un paragraphe ou deux suffiront, pour dire qui vous êtes et à quoi vous comptez travailler sur FreeBSD. Envoyez-les par courrier électronique à <email>cvs-committers@FreeBSD.org</email> et vous serez prêt à commencer - à travailler !</para> + à travailler !</para> <para>N'oubliez pas aussi de vous connecter à <hostid>hub.FreeBSD.org</hostid> et de vous y créez un fichier @@ -222,7 +222,7 @@ archives.</para> <para>Toutes les soumissions doivent être intégrées d'abord à - <literal>-CURRENT</literal>, avant d'aller dans + <literal>-CURRENT</literal>, avant d'aller dans <literal>-STABLE</literal>. Aucune nouvelle fonctionnalité ou modification à haut risque ne devrait être intégrée à la branche <literal>-STABLE</literal>.</para> @@ -314,9 +314,9 @@ <variablelist> <varlistentry> <term>&a.asami;</term> - + <listitem> - <para>Est le responsable du catalogue des logiciels portés, ce qui + <para>Est le responsable du catalogue des logiciels portés, ce qui signifie qu'il a le pouvoir de décision en ce qui concerne toute modification aux logiciels portés et à leurs macros-instructions de compilation. Il est aussi responsable la gestion des gels du @@ -326,7 +326,7 @@ <varlistentry> <term>&a.bde;</term> - + <listitem> <para>Est l'<foreignphrase>Obersturmbahnfuhrer</foreignphrase> de la Police du Style. Quand vous soumettez quelque chose que vous @@ -337,7 +337,7 @@ <varlistentry> <term>&a.dg;</term> - + <listitem> <para>Est notre architecte principal et superviseur du système de gestion de la mémoire virtuelle. Si vous envisagez une @@ -353,7 +353,7 @@ <varlistentry> <term>&a.jkh;</term> - + <listitem> <para>Est le responsable des versions. Il a la charge de définir les dates butées et de superviser le processus de mise en place de la @@ -382,7 +382,7 @@ <varlistentry> <term>&a.steve;</term> - + <listitem> <para>Steve est le responsable non officiel de <filename>/usr/src/bin</filename>. S'il y a quelque chose @@ -395,7 +395,7 @@ <varlistentry> <term>&a.brian;</term> - + <listitem> <para>Maintient officiellement <filename>/usr/bin/ppp</filename> et @@ -405,7 +405,7 @@ <varlistentry> <term>&a.wollman;</term> - + <listitem> <para>Si vous avez besoin d'un conseil sur des points obscurs du code réseau ou n'êtes pas certain d'une modification que vous @@ -435,7 +435,7 @@ <filename>.xinitrc</filename>. Reportez-vous à &man.ssh-agent.1; pour plus de détails.</para> </step> - + <step> <para>Générez une paire de clés avec &man.ssh-keygen.1;. Ces clés seront créées dans le répertoire @@ -443,7 +443,7 @@ </step> <step> - <para>Copiez votre clé publique + <para>Copiez votre clé publique (<filename><envar>$HOME</envar>/.ssh/identity.pub</filename>) dans le fichier <filename>authorized_keys</filename> de votre répertoire utilisateur sur <hostid>freefall</hostid> @@ -452,13 +452,13 @@ </para> </step> </procedure> - + <para>Vous devriez maintenant pouvoir utiliser &man.ssh-add.1; pour vous authentifier à chaque début de session. Il vous demandera la phrase clé pour votre clé privée, et l'enregistrera via votre agent d'authentification (&man.ssh-agent.1;) de façon à ce que vous n'ayez plus à la retaper à chaque fois.</para> - + <para>Testez en faisant quelque chose du style : <command>ssh freefall.FreeBSD.org ls /usr</command>.</para> @@ -483,7 +483,7 @@ </listitem> <listitem> - <para>Respectez les responsables de la maintenance s'il y en a de + <para>Respectez les responsables de la maintenance s'il y en a de définis par la variable <makevar>MAINTAINER</makevar> du <filename>Makefile</filename> ou dans le fichier <filename>MAINTAINER</filename> au premier niveau de @@ -553,7 +553,7 @@ décidée par l'un des administrateurs des archives ou tout autre membre de l'équipe de base qui se trouve être réveillé à ce moment-là. Seule la totalité de l'équipe de base peut suspendre pour une durée importante - les droits d'un <foreignphrase>committer</foreignphrase>, ou les + les droits d'un <foreignphrase>committer</foreignphrase>, ou les retirer définitivement, cette dernière mesure n'étant en général prise qu'après consultation avec les <foreignphrase>committers</foreignphrase>. Le but de cette règle n'est @@ -573,10 +573,10 @@ informelle</emphasis>, et, dans tous les cas, l'équipe de base se réserve le droit de prendre en compte ou d'ignorer les demandes de révision, si elle pense que sa décision initiale était la bonne.</para> - + <para>Pour toutes les autres aspects du fonctionnement du projet, l'équipe de base est un sous-ensemble des - <foreignphrase>committers</foreignphrase> et est soumise aux + <foreignphrase>committers</foreignphrase> et est soumise aux <emphasis>même</emphasis> règles. Ce n'est pas parce que quelqu'un appartient à l'équipe de base qu'il est dispensé de suivre les instructions que l'on vient de donner, les “pouvoirs @@ -585,7 +585,7 @@ Individuellement, nous sommes tous d'abord des <foreignphrase>committers</foreignphrase> et ensuite seulement membres de l'équipe de base.</para> - + <sect2> <title>Détails</title> @@ -596,7 +596,7 @@ <para>Cela signifie que vous devez traiter les autres <foreignphrase>committers</foreignphrase> en tant que groupe de - co-développeurs qu'ils sont en fait. Malgré nos tentatives + co-développeurs qu'ils sont en fait. Malgré nos tentatives occasionnelles pour prouver le contraire, on ne devient pas <foreignphrase>committer</foreignphrase> en étant stupide et rien n'est plus irritant que d'être traité comme tel par un de vos @@ -605,7 +605,7 @@ <emphasis>traiter</emphasis> les autres avec respect, sans quoi c'est toute l'organisation de l'équipe qui se désagrège rapidement.</para> - + <para>Etre capable de travailler ensemble à long terme est le plus grand atout du projet, bien plus important que n'importe quel série de modifications du code, et transformer les discussions à @@ -613,7 +613,7 @@ travailler harmonieusement ensemble à long terme n'en vaut vraiment pas la peine, quelque justification que l'on puisse imaginer.</para> - + <para>Pour respecter cette règle, n'envoyez pas de courrier électronique quand vous êtes en colère et ne vous comportez en outre pas de façon à paraître inutilement agressif aux autres. @@ -622,11 +622,11 @@ de votre point de vue. Ne partez pas sur les chapeaux de roues pour vous sentir simplement immédiatement mieux au prix d'une dispute à long terme. Non seulement c'est une mauvaise - “gestion des ressources”, mais les responsables du + “gestion des ressources”, mais les responsables du projet sanctionneront sévèrement les manifestations d'agressivité publiques et répétées, jusqu'à suspendre ou vous retirer définitivement vos privilèges de - <foreignphrase>committer</foreignphrase>. Ce n'est pas une chose + <foreignphrase>committer</foreignphrase>. Ce n'est pas une chose qu'ils aiment le moins du monde faire, mais l'unité est la priorité. Aucune dose de code ou de judicieux conseils ne s'y mesure.</para> @@ -635,8 +635,8 @@ <listitem> <para>Discutez de toute modification importante <emphasis>avant</emphasis> intégration.</para> - - <para>Ce n'est pas dans les archives CVS que les modifications + + <para>Ce n'est pas dans les archives CVS que les modifications doivent être intégrées pour validation ou discussion, cela doit se faire d'abord sur les listes de discussion et être intégré ensuite lorsqu'on est arrivé à quelque chose qui approche du @@ -662,7 +662,7 @@ <para>De nombreuses parties de FreeBSD n'“appartiennent” à personne, c'est-à-dire qu'il n'y aura personne pour pousser de - hauts cris si vous faites des modifications sur “leur” + hauts cris si vous faites des modifications sur “leur” terrain, mais il vaut mieux s'en assurer d'abord. Une de nos convention est de mettre une ligne indiquant qui maintient dans le <filename>Makefile</filename> du paquetage ou de la @@ -686,7 +686,7 @@ url="http://www.FreeBSD-fr.org/handbook/staff-who.html">http://www.FreeBSD.org/handbook/staff-who.html</ulink> pour avoir plus d'informations à ce sujet.</para> </listitem> - + <listitem> <para>N'intervenez jamais directement sur les archives. Demandez à un responsable des archives de le faire.</para> @@ -697,8 +697,8 @@ archives en envoyant un courrier électronique à <email>cvs@FreeBSD.org</email> et attendez qu'ils corrigent le problème et vous relancent. N'essayez pas de régler le problème - vous-même !</para> - + vous-même !</para> + <para>Si vous envisagez de supprimer un étiquette ou d'en mettre une nouvelle, ou bien d'importer du code sur nouvelle branche, il vous sera peut-être utile de demander d'abord un avis. Nombreux sont @@ -715,7 +715,7 @@ des questions de sécurité peuvent être effectuées par l'Officier de Sécurité, malgré les souhaits d'un responsable de la maintenance.</para> - + <para>Ce peut être dur à avaler en cas de conflit (quand chaque partie est bien sûr convaincue qu'elle a raison) mais CVS permet d'éviter de prolonger la dispute, il est bien plus facile de @@ -745,13 +745,13 @@ prérogatives sur la branche <literal>-stable</literal> que celles décrites, pour ce qui concerne l'Architecte Principal, par le règle #5</para> - + <para>C'est un autre point <quote>sans appel</quote> parce que c'est l'ingénieur de version qui est en dernier lieu responsable (et encaisse les coups) si une modification s'avère mal fondée. Respectez s'il vous plaît cette règle et coopérez totalement avec le responsable des versions pour ce qui concerne la branche - <literal>-stable</literal>. La gestion de la branche + <literal>-stable</literal>. La gestion de la branche <literal>-stable</literal> peut parfois paraître excessivement conservatrice à un observateur occasionnel, mais rappelez vous que c'est le principe même de <literal>-stable</literal> et que @@ -773,7 +773,7 @@ <foreignphrase>committers</foreignphrase> ; cela fait mauvais effet. Si vous êtes en “profond” désaccord sur un point, n'en discutez qu'en privé.</para> - + <para>Le projet a une image publique à conserver et cette image est très importante pour nous tous, en particulier si nous voulons continuer à attirer de nouveaux membres. Il y aura des situations @@ -806,14 +806,14 @@ liste de diffusion pour les <foreignphrase>committers</foreignphrase> pour savoir quand il y en a.</para> - + <para>Soumettre des modifications pendant un gel du code est vraiment une grave erreur et l'on attend des <foreignphrase>committers</foreignphrase> qu'ils se tiennent au courant de ce qui se passe avant de se remanifester après une longue absence et soumettre 10 Mo de code accumulés pendant ce temps. Les gens qui se comportent régulièrement de cette façon - verront leurs privilèges de + verront leurs privilèges de <foreignphrase>committers</foreignphrase> suspendus jusqu'à leur retour du Joyeux Camp de Rééducation de FreeBSD que nous gérons au Gröenland.</para> @@ -832,12 +832,12 @@ honte à demander “Comment diable fait-on cela ?”, nous savons déjà que vous êtes quelqu'un d'intelligent, sans quoi vous ne seriez pas - <foreignphrase>committer</foreignphrase>.</para> + <foreignphrase>committer</foreignphrase>.</para> </listitem> <listitem> <para>Testez vos modifications avant de les intégrer.</para> - + <para>Cela peut paraître évident, mais si c'était vraiment le cas, nous ne verrions probablement pas autant de cas où les gens ne le font manifestement pas. Si vos modifications touchent le noyau, @@ -945,7 +945,7 @@ Collaborateurs</citetitle> du Manuel de Référence.</para> <para>Fermez le PR, si le portage résulte d'un PR. Pour fermer un - PR, il suffit d'exécuter <userinput>edit-pr + PR, il suffit d'exécuter <userinput>edit-pr <replaceable>PR#</replaceable></userinput> sur <hostid>freefall</hostid> et de modifier la valeur de la variable <varname>state</varname> de <constant>open</constant> @@ -1077,7 +1077,7 @@ </question> <answer> - <para>Pendant le gel des logiciels portés, vous ne devez pas + <para>Pendant le gel des logiciels portés, vous ne devez pas soumettre quoi que ce soit dans l'arborescence des logiciels portés, sauf autorisation explicite du responsable des logiciels. <quote>Autorisation explicite</quote> correspond ici @@ -1092,7 +1092,7 @@ <listitem> <para>Le responsable des ports vous a envoyé un courrier - électronique, soit directement, soit à la liste de + électronique, soit directement, soit à la liste de diffusion, pour signaler un problème à corriger sur le logiciel.</para> </listitem> @@ -1115,7 +1115,7 @@ d'avertissement sur la &a.ports; et la &a.committers; pour annoncer la mise en oeuvre prochaine d'une nouvelle version, habituellement deux à trois semaines à l'avance. La date exacte - ne sera définitivement fixée que quelques jours avant. Cela + ne sera définitivement fixée que quelques jours avant. Cela parce que le gel des logiciels doit être synchronisé avec la mise en oeuvre de la version elle-même, et que ce n'est qu'à ce moment-là que l'on sait exactement quand cette opération aura @@ -1162,12 +1162,12 @@ <literal>4-current</literal>.</para> <para>Néanmoins, il ne suffit pas qu'un logiciel n'y apparaisse - pas pour pouvoir dire qu'il compile correctement. (Une de ses + pas pour pouvoir dire qu'il compile correctement. (Une de ses dépendances, par exemple, peut ne pas avoir compilé.) Voici les répertoires de <hostid>bento</hostid>, n'hésitez pas à aller y voir :</para> - <programlisting> + <programlisting> /a/asami/portbuild/3/errors messages d'erreur de la dernière compilation de 3-stable /logs tous les messages de la dernière compilation de 3-stable /packages messages d'erreur sur les paquetages de la dernière compilation 3-stable diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing-ports/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing-ports/article.sgml index d60574f49d..a0901276b5 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing-ports/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing-ports/article.sgml @@ -479,7 +479,7 @@ url="&url.articles.problem-reports;"> Ecrire des rapports de problème &os;</ulink> pour obtenir des informations concernant la manière - d'écrire un bon PR.</para> + d'écrire un bon PR.</para> <note> <para>S'il-vous-plaît, ne soumettez pas une diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing/article.sgml index 8c121eb1f8..4b08707188 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributing/article.sgml @@ -90,7 +90,7 @@ <sect1 id="contrib-what"> <title>Les besoins</title> - + <para>La liste suivante de tâches et de sous-projets représente une sorte d'amalgame des différentes listes <filename>TODO</filename> et des demandes d'utilisateurs.</para> @@ -612,7 +612,7 @@ THIS SOFTWARE, EVEN IF ADVISED OF THE POSSIBILITY OF SUCH DAMAGE. <sect3> <title>Contribution en matériel</title> <indexterm><primary>dons</primary></indexterm> - + <para>Le projet FreeBSD accepte avec joie les donations de matériel. Si vous êtes interessés pour nous faire un don de matériel, contactez le <ulink diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributors/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributors/article.sgml index aace13b9c7..156d6fd0e2 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributors/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/contributors/article.sgml @@ -30,7 +30,7 @@ <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> <abstract> - <para>Cet article liste les organisations et les personnes ayant + <para>Cet article liste les organisations et les personnes ayant contribué à FreeBSD.</para> </abstract> </articleinfo> @@ -38,17 +38,17 @@ <sect1 id="donors"> <title>Gallerie des dons</title> - <para>Le projet FreeBSD Project est redevable à ces donneurs + <para>Le projet FreeBSD Project est redevable à ces donneurs et veut les remercier publiquement ici!</para> <itemizedlist> <listitem> - <para><emphasis>Contributeurs au serveur central du + <para><emphasis>Contributeurs au serveur central du projet:</emphasis></para> <para>Les personnes et sociétés suivantes ont fait qu'il a été possible au projet FreeBSD de mettre en - place un nouveau serveur central, qui a remplacé + place un nouveau serveur central, qui a remplacé <hostid role="fqdn">freefall.FreeBSD.org</hostid>, grace aux dons suivants:</para> @@ -79,7 +79,7 @@ <listitem> <para>Ulf Zimmermann <email>ulf@Alameda.net</email> de <ulink - url="http://www.Alameda.net/">Alameda Networks</ulink> a + url="http://www.Alameda.net/">Alameda Networks</ulink> a fourni <emphasis>128MB de mémoire</emphasis>, et un <emphasis>disque de 4 Gb.</emphasis></para> </listitem> @@ -89,7 +89,7 @@ <listitem> <para><emphasis>Dons en numéraires:</emphasis></para> - <para>Les personnes et entreprises suivantes ont directement + <para>Les personnes et entreprises suivantes ont directement donnés des fonds au projet:</para> <itemizedlist> @@ -154,27 +154,27 @@ <listitem> <para><ulink url="http://www.cdrom.co.jp/">Laser5</ulink> du Japon - (une partie des bénéfices de leur ventes des + (une partie des bénéfices de leur ventes des CDROMs de FreeBSD).</para> </listitem> <listitem> <para><ulink url="http://www.mmjp.or.jp/fuki/">Fuki Shuppan - Publishing Co.</ulink> a donné une partie des - bénéfices du livre <emphasis>Hajimete no - FreeBSD</emphasis> (FreeBSD, Getting started) à + Publishing Co.</ulink> a donné une partie des + bénéfices du livre <emphasis>Hajimete no + FreeBSD</emphasis> (FreeBSD, Getting started) à FreeBSD et au projet XFree86.</para> </listitem> <listitem> <para><ulink url="http://www.ascii.co.jp/">ASCII Corp.</ulink> - a donné une partie des bénéfices de la + a donné une partie des bénéfices de la vente de certains livres en rapport avec FreeBSD.</para> </listitem> <listitem> <para><ulink url="http://www.yokogawa.co.jp/">Yokogawa Electric - Corp</ulink> a généreusement donné une + Corp</ulink> a généreusement donné une somme significative au projet FreeBSD.</para> </listitem> @@ -203,15 +203,15 @@ <listitem> <para><emphasis>Contributeurs matériels</emphasis></para> - <para>Les personnes et sociétés suivantes ont - généreusement contribués en fournissant du - matériel pour les tests et le développement des + <para>Les personnes et sociétés suivantes ont + généreusement contribués en fournissant du + matériel pour les tests et le développement des gestionnaires de périphériques:</para> <itemizedlist> <listitem> <para>BSDi a fourni les systèmes Pentium P5-90 et - 486/DX2-66 EISA/VL qui sont utilisés pour notre + 486/DX2-66 EISA/VL qui sont utilisés pour notre développement.</para> </listitem> @@ -228,51 +228,51 @@ </listitem> <listitem> - <para>TRW Financial Systems, Inc. a fourni 130 PCs, trois - serveurs de fichiers de 68 GB, douze Ethernets, deux - routeurs et un switch ATM pour débogguer le code + <para>TRW Financial Systems, Inc. a fourni 130 PCs, trois + serveurs de fichiers de 68 GB, douze Ethernets, deux + routeurs et un switch ATM pour débogguer le code ddiskless.</para> </listitem> <listitem> - <para>Dermot McDonnell a fourni le CDROM Toshiba XM3401B + <para>Dermot McDonnell a fourni le CDROM Toshiba XM3401B utilisé actuellement sur freefall.</para> </listitem> <listitem> - <para>Chuck Robey <email>chuckr@glue.umd.edu</email> a fourni son + <para>Chuck Robey <email>chuckr@glue.umd.edu</email> a fourni son lecteur de bande pour les tests.</para> </listitem> <listitem> <para>Larry Altneu <email>larry@ALR.COM</email>, et &a.wilko;, - ont fournis les lecteurs de bandes Wangtek et Archive QIC-02 - pour améliorer les gestionnaires de + ont fournis les lecteurs de bandes Wangtek et Archive QIC-02 + pour améliorer les gestionnaires de périphériques <devicename>wt</devicename>.</para> </listitem> <listitem> <para>Ernst Winter <email>ewinter@lobo.muc.de</email> a fourni - le lecteur de disquette de 2.88 MB. Cela permettra de - ré-écrire le gestionnaire de disquette pour le + le lecteur de disquette de 2.88 MB. Cela permettra de + ré-écrire le gestionnaire de disquette pour le supporter.</para> </listitem> <listitem> <para><ulink url="http://www.tekram.com/">Tekram Technologies</ulink> a fourni les cartes DC-390, DC-390U - ,DC-390F FAST et ULTRA SCSI pour les tests de - non-régression des gestionnaires de + ,DC-390F FAST et ULTRA SCSI pour les tests de + non-régression des gestionnaires de périphérique NCR et AMD. Nous les remercions aussi pour la mise à disposition des sources des gestionnaires - pour les systèmes d'exploitations libres sur leur + pour les systèmes d'exploitations libres sur leur serveur FTP <ulink url="ftp://ftp.tekram.com/scsi/FreeBSD/">ftp://ftp.tekram.com/scsi/FreeBSD/</ulink>.</para> </listitem> <listitem> <para>Larry M. Augustin a fourni en plus de la carte - Symbios Sym8751S SCSI, un ensemble de livres dont, + Symbios Sym8751S SCSI, un ensemble de livres dont, un livre sur le support des composants Sym53c895, Ultra-2 et LVD, ainsi qu'un livre sur la programmation des fonctions avancées des composants SCSI Symbios.</para> @@ -280,13 +280,13 @@ <listitem> <para>Christoph Kukulies <email>kuku@FreeBSD.org</email> a fourni - un CDROM 12x, FX120 Mitsumi, pour le développement du + un CDROM 12x, FX120 Mitsumi, pour le développement du gestionnaire de périphériques des CDROM IDE.</para> </listitem> <listitem> - <para>Mike Tancsa <email>mike@sentex.ca</email> a fourni - quatre différentes cartes PCI ATM, pour nous aider a + <para>Mike Tancsa <email>mike@sentex.ca</email> a fourni + quatre différentes cartes PCI ATM, pour nous aider a améliorer le support de ces cartes et de la pile ATM netatm. </para> </listitem> @@ -298,34 +298,34 @@ <itemizedlist> <listitem> - <para><ulink url="http://www.osd.bsdi.com/">BSDi</ulink> - (encore connu sous Walnut Creek CDROM) a fourni plus que - ce que nous pourrions dire (voyez l'historique dans le - <ulink url="../../books/handbook/index.html">Manuel FreeBSD</ulink> + <para><ulink url="http://www.osd.bsdi.com/">BSDi</ulink> + (encore connu sous Walnut Creek CDROM) a fourni plus que + ce que nous pourrions dire (voyez l'historique dans le + <ulink url="../../books/handbook/index.html">Manuel FreeBSD</ulink> pour plus de détails). En particulier, nous aimerions les remercier pour le matériel originel utilisé sur<hostid - role="fqdn">freefall.FreeBSD.org</hostid>, notre machine + role="fqdn">freefall.FreeBSD.org</hostid>, notre machine de développement principal et pour <hostid - role="fqdn">thud.FreeBSD.org</hostid>, la machine de test et + role="fqdn">thud.FreeBSD.org</hostid>, la machine de test et de compilation. Nous voulons aussi les remercier pour l'ensemble - de leurs dons et contributions depuis des années et la + de leurs dons et contributions depuis des années et la fourniture de la connection T1 à l'Internet.</para> </listitem> <listitem> - <para>La société + <para>La société <ulink url="http://www.interface-business.de/">Interface - business GmbH, Dresden</ulink> a patiemment supporté - &a.joerg; qui a préfére son travail sur FreeBSD, - et utilisé la connexion (tres chère) internet + business GmbH, Dresden</ulink> a patiemment supporté + &a.joerg; qui a préfére son travail sur FreeBSD, + et utilisé la connexion (tres chère) internet EUnet lorsque sa connexion privé devint trop lente pour travailler avec...</para> </listitem> <listitem> <para><ulink url="http://www.bsdi.com/">Berkeley Software Design, - Inc.</ulink> a fourni le code d'émulation DOS au monde + Inc.</ulink> a fourni le code d'émulation DOS au monde BSD, qui est utilisé dans la commande <emphasis>doscmd</emphasis>.</para> </listitem> @@ -345,9 +345,9 @@ <title>Le bureau dirigeant</title> <para>Le bureau dirigeant de FreeBSD (core team) constitue le <quote> - Comité dirigeant</quote> du projet, responsable des - décisions sur le projet, telles que les buts à atteindre - tout comme la gestion de <link linkend="staff-who">certaines + Comité dirigeant</quote> du projet, responsable des + décisions sur le projet, telles que les buts à atteindre + tout comme la gestion de <link linkend="staff-who">certaines portions</link> du projet FreeBSD</para> <para>(par ordre alphabétique et trié par nom de famille):</para> @@ -398,8 +398,8 @@ <sect1 id="staff-committers"> <title>Les développeurs FreeBSD</title> - <para>Ce sont des personnes disposant du privilège - d'écriture dans l'arboresence des sources. Tous les membres du + <para>Ce sont des personnes disposant du privilège + d'écriture dans l'arboresence des sources. Tous les membres du bureau dirigeant sont aussi développeurs.</para> <para>(par ordre alphabétique et trié par nom de famille):</para> @@ -736,7 +736,7 @@ <listitem> <para>&a.jfitz;</para> </listitem> - + <listitem> <para>&a.blackend;</para> </listitem> @@ -808,7 +808,7 @@ <listitem> <para>&a.rgrimes;</para> </listitem> - + <listitem> <para>&a.edwin;</para> </listitem> @@ -1098,7 +1098,7 @@ </listitem> <listitem> - <para>&a.arved;</para> + <para>&a.arved;</para> </listitem> <listitem> @@ -1733,8 +1733,8 @@ <title>Le projet de documentation de FreeBSD</title> - <para>Le <ulink url="../../../../docproj/index.html">projet de - documentation de FreeBSD</ulink> est responsable de différents + <para>Le <ulink url="../../../../docproj/index.html">projet de + documentation de FreeBSD</ulink> est responsable de différents services, chaque service étant fourni par un responsable, et ses assistants (si il y a)::</para> @@ -1884,7 +1884,7 @@ </varlistentry> <varlistentry> - <term><ulink url="../../../../security/index.html">Officier de + <term><ulink url="../../../../security/index.html">Officier de Securité </ulink></term> <listitem> @@ -1893,7 +1893,7 @@ </varlistentry> <varlistentry> - <term><ulink url="../../../../support.html#cvs">Responsable du + <term><ulink url="../../../../support.html#cvs">Responsable du répertoire des sources</ulink></term> <listitem> @@ -1912,7 +1912,7 @@ </varlistentry> <varlistentry> - <term><ulink url="../../../../ports/index.html">Collection des + <term><ulink url="../../../../ports/index.html">Collection des packages</ulink></term> <listitem> @@ -1987,7 +1987,7 @@ <indexterm><primary>core team</primary></indexterm> <para>Ces personnes ont été membres de la "core team" durant - la période indiquée. Nous les remercions pour leur efforts + la période indiquée. Nous les remercions pour leur efforts passés au service du projet FreeBSD.</para> <para><emphasis>Par ordre chronologique:</emphasis></para> @@ -2108,9 +2108,9 @@ <title>Liste des anciens développeurs</title> <indexterm><primary>development team</primary></indexterm> - <para>Ces personnes ont été membres de l'équipe de - développement durant la période indiquée. Nous les - remercions pour leur efforts passés au service du projet + <para>Ces personnes ont été membres de l'équipe de + développement durant la période indiquée. Nous les + remercions pour leur efforts passés au service du projet FreeBSD.</para> <para><emphasis>Par ordre chronologique:</emphasis></para> @@ -2174,16 +2174,16 @@ <sect1 id="contrib-derived"> <title>Liste des logiciels contribués</title> - <para>Ce logiciel a été originellement dérivé + <para>Ce logiciel a été originellement dérivé de la version 0.1 de William F. Jolitz's 386BSD, qui ne comportait plus de - code spécifique à 386BSD. Ce logiciel a été - essentiellement ré-implémenté depuis la version - 4.4BSD-Lite fourni par le groupe de Computer Science Research (CSRG) de - l'université de California, Berkeley et des contributeurs + code spécifique à 386BSD. Ce logiciel a été + essentiellement ré-implémenté depuis la version + 4.4BSD-Lite fourni par le groupe de Computer Science Research (CSRG) de + l'université de California, Berkeley et des contributeurs associés.</para> - <para>Des portions de NetBSD et OpenBSD ont été - intégrés à &os;, et nous remercions aussi les + <para>Des portions de NetBSD et OpenBSD ont été + intégrés à &os;, et nous remercions aussi les contributeurs de ces projets pour leur travail.</para> </sect1> @@ -2328,7 +2328,7 @@ <listitem> <para>Alex Perel <email>veers@disturbed.net</email></para> </listitem> - + <listitem> <para>Alex Rodioukov <email>simuran@shaw.ca</email></para> </listitem> @@ -4637,7 +4637,7 @@ <listitem> <para>Julian Jenkins <email>kaveman@magna.com.au</email></para> </listitem> - + <listitem> <para>Jung-uk Kim <email>jkim@niksun.com</email></para> </listitem> @@ -6849,7 +6849,7 @@ <listitem> <para>Takayuki Ariga <email>a00821@cc.hc.keio.ac.jp</email></para> </listitem> - + <listitem> <para>Takayuki Nakao <email>t@nakao.org</email></para> </listitem> @@ -7434,7 +7434,7 @@ <listitem> <para>Zhong Ming-Xun <email>zmx@mail.CDPA.nsysu.edu.tw</email></para> </listitem> - + <listitem> <para>arci <email>vega@sophia.inria.fr</email></para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/Makefile index a49da6c872..c190c0e4d7 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/Makefile @@ -1,4 +1,4 @@ -# +# # The FreeBSD Documentation Project # The FreeBSD French Documentation Project # diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/article.sgml index b44cabe1f0..1507d9b2d5 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/cvsup-advanced/article.sgml @@ -9,7 +9,7 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $FreeBSD$ $Id: article.sgml,v 1.7 2007-01-20 13:34:48 blackend Exp $ Original revision: 1.12 @@ -33,7 +33,7 @@ <pubdate>$FreeBSD$</pubdate> <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> - + <legalnotice id="trademarks" role="trademarks"> &tm-attrib.freebsd; &tm-attrib.cvsup; @@ -41,15 +41,15 @@ </legalnotice> <abstract> - <para>Le présent article suppose une compréhension - de base de l'utilisation de <application>CVSup</application>. - Il expose plusieurs problèmes délicats - liés à la synchronisation des sources à + <para>Le présent article suppose une compréhension + de base de l'utilisation de <application>CVSup</application>. + Il expose plusieurs problèmes délicats + liés à la synchronisation des sources à l'aide de <application>CVSup</application>, c'est à dire des solutions efficaces aux problèmes des fichiers - obsolètes aussi bien qu'aux cas spéciaux de mise - à jour des sources, ces problèmes sont susceptibles - de causer des désagréments apparemment + obsolètes aussi bien qu'aux cas spéciaux de mise + à jour des sources, ces problèmes sont susceptibles + de causer des désagréments apparemment inexplicables.</para> &trans.a.fonvieille; @@ -58,20 +58,20 @@ <sect1 id="preface"> <title>Préface</title> - + <para>Ce document est le fruit des tentatives de l'auteur de - comprendre les finesses de <application>CVSup</application> et + comprendre les finesses de <application>CVSup</application> et de la mise à jour des sources. :-) Bien que l'auteur ait fait de nombreux efforts pour rendre ces pages aussi instructives et correctes que possible, il n'est qu'un être humain et a pu avoir commis toutes sortes - de coquilles, d'erreurs, etc... Il sera vraiment reconnaissant - pour tous les commentaires et/ou suggestions que vous enverrez - à son adresse électronique + de coquilles, d'erreurs, etc... Il sera vraiment reconnaissant + pour tous les commentaires et/ou suggestions que vous enverrez + à son adresse électronique <email>bartequi@neomedia.it</email>.</para> </sect1> - + <sect1 id="introduction"> <title>Introduction</title> @@ -81,42 +81,42 @@ url="http://www.polstra.com/projects/freeware/CVSup/faq.html">FAQ</ulink>, vous avez pu avoir remarqué les questions 12 et 13.</para> - <para>En mettant à jour n'importe quelle “catalogue” - - collection de sources (e.g. <filename>/usr/ports</filename>), - &man.cvsup.1; se sert des fichiers de “checkouts” - relatifs afin d'effectuer le processus de mise à jour de la - manière la plus efficace et la plus correcte possible. Dans cet + <para>En mettant à jour n'importe quelle “catalogue” + - collection de sources (e.g. <filename>/usr/ports</filename>), + &man.cvsup.1; se sert des fichiers de “checkouts” + relatifs afin d'effectuer le processus de mise à jour de la + manière la plus efficace et la plus correcte possible. Dans cet exemple (<filename>/usr/ports</filename>), le fichiers de “checkouts” relatif est <filename>/usr/sup/ports-all/checkouts.cvs:.</filename> si votre répertoire de base est <filename>/usr</filename>.</para> <para>Un fichier “checkouts” contient l'information - sur l'état actuel de vos sources -- d'une certaine - manière, une sorte de “photographie”. Cette - information permet à <application>cvsup</application> de - rechercher les mises à jour le plus efficacement. De - plus, et c'est peut-être plus important, il permet - à <application>cvsup</application> de gérer + sur l'état actuel de vos sources -- d'une certaine + manière, une sorte de “photographie”. Cette + information permet à <application>cvsup</application> de + rechercher les mises à jour le plus efficacement. De + plus, et c'est peut-être plus important, il permet + à <application>cvsup</application> de gérer correctement vos sources en effaçant localement tout - fichier qui n'est plus présent sur l'archive centrale, - et de ce fait ne pas laisser de fichiers obsolètes sur - votre système. En fait, sans un fichier + fichier qui n'est plus présent sur l'archive centrale, + et de ce fait ne pas laisser de fichiers obsolètes sur + votre système. En fait, sans un fichier “checkouts”, <application>cvsup</application> ne - saurait PAS de quels fichiers votre catalogue est composé - (Cf &man.cvsup.1; pour plus de détails), et en - conséquence, il ne pourrait PAS effacer de votre - système ces fichiers qui ne sont plus présents sur - l'archive centrale. Ils resteraient sur votre système - (les fichiers obsolètes), et pourraient vous causer de - subtiles échecs de compilation ou tout autre - désagrément. Par exemple, ce problème est - susceptible de se produire si vous mettez à jour votre - catalogue de logiciels portés plusieurs semaines + saurait PAS de quels fichiers votre catalogue est composé + (Cf &man.cvsup.1; pour plus de détails), et en + conséquence, il ne pourrait PAS effacer de votre + système ces fichiers qui ne sont plus présents sur + l'archive centrale. Ils resteraient sur votre système + (les fichiers obsolètes), et pourraient vous causer de + subtiles échecs de compilation ou tout autre + désagrément. Par exemple, ce problème est + susceptible de se produire si vous mettez à jour votre + catalogue de logiciels portés plusieurs semaines après que vous ayez eu vos CDROMs d'installation.</para> - <para>Il est donc recommandé que vous adoptiez la - procédure en deux temps décrite dans la FAQ de + <para>Il est donc recommandé que vous adoptiez la + procédure en deux temps décrite dans la FAQ de <application>CVSup</application> (Cf Q12, Q13); dans les sections suivantes, on vous présentera des exemples concrets intéressant et instructifs.</para> @@ -127,7 +127,7 @@ <para>Alternativement, afin d'examiner les sources pour les inconsistences, vous pouvez souhaiter utiliser la procédure - python <command>cvsupchk</command>, procédure qui se + python <command>cvsupchk</command>, procédure qui se trouve actuellement dans <filename>/usr/ports/net/cvsup/work/cvsup-16.1/contrib/cvsupchk</filename>, avec un sympathique <filename>README</filename>. @@ -150,9 +150,9 @@ </listitem> </orderedlist> - <para>Si vous mettez à jour vos sources pour la toute + <para>Si vous mettez à jour vos sources pour la toute première fois, naturellement vous n'avez pas de fichier - “checkouts”. Après l'installation de python + “checkouts”. Après l'installation de python et la mise à jour de vos sources (e.g. <filename>/usr/ports</filename>), vous pouvez les vérifier ainsi:</para> @@ -163,19 +163,19 @@ <screen>&prompt.user; <filename>/path/to/</filename><userinput>cvsupchk -d /usr -c /usr/sup/src-all/checkouts.cvs:RELENG_4 | more</userinput></screen> - <para>Dans chaque cas, <command>cvsupchk</command> + <para>Dans chaque cas, <command>cvsupchk</command> inspectera vos sources à la recherche d'inconsistances en utilisant les informations contenues dans le fichier de “checkouts” relatif. - Des anomalies comme des fichiers effacés, encore - présents (aka fichiers obsolètes), fichiers + Des anomalies comme des fichiers effacés, encore + présents (aka fichiers obsolètes), fichiers récupérés absents, fichiers RCS - supplémentaires, et répertoires vides seront + supplémentaires, et répertoires vides seront affichés sur la sortie standard.</para> <para>Dans la section suivante, nous présenterons des exemples typiques de la mise à jour de source, exemples qui vous - montreront le rôle des fichiers de “checkouts” + montreront le rôle des fichiers de “checkouts” et les dangers d'une gestion négligée des sources.</para> </sect1> @@ -193,15 +193,15 @@ <filename>checkouts.cvs:A</filename>, par exemple avec le champ <literal>tag=RELENG_4</literal>, un fichier de “checkouts” - <filename>checkouts.cvs:RELENG_4</filename> est - généré. Ce fichier sera utilisé + <filename>checkouts.cvs:RELENG_4</filename> est + généré. Ce fichier sera utilisé pour récupérer et/ou stocker l'information identifiant vos sources 4-STABLE.</para> <para>En suivant le catalogue <literal>src-all</literal>, si vous souhaitez passer de <literal>tag=A</literal> à - <literal>tag=B</literal> (A inférieur/supérieur - à B important peu) et si votre fichier + <literal>tag=B</literal> (A inférieur/supérieur + à B important peu) et si votre fichier “checkouts” est <filename>checkouts.cvs:A</filename>, les opérations suivantes devront être effectuées:</para> @@ -226,9 +226,9 @@ checkouts.cvs:B</userinput> </listitem> </orderedlist> - <para><application>Cvsup</application> recherchera <filename>checkouts.cvs:B</filename> + <para><application>Cvsup</application> recherchera <filename>checkouts.cvs:B</filename> -- dans ce cas la cible est B, c'est à dire que - <application>cvsup</application> se + <application>cvsup</application> se servira des informations contenues dans ce fichier pour gérer correctement vos sources.</para> @@ -250,23 +250,23 @@ checkouts.cvs:B</userinput> <para>Par exemple, <literal>A=RELENG_4</literal>, <literal>B=.</literal>, le point dans <literal>B=.</literal> - signifie -CURRENT. C'est une mise à jour plutôt - typique de la branche 4-STABLE vers la branche -CURRENT. - Alors qu'il est simple de revenir à une ancienne - version de sources (e.g. -CURRENT vers -STABLE), il n'en va - pas de même avec le système. Vous êtes + signifie -CURRENT. C'est une mise à jour plutôt + typique de la branche 4-STABLE vers la branche -CURRENT. + Alors qu'il est simple de revenir à une ancienne + version de sources (e.g. -CURRENT vers -STABLE), il n'en va + pas de même avec le système. Vous êtes FORTEMENT déconseillé de tenter une telle - opération, à moins que vous ne sachiez + opération, à moins que vous ne sachiez exactement ce que vous faites.</para> </sect2> <sect2> - <title>Mettre à jour en conservant le même champ + <title>Mettre à jour en conservant le même champ tag mais pour une date différente</title> - <para>Si vous souhaitez basculer du champ <literal>tag=A</literal> + <para>Si vous souhaitez basculer du champ <literal>tag=A</literal> au champ <literal>tag=A</literal> avec une date GMT - différente (disons <literal>date=D</literal>) vous + différente (disons <literal>date=D</literal>) vous exécuterez ce qui suit:</para> <orderedlist> @@ -282,20 +282,20 @@ checkouts.cvs:B</userinput> </listitem> </orderedlist> - <para>Que la nouvelle date précède ou non celle - de la dernière synchronisation avec le champ - <literal>tag=A</literal> est peu important. Par exemple, - afin d'indiquer la date du “27 Août 2000 à + <para>Que la nouvelle date précède ou non celle + de la dernière synchronisation avec le champ + <literal>tag=A</literal> est peu important. Par exemple, + afin d'indiquer la date du “27 Août 2000 à 10h00s00 GMT” vous écrirez la ligne:</para> <programlisting>src-all tag=RELENG_4 date=2000.08.27.10.00.00</programlisting> <note><para>Le format de la date est rigide. Vous devez - indiquer toutes les composantes de la date: le siècle - (<quote>20</quote>, i.e. le vingtième siècle, doit être - fourni tandis que <quote>19</quote>, le siècle passé peut - être omis), l'année, le mois, le jour, l'heure, + indiquer toutes les composantes de la date: le siècle + (<quote>20</quote>, i.e. le vingtième siècle, doit être + fourni tandis que <quote>19</quote>, le siècle passé peut + être omis), l'année, le mois, le jour, l'heure, les minutes et les secondes — comme montré dans l'exemple ci-dessus. Pour plus d'information, veuillez consulter la page de manuel &man.cvsup.1;.</para></note> @@ -304,37 +304,37 @@ checkouts.cvs:B</userinput> “checkouts” est appelé <filename>checkouts.cvs:A</filename> (e.g. <filename>checkouts.cvs:RELENG_4</filename>). Comme - conséquence, aucune action particulière n'est - nécessaire afin de retourner à l'état + conséquence, aucune action particulière n'est + nécessaire afin de retourner à l'état précédent: vous devez modifier la date - dans le <filename>supfile</filename> et remettre à + dans le <filename>supfile</filename> et remettre à jour à nouveau.</para> </sect2> <sect2> - <title>Mise à jour de votre catalogue des logiciels + <title>Mise à jour de votre catalogue des logiciels portés pour la première fois</title> - <para>Comme les logiciels portés sont - étiquetés “.” (i.e. -CURRENT), + <para>Comme les logiciels portés sont + étiquetés “.” (i.e. -CURRENT), vous pouvez correctement les synchroniser en - ajoutant le mot-clé <literal>date</literal> (Cf - &man.cvsup.1; pour le format exact), vous devriez - spécifier une date aussi proche que possible que celle - de “l'expédition” de votre catalogue de + ajoutant le mot-clé <literal>date</literal> (Cf + &man.cvsup.1; pour le format exact), vous devriez + spécifier une date aussi proche que possible que celle + de “l'expédition” de votre catalogue de logiciel porté. Après que <application>CVSup</application> ait créé le fichier “checkouts” du catalogue des - logiciels portés, qui est précisément le - but de cette première opération de synchronisation, - le champ <literal>date</literal> doit être retiré, - toutes les mises à jour suivantes seront faites en + logiciels portés, qui est précisément le + but de cette première opération de synchronisation, + le champ <literal>date</literal> doit être retiré, + toutes les mises à jour suivantes seront faites en douceur.</para> <para>Si vous avez voulu chercher la petite bête dans ce texte, - vous vous êtes probablement aperçu des - problèmes potentiels du processus de mise à jour des - sources. Un certain nombre de personnes ont eu réellement + vous vous êtes probablement aperçu des + problèmes potentiels du processus de mise à jour des + sources. Un certain nombre de personnes ont eu réellement des problèmes. Vous avez été avertis. :-)</para> </sect2> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/dialup-firewall/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/dialup-firewall/article.sgml index b4088a6a9a..b4fdabfd77 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/dialup-firewall/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/dialup-firewall/article.sgml @@ -18,7 +18,7 @@ <article lang="fr"> <articleinfo> <title>Coupe-feu pour connexion par modem avec FreeBSD</title> - + <authorgroup> <author> <firstname>Marc</firstname> @@ -69,7 +69,7 @@ configuration du noyau du manuel</ulink>. Vous devez rajouter les options suivantes dans le fichier de configuration de votre noyau:</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term><literal>options IPFIREWALL</literal></term> @@ -104,7 +104,7 @@ <term><literal>options IPDIVERT</literal></term> <listitem> - <para>Autorise le <emphasis>détournement</emphasis> des + <para>Autorise le <emphasis>détournement</emphasis> des sockets, cela sera explicité plus tard.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -115,7 +115,7 @@ sont pas requis pour avoir un filtrage de paquets qui fonctionne, mais il se peut que quelques utilisateurs un peu plus paranoïaques désirent les utiliser.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term><literal>options TCP_DROP_SYNFIN</literal></term> @@ -143,7 +143,7 @@ <para>Nous avons maintenant besoin de quelques modifications de <filename>/etc/rc.conf</filename> afin de signaler notre coupe-feu. Ajoutez simplement les lignes suivantes:</para> - + <programlisting>firewall_enable="YES" firewall_script="/etc/firewall/fwrules" natd_enable="YES" @@ -157,7 +157,7 @@ natd_flags="-dynamic"</programlisting> <sect1> <title>Désactiver la traduction d'adresse réseau de PPP</title> - + <para>Il se peut que vous utilisiez déjà la traduction d'adresse réseau (NAT) intégrée à PPP. Si c'est le cas alors vous aurez à la désactiver, étant donné que nos exemples utilisent &man.natd.8; @@ -166,7 +166,7 @@ natd_flags="-dynamic"</programlisting> <para>Si vous avez déjà un ensemble d'options pour démarrer automatiquement PPP, cela doit probablement ressembler à ceci:</para> - + <programlisting>ppp_enable="YES" ppp_mode="auto" ppp_nat="YES" @@ -207,10 +207,10 @@ ppp_profile="<replaceable>profile</replaceable>"</programlisting> vous plaît, notez que vous pouvez changer le nom de ce fichier pour celui que vous désirez. Ce guide donne juste un exemple de nom de fichier.</para> - + <para>Maintenant, jettons un coup d'oeil à cet exemple de fichier de coupe-feu, qui est minutieusement commenté.</para> - + <programlisting># Règles du coupe-feu # Ecrit par Marc Silver (marcs@draenor.org) # http://draenor.org/ipfw @@ -265,7 +265,7 @@ $fwcmd add deny log ip from any to any</programlisting> <para>Vous disposez désormais d'un coupe-feu tout à fait fonctionnel qui autorisera les connexions sur les ports 80 et 22 et tracera - tout autre tentative de connexion. Maintenant, vous devriez être + tout autre tentative de connexion. Maintenant, vous devriez être en mesure de redémarrer sans risques et votre coupe-feu devrait se lancer sans problèmes. Si vous trouvez une quelconque erreur ou expérimentez des problèmes, ou que vous avez des suggestions pour @@ -283,17 +283,17 @@ $fwcmd add deny log ip from any to any</programlisting> &man.ppp.8;? </para> </question> - + <answer> <para>Je serais honnête et dirais qu'il n'y a aucune raison définitive pour que j'utilise <command>ipfw</command> et <command>natd</command> plutôt que les filtres intégrés à <command>ppp</command>. D'après les discussions que j'ai eu - avec de nombreuses personnes le consensus semble être + avec de nombreuses personnes le consensus semble être qu'<command>ipfw</command> est certainement plus puissant et configurable que les filtres <command>ppp</command>, mais ce qu'il apporte dans la - fonctionnalité il le perd en facilité d'utilisation. Une + fonctionnalité il le perd en facilité d'utilisation. Une des raisons de mon utilisation est que je préfère que le filtrage de paquets soit fait au niveau du noyau plutôt que par un programme utilisateur.</para> @@ -310,17 +310,17 @@ $fwcmd add deny log ip from any to any</programlisting> </question> <answer> - <para>Cela signifie simplement que le nombre maximal de - traces pour la règle a été atteint. La règle fonctionne - toujours, mais elle n'enregistrera plus de trace jusqu'au - moment ou vous réinitialiserez les compteurs de traces. - Vous pouvez réinitialiser les compteurs de traces avec la - commande <command>ipfw resetlog</command>. Alternativement, - vous pouvez augmenter la limite de trace dans la + <para>Cela signifie simplement que le nombre maximal de + traces pour la règle a été atteint. La règle fonctionne + toujours, mais elle n'enregistrera plus de trace jusqu'au + moment ou vous réinitialiserez les compteurs de traces. + Vous pouvez réinitialiser les compteurs de traces avec la + commande <command>ipfw resetlog</command>. Alternativement, + vous pouvez augmenter la limite de trace dans la configuration de votre noyau avec l'option <option>IPFIREWALL_VERBOSE_LIMIT</option> comme décrit - précédemment. Vous pouvez également changer cette limite - (sans recompiler votre noyau ou avoir à redémarrer) en + précédemment. Vous pouvez également changer cette limite + (sans recompiler votre noyau ou avoir à redémarrer) en utilisant la valeur &man.sysctl.8; net.inet.ip.fw.verbose_limit.</para> </answer> @@ -328,8 +328,8 @@ $fwcmd add deny log ip from any to any</programlisting> <qandaentry> <question> - <para>Si j'utilise des adresses privées en interne, comme - dans la plage 192.168.0.0, pourrais-je ajouter une commande + <para>Si j'utilise des adresses privées en interne, comme + dans la plage 192.168.0.0, pourrais-je ajouter une commande comme <literal>$fwcmd add deny all from any to 192.168.0.0:255.255.0.0 via tun0</literal> aux règles du coupe-feu pour prévenir les tentatives externes de @@ -366,8 +366,8 @@ $fwcmd add deny log ip from any to any</programlisting> <emphasis>user-ppp</emphasis>). Les connexions supplémentaires utiliseront <devicename>tun1</devicename>, <devicename>tun2</devicename> et ainsi de suite.</para> - - <para>Vous devriez également noter que &man.pppd.8; utilise + + <para>Vous devriez également noter que &man.pppd.8; utilise à la place l'interface <devicename>ppp0</devicename>, donc si vous établissez une connexion avec &man.pppd.8; vous devez remplacer <devicename>tun0</devicename> par @@ -400,7 +400,7 @@ $fwcmd add deny log ip from any to any</programlisting> <para>D'autre part, pour une connexion faite avec &man.ppp.8; (<emphasis>user-ppp</emphasis>) vous devriez voir quelque chose de similaire à:</para> - + <screen> &prompt.user; <userinput>ifconfig</userinput> <emphasis>(skipped...)</emphasis> ppp0: flags=<replaceable>8010<POINTOPOINT,MULTICAST> mtu 1500</replaceable> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/diskless-x/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/diskless-x/article.sgml index 975e98b778..1c00f7c1ca 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/diskless-x/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/diskless-x/article.sgml @@ -12,12 +12,12 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> <title>Mise en oeuvre d'un terminal X sans disque dur</title> - + <authorgroup> <author> <firstname> Jerry</firstname> @@ -28,16 +28,16 @@ </address> </affiliation> </author></authorgroup> - + <pubdate>28 Décembre 1996</pubdate> - + <copyright> <year>1996</year> <holder>Jerry Kendall</holder> </copyright> <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> - + <abstract> <para>Avec l'aide de quelques amis de la &a.hackers;, j'ai pu mettre en service un terminal X sans disque dur. Pour cela, j'ai d'abord dû installer une station sans disque qui dispose d'un minimum d'utilitaires montés par NFS. J'ai répété l'opération pour disposer de deux systèmes sans disque. Pour les deux, j'ai procédé de la même façon. Le premier est <hostid role="fqdn">altair.kcis.com</hostid>. C'est un terminal X sur mon vieux 386DX-40. Il a bien un disque dur de 340 Mo, mais je ne voulais pas y toucher. Il démarre donc à partir de <hostid role="fqdn">antares.kcis.com</hostid> sur le réseau Ethernet. Le second est un 486DX2-66. J'ai installé un système FreeBSD (complet) qui n'utilise pas de disque local. Le serveur de démarrage est un Sun 670MP sous SunOs 4.1.3. Les deux systèmes FreeBSD sont configurés de la même façon.</para> @@ -46,12 +46,12 @@ &trans.a.haby; </abstract> </articleinfo> - + <sect1> <title>Préparation de la disquette de démarrage (sur le système sans disque)</title> - + <para>Les gestionnaires de démarrage via le réseau ne sont pas compatibles avec les TSRs et autres qu'utilise MS-DOS, il est préférable de préparer une disquette de démarrage, ou, si vous le pouvez, de mettre en place un menu MS-DOS qui (par l'intermédiaire des fichiers <filename>config.sys</filename>/<filename>autoexec.bat</filename>) vous demande au démarrage quelle configuration charger. C'est cette dernière méthode que j'ai utilisée et elle fonctionne à merveille. Voici mon menu MS-DOS :</para> - + <example> <title><filename>config.sys</filename></title> @@ -84,27 +84,27 @@ nb8390.com :end</programlisting> </example> </sect1> - + <sect1> <title>Générer les programmes de démarrage en réseau (sur le serveur)</title> - + <para>Compilez les programmes de “démarrage en réseau” que vous trouverez dans <filename>/usr/src/sys/i386/boot/netboot</filename>. Lisez les commentaires au début du <filename>Makefile</filename>. Faites les modifications nécessaires. Faites une sauvegarde de l'original, pour vous prémunir en cas de problèmes. Après compilation, vous devriez obtenir deux exécutables, <filename>nb8390.com</filename> et <filename>nb3c509.com</filename>. C'est l'un de ces programmes que vous devrez exécuter sur la machine sans disque. Il chargera le noyau depuis le serveur de démarrage. Recopiez alors ces deux programmes sur la disquette de démarrage que vous avez créée auparavant.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Déterminer le programme à utiliser (sur la machine sans disque)</title> - + <para>Si vous savez quel composant utilise votre carte Ethernet, c'est facile. Si vous avez un circuit NS8390 ou équivalent, servez vous de <filename>nb8390.com</filename>. Si vous avez un circuit de type 3Com 509, utilisez le programme de démarrage <filename>nb3C509.com</filename>. Si vous ne savez pas, essayez l'un et si vous avez le message “<errorname>No adapter found</errorname>”, essayez avec l'autre. Si rien ne marche, vous êtes livré à vous-même.</para> </sect1> <sect1> <title>Démarrer en réseau</title> - + <para>Démarrez la station sans disque sans fichiers <filename>config.sys/autoexec.bat</filename>. Essayez d'exécuter le programme de démarrage qui correspond à votre carte Ethernet.</para> <para>Ma carte Ethernet utilise le mode 16bit WD8013 16bit, j'exécute donc <filename>nb8390.com</filename> :</para> - + <screen><prompt>C:></prompt> <userinput>cd \netboot</userinput> <prompt>C:></prompt> <userinput>nb8390</userinput> @@ -120,17 +120,17 @@ Searching for server...</screen> <para>La machine sans disque essaye maintenant de trouver un serveur de démarrage. Notez la valeur de <literal>addr</literal> sur l'avant dernière ligne, vous en aurez besoin ensuite. Redémarrez la machine sans disque et modifiez vos fichiers <filename>config.sys</filename> et <filename>autoexec.bat</filename> pour qu'ils fassent automatiquement ce que vous venez de faire à la main. Peut-être avec un menu. Si vous aviez dû utiliser <command>nb3c509.com</command> au lieu de <command>nb8390.com</command>, les messages seraient identiques. Si vous obtenez le message “<errorname>No adapter found</errorname>” après “<literal>Searching for adapter...</literal>”, vérifiez que vous avez défini les bonnes valeurs dans le <filename>Makefile</filename> au moment de compiler.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Permettre aux systèmes de démarrer via le réseau (sur le serveur)</title> - + <para>Vérifiez qu'il y a bien des entrées pour <citerefentry><refentrytitle>tftp</refentrytitle></citerefentry> et <citerefentry><refentrytitle>bootps</refentrytitle></citerefentry> dans le fichier <filename>/etc/inetd.conf</filename>. Voici le mien :</para> - + <programlisting>tftp dgram udp wait nobody /usr/libexec/tftpd tftpd # # Ajout de qui que vous soyez bootps dgram udp wait root /usr/libexec/bootpd bootpd /etc/bootptab</programlisting> - + <para>Si vous devez modifier le fichier <filename>/etc/inetd.conf</filename>, envoyez ensuite un signal <literal>HUP</literal> à <citerefentry><refentrytitle>inetd</refentrytitle></citerefentry>. Pour cela, utilisez la commande <command>ps -ax | grep inetd | grep -v grep</command> pour connaître le numéro de processus d'<citerefentry><refentrytitle>inetd</refentrytitle></citerefentry>. Une fois que vous l'avez, envoyez lui le signal HUP. Cela se fait avec <command>kill -HUP <pid></command>. Cela obligera <citerefentry><refentrytitle>inetd</refentrytitle></citerefentry> à relire ses fichiers de configuration.</para> <para>Vous avez bien noté la valeur de <literal>addr</literal> dans les messages du programme de démarrage sur la machine sans disque ? C'est maintenant que vous allez en avoir besoin.</para> @@ -146,7 +146,7 @@ bootps dgram udp wait root /usr/libexec/bootpd bootpd /etc/bootptab</progra :ip=199.246.76.2:\ :gw=199.246.76.1:\ :vm=rfc1048:</programlisting> - + <para>Ce qui, ligne par ligne, signifie :</para> <informaltable frame="none"> @@ -217,9 +217,9 @@ hostname altair.kcis.com</programlisting> <note> <para>Ce système de fichiers racine sera monté en <emphasis>lecture seule</emphasis> par NFS.</para> </note> - + <para>L'arborescence de la machine sans disque peut ensuite être remontée pour autoriser les opérations de lecture/écriture.</para> - + <para>J'utilise mon 386DX-40 comme terminal X dédié.</para> <para>Voici l'arborescence d'“altair” :</para> @@ -250,7 +250,7 @@ hostname altair.kcis.com</programlisting> -r-xr-xr-x 1 root bin 73728 Dec 13 22:38 ./sbin/mount -r-xr-xr-x 1 root wheel 1992 Jun 10 1995 ./dev/MAKEDEV.local -r-xr-xr-x 1 root wheel 24419 Jun 10 1995 ./dev/MAKEDEV</screen> - + <para>N'oubliez pas d'exécuter <command>MAKEDEV all</command> dans le répertoire <filename>dev</filename>.</para> <para>Voici enfin mon <filename>/etc/rc</filename> pour <hostid>altair</hostid> :</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/euro/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/euro/article.sgml index ec1676dad8..eec39e07f1 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/euro/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/euro/article.sgml @@ -40,14 +40,14 @@ </copyright> <pubdate>$FreeBSD$</pubdate> - + <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> <legalnotice id="trademarks" role="trademarks"> &tm-attrib.freebsd; &tm-attrib.general; </legalnotice> - + <abstract> <para>Ce document essaiera de vous aider à démarrer avec le symbole <keycap>Euro</keycap> présent sur le nouveau clavier @@ -56,7 +56,7 @@ parties les plus importantes comme être capable d'afficher correctement le symbole sur la console. Les sections suivantes traiterons de la configuration de - programmes particuliers comme <application>X11</application>. + programmes particuliers comme <application>X11</application>. </para> <para>De nombreuses remarques utiles sont venues d'Oliver Fromme, @@ -73,15 +73,15 @@ <para>Si vous vous sentez déjà à l'aise avec la <ulink url="../../books/handbook/l10n.html">localisation</ulink> comme elle est décrite dans le manuel - <systemitem class="osname">FreeBSD</systemitem> + <systemitem class="osname">FreeBSD</systemitem> vous pourriez être uniquement intéressé que par les faits suivants qui vous permettront de démarrer rapidement: - </para> + </para> <variablelist> <varlistentry> <term>ISO8859-15</term> - + <listitem> <para>C'est une légère modification du jeu de caractères ISO8859-1 habituellement utilisé. Il inclut le symbole Euro. @@ -140,10 +140,10 @@ <sect1> <title>Remarque générale</title> - + <para>Dans les sections suivantes nous ferons souvent référence à <emphasis>ISO8859-15</emphasis>. C'est la notation standard - introduite avec <systemitem class="osname">FreeBSD</systemitem> 4.5. + introduite avec <systemitem class="osname">FreeBSD</systemitem> 4.5. Dans les anciennes versions, la notation standard était soit <emphasis>ISO_8859-15</emphasis> soit <emphasis>DIS_8859-15</emphasis>. </para> @@ -156,7 +156,7 @@ <sect1> <title>La console</title> - + <sect2> <title>Configurer la police de caractères de la console</title> @@ -164,8 +164,8 @@ vous aurez besoin d'une des lignes suivantes dans <filename>rc.conf</filename>:</para> - <programlisting>font8x16="iso15-8x16.fnt" # from /usr/share/syscons/fonts/* -font8x14="iso15-8x14.fnt" + <programlisting>font8x16="iso15-8x16.fnt" # from /usr/share/syscons/fonts/* +font8x14="iso15-8x14.fnt" font8x8="iso15-8x8.fnt"</programlisting> <para>Cela sélectionnera la police de caractère ISO8859-15 aussi @@ -245,7 +245,7 @@ BEGIN { <para>Pour vérifier le clavier, basculer sur une nouvelle console et à l'invite de session, <emphasis>au lieu de s'attacher</emphasis>, essayez de taper sur la touche <keycap>Euro</keycap>. Si cela ne - fonctionne pas, remplissez un rapport de bogue via &man.send-pr.1; ou + fonctionne pas, remplissez un rapport de bogue via &man.send-pr.1; ou vérifiez que vous avez choisi effectivement la bonne table de clavier.</para> <note> @@ -254,7 +254,7 @@ BEGIN { <application>tcsh</application>.</para> </note> </sect2> - + <sect2> <title>Corriger les variables d'environnement</title> @@ -309,7 +309,7 @@ BEGIN { étapes s'appliquent à <application>kmail</application> et autres applications.</para> - <para>Une autre bonne idée est de modifier votre fichier + <para>Une autre bonne idée est de modifier votre fichier <filename>fonts.alias</filename>. En particulier la police de caractères <literal>fixed</literal> devra être changée pour le bon jeu de caractère : le fichier @@ -326,7 +326,7 @@ variable -*-helvetica-bold-r-normal-*-*-120-*-*-*-*-iso8859-15 ISO8859-1 configurées dans leur base de données &man.xrdb.1; respectives. Un exemple notable est <application>xterm</application>. En général il suffit juste de modifier le fichier de - configuration correspondant dans + configuration correspondant dans <filename>/usr/X11R6/lib/X11/app-defaults</filename> et ajouter la police de caractères correcte. Faisons la démonstration avec <application>xterm</application>.</para> @@ -337,9 +337,9 @@ variable -*-helvetica-bold-r-normal-*-*-120-*-*-*-*-iso8859-15 <para>Ajoutez la ligne suivante au début du fichier :</para> <programlisting>*font: -misc-fixed-medium-r-normal-*-*-120-*-*-c-*-iso8859-15</programlisting> - + <para>Finalement, redémarrer X et vérifier que les polices de - caractères peuvent être affichées en exécutant la + caractères peuvent être affichées en exécutant la <link linkend="awk-test">procédure awk</link> précédente. Les principales applications devraient respecter la table de clavier et la configuration des polices de caractères.</para> @@ -347,9 +347,9 @@ variable -*-helvetica-bold-r-normal-*-*-120-*-*-*-*-iso8859-15 <sect1> <title>Problèmes en suspens</title> - - <para>Bien évidemment l'auteur souhaiterait avoir un retour. Et aussi, tout au moins, - contactez-moi si vous avez des éléments pour l'un de ces problèmes en + + <para>Bien évidemment l'auteur souhaiterait avoir un retour. Et aussi, tout au moins, + contactez-moi si vous avez des éléments pour l'un de ces problèmes en suspens:</para> <itemizedlist> @@ -357,7 +357,7 @@ variable -*-helvetica-bold-r-normal-*-*-120-*-*-*-*-iso8859-15 <para>Décrire une autre façon de configurer <application>XFree86</application>: <filename role="package">x11/xkeycaps</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para>Configuration sous <application>GNOME</application></para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/filtering-bridges/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/filtering-bridges/article.sgml index c6801ef8d9..bd9ef5ceed 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/filtering-bridges/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/filtering-bridges/article.sgml @@ -41,18 +41,18 @@ <abstract> <para>Souvent il est utile de diviser un réseau physique (comme un - réseau Ethernet) en deux segments séparés sans - avoir à créer des sous-réseaux, et utiliser de routeur - pour les relier ensemble. Le dispositif qui connecte les deux + réseau Ethernet) en deux segments séparés sans + avoir à créer des sous-réseaux, et utiliser de routeur + pour les relier ensemble. Le dispositif qui connecte les deux réseaux de cette manière est - appelé un pont. Un système FreeBSD avec deux cartes + appelé un pont. Un système FreeBSD avec deux cartes réseau est suffisant pour jouer le rôle d'un pont.</para> <para>Un pont fonctionne en scannant les adresses au niveau <acronym>MAC</acronym> (adresses Ethernet) des cartes connectées - à chacune de ses interfaces réseau et puis - transfère le trafic entre les deux réseaux si la - source et la destination sont situées sur un segment + à chacune de ses interfaces réseau et puis + transfère le trafic entre les deux réseaux si la + source et la destination sont situées sur un segment différent. Sous beaucoup de points de vue un pont est similaire à un commutateur (switch) Ethernet avec uniquement deux ports.</para> @@ -64,24 +64,24 @@ <sect1 id="filtering-bridges-why"> <title>Pourquoi utiliser un pont filtrant?</title> - <para>De plus en plus fréquemment, grâce à la - baisse des coûts des connexions Internet haut débit - (xDSL) et aussi en raison de la réduction des adresses + <para>De plus en plus fréquemment, grâce à la + baisse des coûts des connexions Internet haut débit + (xDSL) et aussi en raison de la réduction des adresses IPv4 disponibles, beaucoup de compagnies - sont connectées à l'Internet 24 heures sur 24 et - avec peu (parfois même pas une puissance de 2) d'adresses IP. - Dans ces situations il est souvent désirable d'avoir un + sont connectées à l'Internet 24 heures sur 24 et + avec peu (parfois même pas une puissance de 2) d'adresses IP. + Dans ces situations il est souvent désirable d'avoir un coupe-feu qui filtre le trafic entrant et sortant depuis et vers l'Internet, mais la solution - d'un filtrage de paquet basé sur un routeur peut ne pas - être applicable, soit en raison de problèmes de - sous-réseau, le routeur appartient au fournisseur + d'un filtrage de paquet basé sur un routeur peut ne pas + être applicable, soit en raison de problèmes de + sous-réseau, le routeur appartient au fournisseur d'accès (<acronym>ISP</acronym>), ou parce qu'il ne supporte pas une telle fonction. Dans ces scénarios l'utilisation d'un pont filtrant est fortement conseillée.</para> - <para>Un coupe-feu basé sur un pont peut être + <para>Un coupe-feu basé sur un pont peut être configuré et inséré entre le routeur xDSL et votre concentrateur/commutateur Ethernet sans aucun problème d'adresse d'IP.</para> @@ -90,10 +90,10 @@ <sect1 id="filtering-bridges-how"> <title>Comment l'installer</title> - <para>Ajouter les fonctions de pont à un système - FreeBSD n'est pas difficile. Depuis la 4.5-RELEASE il est possible - de charger de telles fonctionnalités sous forme de module - au lieu d'avoir à recompiler le noyau, simplifiant + <para>Ajouter les fonctions de pont à un système + FreeBSD n'est pas difficile. Depuis la 4.5-RELEASE il est possible + de charger de telles fonctionnalités sous forme de module + au lieu d'avoir à recompiler le noyau, simplifiant énormément la procédure. Dans les sous-sections suivantes j'expliquerai les deux méthodes d'installation.</para> @@ -114,16 +114,16 @@ l'Intel ðerexpress; Pro, suivie de la série 3c9xx de chez &tm.3com;. Pour simplifier la configuration il peut être utile d'avoir deux cartes de différents constructeurs (utilisant un pilote de - périphérique différent) afin de distinguer - clairement quelle interface est connectée au routeur et + périphérique différent) afin de distinguer + clairement quelle interface est connectée au routeur et quelle autre est connectée au réseau.</para> <sect2 id="filtering-bridges-kernel"> <title>Configuration du noyau</title> - <para>Donc vous avez décidé d'utiliser la bonne - vieille méthode d'installation. Pour commencer, vous - devez ajouter les lignes suivantes à votre fichier de + <para>Donc vous avez décidé d'utiliser la bonne + vieille méthode d'installation. Pour commencer, vous + devez ajouter les lignes suivantes à votre fichier de configuration du noyau:</para> <programlisting>options BRIDGE @@ -135,8 +135,8 @@ options IPFIREWALL_VERBOSE</programlisting> traces du coupe-feu.</para> <para>Maintenant il est nécessaire de compiler et d'installer le - nouveau noyau. Vous pourrez trouver des instructions - détaillées dans la section <ulink + nouveau noyau. Vous pourrez trouver des instructions + détaillées dans la section <ulink url="../../books/handbook/kernelconfig-building.html">Compiler et installer un noyau sur mesures</ulink> du Manuel de FreeBSD.</para> @@ -145,19 +145,19 @@ options IPFIREWALL_VERBOSE</programlisting> <sect2 id="filtering-bridges-modules"> <title>Le chargement de modules</title> - <para>Si vous avez choisi d'employer cette méthode nouvelle et + <para>Si vous avez choisi d'employer cette méthode nouvelle et plus simple; la seule chose à faire maintenant est d'ajouter la - ligne suivante au fichier + ligne suivante au fichier <filename>/boot/loader.conf</filename>:</para> <programlisting>bridge_load="YES"</programlisting> - <para>De cette façon, durant le démarrage du - système le module <filename>bridge.ko</filename> sera - chargé avec le noyau. Il n'est pas nécessaire - de rajouter une ligne pour le module - <filename>ipfw.ko</filename>, étant donné qu'il - sera chargé automatiquement après + <para>De cette façon, durant le démarrage du + système le module <filename>bridge.ko</filename> sera + chargé avec le noyau. Il n'est pas nécessaire + de rajouter une ligne pour le module + <filename>ipfw.ko</filename>, étant donné qu'il + sera chargé automatiquement après l'exécution des étapes présentées dans la section suivante.</para> </sect2> @@ -167,15 +167,15 @@ options IPFIREWALL_VERBOSE</programlisting> <title>Dernière préparation</title> <para>Avant de redémarrer afin de charger le nouveau noyau ou les - modules nécessaires (selon la méthode d'installation - précédemment retenue), vous devez faire quelques + modules nécessaires (selon la méthode d'installation + précédemment retenue), vous devez faire quelques modifications dans le fichier de configuration <filename>/etc/rc.conf</filename>. La règle de défaut du coupe-feu est de rejeter tous les paquets IP. Au départ nous configurerons un coupe-feu “ouvert”, afin - de vérifier son fonctionnement sans problème relatif au - filtrage de paquet (dans le cas où vous faite cela à - distance, une telle configuration vous évitera de rester + de vérifier son fonctionnement sans problème relatif au + filtrage de paquet (dans le cas où vous faite cela à + distance, une telle configuration vous évitera de rester isolé du réseau). Ajoutez les lignes suivantes dans <filename>/etc/rc.conf</filename>:</para> @@ -190,33 +190,33 @@ firewall_logging="YES"</programlisting> “ouvert” (comme expliqué dans <filename>/etc/rc.firewall</filename>), la troisième ligne rendra le chargement des règles silencieux (sans affichage) et la - quatrième activera le support de trace d'activité + quatrième activera le support de trace d'activité du coupe-feu.</para> - <para>Au sujet de la configuration des interfaces réseau, la - méthode la plus utilisée est d'assigner une adresse - IP à une seule des cartes réseau, mais le pont + <para>Au sujet de la configuration des interfaces réseau, la + méthode la plus utilisée est d'assigner une adresse + IP à une seule des cartes réseau, mais le pont fonctionnera à l'identique si les deux interfaces ou aucune n'ont d'adresse IP configurée. Dans le dernier cas (sans adresse IP) la machine faisant office de pont - sera toujours cachée et inaccessible depuis le réseau: - pour la configurer, vous devez vous attacher depuis la console ou - à travers une troisième interface réseau + sera toujours cachée et inaccessible depuis le réseau: + pour la configurer, vous devez vous attacher depuis la console ou + à travers une troisième interface réseau séparée du pont. Parfois, durant - le démarrage du système, certains programmes ont - besoin d'accéder au réseau, par exemple pour la + le démarrage du système, certains programmes ont + besoin d'accéder au réseau, par exemple pour la résolution de noms: dans ce cas il - est nécessaire d'assigner une adresse IP à - l'interface externe (celle connectée à l'Internet + est nécessaire d'assigner une adresse IP à + l'interface externe (celle connectée à l'Internet où le serveur <acronym>DNS</acronym> - réside), puisque le pont sera activé à la - fin de la procédure de démarrage. Cela signifie que - l'interface <devicename>fxp0</devicename> (dans notre cas) doit - être mentionnée dans la section concernant ifconfig + réside), puisque le pont sera activé à la + fin de la procédure de démarrage. Cela signifie que + l'interface <devicename>fxp0</devicename> (dans notre cas) doit + être mentionnée dans la section concernant ifconfig du fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>, mais pas <devicename>xl0</devicename>. Assigner une adresse IP aux deux - cartes réseau n'a pas beaucoup de sens, à moins que, - durant la procédure de démarrage, des applications + cartes réseau n'a pas beaucoup de sens, à moins que, + durant la procédure de démarrage, des applications devront accéder à des services sur les deux segments Ethernet.</para> @@ -225,14 +225,14 @@ firewall_logging="YES"</programlisting> utilisés: l'un est l'IP, l'autre est l'<acronym>ARP</acronym>. <acronym>ARP</acronym> effectue la conversion de l'adresse IP d'un hôte en son adresse Ethernet (couche <acronym>MAC</acronym>). - Afin d'autoriser la communication entre deux hôtes + Afin d'autoriser la communication entre deux hôtes séparés par le pont, il est nécessaire que le pont transmette les paquets <acronym>ARP</acronym>. Un tel protocole n'est pas inclus dans la couche IP, puisque qu'il n'apparaît qu'avec l'utilisation de l'IP sur Ethernet. Le coupe-feu de FreeBSD filtre exclusivement la couche IP et donc tous les paquets non-IP (<acronym>ARP</acronym> - compris) seront transmis sans être filtrés, même + compris) seront transmis sans être filtrés, même si le coupe-feu est configuré pour ne rien laisser passer.</para> <para>Il est maintenant temps de redémarrer le système et de @@ -257,8 +257,8 @@ firewall_logging="YES"</programlisting> &prompt.root; <userinput>sysctl net.link.ether.bridge.ipfw=1</userinput> &prompt.root; <userinput>sysctl net.link.ether.bridge.enable=1</userinput></screen> - <para>La première ligne spécifie quelles interfaces - devront être activées par le pont, la seconde + <para>La première ligne spécifie quelles interfaces + devront être activées par le pont, la seconde activera le coupe-feu sur le pont et enfin la troisième activera le pont.</para> @@ -269,9 +269,9 @@ firewall_logging="YES"</programlisting> détails.</para> </note> - <para>A ce moment là, vous devriez être en mesure - d'insérer la machine entre deux ensembles d'hôtes - sans compromettre de capacités de communication entre eux. + <para>A ce moment là, vous devriez être en mesure + d'insérer la machine entre deux ensembles d'hôtes + sans compromettre de capacités de communication entre eux. Ensuite, l'étape suivante est d'ajouter les parties <literal>net.link.ether.bridge.<replaceable>[bla]</replaceable>=<replaceable>[bla]</replaceable></literal> de ces lignes dans le fichier @@ -282,56 +282,56 @@ firewall_logging="YES"</programlisting> <sect1 id="filtering-bridges-ipfirewall"> <title>Configurer le coupe-feu</title> - <para>Il est maintenant temps de créer votre propre fichier de - règle personnalisé pour le coupe-feu, afin de + <para>Il est maintenant temps de créer votre propre fichier de + règle personnalisé pour le coupe-feu, afin de sécuriser le réseau interne. Il y aura quelques complications à faire cela parce que toutes les fonctionnalités du coupe-feu ne sont pas disponibles sur un pont. En outre, il y a une différence entre les paquets qui sont en cours de transmission et les paquets qui sont reçus par la - machine locale. En général, les paquets entrants - traversent le coupe-feu une seule fois, et pas deux comme c'est - normalement le cas; en fait ils sont filtrés à la + machine locale. En général, les paquets entrants + traversent le coupe-feu une seule fois, et pas deux comme c'est + normalement le cas; en fait ils sont filtrés à la réception, aussi les règles qui utilisent “out” ou “xmit” n'agiront jamais. Personnellement, j'utilise “in via” qui est une ancienne syntaxe, mais qui a un sens quand vous la lisez. Une - autre limitation est que vous êtes réduit à - l'utilisation seulement des commandes “pass” ou - “drop” pour les paquets filtrés par un pont. - Les choses sophistiquées comme “divert”, - “forward” ou “reject” ne sont pas - disponibles. De telles options peuvent toujours être + autre limitation est que vous êtes réduit à + l'utilisation seulement des commandes “pass” ou + “drop” pour les paquets filtrés par un pont. + Les choses sophistiquées comme “divert”, + “forward” ou “reject” ne sont pas + disponibles. De telles options peuvent toujours être utilisées, mais uniquement sur le trafic à - destination ou depuis le pont lui-même (s'il possède + destination ou depuis le pont lui-même (s'il possède une adresse IP).</para> <para>Une nouveauté de FreeBSD 4.0, est le concept de filtrage avec - gestion des états (stateful). C'est une grande - amélioration pour le trafic <acronym>UDP</acronym>, qui - typiquement est une requête de sortie, suivie peu de temps - après par une réponse avec le même ensemble + gestion des états (stateful). C'est une grande + amélioration pour le trafic <acronym>UDP</acronym>, qui + typiquement est une requête de sortie, suivie peu de temps + après par une réponse avec le même ensemble d'adresses IP et de numéro de ports (mais avec - une source et une destination réservée, bien sûr). - Pour les coupe-feux qui n'ont pas de gestion des états, - il n'y a presque pas de possibilité de gérer ce type - de trafic en une seule session. Mais avec un coupe-feu qui peut se - “souvenir” d'un paquet <acronym>UDP</acronym> sortant et - qui, pour quelques minutes, autorise une réponse, la gestion - des services <acronym>UDP</acronym> est triviale. L'exemple suivant - montre comment le faire. Il est possible de faire la même - chose avec les paquets <acronym>TCP</acronym>. Cela vous permet - d'éviter certaines attaques par refus de service et autres - désagréables problèmes, mais augmente - également rapidement la taille de votre + une source et une destination réservée, bien sûr). + Pour les coupe-feux qui n'ont pas de gestion des états, + il n'y a presque pas de possibilité de gérer ce type + de trafic en une seule session. Mais avec un coupe-feu qui peut se + “souvenir” d'un paquet <acronym>UDP</acronym> sortant et + qui, pour quelques minutes, autorise une réponse, la gestion + des services <acronym>UDP</acronym> est triviale. L'exemple suivant + montre comment le faire. Il est possible de faire la même + chose avec les paquets <acronym>TCP</acronym>. Cela vous permet + d'éviter certaines attaques par refus de service et autres + désagréables problèmes, mais augmente + également rapidement la taille de votre table des états.</para> <para>Regardons un exemple de configuration. Notez tout d'abord - qu'au début du fichier <filename>/etc/rc.firewall</filename> - il y a déjà des règles standards pour + qu'au début du fichier <filename>/etc/rc.firewall</filename> + il y a déjà des règles standards pour l'interface de boucle locale <devicename>lo0</devicename>, aussi nous ne devrions pas y faire - attention. Les règles personnalisées devraient + attention. Les règles personnalisées devraient être placées dans un fichier séparé (disons <filename>/etc/rc.firewall.local</filename>) et chargées au démarrage du système, en modifiant la ligne de @@ -342,17 +342,17 @@ firewall_logging="YES"</programlisting> <important> <para>Vous devez préciser le chemin <emphasis>complet</emphasis>, - sinon il ne sera pas chargé avec le risque de rester + sinon il ne sera pas chargé avec le risque de rester isolé du réseau.</para> </important> <para>Pour notre exemple imaginez que nous avons l'interface <devicename>fxp0</devicename> connectée vers l'extérieur (Internet) et l'interface <devicename>xl0</devicename> vers - l'intérieur (<acronym>LAN</acronym>). Le pont possède - une adresse IP <hostid role="ipaddr">1.2.3.4</hostid> (il n'est pas - possible que votre fournisseur d'accès puisse vous donner une - adresse de classe A comme celle-ci, mais pour cet exemple cela + l'intérieur (<acronym>LAN</acronym>). Le pont possède + une adresse IP <hostid role="ipaddr">1.2.3.4</hostid> (il n'est pas + possible que votre fournisseur d'accès puisse vous donner une + adresse de classe A comme celle-ci, mais pour cet exemple cela ira).</para> <programlisting># Les choses dont nous avons gardé l'état avant de @@ -394,7 +394,7 @@ add pass udp from any to ns 53 in via fxp0 keep-state # Laisser passer la zone de "quarantaine" add pass udp from any to any 49152-65535 in via fxp0 keep-state -# Section ICMP +# Section ICMP # Laisser passer 'ping' add pass icmp from any to any icmptypes 8 keep-state # Laisser passer les messages d'erreurs générés par 'traceroute' @@ -404,19 +404,19 @@ add pass icmp from any to any icmptypes 11 # Tout le reste est suspect add drop log all from any to any</programlisting> - <para>Ceux qui parmi vous ont déjà installé - des coupe-feux auparavant pourront noter l'absence de certaines - choses. En particulier, il n'y a pas de règles contre le - forgeage d'adresses, en fait nous n'avons <emphasis>pas</emphasis> + <para>Ceux qui parmi vous ont déjà installé + des coupe-feux auparavant pourront noter l'absence de certaines + choses. En particulier, il n'y a pas de règles contre le + forgeage d'adresses, en fait nous n'avons <emphasis>pas</emphasis> ajouté:</para> <programlisting>add deny all from 1.2.3.4/8 to any in via fxp0</programlisting> <para>Cela, bloque les paquets provenant de l'extérieur et clamant - être en provenance de votre réseau. C'est quelque chose - que vous devriez habituellement faire pour être sûr que - personne n'essaie de passer outre votre filtre de paquet, en - générant d'infames paquets qui sont comme s'il venaient + être en provenance de votre réseau. C'est quelque chose + que vous devriez habituellement faire pour être sûr que + personne n'essaie de passer outre votre filtre de paquet, en + générant d'infames paquets qui sont comme s'il venaient de l'intérieur. Le problème avec cela est qu'il y a <emphasis>au moins</emphasis> un hôte de l'extérieur que vous ne voulez pas ignorer: le routeur. Mais @@ -424,30 +424,30 @@ add drop log all from any to any</programlisting> leur routeur, aussi nous ne devons pas nous en préoccuper plus que cela.</para> - <para>La dernière règle semble être une copie - conforme de la règle par défaut, qui ne laisse passer - rien de ce qui n'est pas spécifiquement autorisé. Mais + <para>La dernière règle semble être une copie + conforme de la règle par défaut, qui ne laisse passer + rien de ce qui n'est pas spécifiquement autorisé. Mais il y a une différence: tout le trafic suspect sera tracé.</para> <para>Il y a deux règles pour faire passer le trafic <acronym>SMTP</acronym> et <acronym>DNS</acronym> vers le serveur de courrier et le serveur de noms, si vous en avez. Evidemment - l'ensemble du jeu de règle devra être arrangé + l'ensemble du jeu de règle devra être arrangé selon vos goûts personnels, c'est juste un exemple particulier (le format des - règles est décrit précisément dans la + règles est décrit précisément dans la page de manuel &man.ipfw.8;). Notez qu'afin que “relay” et “ns” puissent fonctionner, les services de résolution - de nom doivent fonctionner <emphasis>avant</emphasis> que le pont - soit activé. C'est un exemple pour être sûr que - vous avez configuré l'adresse IP sur la bonne carte + de nom doivent fonctionner <emphasis>avant</emphasis> que le pont + soit activé. C'est un exemple pour être sûr que + vous avez configuré l'adresse IP sur la bonne carte réseau. Alternativement il est possible de spécifier l'adresse IP au lieu du nom (nécessaire si la machine est sans adresse IP).</para> <para>Les personnes qui ont l'habitude de configurer des coupe-feux - ont probablement également utilisé soit une règle + ont probablement également utilisé soit une règle “reset” soit une règle “forward” pour les paquets ident (<acronym>TCP</acronym> port 113). Malheureusement, ce n'est pas une option applicable avec un pont, aussi la @@ -459,18 +459,18 @@ add drop log all from any to any</programlisting> l'<acronym>IRC</acronym> (la sonde d'ident doit s'arrêter).</para> <para>La seule autre chose qui est un peu étrange que vous avez - peut-être noté est qu'il y a une règle pour - laisser le pont communiquer, et une autre pour les hôtes - internes. Rappelez-vous que c'est parce que les deux ensembles de - trafic prendront un chemin différent à travers le noyau - et dans le filtre de paquet. Le réseau interne ira à + peut-être noté est qu'il y a une règle pour + laisser le pont communiquer, et une autre pour les hôtes + internes. Rappelez-vous que c'est parce que les deux ensembles de + trafic prendront un chemin différent à travers le noyau + et dans le filtre de paquet. Le réseau interne ira à travers le pont, alors que la machine locale utilisera la pile IP normale pour communiquer. Ainsi les - deux règles s'occupent de cas différents. La - règle “in via <devicename>fxp0</devicename>” - fonctionne pour les deux chemins. En général, si - vous employez des règles “in via” dans tout le - filtre, vous devrez faire une exception pour les paquets + deux règles s'occupent de cas différents. La + règle “in via <devicename>fxp0</devicename>” + fonctionne pour les deux chemins. En général, si + vous employez des règles “in via” dans tout le + filtre, vous devrez faire une exception pour les paquets générés localement, parce qu'ils ne sont pas passés par une de nos interfaces.</para> </sect1> @@ -478,19 +478,19 @@ add drop log all from any to any</programlisting> <sect1 id="filtering-bridges-contributors"> <title>Participants</title> - <para>Plusieurs parties de cet article proviennent, et furent mises - à jour et adaptées d'un vieux texte sur les ponts, - écrit par Nick Sayer. Cet article est également + <para>Plusieurs parties de cet article proviennent, et furent mises + à jour et adaptées d'un vieux texte sur les ponts, + écrit par Nick Sayer. Cet article est également inspiré d'une introduction sur les ponts de Steve Peterson.</para> - <para>Un grand merci à Luigi Rizzo pour l'implémentation - du code de pont dans FreeBSD et pour le temps qu'il a passé - à répondre à toutes + <para>Un grand merci à Luigi Rizzo pour l'implémentation + du code de pont dans FreeBSD et pour le temps qu'il a passé + à répondre à toutes mes questions à ce sujet.</para> - <para>Un remerciement également à Tom Rhodes qui a - supervisé mon travail de traduction de l'Italien (langue + <para>Un remerciement également à Tom Rhodes qui a + supervisé mon travail de traduction de l'Italien (langue d'origine de cet article) à l'Anglais.</para> </sect1> </article> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/fonts/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/fonts/article.sgml index 8d6dbaab3e..57eb228ea6 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/fonts/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/fonts/article.sgml @@ -12,7 +12,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -31,7 +31,7 @@ qui peuvent être utilisés avec FreeBSD et le pilote syscons, X11, GhostScript et Groff. Des exemples immédiatement applicables sont donnés pour passer l'affichage à la console en mode 80x60 et pour se servir des - polices “Type 1” avec les programmes d'application + polices “Type 1” avec les programmes d'application précités.</para> &trans.a.haby; @@ -59,23 +59,23 @@ <varlistentry> <term><filename>.pfa</filename>, <filename>.pfb</filename></term> <listitem> - <para>Polices PostScript “Type 1”. + <para>Polices PostScript “Type 1”. <filename>.pfa</filename> est le format <emphasis>A</emphasis>scii - et <filename>.pfb</filename> le format + et <filename>.pfb</filename> le format <emphasis>B</emphasis>inaire.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term><filename>.afm</filename></term> <listitem> - <para>Le fichier de dimensions d'une police + <para>Le fichier de dimensions d'une police “Type 1”.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term><filename>.pfm</filename></term> <listitem> - <para>Le fichier de dimensions pour l'impression d'une police + <para>Le fichier de dimensions pour l'impression d'une police “Type 1”.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -88,21 +88,21 @@ <varlistentry> <term><filename>.fot</filename></term> <listitem> - <para>Référence indirecte à une police “True Type” (ce + <para>Référence indirecte à une police “True Type” (ce n'est pas la police elle-même).</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term><filename>.fon</filename>, <filename>.fnt</filename></term> <listitem> - <para>Police de caractères “bitmap” pour affichage à + <para>Police de caractères “bitmap” pour affichage à l'écran.</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist> - <para>Les fichiers <filename>.fot</filename> sont employés par Windows un - peu de la même façon que des liens symboliques vers le fichiers de police - “True Type” (<filename>.ttf</filename>). Les fichiers + <para>Les fichiers <filename>.fot</filename> sont employés par Windows un + peu de la même façon que des liens symboliques vers le fichiers de police + “True Type” (<filename>.ttf</filename>). Les fichiers <filename>.fon</filename> sont aussi utilisés par Windows. Je ne connais pas de moyen de se servir de ces fichiers avec FreeBSD.</para> </sect1> @@ -170,21 +170,21 @@ </tbody> </tgroup> </informaltable> - <para>Le suffixe <filename>.fnt</filename> est assez fréquemment utilisé. - Je soupçonne que lorsque quelqu'un veut créer un fichier de police de + <para>Le suffixe <filename>.fnt</filename> est assez fréquemment utilisé. + Je soupçonne que lorsque quelqu'un veut créer un fichier de police de caractères spécialisé pour son application, il choisit la plupart du temps ce suffixe. Il y a donc des chances pour que des fichiers avec ce suffixe n'aient pas tous le même format; en particulier, les fichiers - <filename>.fnt</filename> utilisés par le pilote syscons de FreeBSD - n'auront peut-être pas le même format qu'un fichier - <filename>.fnt</filename> utilisé dans l'environnement DOS/Windows. Je + <filename>.fnt</filename> utilisés par le pilote syscons de FreeBSD + n'auront peut-être pas le même format qu'un fichier + <filename>.fnt</filename> utilisé dans l'environnement DOS/Windows. Je n'ai jamais essayé d'utiliser d'autres fichiers <filename>.fnt</filename> que ceux fournis avec FreeBSD.</para> </sect1> <sect1> <title>Configurer une console virtuelle en mode 80x60 lignes</title> <para>Il faut d'abord charger une police de caractères 8x8. Le fichier - <filename>/etc/sysconfig</filename><footnote><para>N.d.T.: + <filename>/etc/sysconfig</filename><footnote><para>N.d.T.: <filename>/etc/rc.conf</filename> dans les versions récentes de FreeBSD.</para></footnote> doit donc contenir les lignes:</para> <programlisting> @@ -195,28 +195,28 @@ font8x8=/usr/share/syscons/fonts/cp437-8x8.fnt <citerefentry><refentrytitle>vidcontrol</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry>:</para> <informalexample> -<screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>vidcontrol VGA_80x60</userinput></screen> +<screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>vidcontrol VGA_80x60</userinput></screen> </informalexample> <para>Différents programmes en mode plein-écran, tel <citerefentry><refentrytitle>vi</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry>, - doivent pouvoir déterminer la taille actuelle de l'écran. Elle peut être - configurée avec + doivent pouvoir déterminer la taille actuelle de l'écran. Elle peut être + configurée avec <citerefentry><refentrytitle>stty</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry>:</para> <informalexample> -<screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>stty crt rows 60 columns 80</userinput></screen> +<screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>stty crt rows 60 columns 80</userinput></screen> </informalexample> - <para>Pour rendre cela moins fastidieux, ces commandes peuvent être + <para>Pour rendre cela moins fastidieux, ces commandes peuvent être introduites dans une procédure exécutée au démarrage du système. Voici une façon de le faire:</para> <orderedlist> <listitem> - <para>Modifiez <filename>/etc/sysconfig</filename> comme expliqué plus + <para>Modifiez <filename>/etc/sysconfig</filename> comme expliqué plus haut,</para> </listitem> <listitem> - <para>Ajoutez les lignes suivantes à + <para>Ajoutez les lignes suivantes à <filename>/etc/rc.local</filename>:</para> <programlisting> for tty in /dev/ttyv? @@ -226,7 +226,7 @@ done </programlisting> </listitem> <listitem> - <para>Ajoutez les lignes suivantes à + <para>Ajoutez les lignes suivantes à <filename>/etc/profile</filename>:</para> <programlisting> TTYNAME=`basename \`tty\`` @@ -246,19 +246,19 @@ fi <sect1> <title>X11 et les polices “Type 1”</title> <para>X11 peut employer les formats de police de caractères - <filename>.pfa</filename> et <filename>.pfb</filename>. Il y a une + <filename>.pfa</filename> et <filename>.pfb</filename>. Il y a une référence croisée de chaque fichier sur son nom X11 par l'intermédiaire du fichier <filename>fonts.dir</filename> de chaque répertoire.</para> <para>Il y a déjà un répertoire appelé <filename>Type1</filename>. La façon la plus immédiate d'ajouter une police de caractères est de la mettre dans ce répertoire. Une meilleure manière de procéder est de mettre toutes les - nouvelle polices dans un répertoire distinct et d'utiliser un lien - symbolique sur ces nouvelles polices. Il est alors plus facile de + nouvelle polices dans un répertoire distinct et d'utiliser un lien + symbolique sur ces nouvelles polices. Il est alors plus facile de distinguer ses propres polices de celles qui sont fournies d'origine. Par exemple:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para><emphasis>Créer un repertoire pour les fichiers de police de + <para><emphasis>Créer un repertoire pour les fichiers de police de caractères.</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>mkdir -p /usr/local/share/fonts/type1</userinput> @@ -266,7 +266,7 @@ fi </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Y mettre les fichiers <filename>.pfa</filename>, + <para><emphasis>Y mettre les fichiers <filename>.pfa</filename>, <filename>.pfb</filename> et <filename>.afm</filename>. On peut aussi vouloir y conserver les fichiers <filename>README</filename> et autres documentations concernant les polices de caractères.</emphasis></para> @@ -288,7 +288,7 @@ fi noms de polices. Les noms de police X11 se présentent comme suit:</para> <programlisting> -bitstream-charter-medium-r-normal-xxx-0-0-0-0-p-0-iso8859-1 - | | | | | | | | | | | | \ \ + | | | | | | | | | | | | \ \ | | | | | \ \ \ \ \ \ \ +----+- jeu de caractères | | | | \ \ \ \ \ \ \ +- largeur moyenne | | | | \ \ \ \ \ \ +- espacement @@ -299,12 +299,12 @@ fi | | | \ \ casse famille graisse inclinaison style supplémentaire </programlisting> - <para>Il faut créer un nouveau nom pour chaque nouvelle police. Si la - documentation qui l'accompagne vous donne quelques informations, elle - peut servir de base pour définir ce nom. Si vous n'avez aucune - information, vous pouvez utiliser la commande + <para>Il faut créer un nouveau nom pour chaque nouvelle police. Si la + documentation qui l'accompagne vous donne quelques informations, elle + peut servir de base pour définir ce nom. Si vous n'avez aucune + information, vous pouvez utiliser la commande <citerefentry><refentrytitle>strings</refentrytitle> - <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> sur le fichier de police. Par + <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> sur le fichier de police. Par exemple:</para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>strings showboat.pfb | more</userinput></screen> @@ -344,7 +344,7 @@ end readonly def <varlistentry> <term>Casse</term> <listitem> - <para>Appelons simplement toutes nos nouvelles polices + <para>Appelons simplement toutes nos nouvelles polices <literal>type1</literal>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -359,16 +359,16 @@ end readonly def <listitem> <para>Normal, gras, médium, semi-gras, etc. D'après les résultats de <citerefentry><refentrytitle>strings</refentrytitle> - <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> ci-dessus, la police a une + <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> ci-dessus, la police a une graisse <emphasis>médium</emphasis>.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term>Inclinaison</term> <listitem> - <para><emphasis>r</emphasis>oman, <emphasis>i</emphasis>talique ou - <emphasis>o</emphasis>blique. Comme - <emphasis>ItaliqueAngle</emphasis> vaut 0, nous utiliserons + <para><emphasis>r</emphasis>oman, <emphasis>i</emphasis>talique ou + <emphasis>o</emphasis>blique. Comme + <emphasis>ItaliqueAngle</emphasis> vaut 0, nous utiliserons <emphasis>roman</emphasis>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -383,29 +383,29 @@ end readonly def <varlistentry> <term>Style supplémentaire</term> <listitem> - <para>Habituellement non renseigné, mais nous nous en servons pour + <para>Habituellement non renseigné, mais nous nous en servons pour indiquer que la police contient des majuscules décoratives.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term>Espacement</term> <listitem> - <para>Proportionnel ou fixe. Comme <emphasis>isFixedPitch</emphasis> + <para>Proportionnel ou fixe. Comme <emphasis>isFixedPitch</emphasis> est faux, nous utilisons <emphasis>Proportionnel</emphasis>.</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist> - <para> Tous ces noms sont arbitraires, mais il faut essayer de rester - compatible avec les conventions existantes. Une police est connue d'une - application X11 sous un nom qui peut éventuellement comporter des - caractères de substitution, il faut donc choisir un nom significatif. On + <para> Tous ces noms sont arbitraires, mais il faut essayer de rester + compatible avec les conventions existantes. Une police est connue d'une + application X11 sous un nom qui peut éventuellement comporter des + caractères de substitution, il faut donc choisir un nom significatif. On peut commencer en utilisant simplement:</para> <programlisting> ...-normal-r-normal-...-p-... </programlisting> - <para>comme nom, puis se servir de + <para>comme nom, puis se servir de <citerefentry><refentrytitle>xfontsel</refentrytitle> - <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> pour visualiser la police et + <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> pour visualiser la police et affiner son nom en fonction de ce à quoi elle ressemble.</para> <para>Donc, pour compléter notre exemple:</para> <itemizedlist> @@ -417,8 +417,8 @@ end readonly def </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Editer <filename>fonts.scale</filename> et - <filename>fonts.dir</filename> pour y ajouter une ligne décrivant la + <para><emphasis>Editer <filename>fonts.scale</filename> et + <filename>fonts.dir</filename> pour y ajouter une ligne décrivant la nouvelle police et incrémenter le nombre de polices qui est défini en première ligne</emphasis></para> <informalexample> @@ -435,8 +435,8 @@ end readonly def </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis><filename>fonts.scale</filename> et - <filename>fonts.dir</filename> sont apparemment + <para><emphasis><filename>fonts.scale</filename> et + <filename>fonts.dir</filename> sont apparemment identiques</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>cp fonts.dir fonts.scale</userinput></screen> @@ -458,21 +458,21 @@ end readonly def <para>Références: <citerefentry><refentrytitle>xfontsel</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry>, <citerefentry><refentrytitle>xset</refentrytitle> - <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry>, <emphasis>The X Window System + <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry>, <emphasis>The X Window System in a Nutshell</emphasis>, <ulink url="http://www.ora.com">O'Reilly & Associates</ulink>.</para> </sect1> <sect1> <title>Utiliser les polices “Type 1” avec GhostScript</title> - <para>GhostScript référence les polices via son fichier - <filename>Fontmap</filename>. Il doit donc être modifié de la même façon - que le fichier X11 <filename>fonts.dir</filename>. GhostScript peut - utiliser des fichiers de police de caractères aux formats + <para>GhostScript référence les polices via son fichier + <filename>Fontmap</filename>. Il doit donc être modifié de la même façon + que le fichier X11 <filename>fonts.dir</filename>. GhostScript peut + utiliser des fichiers de police de caractères aux formats <filename>.pfa</filename> ou <filename>.pfb</filename>. Voici comment nous utiliserions la police de l'exemple précédent avec GhostScript:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para><emphasis>Mettre la police dans le répertoire des polices de + <para><emphasis>Mettre la police dans le répertoire des polices de GhostScript</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>cd /usr/local/share/ghostscript/fonts</userinput> @@ -480,7 +480,7 @@ end readonly def </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Editer le fichier <filename>Fontmap</filename> pour que + <para><emphasis>Editer le fichier <filename>Fontmap</filename> pour que GhostScript ait connaissance de la nouvelle police</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>cd /usr/local/share/ghostscript/4.01</userinput> @@ -491,7 +491,7 @@ end readonly def </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Utiliser GhostScript pour visualiser la + <para><emphasis>Utiliser GhostScript pour visualiser la police</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>gs prfont.ps</userinput></screen> @@ -519,24 +519,24 @@ Loading Showboat font from /usr/local/share/ghostscript/fonts/showboat.pfb... </informalexample> </listitem> </itemizedlist> - <para>Références: <filename>fonts.txt</filename> de la distribution de + <para>Références: <filename>fonts.txt</filename> de la distribution de GhostScript 4.01.</para> </sect1> <sect1> <title>Utiliser les polices “Type 1” avec Groff</title> - <para>Maintenant que nous pouvons utiliser la nouvelle police avec X11 et - GhostScript, comment faire pour s'en servir aussi avec groff? Tout - d'abord, comme nous nous occupons de polices PostScript - “Type 1”, le périphérique groff à utiliser est - <devicename>ps</devicename>. Il faut créer un fichier de police pour + <para>Maintenant que nous pouvons utiliser la nouvelle police avec X11 et + GhostScript, comment faire pour s'en servir aussi avec groff? Tout + d'abord, comme nous nous occupons de polices PostScript + “Type 1”, le périphérique groff à utiliser est + <devicename>ps</devicename>. Il faut créer un fichier de police pour chaque police utilisée par groff. Le nom d'une police groff se résume à un - fichier dans le répertoire - <filename>/usr/share/groff_font/devps</filename>. Dans notre exemple, ce - pourrait être <filename>/usr/share/groff_font/devps/SHOWBOAT</filename>. + fichier dans le répertoire + <filename>/usr/share/groff_font/devps</filename>. Dans notre exemple, ce + pourrait être <filename>/usr/share/groff_font/devps/SHOWBOAT</filename>. Il faut créer ce fichier avec les outils fournis par groff.</para> - <para>Le premier outil est <filename>afmtodit</filename>. Il n'est pas - normalement installé et doit donc être extrait de la distribution sous - forme de sources. Je me suis aperçu qu'il fallait modifier la première + <para>Le premier outil est <filename>afmtodit</filename>. Il n'est pas + normalement installé et doit donc être extrait de la distribution sous + forme de sources. Je me suis aperçu qu'il fallait modifier la première ligne du fichier, voici donc ce que j'ai fait:</para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>cp /usr/src/gnu/usr.bin/groff/afmtodit/afmtodit.pl /tmp</userinput> @@ -546,12 +546,12 @@ Loading Showboat font from /usr/local/share/ghostscript/fonts/showboat.pfb... <userinput>.</userinput> <userinput>:wq</userinput></screen> </informalexample> - <para>Cet outil crée le fichier de police groff à partir du fichier de - dimensions de la police (suffixe <filename>.afm</filename>). Pour + <para>Cet outil crée le fichier de police groff à partir du fichier de + dimensions de la police (suffixe <filename>.afm</filename>). Pour continuer avec notre exemple:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para><emphasis>De nombreux fichiers <filename>.afm</filename> sont au + <para><emphasis>De nombreux fichiers <filename>.afm</filename> sont au format Mac... avec des lignes terminées par des ^M</emphasis></para> <para>Il faut les convertir au style Unix avec des lignes terminées par des ^J</para> @@ -562,7 +562,7 @@ Loading Showboat font from /usr/local/share/ghostscript/fonts/showboat.pfb... </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Créons maintenant le fichier de police + <para><emphasis>Créons maintenant le fichier de police groff</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>cd /usr/share/groff_font/devps</userinput> @@ -572,20 +572,20 @@ Loading Showboat font from /usr/local/share/ghostscript/fonts/showboat.pfb... </itemizedlist> <para>La police peut maintenant être référencée par le nom SHOWBOAT.</para> <para>Si l'on utilise GhostScript pour piloter les imprimantes du système, - il n'y a rien d'autre à faire. Si, par contre, l'on utilise de vraies + il n'y a rien d'autre à faire. Si, par contre, l'on utilise de vraies imprimantes PostScript, il faut alors charger la police sur l'imprimante - pour pouvoir l'utiliser (à moins que l'imprimante ne dispose de la police - “showboat” en interne ou sur une disquette de polices - accessible). La dernière étape consiste à créer la police chargeable. - L'outil <filename>pfbtops</filename> est utilisé pour créer le format - <filename>.pfa</filename> de la police et le fichier - <filename>download</filename> est modifié pour faire référence à la + pour pouvoir l'utiliser (à moins que l'imprimante ne dispose de la police + “showboat” en interne ou sur une disquette de polices + accessible). La dernière étape consiste à créer la police chargeable. + L'outil <filename>pfbtops</filename> est utilisé pour créer le format + <filename>.pfa</filename> de la police et le fichier + <filename>download</filename> est modifié pour faire référence à la nouvelle police. Le fichier <filename>download</filename> doit indiquer le - nom interne de la police. Ce nom peut être facilement connu à l'aide du + nom interne de la police. Ce nom peut être facilement connu à l'aide du fichier de police groff, comme le montre l'exemple:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para><emphasis>Créer le fichier de police + <para><emphasis>Créer le fichier de police <filename>.pfa</filename></emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>fgrep internalname SHOWBOAT</userinput> @@ -593,7 +593,7 @@ internalname Showboat</screen> </informalexample> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Dire à groff qu'il faut charger la + <para><emphasis>Dire à groff qu'il faut charger la police</emphasis></para> <informalexample> <screen><prompt>bash$</prompt> <userinput>ex download</userinput> @@ -649,7 +649,7 @@ internalname Showboat</screen> </informalexample> </listitem> </itemizedlist> - <para>Références: + <para>Références: <filename>/usr/src/gnu/usr.bin/groff/afmtodit/afmtodit.man</filename>, <citerefentry><refentrytitle>groff_font</refentrytitle> <manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>, @@ -661,52 +661,52 @@ internalname Showboat</screen> <sect1> <title>Peut-on utiliser des polices “True Type”?</title> <para>Le format de police “True Type” est utilisée par Windows, - Windows 95 et le Macintosh. Il est assez répandu et il y a de nombreuses + Windows 95 et le Macintosh. Il est assez répandu et il y a de nombreuses polices de ce format disponibles.</para> - <para>Malheureusement, je connais peu d'applications qui puissent utiliser + <para>Malheureusement, je connais peu d'applications qui puissent utiliser ce format: GhostScript et Povray viennent à l'esprit. Le support par - GhostScript est, d'après la documentation, assez rudimentaire et il y a - des chances que le résultat soit moins bon qu'avec les polices + GhostScript est, d'après la documentation, assez rudimentaire et il y a + des chances que le résultat soit moins bon qu'avec les polices “Type 1”. Povray version 3 est aussi capable d'utiliser des - des polices “True Type”, mais je doute que beaucoup de + des polices “True Type”, mais je doute que beaucoup de personnes créent des documents sous forme de pages générées par lancer de rayon :-).</para> - <para>Il est difficile d'utiliser une police “True Type” avec + <para>Il est difficile d'utiliser une police “True Type” avec groff parce que groff a besoin d'un fichier de description de la police, - et je ne connais pas d'outil pour déterminer les dimensions d'une police - “True Type”. De plus, il faudrait charger la police sur les - imprimantes PostScript avec le format approprié et, de nouveau, groff ne + et je ne connais pas d'outil pour déterminer les dimensions d'une police + “True Type”. De plus, il faudrait charger la police sur les + imprimantes PostScript avec le format approprié et, de nouveau, groff ne peut gérer de cette façon les polices “True Type”.</para> - <para>Cette situation plutôt désolante changera peut-être bientôt. Le - <ulink url="http://www.freetype.org">Projet FreeType</ulink> développe + <para>Cette situation plutôt désolante changera peut-être bientôt. Le + <ulink url="http://www.freetype.org">Projet FreeType</ulink> développe actuellement un ensemble d'utilitaire FreeType:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para>Le serveur de polices <filename>xfsft</filename> pour X11 peut - gérer les polices “TrueType” en plus des polices - ordinaires. Bien que ce soit encore une version béta, elle a la - réputation d'être à peu près utilisable. Voyez - <ulink url="http://www.dcs.ed.sc.uk/home/jec/programs/xfsft">la page de + <para>Le serveur de polices <filename>xfsft</filename> pour X11 peut + gérer les polices “TrueType” en plus des polices + ordinaires. Bien que ce soit encore une version béta, elle a la + réputation d'être à peu près utilisable. Voyez + <ulink url="http://www.dcs.ed.sc.uk/home/jec/programs/xfsft">la page de Juliusz Chroboczek</ulink> pour plus d'informations. Il y a des - instructions de portage sous FreeBSD sur - <ulink url="http://math.missouri.edu/~stephen/software">la page + instructions de portage sous FreeBSD sur + <ulink url="http://math.missouri.edu/~stephen/software">la page logicielle de Stephen Montgomery</ulink>.</para> </listitem> <listitem> - <para><filename>xfstt</filename> est un autre serveur X11, disponible + <para><filename>xfstt</filename> est un autre serveur X11, disponible sur <ulink url="ftp://sunsite.unc.edu/pub/Linux/X11/fonts">ftp://sunsite.unc.edu/pub/Linux/X11/fonts</ulink>.</para> </listitem> <listitem> - <para>Il y a un programme appelé <filename>ttf2bdf</filename> qui peut - créer des fichiers BDF utilisables en environnement X à partir de + <para>Il y a un programme appelé <filename>ttf2bdf</filename> qui peut + créer des fichiers BDF utilisables en environnement X à partir de fichiers “TrueType”. Les binaires pour Linux sont censés - être disponibles sur + être disponibles sur <ulink url="ftp://crl.nmsu.edu/CLR/multiling/General/">ftp://crl.nmsu.edu/CLR/multiling/General/</ulink>.</para> </listitem> <listitem> - <para>Pour les personnes qui ont besoin de polices “True - Type” asiatiques, il peut valoir la peine de jetter un coup - d'oeil au serveur de polices <filename>XTT</filename>. Il y a des + <para>Pour les personnes qui ont besoin de polices “True + Type” asiatiques, il peut valoir la peine de jetter un coup + d'oeil au serveur de polices <filename>XTT</filename>. Il y a des informations sur <filename>XTT</filename> à l'adresse: <ulink url="http://hawk.ise.chuo-u.ac.jp/student/person/tshiozak/study/freebsd-at-random/x-tt/index-en.html">http://hawk.ise.chuo-u.ac.jp/student/person/tshiozak/study/freebsd-at-random/x-tt/index-en.html</ulink>.</para> </listitem> @@ -717,9 +717,9 @@ internalname Showboat</screen> </sect1> <sect1> <title>Où peut-on trouver des polices supplémentaires?</title> - <para>Il y a de nombreuses polices disponibles sur l'Internet. Elles sont + <para>Il y a de nombreuses polices disponibles sur l'Internet. Elles sont soit complètement gratuites ou en “partagiciel”. Il y a aussi - de nombreux CD-ROMs peux onéreux qui contiennent beaucoup de polices. + de nombreux CD-ROMs peux onéreux qui contiennent beaucoup de polices. Voici quelques sites Internet (au mois d'Août 1996):</para> <itemizedlist> <listitem> @@ -751,7 +751,7 @@ internalname Showboat</screen> </listitem> <listitem> <para>Peut-on générer des fichiers <filename>.afm</filename> à partir de - fichiers <filename>.pfa</filename> ou + fichiers <filename>.pfa</filename> ou <filename>.pfb</filename>?</para> </listitem> <listitem> @@ -760,12 +760,12 @@ internalname Showboat</screen> ne sont pas standard?</para> </listitem> <listitem> - <para>Les périphériques <filename>xditview</filename> et - <devicename>devX??</devicename> peuvent-ils être configurés pour + <para>Les périphériques <filename>xditview</filename> et + <devicename>devX??</devicename> peuvent-ils être configurés pour accéder aux nouvelles polices?</para> </listitem> <listitem> - <para>Il serait bien d'avoir des exemples d'utilisation de polices + <para>Il serait bien d'avoir des exemples d'utilisation de polices “True Type” avec GhostScript et Povray.</para> </listitem> </itemizedlist> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/formatting-media/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/formatting-media/article.sgml index 4a4ea29834..e9d8fa8937 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/formatting-media/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/formatting-media/article.sgml @@ -12,7 +12,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -47,9 +47,9 @@ marque d'un administrateur système expérimenté. Découper, partitionner et ajouter des disques requiert de combiner avec soin commande adéquate et syntaxe de nommage. Une frappe malheureuse et un disque - entier peut disparaître en quelques secondes. Ce document est une - tentative pour simplifier le processus et éviter les accidents. - Heureusement, les outils existants (tout particulièrement + entier peut disparaître en quelques secondes. Ce document est une + tentative pour simplifier le processus et éviter les accidents. + Heureusement, les outils existants (tout particulièrement <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry>) ont notablement amélioré ce processus dans les dernières versions de FreeBSD.</para> @@ -57,13 +57,13 @@ <itemizedlist> <listitem> <para><emphasis>mode compatible</emphasis>: Configurer un disque - pour qu'il ait une table des + pour qu'il ait une table des tranches - “<foreignphrase>slices</foreignphrase>” - utilisable avec d'autres systèmes d'exploitation.</para> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>mode dangereusement dédié</emphasis>: Formater un - disque sans table des + <para><emphasis>mode dangereusement dédié</emphasis>: Formater un + disque sans table des tranches - “<foreignphrase>slices</foreignphrase>”. Cela facilite l'ajout de disques, mais des systèmes d'exploitation autres que FreeBSD risquent de ne pas reconnaître de tels @@ -71,16 +71,16 @@ </listitem> </itemizedlist> <para>Dans la plupart des cas, le mode dédié est le plus facile à mettre - en oeuvre et à utiliser sur des systèmes existants, auquel cas le + en oeuvre et à utiliser sur des systèmes existants, auquel cas le nouveau disque est en général entièrement dédié à FreeBSD. Cependant, le mode compatible garantit le maximum d'interopérabilité avec des installations ultérieures, au prix d'une plus grande complexité.</para> <para>En plus du choix du mode, il existe deux méthodes pour découper le - disque. La première est d'utiliser l'outil - <citerefentry><refentrytitle>/stand/sysinstall</refentrytitle></citerefentry> - d'installation du système. A partir de la version 2.1.7-RELEASE de - FreeBSD, - <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> + disque. La première est d'utiliser l'outil + <citerefentry><refentrytitle>/stand/sysinstall</refentrytitle></citerefentry> + d'installation du système. A partir de la version 2.1.7-RELEASE de + FreeBSD, + <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> contient du code qui facilite la configuration de disques en cours d'opération normale du système, donnant essentiellement accès aux éditeurs de labels et de partitions, @@ -89,8 +89,8 @@ consiste à employer les utilitaires, à la main, depuis la ligne de commande, en session sous le compte super-utilisateur <username>root</username>. Pour le mode dangereusement dédié, il n'y - a que trois ou quatre commandes concernées, alors que - <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> + a que trois ou quatre commandes concernées, alors que + <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> demande quelques manipulations.</para> </sect2> <sect2> @@ -98,19 +98,19 @@ <para>La gestion de disques Unix a, au fil des siècles, inventé de nombreuses nouvelles définitions pour d'anciens mots. Le glossaire ci-dessous donne les définitions des expressions utilisées dans - ce document et (espérons-le) pour ce qui concerne FreeBSD en + ce document et (espérons-le) pour ce qui concerne FreeBSD en général.</para> <itemizedlist> <listitem> <para><emphasis>mode compatible</emphasis>: Configurer un disque - pour qu'il ait une table des + pour qu'il ait une table des tranches - “<foreignphrase>slices</foreignphrase>” - utilisable avec d'autres systèmes d'exploitation. C'est le contraire du mode dangereusement dédié.</para> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>mode dangereusement dédié</emphasis>: Formater un - disque sans table des + <para><emphasis>mode dangereusement dédié</emphasis>: Formater un + disque sans table des tranches - “<foreignphrase>slices</foreignphrase>”. Cela facilite l'ajout de disques, mais des systèmes d'exploitation autres que FreeBSD risquent de ne pas reconnaître de tels @@ -121,26 +121,26 @@ ou équivalent, qui tourne, mû par un moteur, devant une tête de lecture. Les données sont enregistrées sur le disque en modifiant la magnétisation du support, et peuvent être ensuite relues. Les - disques durs, CD-ROMs, disques magnéto-optiques et supports + disques durs, CD-ROMs, disques magnéto-optiques et supports amovibles Zip ou Jaz, sont des exemples de disques.</para> </listitem> <listitem> - <para>tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”: + <para>tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”: une subdivision du disque. Il peut y avoir jusqu'à quatre tranches sur un disque d'après le standard PC. Les tranches sont constituées - de secteurs adjacents. Les tranches sont décrites par une - “table des tranches” utilisée par le BIOS du système - pour localiser les partitions démarrables. La table des tranches + de secteurs adjacents. Les tranches sont décrites par une + “table des tranches” utilisée par le BIOS du système + pour localiser les partitions démarrables. La table des tranches est habituellement appelée “table des partitions” en - langage DOS. Les tranches sont gérées par l'utilitaire + langage DOS. Les tranches sont gérées par l'utilitaire <citerefentry><refentrytitle>fdisk</refentrytitle></citerefentry>.</para> </listitem> <listitem> - <para>partition: une subdivision de la - tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”. + <para>partition: une subdivision de la + tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”. Habituellement utilisée pour désigner les divisions de la tranche FreeBSD du disque. Chaque système de fichiers et espace de - pagination réside sur une partition. Les partitions sont gérées par + pagination réside sur une partition. Les partitions sont gérées par l'utilitaire <citerefentry><refentrytitle>disklabel</refentrytitle></citerefentry>.</para> </listitem> @@ -152,12 +152,12 @@ </sect2> <sect2> <title>Avertissements et pièges à éviter</title> - <para>Installer des disques n'est pas quelque chose à prendre à la + <para>Installer des disques n'est pas quelque chose à prendre à la légère. Il est tout à fait possible de détruire le contenu d'autres disques de votre système si vous ne prenez pas les précautions nécessaires.</para> - <para><emphasis>Vérifiez avec soin ce que vous faites</emphasis>. Il est - très facile d'effacer le mauvais disque quand vous utilisez ces + <para><emphasis>Vérifiez avec soin ce que vous faites</emphasis>. Il est + très facile d'effacer le mauvais disque quand vous utilisez ces commandes. En cas de doute, consultez les messages de démarrage du noyau pour connaître le nom exact du périphérique.</para> <para>Inutile de préciser que nous ne serions en rien responsable des @@ -167,12 +167,12 @@ <sect2> <title>Zip, Jaz et autres disques amovibles</title> <para>Les disques amovibles peuvent être formatés de la même façon que les - disques durs ordinaires. Il est indispensable que le lecteur soit + disques durs ordinaires. Il est indispensable que le lecteur soit connecté et qu'il y ait un disque dedans au démarrage du système, pour que le noyau puisse déterminer la géométrie du disque. Consultez les - résultats de - <citerefentry><refentrytitle>dmesg</refentrytitle></citerefentry> - et vérifiez que le disque et sa taille y figurent. Si le noyau émet le + résultats de + <citerefentry><refentrytitle>dmesg</refentrytitle></citerefentry> + et vérifiez que le disque et sa taille y figurent. Si le noyau émet le message:</para> <programlisting> Can't get the size @@ -192,13 +192,13 @@ Can't get the size </sect2> <sect2> <title>Formater des disques en mode dédié avec Sysinstall</title> - <para><filename>/stand/sysinstall</filename>, l'utilitaire + <para><filename>/stand/sysinstall</filename>, l'utilitaire d'installation du système, a été amélioré dans les versions récentes pour rendre le processus de découpage propre des disques moins - pénible. Les éditeurs - <citerefentry><refentrytitle>fdisk</refentrytitle></citerefentry> et - <citerefentry><refentrytitle>disklabel</refentrytitle></citerefentry> - inclus dans + pénible. Les éditeurs + <citerefentry><refentrytitle>fdisk</refentrytitle></citerefentry> et + <citerefentry><refentrytitle>disklabel</refentrytitle></citerefentry> + inclus dans <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> sont des outils interactifs qui dissipent une bonne partie de la confusion liée aux opérations de @@ -207,9 +207,9 @@ Can't get the size faire.</para> <orderedlist> <listitem> - <para>Lancez + <para>Lancez <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> - en tant que super-utilisateur <username>root</username> en + en tant que super-utilisateur <username>root</username> en tapant:</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>/stand/sysinstall</userinput></screen> @@ -257,11 +257,11 @@ sur le(s) disque(s)?] <listitem> <para><option>Quit</option>tez l'éditeur <citerefentry><refentrytitle>fdisk</refentrytitle></citerefentry> - et revenez au menu d'<option>Index</option> avec + et revenez au menu d'<option>Index</option> avec <keycap>Echap</keycap>.</para> </listitem> <listitem> - <para>Sélectionnez <option>Label</option> dans le menu + <para>Sélectionnez <option>Label</option> dans le menu d'<option>Index</option>.</para> </listitem> <listitem> @@ -269,7 +269,7 @@ sur le(s) disque(s)?] qu'une seule partition, tapez <keycap>C</keycap> pour créer une partition, validez la taille proposée par défaut, prenez comme type de partition <option>Filesystem</option> (système de fichiers) - et indiquez un point de montage (qui dans ce cas ne sert à + et indiquez un point de montage (qui dans ce cas ne sert à rien).</para> </listitem> <listitem> @@ -278,7 +278,7 @@ sur le(s) disque(s)?] <citerefentry><refentrytitle>newfs</refentrytitle></citerefentry> sans que vous n'ayez autre chose à faire, à moins que vous ne fassiez un autre choix (pour les nouvelles partitions, il faut - initialiser le système de fichiers!). Vous aurez un message + initialiser le système de fichiers!). Vous aurez un message d'erreur:</para> <programlisting> Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory @@ -286,13 +286,13 @@ Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory <para>Ne vous en occupez pas.</para> </listitem> <listitem> - <para>Quittez le programme, en utilisant à plusieurs reprises la + <para>Quittez le programme, en utilisant à plusieurs reprises la touche <keycap>Echap</keycap>.</para> </listitem> </orderedlist> </sect2> <sect2> - <title>Formater des disques en mode dédié depuis la ligne de + <title>Formater des disques en mode dédié depuis la ligne de commande</title> <para>Exécutez les commandes suivantes, en substituant à <devicename>wd2</devicename> le nom de votre disque. Les lignes @@ -319,25 +319,25 @@ Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory </sect1> <sect1> <title>Formater des disques en mode compatible</title> - <sect2> + <sect2> <title>Introduction</title> <para>Travailler depuis la ligne de commande est la manière la plus facile de formater des disques dédiés, et la pire pour formater des disques compatibles. L'utilitaire en ligne de commande - <citerefentry><refentrytitle>fdisk</refentrytitle></citerefentry> + <citerefentry><refentrytitle>fdisk</refentrytitle></citerefentry> demande une bonne connaissance des mathématiques et une compréhension en profondeur de la structure de la table des “tranches”, qui dépassent ce dont la plupart des gens souhaitent se préoccuper. Utilisez <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> comme décrit dans ce qui suit.</para> - </sect2> - <sect2> + </sect2> + <sect2> <title>Formater des disques en mode compatible avec Sysinstall</title> <orderedlist> <listitem> - <para>Lancez + <para>Lancez <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> - en tant que super-utilisateur <username>root</username> en + en tant que super-utilisateur <username>root</username> en tapant:</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>/stand/sysinstall</userinput></screen> @@ -383,14 +383,14 @@ sur le(s) disque(s)?] encore <option>None</option> (aucun).</para> </listitem> <listitem> - <para>Sélectionnez <option>Label</option> dans le menu + <para>Sélectionnez <option>Label</option> dans le menu d'<option>Index</option>.</para> </listitem> <listitem> <para>Libellez le disque comme vous le souhaitez. Si vous ne voulez - qu'une seule partition, validez la taille proposée par + qu'une seule partition, validez la taille proposée par défaut, prenez comme type de partition <option>Filesystem</option> - (système de fichiers) et indiquez un point de montage (qui dans ce + (système de fichiers) et indiquez un point de montage (qui dans ce cas ne sert à rien).</para> </listitem> <listitem> @@ -398,7 +398,7 @@ sur le(s) disque(s)?] <citerefentry><refentrytitle>newfs</refentrytitle></citerefentry> sans que vous n'ayez autre chose à faire, à moins que vous ne fassiez un autre choix (pour les nouvelles partitions, il faut - initialiser le système de fichiers!). Vous aurez un message + initialiser le système de fichiers!). Vous aurez un message d'erreur:</para> <programlisting> Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory @@ -406,7 +406,7 @@ Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory <para>Ne vous en occupez pas.</para> </listitem> <listitem> - <para>Quittez le programme, en utilisant à plusieurs reprises la + <para>Quittez le programme, en utilisant à plusieurs reprises la touche <keycap>Echap</keycap>.</para> </listitem> </orderedlist> @@ -418,11 +418,11 @@ Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory <sect2> <title>Ajout d'espace de pagination</title> <para>Au fur et à mesure que le système grossit, ses besoins d'espace de - pagination peuvent aussi augmenter. Alors qu'il est très difficile + pagination peuvent aussi augmenter. Alors qu'il est très difficile d'ajouter de l'espace de pagination à des disques en service, un nouveau disque peut être partitionné pour mettre en oeuvre de l'espace de pagination supplémentaire.</para> - <para>Pour ajouter de l'espace de pagination au moment de l'installation + <para>Pour ajouter de l'espace de pagination au moment de l'installation d'un nouveau disque:</para> <orderedlist> <listitem> @@ -439,12 +439,12 @@ Error mounting /mnt/dev/wd2s1e on /mnt/blah : No such file or directory qui n'est pas réservée à la pagination.</para> </listitem> <listitem> - <para>Ajoutez la ligne qui suit à + <para>Ajoutez la ligne qui suit à <filename>/etc/fstab</filename>:</para> <programlisting> /dev/wd0b none swap sw 0 0 </programlisting> - <para>En remplacant <filename>/dev/wd0b</filename> par le nom du + <para>En remplacant <filename>/dev/wd0b</filename> par le nom du nouvel espace de pagination.</para> </listitem> <listitem> @@ -460,7 +460,7 @@ swapon: added /dev/sd0b as swap space</screen> </sect2> <sect2> <title>Copier le contenu d'un disque sur un autre</title> - <para>Proposé par: Renauld Waldura + <para>Proposé par: Renauld Waldura <email>renaud@softway.com</email>.</para> <para>Pour déplacer le contenu d'un disque sur un nouveau, faites:</para> <informalexample> @@ -472,12 +472,12 @@ swapon: added /dev/sd0b as swap space</screen> </informalexample> </sect2> <sect2> - <title>Créer des disques à écritures réparties avec + <title>Créer des disques à écritures réparties avec <devicename>ccd</devicename></title> - <para>Commandes transmises par: Stan Brown + <para>Commandes transmises par: Stan Brown <email>stanb@awod.com</email>.</para> - <para>Le pilote de disques - concaténés - “<foreignphrase>Concatenated Disk + <para>Le pilote de disques + concaténés - “<foreignphrase>Concatenated Disk Driver</foreignphrase>”, ou CCD - vous permet d'utiliser plusieurs disques comme s'il s'agissait d'un seul. Les écritures réparties peuvent augmenter les performances disque en @@ -487,17 +487,17 @@ swapon: added /dev/sd0b as swap space</screen> <manvolnum>4</manvolnum></citerefentry> et <citerefentry><refentrytitle>ccdconfig</refentrytitle> <manvolnum>4</manvolnum></citerefentry> ou la - <ulink url="http://stampede.cs.berkeley.edu/ccd/">page de + <ulink url="http://stampede.cs.berkeley.edu/ccd/">page de CCD</ulink>, pour plus d'informations.</para> <para>Pour créer un nouveau CCD, exécutez les commandes ci-dessous. Elles décrivent comment concaténer trois disques; ajoutez ou supprimez des périphériques selon vos besoins. Rappelez-vous que les disques sur lesquels se fera la répartition doivent être <emphasis>identiques</emphasis>.</para> - <para>Avant d'exécuter ces commandes, vérifiez que vous avez bien + <para>Avant d'exécuter ces commandes, vérifiez que vous avez bien ajouté la ligne:</para> <programlisting> -pseudo-device ccd 4 +pseudo-device ccd 4 </programlisting> <para>à la configuration de votre noyau.</para> <informalexample> @@ -520,7 +520,7 @@ pseudo-device ccd 4 <screen>&prompt.root; <userinput>newfs /dev/rccd0c</userinput></screen> </informalexample> <para>Vous pouvez maintenant monter et utiliser votre CCD en le - référençant comme périphérique + référençant comme périphérique <filename>/dev/ccd0c</filename>.</para> </sect2> </sect1> @@ -536,7 +536,7 @@ pseudo-device ccd 4 sur la &a.questions;.</para> </listitem> <listitem> - <para>&a.jkh; pour avoir rendu + <para>&a.jkh; pour avoir rendu <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> utile à ce type de tâches.</para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ip-aliasing/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ip-aliasing/article.sgml index fac50da557..da14d16e56 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ip-aliasing/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ip-aliasing/article.sgml @@ -12,7 +12,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -35,16 +35,16 @@ </articleinfo> <sect1> <title>Introduction</title> - <para>Définir des <emphasis>alias IP</emphasis> consiste à affecter plus + <para>Définir des <emphasis>alias IP</emphasis> consiste à affecter plus d'une adresse IP à une interface réseau. Les alias IP sont typiquement - employés pour héberger des serveurs Web et FTP virtuels et pour + employés pour héberger des serveurs Web et FTP virtuels et pour réorganiser ses serveurs sans avoir à mettre à jour d'autres machines (ce dernier usage est particulièrement utile avec les serveurs de noms - de domaines). Voyez un alias IP comme un petit enfant perché sur le + de domaines). Voyez un alias IP comme un petit enfant perché sur le dos de son interface parente (qui est l'adresse primaire de l'interface physique).</para> <para>Les alias IP <emphasis>n'ont rien à voir</emphasis> avec la notion - de <emphasis>multi-hébergement</emphasis> - “<foreignphrase>multi-homing</foreignphrase>” + de <emphasis>multi-hébergement</emphasis> - “<foreignphrase>multi-homing</foreignphrase>” (lorsqu'une machine dispose de plus d'une interface réseau active), sauf au cas où une machine sur plusieurs réseaux fournit des services tels que ceux listés plus haut. La confusion entre les deux notions est une erreur @@ -52,12 +52,12 @@ ce point.</para> <para>Il y a deux commandes essentielles à la mise en place d'alias IP sur FreeBSD (et sur tous les autres systèmes Unix que j'aie jamais utilisés), - ce sont <command>ifconfig</command> et <command>route</command>. - L'utilisation correcte de ces commandes est décrite ci-dessous. Pour + ce sont <command>ifconfig</command> et <command>route</command>. + L'utilisation correcte de ces commandes est décrite ci-dessous. Pour connaître toutes les subtilités de leur emploi, reportez-vous aux pages de manuel correspondantes. Il y a deux autres commandes utiles pour vérifier que tout fonctionne comme il se doit et pour mettre les choses au point - si ce n'est pas le cas. <command>netstat</command> vous permet de + si ce n'est pas le cas. <command>netstat</command> vous permet de consulter la table de routage du noyau (entre autres choses utiles), et ping est un appréciable petit outil pour tester l'accès à votre nouvel alias (comme à toute autre adresse IP).</para> @@ -71,32 +71,32 @@ <title>Utiliser <command>ifconfig</command></title> <para><citerefentry><refentrytitle>ifconfig</refentrytitle></citerefentry> sert à configurer les différentes caractéristiques d'une interface réseau - (adresse, protocole, masque de réseau, etc.). + (adresse, protocole, masque de réseau, etc.). <citerefentry><refentrytitle>ifconfig</refentrytitle></citerefentry> nous servira ici à ajouter (et parfois à supprimer) les adresses des alias des interfaces.</para> - <para>Dans l'exemple ci-dessous, nous supposerons que notre machine n'a + <para>Dans l'exemple ci-dessous, nous supposerons que notre machine n'a qu'une seule interface Ethernet 3Com 3C509 (<devicename>ep0</devicename>) d'adresse <hostid role="ipaddr">192.168.57.82</hostid> avec comme masque de sous-réseau <hostid role="netmask">255.255.255.0</hostid>, en plus - de l'interface “en boucle” standard + de l'interface “en boucle” standard <hostid role="ipaddr">127.0.0.1</hostid>. Vous devrez bien sûr remplacer ces valeurs par l'adresse et le masque de sous-réseau de votre(vos) - interface(s). L'adresse et le masque de sous-réseau de l'interface + interface(s). L'adresse et le masque de sous-réseau de l'interface “en boucle” sont les mêmes sur toutes les machines.</para> <para>Pour ajouter un alias à <devicename>ep0</devicename>, nous passons simplement une commande du style:</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>ifconfig ep0 inet 192.168.57.10 netmask 255.255.255.255 alias</userinput></screen> </informalexample> - <para>Ce qui dit à FreeBSD que nous définissons une adresse IP - (<literal>inet</literal>) pour la carte 3Com + <para>Ce qui dit à FreeBSD que nous définissons une adresse IP + (<literal>inet</literal>) pour la carte 3Com (<devicename>ep0</devicename>) avec comme adresse - <hostid role="ipaddr">192.168.57.10</hostid>, comme masque de + <hostid role="ipaddr">192.168.57.10</hostid>, comme masque de sous-réseau (<literal>netmask</literal>) <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid> (i.e., tous les bits à 1) pour éviter que le système d'exploitation ne proteste qu'il - y a déjà une adresse affectée à cette interface, et que c'est un alias + y a déjà une adresse affectée à cette interface, et que c'est un alias pour cette interface (<literal>alias</literal>).</para> <para>Vous pouvez aussi omettre le masque de sous-réseau (ou lui donner une autre valeur). Jusqu'à FreeBSD 2.1.0 compris, il y a néanmoins un bogue @@ -106,7 +106,7 @@ sous-réseau. Si vous ne donnez pas ce masque de sous-réseau de <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid>, vous devrez aussi ajouter une route manuellement, comme décrit ci-dessous.</para> - <para>Pour supprimer l'alias, nous exécutons une commande très + <para>Pour supprimer l'alias, nous exécutons une commande très similaire:</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>ifconfig ep0 inet 192.168.57.10 -alias</userinput></screen> @@ -124,12 +124,12 @@ définir une route IP vers cet alias. Si vous avez précisé le masque de sous-réseau de <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid> avec la commande précédente, vous pouvez vous dispenser de cette étape.</para> - <para>Pour ajouter une route vers notre nouvelle interface, nous + <para>Pour ajouter une route vers notre nouvelle interface, nous exécutons:</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>route add -host 192.168.57.10 127.0.0.1 0</userinput></screen> </informalexample> - <para>Cela dit à FreeBSD que pour arriver à la machine + <para>Cela dit à FreeBSD que pour arriver à la machine <hostid role="ipaddr">192.168.57.10</hostid>, les paquets doivent être envoyés sur l'interface “en boucle” (<hostid role="ipaddr">127.0.0.1</hostid> aussi appelée @@ -141,21 +141,21 @@ <screen>&prompt.root; <userinput>route delete -host 192.168.57.10</userinput></screen> </informalexample> <para>De nouveau, comme la route est entièrement définie par les paramètres - indiqués, nous pouvons laisser de côté les autres données telles que + indiqués, nous pouvons laisser de côté les autres données telles que le masque de sous-réseau et la distance. Pour des informations complètes - sur la commande + sur la commande <citerefentry><refentrytitle>route</refentrytitle></citerefentry>, voyez les pages de manuel.</para> - </sect1> + </sect1> <sect1> <title>Tester notre travail</title> <para>Maintenant que nous avons (espérons-le) un alias défini et accessible, - nous devons vérifier qu'il fonctionne correctement. Nous examinerons + nous devons vérifier qu'il fonctionne correctement. Nous examinerons d'abord la table de routage du noyau, pour vérifier que la route vers - l'alias est bien présente, puis nous utiliserons + l'alias est bien présente, puis nous utiliserons <citerefentry><refentrytitle>ping</refentrytitle></citerefentry> pour nous assurer que des paquets peuvent l'atteindre.</para> - <para>Pour voir la table de routage du noyau, sous forme numérique, + <para>Pour voir la table de routage du noyau, sous forme numérique, tapons:</para> <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>netstat -nr</userinput></screen> @@ -177,8 +177,8 @@ default 192.168.57.1 UGSc 4 964 ep0 “en boucle”, la route vers notre réseau local et une curieuse route vers notre alias. Le <literal>/32</literal> qui suit l'adresse de l'alias donne la longueur du masque de sous-réseau (le nombre de 1, en - partant de la gauche). Comme nous avons utilisé un masque de sous-réseau - de <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid>, la longueur de + partant de la gauche). Comme nous avons utilisé un masque de sous-réseau + de <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid>, la longueur de celui-ci (le nombre de 1) est de 32.</para> <para>Maintenant que nous avons vérifié que la route est bien dans la table de routage du noyau, nous pouvons effectuer un contrôle rapide pour nous @@ -195,10 +195,10 @@ PING 192.168.57.10 (192.168.57.10): 56 data bytes 64 bytes from 192.168.57.10: icmp_seq=1 ttl=255 time=0.197 ms 64 bytes from 192.168.57.10: icmp_seq=2 ttl=255 time=0.190 ms </programlisting> - <para>Appuyons simplement sur + <para>Appuyons simplement sur <keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo> pour arrêter <citerefentry><refentrytitle>ping</refentrytitle></citerefentry> si tout - paraît satisfaisant. Il nous “crachera” alors quelques + paraît satisfaisant. Il nous “crachera” alors quelques statistiques, que nous pouvons normalement ignorer. S'il n'y a pas de retour ou s'il y a des messages d'erreur, quelque chose ne va pas. Reprenez tout du début et lisez les pages de manuel (non, vraiment, @@ -219,33 +219,33 @@ PING 192.168.57.10 (192.168.57.10): 56 data bytes ifconfig ep0 inet 192.168.57.10 netmask 255.255.255.255 alias </programlisting> <para>Si nous utilisons un autre masque de sous-réseau que - <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid>, nous devrons aussi - utiliser la commande + <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid>, nous devrons aussi + utiliser la commande <citerefentry><refentrytitle>route</refentrytitle></citerefentry> comme - expliqué plus haut. Il est possible d'ajouter de cette façon autant + expliqué plus haut. Il est possible d'ajouter de cette façon autant d'alias que l'on veut (en supposant que nous disposons de suffisamment d'adresses allouées). Il suffit de mettre plusieurs commandes comme la précédente dans <filename>/etc/rc.local</filename>, avec les adresses appropriées. Il est même possible de définir comme alias des adresses d'un autre réseau IP, si ce réseau est aussi routé sur nous. C'est une situation différente de celle d'une machine avec plusieurs interfaces - <emphasis>physiques</emphasis> qui doivent <emphasis>toujours</emphasis> + <emphasis>physiques</emphasis> qui doivent <emphasis>toujours</emphasis> avoir des adresses sur des réseaux IP différents.</para> <para>Il y a un certains nombre de points à connaître lorsque l'on utilise un grand nombre d'alias (plus de ~10), que je citerai.</para> <para>Tout d'abord, il y a un bogue dans toutes les distributions de - <application>bind</application> (le serveur DNS - <application>named</application> fait partie de + <application>bind</application> (le serveur DNS + <application>named</application> fait partie de <application>BIND</application>) qui empêche le démarrage correct de <application>named</application> lorsqu'il y a plus de 64 alias sur une interface. Il n'y a pas de palliatif particulièrement simple, je ne les mentionnerai donc pas ici.</para> <para>En second lieu, pour éviter de truffer votre fichier - <filename>/etc/rc.local</filename> de quantité + <filename>/etc/rc.local</filename> de quantité d'<citerefentry><refentrytitle>ifconfig</refentrytitle></citerefentry>, je vous suggère d'utiliser un fichier à part dans <filename>/etc</filename> - pour les y mettre. Créez par exemple un fichier - <filename>ifconfig.ep0</filename> et mettez-y tous les + pour les y mettre. Créez par exemple un fichier + <filename>ifconfig.ep0</filename> et mettez-y tous les <literal>ifconfig alias</literal>. Puis dans <filename>/etc/rc.local</filename>, ajoutez les lignes suivantes:</para> <programlisting> @@ -256,7 +256,7 @@ if [ -x /sbin/ifconfig ]; then fi </programlisting> <para>Ce fragment de procédure provient d'un fichier - <filename>/etc/rc.local</filename> fourni par Neil Fowler Wright + <filename>/etc/rc.local</filename> fourni par Neil Fowler Wright <email>neil@corpex.com</email>. Le bricoleur trouvera moyen d'y mettre des boucles s'il y a plusieurs interfaces dont les alias sont définis dans différents fichiers <filename>ifconfig.*</filename>.</para> @@ -264,12 +264,12 @@ fi <sect1> <title>Où trouver plus d'aide</title> <para>M'envoyer directement un courrier électronique n'est probablement pas - le meilleur moyen d'obtenir de l'aide sur les problèmes d'alias IP. Je + le meilleur moyen d'obtenir de l'aide sur les problèmes d'alias IP. Je suis assez occupé la plupart du temps, et ai tendance à devenir assez rouspéteur. Néanmoins, les participants de la &a.questions; sont amicaux et secourables et répondront à vos questions plus rapidement que je ne le ferais.</para> - <para>Cette page a grandement bénéficié des suggestions de Neil Fowler + <para>Cette page a grandement bénéficié des suggestions de Neil Fowler Wright, Paul DuBois, Gabe Schuyler, et de Brodie le chat.</para> </sect1> </article> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ipsec-must/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ipsec-must/article.sgml index 3757d12577..aaac70302d 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ipsec-must/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ipsec-must/article.sgml @@ -40,8 +40,8 @@ <abstract> <para>Vous avez installé IPSec et cela semble fonctionner. - Comment pouvez-vous en être sûr? Je décris - une méthode pour vérifier expérimentalement + Comment pouvez-vous en être sûr? Je décris + une méthode pour vérifier expérimentalement le fonctionnement d'IPSec.</para> &trans.a.fonvieille; @@ -52,12 +52,12 @@ <title>Le problème</title> <para>Tout d'abord, supposons que vous avez <link - linkend="ipsec-install">installé + linkend="ipsec-install">installé <emphasis>IPSec</emphasis></link>. Comment savez-vous si cela <link linkend="caveat">fonctionne</link>? - Bien sûr, votre connexion ne fonctionnera pas si elle est mal - configurée, et fonctionnera quand vous l'aurez enfin - correctement configurée. &man.netstat.1; le fera + Bien sûr, votre connexion ne fonctionnera pas si elle est mal + configurée, et fonctionnera quand vous l'aurez enfin + correctement configurée. &man.netstat.1; le fera apparaître. Mais pouvez-vous le confirmer de façon indépendante?</para> </sect1> @@ -65,30 +65,30 @@ <sect1> <title>La solution</title> - <para>Tout d'abord, quelques informations théoriques relatives + <para>Tout d'abord, quelques informations théoriques relatives à la cryptographie:</para> <orderedlist> <listitem> - <para>Les données chiffrées sont - uniformément distribuées, i.e., ont une entropie + <para>Les données chiffrées sont + uniformément distribuées, i.e., ont une entropie maximale par symbole;</para> </listitem> <listitem> - <para>Les données brutes, non compressées sont en - générale redondantes, i.e., n'ont pas une + <para>Les données brutes, non compressées sont en + générale redondantes, i.e., n'ont pas une entropie maximale.</para> </listitem> </orderedlist> - <para>Supposez que vous pourriez mesurer l'entropie des - données à destination et en provenance de votre - interface réseau. Alors vous pourriez voir la + <para>Supposez que vous pourriez mesurer l'entropie des + données à destination et en provenance de votre + interface réseau. Alors vous pourriez voir la différence entre données non-chiffées et - données chiffrées. Cela serait vrai même si - certaines des données en “mode chiffré” - n'étaient pas chiffrées --- comme l'en-tête IP + données chiffrées. Cela serait vrai même si + certaines des données en “mode chiffré” + n'étaient pas chiffrées --- comme l'en-tête IP externe, si le paquet doit être routable.</para> <sect2 id="MUST"> @@ -109,12 +109,12 @@ <sect2 id="tcpdump"> <title>Tcpdump</title> - <para>Nous avons également besoin d'une manière de - capturer les données réseau brutes. Un programme - appelé &man.tcpdump.1; vous permet de faire cela, si vous + <para>Nous avons également besoin d'une manière de + capturer les données réseau brutes. Un programme + appelé &man.tcpdump.1; vous permet de faire cela, si vous avez activé l'interface <emphasis>Berkeley Packet Filter</emphasis> (Filtre de Paquet de - Berkeley) dans votre <link linkend="kernel">fichier de + Berkeley) dans votre <link linkend="kernel">fichier de configuration du noyau</link>.</para> <para>La commande</para> @@ -122,8 +122,8 @@ <screen><userinput><command>tcpdump</command> -c 4000 -s 10000 -w <replaceable>dumpfile.bin</replaceable></userinput></screen> <para>capturera 4000 paquets bruts dans le fichier - <replaceable>dumpfile.bin</replaceable>. Dans cet exemple - jusqu'à 10000 octets par paquets seront + <replaceable>dumpfile.bin</replaceable>. Dans cet exemple + jusqu'à 10000 octets par paquets seront capturés.</para> </sect2> </sect1> @@ -135,7 +135,7 @@ <procedure> <step> - <para>Ouvrez une fenêtre sur un hôte IPSec et une + <para>Ouvrez une fenêtre sur un hôte IPSec et une autre sur un hôte non sécurisé.</para> </step> @@ -145,10 +145,10 @@ </step> <step> - <para>Dans la fenêtre “sécurisée”, - lancez la commande &unix; &man.yes.1;, qui fera défiler - le caractère <literal>y</literal>. Au bout d'un moment, - arrêtez cela. Passez à la fenêtre non + <para>Dans la fenêtre “sécurisée”, + lancez la commande &unix; &man.yes.1;, qui fera défiler + le caractère <literal>y</literal>. Au bout d'un moment, + arrêtez cela. Passez à la fenêtre non sécurisée, et faites de même. Au bout d'un moment, arrêtez.</para> </step> @@ -183,14 +183,14 @@ Expected value for L=8 is 7.1836656 <title>Mise en garde</title> <para>Cette expérience montre qu'IPSec <emphasis>semble</emphasis> - distribuer les données utiles - <emphasis>uniformément</emphasis> comme un chiffrement + distribuer les données utiles + <emphasis>uniformément</emphasis> comme un chiffrement le devrait. Cependant, l'expérience décrite - ici <emphasis>ne peut pas</emphasis> détecter les - problèmes possibles dans un système. Ceux-ci - peuvent être la génération ou l'échange - d'une clé faible, des données ou clés visibles - par d'autres, l'utilisation d'algorithmes faibles, code du noyau + ici <emphasis>ne peut pas</emphasis> détecter les + problèmes possibles dans un système. Ceux-ci + peuvent être la génération ou l'échange + d'une clé faible, des données ou clés visibles + par d'autres, l'utilisation d'algorithmes faibles, code du noyau modifié, etc... Etudiez les sources, maîtrisez le code.</para> </sect1> @@ -198,13 +198,13 @@ Expected value for L=8 is 7.1836656 <sect1 id="IPsec"> <title>IPSec - Définition</title> - <para>Extensions de sécurité au protocole internet + <para>Extensions de sécurité au protocole internet IPv4, requises pour l'IPv6. Un protocole pour le chiffrement et - l'authentification au niveau IP (hôte à hôte). - SSL sécurise uniquement une socket d'application; + l'authentification au niveau IP (hôte à hôte). + SSL sécurise uniquement une socket d'application; <application>SSH</application> sécurise seulement une session; <application>PGP</application> sécurise uniquement un fichier - spécifique ou un message. IPSec chiffre tout entre deux + spécifique ou un message. IPSec chiffre tout entre deux hôtes.</para> </sect1> @@ -219,16 +219,16 @@ Expected value for L=8 is 7.1836656 &man.setkey.8;.</para> <para>Un guide complet sur l'utilisation d'IPSec sous FreeBSD est - fourni dans le <ulink url="../../books/handbook/ipsec.html">Manuel + fourni dans le <ulink url="../../books/handbook/ipsec.html">Manuel de Freebsd</ulink>.</para> </sect1> <sect1 id="kernel"> <title>src/sys/i386/conf/KERNELNAME</title> - <para>Ce qui suit doit être présent dans le fichier de - configuration du noyau afin de pouvoir capturer les données - réseau avec &man.tcpdump.1;. Soyez-sûr de lancer + <para>Ce qui suit doit être présent dans le fichier de + configuration du noyau afin de pouvoir capturer les données + réseau avec &man.tcpdump.1;. Soyez-sûr de lancer &man.config.8; après avoir rajouté la ligne ci-dessous, et de recompiler et réinstaller.</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/java-tomcat/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/java-tomcat/article.sgml index e79d184b1d..8abe580699 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/java-tomcat/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/java-tomcat/article.sgml @@ -38,21 +38,21 @@ following disclaimer in the documentation and/or other materials provided with the distribution. - THIS DOCUMENTATION IS PROVIDED BY THE AUTHORS AND CONTRIBUTORS "AS IS" - AND ANY EXPRESS OR IMPLIED WARRANTIES, INCLUDING, BUT NOT LIMITED TO, - THE IMPLIED WARRANTIES OF MERCHANTABILITY AND FITNESS FOR A PARTICULAR - PURPOSE ARE DISCLAIMED. IN NO EVENT SHALL THE AUTHORS AND CONTRIBUTORS BE - LIABLE FOR ANY DIRECT, INDIRECT, INCIDENTAL, SPECIAL, EXEMPLARY, OR - CONSEQUENTIAL DAMAGES (INCLUDING, BUT NOT LIMITED TO, PROCUREMENT OF - SUBSTITUTE GOODS OR SERVICES; LOSS OF USE, DATA, OR PROFITS; OR BUSINESS - INTERRUPTION) HOWEVER CAUSED AND ON ANY THEORY OF LIABILITY, WHETHER IN - CONTRACT, STRICT LIABILITY, OR TORT (INCLUDING NEGLIGENCE OR OTHERWISE) - ARISING IN ANY WAY OUT OF THE USE OF THIS DOCUMENTATION, EVEN IF ADVISED + THIS DOCUMENTATION IS PROVIDED BY THE AUTHORS AND CONTRIBUTORS "AS IS" + AND ANY EXPRESS OR IMPLIED WARRANTIES, INCLUDING, BUT NOT LIMITED TO, + THE IMPLIED WARRANTIES OF MERCHANTABILITY AND FITNESS FOR A PARTICULAR + PURPOSE ARE DISCLAIMED. IN NO EVENT SHALL THE AUTHORS AND CONTRIBUTORS BE + LIABLE FOR ANY DIRECT, INDIRECT, INCIDENTAL, SPECIAL, EXEMPLARY, OR + CONSEQUENTIAL DAMAGES (INCLUDING, BUT NOT LIMITED TO, PROCUREMENT OF + SUBSTITUTE GOODS OR SERVICES; LOSS OF USE, DATA, OR PROFITS; OR BUSINESS + INTERRUPTION) HOWEVER CAUSED AND ON ANY THEORY OF LIABILITY, WHETHER IN + CONTRACT, STRICT LIABILITY, OR TORT (INCLUDING NEGLIGENCE OR OTHERWISE) + ARISING IN ANY WAY OUT OF THE USE OF THIS DOCUMENTATION, EVEN IF ADVISED OF THE POSSIBILITY OF SUCH DAMAGE. --> <!-- - Written by Victoria Chan <vkchan@kendryl.net>. The original document can + Written by Victoria Chan <vkchan@kendryl.net>. The original document can be found at: http://www.kendryl.net/jdk13-1.html. --> @@ -62,7 +62,7 @@ <articleinfo> <title>Java et Jakarta Tomcat sous FreeBSD</title> - <authorgroup> + <authorgroup> <author> <firstname>Victoria</firstname> <surname>Chan</surname> @@ -79,7 +79,7 @@ </affiliation> </author> </authorgroup> - + <copyright> <year>2002</year> <holder role="mailto:vkchan@kendryl.net">Victoria Chan</holder> @@ -89,13 +89,13 @@ <pubdate>$FreeBSD$</pubdate> <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> - + <abstract> - <para>Ce document est présenté dans l'espoir de rendre plus - facile, pour quiconque en aurait besoin, la mise en place de + <para>Ce document est présenté dans l'espoir de rendre plus + facile, pour quiconque en aurait besoin, la mise en place de Java et son fonctionnement sous FreeBSD, avec le moins d'ennuis possibles. Préparez vous à passer une journée entière sur un tel - projet étant donné que cela prendra du temps à assembler tous + projet étant donné que cela prendra du temps à assembler tous les éléments et à les compiler individuellement, puis comme un tout. On montrera aussi comment installer les célèbres Servlet Jakarta Tomcat et JSP container sur le système d'exploitation @@ -105,13 +105,13 @@ </abstract> </articleinfo> <!-- END of Article Metadata--> - + <sect1> <title>Introduction</title> <para>Le langage de programmation Java naquit le <literal>23 Mai 1995</literal>. On s'attendrait qu'après tout ce temps, les applications Java soient faciles à installer et prêtes à - fonctionner à partir d'un simple logiciel pré-compilé ou porté + fonctionner à partir d'un simple logiciel pré-compilé ou porté sur FreeBSD, de ce fait le rendant accessible pour les “masses”. Ce n'est pas le cas, malheureusement, car la distribution de Java est contrôlée très étroitement par @@ -121,18 +121,18 @@ Tous ces ingrédients doivent être mélangés ensemble dans le bon ordre, assemblés, et compilés par l'utilisateur final. Avec une telle philosophie de distribution, il est de mon opinion que - Java sera toujours l'apanage uniquement de développeurs ou de + Java sera toujours l'apanage uniquement de développeurs ou de hackers. J'ai certainement trouvé cela vrai quand j'ai dû servir quelques pages <filename>.jsp</filename> pour un client sur mon serveur web, et que j'ai eu besoin de faire fonctionner <filename role="package">www/jakarta-tomcat</filename> avec <filename role="package">www/apache13</filename> sur mon système FreeBSD.</para> - + <para>L'installation de Tomcat est tout ce qu'il y a de plus simple, mais la difficulté je l'ai eue quand j'ai essayé de faire - fonctionner le Kit de Développement Java sur FreeBSD 4.X, comme - Sun Microsystems fournit seulement des binaires pour Linux, + fonctionner le Kit de Développement Java sur FreeBSD 4.X, comme + Sun Microsystems fournit seulement des binaires pour Linux, Solaris et Windows NT. Cela signifie que j'ai dû compiler mon propre JDK pour FreeBSD. J'ai commencé par chercher de la documentation sur l'Internet. J'ai rapidement constaté qu'il y @@ -142,10 +142,10 @@ <para>Dans cet article, vous trouverez comment installer le Kit de Développement Java pour FreeBSD, et comment le faire fonctionner - avec Tomcat. Une section <xref linkend="ref"/> est également + avec Tomcat. Une section <xref linkend="ref"/> est également fournie pour davantage de lecture.</para> </sect1> - + <sect1> <title>L'environnement Java</title> <para>Assurez-vous que vous disposez d'un catalogue des @@ -163,7 +163,7 @@ (Linux-ABI) activée dans la configuration de votre noyau. Ajoutez simplement l'option suivante à votre fichier de configuration du noyau et recompilez-le. Les - instructions sur la compilation d'un noyau peuvent être + instructions sur la compilation d'un noyau peuvent être trouvées dans le <ulink url="../../books/handbook/">manuel de FreeBSD</ulink>.</para> @@ -176,41 +176,41 @@ <para>La liste des dépendances qui nécessitent d'être installées manuellement dans un certain ordre est donnée ci-dessous. Les - dépendances qui sont automatiquement téléchargées ne sont pas + dépendances qui sont automatiquement téléchargées ne sont pas énumérées ici.</para> - + <itemizedlist> <listitem> <para><filename role="package">java/jdk13</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para><filename role="package">java/linux-jdk13</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para><filename role="package">archivers/gtar</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para><filename role="package">archivers/bzip2</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para><filename role="package">archivers/unzip</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para><filename role="package">archivers/zip</filename></para> </listitem> </itemizedlist> - + <para>Vous aurez besoin récupérer ce qui suit:</para> - + <procedure> <step> <para>Téléchargez <filename>bsd-jdk131-patches-5.tar.gz</filename> - à partir de + à partir de <ulink url="http://www.eyesbeyond.com/freebsddom/java/jdk13.html"></ulink> et placez-le sous <filename>/usr/ports/distfiles</filename>.</para> </step> @@ -227,7 +227,7 @@ vers le bas de la page et cliquer sur le bouton “HTTP download”. Quand la boîte de dialogue “File Download” s'affiche, soyez sûr de cliquer sur le bouton - “Open” plutôt que le bouton “Save”. + “Open” plutôt que le bouton “Save”. Une nouvelle boîte “File Download” s'affichera - cette fois-ci choisissez “Save” et vous serez en mesure de sauvegarder le fichier @@ -235,10 +235,10 @@ le dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename>.</para> </step> - + <step> <para>Aller sur <ulink - url="http://www.sun.com/software/java2/download.html"></ulink>. + url="http://www.sun.com/software/java2/download.html"></ulink>. Dans le tableau sous <literal>Produce Description</literal>, appelé <literal>Java 2 SDK 1.3.1</literal>, aller sur la cellule de droite et cliquer “download”. Cela @@ -252,68 +252,68 @@ fichier demandé. Vous serez en mesure de choisir l'endroit le plus proche de vous. Cliquer sur “Java 2 SDK, Standard Edition, version 1.3.1”. Sauvez le fichier - <filename>j2sdk-1_3_1-src.tar.gz</filename> dans le répertoire + <filename>j2sdk-1_3_1-src.tar.gz</filename> dans le répertoire <filename>/usr/ports/distfiles/</filename>.</para> </step> </procedure> - + <note> <para>Il est très important que vous lisiez l'Accord de Licence qui a été émis par Sun Microsystems Corp. Il y a plusieurs restrictions sur l'utilisation de Java, que vous devez respecter. Le projet FreeBSD ne prend aucune responsabilités pour vos actes.</para> - + <para>N'effacer aucun des fichiers téléchargés, car ils seront - nécessaires pour compiler certains logiciels natifs portés pour + nécessaires pour compiler certains logiciels natifs portés pour FreeBSD, ce dont on parlera plus tard.</para> </note> - + <para>Maintenant que vous avez rassemblé tous les fichiers source et - logiciels portés, vous devez commencer la compilation par + logiciels portés, vous devez commencer la compilation par <filename role="package">java/linux-jdk13</filename>:</para> - + <screen> &prompt.root; cd /usr/ports/archivers/gtar; make all install clean &prompt.root; cd /usr/ports/archivers/unzip; make all install clean &prompt.root; cd /usr/ports/archivers/zip; make all install clean</screen> - + <para>Et finalement:</para> - + <screen> &prompt.root; cd /usr/ports/java/linux-jdk13 &prompt.root; make all install clean</screen> - + <para>Une fois que vous avez compilé <filename role="package">java/linux-jdk13</filename>, vous devez le tester, afin d'être sûr qu'il fonctionne comme prévu. Pour cela faire:</para> - + <screen> &prompt.root; cd /usr/local/linux-jdk1.3.1/bin &prompt.root; ./java -version</screen> - + <para>La sortie de la commande ci-dessus devrait être comme suit:</para> <programlisting>java version "1.3.1_02" Java(TM) 2 Runtime Environment, Standard Edition (build 1.3.1_02-b02) Classic VM (build 1.3.1_02-b02, green threads, nojit)</programlisting> - + <para>Si vous n'avez pas obtenu la réponse correcte, vous devez faire:</para> <screen> &prompt.root; cd /usr/ports/java/linux-jdk13 &prompt.root; make deinstall</screen> - + <para>Et vérifiez que <filename>/usr/local</filename> ne contient pas un répertoire <filename>linux-jdk1.3.1</filename> . Si vous trouvez une partie de ce répertoire, effacez-le. Relancer la <literal>compilation et l'installation</literal> pour <filename role="package">java/linux-jdk13</filename>.</para> - + <para>Pour compiler le <literal>Kit de Développement Java 1.3.1</literal> natif pour FreeBSD, faire ce qui suit:</para> - + <procedure> <step> <para>Soyez sûr d'avoir le fichier @@ -322,7 +322,7 @@ requis pour appliquer l'“ensemble de patches” abordé ci-dessous.</para> </step> - + <step> <para>Vous aurez besoin de télécharger l'“l'ensemble de patches” pour compiler le port. Le fichier correspondant @@ -335,28 +335,28 @@ <programlisting> MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 </programlisting> - + <para>L'ensemble de patches est disponible depuis: <ulink url="http://www.eyesbeyond.com/freebsddom/java/index.html"></ulink></para> </step> </procedure> - + <para>La dernière procédure discutée précédemment (compiler le <literal>jdk</literal>) prendra du temps.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Configuration de Jakarta Tomcat</title> <sect2> <title>Vue d'ensemble</title> <para>Java devient de plus en plus populaire pour - l'élaboration de solutions diverses et adaptables + l'élaboration de solutions diverses et adaptables indépendantes de la plateforme. Un des besoins croissant de Java est le marché de l'<acronym>ASP</acronym> (Application Service Provider). Java est la solution parfaite pour ce type de marchés avec les avantages suivants:</para> - + <itemizedlist> <listitem> <para>Indépendance de la plateforme</para> @@ -374,15 +374,15 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 <para>Performance fiable</para> </listitem> - + <listitem> <para>Distribué, Multi-threadé, Sécurisé etc...</para> </listitem> </itemizedlist> - + <para>Une technologie très importante et en pleine croissance qui a émergée de Java est <acronym>JSP</acronym> (JavaServer Pages).</para> - + <para><acronym>JSP</acronym> (JavaServer Pages) est une technologie côté serveur introduite par <literal>Sun Microsystems Corp.</literal>, qui fournit une manière simple de générer du @@ -391,13 +391,13 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 Java pour encapsuler et séparer la logique de la conception et de l'affichage. Quand une page <acronym>JSP</acronym> est invoquée, elle est dynamiquement convertie en Servlet et traitée - par le serveur pour produire la page résultante + par le serveur pour produire la page résultante <acronym>HTML/XML</acronym> pour le client. Quand <acronym>JSP</acronym> est utilisé de pair avec JavaBeans, il est alors possible de produire des applications diverses et adaptables, qui peuvent être combinées avec la puissance et la performance de FreeBSD.</para> - + <para><application>Tomcat</application> est une implémentation open-source des Servlets Java et des technologies de pages JavaServer, développée dans le cadre du projet Jakarta à @@ -419,9 +419,9 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 <para>Veuillez vous référer à la section <xref linkend="ref"/> pour plus d'informations sur Tomcat et <acronym>JSP</acronym>. La - section suivante démontrera comment construire + section suivante démontrera comment construire l'“environnement Tomcat” pour FreeBSD. La version - de Tomcat utilisée dans ce guide est la + de Tomcat utilisée dans ce guide est la <literal>4.0.3</literal>. Cette version contient la correction de bogues majeurs, et les mises à jour/changements suivants:</para> @@ -434,45 +434,45 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 <listitem> <para><literal>Spécification Java Servlet 2.3</literal></para> </listitem> - + <listitem> <para><literal>Compatibilité complète avec Java Servlet 2.2 et la spécification JSP 1.1</literal></para> </listitem> </itemizedlist> </sect2> - + <sect2> <title>L'environnement Tomcat pour FreeBSD</title> <para>Il est très simple d'installer Tomcat sur une machine FreeBSD, après l'installation de l'environnement Java nécessaire, ce que nous avons fait précédemment.</para> - + <para>Afin d'installer Tomcat sur FreeBSD, suivez la procédure ci-dessous:</para> - + <procedure> <step> <para>Suivez les étapes précédentes pour installer l'environnement Java nécessaire.</para> </step> - + <step> <para>Configurez une variable d'environnement <envar>JAVA_HOME</envar> qui pointe sur le répertoire où vous avez installé le JDK (l'exemple suivant pointe sur une version native du JDK).Si vous utilisez comme shell &man.sh.1;, vous pouvez utilisez la commande suivante:</para> - + <screen>&prompt.root; export JAVA_HOME=/usr/local/jdk1.3.1</screen> <para>Si vous utilisez &man.csh.1; ou un shell compatible, - vous devez utilisez la commande : + vous devez utilisez la commande : </para> <screen>&prompt.root; setenv JAVA_HOME /usr/local/jdk1.3.1</screen> - + <para>Cette variable d'environnement devrait être rendue permanente en l'ajoutant soit dans <filename>.profile</filename> soit @@ -481,26 +481,26 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 pour le fonctionnement de tous programmes Java, incluant Tomcat lui-même.</para> </step> - + <step> - <para>Téléchargez la “distribution binaire” de Tomcat sur le site de Jakarta, qui est situé à + <para>Téléchargez la “distribution binaire” de Tomcat sur le site de Jakarta, qui est situé à <literal><ulink url="&tomcat403;"></ulink></literal>. Le fichier à - télécharger est appelé + télécharger est appelé <filename>jakarta-tomcat-4.0.3.tar.gz</filename>.</para> </step> - + <step> <para>Le fichier compressé et archivé que nous avons - téléchargé à l'étape précédente utilise des + téléchargé à l'étape précédente utilise des “Extensions GNU” spéciales. Afin de le dé-archiver et le décompresser, nous aurons besoin d'installer <literal>GNU Tar (<filename role="package">archivers/gtar</filename>)</literal>, en faisant ce qui suit:</para> - + <screen>&prompt.root; cd /usr/ports/archivers/gtar && make all install clean</screen> </step> - + <step> <para>Dé-archivez et décompressez le fichier <filename>jakarta-tomcat-4.0.3.tar.gz</filename> dans le répertoire @@ -520,27 +520,27 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 désirez.</para> </step> </procedure> - + <note> <para><literal>L'installation en utilisant le code source est en dehors du cadre de ce document. Veuillez vous référer aux fichiers suivants pour un complément d'information sur la compilation à partir des sources, disponibles dans votre répertoire Tomcat:</literal></para> - + <itemizedlist> <listitem> <para><filename>/usr/local/tomcat-4.0/README.txt</filename></para> </listitem> - + <listitem> <para><filename>/usr/local/tomcat-4.0/BUILDING.txt</filename></para> </listitem> </itemizedlist> </note> </sect2> - + <sect2> <title>Utiliser Tomcat - Les bases</title> <para>Maintenant que nous avons terminé l'installation de @@ -572,7 +572,7 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 &prompt.root; cd /usr/local/etc/rc.d &prompt.root; ln -s /usr/local/tomcat-4.0/bin/catalina.sh</screen> - <para>Editez le fichier <filename>catalina.sh</filename>, et + <para>Editez le fichier <filename>catalina.sh</filename>, et ajoutez ce qui suit au début du fichier (après la boîte de commentaires):</para> @@ -629,14 +629,14 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 <row> <entry> <ulink - url="http://java.sun.com/docs/index.html">Documentation + url="http://java.sun.com/docs/index.html">Documentation J2SE</ulink> </entry> </row> <row> <entry> - <ulink url="&wwwurl;/ports/java.html">La section Java + <ulink url="&wwwurl;/ports/java.html">La section Java des logiciels portés sous FreeBSD</ulink> </entry> </row> @@ -648,8 +648,8 @@ MD5 (bsd-jdk131-patches-6.tar.gz) = 9cade10b81d6034fdd2176bef32bdbf9 <sect2> <title>Conclusion</title> <para>Finalement, nous sommes à la fin de l'article et nous - disposons d'une version de Tomcat qui fonctionne. Nous - espérons que vous avez appris les bases de l'installation et de + disposons d'une version de Tomcat qui fonctionne. Nous + espérons que vous avez appris les bases de l'installation et de la compilation du Kit de Développement Java sur FreeBSD, avec l'installation de la distribution binaire du serveur d'application Tomcat publié par l'Apache Software Foundation. diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/laptop/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/laptop/article.sgml index a4ecc1b34f..2e3669f6fb 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/laptop/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/laptop/article.sgml @@ -20,10 +20,10 @@ <abstract> <para>FreeBSD fonctionne bien sur la plupart des ordinateurs - portables, en tenant compte de quelques avertissements. Quelques - problèmes spécifiques à l'utilisation de - FreeBSD sur ordinateurs portables, provenant d'exigences - matérielles différentes de celles des stations de + portables, en tenant compte de quelques avertissements. Quelques + problèmes spécifiques à l'utilisation de + FreeBSD sur ordinateurs portables, provenant d'exigences + matérielles différentes de celles des stations de travail, sont abordés ci-dessous.</para> &trans.a.fonvieille; @@ -39,61 +39,61 @@ une station de travail, et si vous désirez l'utiliser sur votre ordinateur portable vous pouvez profiter de tous les avantages habituels: implantation systématique, administration et mise à - jour aisées, le système de logiciels + jour aisées, le système de logiciels portés/pré-compilés pour ajouter des logiciels, et ainsi de suite (ses autres avantages, - tels que la stabilité, les performances réseau, la - performance sous une charge importante, cela ne peut ne pas - être évident sur un portable, bien sûr). - Cependant, l'installer sur des ordinateurs portables sous-entend - souvent des problèmes qui ne sont pas rencontrés - avec les stations de travail et qui ne sont - généralement pas débattus (les portables, - bien plus que les stations de travail, sont réglés - pour Microsoft Windows). Cet article a pour but de discuter de + tels que la stabilité, les performances réseau, la + performance sous une charge importante, cela ne peut ne pas + être évident sur un portable, bien sûr). + Cependant, l'installer sur des ordinateurs portables sous-entend + souvent des problèmes qui ne sont pas rencontrés + avec les stations de travail et qui ne sont + généralement pas débattus (les portables, + bien plus que les stations de travail, sont réglés + pour Microsoft Windows). Cet article a pour but de discuter de certains de ces problèmes.</para> - <sect1> + <sect1> <title>XFree86</title> - - <para>Les versions récentes d'XFree86 fonctionnent avec la - plupart des systèmes d'affichage disponibles de nos jours - sur les ordinateurs portables. L'accélération peut + + <para>Les versions récentes d'XFree86 fonctionnent avec la + plupart des systèmes d'affichage disponibles de nos jours + sur les ordinateurs portables. L'accélération peut ne pas être supportée, mais une configuration SVGA générique devrait fonctionner.</para> <para>Avec la documentation de votre ordinateur portable - déterminez quelle carte vous disposez, et vérifiez - dans la documentation d'XFree86 (ou dans le programme de - configuration) si elle est spécifiquement supportée. - Si non, utilisez un pilote générique (ne pas en - utiliser un pour son nom qui semble similaire à celui de + déterminez quelle carte vous disposez, et vérifiez + dans la documentation d'XFree86 (ou dans le programme de + configuration) si elle est spécifiquement supportée. + Si non, utilisez un pilote générique (ne pas en + utiliser un pour son nom qui semble similaire à celui de la carte). Avec XFree86 version 4, vous pouvez tenter votre chance avec la commande <userinput>XFree86 - -configure</userinput> qui détecte automatiquement beaucoup + -configure</userinput> qui détecte automatiquement beaucoup de configurations.</para> - <para>Souvent le problème est de configurer l'écran. - Les ressources générales pour XFree86 se concentrent - sur les moniteurs cathodiques; obtenir une modeline - adéquate pour un écran LCD peut s'avérer - difficile. Vous pouvez être chanceux et ne pas avoir - à spécifier de modeline, ou juste préciser - les plages HorizSync et VertRefresh qui conviennent. Si cela ne - fonctionne pas, la meilleure option est de se référer - aux ressources web consacrées à la configuration d'X - sur ordinateurs portables (ce sont souvent des sites - orientés linux mais cela n'a pas d'importance parce que les + <para>Souvent le problème est de configurer l'écran. + Les ressources générales pour XFree86 se concentrent + sur les moniteurs cathodiques; obtenir une modeline + adéquate pour un écran LCD peut s'avérer + difficile. Vous pouvez être chanceux et ne pas avoir + à spécifier de modeline, ou juste préciser + les plages HorizSync et VertRefresh qui conviennent. Si cela ne + fonctionne pas, la meilleure option est de se référer + aux ressources web consacrées à la configuration d'X + sur ordinateurs portables (ce sont souvent des sites + orientés linux mais cela n'a pas d'importance parce que les deux systèmes utilisent XFree86) et copier une modeline postée par quelqu'un pour un matériel similaire.</para> <para>La plupart des ordinateurs portables viennent avec deux - boutons sur leur périphérique de pointage, ce qui - est assez problématique sous X (étant donné - que le bouton du milieu est généralement + boutons sur leur périphérique de pointage, ce qui + est assez problématique sous X (étant donné + que le bouton du milieu est généralement utilisé pour coller du texte); vous pouvez faire correspondre un click simultané sur les boutons gauche et - droite dans votre configuration d'X à un click sur le bouton + droite dans votre configuration d'X à un click sur le bouton du milieu avec la ligne <programlisting> Option "Emulate3Buttons" @@ -103,113 +103,113 @@ version 3, rajoutez juste la ligne <literal>Emulate3Buttons</literal>, sans guillemets, dans la section <literal>Pointer</literal>). </para> - </sect1> + </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Modems</title> - <para>Les ordinateurs portables sont généralement - équipés de modems intégrés (on-board). - Malheureusement, cela veut presque toujours dire que ce sont des - <quote>winmodems</quote> dont les fonctions sont + <para>Les ordinateurs portables sont généralement + équipés de modems intégrés (on-board). + Malheureusement, cela veut presque toujours dire que ce sont des + <quote>winmodems</quote> dont les fonctions sont réalisées par logiciel, pour lesquels seuls des pilotes pour windows sont normalement disponibles (bien que - quelques pilotes pour d'autres systèmes commencent à + quelques pilotes pour d'autres systèmes commencent à voir le jour). Dans le cas contraire, vous avez besoin d'acheter un modem externe: la solution la plus compacte est un modem PC-Card - (PCMCIA), abordé ci-dessous, mais un modem série ou - USB peut être moins cher. Généralement les + (PCMCIA), abordé ci-dessous, mais un modem série ou + USB peut être moins cher. Généralement les modems habituels (non-winmodems) devraient fonctionner correctement. </para> - </sect1> + </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Périphériques PCMCIA (PC-Card)</title> <para>La plupart des ordinateurs portables viennent avec des slots - PCMCIA (aussi appelés PC-Card); ceux-ci sont bien - supportés sous FreeBSD. Examinez vos messages de - démarrage (en utilisant dmesg) et regardez si ces derniers + PCMCIA (aussi appelés PC-Card); ceux-ci sont bien + supportés sous FreeBSD. Examinez vos messages de + démarrage (en utilisant dmesg) et regardez si ces derniers ont été détectés correctement (ils devraient apparaître comme <devicename>pccard0</devicename>, - <devicename>pccard1</devicename> etc sur des + <devicename>pccard1</devicename> etc sur des périphériques comme <devicename>pcic0</devicename>).</para> <para>FreeBSD supporte actuellement les cartes PCMCIA 16-bits, mais pas les cartes 32-bits (<quote>CardBus</quote>). Une base - de données des cartes supportées se trouve dans le - fichier <filename>/etc/defaults/pccard.conf</filename>. - Examinez-la, et achetez de préférence des cartes + de données des cartes supportées se trouve dans le + fichier <filename>/etc/defaults/pccard.conf</filename>. + Examinez-la, et achetez de préférence des cartes listées. Les cartes non listées peuvent aussi fonctionner comme périphériques - <quote>génériques</quote>: en particulier la plupart - des modems (16-bits) devraient fonctionner parfaitement, - dès lors que ce ne sont pas des winmodems (ils existent - aussi même en modèles PC-Card, donc faites attention). - Si votre carte est reconnue en tant que modem - générique, notez que le fichier pccard.conf de - défaut spécifie un délai de 10 secondes - (pour éviter le blocage de certains modems); cela peut - être bien plus que nécessaire pour votre + <quote>génériques</quote>: en particulier la plupart + des modems (16-bits) devraient fonctionner parfaitement, + dès lors que ce ne sont pas des winmodems (ils existent + aussi même en modèles PC-Card, donc faites attention). + Si votre carte est reconnue en tant que modem + générique, notez que le fichier pccard.conf de + défaut spécifie un délai de 10 secondes + (pour éviter le blocage de certains modems); cela peut + être bien plus que nécessaire pour votre modèle, donc vous pouvez avoir envie de le modifier, le réduire ou le retirer totalement.</para> <para>Certaines parties de <filename>pccard.conf</filename> - peuvent nécessiter une édition. Contrôler la - ligne irq, et soyez sûr de retirer les nombres - déjà utilisés: en particulier si vous avez + peuvent nécessiter une édition. Contrôler la + ligne irq, et soyez sûr de retirer les nombres + déjà utilisés: en particulier si vous avez une carte son intégrée, retirez l'irq 5 (sinon vous risquez de subir des blocages quand vous insérez une - carte). Vérifiez également le slot mémoire - disponible; si votre carte n'est pas détectée, - essayez de le changer pour une autre des valeurs autorisées + carte). Vérifiez également le slot mémoire + disponible; si votre carte n'est pas détectée, + essayez de le changer pour une autre des valeurs autorisées (listée dans la page de manuel &man.pccardc.8;).</para> - <para>S'il ne tourne pas déjà, lancer le démon + <para>S'il ne tourne pas déjà, lancer le démon pccardd (pour le lancer au démarrage, ajoutez <programlisting>pccard_enable="YES"</programlisting> à <filename>/etc/rc.conf</filename>). Maintenant vos cartes - devraient être détectées quand vous les - insérez et les retirez, et vous devriez obtenir des - messages dans vos traces système au sujet de nouveaux + devraient être détectées quand vous les + insérez et les retirez, et vous devriez obtenir des + messages dans vos traces système au sujet de nouveaux périphériques activés.</para> <para>Il y a eu des changements majeurs au code de pccard (incluant le routage ISA des interruptions, pour les machines - dont le PCIBIOS semble être inutilisable par FreeBSD) avant - la sortie de FreeBSD 4.4. Si vous rencontrez des problèmes, + dont le PCIBIOS semble être inutilisable par FreeBSD) avant + la sortie de FreeBSD 4.4. Si vous rencontrez des problèmes, essayez de mettre à jour votre système.</para> - </sect1> + </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Gestion d'énergie</title> - <para>Malheureusement, cela n'est pas supporté de - façon fiable par FreeBSD. Si vous êtes chanceux, - quelques fonctions pourraient fonctionner correctement, ou + <para>Malheureusement, cela n'est pas supporté de + façon fiable par FreeBSD. Si vous êtes chanceux, + quelques fonctions pourraient fonctionner correctement, ou pourraient ne pas fonctionner du tout.</para> <para>Pour l'autoriser, vous aurez peut-être besoin de compiler un noyau avec le support de la gestion d'énergie (<literal>device apm0</literal>) ou rajoutez l'option <literal>enable apm0</literal> au fichier - <filename>/boot/loader.conf</filename>, et aussi lancez le - démon apm au démarrage (ligne + <filename>/boot/loader.conf</filename>, et aussi lancez le + démon apm au démarrage (ligne <literal>apm_enable="YES"</literal> dans <filename>/etc/rc.conf</filename>). Les commandes apm sont - énumérées dans la page de manuel &man.apm.8;. - Par exemple, <command>apm -b</command> vous donne l'état de - la batterie ( ou 255 si non supporté), - <command>apm -Z</command> met l'ordinateur portable en veille, - <command>apm -z</command> (ou zzz) le place en mode hibernation. - Pour arrêter la machine, utilisez - <command>shutdown -p</command>. Encore une fois, certaines ou - toutes ces fonctions peuvent ne pas fonctionner correctement ou pas - du tout. Il se peut qui vous trouviez que l'hibernation/veille - fonctionne en mode console mais pas sous X (c'est l'écran + énumérées dans la page de manuel &man.apm.8;. + Par exemple, <command>apm -b</command> vous donne l'état de + la batterie ( ou 255 si non supporté), + <command>apm -Z</command> met l'ordinateur portable en veille, + <command>apm -z</command> (ou zzz) le place en mode hibernation. + Pour arrêter la machine, utilisez + <command>shutdown -p</command>. Encore une fois, certaines ou + toutes ces fonctions peuvent ne pas fonctionner correctement ou pas + du tout. Il se peut qui vous trouviez que l'hibernation/veille + fonctionne en mode console mais pas sous X (c'est l'écran qui ne se rallume pas, dans ce cas, basculez sur une console virtuelle, en utilisant Ctrl-Alt-F1 ou une autre touche de fonction, et alors exécuter la commande apm). @@ -218,9 +218,9 @@ <para>Le système X window (XFree86) inclut aussi la gestion de l'alimentation de l'affichage (lire la page de manuel &man.xset.1; et y rechercher le terme dpms). Il se peut que vous - désiriez l'étudier en détail. Cependant, cela, + désiriez l'étudier en détail. Cependant, cela, aussi, ne fonctionne pas correctement sur les ordinateurs portables: - souvent l'affichage est éteint mais pas le + souvent l'affichage est éteint mais pas le rétro-éclairage.</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/linux-users/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/articles/linux-users/Makefile index 82fc436564..4c0ac44d24 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/linux-users/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/linux-users/Makefile @@ -1,4 +1,4 @@ -# +# # $FreeBSD$ # # Article: FreeBSD Quickstart for Linux Users diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/make-world/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/make-world/article.sgml index d3551ff259..bcc27ee135 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/make-world/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/make-world/article.sgml @@ -11,7 +11,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: 1.39 ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -28,7 +28,7 @@ <pubdate>10 Juillet 1997</pubdate> <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> - + <abstract> <para>Ce document présuppose que vous ayez installé une version du code source de FreeBSD dans le répertoire <filename>/usr/src</filename>. @@ -37,7 +37,7 @@ sur la branche -stable. Vous pouvez avoir téléchargé l'instantané le plus récent, ou bien rester à jour en utilisant les mécanismes fournis par CVSup ou CTM.</para> - + <para>Dans les deux cas, vous disposez du code source et voulez maintenant mettre à jour votre système.</para> @@ -50,20 +50,20 @@ &trans.a.haby; </abstract> </articleinfo> - + <sect1> <title>Avertissements préalables</title> <note> <title>Faites une sauvegarde</title> - + <para>Je n'insisterai jamais assez sur l'importance de faire un sauvegarde de votre système <emphasis>avant</emphasis> toute autre chose. Bien qu'il - soit facile de “refaire le monde” + soit facile de “refaire le monde” (N.d.T.: recompiler FreeBSD) - si vous suivez ces instructions, vous ferez forcément des erreurs à un moment ou à un autre, sans compter les erreurs des autres dans l'arborescence des sources qui empêcheraient votre système de redémarrer.</para> - + <para>Assurez-vous que vous avez bien fait une sauvegarde. Ayez une disquette de maintenance à portée de la main. Je n'ai jamais eu à les utiliser, et, je touche du bois, espère ne jamais devoir m'en servir, @@ -73,24 +73,24 @@ <note> <title>Abonnez-vous à la bonne liste de diffusion</title> - <para>Les branches -stable et -current du code de FreeBSD sont, par nature, + <para>Les branches -stable et -current du code de FreeBSD sont, par nature, <emphasis>en développement</emphasis>. Les gens qui participent au projet FreeBSD sont humains, et des erreurs se produisent parfois.</para> <para>Ces erreurs sont parfois bénignes. Votre système affiche simplement - un nouveau message d'avertissement. Elles peuvent aussi être + un nouveau message d'avertissement. Elles peuvent aussi être catastrophiques, et empêcher votre système de redémarrer, détruire vos systèmes de fichiers (ou pire).</para> <para>Quand de tels problèmes se produisent, un avertissement “heads up” est posté sur la liste de diffusion appropriée, décrivant le problème et les machines concernées. Un message - “all clear” est diffusé quand le problème est + “all clear” est diffusé quand le problème est résolu.</para> <para>Si vous restez à niveau sur -stable ou -current et ne lisez pas <email>FreeBSD-stable@FreeBSD.ORG</email> ou - <email>FreeBSD-current@FreeBSD.ORG</email>, vous allez au devant + <email>FreeBSD-current@FreeBSD.ORG</email>, vous allez au devant d'ennuis.</para> </note> @@ -101,14 +101,14 @@ spécifiques, et n'ai probablement pas votre réponse. Les membres de ces listes de diffusion sont nombreux, expérimentés et serviables, aussi, posez leur vos questions. Adressez-moi cependant vos commentaires, - réponses et corrections<footnote><para>En anglais !</para></footnote>. + réponses et corrections<footnote><para>En anglais !</para></footnote>. Si vous vous adressez à moi au sujet de ce document, <emphasis>merci</emphasis> de m'indiquer le numéro de version - qui se trouve en haut de cette page, que je sache à quelle version vous + qui se trouve en haut de cette page, que je sache à quelle version vous faites référence.</para> <para>Ce document est un effort collectif. De nombreuses personnes y ont - participé, elles sont mentionnées dans les + participé, elles sont mentionnées dans les <link linkend="contributors">Contributions</link> en fin de document.</para> @@ -121,7 +121,7 @@ <itemizedlist> <listitem> <para>Le document redistribué doit inclure la notice de copyright - ci-dessus et l'avertissement ci-dessous, avant le corps du + ci-dessus et l'avertissement ci-dessous, avant le corps du document.</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -138,10 +138,10 @@ ANY WAY OUT OF THE USE OF THIS TUTORIAL, EVEN IF ADVISED OF THE POSSIBILITY OF SUCH DAMAGE.</para> - <para>CE DOCUMENT EST FOURNI PAR NIK CLAYTON “TEL QUEL” ET - AUCUNE GARANTIE EXPRESSE OU IMPLICITE, Y COMPRIS, MAIS NON LIMITEE, + <para>CE DOCUMENT EST FOURNI PAR NIK CLAYTON “TEL QUEL” ET + AUCUNE GARANTIE EXPRESSE OU IMPLICITE, Y COMPRIS, MAIS NON LIMITEE, GARANTIES IMPLICITES DE COMMERCIABILITE ET D'ADEQUATION A UN BUT - PARTICULIER N'EST DONNEE. EN AUCUN CAS NIK CLAYTON NE + PARTICULIER N'EST DONNEE. EN AUCUN CAS NIK CLAYTON NE SAURAIT ETRE TENU RESPONSABLE DES DOMMAGES DIRECTS, INDIRECTS, ACCIDENTELS, SPECIAUX OU CONSEQUENTS (Y COMPRIS, MAIS SANS LIMITATION, LA FOURNITURE DE BIENS ET SERVICES @@ -153,17 +153,17 @@ DE LA POSSIBILITE D'UN TEL DOMMAGE.</para> </important> </sect1> - + <sect1> <title>Examinez <filename>/etc/make.conf</filename></title> - + <para>Reportez-vous au fichier <filename>/etc/make.conf</filename>. - Il contient les valeurs par défaut utilisées par la commande + Il contient les valeurs par défaut utilisées par la commande <command>make</command>, qui sera employée pour la recompilation. Elles sont aussi - utilisées toutes les fois que vous invoquez <command>make</command>, il est donc + utilisées toutes les fois que vous invoquez <command>make</command>, il est donc bon de vous assurer qu'elles comportent les valeurs appropriées à votre système.</para> - + <para>Tout y est, par défaut, en commentaire. Activez les options qui vous paraissent utiles. Pour un utilisateur normal (qui ne développe pas), il faut probablement utiliser les définitions de CFLAGS et @@ -200,7 +200,7 @@ Il y a de fortes chances qu'ils n'aient pas été définis avant la mise à jour. C'est une source de problèmes.</para> - <para>L'exemple le plus récent concerne l'ajout du groupe “ppp” + <para>L'exemple le plus récent concerne l'ajout du groupe “ppp” (renommé par la suite “network”). Les utilisateurs ont vu leur mise à jour avorter à l'installation du sous-sytème <filename>ppp</filename> sous un groupe inexistant (chez eux).</para> @@ -227,11 +227,11 @@ (qui peut être un nom de groupe ou un identifiant numérique).</para> </tip> </sect1> - + <sect1> <title>Passez en mode mono-utilisateur</title> - <para>Il vaut mieux recompiler le système en mode mono-utilisateur. En + <para>Il vaut mieux recompiler le système en mode mono-utilisateur. En dehors du fait que cela ira un peu plus vite, la réinstallation va modifier un grand nombre de fichiers systèmes importants, tous les binaires de base, les bibliothèques, les fichiers inclus et ainsi de @@ -239,21 +239,21 @@ s'il y a des utilisateurs connectés à ce moment là), c'est aller au devant de problèmes.</para> - <para>Cela dit, si vous avez confiance en vous, vous pouvez vous en + <para>Cela dit, si vous avez confiance en vous, vous pouvez vous en passer.</para> - + <note> <title>Version 2.2.5 et ultérieure</title> - <para>Comme décrit plus bas, la version 2.2.5 et les suivantes de + <para>Comme décrit plus bas, la version 2.2.5 et les suivantes de FreeBSD séparent la recompilation et l'installation. Vous pouvez dès lors <emphasis>compiler</emphasis> le nouveau système en mode multi-utilisateurs et passer en mode mono-utilisateur juste pour l'installer.</para> </note> - + <para>En tant que super-utilisateur, vous pouvez passer la commande: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>shutdown now</userinput></screen> </informalexample> @@ -262,7 +262,7 @@ mono-utilisateur.</para> <para>Ou bien, redémarrez le système, et, à l'invite de démarrage, entrez - l'indicateur <option>-s</option>. Le système redémarrera en mode + l'indicateur <option>-s</option>. Le système redémarrera en mode mono-utilisateur. A l'invite de l'interpréteur de commandes, exécutez: <informalexample> @@ -272,7 +272,7 @@ <prompt>#</prompt> <userinput>swapon -a</userinput></screen> </informalexample> - pour effectuer la vérification des systèmes de fichiers, remontez + pour effectuer la vérification des systèmes de fichiers, remontez <filename>/</filename> en mode lecture/écriture, et monter tous les autres systèmes de fichiers UFS listés dans le fichier <filename>/etc/fstab</filename>, puis activez la pagination.</para> @@ -285,7 +285,7 @@ dans les sous-répertoires de <filename>/usr/obj</filename> (par défaut). Ces répertoires masquent ceux de <filename>/usr/src</filename>.</para> - <para>Vous pouvez accélérer le travail de “make world”, + <para>Vous pouvez accélérer le travail de “make world”, et peut-être vous éviter quelques maux de tête en supprimant aussi le répertoire <filename>/usr/obj</filename>.</para> @@ -302,11 +302,11 @@ <sect1> <title>Recompilez les sources et installez le nouveau système</title> - + <sect2> <title>Toutes versions</title> - <para>Vous devez être dans le répertoire <filename>/usr/src</filename>, + <para>Vous devez être dans le répertoire <filename>/usr/src</filename>, donc: <informalexample> @@ -315,13 +315,13 @@ (à moins, bien sûr, que votre code source soit ailleurs, auquel cas vous devez aller dans le répertoire correspondant).</para> - + <para>Pour recompiler le système, vous utilisez la commande <citerefentry> <refentrytitle>make</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> </citerefentry>. Cette commande lit ses instructions dans le fichier - <filename>Makefile</filename>, qui décrit comment reconstruire les - modules qui constituent FreeBSD, dans quel ordre, + <filename>Makefile</filename>, qui décrit comment reconstruire les + modules qui constituent FreeBSD, dans quel ordre, et ainsi de suite.</para> <para>Le format général de la commande que vous taperez sera: @@ -335,11 +335,11 @@ une option que vous donnez à <citerefentry> <refentrytitle>make</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> - </citerefentry>. Reportez-vous aux pages de manuel pour connaître les + </citerefentry>. Reportez-vous aux pages de manuel pour connaître les options disponibles.</para> <para><option>-D<replaceable>VARIABLE</replaceable></option> transmet une - variable au fichier <filename>Makefile</filename>. Le comportement de + variable au fichier <filename>Makefile</filename>. Le comportement de <filename>Makefile</filename> est défini par ces variables. Ce sont les mêmes variables que l'on trouve dans <filename>/etc/make.conf</filename>, et c'est un autre moyen de les @@ -351,12 +351,12 @@ <screen><prompt>#</prompt> <userinput>make -DNOPROFILE=true <replaceable>cible</replaceable></userinput></screen> </informalexample> - est une autre manière de dire qu'il ne faut pas compiler les + est une autre manière de dire qu'il ne faut pas compiler les bibliothèques profilées et correspond aux lignes: <programlisting>NOPROFILE= true -# Avoid compiling profiled librairies -# Ne pas compiler les bibliothèques profilées +# Avoid compiling profiled librairies +# Ne pas compiler les bibliothèques profilées </programlisting> du fichier <filename>/etc/make.conf</filename>.</para> @@ -365,17 +365,17 @@ <refentrytitle>make</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> </citerefentry> ce que vous voulez faire. Chaque - <filename>Makefile</filename> définit un certains nombre de + <filename>Makefile</filename> définit un certains nombre de “cibles” différentes, et votre choix de cibles détermine ce qui se passe.</para> - <para>Il y a des cibles définies dans le fichier + <para>Il y a des cibles définies dans le fichier <filename>Makefile</filename> que vous n'avez pas à employer. Ce sont des étapes intermédiaires utilisées - par le processus de recompilation pour décomposer les étapes en + par le processus de recompilation pour décomposer les étapes en sous-étapes.</para> - <para>La plupart du temps, vous n'aurez pas besoin de donner d'options à + <para>La plupart du temps, vous n'aurez pas besoin de donner d'options à <citerefentry> <refentrytitle>make</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> @@ -390,47 +390,47 @@ <sect2> <title>Enregistrez le résultat</title> - <para>C'est une bonne idée d'enregistrer le résultat de + <para>C'est une bonne idée d'enregistrer le résultat de <citerefentry> <refentrytitle>make</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> - </citerefentry> dans un ficher. Si quelque chose se passe mal, vous + </citerefentry> dans un ficher. Si quelque chose se passe mal, vous aurez une trace des messages d'erreur, et la liste complète de ce qui a été fait. Même si cela ne vous aide pas à diagnostiquer ce qui n'a pas - marché, cela peut aider les autres si vous soumettez votre problème sur + marché, cela peut aider les autres si vous soumettez votre problème sur une des listes de diffusion de FreeBSD.</para> - <para>La meilleure façon de faire cela est d'utiliser la commande + <para>La meilleure façon de faire cela est d'utiliser la commande <citerefentry><refentrytitle>script</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> </citerefentry>, avec en paramètre le nom du fichier où enregistrer les résultats. Vous devez faire cela juste avant de recompiler le - système, et taper <userinput>exit</userinput> une fois que c'est + système, et taper <userinput>exit</userinput> une fois que c'est terminé.</para> <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>script /var/tmp/mw.out</userinput> -Script started, output file is /var/tmp/mw.out +Script started, output file is /var/tmp/mw.out <prompt>#</prompt> <userinput>make world</userinput> -<emphasis>… compile, compile, compile …</emphasis> +<emphasis>… compile, compile, compile …</emphasis> <prompt>#</prompt> <userinput>exit</userinput> Script done, … </screen> </informalexample> - <para>Si vous le faites, <emphasis>n'enregistrez pas</emphasis> les - résultats dans <filename>/tmp</filename>. Ce répertoire peut être vidé + <para>Si vous le faites, <emphasis>n'enregistrez pas</emphasis> les + résultats dans <filename>/tmp</filename>. Ce répertoire peut être vidé au prochain redémarrage du sytème. Il vaut mieux les mettre dans - <filename>/var/tmp</filename> - (comme dans l'exemple précédent) ou dans le répertoire utilisateur de + <filename>/var/tmp</filename> + (comme dans l'exemple précédent) ou dans le répertoire utilisateur de root.</para> </sect2> - + <sect2> <title>Version 2.2.2 et antérieure</title> <para><filename>/usr/src/Makefile</filename> contient la cible - “world”, qui recompile tout le système et + “world”, qui recompile tout le système et l'installe.</para> <para>Utilisez donc: @@ -446,7 +446,7 @@ Script done, … <para>A partir de la version 2.2.5 de FreeBSD (de fait, c'est la première version à avoir été créée sur la branche -current, puis rapatriée dans la branche -stable entre les versions 2.2.2 et 2.2.5) la cible - “world” a été décomposée en deux: “buildworld” + “world” a été décomposée en deux: “buildworld” et “installworld”.</para> <para>Comme leurs noms l'indiquent, “buildworld” reconstruit @@ -457,10 +457,10 @@ Script done, … <para>C'est très utile pour deux raisons. Tout d'abord, vous pouvez recompiler en toute sûreté, sans toucher aux composants du système actuel. Le processus est “autonome”. Vous pouvez donc - exécuter “buildworld” sur une machine en mode + exécuter “buildworld” sur une machine en mode multi-utilisateurs sans redouter d'effets fâcheux. Je vous recommande néanmoins de toujours - exécuter l'étape “installworld” en mode + exécuter l'étape “installworld” en mode mono-utilisateur.</para> <para>En second lieu, cela vous permet d'utiliser des systèmes de fichiers @@ -469,13 +469,13 @@ Script done, … exécutez <command>make buildworld</command> et <command>make installworld</command> sur A. B et C doivent alors monter par NFS <filename>/usr/src</filename> et <filename>/usr/obj</filename> - depuis A, et vous pouvez alors exécuter + depuis A, et vous pouvez alors exécuter <command>make installworld</command> pour installer le système recompilé sur B et C.</para> - <para>La cible “world” existe toujours + <para>La cible “world” existe toujours et vous pouvez l'utiliser - exactement comme avec la version 2.2.2. + exactement comme avec la version 2.2.2. <command>make world</command> exécute <command>make buildworld</command> suivi de <command>make installworld</command>.</para> @@ -501,7 +501,7 @@ Script done, … </informalexample> sinon il essayera d'installer les bibliothèques profilées - qui n'ont pas été recompilées à l'étape + qui n'ont pas été recompilées à l'étape <command>make buildworld</command>.</para> </note> </sect2> @@ -509,13 +509,13 @@ Script done, … <sect2> <title>-current et ultérieure</title> - <para>Si vous êtes sur la branche -current, vous pouvez aussi donner + <para>Si vous êtes sur la branche -current, vous pouvez aussi donner l'option <option>-j</option> à <command>make</command>. Cela permet à - <command>make</command> d'exécuter plusieurs programmes + <command>make</command> d'exécuter plusieurs programmes simultanément.</para> - <para>C'est particulièrement utile sur une machine avec plusieurs - processeurs. Néanmoins, comme la compilation est plus gourmande en + <para>C'est particulièrement utile sur une machine avec plusieurs + processeurs. Néanmoins, comme la compilation est plus gourmande en Entrées/Sorties qu'en CPU, c'est aussi utile sur une machine mono-processeur.</para> @@ -530,27 +530,27 @@ Script done, … <refentrytitle>make</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum> </citerefentry> à exécuter 4 programmes simultanément. - Les constatations empiriques postées sur les listes de diffusion - montrent que c'est en général ce qui apporte le plus de gain en + Les constatations empiriques postées sur les listes de diffusion + montrent que c'est en général ce qui apporte le plus de gain en performances.</para> - <para>Si vous avez une machine multi-processeurs et que vous avez - configuré un noyau SMP, essayez des valeurs entre 6 et 10 et voyez quel + <para>Si vous avez une machine multi-processeurs et que vous avez + configuré un noyau SMP, essayez des valeurs entre 6 et 10 et voyez quel bénéfice vous en tirez.</para> <para>N'oubliez pas que c'est toujours expérimental (au moment où j'écris - ceci), et que des modifications de l'arborescence des sources rendent + ceci), et que des modifications de l'arborescence des sources rendent parfois cette possibilité inutilisable. Si vous n'arrivez pas à recompiler avec ce paramètre, essayez sans avant de signaler votre problème.</para> </sect2> - + <sect2> <title>Durée</title> <para>En supposant que tout ce passe bien, il vous faudra attendre entre une heure et demie et une demi-journée.</para> - <para>En règle générale, un P6 200MHz avec plus de 32MB de RAM + <para>En règle générale, un P6 200MHz avec plus de 32MB de RAM et des disques SCSI corrects exécutera <command>make world</command> en environ une heure et demie. Un P133 32MB prendra 5 à 6 heures. Revoyez ces chiffres à la baisse si vos machines sont @@ -567,123 +567,123 @@ Script done, … nouveaux ou modifiés. Il vous faudra le faire à la main, à vue, et en utilisant à bon escient la commande <command>diff</command>.</para> - + <para>Vous ne pouvez pas vous contenter de copier les fichiers de <filename>/usr/src/etc</filename> dans <filename>/etc</filename> pour - que cela marche. Certains de ces fichiers doivent d'abord être + que cela marche. Certains de ces fichiers doivent d'abord être “installés”. En effet le répertoire <filename>/usr/src/etc</filename> <emphasis>n'est pas</emphasis> une simple copie de ce que devrait - contenir votre répertoire<filename>/etc</filename>. De plus, il y a + contenir votre répertoire<filename>/etc</filename>. De plus, il y a des fichiers qui doivent être dans <filename>/etc</filename> et ne sont pas dans <filename>/usr/src/etc</filename>.</para> - + <para>La façon la plus simple de procéder est d'installer les fichiers dans un nouveau répertoire, puis de passer en revue les différences.</para> - + <note> - <title>Sauvegardez vos fichiers actuels dans + <title>Sauvegardez vos fichiers actuels dans <filename>/etc</filename></title> - + <para>Bien qu'en principe rien ne sera modifié automatiquement dans ce répertoire, prudence est mère de sûreté. Copiez donc votre répertoire - <filename>/etc</filename> dans un endroit sûr. + <filename>/etc</filename> dans un endroit sûr. Quelque chose du genre:</para> - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>cp -Rp /etc /etc.old</userinput></screen> </informalexample> - + <para>fera l'affaire (<option>-R</option> fait une copie récursive, <option>-p</option> conserve la date, les autorisations des fichiers et ainsi de suite).</para> </note> - + <para>Vous devez créer un jeu de répertoires provisoires pour y installer - les fichiers de <filename>/etc</filename> et autres. En général, + les fichiers de <filename>/etc</filename> et autres. En général, je les mets dans <filename>/var/tmp/root</filename>; il y a un certain nombre de sous-répertoires à créer. Pour ce faire, exécutez: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>mkdir /var/tmp/root</userinput> <prompt>#</prompt> <userinput>cd /usr/src/etc</userinput> <prompt>#</prompt> <userinput>make DESTDIR=/var/tmp/root distrib-dirs distribution</userinput></screen> </informalexample> - + qui va créer l'arborescence nécessaire et y installera les fichiers. Un grand nombre des sous-répertoires créés dans <filename>/var/tmp/root</filename> seront vides et devront être supprimés. La façon la plus simple de le faire est: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>cd /var/tmp/root</userinput> <prompt>#</prompt> <userinput>find -d . -type d | /usr/bin/perl -lne \ 'opendir(D,$_);@f=readdir(D);rmdir if $#f == 1;closedir(D);'</userinput></screen> </informalexample> - + qui fait une recherche en profondeur, examine chaque répertoire, et s'il ne contient que 2 fichiers (“1” n'est pas une faute de frappe - dans la procédure), i.e. “<filename>.</filename>” et + dans la procédure), i.e. “<filename>.</filename>” et “<filename>..</filename>” supprime le répertoire.</para> - - <para><filename>/var/tmp/root</filename> contient maintenant tous les - fichiers à installer à l'endroit requis sous + + <para><filename>/var/tmp/root</filename> contient maintenant tous les + fichiers à installer à l'endroit requis sous <filename>/</filename>. Vous devez ensuite examiner chacun de ces fichiers pour voir en quoi ils diffèrent de vos propres fichiers.</para> - + <para>Notez que certains des fichiers qui ont été installés dans - <filename>/var/tmp/root</filename> commencent par un “.” Au + <filename>/var/tmp/root</filename> commencent par un “.” Au moment où j'écris ceci, les seuls fichiers concernés sont les fichiers d'initialisation des interpréteurs de commandes dans <filename>/var/tmp/root/</filename> et <filename>/var/tmp/root/root/</filename>, mais il pourrait y en avoir d'autres - (cela dépend de quand vous lirez ces lignes). Assurez-vous d'utiliser + (cela dépend de quand vous lirez ces lignes). Assurez-vous d'utiliser <command>ls -a</command> pour ne pas les oublier.</para> - + <para>La manière la plus simple de procéder est d'utiliser la commande <command>diff</command> pour comparer deux fichiers.</para> - + <para>Par exemple: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>diff /etc/shells /var/tmp/root/etc/shells</userinput></screen> </informalexample> - - vous indiquera les différences entre votre fichier - <filename>/etc/shells</filename> et le nouveau fichier + + vous indiquera les différences entre votre fichier + <filename>/etc/shells</filename> et le nouveau fichier <filename>/etc/shells</filename>. A partir de là, décidez si vous allez reporter les modifications que vous y avez apportées ou si vous allez simplement recopier le nouveau fichier.</para> - + <para><ulink url="http://www.nothing-going-on.demon.co.uk/FreeBSD/make-world/dircmp.pl"><filename>http://www.nothing-going-on.demon.co.uk/FreeBSD/make-world/dircmp.pl</filename></ulink> est une petite procédure Perl (Perl 4.036, qui est installé par défaut à partir de la version 2.0 de FreeBSD) qui compare les fichiers de deux répertoires (<filename>/etc</filename> et - <filename>/var/tmp/root/etc</filename> par défaut) et liste les fichiers + <filename>/var/tmp/root/etc</filename> par défaut) et liste les fichiers absents ou différents dans les deux répertoires.</para> - + <tip> <title>Donnez au nouveau répertoire (<filename>/var/tmp/root</filename>) un nom qui inclue une date, pour pouvoir facilement comparer différentes versions</title> - - <para>Si vous recompilez fréquemment votre système, vous devrez aussi + + <para>Si vous recompilez fréquemment votre système, vous devrez aussi souvent mettre à jour <filename>/etc</filename>, ce qui peut devenir une vrai corvée.</para> - - <para>Vous pouvez accélérer le processus en gardant une copie du dernier - jeu de fichiers reportés dans <filename>/etc</filename>. La + + <para>Vous pouvez accélérer le processus en gardant une copie du dernier + jeu de fichiers reportés dans <filename>/etc</filename>. La procédure suivante vous suggère comment faire.</para> - + <procedure> <step> - <para>Recompilez le système comme d'habitude. Au moment de mettre à - jour <filename>/etc</filename> et les autres répertoires, donnez au - répertoire cible un nom basé sur la date du jour. Si vous faisiez + <para>Recompilez le système comme d'habitude. Au moment de mettre à + jour <filename>/etc</filename> et les autres répertoires, donnez au + répertoire cible un nom basé sur la date du jour. Si vous faisiez cela le 14 Février 1998, vous pouviez procéder comme suit:</para> - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>mkdir /var/tmp/root-980214</userinput> <prompt>#</prompt> <userinput>cd /usr/src/etc</userinput> @@ -691,47 +691,47 @@ Script done, … distrib-dirs distribution</userinput></screen> </informalexample> </step> - + <step> <para>Reportez les modifications depuis ce répertoire comme décrit plus haut.</para> - + <para><emphasis>Ne supprimez pas</emphasis> le répertoire <filename>/var/tmp/root-980214</filename> quand vous aurez terminé.</para> </step> - + <step> - <para>Quand vous chargerez la version la plus récente des sources et + <para>Quand vous chargerez la version la plus récente des sources et la recompilerez, faites de même. Vous aurez alors un nouveau - répertoire, - <filename>/var/tmp/root-980221</filename> par exemple + répertoire, + <filename>/var/tmp/root-980221</filename> par exemple (si vous faites une mise à jour chaque semaine).</para> </step> - + <step> <para>Vous pouvez maintenant voir les modifications intervenues d'une semaine à l'autre avec quelque chose comme: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>cd /var/tmp</userinput> <prompt>#</prompt> <userinput>diff -r root-980214 root-980221</userinput></screen> </informalexample> - + qui vous donnera les différences entre tous les fichiers des deux répertoires.</para> - - <para>Typiquement, il y aura beaucoup moins de différences + + <para>Typiquement, il y aura beaucoup moins de différences qu'entre <filename>/var/tmp/root-980221/etc</filename> - et <filename>/etc</filename>. Comme il y a beaucoup moins de - différences, il est beaucoup plus facile de les reporter dans + et <filename>/etc</filename>. Comme il y a beaucoup moins de + différences, il est beaucoup plus facile de les reporter dans le répertoire <filename>/etc</filename>.</para> </step> - + <step> - <para>Vous pouvez maintenant supprimer le plus ancien des deux + <para>Vous pouvez maintenant supprimer le plus ancien des deux répertoires <filename>/var/tmp/root-*</filename>: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>rm -rf /var/tmp/root-980214</userinput></screen> </informalexample> @@ -744,18 +744,18 @@ Script done, … </step> </procedure> - <para>Vous pouvez utiliser la commande <command>date(1)</command> pour + <para>Vous pouvez utiliser la commande <command>date(1)</command> pour automatiser la génération des noms de répertoires. Par exemple: <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>mkdir /var/tmp/root-`date "+%y%m%d"`</userinput></screen> </informalexample> - crée un répertoire dont le nom dépend de l'année, du mois et + crée un répertoire dont le nom dépend de l'année, du mois et du jour.</para> </tip> </sect1> - + <sect1> <title>Mettez à jour <filename>/dev</filename></title> @@ -765,11 +765,11 @@ Script done, … <para>Si vous utilisez DEVFS ce qui suit ne vous concerne probalement pas.</para> </note> - + <para>Pour des raisons de sécurité, cette mise à jour se fait en plusieurs étapes.</para> - <para>Copiez tout d'abord <filename>/var/tmp/root/dev/MAKEDEV</filename> + <para>Copiez tout d'abord <filename>/var/tmp/root/dev/MAKEDEV</filename> dans <filename>/dev</filename>. <informalexample> @@ -777,9 +777,9 @@ Script done, … </informalexample></para> <para>Prenez maintenant un instantané de l'état de votre répertoire - <filename>/dev</filename>. Il doit indiquer + <filename>/dev</filename>. Il doit indiquer les propriétaires, les droits et les codes majeur et mineur de chaque - fichier spécial de périphérique, mais pas leur date de dernière mise à jour. + fichier spécial de périphérique, mais pas leur date de dernière mise à jour. La façon la plus facile de procéder est d'utiliser la commande <command>awk</command> pour éliminer les informations inutiles: @@ -794,10 +794,10 @@ Script done, … <screen><prompt>#</prompt> <userinput>sh MAKEDEV all</userinput></screen> </informalexample></para> - <para>Reprenez un instantané de l'état de votre répertoire, cette fois-ci + <para>Reprenez un instantané de l'état de votre répertoire, cette fois-ci dans <filename>/var/tmp/dev2.out</filename>. Comparez maintenant ces deux - instantanés pour voir si certains fichiers spéciaux de périphériques - n'ont pas été recréés. Il ne devrait pas en manquer, mais prudence est + instantanés pour voir si certains fichiers spéciaux de périphériques + n'ont pas été recréés. Il ne devrait pas en manquer, mais prudence est mère de sûreté. <informalexample> @@ -823,11 +823,11 @@ Script done, … omise sans danger.</para> </note> - <para>Pour être exhaustif, vous pouvez aussi mettre à jour les fichiers de - <filename>/stand</filename>. Ces fichiers sont des liens physiques sur - le programme <filename>/stand/sysinstall</filename>. L'édition de liens + <para>Pour être exhaustif, vous pouvez aussi mettre à jour les fichiers de + <filename>/stand</filename>. Ces fichiers sont des liens physiques sur + le programme <filename>/stand/sysinstall</filename>. L'édition de liens de cet exécutable doit être statique, pour qu'on puisse l'utiliser sans - qu'aucun autre système de fichiers (et en particulier + qu'aucun autre système de fichiers (et en particulier <filename>/usr</filename>) ne soit monté.</para> <informalexample> @@ -841,16 +841,16 @@ Script done, … <para>Si votre code source date d'avant le 2 Avril 1998, ou que la version de votre <filename>Makefile</filename> est inférieure à 1.68 (pour FreeBSD-current et les systèmes 3.x) ou à 1.48.2.21 - (pour les systèmes 2.2.x), vous devrez ajouter l'option + (pour les systèmes 2.2.x), vous devrez ajouter l'option <userinput>NOSHARED=yes</userinput> comme suit:</para> <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>make NOSHARED=yes all install</userinput></screen> </informalexample> - + </note> </sect1> - + <sect1> <title>Compilez et installez un nouveau noyau</title> @@ -863,30 +863,30 @@ Script done, … <para>Suivez les instructions du "manuel" pour compiler un nouveau noyau. Si vous avez déjà recompilé un noyau personnalisé - examinez en détail le fichier de configuration + examinez en détail le fichier de configuration <filename>LINT</filename> pour voir s'il y a de nouvelles options dont vous pourriez tirer parti.</para> <para>Une version précédente de ce document suggérait de redémarrer - le système avant de recompiler le noyau. C'est un erreur parce + le système avant de recompiler le noyau. C'est un erreur parce que :</para> <itemizedlist> <listitem><para>Des commandes comme <command>ps</command>, <command>ifconfig</command> and - <command>sysctl</command> peuvent ne plus fonctionner. Dans ce cas, votre + <command>sysctl</command> peuvent ne plus fonctionner. Dans ce cas, votre machine ne peut plus se connecter au réseau.</para></listitem> - + <listitem><para>De même, des utilitaires essentiels comme <command>mount</command> peuvent aussi être inutilisables, - auquel cas <filename>/</filename>, <filename>/usr</filename> et ainsi - de suite, ne peuvent plus être montés. Il y a peu de chances + auquel cas <filename>/</filename>, <filename>/usr</filename> et ainsi + de suite, ne peuvent plus être montés. Il y a peu de chances que cela arrive si vous êtes sur la branche -stable, mais c'est plus probable sur la branche -current après des modifications importantes.</para></listitem> <listitem> <para>Les LKMs ("Loadable Kernel Modules" - modules du noyau à chargement - dynamique) reconstruits en même temps que “world” + dynamique) reconstruits en même temps que “world” peuvent "planter" un noyau plus ancien.</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -894,9 +894,9 @@ Script done, … <para>Pour toutes ces raisons, il vaut mieux recompiler et installer un nouveau noyau avant de redémarrer.</para> - <para>Vous devez recompiler le noyau après avoir terminé + <para>Vous devez recompiler le noyau après avoir terminé <userinput>make world</userinput> (ou <userinput>make - installworld</userinput>). Si vous ne le faites pas (peut-être + installworld</userinput>). Si vous ne le faites pas (peut-être voulez-vous vous assurer que le noyau compile avant de mettre à jour le système), vous pourriez avoir des problèmes. Cela parce que votre commande <command>config</command> n'est pas à niveau @@ -908,14 +908,14 @@ Script done, … <screen><prompt>#</prompt> <userinput>/usr/obj/usr/src/usr.sbin/config <replaceable>NOM_DU_NOYAU</replaceable></userinput></screen> </informalexample> - pour recompiler le noyau avec la nouvelle version de - <command>config</command>. Cela ne marchera peut-être pas à tous les - coups. Il est recommandé d'en finir avec + pour recompiler le noyau avec la nouvelle version de + <command>config</command>. Cela ne marchera peut-être pas à tous les + coups. Il est recommandé d'en finir avec <userinput>make world</userinput> (ou <userinput>make installworld</userinput>) avant de compiler un nouveau noyau.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Redémarrez</title> @@ -933,16 +933,16 @@ Script done, … <sect1> <title>C'est fini</title> - + <para>Vous devriez maintenant avoir mis à jour avec succès votre système FreeBSD. Félicitations.</para> <para>Vous aurez peut-être de petits problèmes si des détails vous ont échappés. Par - exemple, il m'est arrivé d'effacer le fichier + exemple, il m'est arrivé d'effacer le fichier <filename>/etc/magic</filename> au moment de la mise à jour de - <filename>/etc</filename>, de ce fait, la commande + <filename>/etc</filename>, de ce fait, la commande <command>file</command> ne marchait plus. Un petit moment de réflexion et j'ai trouvé que: @@ -952,19 +952,19 @@ Script done, … </informalexample> suffisait à régler ce problème.</para> - </sect1> + </sect1> <sect1> <title>Questions?</title> <sect2> <title>Dois-je refaire le monde à chaque évolution?</title> - + <para>Il n'y a pas de réponse toute faite à cette question, tout dépend de la nature des évolutions. Je viens juste, par exemple, d'exécuter CVSup, et les fichiers suivants ont été modifiés depuis ma dernière recompilation:</para> - + <informalexample> <screen><filename>src/games/cribbage/instr.c</filename> <filename>src/games/sail/pl_main.c</filename> @@ -973,76 +973,76 @@ Script done, … <filename>src/share/mk/bsd.port.mk</filename></screen> </informalexample> - <para>Il n'y a pas là matière à ce que je recompile mon système. Je + <para>Il n'y a pas là matière à ce que je recompile mon système. Je vais simplement aller dans les bons sous-répertoires et exécuter <command>make all install</command>, et c'est à peu près tout. Mais s'il y a des évolutions importantes, par exemple sur <filename>src/lib/libc/stdlib</filename> alors ou je - referais, le monde, ou je recompilerais au moins toutes les parties + referais, le monde, ou je recompilerais au moins toutes les parties du système qui sont liées statiquement - (de même que tout ce que je pourrais avoir ajouté qui serait lié + (de même que tout ce que je pourrais avoir ajouté qui serait lié statiquement).</para> - - <para>En fin de journée, c'est à vous de voir. - Vous préférerez peut-être recompiler votre système tous les quinze + + <para>En fin de journée, c'est à vous de voir. + Vous préférerez peut-être recompiler votre système tous les quinze jours, et laisser les modifications s'empiler pendant ces quinze jours. Ou bien vous préférez ne recompiler que ce qui a changé et vous faire confiance pour repérer ce qui en dépend.</para> - + <para>Et, bien sûr, cela dépend de la fréquence avec laquelle vous voulez faire vos mises à jour, et de si vous êtes sur la branche -stable ou sur la branche -current.</para> </sect2> <sect2> - <title>Ma compilation échoue avec de nombreuses erreurs "signal 12" + <title>Ma compilation échoue avec de nombreuses erreurs "signal 12" (ou tout autre numéro de signal)</title> - + <para>Cela indique généralement un problème matériel. (Re)faire le - monde est un bon moyen de mettre votre matériel sous pression, et + monde est un bon moyen de mettre votre matériel sous pression, et mettra souvent en évidence des défaillances de la mémoire vive. Cela se manifeste normalement de soi-même: le compilation échoue en recevant de mystérieux signaux.</para> - + <para>Vous pouvez vous en assurer si vous relancer la compilation et qu'elle échoue en un endroit différent.</para> - - <para>Dans ce cas, vous ne pouvez guère faire autre chose que + + <para>Dans ce cas, vous ne pouvez guère faire autre chose que d'intervertir les différents composants de votre matériel pour déterminer lequel est en cause.</para> </sect2> - + <sect2> <title>Puis-je détruire <filename>/usr/obj</filename> après avoir fini?</title> - + <para>Tout dépend de comment vous voulez refaire le monde par la suite.</para> - + <para><filename>/usr/obj</filename> contient tous les fichiers objets générés à la compilation. Normalement, une des premières étapes de - “make world” est de supprimer ce répertoire + “make world” est de supprimer ce répertoire et de repartir à zéro. Dans ce cas, conserver ce répertoire <filename>/usr/obj</filename> après en avoir terminé ne sert pas à - grand chose, alors que vous économiseriez pas mal d'espace disque + grand chose, alors que vous économiseriez pas mal d'espace disque (au jour d'aujourd'hui environ 150Mo).</para> - - <para>Néanmoins, si vous savez ce que vous faites, vous pouvez faire en + + <para>Néanmoins, si vous savez ce que vous faites, vous pouvez faire en sorte que “make world” saute cette étape. Les reconstructions ultérieures seront - beaucoup plus rapides, car la plupart des sources n'auront pas besoin - d'être recompilés. Le revers de la médaille est que des + beaucoup plus rapides, car la plupart des sources n'auront pas besoin + d'être recompilés. Le revers de la médaille est que des problèmes de dépendance subtils peuvent se manifester, provoquant l'échec de votre recompilation de manière étrange. Cela génère fréquemment du bruit sur les listes de diffusion de FreeBSD, - quand quelqu'un se plaint que sa mise à jour a échoué, sans réaliser + quand quelqu'un se plaint que sa mise à jour a échoué, sans réaliser qu'il a tenté de brûler les étapes.</para> - + <para>Si vous aimez vivre dangereusement, passez le paramètre “NOCLEAN” à <command>make</command>, comme suit: - + <informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>make -DNOCLEAN world</userinput></screen> </informalexample> @@ -1063,10 +1063,10 @@ Script done, … pour se reconstruire eux-mêmes, et installés de nouveau. Le système entier (y compris maintenant les outils usuels, comme <command>ls</command> ou - <command>grep</command>) est ensuite recompilé avec les nouveaux + <command>grep</command>) est ensuite recompilé avec les nouveaux outils et bibliothèques de base.</para> - <para>Si vous en êtes à cette dernière étape, et que vous le savez + <para>Si vous en êtes à cette dernière étape, et que vous le savez (parce que vous avez consulté les résultats que vous avez enregistrés) alors vous pouvez (avec une bonne chance de réussite) faire: @@ -1088,23 +1088,23 @@ Script done, … -------------------------------------------------------------- </screen> - dans les comptes-rendus de “make world”, cette façon de + dans les comptes-rendus de “make world”, cette façon de procéder est probablement sûre.</para> <para>Si vous ne voyez pas ce message, ou doutez de vous, alors prudence est mère de sûreté, et il vaut mieux tout reprendre depuis le début.</para> </sect2> - + <sect2> <title>Puis-je utiliser une seule machine de <emphasis>référence</emphasis> pour mettre à jour plusieurs machines (NFS)?</title> - + <para>On pose souvent la question sur les listes de diffusion de FreeBSD de savoir s'il est possible de tout compiler sur une seule machine puis d'installer les résultats de cette compilation sur d'autres machines du réseau avec <command>make install</command>.</para> - + <para>C'est quelque chose que je n'ai jamais fait, aussi les indications qui suivent m'ont-elles été données par d'autres ou déduites des <filename>Makefile</filename>s.</para> @@ -1116,7 +1116,7 @@ Script done, … <filename>/dev</filename> sur les machines cibles après cette étape.</para> </note> - + <sect3> <title>Version 2.1.7 et antérieures</title> @@ -1131,7 +1131,7 @@ Message-ID: <Pine.BSI.3.94.970220135725.245C-100000@militzer.me.tuns.ca> Josef Karthauser a demandé: -> Quelqu'un a-t-il la bonne méthode pour mettre à jour +> Quelqu'un a-t-il la bonne méthode pour mettre à jour > les machines d'un réseau? D'abord <command>make world</command>, etc... sur votre machine de référence @@ -1144,9 +1144,9 @@ Ensuite, faites <command>make install</command> avec <filename>/mnt</filename> c machine_de_référence% make install DESTDIR=/mnt -Répétez cela pour chaque machine de votre réseau. +Répétez cela pour chaque machine de votre réseau. Cela marche très bien dans mon cas. - + Antonio </screen> @@ -1159,7 +1159,7 @@ Antonio <sect3> <title>Version 2.2.0 and ultérieures</title> - <para>Entre les versions 2.1.7 et 2.2.0 la cible + <para>Entre les versions 2.1.7 et 2.2.0 la cible “reinstall” a été introduite. Vous pouvez utiliser la méthode décrite ci-dessus pour la version 2.1.7, en remplaçant “install” par @@ -1171,7 +1171,7 @@ Antonio <para>Un bogue est apparu avec cette cible entre les versions 1.68 et 1.107 du <filename>Makefile</filename>, qui impliquait qu'il <emphasis>fallait</emphasis> - avoir les droits d'écriture. Ce bogue a été corrigé avant la + avoir les droits d'écriture. Ce bogue a été corrigé avant la diffusion de la version 2.2.0 de FreeBSD, mais peut encore poser problème si vous avez un vieux serveur sous -stable de cette époque.</para> @@ -1183,7 +1183,7 @@ Antonio <para>Comme décrit plus haut, les cibles “buildworld” et “installworld” peuvent être employées pour recompiler - sur une machine, puis monter par NFS + sur une machine, puis monter par NFS <filename>/usr/src</filename> et <filename>/usr/obj</filename> sur la machine distante et y installer le nouveau système.</para> </sect3> @@ -1206,12 +1206,12 @@ Antonio <listitem> <para>Mieux encore, mettez ces systèmes de fichiers sur - plusieurs disques et utilisez “ccd” + plusieurs disques et utilisez “ccd” ("concatenated disk driver" = pilote de disques concaténés).</para> </listitem> <listitem> - <para>Ne compilez pas les bibliothèques profilées + <para>Ne compilez pas les bibliothèques profilées (mettez “NOPROFILE=true” dans <filename>/etc/make.conf</filename>). Vous n'en avez certainement pas besoin.</para> @@ -1223,7 +1223,7 @@ Antonio L'optimisation “-O2” est bien plus lente, et la différence d'optimisation entre “-O” et “-O2” est en général négligeable. “-pipe” - dit au compilateur d'utiliser des tuyaux (“pipes”) + dit au compilateur d'utiliser des tuyaux (“pipes”) à la place de fichiers, ce qui économise des accès disque (mais utilise plus de mémoire).</para> </listitem> @@ -1232,7 +1232,7 @@ Antonio <para>Donnez l'option <option>-j<n></option> au compilateur (Si vous avez une version suffisamment récente de FreeBSD) pour exécuter plusieurs programmes en parallèle. Cela améliore - les choses, que vous ayez une machine mono- ou + les choses, que vous ayez une machine mono- ou multi-processeurs. </para> </listitem> @@ -1253,9 +1253,9 @@ Antonio <note> <para>Cet exemple suppose que <filename>/usr/src</filename> - constitue à lui seul un système de fichiers. Si ce n'est + constitue à lui seul un système de fichiers. Si ce n'est pas le cas (s'il fait partie de - <filename>/usr</filename> par exemple) vous devez indiquez + <filename>/usr</filename> par exemple) vous devez indiquez le point de montage de ce système de fichiers, et non <filename>/usr/src</filename>.</para> </note></para> @@ -1275,14 +1275,14 @@ Antonio fichiers plus fragile. Avec cette option, les risques sont accrus qu'en cas de coupure d'alimentation, le système de fichiers soit irrécupérable quand la machine redémarrera.</para> - + <para>S'il n'y a que <filename>/usr/obj</filename> sur ce système - de fichiers, ce n'est pas un problème. S'il contient des + de fichiers, ce n'est pas un problème. S'il contient des informations plus sensibles, assurez-vous que vos sauvegardes soient à jour avant d'activer cette option.</para> </note> - + <para><informalexample> <screen><prompt>#</prompt> <userinput>mount -u -o async /usr/obj</userinput></screen> </informalexample> @@ -1314,7 +1314,7 @@ Antonio url="http://www.rr.iij4u.or.jp/~bishop/FreeBSD/mw.html">http://www.rr.iij4u.or.jp/~bishop/FreeBSD/mw.html</ulink>.</para> </sect2> </sect1> - + <sect1 id="contributors"> <title>Contributions</title> @@ -1332,14 +1332,14 @@ Antonio <listitem> <para>Sue Blake, <ulink url="mailto:sue@welearn.com.au">sue@welearn.com.au</ulink></para> </listitem> - + <listitem> <para>Brian Haskin, <ulink url="mailto:haskin@ptway.com">haskin@ptway.com</ulink></para> </listitem> <listitem> <para>Kees Jan Koster, <ulink url="mailto:kjkoster@kjkoster.org">kjkoster@kjkoster.org</ulink></para> </listitem> - + <listitem> <para>A Joseph Kosy, <ulink url="mailto:koshy@india.hp.com">koshy@india.hp.com</ulink></para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/mh/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/mh/article.sgml index 196269f72e..b8fb60c456 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/mh/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/mh/article.sgml @@ -11,7 +11,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: 1.2 ---> +--> <article id="mh" lang="fr"> <articleinfo> @@ -27,62 +27,62 @@ </authorgroup> <pubdate>v1.0, 16 Janvier 1996</pubdate> <abstract> - <para>Ce document est une introduction sur la façon d'utiliser MH + <para>Ce document est une introduction sur la façon d'utiliser MH sous FreeBSD.</para> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </abstract> <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> </articleinfo> <sect1> <title>Introduction</title> - <para>MH débuta en 1977 dans la société RAND + <para>MH débuta en 1977 dans la société RAND Corporation, oû la philosophie MH fut développée. MH - n'est pas seulement un programme monolithique de courrier - électronique mais plutôt une philosophie sur la meilleure + n'est pas seulement un programme monolithique de courrier + électronique mais plutôt une philosophie sur la meilleure façon de développer des outils permettant de lire son - courrier. Les développeurs de MH ont fourni un logiciel superbe - tout en adhérent au concept <acronym>KISS</acronym> : - “Keep It Simple Stupid” (Rester le plus simple + courrier. Les développeurs de MH ont fourni un logiciel superbe + tout en adhérent au concept <acronym>KISS</acronym> : + “Keep It Simple Stupid” (Rester le plus simple possible).</para> - <para>Plutôt que de disposer d'un seul et complexe logiciel pour - lire, envoyer et gérer ses courriers électroniques, ils + <para>Plutôt que de disposer d'un seul et complexe logiciel pour + lire, envoyer et gérer ses courriers électroniques, ils ont écrit une multitude de petits programmes spécialisés. Certains aimeront MH pour cette spécificité, d'autres non. Chaque outil de MH effectue une action, et l'effectue très bien.</para> - <para>En plus de tous les outils de gestion des courriers - électroniques, chaque outil MH comporte un mécanisme de - configuration uniforme. En fait, si vous ne savez pas vraiment comment - marche un outil, ou de quels arguments il dispose, vous vous en sortez + <para>En plus de tous les outils de gestion des courriers + électroniques, chaque outil MH comporte un mécanisme de + configuration uniforme. En fait, si vous ne savez pas vraiment comment + marche un outil, ou de quels arguments il dispose, vous vous en sortez généralement très facilement. Toutes les commandes - de MH gèrent de façon identique les fichiers de + de MH gèrent de façon identique les fichiers de configuration et les arguments de la ligne de commande. La chose la plus - importante est de se souvenir que vous pouvez toujours passer l'option - <option>-help</option> à une commande pour afficher toutes les + importante est de se souvenir que vous pouvez toujours passer l'option + <option>-help</option> à une commande pour afficher toutes les options disponibles.</para> - <para>Pour commencer, assurez vous que vous avez installé les + <para>Pour commencer, assurez vous que vous avez installé les programmes de MH sur votre machine. Si vous disposez d'un CDROM vous - devez pouvoir l'installer en exécutant la commande + devez pouvoir l'installer en exécutant la commande suivante :</para> <informalexample> <screen>#<userinput>>pkg_add /cdrom/packages/mh-6.8.3.tgz</userinput></screen> </informalexample> <para>Vous verrez alors la création d'un répertoire - <filename>/usr/local/lib/mh</filename> ainsi que l'ajout de - différents binaires dans le répertoire - <filename>/usr/local/bin</filename>. Si vous préférez le - compiler vous même, vous pouvez télécharger les - sources en ftp anonyme depuis - <ulink url="ftp://ftp.ics.uci.edu/">ftp.ics.uci.edu</ulink> ou + <filename>/usr/local/lib/mh</filename> ainsi que l'ajout de + différents binaires dans le répertoire + <filename>/usr/local/bin</filename>. Si vous préférez le + compiler vous même, vous pouvez télécharger les + sources en ftp anonyme depuis + <ulink url="ftp://ftp.ics.uci.edu/">ftp.ics.uci.edu</ulink> ou <ulink url="ftp://louie.udel.edu/">louie.udel.edu</ulink>.</para> <para>Cette introduction n'est pas une explication détaillée - de la façon de fonctionner de MH. Elle vous permettra juste + de la façon de fonctionner de MH. Elle vous permettra juste démarrer sur la route de la façon la plus rapide de lire vos emails. Vous devrez surement consulter les pages de manuels des différentes commandes par la suite. De même il serait bon de lire le <ulink -url="http://www.cis.ohio-state.edu/hypertext/faq/usenet/mh-faq/part1/faq.html">FAQ +url="http://www.cis.ohio-state.edu/hypertext/faq/usenet/mh-faq/part1/faq.html">FAQ sur MH</ulink> et de vous abonnez au forum de discussion <ulink url="news:comp.mail.mh">comp.mail.mh</ulink>. Cependant la meilleur ressource sur MH est le livre écrit par Jerry Peek aux éditions @@ -103,8 +103,8 @@ comme <command>show</command> c'est plus qu'utile.</para> <para>Une liste de messages consiste en quelque chose comme <parameter>23 20 16</parameter>, qui corresponds aux messages 23, 20 et 16. C'est vraiment très simple, mais vous pouvez avoir des choses plus utiles comme -<parameter>23-30</parameter> correspondant à tous les messages entre le message -23 et le message 30. Vous pouvez aussi spécifier <parameter>cur:10</parameter>, +<parameter>23-30</parameter> correspondant à tous les messages entre le message +23 et le message 30. Vous pouvez aussi spécifier <parameter>cur:10</parameter>, qui correspond au message courant et aux 9 messages suivants. Les messages <parameter>cur</parameter><parameter>last</parameter>, et <parameter>first</parameter> sont des messages spéciaux référant au message courant, dernier @@ -114,7 +114,7 @@ message, et premier message du dossier.</para> <title><command>inc</command>, <command>msgchk</command>—lire ou vérifier vos messages</title> -<para>Si vous tapez la commande <userinput>inc</userinput> sans arguments, vous +<para>Si vous tapez la commande <userinput>inc</userinput> sans arguments, vous débutez sur la bonne voie pour lire votre courrier avec MH. La première fois ou vous utilisez <command>inc</command>, il configurera votre compte pour utilisez toutes les valeurs par défaut de MH et vous @@ -133,7 +133,7 @@ Vous obtenez la même vue que si vous utilisiez la commande <command>scan</comman , cela vous affiche juste le courrier qui vous est destiné.</para> <para>Enormément de personnes utilisent le protocole POP pour lire -leur mail. MH sait utiliser le protocole POP pour rapatrier les emails +leur mail. MH sait utiliser le protocole POP pour rapatrier les emails sur votre poste. Vous devez passer plusieurs arguments à <command>inc</command> pour cela. <informalexample> @@ -193,20 +193,20 @@ l'envoyeur, le sujet et une partie du début du message. Le caractère tapez la commande <command>show</command> vous visualiserez ce message.</para> <para>Une option très utile de <command>scan</command> est l'option -<option>-reverse</option>. Cette option permet de lister l'ensemble de +<option>-reverse</option>. Cette option permet de lister l'ensemble de vos messages en affichant en premier le message ayant le numéro le plus élevé. Une autre option très interessante de <command>scan</command> lui permet de lire les données depuis un -fichier. Si vous désirez parcourir votre boite aux lettres de courrier +fichier. Si vous désirez parcourir votre boite aux lettres de courrier entrant sans avoir à lancer la commande <command>inc</command>, il vous suffit de faire <command>scan -file -/var/mail/<replaceable>nom_d_utilisateur</replaceable></command>. Cela +/var/mail/<replaceable>nom_d_utilisateur</replaceable></command>. Cela peut etre fait sur n'importe quel fichier au format <database>mbox</database>.</para> </sect2> <sect2 id="rmm"> -<title><command>rmm</command> et <command>rmf</command>— Effacer +<title><command>rmm</command> et <command>rmf</command>— Effacer le message courant ou le dossier</title> <para><command>rmm</command> est utilisé pour effacer un message. Par @@ -230,7 +230,7 @@ Incorporating new mail into inbox... 36+ 01/19 "Stephen L. Lange Request...<<Please remove me as contact for pind 37 01/19 Matt Thomas Re: kern/950: Two PCI bridge chips fail (multipl - 38 01/19 "Amancio Hasty Jr Re: FreeBSD and VAT<<>>> Bill Fenner said: > In + 38 01/19 "Amancio Hasty Jr Re: FreeBSD and VAT<<>>> Bill Fenner said: > In tempest%</screen> </informalexample> Cela vous permet de visualiser les nouveaux messages rapatriés dans @@ -261,10 +261,10 @@ X-Authentication-Warning: whydos.lkg.dec.com: Host localhost didn't use HELO pro tocol To: hsu@clinet.fi Cc: hackers@FreeBSD.org -Subject: Re: kern/950: Two PCI bridge chips fail (multiple multiport ethernet - boards) +Subject: Re: kern/950: Two PCI bridge chips fail (multiple multiport ethernet + boards) In-Reply-To: Your message of "Fri, 19 Jan 1996 00:18:36 +0100." - <199601182318.AA11772@Sysiphos> + <199601182318.AA11772@Sysiphos> X-Mailer: exmh version 1.5omega 10/6/94 Date: Fri, 19 Jan 1996 17:56:40 +0000 From: Matt Thomas <matt@lkg.dec.com> @@ -281,20 +281,20 @@ message courant au message suivant. Maintenant vous désirez visualiser les dix courriers les plus récents, pour choisir lequel vous désirez lire: <informalexample> <screen>tempest% <userinput>scan last:10</userinput> - 26 01/16 maddy Re: Testing some stuff<<yeah, well, Trinity has + 26 01/16 maddy Re: Testing some stuff<<yeah, well, Trinity has 27 01/17 Automatic digest NET-HAPPENINGS Digest - 16 Jan 1996 to 17 Jan 19 - 28 01/17 Evans A Criswell Re: Hey dude<<>From matt@tempest.garply.com Tue + 28 01/17 Evans A Criswell Re: Hey dude<<>From matt@tempest.garply.com Tue 29 01/16 Karl Heuer need configure/make volunteers<<The FSF is looki 30 01/18 Paul Stephanouk Re: [alt.religion.scientology] Raw Meat (humor)< 31 01/18 Bill Lenherr Re: Linux NIS Solaris<<--- On Thu, 18 Jan 1996 1 34 01/19 John Fieber Re: Stuff for the email section?<<On Fri, 19 Jan 35 01/19 support@foo.garpl [garply.com #1138] parlor<<Hello. This is the Ne 37+ 01/19 Matt Thomas Re: kern/950: Two PCI bridge chips fail (multipl - 38 01/19 "Amancio Hasty Jr Re: FreeBSD and VAT<<>>> Bill Fenner said: > In + 38 01/19 "Amancio Hasty Jr Re: FreeBSD and VAT<<>>> Bill Fenner said: > In tempest%</screen> </informalexample> Maintenant vous voulez lire le message numéro 27, donc vous -tapez<userinput>show 27</userinput> et il s'affiche. Comme vous pouvez +tapez<userinput>show 27</userinput> et il s'affiche. Comme vous pouvez le voir après ce court exemple MH est très simple à utiliser pour visualiser et lire votre courrier et est de plus très intuitif. </para> @@ -312,8 +312,8 @@ comme d'habitude. Une chose dont nous n'avons pas encore parlé est le concept de dossier. Vous avez sûrement utilisé le concept de dossier avec d'autres programmes de lecture de courrier électronique. MH a aussi des dossiers. MH peut aussi avoir des sous-dossiers de -dossiers. Un chose que vous devez avoir à l'esprit quand vous utilisez -la commande <command>inc</command>, pour la première fois, est qu'elle +dossiers. Un chose que vous devez avoir à l'esprit quand vous utilisez +la commande <command>inc</command>, pour la première fois, est qu'elle demande si vous voulez créer le répertoire <filename>Mail</filename>, et qu'elle enregistre tout dans ce répertoire. Si vous regardez ce qu'il se trouve dans ce répertoire, vous verrez un répertoire @@ -328,7 +328,7 @@ nouveau message arrive, il est déposé dans votre répertoire <filename>inbox</filename> avec comme nom le numéro du message. Donc même si vous n'avez pas les outils MH pour lire votre courrier, vous pouvez utiliser les commandes standards UNIX pour vous déplacer -parmis les dossiers et visualiser vos messages. C'est cette simplicité +parmis les dossiers et visualiser vos messages. C'est cette simplicité qui vous donne autant de puissance dans le traitement de vos messages.</para> @@ -337,12 +337,12 @@ comme <parameter>23 16 42</parameter>, avec la plupart des commandes MH; il y a une option utilisable avec toutes les commandes MH vous permettant de travailler dans le dossier spécifié. Si vous essayer <command>scan +freebsd</command>, vous allez parcourir le dossier -<filename>freebsd</filename>. Si vous faites un <command>show +freebsd +<filename>freebsd</filename>. Si vous faites un <command>show +freebsd 23 16 42</command>, la commande <command>show</command> affichera les messages 23, 26 et 42 du dossier <filename>freebsd</filename>. Donc souvenez vous que la syntaxe <option>+<replaceable>dossier</replaceable></option>. Vous en aurez besoin pour -lancer les commandes dans les différents dossiers. Souvenez vous aussi +lancer les commandes dans les différents dossiers. Souvenez vous aussi que votre dossier de courrier entrant par défaut est <filename>inbox</filename>, donc en faisant un <command>folder +inbox</command> vous aurez la liste de vos nouveaux messages. Bien @@ -353,9 +353,9 @@ mais il y a peu d'intêret à le faire.</para> <title><command>pick</command>— recherche par critères dans les messages</title> <para><command>pick</command> est une des commandes les plus -compliquées de MH. Je ne saurais pas mieux vous conseiller que d'aller +compliquées de MH. Je ne saurais pas mieux vous conseiller que d'aller voir la page de manuel de -<citerefentry><refentrytitle>pick</refentrytitle><manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> +<citerefentry><refentrytitle>pick</refentrytitle><manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> pour bien la comprendre. La plus simple façon de s'en servir est la suivante: <informalexample> @@ -371,7 +371,7 @@ comprenant le mot <literal>pci</literal> dans une des lignes du message. Vous pouvez ensuite lancer la commande <command>show</command> sur ces messages pour les lire ou <command>rmm</command> pour les effacer. Vous devrez bien sur lancer -la commande suivante <command>show 15 42 55-57</command> pour les voir +la commande suivante <command>show 15 42 55-57</command> pour les voir tous. Une façon un peu plus compliquée d'utiliser <command>pick</command> serait la suivante: <informalexample> @@ -379,12 +379,12 @@ tous. Une façon un peu plus compliquée d'utiliser 5 hits tempest% <userinput>show pick</userinput></screen> </informalexample> -Cela vous permet de voir les memes messages que précédemment sans vous +Cela vous permet de voir les memes messages que précédemment sans vous fatiguer. L'option <option>-seq</option> n'est rien de plus qu'une abréviation de l'option<option>-sequence</option> et la commande <command>pick</command> n'est rien de plus qu'une sequence comportant les numéros des messages vérifiant le critère. Vous pouvez aussi -utiliser la commande <command>rmm pick</command> pour effacer tous les +utiliser la commande <command>rmm pick</command> pour effacer tous les messages qui répondent au critère. Le nom de la sequence n'est pas signifiant. Si vous relancez la commande <command>pick</command> de nouveau, l'ancienne séquence sera effacée si vous utilisez le même @@ -472,23 +472,23 @@ Ces options permettent de faire des choses comme ceci: <screen>tempest% <userinput>pick -to freebsd-hackers -and -cc freebsd-hackers</userinput></screen> </informalexample> Cela vous permet de retrouver tous les messages envoyés à la liste -freebsd-hackers ou mis en copie à cette liste. Les options <option>lbrace</option> et +freebsd-hackers ou mis en copie à cette liste. Les options <option>lbrace</option> et <option>rbrace</option> vous permettent de grouper les critères ensemble. Cela peut etre util dans certaines situations, comme dans l'exemple suivant: <informalexample> -<screen>tempest% <userinput>pick -lbrace -to freebsd-hackers -and +<screen>tempest% <userinput>pick -lbrace -to freebsd-hackers -and -not -cc freebsd-questions -rbrace -and -subject pci</userinput></screen> </informalexample></para> <para>Cet exemple vous permet d'extraire tous les mails destinés à <quote>la -liste freebsd-hackers (mais qui ne sont pas mis en copie pour la liste +liste freebsd-hackers (mais qui ne sont pas mis en copie pour la liste freebsd-questions) et dont le sujet est pci</quote>. Normalement vous vous poseriez la question; mais quelle est la précédence des opérateurs ? Vous vous rappelez qu'en mathématiques les expressions sont évaluées de gauche à droite et que la multiplication et la division ont plus de poids que les additions et les soustractions. MH -utilise les mêmes règles pour la commande <command>pick</command>. Les -combinaisons peuvent être très complexes, donc lisez la page de manuel +utilise les mêmes règles pour la commande <command>pick</command>. Les +combinaisons peuvent être très complexes, donc lisez la page de manuel pour plus d'informations. Ce document est juste la pour vous aider à découvrir MH.</para> </sect2> @@ -514,7 +514,7 @@ avez des <quote>discontinuitées</quote> dans vos dossiers. Si vous faites un <command>scan</command> vous pouvez voir les messages 34, 35, 36, 43, 55, 56, 57, 80. Si vous faites un <command>folder -pack</command>, cela vous permet de renuméroter tous vos messages, et vous n'aurez -plus de discontinuitées. Cela n'efface aucun message. Vous devez donc +plus de discontinuitées. Cela n'efface aucun message. Vous devez donc périodiquement faire des <command>rmm</command> sur vos messages.</para> @@ -545,15 +545,15 @@ vous avez lorsque vous changez de dossier avec la commande <para>La commande <command>refile</command> vous permet de déplacer les messages entre les dossiers. Si vous faites un <command>refile 23 -+nouveaudossier</command>, le message 23 sera déplacer dans le dossier -<filename>nouveaudossier</filename>. Vous pouvez tout aussi bien faire ++nouveaudossier</command>, le message 23 sera déplacer dans le dossier +<filename>nouveaudossier</filename>. Vous pouvez tout aussi bien faire un <command>refile 23 +nouveaudossier/sousdossier1</command> qui déplacera le message 23 dans le un sous dossier,<filename>sousdossier1</filename>, du dossier <filename>nouveaudossier</filename>. Si vous voulez garder un message dans le dossier courant tout en le mettant dans un autre, vous devez -lancer la commande <command>refile -link 23 +nouveaudossier</command>, -qui gardera le message dans le dossier <filename>inbox</filename> tout +lancer la commande <command>refile -link 23 +nouveaudossier</command>, +qui gardera le message dans le dossier <filename>inbox</filename> tout en le listant dans le dossier <filename>nouveaudossier</filename>. Cela vous permet de réaliser toutes les choses merveilleuses que vous pouvez faire avec MH.</para> @@ -563,21 +563,21 @@ toutes les choses merveilleuses que vous pouvez faire avec MH.</para> <sect1> <title>Envoyer des messages</title> <para>L'email est pour beaucoup de gens, comme une rue a double sens, -vous voudrez donc répondre a certains messages. La façon qu'emploie MH +vous voudrez donc répondre a certains messages. La façon qu'emploie MH pour envoyer des messages peut être difficile a comprendre au début, mais il permet une énorme flexibilitée.La première chose que fait MH, est de copier un "composant" dans votre file de messages sortant. Un -"composant" est en fait un squelette de message comportant les entêtes +"composant" est en fait un squelette de message comportant les entêtes <filename>To:</filename> et <filename>Subject:</filename>. Le système lance ensuite votre éditeur favori ou vous pouvez remplir les entêtes et composer le corps du message sous les pointillés dans le message. Ensuite vous lancez la commande <command>whatnow</command>. Et lorsque vous avez le prompt -<prompt>What now?</prompt>, vous pouvez répondre par une des commandes +<prompt>What now?</prompt>, vous pouvez répondre par une des commandes suivante <command>send</command>, <command>list</command>, <command>edit</command>, <command>edit</command>, <command>push</command>, and <command>quit</command>. La plupart des commandes précédentes -s'expliquent d'elles même. Donc le processus d'envoi de message est le +s'expliquent d'elles même. Donc le processus d'envoi de message est le suivant; copie du fichier "composant", édition de votre message, et lancement de la commande <command>whatnow</command> en lui indiquant quoi faire de votre message.</para> @@ -587,7 +587,7 @@ quoi faire de votre message.</para> <command>reply</command>—composer, faire suivre ou répondre à un message</title> -<para>La commande <command>comp</command> comporte quelques options de +<para>La commande <command>comp</command> comporte quelques options de la ligne de commande intéressantes. La plus importante est <option>-editor</option>.Lorsque vous installez MH, un programme appelé <command>prompter</command> est utiliser comme éditeur de @@ -604,12 +604,12 @@ Subject: -------- </screen> </informalexample></para> -<para>Vous devez ajoutez l'adresse de votre destinataire après le mot +<para>Vous devez ajoutez l'adresse de votre destinataire après le mot <literal>To:</literal>. Vous devez remplir de la même manière les autres entêtes, donc vous devez mettre le sujet après le mot <literal>Subject:</literal>. Vous pouvez ensuite ajouter le corps de votre message après les lignes pointillées. Cela peut vous sembler un -peu simpliste par rapport a d'autres programmes de messagerie qui vous +peu simpliste par rapport a d'autres programmes de messagerie qui vous pose des questions et remplissent automatiquement les différents entête, mais cela vous apporte une excellente flexibilité. <informalexample> @@ -620,7 +620,7 @@ Subject:<userinput>Et le 8ème jour, Dieu créa le bureau des directeurs de FreeBS <userinput>Ouah, c'est un super système d'exploitation. Merci !</userinput></screen> </informalexample> Vous pouvez ensuite, sauvegarder le message et quitter votre -éditeur. Vous aurez alors le prompt <prompt>What now?</prompt> et vous +éditeur. Vous aurez alors le prompt <prompt>What now?</prompt> et vous pourrez taper <userinput>send</userinput> ou <userinput>s</userinput> et appuyer sur la touche <keycap>entrée</keycap>. Alors l'équipe principal de développement de FreeBSD recevra votre gratitude. Comme @@ -629,7 +629,7 @@ par exemple <command>quit</command> si vous ne voulez pas envoyer ce message.</para> <para>La commande <command>forw</command> s'utilise de façon -similaire. La principal différence est que le message que vous envoyez +similaire. La principal différence est que le message que vous envoyez comprends dans son corps le message courant. Lorsque vous utilisez la commande <command>forw</command>, vous faites suivre le message courant a un autre destinataire. Vous pouvez faire suivre un autre @@ -650,7 +650,7 @@ remplie. Ensuite vous composez de la façon habituelle votre message. Un option intéressante de cette commande est <option>-cc</option>. Vous pouvez utiliser comme paramètre <parameter>all</parameter>, <parameter>to</parameter>, -<parameter>cc</parameter>,<parameter>me</parameter> avec cette option; +<parameter>cc</parameter>,<parameter>me</parameter> avec cette option; cela vous permet d'ajouter de façon simple, les adresses en copie du message original. Vous noterez que le message original n'est pas inclus par défaut. C'est le comportement par défaut de la plupart des @@ -683,7 +683,7 @@ X-Home-Page: http://www.freebsd-fr.org/ -------</screen> </informalexample> MH copiera donc ce fichier et vous enverra dans votre éditeur -favori. Le fichier <filename>components</filename> est très simple. Si +favori. Le fichier <filename>components</filename> est très simple. Si vous désirez inclure une signature, il vous suffit de l'ajouter dans ce fichier.</para> @@ -706,15 +706,15 @@ complexe. Son contenu par défaut ressemble à ceci: <para>Ce fichier a le même format de base que le fichier <filename>components</filename> mais il comporte un peu plus de codes de mise en forme. La commande <literal>%(lit)</literal> crée l'espace -nécessaire pour l'adresse. La commande <literal>%(formataddr</literal> -est une fonction qui retourne une adresse e-mail cohérente. Le morceau +nécessaire pour l'adresse. La commande <literal>%(formataddr</literal> +est une fonction qui retourne une adresse e-mail cohérente. Le morceau suivant <literal>%<</literal> permet de remplir le champ de l'adresse avec l'adresse correspondante dans le cas ou elle se trouve dans le champ <literal>{reply-to}</literal> du message de l'émetteur. Cela sera donc transformé de la manière suivante: <informalexample> <screen>%<<emphasis remap="bf">si</emphasis> {reply-to} <emphasis -remap="bf"> dans le message original ou trouve un champ reply-to</emphasis> +remap="bf"> dans le message original ou trouve un champ reply-to</emphasis> alors la mettre dans le champ formataddr, %? <emphasis remap="bf">sinon prendre le contenu du champ </emphasis> {from} <emphasis remap="bf"></emphasis>, %? <emphasis remap="bf">sinon</emphasis> prendre @@ -725,10 +725,10 @@ le champ {sender} <emphasis remap="bf"></emphasis>, %? <para>Comme vous pouvez le voir, le formattage des champs de MH peut être largement étendu. Vous pourrez sûrement décrypter le maximum des autres fonctions et des noms de variables. Toutes les autres -informations sur le façon d'écrire ces chaînes de formattage se trouve +informations sur le façon d'écrire ces chaînes de formattage se trouve dans la page de manuel de MH. Donc lorsque vous aurez finit de créer votre fichier <filename>replcomps</filename> vous n'aurez plus besoin -d'y toucher. Aucun autre programme ne vous donne autant de flexibilité +d'y toucher. Aucun autre programme ne vous donne autant de flexibilité et de pouvoir que MH.</para> </sect2> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/multi-os/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/multi-os/article.sgml index 7e61b7f960..682d722039 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/multi-os/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/multi-os/article.sgml @@ -11,7 +11,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -32,9 +32,9 @@ <para>6 Aout 1996</para> <para>Ce document explique comment faire cohabiter proprement FreeBSD et d'autres systèmes d'exploitation courants tels que Linux, MS-DOS, OS/2 - et Windows 95. Remerciements particuliers à Annelise Anderson - <email>andrsn@stanford.edu</email>, Randall Hopper - <email>rhh@ct.picker.com</email> et Jordan K. Hubbard + et Windows 95. Remerciements particuliers à Annelise Anderson + <email>andrsn@stanford.edu</email>, Randall Hopper + <email>rhh@ct.picker.com</email> et Jordan K. Hubbard <email>jkh@time.cdrom.com</email>.</para> &trans.a.haby; @@ -43,16 +43,16 @@ <sect1> <title>Résumé</title> <para>La plupart des gens n'arrivent pas à faire cohabiter leurs divers - systèmes d'exploitation sans des disques de grande capacité, + systèmes d'exploitation sans des disques de grande capacité, des informations sur les gros disques EIDE sont donc incluses. Comme il y a de nombreuses combinaisons possibles de systèmes d'exploitation et - de configurations de disques durs, la section - <link linkend="examples">Exemples</link> sera peut-être celle - qui vous sera la plus utile. Elle décrit plusieurs configurations + de configurations de disques durs, la section + <link linkend="examples">Exemples</link> sera peut-être celle + qui vous sera la plus utile. Elle décrit plusieurs configurations d'ordinateurs utilisant plusieurs systèmes d'exploitation.</para> <para>Ce document suppose que vous avez déjà préparé de la place sur votre disque dur pour un système d'exploitation supplémentaire. Chaque fois que - vous repartitionnez votre disque dur, vous prenez le risque de détruire + vous repartitionnez votre disque dur, vous prenez le risque de détruire les données qui se trouvent sur les partitions existantes. Toutefois, si votre disque est entièrement occupé par DOS, vous trouverez peut-être le programme FIPS (qui se trouve sur le CD-ROM FreeBSD dans le répertoire @@ -89,12 +89,12 @@ <foreignphrase>OS/2 Boot Manager</foreignphrase> est le seul à utiliser sa propre partition distincte, à l'inverse des autres qui utilisent l'enregistrement principal de démarrage - (<foreignphrase>Master Boot + (<foreignphrase>Master Boot Record</foreignphrase> - MBR). Il doit donc être installé dans les 1024 premiers cylindres pour éviter des problèmes de démarrage. Il peut charger Linux en utilisant LILO - lorsque ce dernier se trouve sur le secteur de démarrage et non sur - le MBR. Allez sur les + lorsque ce dernier se trouve sur le secteur de démarrage et non sur + le MBR. Allez sur les <ulink url="http://www.freenix.fr/linux/HOWTO">HOWTO Linux</ulink> sur le World Wide Web pour plus d'informations sur le démarrage de Linux avec le gestionnaire de démarrage d'OS/2.</para> @@ -104,14 +104,14 @@ <term>OS-BS</term> <listitem> <para>C'est une alternative à Boot Easy. Il vous donne plus de - contrôle sur le processus de démarrage, avec la possibilité de + contrôle sur le processus de démarrage, avec la possibilité de sélectionner la partition à démarrer par défaut et le délai de démarrage. La version béta de ce programme vous permet de sélectionner le système d'exploitation à démarrer avec les touches Flèches. Il est inclus sur le CD-ROM FreeBSD dans le répertoire <filename>\TOOLS</filename> et vous pouvez le télécharger par - <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/tools">ftp</ulink>.</para> + <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/tools">ftp</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> @@ -130,9 +130,9 @@ remplace le système de fichiers FAT depuis la version Microsoft OEM SR2 Béta, qui sera utilisée sur les ordinateurs avec Windows 95 pré-installé vers la fin de 1996. Elle convertit le système - de fichiers FAT habituel et permet d'utiliser des tailles + de fichiers FAT habituel et permet d'utiliser des tailles d'agrégat - “<foreignphrase>cluster</foreignphrase>” - plus - petites sur de plus gros disques. La FAT32 modifie aussi le + petites sur de plus gros disques. La FAT32 modifie aussi le secteur de démarrage et la table d'allocation habituels de la FAT, ce qui la rend incompatible avec certains gestionnaires de démarrage.</entry> @@ -143,12 +143,12 @@ </sect1> <sect1 id="typical"> <title>Une configuration typique</title> - <para>Supposons que nous ayons deux gros disques EIDE, et que nous + <para>Supposons que nous ayons deux gros disques EIDE, et que nous voulions y installer FreeBSD, Linux et Windows 95.</para> <para>Voici comment je procéderais avec ces disques durs:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para><filename>/dev/wd0</filename> (premier disque dur + <para><filename>/dev/wd0</filename> (premier disque dur physique),</para> </listitem> <listitem> @@ -173,7 +173,7 @@ <para>J'installe ensuite Linux. Je ne suis pas certain pour qui concerne toutes les distributions de Linux, mais la Slackware comprend LILO (voyez la section - <link linkend="boot-managers">Revue des gestionnaires de + <link linkend="boot-managers">Revue des gestionnaires de démarrage</link>). Au moment de partitionner mon disque dur avec l'utilitaire <filename>fdisk</filename> de Linux, je mets tout Linux sur le premier disque (peut-être 300 Mo @@ -184,27 +184,27 @@ <para>Après avoir installé Linux, et quand on me demande si je veux installer LILO, je fais <emphasis>attention</emphasis> à l'installer sur le secteur de démarrage de ma partition racine Linux, et non - sur le MBR (<foreignphrase>Master Boot - Record</foreignphrase> - enregistrement principal de + sur le MBR (<foreignphrase>Master Boot + Record</foreignphrase> - enregistrement principal de démarrage).</para> </listitem> <listitem> - <para>L'espace restant disponible sur le disque peut servir à - FreeBSD. Je vérifie aussi que la - tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>” - racine - de FreeBSD ne déborde pas de la limite des 1024 cylindres (1024 + <para>L'espace restant disponible sur le disque peut servir à + FreeBSD. Je vérifie aussi que la + tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>” - racine + de FreeBSD ne déborde pas de la limite des 1024 cylindres (1024 cylindres correspond à 528 Mo à partir du début du disque sur nos hypothétiques disques de 720 Mo). J'utiliserai éventuellement le reste du disque dur (environ 270 Mo) pour les tranches - <filename>/usr</filename> et <filename>/var</filename>. Le + <filename>/usr</filename> et <filename>/var</filename>. Le reste du second - disque (l'espace disponible dépend de la taille de ma partition + disque (l'espace disponible dépend de la taille de ma partition d'applications/données Windows que j'ai créée à l'étape 1) peut être utilisé pour la tranche <filename>/usr/src</filename> et l'espace de pagination.</para> </listitem> <listitem> - <para>Vus de l'utilitaire <filename>fdisk</filename> de Windows 95, mes + <para>Vus de l'utilitaire <filename>fdisk</filename> de Windows 95, mes disques ressembleraient à ceci:</para> <programlisting> --------------------------------------------------------------------- @@ -222,7 +222,7 @@ Total disk space is 696 Mbytes (1 Mbyte = 1048576 bytes) Press Esc to continue --------------------------------------------------------------------- - + Display Partition Information Current fixed disk drive: 2 @@ -238,7 +238,7 @@ Press Esc to continue </programlisting> <para>Disons FAT16, ou FAT32 si vous utilisez la mise à jour OEM SR2 (voyez la section - <link linkend="boot-managers">Revue des gestionnaires de + <link linkend="boot-managers">Revue des gestionnaires de démarrage</link>).</para> </listitem> <listitem> @@ -247,11 +247,11 @@ Press Esc to continue du BIOS. Sans cela, je devrais indiquer la géométrie réelle de mon disque au démarrage (pour la connaître, démarrez Windows 95 et consultez les diagnostics Microsoft (<filename>MSD.EXE</filename>) - ou allez voir dans le BIOS) avec le paramètre + ou allez voir dans le BIOS) avec le paramètre <literal>hd0=1416,16,63</literal> où <replaceable>1416</replaceable> - est le nombre de cylindres de mon disque dur, + est le nombre de cylindres de mon disque dur, <replaceable>16</replaceable> est le nombre de têtes par piste et - <replaceable>63</replaceable> est le nombre de secteurs par + <replaceable>63</replaceable> est le nombre de secteurs par tête.</para> </listitem> <listitem> @@ -261,7 +261,7 @@ Press Esc to continue </listitem> <listitem> <para>Au redémarrage, Boot Easy devrait reconnaître mes trois - partitions démarrables comme DOS (Windows 95), Linux et BSD + partitions démarrables comme DOS (Windows 95), Linux et BSD (FreeBSD)</para> </listitem> </orderedlist> @@ -273,17 +273,17 @@ Press Esc to continue DOS doivent être sur la première partition primaire du premier disque dur. OS/2 fait exception. Il peut être sur le premier ou le second disque et sur une partition primaire ou étendue. Si vous n'êtes pas sûr de vous, - gardez le début des partitions démarrables avant le 1024ème + gardez le début des partitions démarrables avant le 1024ème cylindre.</para> <para>Si vous installez Windows 95 sur un système BSD existant, cela va “écraser” le MBR, et vous devrez réinstaller votre précédent - gestionnaire de démarrage. Boot Easy peut être réinstallé avec + gestionnaire de démarrage. Boot Easy peut être réinstallé avec l'utilitaire <filename>BOOTINST.EXE</filename> qui se trouve dans le répertoire <filename>\TOOLS</filename> du CD-ROM, ou peut être téléchargé - par <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/tools">ftp</ulink>. + par <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/tools">ftp</ulink>. Vous pouvez aussi relancer le processus d'installation et aller dans l'éditeur de partitions. De là, indiquez que la partition FreeBSD est - démarrable, choisissez l'option <option>Boot Manager</option> + démarrable, choisissez l'option <option>Boot Manager</option> (gestionnaire de démarrage) et tapez <literal>W</literal> pour écrire les informations sur le MBR. Vous pouvez maintenant redémarrer, et Boot Easy reconnaîtra votre Windows 95 @@ -303,52 +303,52 @@ Press Esc to continue </sect1> <sect1 id="examples"> <title>Exemples</title> - <para><emphasis>(Cette section a besoin d'être revue, envoyez s'il vous - plaît vos exemples à <email>jayrich@sysc.com</email>.)</emphasis></para> + <para><emphasis>(Cette section a besoin d'être revue, envoyez s'il vous + plaît vos exemples à <email>jayrich@sysc.com</email>.)</emphasis></para> <para>FreeBSD + Windows 95: Si vous avez installé FreeBSD après Windows 95, vous devriez voir la mention <literal>DOS</literal> sur le menu de Boot Easy. C'est Windows 95. Si vous avez installé Windows 95 après FreeBSD, - lisez la section <link linkend="special">Considérations - particulières</link> ci-dessus. Tant que votre disque n'a pas 1024 - cylindres, vous ne devriez pas avoir de problèmes pour démarrer. Si + lisez la section <link linkend="special">Considérations + particulières</link> ci-dessus. Tant que votre disque n'a pas 1024 + cylindres, vous ne devriez pas avoir de problèmes pour démarrer. Si toutefois une de vos partitions va au-delà du 1024ème cylindre, et que vous avez des messages du type <literal>invalid system disk</literal> sous DOS (Windows 95) et que FreeBSD ne démarre pas, cherchez dans les - paramètres de configuration de votre BIOS quelque chose appelé + paramètres de configuration de votre BIOS quelque chose appelé “<literal>> 1024 cylinder support</literal>” ou mode “<literal>NORMAL/LBA</literal>”. DOS peut avoir besoin - du LBA (<foreignphrase>Logical Block + du LBA (<foreignphrase>Logical Block Adressing</foreignphrase> - Adressage de bloc logique) pour démarrer correctement. Si la perspective de modifier les paramètres du - BIOS à chaque démarrage ne vous enchante pas, vous pouvez démarrer + BIOS à chaque démarrage ne vous enchante pas, vous pouvez démarrer FreeBSD depuis DOS avec l'utilitaire <filename>FBSDBOOT.EXE</filename> - du CD (il devrait reconnaître votre partition FreeBSD et la + du CD (il devrait reconnaître votre partition FreeBSD et la démarrer).</para> <para>FreeBSD + OS/2 + Windows: Rien de nouveau dans ce cas. Le gestionnaire - de démarrage d'OS/2 peut démarrer tous ces systèmes d'exploitation, il ne + de démarrage d'OS/2 peut démarrer tous ces systèmes d'exploitation, il ne devrait pas y avoir de problème.</para> <para>FreeBSD + Linux: Vous pouvez aussi utiliser Boot Easy pour démarrer les deux systèmes d'exploitation.</para> - <para>FreeBSD + Linux + Windows 95: (voyez la section + <para>FreeBSD + Linux + Windows 95: (voyez la section <link linkend="typical">Une installation typique</link>).</para> </sect1> <sect1 id="help"> <title>Autres endroits où trouver de l'aide</title> <para>Il y a de nombreux <ulink url="http://www.freenix.fr/linux/HOWTO">HOWTO Linux</ulink> - qui traitent des systèmes d'exploitation multiples sur un même + qui traitent des systèmes d'exploitation multiples sur un même disque.</para> <para>Le - <ulink url="http://www.linuxresources.com/LDP/HOWTO/mini/Linux+DOS+Win95+OS2.html">mini-HOWTO + <ulink url="http://www.linuxresources.com/LDP/HOWTO/mini/Linux+DOS+Win95+OS2.html">mini-HOWTO Linux+DOS+Win95+OS2</ulink> donne des indications sur la configuration du gestionnaire de démarrage d'OS/2, et le - <ulink url="http://www.freenix.fr/linux/HOWTO/mini/Linux+FreeBSD.html">mini-HOWTO - Linux+FreeBSD</ulink> peut aussi vous intéresser. - L'<ulink url="http://www.in.net/~jkatz/win95/Linux-HOWTO.html">HOWTO + <ulink url="http://www.freenix.fr/linux/HOWTO/mini/Linux+FreeBSD.html">mini-HOWTO + Linux+FreeBSD</ulink> peut aussi vous intéresser. + L'<ulink url="http://www.in.net/~jkatz/win95/Linux-HOWTO.html">HOWTO Linux</ulink> est aussi utile.</para> - <para>Le - <ulink url="http://www.dorsal.org/~dcl/publications/NTLDR_hacking">Guide - de programmation du chargeur NT</ulink> fournit des informations + <para>Le + <ulink url="http://www.dorsal.org/~dcl/publications/NTLDR_hacking">Guide + de programmation du chargeur NT</ulink> fournit des informations intéressantes sur le démarrage de Windows NT, 95 et DOS avec d'autres systèmes d'exploitation.</para> <para>Le jeu de documents d'Hale Landis, “Comment ça marche”, @@ -365,20 +365,20 @@ Press Esc to continue </itemizedlist> <para>Enfin, ne négligez pas la documentation du noyau de FreeBSD sur le processus de démarrage, disponible dans la distribution du source du - noyau (elle est installée dans + noyau (elle est installée dans <ulink url="file://localhost/usr/src/sys/i386/boot/biosboot/README.386BSD">/usr/src/sys/i386/boot/biosboot/README.386BSD</ulink>).</para> </sect1> <sect1> <title>Détails Techniques</title> - <para><emphasis>(Contribution de Randall Hopper + <para><emphasis>(Contribution de Randall Hopper <email>rhh@ct.picker.com</email>)</emphasis></para> <para>Cette section tente de vous donner assez d'informations de base sur vos disques durs et sur le processus de démarrage à partir d'un disque pour vous permettre de régler la plupart des problèmes que vous pourriez rencontrer lorsque vous configurerez le démarrage de plusieurs systèmes d'exploitation. Elle commence par des choses relativement - élémentaires, vous préférerez donc peut-être la parcourir en diagonale - jusqu'à ce que les points abordés vous paraissent moins familiers et + élémentaires, vous préférerez donc peut-être la parcourir en diagonale + jusqu'à ce que les points abordés vous paraissent moins familiers et commencer alors à la lire en détail.</para> <sect2> <title>Introduction aux disques</title> @@ -388,10 +388,10 @@ Press Esc to continue définissent où sont physiquement les données sur le disque.</para> <para>Votre disque a un nombre donné de cylindres, de têtes, et de secteurs par tête-cylindre (un doublet tête-cylindre est aussi appelé - une piste). Ensemble, ces informations définissent la “géométrie + une piste). Ensemble, ces informations définissent la “géométrie physique” de votre disque. Il y a typiquement 512 octets par secteur et 63 secteurs par pistes, le nombre de cylindres et de têtes - variant très largement d'un disque à l'autre. Vous pouvez alors + variant très largement d'un disque à l'autre. Vous pouvez alors calculer la quantité d'informations que peut enregistrer votre disque par la formule:</para> <programlisting> @@ -405,22 +405,22 @@ cela donne:</para> <para>c'est-à-dire 1.624.670.208 octets, ou environ 1,6 Go.</para> <para>Vous pouvez connaître la géométrie physique de votre disque dur (nombre de cylindres, de têtes et de secteurs par piste) avec ATAID - ou d'autres programmes que vous trouverez sur l'Internet. Ces - informations sont peut-être aussi fournies avec votre disque. Faites + ou d'autres programmes que vous trouverez sur l'Internet. Ces + informations sont peut-être aussi fournies avec votre disque. Faites cependant attention: si vous utilisez le LBA du BIOS (voyez la section - <link linkend="limits">Restrictions pour le démarrage et + <link linkend="limits">Restrictions pour le démarrage et avertissements</link>), vous ne pouvez pas vous servir de n'importe quel programme pour connaître la géométrie physique. Cela parce que de - nombreux programmes (e.g., <filename>MSD.EXE</filename> ou + nombreux programmes (e.g., <filename>MSD.EXE</filename> ou le <filename>fdisk</filename> de FreeBSD) ne reconnaissent pas la géométrie physique, ils listent à la place la <emphasis>géométrie redéfinie</emphasis> (des valeurs virtuelles dues à l'utilisation du LBA). Continuez à lire pour savoir ce que cela veut dire.</para> - <para>Une autre chose à savoir à propos de ces termes. 3 + <para>Une autre chose à savoir à propos de ces termes. 3 valeurs - un numéro de cylindre, un numéro de tête, et un numéro du secteur sur la piste - identifient l'adresse absolue d'un secteur sur votre disque. Les cylindres et les têtes sont - numérotés à partir de 0, et les numéros de secteurs commencent à + numérotés à partir de 0, et les numéros de secteurs commencent à 1.</para> <para>Ceux que des détails plus techniques intéressent peuvent trouver un peu partout sur l'Internet des informations sur la géométrie @@ -433,26 +433,26 @@ cela donne:</para> <link linkend="help">Autres endroits où trouver de l'aide</link> pour avoir quelques pointeurs vers ces documents.</para> <para>OK, assez de terminologie. Nous sommes censés parler de démarrage - ici.</para> + ici.</para> </sect2> <sect2 id="booting"> <title>Le processus de démarrage</title> <para>Sur le premier secteur de votre disque (cylindre 0, tête 0, - secteur 1) se trouve l'enregistrement principal de - démarrage - <foreignphrase>Master Boot + secteur 1) se trouve l'enregistrement principal de + démarrage - <foreignphrase>Master Boot Record</foreignphrase> (MBR). Il contient une carte de votre disque. Il identifie jusqu'à <emphasis>4 partitions</emphasis>, chacune d'elle étant un espace contigu sur ce disque. FreeBSD appelle les partitions des tranches - <foreignphrase>slices</foreignphrase> - pour - éviter la confusion avec ses propres partitions, mais nous + éviter la confusion avec ses propres partitions, mais nous n'utiliserons pas ici ce terme. Chaque partition peut contenir son propre système d'exploitation.</para> - <para>Chaque entrée de partition dans le MBR comprend un - <emphasis>IDentifiant de partition</emphasis>, un + <para>Chaque entrée de partition dans le MBR comprend un + <emphasis>IDentifiant de partition</emphasis>, un <emphasis>Cylindre/Tête/Secteur de Début</emphasis> et un <emphasis>Cylindre/Tête/Secteur de Fin</emphasis>. L'IDentifiant de partition dit de quel type de partition il s'agit (de quel OS) et le - Début/Fin dit où elle se trouve. La table des + Début/Fin dit où elle se trouve. La table des <link linkend="partitions">IDs de partitions</link> liste un échantillon d'identifiants de partitions usuels.</para> <informaltable id="partitions"> @@ -498,8 +498,8 @@ cela donne:</para> <note> <para>Toutes les partitions ne dont pas démarrables (e.g. DOS étendue). Certaines le sont - d'autres ne le sont pas. Ce qui rend - une partition démarrable est la configuration du secteur de démarrage - de la + une partition démarrable est la configuration du secteur de démarrage + de la partition - <foreignphrase>Partition Boot Sector</foreignphrase> - qui est toujours présent au début de chaque partition.</para> </note> @@ -508,14 +508,14 @@ cela donne:</para> disques et vous donne la possibilité de donner un nom à ces entrées. Quand vous démarrez ensuite, le gestionnaire de démarrage est appelé par du code prévu pour cela à partir secteur principal de - démarrage - <foreignphrase>Master Boot Sector</foreignphrase> - du + démarrage - <foreignphrase>Master Boot Sector</foreignphrase> - du premier disque trouvé sur votre système. Le gestionnaire consulte l'entrée de la table de partitions du MBR correspondant à la partition que vous avez choisie, charge le secteur de démarrage de cette partition - et lui passe le contrôle. Ce secteur de démarrage de la partition + et lui passe le contrôle. Ce secteur de démarrage de la partition elle-même contient suffisamment d'informations pour commencer à charger le système d'exploitation qui se trouve sur cette partition.</para> - <para>Il y a une chose importante à savoir dont nous n'avons pas encore + <para>Il y a une chose importante à savoir dont nous n'avons pas encore parlé. Tous vos disques durs ont un MBR. Toutefois, celui qui est important est celui qui se trouve sur le premier disque reconnu par le BIOS. Si vous n'avez que des disques durs IDE, c'est le premier disque @@ -523,8 +523,8 @@ cela donne:</para> systèmes entièrement SCSI. Si vous avez et des disques durs IDE et des disques durs SCSI, le disque IDE est habituellement le premier disque dont la présence est testée par le BIOS, le premier disque IDE est donc - le premier disque reconnu. Le gestionnaire de démarrage que vous - installerez sera implémenté sur le premier disque dur reconnu comme + le premier disque reconnu. Le gestionnaire de démarrage que vous + installerez sera implémenté sur le premier disque dur reconnu comme nous venons de l'expliquer.</para> </sect2> <sect2 id="limits"> @@ -536,8 +536,8 @@ cela donne:</para> BIOS peut être utile</title> <para>La première partie du processus de démarrage est entièrement confiée au BIOS, (si ce terme est nouveau pour vous, le BIOS est - un circuit électronique sur votre carte mère qui contient le - code de démarrage de votre ordinateur). C'est pourquoi cette + un circuit électronique sur votre carte mère qui contient le + code de démarrage de votre ordinateur). C'est pourquoi cette première partie du processus est soumise aux limitations du BIOS.</para> <para>L'interface BIOS utilisée pour lire le disque dur durant @@ -545,7 +545,7 @@ cela donne:</para> numéro de cylindre, 8 bits pour le numéro de tête, et 6 bits pour le numéro de secteur. Cela limite les utilisateurs de cette interface (i.e. les gestionnaires de démarrage implémentés - sur le MBR du disque ainsi que les chargeurs de systèmes + sur le MBR du disque ainsi que les chargeurs de systèmes d'exploitation implémentés sur les secteurs de démarrage) à:</para> <itemizedlist> <listitem> @@ -555,31 +555,31 @@ cela donne:</para> <para>256 têtes au plus,</para> </listitem> <listitem> - <para>64 secteurs/piste au plus, (en fait 63, 0 n'est pas + <para>64 secteurs/piste au plus, (en fait 63, 0 n'est pas disponible).</para> </listitem> </itemizedlist> - <para>Or les diques durs de grande capacité ont beaucoup de + <para>Or les diques durs de grande capacité ont beaucoup de cylindres et peu de têtes, le nombre de cylindres de ces disques est donc invariablement supérieurs à 1024. De ce fait et à cause de l'interface BIOS telle qu'elle est, vous ne pouvez pas démarrer - n'importe où sur votre disque dur. Le code de démarrage (le - gestionnaire de démarrage et le chargeur du système d'exploitation - implémenté sur les secteurs de démarrage de chaque partition + n'importe où sur votre disque dur. Le code de démarrage (le + gestionnaire de démarrage et le chargeur du système d'exploitation + implémenté sur les secteurs de démarrage de chaque partition démarrable) doivent se situer avant le 1024ème cylindre. Si votre disque dur est standard et a 16 têtes, cela équivaut à:</para> <programlisting> 1024 cylindres/disque X 16 têtes/disque X 63 secteurs/piste X 512 octets </programlisting> <para>c'est-à-dire la limite souvent citée de 528 Mo.</para> - <para>C'est là qu'intervient le LBA (<foreignphrase>Logical Block - Adressing</foreignphrase> - “adressage de bloc + <para>C'est là qu'intervient le LBA (<foreignphrase>Logical Block + Adressing</foreignphrase> - “adressage de bloc logique”) du BIOS. Le LBA du BIOS donne à l'utilisateur - des routines de l'API (<foreignphrase>Application Programming - Interface</foreignphrase> - “interface de + des routines de l'API (<foreignphrase>Application Programming + Interface</foreignphrase> - “interface de programmation”) du BIOS, la possibilité d'accéder aux cylindres au-delà de 1024 avec les interfaces du BIOS en - redéfinissant le cylindre. Cela signifie qu'il construit une + redéfinissant le cylindre. Cela signifie qu'il construit une nouvelle géométrie de vos cylindres et têtes, faisant croire au BIOS que votre disque a moins de cylindres et plus de têtes qu'en réalité. En d'autres termes, il profite du fait que les @@ -587,7 +587,7 @@ cela donne:</para> pour modifier le rapport entre nombre de cylindres et nombre de têtes de façon à ce que tous deux soient inférieurs aux limites mentionnées ci-dessus (1024 cylindres, 256 têtes).</para> - <para>Pour prendre de nouveau l'exemple de mon Western Digital 1,6 + <para>Pour prendre de nouveau l'exemple de mon Western Digital 1,6 Go, il a pour géométrie physique:</para> <programlisting> (3148 cylindres, 16 têtes, 63 secteurs/piste, 512 octets/secteur) @@ -598,58 +598,58 @@ cela donne:</para> </programlisting> <para>ce qui correspond à la même capacité physique, mais avec des nombres de cylindres et de têtes dans les limites acceptables par - les API du BIOS. (Au passage, j'ai sur l'un de mes disques, et + les API du BIOS. (Au passage, j'ai sur l'un de mes disques, et Linux et FreeBSD au-delà du 1024ème cylindre, et les deux démarrent sans problème, grâce au LBA du BIOS.)</para> </sect3> <sect3> - <title>Gestionnaires de démarrage et allocation de l'espace + <title>Gestionnaires de démarrage et allocation de l'espace disque</title> <para>Une autre chose à laquelle il faut faire attention lorsque vous installez un gestionnaire de démarrage est l'allocation d'espace disque pour ce gestionnaire. Il vaut mieux être informé de cette question avant de commencer pour vous éviter d'avoir à réinstaller un ou plusieurs de vos systèmes d'exploitation.</para> - <para>Si vous avez suivi ce qui a été dit sur le - <link linkend="booting">processus de démarrage</link> - à propos du secteur principal de démarrage (où se trouve le MBR), + <para>Si vous avez suivi ce qui a été dit sur le + <link linkend="booting">processus de démarrage</link> + à propos du secteur principal de démarrage (où se trouve le MBR), des secteurs de démarrage des partitions et du processus de démarrage, vous vous êtes peut-être demandé où va se trouver ce foutu - gestionnaire de démarrage. Bien, certains gestionnaires de démarrage - sont suffisamment légers pour tenir entièrement dans le secteur - principal de démarrage (cylindre 0, tête 0, secteur 1) avec la table + gestionnaire de démarrage. Bien, certains gestionnaires de démarrage + sont suffisamment légers pour tenir entièrement dans le secteur + principal de démarrage (cylindre 0, tête 0, secteur 1) avec la table de partitions. D'autres ont besoin d'un peu plus d'espace et débordent - en fait de quelques secteurs après le secteur principal de démarrage - sur la piste cylindre 0 tête 0, qui sont normalement libres... + en fait de quelques secteurs après le secteur principal de démarrage + sur la piste cylindre 0 tête 0, qui sont normalement libres... normalement.</para> - <para>Là est le hic... Certains systèmes d'exploitation (y compris + <para>Là est le hic... Certains systèmes d'exploitation (y compris FreeBSD) vous permettent de faire débuter vos partitions juste après le secteur principal de démarrage au cylindre 0, tête 0, secteur 2, - si vous le voulez. En fait, si vous donnez au programme + si vous le voulez. En fait, si vous donnez au programme <citerefentry><refentrytitle>sysinstall</refentrytitle></citerefentry> de FreeBSD, un disque dont le début est vierge ou un disque totalement - vide, c'est là qu'il fera commencer par défaut la partition FreeBSD + vide, c'est là qu'il fera commencer par défaut la partition FreeBSD (c'est tout du moins ce qu'il a fait quand je suis tombé dans ce piège). Quand vous installez ensuite le gestionnaire de démarrage, si c'est l'un de ceux qui occupent quelques secteurs supplémentaires après le MBR, il écrase les données qui se trouvent au début de la première partie. Dans le cas de FreeBSD, cela écrase le label du disque et empêche de démarrer votre partition FreeBSD.</para> - <para>Le moyen facile d'éviter ce problème (et de vous garder le + <para>Le moyen facile d'éviter ce problème (et de vous garder le possibilité d'essayer différents gestionnaires de démarrage par la suite) est de ne pas allouer la première piste du disque quand vous le - partitionnez. Cela réserve l'espace entre le cylindre 0, tête 0, + partitionnez. Cela réserve l'espace entre le cylindre 0, tête 0, secteur 2 et le cylindre 0, tête 0, secteur 63, et votre partition commence au cylindre 1, tête 1, secteur 1. Pour ce que cela vaut, - quand vous créez une partition DOS au début de votre disque, DOS - laisse par défaut cet espace inoccupé (c'est pourquoi certains + quand vous créez une partition DOS au début de votre disque, DOS + laisse par défaut cet espace inoccupé (c'est pourquoi certains gestionnaires de démarrage font l'hypothèse qu'il est disponible). Mettre une partition DOS au début de votre disque vous permet aussi d'éviter le problème. C'est ce que je préfère personnellement faire, mettre une partition DOS de 1 Mo au début, parce que cela évite aussi que la lettre désignant mon disque DOS primaire soit modifiée ensuite quand je repartitionne.</para> - <para>Pour servir de référence, les gestionnaires de démarrage + <para>Pour servir de référence, les gestionnaires de démarrage suivants n'utilisent que le secteur principal de démarrage pour mettre leur code et leurs données:</para> <itemizedlist> @@ -663,7 +663,7 @@ cela donne:</para> <para>LILO.</para> </listitem> </itemizedlist> - <para>Ces gestionnaires de démarrage occupent quelques secteurs + <para>Ces gestionnaires de démarrage occupent quelques secteurs supplémentaires après le secteur principal de démarrage:</para> <itemizedlist> <listitem> @@ -676,7 +676,7 @@ cela donne:</para> </sect3> <sect3> <title>Que faire si votre système ne démarre pas?</title> - <para>Il se peut qu'à un moment donné + <para>Il se peut qu'à un moment donné de l'installation d'un gestionnaire de démarrage, vous laissiez le MBR dans un état tel que votre machine ne redémarre plus. C'est peu probable, mais possible lorsque vous @@ -685,12 +685,12 @@ cela donne:</para> <para>Si vous avez une partition DOS démarrable, vous pouvez démarrer avec une disquette de démarrage DOS, et lancer:</para> <informalexample> -<screen><prompt>A:\></prompt> <userinput>FDISK /MBR</userinput></screen> +<screen><prompt>A:\></prompt> <userinput>FDISK /MBR</userinput></screen> </informalexample> - <para>pour réinstaller le code d'origine de démarrage simple du DOS - seul sur le système. Vous pouvez alors démarrer DOS (et DOS - uniquement) depuis le disque dur. Une autre solution consiste à - réexécuter le programme d'installation de votre gestionnaire de + <para>pour réinstaller le code d'origine de démarrage simple du DOS + seul sur le système. Vous pouvez alors démarrer DOS (et DOS + uniquement) depuis le disque dur. Une autre solution consiste à + réexécuter le programme d'installation de votre gestionnaire de démarrage à partir d'une disquette démarrable.</para> </sect3> </sect2> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/nanobsd/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/articles/nanobsd/Makefile index c6e3003d25..620bfe4c34 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/nanobsd/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/nanobsd/Makefile @@ -1,4 +1,4 @@ -# +# # The FreeBSD Documentation Project # The FreeBSD French Documentation Project # diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/new-users/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/new-users/article.sgml index 04e90e154f..bffcc01f28 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/new-users/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/new-users/article.sgml @@ -11,7 +11,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -37,7 +37,7 @@ <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> <abstract> <para>Félicitations pour avoir installé FreeBSD! Cette -introduction concerne les nouveaux venus à la fois à FreeBSD +introduction concerne les nouveaux venus à la fois à FreeBSD <emphasis>et</emphasis> à Unix - elle commence donc par les bases. Elle suppose que vous utilisiez la version 2.0.5 ou une version ultérieure de FreeBSD telle que distribuée par Walnut Creek ou FreeBSD.ORG, que votre @@ -52,9 +52,9 @@ système n'a (jusqu'à présent) qu'un seul utilisateur (vous) - e <para>Ouvrez une session (quand vous obtenez à l'écran l'invite <prompt>login:</prompt>) avec le compte utilisateur que vous avez défini à l'installation ou sous le compte super-utilisateur - <firstterm>root</firstterm>. (FreeBSD a déjà créé le compte root lors de -l'installation; root peut accéder à tous les répertoires et tout faire, y -compris effacer des fichiers essentiels, donc soyez prudents!). Les symboles % + <firstterm>root</firstterm>. (FreeBSD a déjà créé le compte root lors de +l'installation; root peut accéder à tous les répertoires et tout faire, y +compris effacer des fichiers essentiels, donc soyez prudents!). Les symboles % et # dans les exemples sont l'invite du système (la votre peut être différente), où % correspond à un utilisateur normal et # distingue le compte root.</para> <para>Pour terminer la session (vous obtiendrez à nouveau l'invite @@ -64,8 +64,8 @@ où % correspond à un utilisateur normal et # distingue le compte root.</p </informalexample> autant de fois que nécessaire. Bien sûr, n'oubliez pas la touche <keysym>Entrée</keysym> à la fin des commandes, et rappelez-vous qu'Unix -fait la distinction entre les majuscules et les -minuscules - <command>exit</command>, mais pas +fait la distinction entre les majuscules et les +minuscules - <command>exit</command>, mais pas <command>EXIT</command>.</para> <para>Pour arrêtez l'ordinateur, tapez: <informalexample> @@ -81,26 +81,26 @@ ou: </informalexample> </para> <para>Vous pouvez aussi redémarrer avec: -<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Delete</keycap></keycombo>. +<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Delete</keycap></keycombo>. Laissez au système un peu de temps pour faire son travail. Cette séquence est, dans les plus récentes versions de FreeBSD, l'équivalent de la commande <command>/sbin/reboot</command>, et il est nettement préférable de l'employer -que d'utiliser l'interrupteur de réinitialisation de votre machine. A moins que +que d'utiliser l'interrupteur de réinitialisation de votre machine. A moins que vous ne vouliez tout réinstaller ?</para> </sect1> <sect1> <title>Créer un Nouveau Compte Utilisateur avec les Mêmes Droits que Root</title> <para>Si vous n'avez pas créé de compte utilisateur au moment de l'installation, et utilisez donc le compte root, vous devriez maintenant définir un nouvel -utilisateur avec: +utilisateur avec: <informalexample> <screen># <userinput>adduser</userinput></screen> </informalexample> -La première fois que vous utiliserez adduser, le programme vous demandera +La première fois que vous utiliserez adduser, le programme vous demandera peut-être de lui indiquer des options par défaut qu'il sauvegardera. Par exemple, vous préférez peut-être que l'interpréteur de commandes soit csh, s'il vous propose l'interpréteur sh. Sinon, tapez simplement Entrée pour conserver -les valeurs par défaut. Celles-ci sont enregistrées dans le fichier +les valeurs par défaut. Celles-ci sont enregistrées dans le fichier <filename>/etc/adduser.conf</filename>, que vous pouvez éditer. Supposons que vous ayez créé l'utilisateur <emphasis>jacques</emphasis> dont le nom est <emphasis>Jacques Dupont</emphasis>. Attribuez un mot de passe @@ -110,12 +110,12 @@ voulez que jacques appartienne à d'autres groupes, répondez: <informalexample> <screen>Login group is ``jacques''. Invite jacques into other groups: <userinput>wheel</userinput></screen> </informalexample> -Vous pourrez alors ouvrir une session avec le compte +Vous pourrez alors ouvrir une session avec le compte <emphasis>jacques</emphasis> puis utiliser la commande <command>su</command> pour devenir root. Vous n'aurez dorénavant plus besoin d'ouvrir immédiatement une session avec le compte root.</para> <para>Vous pouvez quitter <command>adduser</command> à tout moment en tapant -<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo>, et +<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo>, et pour finir vous pourrez valider le nouveau compte utilisateur ou simplement taper <keycap>n</keycap> pour non. Peut-être voudrez vous créer un second compte utilisateur (jeanne?), vous aurez ainsi une issue de secours si vous @@ -123,9 +123,9 @@ modifiez les fichiers de configuration de jacques et que quelque chose tourne mal.</para> <para>Une fois que vous avez fini, utilisez <command>exit</command> pour revenir à l'invite <prompt>login:</prompt> -et ouvrez une session sous le compte <emphasis>jacques</emphasis>. Il est +et ouvrez une session sous le compte <emphasis>jacques</emphasis>. Il est toujours préférable de travailler autant que possible avec un compte utilisateur -ordinaire qui n'a pas autant de droits - et donc ne présente pas autant de +ordinaire qui n'a pas autant de droits - et donc ne présente pas autant de risques - que root.</para> <para>Si vous avez déjà créé un compte et que vous voulez que cet utilisateur puisse utiliser <command>su</command> pour devenir root, vous pouvez devenir @@ -162,7 +162,7 @@ courant.</para> <listitem> <para>Donne la liste des fichiers du répertoire courant suivis d'une <literal>*</literal> pour les exécutables, d'un <literal>/</literal> pour -les répertoires, et d'une <literal>@</literal> pour les liens +les répertoires, et d'une <literal>@</literal> pour les liens symboliques.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -185,8 +185,8 @@ sans l'option <option>-a</option>.</para> <parameter>..</parameter></command> remonte d'un niveau dans l'arborescence; notez l'espace après <command>cd</command>. <command>cd <parameter>/usr/local</parameter></command> va dans ce répertoire. <command>cd -<parameter>~</parameter></command> va dans le répertoire de -l'utilisateur courant - e.g., <filename>/usr/home/jacques</filename>. +<parameter>~</parameter></command> va dans le répertoire de +l'utilisateur courant - e.g., <filename>/usr/home/jacques</filename>. Essayez <command>cd <parameter>/cdrom</parameter></command>, puis <command>ls</command>, pour voir si votre CDROM est monté et fonctionne.</para> </listitem> @@ -194,8 +194,8 @@ Essayez <command>cd <parameter>/cdrom</parameter></command>, puis <varlistentry><term><command>view <replaceable>nom_de fichier</replaceable></command></term> <listitem> <para>Vous permet de visualiser le fichier -<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> sans le modifier. Essayez -<command>view <parameter>/etc/fstab</parameter></command>. +<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> sans le modifier. Essayez +<command>view <parameter>/etc/fstab</parameter></command>. <command>:q</command> pour quitter.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -203,9 +203,9 @@ Essayez <command>cd <parameter>/cdrom</parameter></command>, puis <listitem> <para>Liste <replaceable>nom_de_fichier</replaceable> à l'écran. S'il est trop long et que vous n'en voyez que la fin, appuyez sur -<keycap>Arrêt Défil</keycap> et utilisez <keycap>flèche-vers-le-haut</keycap> +<keycap>Arrêt Défil</keycap> et utilisez <keycap>flèche-vers-le-haut</keycap> pour revenir en arrière; vous pouvez aussi utiliser <keycap>Arrêt Défil</keycap> -avec les pages de manuel. Appuyez à nouveau sur +avec les pages de manuel. Appuyez à nouveau sur <keycap>Arrêt Défil</keycap> pour terminer votre lecture. Essayez <command>cat</command> sur quelques fichiers “.” de votre répertoire utilisateur - <command>cat @@ -215,8 +215,8 @@ terminer votre lecture. Essayez <command>cat</command> sur quelques fichiers </listitem> </varlistentry> </variablelist> -Notez les alias de quelques commandes <command>ls</command> -dans le fichier <filename>.cshrc</filename> (ils sont très pratiques). +Notez les alias de quelques commandes <command>ls</command> +dans le fichier <filename>.cshrc</filename> (ils sont très pratiques). Vous pouvez créer d'autres alias en éditant le fichier <filename>.cshrc</filename>. Vous pouvez aussi les mettre à disposition de tous les utilisateurs en les définissant dans le fichier de configuration @@ -226,7 +226,7 @@ général <filename>/etc/csh.cshrc</filename>.</para> <title>Obtenir de l'Aide et de l'Information</title> <para>Voici quelques moyens d'obtenir de l'aide. <replaceable>Texte</replaceable> désigne quelque chose de votre choix - - normalement une commande ou un nom de fichier - que vous + - normalement une commande ou un nom de fichier - que vous tapez.</para> <variablelist> <varlistentry><term><command>apropos <replaceable>texte</replaceable></command></term> @@ -237,10 +237,10 @@ dans la <database>base de données whatis</database>.</para> </varlistentry> <varlistentry><term><command>man <replaceable>texte</replaceable></command></term> <listitem> -<para>La page de manuel pour <replaceable>texte</replaceable>. C'est la +<para>La page de manuel pour <replaceable>texte</replaceable>. C'est la principale source de documentation des systèmes Unix. <command>man <parameter>ls</parameter></command> vous expliquera toutes les possibilités -d'utilisation de la commande <command>ls</command>. Utilisez +d'utilisation de la commande <command>ls</command>. Utilisez <keycap>Entrée</keycap> pour faire défiler le texte, <keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>b</keycap></keycombo> pour remonter d'une page, <keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>f</keycap></keycombo> pour @@ -284,11 +284,11 @@ d'usage courant comme <command>cat</command>, <command>script</command>. <command>more</command> vous permet de lire une page à la fois comme sous DOS, e.g., <command>ls -l | more</command> ou <command>more -<replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command>. +<replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command>. <literal>*</literal> sert de caractère de substitution - e.g., <command>ls w*</command> vous donnera la liste de tous les fichiers commençant par <literal>w</literal>.</para> -<para>Certaines de ces commandes ne fonctionnent pas correctement? +<para>Certaines de ces commandes ne fonctionnent pas correctement? <command>locate</command> et <command>whatis</command> interrogent une base de données qui est reconstruite chaque semaine. Si votre machine n'est pas en service le weekend (et sous FreeBSD), vous @@ -304,7 +304,7 @@ et mensuelle de temps à autre. Faites-le sous le compte root et attendez </screen></informalexample></para> <para>Si vous êtes las d'attendre, appuyez sur <keycombo><keycap>Alt</keycap><keycap>F2</keycap></keycombo> pour obtenir une -nouvelle <firstterm>console virtuelle</firstterm>, et rouvrir une session. +nouvelle <firstterm>console virtuelle</firstterm>, et rouvrir une session. Après tout, c'est un système multi-utilisateurs, multi-tâches. Ces commandes afficheront probablement des messages à l'écran pendant qu'elles s'exécutent; vous pouvez taper <command>clear</command> pour effacer @@ -323,23 +323,23 @@ Administration Handbook</citetitle> (Prentice-Hall, 1995, ISBN 0-13-15051-7) - deuxième édition avec une couverture rouge; ou Æleen Frisch's <citetitle>Essential System Administration</citetitle> (O'Reilly & Associates, 1993, ISBN -0-937175-80-3)<footnote><para>N.d.T.: traduit en français sous le titre +0-937175-80-3)<footnote><para>N.d.T.: traduit en français sous le titre <citetitle>Les Bases de l'Administration Système</citetitle>, chez le même éditeur.</para></footnote>. J'ai personnellement utilisé Nemeth.</para> </sect1> <sect1> <title>Editer des Fichiers Texte</title> -<para>Pour configurer votre système, vous devez éditer des fichiers texte. Ils +<para>Pour configurer votre système, vous devez éditer des fichiers texte. Ils sont presque tous dans le répertoire <filename>/etc</filename>; vous devrez -utiliser la commande <command>su</command> pour devenir root pour les +utiliser la commande <command>su</command> pour devenir root pour les modifier. Vous pouvez vous servir de l'éditeur simple <command>ee</command>, mais à long terme, cela vaut la peine d'apprendre à utiliser <command>vi</command>. Il y a une excellente introduction à vi dans <filename>/usr/src/contrib/nvi/docs/tutorial</filename> si vous l'avez -installé. Sinon vous pouvez le télécharger par ftp sur +installé. Sinon vous pouvez le télécharger par ftp sur <ulink url="ftp://ftp.cdrom.com">ftp://ftp.cdrom.com</ulink> -dans le répertoire -<filename>FreeBSD/FreeBSD-current/src/contrib/nvi/tutorial</filename>.</para> +dans le répertoire +<filename>FreeBSD/FreeBSD-current/src/contrib/nvi/tutorial</filename>.</para> <para>Avant d'éditer un fichier, faites-en une copie de sauvegarde. Supposons que vous vouliez modifier le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Avec la commande <command>cd /etc</command> vous allez dans le répertoire @@ -371,7 +371,7 @@ pour remettre l'original à sa place.</para> <screen># <userinput>vi <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></userinput></screen> </informalexample> déplacez vous dans le fichier avec les touches flèches. <keycap>Echap</keycap> (la touche d'échappement) met <command>vi</command> en mode commande. Voici -quelques-unes de ces commandes: +quelques-unes de ces commandes: <variablelist> <varlistentry><term><command>x</command></term> <listitem> @@ -401,7 +401,7 @@ commande. Vous pouvez alors taper: <variablelist> <varlistentry><term><command>:w</command></term> <listitem> -<para>pour enregistrer le fichier modifié sur disque et continuer à +<para>pour enregistrer le fichier modifié sur disque et continuer à l'éditer,</para> </listitem> </varlistentry> @@ -447,17 +447,17 @@ Entrée) recherche ensuite la prochaine occurrence de <replaceable>texte</replace </variablelist> </para> <para>Entraînez-vous à utiliser <command>vi</command> dans votre répertoire utilisateur -en créant un nouveau fichier avec <command>vi +en créant un nouveau fichier avec <command>vi <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command> puis ajoutez-y et effacez du texte, enregistrez le ficher et rééditez-le. <command>vi</command> peut vous réserver des surprises parce qu'il est assez complexe, et il vous arrivera de taper accidentellement des commandes au résultat inattendu. (Certains aiment -vraiment <command>vi</command> - il est bien plus puissant qu'EDIT +vraiment <command>vi</command> - il est bien plus puissant qu'EDIT de DOS - voyez par exemple la commande <command>:r</command> command.) Utilisez -<keycap>Echap</keycap> une ou plusieurs fois pour être sûr que vous êtes en mode -commande quand vous êtes dans l'embarras, enregistrez régulièrement vos -modifications avec la commande <command>:w</command>, et utilisez la commande -<command>:q!</command> pour sortir et rééditer la dernière version enregistrée +<keycap>Echap</keycap> une ou plusieurs fois pour être sûr que vous êtes en mode +commande quand vous êtes dans l'embarras, enregistrez régulièrement vos +modifications avec la commande <command>:w</command>, et utilisez la commande +<command>:q!</command> pour sortir et rééditer la dernière version enregistrée avec <command>:w</command> au besoin.</para> <para>Vous pouvez maintenant <command>cd</command> vers <filename>/etc</filename>, <command>su</command> pour devenir root, utiliser <command>vi</command> pour éditer le @@ -466,7 +466,7 @@ wheel pour qu'il ait les mêmes droits que root. Ajoutez juste une virgule puis le nom de l'utilisateur à la fin de la première ligne, appuyez sur <keycap>Echap</keycap>, et utilisez la commande <command>:wq</command> pour enregistrer le fichier et quitter l'éditeur. La modification est aussitôt prise en compte -par le système. (vous n'avez pas mis de blanc après la virgule, +par le système. (vous n'avez pas mis de blanc après la virgule, n'est-ce-pas?)</para> </sect1> <sect1> @@ -486,7 +486,7 @@ lecteur de disquettes A:, <command>su</command> pour devenir root, et tapez: <informalexample> <screen># <userinput>/sbin/mount -t msdos /dev/fd0 /mnt</userinput></screen> </informalexample> -pour monter le lecteur de disquettes dans le répertoire +pour monter le lecteur de disquettes dans le répertoire <filename>/mnt</filename>.</para> <para>Ensuite (plus besoin d'être root, vous pouvez utiliser <command>exit</command> pour redevenir l'utilisateur jacques), vous pouvez aller @@ -504,9 +504,9 @@ résultat de la commande <informalexample> <screen>% <userinput>/sbin/dmesg > dmesg.txt</userinput></screen> </informalexample> -et en copiant <filename>dmesg.txt</filename> sur la disquette. +et en copiant <filename>dmesg.txt</filename> sur la disquette. <command>/sbin/dmesg</command> liste les informations affichées au démarrage -du système, qu'il est utile de comprendre, parce qu'elles décrivent la +du système, qu'il est utile de comprendre, parce qu'elles décrivent la configuration matérielle reconnue par FreeBSD au démarrage. Si vous posez des questions sur <email>freebsd-questions@FreeBSD.ORG</email> ou dans un forum USENET - du type “FreeBSD ne reconnaît pas mon @@ -519,7 +519,7 @@ root) pour retirer la disquette avec la commande: </informalexample> et redémarrer la machine pour passer sous DOS. Copiez ces fichiers dans un répertoire DOS, éditez-les avec DOS EDIT, Windows Notepad, ou un traitement -de texte, faites une petite modification pour avoir à les enregistrer et +de texte, faites une petite modification pour avoir à les enregistrer et imprimez-les comme d'habitude sous DOS ou Windows. J'espère que cela marche! Les pages de manuel s'impriment mieux avec la commande <command>print</command> du DOS. (Copier des fichiers de FreeBSD vers une partition DOS montée est @@ -527,7 +527,7 @@ dans certains cas encore un peu risqué).</para> <para>Pour pouvoir imprimer depuis FreeBSD, il faut définir l'imprimante dans le fichier <filename>/etc/printcap</filename> et créer le répertoire tampon correspondant dans <filename>/var/spool/output</filename>. Si votre imprimante -est sur le port <hardware>lpt0</hardware> (qui s'appelle <hardware>LPT1</hardware> sous DOS), +est sur le port <hardware>lpt0</hardware> (qui s'appelle <hardware>LPT1</hardware> sous DOS), il suffit d'aller dans le répertoire <filename>/var/spool/output</filename> et (sous le compte root) de créer le répertoire <filename>lpd</filename>, s'il n'existe pas, en tapant: @@ -535,9 +535,9 @@ pas, en tapant: <screen># <userinput>mkdir lpd</userinput></screen> </informalexample> L'imprimante devrait alors répondre si elle était sous tension au démarrage du -système et les commandes lp ou lpr devraient envoyer un fichier à -l'imprimante. Que le fichier s'imprime ou non dépend de la -configuration de l'imprimante, qui est décrite dans le +système et les commandes lp ou lpr devraient envoyer un fichier à +l'imprimante. Que le fichier s'imprime ou non dépend de la +configuration de l'imprimante, qui est décrite dans le <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD.</ulink></para> </sect1> <sect1> @@ -569,7 +569,7 @@ sous-répertoires - attention!</para> <listitem> <para>liste les fichiers du répertoire courant et de tous ses sous-répertoires; j'en utilisais une variante, <command>ls -AFR > where.txt</command>, -pour avoir la liste de tous les fichiers du répertoire racine +pour avoir la liste de tous les fichiers du répertoire racine <filename>/</filename> et (indépendamment) du répertoire <filename>/usr</filename> avant de trouver un meilleur moyen pour rechercher des fichiers.</para> @@ -577,7 +577,7 @@ des fichiers.</para> </varlistentry> <varlistentry><term><command>passwd</command></term> <listitem> -<para>pour changer le mot de passe d'un utilisateur +<para>pour changer le mot de passe d'un utilisateur (ou le mot de passe root).</para> </listitem> </varlistentry> @@ -587,8 +587,8 @@ des fichiers.</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist></para> -<para>Avec le commande <command>find</command> vous pouvez localiser le fichier -<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> dans <filename>/usr</filename> ou un +<para>Avec le commande <command>find</command> vous pouvez localiser le fichier +<replaceable>nom_de_fichier</replaceable> dans <filename>/usr</filename> ou un de ses sous-répertoires: <informalexample> <screen>% <userinput>find /usr -name "<replaceable>nom_de_fichier</replaceable>"</userinput></screen> @@ -609,34 +609,34 @@ Desk</ulink>.</para> <sect1> <title>Etapes Suivantes</title> <para>Vous avez maintenant les outils nécessaires à l'exploration du système et -à l'édition de fichiers. Il y a énormément d'informations dans le +à l'édition de fichiers. Il y a énormément d'informations dans le <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD </ulink> (que vous avez probablement aussi sur votre disque -dur) et sur le +dur) et sur le <ulink url="http://www.freebsd.org/"> site Internet de FreeBSD</ulink>. Il y a un grand nombre de logiciels sur le CDROM de <ulink url="http://www.cdrom.com/">Walnut Creek</ulink> et sur leur -site Internet. Le "manuel" vous explique comment les utiliser +site Internet. Le "manuel" vous explique comment les utiliser (installer le logiciel s'il existe, avec <command>pkg_add /cdrom/packages/All/<replaceable>nom_du_logiciel</replaceable></command>, où <replaceable>nom_du_logiciel</replaceable> est le nom du fichier correspondant au logiciel voulu). Le CDROM donne la liste des logiciels -pré-compilés ou non <footnote><para>N.d.T: Les logiciels prévus pour être utilisés avec FreeBSD peuvent être pré-compilés (“packages”) ou -disponibles sous forme de code source (“ports”) livré avec -les procédures nécessaires à sa compilation.</para></footnote> avec une -courte description de +pré-compilés ou non <footnote><para>N.d.T: Les logiciels prévus pour être utilisés avec FreeBSD peuvent être pré-compilés (“packages”) ou +disponibles sous forme de code source (“ports”) livré avec +les procédures nécessaires à sa compilation.</para></footnote> avec une +courte description de chacun dans <filename>/cdrom/packages/index</filename>, <filename>/cdrom/packages/index.txt</filename> et <filename>/cdrom/ports/index</filename>. Il y a des descriptifs plus détaillés dans <filename>/cdrom/ports/*/*/pkg/DESCR</filename>, où les -<literal>*</literal>s désignent respectivement les sous-répertoires regroupant +<literal>*</literal>s désignent respectivement les sous-répertoires regroupant les logiciels par catégories et les noms des logiciels.</para> <para>Si vous trouvez le "manuel" trop subtil (avec ses commandes <command>lndir</command> et ainsi de suite) en ce qui concerne l'installation des logiciel à compiler, voici une méthode qui fonctionne habituellement:</para> <para>Trouvez le logiciel que vous voulez, par exemple <command>kermit</command>. Il y aura un sous-répertoire correspondant sur le CDROM. Copiez ce sous-répertoire -dans <filename>/usr/local</filename> (là où l'on met généralement les logiciels +dans <filename>/usr/local</filename> (là où l'on met généralement les logiciels que l'on installe pour les mettre à la disposition de tous les utilisateurs) avec: <informalexample> @@ -649,7 +649,7 @@ qui contient tous les fichiers du sous-répertoire <filename>/cdrom/ports/distfiles</filename> un fichier dont le nom indique que c'est le logiciel que vous voulez installer. Copiez ce fichier dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename>; avec les versions récentes, -vous pouvez sauter cette étape, FreeBSD s'en chargera. +vous pouvez sauter cette étape, FreeBSD s'en chargera. Dans le cas de <command>kermit</command>, il n'y a aucun fichier associé dans <filename>/cdrom/ports/distfiles</filename>.</para> <para>Puis <command>cd</command> dans le sous-répertoire de @@ -661,19 +661,19 @@ Dans le cas de <command>kermit</command>, il n'y a aucun fichier associé dans </para> <para>Pendant l'installation, le système ira chercher par ftp les fichiers compressés qu'il ne trouve pas dans -<filename>/usr/ports/distfiles</filename>. Si vous n'êtes pas +<filename>/usr/ports/distfiles</filename>. Si vous n'êtes pas encore connecté à l'Internet et que le fichier correspondant au logiciel n'existe pas dans -<filename>/cdrom/ports/distfiles</filename>, vous devrez récupérer +<filename>/cdrom/ports/distfiles</filename>, vous devrez récupérer ce fichier sur une autre machine et le copier dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename> depuis une disquette ou -votre partition Dos. Lisez <filename>Makefile</filename> (Avec <command>cat</command>, +votre partition Dos. Lisez <filename>Makefile</filename> (Avec <command>cat</command>, <command>more</command> ou <command>view</command>) pour trouver sur quel site (le -"master distribution site" - site de distribution d'origine) aller pour +"master distribution site" - site de distribution d'origine) aller pour récupérer le fichier et pour connaître son nom. Ce nom sera tronqué si vous téléchargez le fichier sous DOS, et vous devrez redonner au fichier son nom d'origine après l'avoir recopié -dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename> +dans <filename>/usr/ports/distfiles</filename> (avec la commande <command>mv</command>) pour que FreeBSD le trouve. (Utilisez le transfert de fichier en mode binaire!) Revenez ensuite dans <filename>/usr/local/kermit</filename>, trouvez le sous-répertoire où est @@ -692,7 +692,7 @@ fichier <filename>.cshrc</filename> de votre répertoire utilisateur. L'instructi path d'Unix fonctionne de la même façon que sous DOS, à ceci près que, pour des raisons de sécurité, le répertoire courant n'y est pas défini (par défaut); si le programme que vous cherchez se trouve dans le répertoire courant, vous devrez -faire précéder le nom du programme de <filename>./</filename> pour l'exécuter +faire précéder le nom du programme de <filename>./</filename> pour l'exécuter (pas d'espace après le “<filename>/</filename>”.) </para> <para>Vous voudrez peut-être installer la version la plus récente de Netscape depuis leur <ulink url="ftp://ftp.netscape.com">site ftp</ulink>. (Netscape @@ -701,8 +701,8 @@ a besoin du gestionnaire graphique X Window.) Il vous faut la version <command>gunzip <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command> puis <command>tar xvf <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></command>, recopiez l'exécutable dans <filename>/usr/local/bin</filename> ou dans tout autre répertoire où vous mettez les programmes, <command>rehash</command>, et ajoutez les lignes suivantes aux fichiers -<filename>.cshrc</filename> dans les répertoires de tous les -utilisateurs ou (plus simplement) au fichier +<filename>.cshrc</filename> dans les répertoires de tous les +utilisateurs ou (plus simplement) au fichier <filename>/etc/csh.cshrc</filename> de démarrage de l'interpréteur de commandes csh applicable à tous les utilisateurs: <informalexample> @@ -725,9 +725,9 @@ de l'ancien, qui s'appelle <filename>/usr/local/lib/netscape/netscape.bin</filen <para>Votre interpréteur de commandes est la composante la plus importante de votre environnement de travail. C'est l'équivalent de COMMAND.COM sous DOS. C'est lui qui analyse les commandes que vous tapez au clavier et communique -avec le reste du système d'exploitation. Vous pouvez aussi écrire des +avec le reste du système d'exploitation. Vous pouvez aussi écrire des procédures, qui sont l'équivalent des fichiers .BAT de DOS.</para> -<para>Deux interpréteurs de commandes sont pré-installés par FreeBSD : csh et +<para>Deux interpréteurs de commandes sont pré-installés par FreeBSD : csh et sh. csh est utile pour le travail en ligne de commande, mais vous devriez mieux écrire vos procédures pour sh (ou bash). <command>echo $SHELL</command> vous retourne le nom de l'interpréteur que vous utilisez actuellement.</para> @@ -736,9 +736,9 @@ plus encore. Il vous permet de rappeler des commandes avec les touches flèches et de les éditer. Il sait compléter les noms de fichiers avec la touche Tab (csh utilise la touche Echap) et il vous permet de revenir dans le répertoire où vous étiez auparavant avec <command>cd -</command>. Il est aussi plus facile de -modifier l'invite du système avec tcsh. Il vous rend la vie beaucoup plus +modifier l'invite du système avec tcsh. Il vous rend la vie beaucoup plus facile.</para> -<para>Voici les trois étapes pour installer un nouvel interpréteur de +<para>Voici les trois étapes pour installer un nouvel interpréteur de commandes:</para> <para>Installez l'interpréteur, pré-compilé ou non, comme vous le feriez pour n'importe quel autre logiciel. Utilisez <command>rehash</command> puis @@ -748,12 +748,12 @@ assurer qu'il est bien installé.</para> ajoutez-y une ligne pour le nouvel interpréteur, dans notre cas /usr/local/bin/tcsh, et enregistrez votre modification. (certaines procédures d'installation font cela pour vous.)</para> -<para>Utilisez <command>chsh</command> pour changer de façon permanente +<para>Utilisez <command>chsh</command> pour changer de façon permanente d'interpréteur de commandes, ou tapez <command>tcsh</command> sous l'invite du système pour changer d'interpréteur sans ouvrir de nouvelle session.</para> <para>Note: Il peut être dangereux de changer l'interpréteur de commandes du compte root en autre chose que sh ou csh avec les premières versions de FreeBSD -et de nombreuses autres versions d'Unix; vous pourriez ne plus avoir +et de nombreuses autres versions d'Unix; vous pourriez ne plus avoir d'interpréteur de commandes quand le système passe en mode mono-utilisateur. La solution est d'utiliser <command>su -m</command> pour devenir root et disposer de tcsh, parce que l'interpréteur de commandes est partie intégrante @@ -761,7 +761,7 @@ de l'environnement. Vous pouvez rendre ce fonctionnement définitif en ajoutant un alias dans votre fichier <filename>.tchsrc</filename>:</para> <informalexample><screen>alias su su -m</screen> </informalexample> -<para>Quand tcsh démarre, il lit les fichiers +<para>Quand tcsh démarre, il lit les fichiers <filename>/etc/csh.cshrc</filename> et <filename>/etc/csh.login</filename>. Il lit aussi le fichier <filename>.login</filename> de votre répertoire utilisateur, ainsi que le fichier <filename>.cshrc</filename>, à moins que vous @@ -771,8 +771,8 @@ créer un en copiant simplement <filename>.cshrc</filename> dans <para>Maintenant que vous avez installé tcsh, vous pouvez modifier l'invite du système. Vous trouverez plus de détails dans les pages de manuel de tcsh, mais voici une ligne que vous pouvez mettre dans votre fichier -<filename>.tchsrc</filename>, qui vous dira combien de commandes vous avez -tapées, quelle heure il est, et dans quel répertoire vous vous +<filename>.tchsrc</filename>, qui vous dira combien de commandes vous avez +tapées, quelle heure il est, et dans quel répertoire vous vous trouvez. Un > sera aussi affiché si vous êtes un utilisateur ordinaire et un # si vous êtes root, mais tcsh fait cela de toute façon:</para> @@ -787,42 +787,42 @@ pas les espaces et les guillemets. Vous pouvez forcer la relecture du fichier été positionnées avec la commande <command>env</command>. Le résultat vous indiquera entre autres quels sont votre éditeur et votre gestionnaire de page affichée par défaut, et quel type de terminal vous utilisez. Une -commande utile si vous vous connectez à distance et ne pouvez exécuter un -programme parce que le terminal n'est pas adapté est +commande utile si vous vous connectez à distance et ne pouvez exécuter un +programme parce que le terminal n'est pas adapté est <command>setenv TERM vt100</command>.</para> </sect1> <sect1> <title>Autres</title> <para>En tant que root, vous pouvez démonter le CDROM avec <command>/sbin/umount /cdrom</command>, le sortir du lecteur, en mettre un autre, et monter ce dernier avec -<command>/sbin/mount_cd9660 /dev/cd0a /cdrom</command> en supposant que -<hardware>cd0a</hardware> est le nom du périphérique associé à votre lecteur de +<command>/sbin/mount_cd9660 /dev/cd0a /cdrom</command> en supposant que +<hardware>cd0a</hardware> est le nom du périphérique associé à votre lecteur de CDROMs.</para> -<para>Le système de fichier actif - le deuxième CDROM de la +<para>Le système de fichier actif - le deuxième CDROM de la distribution de FreeBSD - est utile si vous manquez d'espace disque. Vous pouvez essayez d'utiliser <command>emacs</command> ou des jeux depuis le cdrom. Vous devrez utiliser <command>lndir</command>, qui est installé en même temps -que le gestionnaire graphique X Window, pour dire au(x) programme(s) +que le gestionnaire graphique X Window, pour dire au(x) programme(s) où trouver les fichiers dont il a besoin, parce qu'ils se trouvent dans le système de fichiers <filename>/cdrom</filename> et non dans <filename>/usr</filename> et ses sous-répertoires, où ils devraient normalement être. Lisez <command>man lndir</command>.</para> <para>Vous pouvez supprimer un utilisateur (par example, jacques) en utilisant la commande <command>vipw</command> pour éditer le fichier <filename>master.passwd</filename> -(n'utilisez pas <command>vi</command> directement sur le fichier +(n'utilisez pas <command>vi</command> directement sur le fichier <filename>master.passwd</filename>); effacez la ligne pour jacques et sauvez le -fichier. Editez ensuite <filename>/etc/group</filename> et supprimez toutes +fichier. Editez ensuite <filename>/etc/group</filename> et supprimez toutes les occurrences de jacques. Enfin, allez dans <filename>/usr/home</filename> et utilisez <command>rm -R jacques</command> (pour effacer les fichiers et sous-répertoires du répertoire utilisateur de jacques).</para> </sect1> <sect1> -<title>Vos Commentaires sont la Bienvenue</title> +<title>Vos Commentaires sont la Bienvenue</title> <para>Si vous utilisez ce guide, je suis intéressée de savoir où il ne vous est pas suffisamment clair et ce que vous trouvez qu'il y manque, et aussi s'il vous a été utile. <footnote><para>N.d.T.: en anglais !</para></footnote> -Mes remerciements à Eugene W. Stark, professeur d'informatique +Mes remerciements à Eugene W. Stark, professeur d'informatique à SUNY-Stony Brook, et à John Fieber pour ses commentaires pertinents.</para> <para>Annelise Anderson, <email>andrsn@hoover.stanford.edu</email></para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ntfs/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ntfs/article.sgml index 4d0af39b5e..2cacca36a8 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ntfs/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ntfs/article.sgml @@ -11,7 +11,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article id="ntfs" lang="fr"> <articleinfo> @@ -30,11 +30,11 @@ <title>Installer le pilote NTFS pour FreeBSD 3.x</title> <para>Pour installer ce pilote, vous aurez besoin de recompiler un noyau car - les fichiers d'en-tête utilisés seront mis à niveau. - Pour autant, aucun changement dans le fichier de configuration ne sera - nécessaire. Si vous n'avez pas installé les sources du + les fichiers d'en-tête utilisés seront mis à niveau. + Pour autant, aucun changement dans le fichier de configuration ne sera + nécessaire. Si vous n'avez pas installé les sources du noyau, vous pouvez soit recourir à <filename>sysinstall</filename>, - ou bien entrer successivement en tant que + ou bien entrer successivement en tant que <username>root</username> :</para> <informalexample> @@ -43,8 +43,8 @@ &prompt.root; <userinput> cat ssys.?? | tar --unlink -zxpvf - -C /usr/src</userinput></screen> </informalexample> - <para>Le pilote requiert également le fichier - <filename>mntopt.h</filename> de l'archive source. Pour + <para>Le pilote requiert également le fichier + <filename>mntopt.h</filename> de l'archive source. Pour extraire son contenu :</para> <informalexample> @@ -52,8 +52,8 @@ &prompt.root; <userinput> cat ssbin.?? | tar --unlink -zxpvf - -C /usr/src sbin/mount</userinput></screen> </informalexample> - <para>Ensuite, en tant que <username>root</username>, créez un - répertoire pour y extraire le contenu de l'archive du pilote + <para>Ensuite, en tant que <username>root</username>, créez un + répertoire pour y extraire le contenu de l'archive du pilote ntfs :</para> <informalexample> @@ -61,11 +61,11 @@ &prompt.root; <userinput> mkdir ntfs</userinput></screen> </informalexample> - <para>Téléchargez le fichier d'archive compressé + <para>Téléchargez le fichier d'archive compressé contenant le code source du pilote ainsi que son fichier de mise à niveau - <foreignphrase>patch</foreignphrase> - dans - <filename>/tmp/ntfs</filename>. Les deux fichiers dont vous avez besoin - sont <filename>ntfs-0.17beta.tgz</filename> et + <filename>/tmp/ntfs</filename>. Les deux fichiers dont vous avez besoin + sont <filename>ntfs-0.17beta.tgz</filename> et <filename>ntfs.0.17beta-0.18beta.diff</filename>.</para> <para>Extrayez le contenu du fichier d'archive :</para> @@ -75,7 +75,7 @@ &prompt.root; <userinput> tar xzvf ntfs-0.17beta.tgz</userinput></screen> </informalexample> - <para>Il se peut que le numéro de version (0.17beta) soit + <para>Il se peut que le numéro de version (0.17beta) soit différent.</para> <para>Ensuite, appliquez la mise à niveau de la version 0.17 à @@ -84,17 +84,17 @@ <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput> cd /tmp/ntfs/src/sys/ntfs</userinput> &prompt.root; <userinput> patch < /tmp/ntfs/ntfs.0.17beta-0.18beta.diff</userinput></screen> - </informalexample> + </informalexample> - <para>Prenez garde à ce qu'aucune partie ne fasse défaut. - <citerefentry><refentrytitle>patch</refentrytitle> + <para>Prenez garde à ce qu'aucune partie ne fasse défaut. + <citerefentry><refentrytitle>patch</refentrytitle> <manvolnum>1</manvolnum></citerefentry> génère des copies de - sauvegarde des fichiers qu'il met à jour (avec l'extension - <filename>.orig</filename>), par conséquent, si un problème - survient, recopiez les fichiers <filename>.orig</filename>, et + sauvegarde des fichiers qu'il met à jour (avec l'extension + <filename>.orig</filename>), par conséquent, si un problème + survient, recopiez les fichiers <filename>.orig</filename>, et recherchez-en la cause.</para> - <para>Recopiez maintenant les fichiers sources là où ils + <para>Recopiez maintenant les fichiers sources là où ils doivent normalement être :</para> <informalexample> @@ -102,7 +102,7 @@ &prompt.root; <userinput>cp -p -R -i src /usr/</userinput></screen> </informalexample> - <para>Il faut ensuite mettre à jour + <para>Il faut ensuite mettre à jour <filename>vnode.h</filename> :</para> <informalexample> @@ -110,7 +110,7 @@ &prompt.root; <userinput>patch < /tmp/ntfs/diff/vnode.h.diff</userinput></screen> </informalexample> - <para>Encore une fois, vérifiez que la mise à niveau s'est + <para>Encore une fois, vérifiez que la mise à niveau s'est bien passée, vous devriez avoir :</para> <programlisting> @@ -142,12 +142,12 @@ done &prompt.root; <userinput>make install</userinput></screen> </informalexample> - <para>Pour finir, il faudra aussi recompiler le noyau (parce que - <filename>vnode.h</filename> a été modifié). Si vous + <para>Pour finir, il faudra aussi recompiler le noyau (parce que + <filename>vnode.h</filename> a été modifié). Si vous utilisez le noyau <filename>GENERIC</filename>, faites une copie - du fichier de configuration du noyau <filename>GENERIC</filename> (ce - n'est pas absolument nécessaire, mais de cette manière le - nom du noyau sera mis à jour, et il sera plus facile d'identifier + du fichier de configuration du noyau <filename>GENERIC</filename> (ce + n'est pas absolument nécessaire, mais de cette manière le + nom du noyau sera mis à jour, et il sera plus facile d'identifier celui avec lequel vous démarrez). J'ai pour habitude d'utiliser des noms assez représentatifs, aussi <filename>GENERIC_NTFS</filename> me semble-t-il @@ -164,15 +164,15 @@ done </informalexample> <para>Ok, parfait, mais avant de redémarrer avec votre nouveau noyau, - il faut identifier la + il faut identifier la tranche - <foreignphrase>slice</foreignphrase> - NTFS. Le numéro de cette tranche va dépendre du format de votre disque. Pour l'instant, si vous avez une tranche FAT suivie d'une tranche - NTFS et que votre tranche FreeBSD est la dernière, elles seront - numérotées (“<literal>da</literal>” ou + NTFS et que votre tranche FreeBSD est la dernière, elles seront + numérotées (“<literal>da</literal>” ou peut-être “<literal>sd</literal>” pour les disques SCSI, si vous avez mis à jour votre système 2.2.x pour passer en - 3.1, et ce sera “<literal>wd</literal>” si vous avez des + 3.1, et ce sera “<literal>wd</literal>” si vous avez des disques IDE) :</para> <programlisting> @@ -181,27 +181,27 @@ NTFS - da0s2 FreeBSD - da0s3 </programlisting> - <para>Si votre tranche NTFS et votre tranche FreeBSD sont inversées + <para>Si votre tranche NTFS et votre tranche FreeBSD sont inversées et que vous avez installé NT avant FreeBSD, ce qui est d'ailleurs la méthode recommandée, vos numéros de - tranches seront les mêmes, mais pas dans le même + tranches seront les mêmes, mais pas dans le même ordre :</para> <programlisting> FAT - da0s1 FreeBSD - da0s3 NTFS - da0s2 - </programlisting> + </programlisting> <para>Vous pouvez jeter un coup d'oeil au fichier <filename>/etc/fstab</filename> pour être sûr du numéro de la tranche de FreeBSD (et également de celui de la tranche FAT).</para> - <para>Il y a cependant une exception à tout cela, lorsque votre - tranche NTFS est une “partition logique” dans une + <para>Il y a cependant une exception à tout cela, lorsque votre + tranche NTFS est une “partition logique” dans une “partition étendue”. Les “partitions logiques” sont toujours numérotées à partir de - 5, peut importe le nombre de “partitions” sur le disque. Mon + 5, peut importe le nombre de “partitions” sur le disque. Mon disque, par exemple, est agencé comme ceci :</para> <programlisting> @@ -209,26 +209,26 @@ FAT - da0s1 FreeBSD - da0s3 Extended partition - da0s2 NTFS - da0s5 - </programlisting> + </programlisting> <para>Notez qu'une “partition étendue;” se voit attribuer - une + une tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”, - mais celle-ci ne peut pas être utilisée en tant que telle, + mais celle-ci ne peut pas être utilisée en tant que telle, c'est-à-dire que vous ne pouvez pas la monter.</para> - <para>Après avoir identifié la tranche NTFS, vous pouvez - ajouter une entrée dans le fichier + <para>Après avoir identifié la tranche NTFS, vous pouvez + ajouter une entrée dans le fichier <filename>/etc/fstab</filename>. Notez que l'option <literal>ro</literal> - signifie que le montage se fera en lecture seule (souvenez-vous que le - pilote est en lecture seule). Cette entrée provoquera le montage - automatique de la tranche NTFS lors du démarrage. Si vous voulez - désactiver cette dernière option, modifiez - <literal>ro</literal> en <literal>ro,noauto</literal>, sans aucun espace - ni avant ni après la virgule ! Vous aurez également - besoin d'un point de montage, <filename>/ntfs</filename> dans cet - exemple, ou si vous préferez, <filename>/mnt</filename> à - la place de <filename>/ntfs</filename> dans le fichier + signifie que le montage se fera en lecture seule (souvenez-vous que le + pilote est en lecture seule). Cette entrée provoquera le montage + automatique de la tranche NTFS lors du démarrage. Si vous voulez + désactiver cette dernière option, modifiez + <literal>ro</literal> en <literal>ro,noauto</literal>, sans aucun espace + ni avant ni après la virgule ! Vous aurez également + besoin d'un point de montage, <filename>/ntfs</filename> dans cet + exemple, ou si vous préferez, <filename>/mnt</filename> à + la place de <filename>/ntfs</filename> dans le fichier <filename>/etc/fstab</filename> :</para> <programlisting> @@ -236,19 +236,19 @@ Extended partition - da0s2 /dev/da0s5 /ntfs ntfs ro 0 0 </programlisting> - <para>Si vous préferez ne pas monter la “partition” au - démarrage, montez-la ensuite en tant que <username>root</username> + <para>Si vous préferez ne pas monter la “partition” au + démarrage, montez-la ensuite en tant que <username>root</username> avec la commande :</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>mount -t ntfs /dev/da0s5 /ntfs</userinput></screen> </informalexample> - <para>Bien entendu, ajustez le fichier de pilote de - périphérique ainsi que le point de montage à votre + <para>Bien entendu, ajustez le fichier de pilote de + périphérique ainsi que le point de montage à votre système.</para> - <para>C'est fait ! Il ne reste plus qu'à + <para>C'est fait ! Il ne reste plus qu'à redémarrer.</para> <para>Bon courage ! </para> @@ -259,11 +259,11 @@ Extended partition - da0s2 <title>Installation du pilote NTFS sous FreeBSD 2.2.X</title> <para>Pour installer ce pilote, vous aurez besoin de recompiler un noyau car - les fichiers d'en-tête utilisés seront mis à niveau. - Pour autant, aucun changement dans le fichier de configuration ne sera - nécessaire. Si vous n'avez pas installé les sources du + les fichiers d'en-tête utilisés seront mis à niveau. + Pour autant, aucun changement dans le fichier de configuration ne sera + nécessaire. Si vous n'avez pas installé les sources du noyau, vous pouvez soit recourir à <filename>sysinstall</filename>, - ou bien entrer successivement en tant que + ou bien entrer successivement en tant que <username>root</username> :</para> <informalexample> @@ -272,8 +272,8 @@ Extended partition - da0s2 &prompt.root; <userinput> cat ssys.?? | tar --unlink -zxpvf - -C /usr/src</userinput></screen> </informalexample> - <para>Le pilote requiert également les fichiers - <filename>mntopt.h</filename> de l'archive source. Pour extraire son + <para>Le pilote requiert également les fichiers + <filename>mntopt.h</filename> de l'archive source. Pour extraire son contenu, tapez :</para> <informalexample> @@ -281,8 +281,8 @@ Extended partition - da0s2 &prompt.root; <userinput> cat ssbin.?? | tar --unlink -zxpvf - -C /usr/src sbin/mount</userinput></screen> </informalexample> - <para>Ensuite, en tant que <username>root</username>, créez un - répertoire pour extraire le contenu de l'archive du pilote + <para>Ensuite, en tant que <username>root</username>, créez un + répertoire pour extraire le contenu de l'archive du pilote ntfs :</para> <informalexample> @@ -290,7 +290,7 @@ Extended partition - da0s2 &prompt.root; <userinput> mkdir ntfs</userinput></screen> </informalexample> - <para>Téléchargez le fichier d'archive compressé + <para>Téléchargez le fichier d'archive compressé contenant le code source du pilote ainsi que son fichier de mise à jour dans <filename>/tmp/ntfs</filename>.</para> @@ -301,7 +301,7 @@ Extended partition - da0s2 &prompt.root; <userinput> tar xzvf ntfs-releng22-0.12beta.tgz</userinput></screen> </informalexample> - <para>Il se peut que le numéro de version (0.12beta) soit + <para>Il se peut que le numéro de version (0.12beta) soit différent.</para> <para>Recopiez maintenant les fichiers sources à l'endroit @@ -312,7 +312,7 @@ Extended partition - da0s2 &prompt.root; <userinput>cp -p -r * /usr/src</userinput></screen> </informalexample> - <para>Ensuite, vous devez mettre à niveau les 3 fichiers + <para>Ensuite, vous devez mettre à niveau les 3 fichiers d'en-tête du système. Utilisez l'option <option>-l</option> (L minuscule) qui permet d'ignorer la différence d'espacement, car j'ai remarqué que l'utilisation des touches <keycap>TAB</keycap> @@ -326,7 +326,7 @@ Extended partition - da0s2 &prompt.root; <userinput>patch -l vnode.h /tmp/ntfs/diff/vnode.h.diff</userinput></screen> </informalexample> - <para>Si cette opération réussit, vous verrez s'afficher + <para>Si cette opération réussit, vous verrez s'afficher quelque chose de similaire à :</para> <programlisting> @@ -341,13 +341,13 @@ Hunk #1 succeeded at 58. done </programlisting> - <para>Si malencontreusement, un (ou plusieurs) fichier de mise à - jour faisait défaut, sachez que - <citerefentry><refentrytitle>patch</refentrytitle></citerefentry> - fait toujours des copies des fichiers originaux avec le même nom + <para>Si malencontreusement, un (ou plusieurs) fichier de mise à + jour faisait défaut, sachez que + <citerefentry><refentrytitle>patch</refentrytitle></citerefentry> + fait toujours des copies des fichiers originaux avec le même nom suivi de l'extension <filename>.orig</filename>.</para> - <para>Maintenant, vous pouvez compiler le pilote. Il est nécessaire + <para>Maintenant, vous pouvez compiler le pilote. Il est nécessaire d'ajouter <literal>BINDIR=/usr/sbin</literal> qui n'est pas défini dans le <filename>Makefile</filename>.</para> @@ -367,11 +367,11 @@ done <para>Pour finir, vous devez recompiler le noyau. Si vous utilisez le noyau <filename>GENERIC</filename>, faites une copie du fichier de configuration - du noyau <filename>GENERIC</filename> (ce n'est pas absolument - nécessaire, mais de cette manière le nom du noyau sera mis + du noyau <filename>GENERIC</filename> (ce n'est pas absolument + nécessaire, mais de cette manière le nom du noyau sera mis à jour, et ce sera plus facile pour identifier le noyau avec lequel - vous démarrez). J'ai pour habitude d'utiliser des noms assez - représentatifs, aussi <filename>GENERIC_NTFS</filename> me semble + vous démarrez). J'ai pour habitude d'utiliser des noms assez + représentatifs, aussi <filename>GENERIC_NTFS</filename> me semble approprié :</para> <informalexample> @@ -382,14 +382,14 @@ done &prompt.root; <userinput>make depend</userinput> &prompt.root; <userinput>make</userinput> &prompt.root; <userinput>make install</userinput></screen> - </informalexample> + </informalexample> <para>Ok, parfait, mais avant de redémarrer avec votre nouveau noyau, - il faut identifier la + il faut identifier la tranche - <foreignphrase>slice</foreignphrase> - NTFS. Le numéro de cette tranche va dépendre du format de votre disque. Pour l'instant, si vous avez une tranche FAT suivie d'une tranche - NTFS et que votre tranche FreeBSD est la dernière, elles seront + NTFS et que votre tranche FreeBSD est la dernière, elles seront numérotées (remplacez “<literal>w</literal>” par “<literal>s</literal>” pour les disques SCSI) :</para> @@ -399,27 +399,27 @@ NTFS - wd0s2 FreeBSD - wd0s3 </programlisting> - <para>Si votre tranche NTFS et votre tranche FreeBSD sont inversées + <para>Si votre tranche NTFS et votre tranche FreeBSD sont inversées et que vous avez installé NT avant FreeBSD, ce qui est d'ailleurs la méthode recommandée, vos numéros de - tranches seront les mêmes, mais pas dans le même + tranches seront les mêmes, mais pas dans le même ordre :</para> <programlisting> FAT - wd0s1 FreeBSD - wd0s3 NTFS - wd0s2 - </programlisting> + </programlisting> <para>Vous pouvez jeter un coup d'oeil au fichier <filename>/etc/fstab</filename> pour être sûr du numéro de la tranche FreeBSD (et également de celui de la tranche FAT).</para> - <para>Il y a cependant une exception à tout cela, lorsque votre - tranche NTFS est une “partition logique” dans une + <para>Il y a cependant une exception à tout cela, lorsque votre + tranche NTFS est une “partition logique” dans une “partition étendue”. Les “partitions logiques” sont toujours numérotées à partir de - 5, peut importe le nombre de “partitions” sur le disque. Mon + 5, peut importe le nombre de “partitions” sur le disque. Mon disque, par exemple, est agencé comme ceci :</para> <programlisting> @@ -427,26 +427,26 @@ FAT - sd0s1 FreeBSD - sd0s3 Extended partition - sd0s2 NTFS - sd0s5 - </programlisting> + </programlisting> <para>Notez qu'une “partition étendue” se voit attribuer une - tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”, - mais celle-ci ne peut pas être utilisée en tant que telle, + tranche - “<foreignphrase>slice</foreignphrase>”, + mais celle-ci ne peut pas être utilisée en tant que telle, c'est-à-dire que vous ne pouvez pas la monter.</para> - <para>Après avoir identifié la tranche NTFS, vous pouvez - ajouter une entrée dans le fichier + <para>Après avoir identifié la tranche NTFS, vous pouvez + ajouter une entrée dans le fichier <filename>/etc/fstab</filename>. Notez que l'option <literal>ro</literal> - signifie que le montage se fera en lecture seule (souvenez-vous que le - pilote est en lecture seule). Cette entrée provoquera le montage - automatique de la tranche NTFS lors du démarrage. Si vous voulez - désactiver cette dernière option, modifiez - <literal>ro</literal> en <literal>ro,noauto</literal>, sans aucun espace - ni avant ni après la virgule ! Vous aurez également - besoin d'un point de montage, <filename>/ntfs</filename> dans cet - exemple, ou si vous préferez, <filename>/mnt</filename> à - la place de <filename>/ntfs</filename> dans le fichier + signifie que le montage se fera en lecture seule (souvenez-vous que le + pilote est en lecture seule). Cette entrée provoquera le montage + automatique de la tranche NTFS lors du démarrage. Si vous voulez + désactiver cette dernière option, modifiez + <literal>ro</literal> en <literal>ro,noauto</literal>, sans aucun espace + ni avant ni après la virgule ! Vous aurez également + besoin d'un point de montage, <filename>/ntfs</filename> dans cet + exemple, ou si vous préferez, <filename>/mnt</filename> à + la place de <filename>/ntfs</filename> dans le fichier <filename>/etc/fstab</filename> :</para> <programlisting> @@ -454,22 +454,22 @@ Extended partition - sd0s2 /dev/sd0s5 /ntfs ntfs ro 0 0 </programlisting> - <para>Si vous préferez ne pas monter la “partition” au - démarrage, montez-la ensuite en tant que <username>root</username> + <para>Si vous préferez ne pas monter la “partition” au + démarrage, montez-la ensuite en tant que <username>root</username> avec la commande :</para> <informalexample> <screen>&prompt.root; <userinput>mount -t ntfs /dev/sd0s5 /ntfs</userinput></screen> </informalexample> - <para>Bien entendu, ajustez le fichier de pilote de - périphérique ainsi que le point de montage à votre + <para>Bien entendu, ajustez le fichier de pilote de + périphérique ainsi que le point de montage à votre système.</para> - <para>C'est fait ! Il ne reste plus qu'à - redémarrer. Si vous avez choisi de monter la - “partition” au démarrage, vous verrez s'afficher - quelques messages de diagnostic tout à fait + <para>C'est fait ! Il ne reste plus qu'à + redémarrer. Si vous avez choisi de monter la + “partition” au démarrage, vous verrez s'afficher + quelques messages de diagnostic tout à fait inoffensifs :</para> <programlisting> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ppp/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ppp/article.sgml index 940c771ca3..3af0a305bf 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/ppp/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/ppp/article.sgml @@ -11,7 +11,7 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -30,7 +30,7 @@ <para>Le protocole de connexion PPP en mode utilisateur de la version 2.2 de FreeBSD (appelé aussi “IIJ-PPP”) supporte maintenant la réécriture de paquets pour les connexions à l'Internet. Cette possibilité, -connue aussi sous le nom de “Mascarade (Masquerading)”, +connue aussi sous le nom de “Mascarade (Masquerading)”, “Alias IP (IP Aliasing)”, ou “Traduction d'Adresse Réseau (Network Adresse Translation)”, permet à un système FreeBSD d'interagir comme routeur de connexion à la demande entre un réseau local @@ -40,19 +40,19 @@ des informations avec ce dernier.</para> <sect2> <title>But de ce document</title> <para>Ce document<footnote><para>N.d.T: Si vous souhaitez consulter le document -original en langue anglaise, il se trouve sur +original en langue anglaise, il se trouve sur <ulink url="http://www.FreeBSD.org/tutorials/ppp/ppp.html">http://www.FreeBSD.org/ppp/ppp.html</ulink>.</para></footnote> vous explique comment:</para> <itemizedlist> -<listitem><para>Configurer le système FreeBSD pour permettre les connexions +<listitem><para>Configurer le système FreeBSD pour permettre les connexions vers l'extérieur,</para></listitem> -<listitem><para>Partager une seule connexion vers l'extérieur avec les autres +<listitem><para>Partager une seule connexion vers l'extérieur avec les autres machines du réseau,</para></listitem> -<listitem><para>Configurer les machines Windows pour utiliser la machine +<listitem><para>Configurer les machines Windows pour utiliser la machine FreeBSD comme passerelle vers l'Internet.</para></listitem> </itemizedlist> <para>Bien que l'objectif de ce document soit avant tout d'expliquer comment -configurer la traduction d'adresses IP, il fournit aussi des exemples +configurer la traduction d'adresses IP, il fournit aussi des exemples d'installation et de configuration des autres composants. Chaque section est indépendante et peut être utilisée pour configurer divers aspects d'une passerelle FreeBSD entre plusieurs réseaux.</para> @@ -64,10 +64,10 @@ passerelle FreeBSD entre plusieurs réseaux.</para> utilisé pour fournir des services à la <emphasis>seule</emphasis> machine FreeBSD, il peut aussi servir à en faire une “passerelle” ou “routeur” entre les autres dispositifs reliés au réseau local -et l'Internet ou tout autre service connecté.</para> +et l'Internet ou tout autre service connecté.</para> <sect2> <title>Topologie classique du réseau</title> -<para>Ce document s'applique à un réseau local dont la +<para>Ce document s'applique à un réseau local dont la topologie est - classiquement - la suivante:</para> <programlisting> @@ -92,21 +92,21 @@ topologie est - classiquement - la suivante:</para> <sect2> <title>Hypothèses sur le réseau local</title> <para>Pour les besoins de notre exemple, nous supposerons que :</para> -<para>Il y a trois stations et un serveur reliés par le réseau Ethernet +<para>Il y a trois stations et un serveur reliés par le réseau Ethernet local:</para> <itemizedlist> -<listitem><para>un serveur FreeBSD (“Curly”) avec un contrôleur +<listitem><para>un serveur FreeBSD (“Curly”) avec un contrôleur Ethernet NE-2000 configuré sur “ed0”,</para></listitem> -<listitem><para>une station de travail Windows 95 (“Larry”) avec +<listitem><para>une station de travail Windows 95 (“Larry”) avec les pilotes TCP/IP 32-bits natifs de Microsoft,</para></listitem> -<listitem><para>une station de travail Windows for Workgroups +<listitem><para>une station de travail Windows for Workgroups (“Larry”) avec les extension TCP/IP 16-bits de Microsoft,</para></listitem> -<listitem><para>une station de travail Windows NT (“Larry”) avec +<listitem><para>une station de travail Windows NT (“Larry”) avec les pilotes TCP/IP 32-bits natifs de Microsoft.</para></listitem> </itemizedlist> <para>Les adresses IP du réseau Ethernet sur lequel se base notre exemple -ont été attribuées dans l'espace d'adresses privées défini par la RFC-1597, +ont été attribuées dans l'espace d'adresses privées défini par la RFC-1597, comme suit:</para> <programlisting> Nom Adresse IP @@ -117,11 +117,11 @@ Nom Adresse IP </programlisting> <para>Nous supposerons aussi que le modem est connecté sur le premier port série (<filename>/dev/cuaa0</filename> ou <filename>COM1:</filename> selon la -terminologie DOS) de la machine FreeBSD.</para> +terminologie DOS) de la machine FreeBSD.</para> <para>Enfin, nous supposerons que notre fournisseur d'accès Internet nous fournit automatiquement les adresses IP des deux extrémités de la liaison PPP (point à point) : celle de notre machine FreeBSD et celle de la machine du côté -du fournisseur (adressage dynamique). Les détails de configuration de la +du fournisseur (adressage dynamique). Les détails de configuration de la connexion de la machine FreeBSD à l'extérieur sont donnés au chapitre <link linkend="chap3">Configuration du système FreeBSD</link>.</para> </sect2> @@ -131,12 +131,12 @@ connexion de la machine FreeBSD à l'extérieur sont donnés au chapitre <para>Il y a trois informations à fournir au système FreeBSD avant de le relier au réseau local de notre exemple:</para> <itemizedlist> -<listitem><para>Son nom de machine (<filename>hostname</filename>), +<listitem><para>Son nom de machine (<filename>hostname</filename>), “Curly” dans notre exemple,</para></listitem> <listitem><para>La configuration de son interface réseau,</para></listitem> <listitem><para>Le fichier <filename>/etc/hosts</filename> (qui liste les noms et les adresses IP des autres machines du réseau).</para></listitem> -</itemizedlist> +</itemizedlist> <para>Si vous avez installé FreeBSD via une connexion réseau, il est possible que certaines de ces informations soient déjà définies.</para> <para>Même si vous pensez que votre système FreeBSD a déjà été correctement @@ -158,9 +158,9 @@ paraît correct (c'est très subjectif :-), vous pouvez passer au paragraphe <link linkend="sect32">Contrôler la configuration de l'interface Ethernet</link>.</para> <para>Dans notre exemple, le résultat de la commande <command>hostname</command> devrait être “curly.my.domain” si le nom de la machine a été -correctement défini à l'installation, ou ensuite. (A ce stade, ne vous +correctement défini à l'installation, ou ensuite. (A ce stade, ne vous préoccupez pas du suffixe “.my.domain”, nous verrons cela par la -suite. Ce qui compte maintenant est le nom qui précède le premier +suite. Ce qui compte maintenant est le nom qui précède le premier “.”)</para> <para>Si le nom de machine n'a pas été défini à l'installation, la réponse de <command>hostname</command> sera probablement “myname.my.domain”. @@ -178,7 +178,7 @@ a de fortes chances que votre système <emphasis>ne redémarre</emphasis> pas correctement! Soyez prudents !</para> </note> <para>Le nom de machine du système FreeBSD est défini au démarrage par le -fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur par défaut +fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur par défaut (“ee”) pour éditer ce fichier.</para> <para>Sous une session “root”, visualisez le fichier dans l'éditeur avec la commande:</para> @@ -202,11 +202,11 @@ hostname="myname.my.domain" # Set this ! hostname="curly.my.domain" # Set this ! --- </literallayout> -<para>Une fois la modification faite, appuyez sur la touche -<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de -l'éditeur. Choisissez +<para>Une fois la modification faite, appuyez sur la touche +<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de +l'éditeur. Choisissez “leave editor” (quitter l'éditeur) et sélectionnez bien l'option -“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question +“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question vous est posée.</para> </sect3> </sect2> @@ -215,9 +215,9 @@ vous est posée.</para> <para>Rappelons nos hypothèses : l'interface Ethernet de la machine s'appelle “ed0”. C'est la valeur par défaut pour les contrôleurs NE-1000, NE-2000, WD/SMC modèles 8003, 8013 et Elite Ultra (8216).</para> -<para>Les fichiers d'interface d'autres modèles de contrôleurs peuvent -avoir d'autres noms sous FreeBSD. Si vous n'êtes pas certain du nom -correspondant à votre contrôleur, consultez les Questions Fréquemment Posées +<para>Les fichiers d'interface d'autres modèles de contrôleurs peuvent +avoir d'autres noms sous FreeBSD. Si vous n'êtes pas certain du nom +correspondant à votre contrôleur, consultez les Questions Fréquemment Posées à propos de FreeBSD (“FAQ”) et substituez la bonne valeur dans les exemples qui suivent.</para> @@ -228,7 +228,7 @@ votre système FreeBSD), utilisez la commande suivante:</para> <screen> <prompt>#</prompt> <userinput>ifconfig -a</userinput> </screen> -<para>Soit en clair: "Donnes-moi la CONFIGuration des InterFaces de mes +<para>Soit en clair: "Donnes-moi la CONFIGuration des InterFaces de mes périphériques réseau."</para> <para>Par exemple:</para> <screen> @@ -246,29 +246,29 @@ inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000 </screen> <para>Sur cet exemple, les périphériques suivants sont reconnus :</para> <itemizedlist> -<listitem><para><filename>ed0</filename>: l'interface +<listitem><para><filename>ed0</filename>: l'interface Ethernet,</para></listitem> -<listitem><para><filename>lp0</filename>: l'interface parallèle +<listitem><para><filename>lp0</filename>: l'interface parallèle (que nous n'utiliserons pas ici),</para></listitem> <listitem><para><filename>tun0</filename>: l'interface SLIP (IP sur ligne série, que nous n'utiliserons pas ici),</para></listitem> -<listitem><para><filename>ppp0</filename>: un autre interface PPP -(pour le module <command>ppp</command> intégré au noyau, que n'utiliserons pas +<listitem><para><filename>ppp0</filename>: un autre interface PPP +(pour le module <command>ppp</command> intégré au noyau, que n'utiliserons pas ici),</para></listitem> -<listitem><para><filename>lp0</filename>: l'interface +<listitem><para><filename>lp0</filename>: l'interface "en boucle" - "loopback" - que nous n'utiliserons pas non plus).</para></listitem> </itemizedlist> -<para>Dans l'exemple, l'interface “ed0” est active +<para>Dans l'exemple, l'interface “ed0” est active (“UP”) et fonctionne (“RUNNING”). Les indications importantes sont:</para> <orderedlist> <listitem><para>L'interface est active (“UP”),</para></listitem> <listitem><para>Elle a une adresse Ethernet (“inet”), dans notre cas: 192.168.1.1,</para></listitem> -<listitem><para>Elle a un masque de sous-réseau (“netmask”; +<listitem><para>Elle a un masque de sous-réseau (“netmask”; 0xffffff00 qui équivaut à 255.255.255.0) correct,</para></listitem> -<listitem><para>Elle a une adresse de diffusion (“broadcast”; +<listitem><para>Elle a une adresse de diffusion (“broadcast”; ici, 192.168.1.255) valide.</para></listitem> </orderedlist> <para>Si la ligne décrivant l'interface Ethernet mentionne quelque chose @@ -278,8 +278,8 @@ ed0: flags=8802<BROADCAST,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1500 ether 01:02:03:04:05:06 </programlisting> <para>c'est que cette interface n'est pas encore configurée.</para> -<para>Si l'interface Ethernet est déjà configurée, vous pouvez passer -directement au paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des +<para>Si l'interface Ethernet est déjà configurée, vous pouvez passer +directement au paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>. Sinon, continuez en séquence.</para> <sect3> @@ -293,8 +293,8 @@ fichiers de configuration du système.</para> a de fortes chances que votre système <emphasis>ne redémarre</emphasis> pas correctement! Soyez prudents !</para> </note> -<para>Les paramètres de configuration des interfaces réseau sont définis au -démarrage par le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur +<para>Les paramètres de configuration des interfaces réseau sont définis au +démarrage par le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur par défaut (“ee”) pour éditer ce fichier.</para> <para>Sous une session “root”, visualisez le fichier dans l'éditeur avec la commande:</para> @@ -303,8 +303,8 @@ avec la commande:</para> <prompt>#</prompt> ee /etc/rc.conf </userinput> </para> -<para>Vers la vingtième ligne environ du fichier, se trouve la section qui -définit quelles interfaces réseau doivent être mises en service au +<para>Vers la vingtième ligne environ du fichier, se trouve la section qui +définit quelles interfaces réseau doivent être mises en service au démarrage. Le fichier de configuration par défaut contient la ligne :</para> <programlisting> network_interfaces="lo0" # List of network interfaces (lo0 is loopback) @@ -323,7 +323,7 @@ network_interfaces="lo0 ed0" # List of network interfaces (lo0 is loopback) “<filename>network_interfaces</filename>” comporte peut-être déjà un référence à votre carte Ethernet. Dans ce cas, assurez vous que son nom soit correct.</para> -<para>Les lignes qui suivent celles où sont listées les interfaces à mettre en +<para>Les lignes qui suivent celles où sont listées les interfaces à mettre en service décrivent les paramètres de chacune de ces interfaces. Dans le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename> par défaut, il n'y a qu'un seule ligne qui dit:</para> @@ -335,13 +335,13 @@ votre interface “ed0”.</para> <para>Si vous avez installé FreeBSD via une connexion réseau, la ligne “<filename>ifconfig_ed0=</filename>” existe peut-être déjà. Vérifiez alors qu'elle contienne bien les bonnes valeurs.</para> -<para>En nous référant à notre exemple, nous insérerons la ligne suivante, -immédiatement après la définition de l'interface +<para>En nous référant à notre exemple, nous insérerons la ligne suivante, +immédiatement après la définition de l'interface “en boucle”:</para> <programlisting> ifconfig_ed0="inet 192.168.1.1 netmask 255.255.255.0" </programlisting> -<para>Après modification, cette section du fichier +<para>Après modification, cette section du fichier <filename>/etc/rc.conf</filename> doit ressembler à:</para> <programlisting> --- @@ -351,30 +351,30 @@ ifconfig_ed0="inet 192.168.1.1 netmask 255.255.255.0" --- </programlisting> <para>Un fois que vous avez fait toutes les modifications nécessaires, -appuyez sur la touche -<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de -l'éditeur. Choisissez +appuyez sur la touche +<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de +l'éditeur. Choisissez “leave editor” (quitter l'éditeur) et sélectionnez bien l'option -“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question +“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question vous est posée.</para> </sect3> </sect2> <sect2 id="sect33"> <title>Autoriser la transmission de paquets</title> -<para>Par défaut, FreeBSD n'active pas le transmission de paquets +<para>Par défaut, FreeBSD n'active pas le transmission de paquets entre les différentes interfaces réseau d'une machine. En d'autres termes, les fonctions de routage (aussi appelées de passerelle) ne sont pas disponibles.</para> <para>Si vous voulez utiliser le programme <command>ppp</command> comme poste Internet autonome et non comme passerelle entre le réseau local et votre fournisseur d'accès à Internet, vous pouvez -passer directement au paragraphe +passer directement au paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>.</para> <para>Si vous voulez utiliser le programme <command>ppp</command> pour connecter à la fois votre machine FreeBSD (pour servir de routeur) et les autres postes du réseau local, vous devez autoriser la transmission de paquets IP.</para> -<para>Pour cela, vous devez éditer le fichier +<para>Pour cela, vous devez éditer le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Visualisez le fichier dans l'éditeur avec la commande:</para> <para> @@ -399,23 +399,23 @@ gateway_enable="YES" # Set to YES if the host will be a gateway </para> <para>et quittez l'éditeur (en enregistrant vos modifications!).</para> <note> -<para>Cette ligne contient peut-être déjà +<para>Cette ligne contient peut-être déjà <command>gateway_enable="YES"</command> si la transmission de paquets IP a été autorisée au moment de l'installation du système FreeBSD.</para> </note> </sect2> <sect2 id="sect34"> -<title>Renseigner la liste des autres machines du réseau +<title>Renseigner la liste des autres machines du réseau (<filename>/etc/hosts</filename>)</title> <para>La dernière étape de la configuration du réseau local vu de la machine FreeBSD consiste à créer la liste des noms et des adresses TCP/IP des différentes machines raccordées au réseau local. Cette liste est définie dans le fichier <filename>/etc/hosts</filename>.</para> -<para>Par défaut, ce fichier ne contient qu'une ligne: le nom et l'adresse +<para>Par défaut, ce fichier ne contient qu'une ligne: le nom et l'adresse de l'interface “en boucle”. Par convention, ce nom est toujours “localhost” et son adresse 127.0.0.1. (Reportez-vous à l'exemple -de configuration des interfaces au paragraphe +de configuration des interfaces au paragraphe <link linkend="sect32">Contrôler la configuration de l'interface Ethernet</link>.)</para> <para>Pour éditer le fichier <filename>/etc/hosts</filename>, tapez la commande:</para> @@ -433,7 +433,7 @@ réseau de notre exemple) les noms et les adresses IP suivantes:</para> 192.168.1.3 moe moe.my.domain # machine Windows for Workgroups 192.168.1.4 shemp shemp.my.domain # machine Windows NT </programlisting> -<para>(Vous ne devez pas modifier la ligne +<para>(Vous ne devez pas modifier la ligne “<command>127.0.0.1 localhost</command>”.)</para> <para>Une fois que vous avez ajouté ces lignes, appuyez sur la touche <keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de @@ -449,13 +449,13 @@ FreeBSD est maintenant une machine UNIX connectée au réseau! Si vous avez dû modifier votre fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>, il faut redémarrer votre machine FreeBSD. Cela va faire deux choses importantes:</para> <itemizedlist> -<listitem><para>Appliquer les modifications de configuration des interfaces, +<listitem><para>Appliquer les modifications de configuration des interfaces, et:</para></listitem> <listitem><para>Vérifier que le système redémarre sans erreur de configuration flagrante.</para></listitem> </itemizedlist> <sect3> -<title>Vérifier le bon fonctionnement de l'interface +<title>Vérifier le bon fonctionnement de l'interface “en boucle”</title> <para>Pour vérifier que l'interface “en boucle” est correctement configurée, ouvrez une session sous “root” et tapez:</para> @@ -473,7 +473,7 @@ PING localhost.my.domain. (127.0.0.1): 56 bytes [...] </programlisting> </para> -<para>jusqu'à ce que vous tapiez +<para>jusqu'à ce que vous tapiez <keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo> pour arrêter ce délire.</para> </sect3> @@ -501,8 +501,8 @@ PING curly.my.domain. (192.168.1.1): 56 bytes <filename>/etc/hosts</filename> est correct.</para> <para>Si les noms et les adresses apparaissent correctement dans les résultats de la commande <command>ping</command> mais que des messages d'erreur sont -affichés, quelque chose ne va pas dans la configuration des interfaces. -Retournez au paragraphe <link linkend="sect31">Contrôler le nom de la machine FreeBSD</link> et +affichés, quelque chose ne va pas dans la configuration des interfaces. +Retournez au paragraphe <link linkend="sect31">Contrôler le nom de la machine FreeBSD</link> et vérifiez de nouveau votre configuration.</para> <para>Si maintenant, tout va bien, passez à la section suivante.</para> </sect3> @@ -515,7 +515,7 @@ mode “Interactif” et en mode “Automatique”.</para> <para>En mode Interactif, vous:</para> <itemizedlist> <listitem> -<para>Etablissez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès +<para>Etablissez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès Internet,</para> </listitem> <listitem> @@ -523,12 +523,12 @@ Internet,</para> électronique, etc.</para> </listitem> <listitem> -<para>Coupez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès +<para>Coupez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès Internet.</para> </listitem> </itemizedlist> <para>En mode Automatique, le programme <command>ppp</command> surveille -silencieusement les opérations du système FreeBSD et se connecte et se +silencieusement les opérations du système FreeBSD et se connecte et se déconnecte automagiquement à votre fournisseur d'accès selon le besoin, intégrant de façon transparente l'Internet à votre réseau.</para> <sect2> @@ -545,7 +545,7 @@ procédure ci-dessous:</para> <prompt>#</prompt> cd etc </userinput> </para> -<para>Faites un copie des fichiers d'origine du répertoire +<para>Faites un copie des fichiers d'origine du répertoire <filename>ppp</filename>:</para> <para> <userinput> @@ -557,7 +557,7 @@ et un répertoire <filename>ppp.ORIGINAL</filename> dans le répertoire <filename>etc</filename>.</para> </sect2> <sect2> -<title>Créer vos propres fichiers de configuration de +<title>Créer vos propres fichiers de configuration de <command>ppp</command></title> <para>Par défaut, la procédure d'installation de FreeBSD crée un certain nombre de fichiers d'exemple dans le répertoire <filename>/etc/ppp</filename>. @@ -574,25 +574,25 @@ les pages de manuel:</para> </userinput> </para> <para>Pour plus d'informations sur le langage <command>chat</command>, utilisé -par <command>ppp</command> pour établir la connexion, lisez les pages de +par <command>ppp</command> pour établir la connexion, lisez les pages de manuel:</para> <para> <userinput> <prompt>#</prompt> man chat </userinput> </para> -<para>La suite de ce chapitre décrit le contenu recommandé des fichiers +<para>La suite de ce chapitre décrit le contenu recommandé des fichiers de configurations de <command>ppp</command>.</para> <sect3> <title>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename></title> -<para>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> contient les +<para>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> contient les informations et les paramètres nécessaires pour établir une connexion -vers l'extérieur. Le +vers l'extérieur. Le <ulink url="&url.handbook;index.html">Manuel FreeBSD</ulink> décrit en détail le contenu et la syntaxe de ce fichier.</para> <para>N'est décrite ici que la configuration minimale nécessaire pour arriver à établir une connexion.</para> -<para>Voici le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> que nous +<para>Voici le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> que nous utiliserons sur notre passerelle entre le réseau local et l'Internet:</para> <para> <programlisting> @@ -653,15 +653,15 @@ add 0 0 127.2.2.2 parties:</para> <sect4> <title>La section “default”</title> -<para> La section “default:” contient les informations et +<para> La section “default:” contient les informations et paramètres utilisés par toutes les autres sections du fichier. Cette section est donc implicitement ajoutée à toutes les autres.</para> <para>C'est l'endroit idéal pour définir les valeurs par défaut qui s'appliquent à toutes les connexions vers l'extérieur; en particulier, la configuration du modem et le dialogue d'initialisation de la connexion, qui ne changent pas, quel que soit le système distant auquel vous vous connectez.</para> -<para>Voici le détail de chacune des lignes de la section -“default:” du fichier +<para>Voici le détail de chacune des lignes de la section +“default:” du fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename>:</para> <para> <programlisting> @@ -670,7 +670,7 @@ set device /dev/cuaa0 </para> <para>Cette instruction dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser le premier port série. Sous FreeBSD, le périphérique “/dev/cuaa0” -correspond au port appelé “COM1:” de DOS, Windows, Windows 95, +correspond au port appelé “COM1:” de DOS, Windows, Windows 95, etc.</para> <para>Si votre modem est sur le port “COM2”: vous devrez mettre “/dev/cuaa1”. “/dev/cuaa2” serait le port @@ -685,8 +685,8 @@ en émission et en réception entre le port série et le modem. Bien que le modem de notre configuration fonctionne à 28.8 Kbps, donner la valeur 56000 permet à la liaison série de fonctionner suffisamment vite pour gérer la compression de données intégrée aux modems les plus récents.</para> -<para>Si vous avez des problèmes pour dialoguer avec votre modem à cette -vitesse, descendez à une valeur inférieure: 38400, voir aussi faible que +<para>Si vous avez des problèmes pour dialoguer avec votre modem à cette +vitesse, descendez à une valeur inférieure: 38400, voir aussi faible que 19200.</para> <para> <programlisting> @@ -709,9 +709,9 @@ disable lqr deny lqr </programlisting> </para> -<para>Ces deux lignes contrôlent l'“audit de la qualité de la +<para>Ces deux lignes contrôlent l'“audit de la qualité de la liaison (Link Quality Reporting)” qui est partie intégrante des -spécifications du protocole PPP. +spécifications du protocole PPP. (Voyez la RFC-1989 pour plus de détails.)</para> <para>La première ligne, “disable lqr” instruit le programme <command>ppp</command> de ne pas émettre de demandes de contrôle de la @@ -721,7 +721,7 @@ qualité de la liaison à la machine distante.</para> qualité de la liaison de la machine distante.</para> <para>Comme la plupart des modems ont des procédures intégrées de détection et de correction d'erreur et que l'audit LQR est rarement intégralement -implémentée par les constructeurs, il vaut en général mieux ne pas utiliser +implémentée par les constructeurs, il vaut en général mieux ne pas utiliser cette possibilité.</para> <para> <programlisting> @@ -729,7 +729,7 @@ set dial "ABORT BUSY ABORT NO\\sCARRIER TIMEOUT 5 \"\" ATE1Q0M0 OK-AT-OK\\dATADT </programlisting> </para> <note> -<para>(Cette instruction doit être écrite sur une seule ligne; ne tenez +<para>(Cette instruction doit être écrite sur une seule ligne; ne tenez pas compte du formatage sur deux lignes, si elle se présente ainsi dans ce document.)</para> </note> @@ -743,30 +743,30 @@ instructions rudimentaires sur la marche à suivre:</para> <para>Une tentative d'appel échoue aussi si le modem renvoie le code d'erreur “NO CARRIER (pas de porteuse),”,</para> <para>Le programme <command>ppp</command> doit constater, avec -un délai maximum de cinq secondes entre chaque événement, la séquence +un délai maximum de cinq secondes entre chaque événement, la séquence d'événements suivants:</para> </listitem> <listitem> <itemizedlist> <listitem> <para>Initialement, le programme <command>ppp</command> n'attend pas de -réponse du modem (c'est le sens de la chaîne <literal>\"\"</literal> dans +réponse du modem (c'est le sens de la chaîne <literal>\"\"</literal> dans l'instruction),</para> </listitem> <listitem> -<para>Le programme enverra au modem la chaîne “ATE1Q0M0” et +<para>Le programme enverra au modem la chaîne “ATE1Q0M0” et attendra la réponse “OK”. Si cette réponse n'arrive pas, il enverra la commande d'interrogation “AT” et attendra à nouveau une réponse “OK”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Le programme devra attendre une seconde (c'est le sens de la chaîne +<para>Le programme devra attendre une seconde (c'est le sens de la chaîne “\\d” dans l'instruction), et envoyer la séquence d'appel au modem. Le préfixe “ATDT” est la commande d'appel standard pour les lignes téléphoniques à fréquences vocales. Si vous n'avez pas de ligne à fréquence vocale, remplacez “ATDT” par “ATDP”. La chaîne “\\T” sera remplacée par le numéro -de téléphone réel (qui sera défini plus loin par la ligne +de téléphone réel (qui sera défini plus loin par la ligne “set dial”).</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -797,7 +797,7 @@ secondes entre chaque nouvel appel.</para> paramètres utilisés par les connexions PPP interactives avec un système distant particulier. Les lignes de la section “default:” sont automatiquement incluses dans cette section.</para> -<para>L'exemple donné ci-dessous suppose que vous vous connectiez à un système +<para>L'exemple donné ci-dessous suppose que vous vous connectiez à un système qui sait identifier un utilisateur sans avoir à utiliser une série de commandes baroques. Nous supposerons que le protocole CHAP est utilisé pour initialiser la session.</para> @@ -806,33 +806,33 @@ clic sur le bouton “Connecter”, la configuration donnée en exemple devrait fonctionner.</para> <para>Si, à l'inverse, quand vous vous connectez chez votre fournisseur d'accès avec les utilitaires de Microsoft Windows 95, vous devez utiliser l'option -“Utiliser des procédures de connexion”<footnote><para>N.d.T: ne +“Utiliser des procédures de connexion”<footnote><para>N.d.T: ne disposant du matériel nécessaire au contrôle de certains de ces libellés dans -les versions françisées de Windows, ils ont été traduits du document en langue -anglaise. En cas d'inexactitude, le lecteur voudra bien rectifier de -lui-même.</para></footnote>. il vous faudra alors +les versions françisées de Windows, ils ont été traduits du document en langue +anglaise. En cas d'inexactitude, le lecteur voudra bien rectifier de +lui-même.</para></footnote>. il vous faudra alors lire les pages de manuel de <command>ppp</command> pour trouver des exemples de fichiers de configuration de PPP comportant des procédures “expect / reponse” pour établir votre connexion et vous devrez utiliser la commande “set login” à cet effet.</para> <para>Ou mieux, trouvez-vous un fournisseur d'accès qui offre l'authentification par PAP ou CHAP!</para> -<para>La configuration donnée en exemple a été utilisée avec succès pour se +<para>La configuration donnée en exemple a été utilisée avec succès pour se connecter:</para> <itemizedlist> <listitem> <para>à Divers Shiva LanRovers,</para> </listitem> <listitem> -<para>au réseau IBM +<para>au réseau IBM (<ulink url="http://www.ibm.net">http://www.ibm.net</ulink>),</para> </listitem> <listitem> -<para>à AT&T WorlNet +<para>à AT&T WorlNet (<ulink url="http://www.att.com/worldnet">http://www.att.com/worldnet</ulink>),</para> </listitem> <listitem> -<para>à Erol's +<para>à Erol's (<ulink url="http://www.erols.com">http://www.erols.com</ulink>).</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -844,7 +844,7 @@ de l'exemple:</para> set authname Votre_Nom_d_Utilisateur_du_Système_Distant </programlisting> </para> -<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au +<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au système distant.</para> <para> <programlisting> @@ -858,7 +858,7 @@ au système distant.</para> set phone 012345678789 </programlisting> </para> -<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système +<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système distant.</para> <para> <programlisting> @@ -884,11 +884,11 @@ accept chap </para> <para>Cette ligne dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser le protocole CHAP “Challenge Handsake Autentification Protocole -(protocole d'authentification par poignée de main avec défi de -décryptage)” pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le -système local et le système distant pour transmettre le nom d'utilisateur -et le mot de passe sont définies par les lignes “authname” et -“authkey”.</para> +(protocole d'authentification par poignée de main avec défi de +décryptage)” pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le +système local et le système distant pour transmettre le nom d'utilisateur +et le mot de passe sont définies par les lignes “authname” et +“authkey”.</para> </sect4> <sect4> <title>La section “demand”</title> @@ -898,9 +898,9 @@ distant particulier. Les lignes de la section “default:” sont automatiquement incluses dans cette section.</para> <para>A l'exception des deux dernières lignes, cette section est identique à la section qui définit la configuration “interactive”.</para> -<para>Comme indiqué au paragraphe +<para>Comme indiqué au paragraphe <link linkend="sect4122">La section “interactive”</link>, l'exemple donné -ci-dessous suppose que vous vous connectiez à un système +ci-dessous suppose que vous vous connectiez à un système qui comprenne le protocole CHAP pour initialiser la session.</para> <para>Voici la description de chacune des lignes de la section @@ -911,7 +911,7 @@ de l'exemple:</para> set authname Votre_Nom_d_Utilisateur_du_Système_Distant </programlisting> </para> -<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au +<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au système distant.</para> <para> <programlisting> @@ -925,7 +925,7 @@ au système distant.</para> set phone 012345678789 </programlisting> </para> -<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système +<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système distant.</para> <para> <programlisting> @@ -951,22 +951,22 @@ accept chap </para> <para>Cette ligne dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser le protocole CHAP “Challenge Handsake Autentification Protocole -(protocole d'authentification par poignée de +(protocole d'authentification par poignée de main avec défi de décryptage)” -pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le système local et le +pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le système local et le système distant pour transmettre le nom d'utilisateur et le mot de passe -sont définies par les lignes “authname” et -“authkey”</para> +sont définies par les lignes “authname” et +“authkey”</para> <para> <programlisting> set ifaddr 127.1.1.1/0 127.2.2.2/0 255.255.255.0 </programlisting> </para> <para>Cette commande définit une paire d'adresses IP fictives pour les deux -extrémités de la liaison point-à-point. Elle dit au programme +extrémités de la liaison point-à-point. Elle dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser l'adresse 127.1.1.1 pour l'extrémité locale -de la liaison gérée par le pilote de périphérique -“tun0 (tunnel)”(Reportez-vous au <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD</ulink> pour une +de la liaison gérée par le pilote de périphérique +“tun0 (tunnel)”(Reportez-vous au <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD</ulink> pour une description de ce pilote) et l'adresse 127.2.2.2 pour l'extrémité distante. Le “/0” qui les suit précise le nombre de digits significatifs de ces adresses, qui peuvent, (et doivent en fait) être négociées entre les @@ -974,10 +974,10 @@ deux systèmes une fois la liaison établie. 255.255.255.0 est le masque de sous-réseau qui s'applique à ces deux pseudo-interfaces.</para> <para>Rappelez-vous, nous avons supposé que votre fournisseur d'accès vous assigne les adresses des deux extrémités de la ligne! Si votre fournisseur -vous a donné une adresse particulière, vous pouvez la mentionner sur cette -ligne <emphasis>à la place</emphasis> de l'adresse 127.1.1.1.</para> +vous a donné une adresse particulière, vous pouvez la mentionner sur cette +ligne <emphasis>à la place</emphasis> de l'adresse 127.1.1.1.</para> <para>Inversement, si votre fournisseur vous a donné une adresse particulière -pour son côté de la liaison, vous pouvez la mentionner sur cette +pour son côté de la liaison, vous pouvez la mentionner sur cette ligne <emphasis>à la place</emphasis> de l'adresse 127.2.2.2.</para> <para>Dans les deux cas, il vaut mieux conserver le “/0” après les deux adresses. Cela laisse la possibilité au programme <command>ppp</command> @@ -988,7 +988,7 @@ add 0 0 127.2.2.2 </programlisting> </para> <para>Cette dernière ligne dit au programme <command>ppp</command> d'ajouter une -route par défaut pour le trafic vers l'adresse (fictive) 127.2.2.2 du +route par défaut pour le trafic vers l'adresse (fictive) 127.2.2.2 du fournisseur d'accès.</para> <note> <para>Si vous avez donnée l'adresse que vous a indiqué votre fournisseur d'accès @@ -996,11 +996,11 @@ fournisseur d'accès.</para> devez utiliser la même adresse ici, à la place de 127.2.2.2.</para> </note> <para>En ajoutant cette route “fictive” pour le trafic IP, le -programme <command>ppp</command> peut, successivement, avant et au moment +programme <command>ppp</command> peut, successivement, avant et au moment d'établir la liaison:</para> <itemizedlist> <listitem> -<para>Accepter des paquets que FreeBSD ne sait pas encore comment +<para>Accepter des paquets que FreeBSD ne sait pas encore comment rediriger,</para> </listitem> <listitem> @@ -1015,7 +1015,7 @@ d'accès,</para> </listitem> </itemizedlist> <para>automatiquement!</para> -<para>Une fois le nombre de secondes défini par l'instruction +<para>Une fois le nombre de secondes défini par l'instruction “timeout” de la section “default” écoulé sans trafic TCP/IP, le programme <command>ppp</command> coupe automatiquement la connexion, et le processus peut recommencer.</para> @@ -1024,15 +1024,15 @@ connexion, et le processus peut recommencer.</para> <sect3> <title>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename></title> <para>L'autre fichier nécessaire à la configuration de <command>ppp</command> -est <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename>. Ce fichier contient les +est <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename>. Ce fichier contient les instructions qui définissent ce que <command>ppp</command> doit faire une fois que la connexion est établie.</para> -<para>Dans le cas d'une connexion à la demande, le programme +<para>Dans le cas d'une connexion à la demande, le programme <command>ppp</command> doit supprimer la route par défaut vers l'adresse IP -fictive du système distant (127.2.2.2 dans notre exemple plus haut) et +fictive du système distant (127.2.2.2 dans notre exemple plus haut) et définir une nouvelle route vers l'adresse IP réelle de ce système (obtenue à l'établissement de la connexion).</para> -<para>Voici un bon exemple de fichier +<para>Voici un bon exemple de fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename>:</para> <para> <programlisting> @@ -1041,14 +1041,14 @@ définir une nouvelle route vers l'adresse IP réelle de ce système (obtenue # Fichier PPP Link Up ('/etc/ppp/ppp.linkup') # # Ce fichier est consulté une fois que PPP a établi une connexion -# +# # Ce fichier est lu dans l'ordre suivant : # # 1) En premier, l'adresse IP qui nous a été assignée est recherchée # et la/les commande(s) associée(s) exécutée(s) # # 2) Si l'adresse IP n'est pas trouvée, alors l'étiquette donnée au -# démarrage de PPP est recherchée, et la/les commande(s) associée(s) +# démarrage de PPP est recherchée, et la/les commande(s) associée(s) # exécutée(s) # # 3) Si ni l'une ni l'autre n'ont été trouvées, les commandes associées @@ -1063,7 +1063,7 @@ demand: delete ALL add 0 0 HISADDR # -# Toutes les autres configurations de /etc/ppp/ppp.conf utilisent +# Toutes les autres configurations de /etc/ppp/ppp.conf utilisent # ce qui suit: # MYADDR: @@ -1081,7 +1081,7 @@ connexion à la demande établie:</para> <para>Supprimer toutes les informations de routage qu'il a déjà créées,</para> </listitem> <listitem> -<para>Ajouter une route par défaut vers l'adresse réelle de la machine +<para>Ajouter une route par défaut vers l'adresse réelle de la machine distante.</para> </listitem> </orderedlist> @@ -1089,15 +1089,15 @@ distante.</para> <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> et qui comportent les lignes “set ifaddr” et “add 0 0” (i.e.: les configurations de connexion à la demande) exécutent les instructions “delete ALL” -et “add 0 0 HISADDR” du fichier +et “add 0 0 HISADDR” du fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup.</filename></para> <para><emphasis>C'est le mécanisme qui contrôle la configuration de la liaison dans le cas d'une connexion à la demande.</emphasis></para> <para>Toutes les configurations qui ne sont pas explicitement définies dans le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename> utiliseront les commandes -listées dans la section “MYADDR:” de ce fichier. C'est ce que -feront les connexions manuelles (comme dans notre exemple -“interactive:”). Cette section ajoute simplement une route par +listées dans la section “MYADDR:” de ce fichier. C'est ce que +feront les connexions manuelles (comme dans notre exemple +“interactive:”). Cette section ajoute simplement une route par défaut vers l'adresse IP du fournisseur d'accès (à l'autre extrémité de la ligne).</para> </sect3> @@ -1106,13 +1106,13 @@ ligne).</para> <title>Alias IP</title> <para>Toutes les étapes précédentes s'appliquent à un systeme FreeBSD utilisé pour se connecter à la demande à un fournisseur d'accès Internet.</para> -<para>Si vous cherchez simplement, en lisant ce guide, à connecter votre +<para>Si vous cherchez simplement, en lisant ce guide, à connecter votre systeme FreeBSD à l'Internet, vous pouvez passer directement au chapitre <link linkend="sect6">Tester le réseau</link>.</para> <para>Une possibilité très intéressante du programme <command>ppp</command> en mode “connexion à la demande” est sa capacité à aiguiller automatiquement le trafic vers les autres systèmes du réseau local. On donne -à cela des noms divers “alias IP (IP Aliasing)”, +à cela des noms divers “alias IP (IP Aliasing)”, “traduction d'adresse réseau (Network Adress Translation)”, “mascarade d'adresse (Adress Masquerading)” ou “mandatement transparent (Transparent Proxying)”.</para> @@ -1121,7 +1121,7 @@ cependant pas automatique. Si le programme <command>ppp</command> est démarré de façon habituelle, il ne fera pas transiter de paquets entre l'interface avec le réseau local et la liaison vers l'extérieur. En effet, seul le système FreeBSD est connecté à l'Internet; les autres systèmes ne peuvent pas partager -la même connexion.</para> +la même connexion.</para> <para>Par exemple, si le programme <command>ppp</command> est lancé par:</para> <para> <userinput> @@ -1153,14 +1153,14 @@ commandes suivantes:</para> </para> <para>Alternativement, vous pouvez utiliser l'instruction “alias enable yes” dans votre fichier de configuration de <command>ppp</command> -(Reportez-vous aux pages de manuel pour plus de détails).</para> +(Reportez-vous aux pages de manuel pour plus de détails).</para> <para>Gardez cela présent à l'esprit si vous passez maintenant au chapitre <link linkend="sect5">Configurer les systèmes Windows</link>.</para> </sect2> </sect1> <sect1 id="sect5"> <title>Configurer les Systèmes Windows</title> -<para>Comme indiqué au Chapitre <link linkend="sect2">Mise en oeuvre du réseau local</link>, +<para>Comme indiqué au Chapitre <link linkend="sect2">Mise en oeuvre du réseau local</link>, le réseau de notre exemple comporte un système FreeBSD (“Curly”) qui sert de passerelle (ou routeur) pour un réseau local composé de trois moutures différentes @@ -1168,7 +1168,7 @@ de systèmes Windows. Pour que ces stations puissent utiliser Curly comme routeur, elles doivent être correctement configurées. Notez bien que l'on ne vous explique pas ici comment configurer les postes Windows pour qu'ils puissent se connecter eux-mêmes. Si vous cherchez de bonnes explications sur -le sujet, voyez +le sujet, voyez <ulink url="http://www.aladdin.co.uk/techweb">http://www.aladdin.co.uk/techweb</ulink>.</para> <sect2> <title>Configurer Windows 95</title> @@ -1180,15 +1180,15 @@ vers votre fournisseur d'accès. Effectuez les étapes suivantes:</para> <title>Créer le fichier Windows 95 <filename>hosts</filename></title> <para>Pour vous connecter aux autres postes TCP/IP du réseau local, vous devrez installer une copie du fichier <filename>hosts</filename> que vous avez créé -sur votre système FreeBSD au paragraphe +sur votre système FreeBSD au paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>.</para> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur le bouton “Démarrer”, choisissez -“Exécuter ...”, lancez +“Exécuter ...”, lancez <userinput>notepad \WINDOWS\HOSTS</userinput> et cliquez sur “OK”,</para></listitem> <listitem><para>Sous l'éditeur, entrez les noms et les adresses des machines -recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe +recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>,</para></listitem> <listitem><para>Une fois que c'est fait, quittez <command>notepad</command> (assurez-vous d'avoir enregistré le fichier!).</para></listitem> @@ -1198,14 +1198,14 @@ recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <title>Définir le configuration réseau TCP/IP Windows 95</title> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur le bouton “Démarrer” de la barre de -tâches, Choisissez “Paramètres” et +tâches, Choisissez “Paramètres” et “Panneau de Configuration”,</para></listitem> -<listitem><para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour +<listitem><para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour l'ouvrir.</para> -<para>Les paramètres des éléments du réseau sont tous +<para>Les paramètres des éléments du réseau sont tous affichés.</para></listitem> -<listitem><para>Sélectionnez l'option “Configuration” et faites -défiler la liste des composants installés pour choisir la ligne +<listitem><para>Sélectionnez l'option “Configuration” et faites +défiler la liste des composants installés pour choisir la ligne “TCP/IP -><replaceable>votre interface</replaceable>” (où <replaceable>votre interface</replaceable> est le nom ou le modèle de votre contrôleur Ethernet),</para> @@ -1222,11 +1222,11 @@ la liste des paramètres associés au composant TCP.</para></listitem> <title>Configurer les informations relatives à l'adresse IP</title> <itemizedlist> <listitem><para>Choisissez l'onglet “Adresse IP”</para></listitem> -<listitem><para>Enfoncez le bouton “Spécifier une adresse +<listitem><para>Enfoncez le bouton “Spécifier une adresse IP”.</para> -<para>(Dans notre exemple, le système Windows 95 est celui que nous avons +<para>(Dans notre exemple, le système Windows 95 est celui que nous avons appelé “Larry”.)</para></listitem> -<listitem><para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez +<listitem><para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez “192.168.1.2”,</para></listitem> <listitem><para>Entrez “255.255.255.0” dans le zone “Masque de Sous-réseau”.</para></listitem> @@ -1239,10 +1239,10 @@ appelé “Larry”.)</para></listitem> <para>Dans le réseau de notre exemple, c'est le système FreeBSD qui sera notre passerelle vers l'Internet (routant les paquets entre le réseau local Ethernet et la connexion PPP). Entrez l'adresse IP de l'interface Ethernet de la -machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone -“Nouvelle Passerelle” et cliquez sur le bouton +machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone +“Nouvelle Passerelle” et cliquez sur le bouton “Ajouter”. S'il y a d'autres passerelles définies dans les -“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les +“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les supprimer.</para></listitem> </itemizedlist> </sect3> @@ -1253,12 +1253,12 @@ liste de serveurs de noms de domaines (Domain Name Servers) - ou “Serveurs DNS” - que vous devez utiliser. Si vous voulez mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous au chapitre -<link linkend="sect7">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur +<link linkend="sect7">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD.</para> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur l'onglet “Configuration DNS”,</para> </listitem> -<listitem><para>Assurez-vous que l'option “Activer DNS” est +<listitem><para>Assurez-vous que l'option “Activer DNS” est bien sélectionnée,</para> <para>(Si cette option n'est pas sélectionnée, seules les machines définies dans votre fichier <filename>hosts</filename> seront accessibles et vous ne pourrez @@ -1267,11 +1267,11 @@ pas “surfer” comme vous le souhaitez!)</para></listitem> Windows 95, dans notre cas : “Larry”,</para></listitem> <listitem><para>Dans la zone “Domaine”, entrez le nom du réseau local, dans notre cas : “my.domain”,</para></listitem> -<listitem><para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, +<listitem><para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, entrez les adresses -IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur +IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur “Ajouter” à chaque adresse que vous définissez. Répétez l'opération -autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre +autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre fournisseur vous a indiquées.</para></listitem> </itemizedlist> </sect3> @@ -1279,9 +1279,9 @@ fournisseur vous a indiquées.</para></listitem> <title>Autres options TCP/IP Windows 95</title> <para>Pour nos besoins, les paramètres des sections “Avancées”, “Configuration WINS” et “Liens” sont inutiles.</para> -<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows +<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows (Windows Internet Naming Service - “WINS”), vous trouverez -plus d'informations sur +plus d'informations sur <ulink url="http://www.localnet.org">http://www.localnet.org</ulink>, en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente à travers l'Internet.</para> @@ -1305,8 +1305,8 @@ en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente à votre réseau local. Les procédures sont semblables à celles suivies pour Windows 95 à quelques différences près quant à l'interface utilisateur.</para> <para>Les étapes décrites ci-dessous s'appliquent à Windows NT 4.0 Workstation, -mais les principes sont les mêmes pour Windows NT 3.5x. Si vous installez un -poste Windows NT 3.5x, vous pouvez vous référer +mais les principes sont les mêmes pour Windows NT 3.5x. Si vous installez un +poste Windows NT 3.5x, vous pouvez vous référer au paragraphe <link linkend="sect53">Configurer Windows for Workgroups</link>, en effet, l'interface utilisateur est la même pour NT 3.5x et WfW.</para> <para>Effectuez les opérations suivantes:</para> @@ -1314,15 +1314,15 @@ effet, l'interface utilisateur est la même pour NT 3.5x et WfW.</para> <title>Créer le fichier Windows NT <filename>hosts</filename></title> <para>Pour vous connecter aux autres postes TCP/IP du réseau local, vous devrez installer une copie du fichier <filename>hosts</filename> que vous avez créé -sur votre système FreeBSD au paragraphe +sur votre système FreeBSD au paragraphe <link linkend="sect34">Configurer Windows for Workgroups</link>.</para> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur le bouton “Démarrer”, choisissez -“Exécuter ...”, lancez +“Exécuter ...”, lancez <userinput>notepad \WINDOWS\SYSTEM\DRIVERS\ETC\HOSTS</userinput> et cliquez sur “OK”,</para></listitem> <listitem><para>Sous l'éditeur, entrez les noms et les adresses des machines -recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe +recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>,</para></listitem> <listitem><para>Une fois que c'est fait, quittez <command>notepad</command> (assurez-vous d'avoir enregistré le fichier!).</para></listitem> @@ -1332,21 +1332,21 @@ recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <title>Définir le configuration réseau TCP/IP Windows NT</title> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur le bouton “Démarrer” de la barre de -tâches, Choisissez “Paramètres” et +tâches, Choisissez “Paramètres” et “Panneau de Configuration”,</para></listitem> -<listitem><para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour +<listitem><para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour l'ouvrir,</para></listitem> -<listitem><para>Dans l'onglet “Identification”, +<listitem><para>Dans l'onglet “Identification”, vérifiez les informations des zones “Nom d'Ordinateur” et “Workgroup”. Dans notre exemple, “Shemp” sera le nom de la machine, et “Stooges” celui du groupe de travail. -Choisissez “Modifier” pour corriger ces valeurs au +Choisissez “Modifier” pour corriger ces valeurs au besoin,</para></listitem> <listitem><para>Choisissez l'onglet “Protocoles”.</para> <para>Les Protocoles Réseau installés seront affichés. Il peut y en avoir un -certain nombre, mais le seul qui nous intéresse ici est le -“Protocole TCP/IP”. Si le “Protocole TCP/IP” -n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur le bouton “Ajouter” +certain nombre, mais le seul qui nous intéresse ici est le +“Protocole TCP/IP”. Si le “Protocole TCP/IP” +n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur le bouton “Ajouter” pour l'installer.</para> <tip><para>Ajouter | Protocole TCP/IP | OK.</para></tip> </listitem> @@ -1358,7 +1358,7 @@ bouton “Propriétés”.</para> </sect3> <sect3> <title>Configurer les informations relatives à l'adresse IP</title> -<para>Vérifiez que l'interface Ethernet est bien définie dans la zone +<para>Vérifiez que l'interface Ethernet est bien définie dans la zone “Carte Réseau”; si ce n'est pas le cas, parcourez la liste des contrôleurs jusqu'à ce que l'interface adéquate soit affichée.</para> <itemizedlist> @@ -1366,7 +1366,7 @@ liste des contrôleurs jusqu'à ce que l'interface adéquate soit affichée.< pour activer les trois zones de texte,</para> <para>Dans notre exemple, le poste Windows NT est celui qui s'appele “Shemp”.</para></listitem> -<listitem><para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez +<listitem><para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez “192.168.1.4”,</para></listitem> <listitem><para>Entrez “255.255.255.0” dans le zone “Masque de Sous-réseau.”.</para></listitem> @@ -1380,12 +1380,12 @@ et la connexion PPP).</para> <itemizedlist> <listitem><para>S'il n'y a rien encore dans la zone “Nouvelle Passerelle”, entrez l'adresse IP de l'interface Ethernet de la -machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans cette zone +machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans cette zone et cliquez sur le bouton “Ajouter”. Sinon, utilisez le bouton "Avancées" et la fonction “Ajouter” pour ajouter cette nouvelle passerelle.</para> <para>S'il y a d'autres passerelles définies dans les -“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les +“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les supprimer.</para></listitem> </itemizedlist> </sect3> @@ -1395,9 +1395,9 @@ supprimer.</para></listitem> liste de serveurs de noms de domaines (Domain Name Servers) - ou “Serveurs DNS” - que vous devez utiliser.</para> <para>Si vous voulez -mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous +mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous au chapitre -<link linkend="sect7">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur +<link linkend="sect7">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD.</para> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur le bouton “DNS”,</para> @@ -1408,9 +1408,9 @@ Windows NT, dans notre cas : “Shemp”,</para></listitem> local, dans notre cas : “my.domain”,</para></listitem> <listitem><para>Dans la zone “Ordre de recherche du service DNS”, entrez les adresses -IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur +IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur “Ajouter” à chaque adresse que vous définissez. Répétez l'opération -autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre +autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre fournisseur vous a indiquées.</para></listitem> </itemizedlist> </sect3> @@ -1418,9 +1418,9 @@ fournisseur vous a indiquées.</para></listitem> <title>Autres options TCP/IP Windows NT</title> <para>Pour nos besoins, les paramètres des sections “Adresses WINS” et “Routage” sont inutiles.</para> -<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows +<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows (Windows Internet Naming Service - “WINS”), vous trouverez -plus d'informations sur +plus d'informations sur <ulink url="http://www.localnet.org">http://www.localnet.org</ulink>, en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente à travers l'Internet.</para> @@ -1444,23 +1444,23 @@ en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente faut avoir installé les pilotes qui sont sur la disquette Microsoft TCP/IP. Ces pilotes ne sont pas inclus avec WfW et les disquettes qui vont avec. S'il vous en faut une copie, ils sont disponibles sur -<ulink url="ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip">ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip.</ulink></para> -<para>Une fois que les pilotes TCP/IP ont été installés, effectuez les +<ulink url="ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip">ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip.</ulink></para> +<para>Une fois que les pilotes TCP/IP ont été installés, effectuez les opérations suivantes:</para> <sect3> -<title>Créer le fichier Windows for Workgroups +<title>Créer le fichier Windows for Workgroups <filename>hosts</filename></title> <para>Pour vous connecter aux autres postes TCP/IP du réseau local, vous devrez installer une copie du fichier <filename>hosts</filename> que vous avez créé -sur votre système FreeBSD au paragraphe +sur votre système FreeBSD au paragraphe <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>.</para> <itemizedlist> -<listitem><para>Dans le Gestionnaire de Programmes, cliquez sur le bouton -“Fichier”, choisissez “Exécuter ...”, lancez +<listitem><para>Dans le Gestionnaire de Programmes, cliquez sur le bouton +“Fichier”, choisissez “Exécuter ...”, lancez <userinput>notepad \WINDOWS\HOSTS</userinput> et cliquez sur “OK”,</para></listitem> <listitem><para>Sous l'éditeur, entrez les noms et les adresses des machines -recopiés du fichier <filename>hosts</filename> de +recopiés du fichier <filename>hosts</filename> de <link linkend="sect34">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>,</para></listitem> <listitem><para>Une fois que c'est fait, quittez <command>notepad</command> (assurez-vous d'avoir enregistré le fichier!).</para></listitem> @@ -1471,9 +1471,9 @@ recopiés du fichier <filename>hosts</filename> de <itemizedlist> <listitem><para>Dans le Gestionnaire de Programmes, ouvrez le groupe “Réseau” en double-cliquant sur l'icône,</para></listitem> -<listitem><para>Double-cliquez sur l'icône “Paramètres +<listitem><para>Double-cliquez sur l'icône “Paramètres Réseau”,</para></listitem> -<listitem><para>Dans la boîte de dialogue “Pilotes Réseau”, +<listitem><para>Dans la boîte de dialogue “Pilotes Réseau”, double-cliquez sur l'option “Microsoft TCP/IP-32”.</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -1488,8 +1488,8 @@ et sélectionnez-la en cliquant dessus.</para> <listitem><para>Vérifiez que l'option “Activer la Configuration DHCP Automatique” n'est pas sélectionnée. Si c'est le cas, cliquez dessus pour effacer le “X”.</para></listitem> -<listitem><para>Dans notre exemple, le poste Windows for Workgroups est celui -qui s'appelle “Moe”; dans la zone “Adresse IP”, entrez +<listitem><para>Dans notre exemple, le poste Windows for Workgroups est celui +qui s'appelle “Moe”; dans la zone “Adresse IP”, entrez “192.168.1.3”,</para></listitem> <listitem><para>Entrez “255.255.255.0” dans le zone “Masque de Sous-réseau”.</para></listitem> @@ -1502,19 +1502,19 @@ passerelle vers l'Internet (routant les paquets entre le réseau local Ethernet et la connexion PPP).</para> <itemizedlist> <listitem><para>Entrez l'adresse IP de l'interface Ethernet de la -machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone +machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone “Passerelle par Défaut”.</para></listitem> </itemizedlist> </sect3> <sect3> <title>Configurer les informations relatives au DNS</title> -<para>Nous supposons toujours que votre fournisseur d'accès Internet vous a +<para>Nous supposons toujours que votre fournisseur d'accès Internet vous a donné une liste de serveurs de noms de domaines (Domain Name Servers) - ou “Serveurs DNS” - que vous devez utiliser.</para> <para>Si vous voulez -mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous +mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous au chapitre -<link linkend="sect7">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur +<link linkend="sect7">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD.</para> <itemizedlist> <listitem><para>Cliquez sur l'onglet “Configuration DNS”,</para> @@ -1523,11 +1523,11 @@ l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD.</para> Windows for Workgroups, dans notre cas : “Moe”,</para></listitem> <listitem><para>Dans la zone “Domaine”, entrez le nom du réseau local, dans notre cas : “my.domain”,</para></listitem> -<listitem><para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, +<listitem><para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, entrez les adresses -IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur +IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur “Ajouter” à chaque adresse que vous définissez. Répétez l'opération -autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre +autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre fournisseur vous a indiquées,</para></listitem> <listitem><para>Cliquez sur “OK” pour fermer la fenêtre “Configuration DNS”.</para></listitem> @@ -1565,14 +1565,14 @@ modem et votre fournisseur d'accès.</para> <title>Exercices pour l'étudiant intéressé</title> <sect2> <title>Gérer un mini-DNS</title> -<para>Bien que gérer une hiérarchie du service de noms de domaines +<para>Bien que gérer une hiérarchie du service de noms de domaines (“Domain Name Service” - DNS) puisse être une tâche diabolique, il est tout à fait faisable d'installer un mini-serveur DNS sur le système FreeBSD qui vous sert aussi de passerelle vers votre fournisseur d'accès.</para> <para>A partir des fichiers existants dans <filename>/etc/namedb</filename> après installation de FreeBSD, il est possible de définir un serveur DNS qui -ait autorité sur le réseau de notre exemple et serve d'interface avec +ait autorité sur le réseau de notre exemple et serve d'interface avec l'architecture DNS de l'Internet.</para> <para>Pour cette configuration minimale, il suffit de trois fichiers:</para> <itemizedlist> @@ -1594,7 +1594,7 @@ serveur de noms:</para> responsabilité,</para></listitem> <listitem><para>Où trouver les autres serveurs DNS.</para></listitem> </orderedlist> -<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, créez un fichier +<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, créez un fichier <filename>/etc/namedb/named.boot</filename> comme suit:</para> <para> <programlisting> @@ -1609,7 +1609,7 @@ cache . named.root primary my.domain. mydomain.db </programlisting> </para> -<para>Les lignes qui commencent par un point-virgule sont des commentaires. +<para>Les lignes qui commencent par un point-virgule sont des commentaires. Voici la signification des autres lignes:</para> <itemizedlist> <listitem> @@ -1638,14 +1638,14 @@ primary my.domain mydomain.db </programlisting> </para> <para>Dit au serveur de noms qu'il a “autorité” sur un domaine DNS -appelé “my.domain” et que la liste des adresses IP des machines +appelé “my.domain” et que la liste des adresses IP des machines du domaine “my.domain” (le réseau local) se trouve dans le fichier <filename>/etc/namedb/mydomain.db</filename>. </para> </listitem> </itemizedlist> <para>Une fois créé et sauvegardé le fichier -<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, passez à l'étape suivante pour +<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, passez à l'étape suivante pour créer le fichier <filename>/etc/namedb/named.db</filename>.</para> </sect3> <sect3> @@ -1690,8 +1690,8 @@ $ORIGIN 0.0.127.IN-ADDR.ARPA le domaine appelé “my.domain”,</para></listitem> <listitem><para>Le serveur de noms (Name Server - “NS”) pour “my.domain”,</para></listitem> -<listitem><para>Responsable de la résolution inverse des adresses IP qui -commencent par “192.168.1” et “127.0.0” +<listitem><para>Responsable de la résolution inverse des adresses IP qui +commencent par “192.168.1” et “127.0.0” (“$ORIGIN ...”).</para></listitem> </itemizedlist> <para>Pour ajouter de nouvelles machines, vous devez ajouter deux lignes pour @@ -1707,7 +1707,7 @@ dans la section pas lancé au démarrage du système. Vous pouvez modifier ce comportement en rectifiant une seule ligne dans le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>, comme suit:</para> -<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, visualisez le fichier +<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, visualisez le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Descendez d'une quarantaine de lignes jusqu'à ce que vous trouviez la section qui dit:</para> <para> @@ -1728,7 +1728,7 @@ named_flags="-b /etc/namedb/named.boot" # Flags to named (if enabled). </programlisting> </para> <para>Sauvegardez le fichier et redémarrez le système.</para> -<para>Vous pouvez aussi démarrer le serveur DNS avec la commande +<para>Vous pouvez aussi démarrer le serveur DNS avec la commande suivante:</para> <para> <userinput> @@ -1736,7 +1736,7 @@ suivante:</para> </userinput> </para> <para>Chaque fois que vous modifiez les fichiers du répertoire -<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, vous devez faire relire ces +<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, vous devez faire relire ces modifications par le serveur DNS avec la commande suivante:</para> <para> <userinput> @@ -1751,7 +1751,7 @@ modifications par le serveur DNS avec la commande suivante:</para> de filtrage au trafic qu'il route. Bien que cela ne soit pas aussi sécurisé qu'un véritable coupe-feu, cela autorise quelques contrôles d'accès à la liaison.</para> -<para>(“<filename>man ipfw</filename>” pour plus +<para>(“<filename>man ipfw</filename>” pour plus d'informations sur la configuration d'un système FreeBSD plus sécurisé.)</para> <para>La documentation complète des différents filtres et règles utilisables avec le programme <command>ppp</command> se trouve dans les pages de manuel @@ -1760,24 +1760,24 @@ de <command>ppp</command>.</para> <command>ppp</command>:</para> <itemizedlist> <listitem> -<para><filename>afilter</filename> - filtre compteur d'accès +<para><filename>afilter</filename> - filtre compteur d'accès (ou “Keep Alive” - garder en vie)</para> <para>Ils définissent quels événements sont ignorés par l'instruction <filename>set timeout=</filename>.</para> </listitem> <listitem> -<para><filename>dfilter</filename> - filtre d'appel</para> +<para><filename>dfilter</filename> - filtre d'appel</para> <para>Ils définissent quels événements sont ignorés par <command>ppp</command> en mode connexion à la demande.</para> </listitem> <listitem> -<para><filename>ifilter</filename> - filtre d'entrée</para> -<para>Ils définissent quels paquets entrants sont acceptés ou +<para><filename>ifilter</filename> - filtre d'entrée</para> +<para>Ils définissent quels paquets entrants sont acceptés ou refusés par le programme <command>ppp</command>.</para> </listitem> <listitem> <para><filename>ofilter</filename> - filtre de sortie</para> -<para>Ils définissent quels paquets sortants sont acceptés ou +<para>Ils définissent quels paquets sortants sont acceptés ou refusés par le programme <command>ppp</command>.</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -1789,7 +1789,7 @@ chaque jeu de règles.:</para> <para> <programlisting> # - # filtres KeepAlive + # filtres KeepAlive # ne pa prendre en compte les paquets ICMP,DNS et RIP # set afilter 0 deny icmp @@ -1875,8 +1875,8 @@ chaque jeu de règles.:</para> </programlisting> </para> <para>Il peut y avoir jusqu'à vingt règles dans chaque classe de filtres. Dans -chaque classe, les règles sont numérotées séquentiellement de 0 à 20, -<emphasis>mais aucune règle dans une classe particulière n'est appliquée tant +chaque classe, les règles sont numérotées séquentiellement de 0 à 20, +<emphasis>mais aucune règle dans une classe particulière n'est appliquée tant que la règle “0” n'est pas définie!</emphasis></para> <para>Si vous décidez de <emphasis>ne pas</emphasis> utiliser de règles de filtrage dans votre configuration du programme <command>ppp</command>, alors @@ -1884,7 +1884,7 @@ filtrage dans votre configuration du programme <command>ppp</command>, alors est connecté à votre fournisseur d'accès.</para> <para>Si vous décidez d'appliquer des règles de filtrages, ajoutez les lignes précédentes à votre fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> dans l'une -des sections “default”, “demand” ou +des sections “default”, “demand” ou “interactive” (ou à toutes - c'est à vous de voir).</para> </sect2> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/pr-guidelines/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/pr-guidelines/article.sgml index 2835bd5191..15fd85ca4c 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/pr-guidelines/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/pr-guidelines/article.sgml @@ -21,13 +21,13 @@ <title>Directives d'utilisation des rapports de bogues</title> <abstract> - <para>Ces directives décrivent les pratiques - recommandées d'utilisation des rapports de bogues de - FreeBSD (PRs - “Problem Reports”). Bien que - développées pour l'équipe de maintenance + <para>Ces directives décrivent les pratiques + recommandées d'utilisation des rapports de bogues de + FreeBSD (PRs - “Problem Reports”). Bien que + développées pour l'équipe de maintenance de la base de données PR de FreeBSD <email>freebsd-bugbusters@FreeBSD.org</email>, ces directives - devraient être suivies par toute personne travaillant + devraient être suivies par toute personne travaillant avec les rapports de bogues de FreeBSD.</para> &trans.a.fonvieille; @@ -54,19 +54,19 @@ <section> <title>Introduction</title> - <para>GNATS est un système de gestion des défauts - (rapport de bogue) utilisé par le projet FreeBSD. Comme - le suivi précis des défauts logiciels en suspens - est important pour le processus de qualité, une utilisation - correcte de GNATS est essentielle pour l'avancée du + <para>GNATS est un système de gestion des défauts + (rapport de bogue) utilisé par le projet FreeBSD. Comme + le suivi précis des défauts logiciels en suspens + est important pour le processus de qualité, une utilisation + correcte de GNATS est essentielle pour l'avancée du Projet.</para> - <para>Un accès à GNATS est fourni aux - développeurs de FreeBSD aussi bien qu'à la + <para>Un accès à GNATS est fourni aux + développeurs de FreeBSD aussi bien qu'à la communauté. Afin de maintenir la cohérence de la - base de données et fournir une expérience uniforme - d'utilisateur, des directives ont été - établies couvrant les aspects courants de la gestion de + base de données et fournir une expérience uniforme + d'utilisateur, des directives ont été + établies couvrant les aspects courants de la gestion de bogue comme la présentation des requêtes de suivi, de fermeture et ainsi de suite.</para> </section> @@ -85,78 +85,78 @@ </listitem> <listitem> - <para>Joe Random Committer s'intéresse au PR et se - l'assigne, ou Jane Random BugBuster décide que Joe est - le plus compétent pour s'en occuper et le lui + <para>Joe Random Committer s'intéresse au PR et se + l'assigne, ou Jane Random BugBuster décide que Joe est + le plus compétent pour s'en occuper et le lui assigne.</para> </listitem> <listitem> - <para>Joe a un bref échange avec l'auteur (s'assurant que - que cela ira dans le rapport d'audit) et détermine la - cause du problème. Il s'assure ensuite que la cause du - problème est documentée dans le rapport d'audit, - et positionne l'état du rapport de bogue sur + <para>Joe a un bref échange avec l'auteur (s'assurant que + que cela ira dans le rapport d'audit) et détermine la + cause du problème. Il s'assure ensuite que la cause du + problème est documentée dans le rapport d'audit, + et positionne l'état du rapport de bogue sur “analysé” (“analysed”).</para> </listitem> <listitem> - <para>Joe passe une nuit blanche à travailler et produit - un correctif dont il pense qu'il corrigera le problème, - et le soumet dans le suivi du rapport, demandant à son - auteur de le tester. Il fixe ensuite l'état du rapport + <para>Joe passe une nuit blanche à travailler et produit + un correctif dont il pense qu'il corrigera le problème, + et le soumet dans le suivi du rapport, demandant à son + auteur de le tester. Il fixe ensuite l'état du rapport de bogue sur “retour” (“feeback”).</para> </listitem> <listitem> <para>Quelques échanges plus tard, Joe et l'auteur sont - satisfaits du correctif, et Joe l'intègre à la - branche <literal>-CURRENT</literal> (ou directement à - la branche <literal>-STABLE</literal> si le problème - n'existe pas sur la branche <literal>-CURRENT</literal>), - s'assurant de bien faire référence au rapport - de bogue dans le commentaire de son “commit” (et - créditant l'auteur s'il a soumis tout ou une partie du + satisfaits du correctif, et Joe l'intègre à la + branche <literal>-CURRENT</literal> (ou directement à + la branche <literal>-STABLE</literal> si le problème + n'existe pas sur la branche <literal>-CURRENT</literal>), + s'assurant de bien faire référence au rapport + de bogue dans le commentaire de son “commit” (et + créditant l'auteur s'il a soumis tout ou une partie du correctif) et, si approprié, commence le décompte de l'intégration dans la branche <literal>-STABLE</literal> (“MFC”).</para> </listitem> <listitem> - <para>Si le correctif ne nécessite pas + <para>Si le correctif ne nécessite pas d'intégration, Joe ferme alors le PR.</para> </listitem> <listitem> - <para>Si le correctif nécessite une intégration, - Joe laisse le rapport de bogue dans l'état - “corrigé” (“patched”) + <para>Si le correctif nécessite une intégration, + Joe laisse le rapport de bogue dans l'état + “corrigé” (“patched”) jusqu'à ce que le correctif soit intégré, et puis le ferme.</para> </listitem> </itemizedlist> <note> - <para>Beaucoup de PRs sont soumis avec très peu - d'information sur le problème, et certains sont soit - très complexes à résoudre, soit effleurent + <para>Beaucoup de PRs sont soumis avec très peu + d'information sur le problème, et certains sont soit + très complexes à résoudre, soit effleurent juste un problème bien plus important; dans ces cas, il est vraiment important d'obtenir toute l'information - nécessaire à la résolution du + nécessaire à la résolution du problème. Si le problème décrit - par le rapport ne peut être résolu, ou s'est - reproduit, il est nécessaire de rouvrir + par le rapport ne peut être résolu, ou s'est + reproduit, il est nécessaire de rouvrir le PR.</para> </note> <note> - <para>L'adresse électronique utilisée dans le - rapport de bogue pourrait ne pas pouvoir recevoir de courrier. - Dans ce cas, faites le suivi du PR comme à - l'accoutumé et demandez à l'auteur (dans le + <para>L'adresse électronique utilisée dans le + rapport de bogue pourrait ne pas pouvoir recevoir de courrier. + Dans ce cas, faites le suivi du PR comme à + l'accoutumé et demandez à l'auteur (dans le message de suivi) de fournir une adresse - électronique fonctionnant. C'est habituellement le cas - quand &man.send-pr.1; est utilisé depuis un système - ayant la gestion du courrier désactivée ou non + électronique fonctionnant. C'est habituellement le cas + quand &man.send-pr.1; est utilisé depuis un système + ayant la gestion du courrier désactivée ou non installée.</para> </note> </section> @@ -164,8 +164,8 @@ <section> <title>Etat du rapport de bogue</title> - <para>Il est important de maintenir à jour l'état d'un - PR quand des mesures ont été prises. L'état + <para>Il est important de maintenir à jour l'état d'un + PR quand des mesures ont été prises. L'état devrait refléter exactement l'état actuel du travail sur le rapport de bogue.</para> @@ -173,13 +173,13 @@ <title>Un petit exemple sur le changement de l'état d'un PR</title> - <para>Quand un PR a été étudié et que - le(s) développeur(s) responsable(s) se sent(ent) - satisfait(s) du correctif, ils soumettront un suivi au rapport - de bogue et changeront l'état en “retour” + <para>Quand un PR a été étudié et que + le(s) développeur(s) responsable(s) se sent(ent) + satisfait(s) du correctif, ils soumettront un suivi au rapport + de bogue et changeront l'état en “retour” (“feedback”). A ce moment-là l'auteur du rapport devrait évaluer le correctif dans son - contexte et répondre en indiquant si le défaut a + contexte et répondre en indiquant si le défaut a été en effet corrigé.</para> </example> @@ -190,8 +190,8 @@ <glossentry> <glossterm>open - “ouvert”</glossterm> <glossdef> - <para>Etat initial, le problème a été - constaté et il a besoin d'être passé + <para>Etat initial, le problème a été + constaté et il a besoin d'être passé en revue.</para> </glossdef> </glossentry> @@ -199,7 +199,7 @@ <glossentry> <glossterm>analyzed - “analysé”</glossterm> <glossdef> - <para>Le problème a été passé en + <para>Le problème a été passé en revue et une solution est cherchée.</para> </glossdef> </glossentry> @@ -208,8 +208,8 @@ <glossterm>feedback - “retour”</glossterm> <glossdef> <para>Un travail plus approfondi exige une information - supplémentaire de la part de l'auteur ou de la - communauté, probablement de l'information concernant + supplémentaire de la part de l'auteur ou de la + communauté, probablement de l'information concernant la solution proposée.</para> </glossdef> </glossentry> @@ -217,8 +217,8 @@ <glossentry> <glossterm>patched - “corrigé”</glossterm> <glossdef> - <para>Un correctif a été commis, mais quelques - problèmes (“MFC”, ou peut être une + <para>Un correctif a été commis, mais quelques + problèmes (“MFC”, ou peut être une confirmation de l'auteur) sont encore en suspens.</para> </glossdef> </glossentry> @@ -226,14 +226,14 @@ <glossentry> <glossterm>suspended - “suspendu”</glossterm> <glossdef> - <para>Personne ne travaille sur le problème, en raison + <para>Personne ne travaille sur le problème, en raison d'un manque d'information ou de ressources. C'est le premier candidat pour quelqu'un qui recherche un projet pour - travailler dessus. Si le problème ne peut être - résolu, il sera fermé, plutôt que - suspendu. Le projet de documentation utilise + travailler dessus. Si le problème ne peut être + résolu, il sera fermé, plutôt que + suspendu. Le projet de documentation utilise “suspendu” pour les éléments qui - nécessitent une quantité significative de + nécessitent une quantité significative de travail pour laquelle personne n'a actuellement le temps.</para> </glossdef> </glossentry> @@ -241,19 +241,19 @@ <glossentry> <glossterm>closed - “fermé”</glossterm> <glossdef> - <para>Un rapport de problème est fermé quand - tous les changements ont été - intégrés, documentés, et testés, - ou quand la correction du problème est + <para>Un rapport de problème est fermé quand + tous les changements ont été + intégrés, documentés, et testés, + ou quand la correction du problème est abandonnée.</para> </glossdef> </glossentry> </glosslist> <note> - <para>L'état “corrigé” est directement + <para>L'état “corrigé” est directement lié au retour, vous pouvez donc directement passer en - état “fermé”, si l'auteur ne peut tester le correctif, + état “fermé”, si l'auteur ne peut tester le correctif, et étant donné que cela fonctionne.</para> </note> </section> @@ -264,19 +264,19 @@ <section> <title>PRs assignés</title> - <para>Si un PR a son champ <literal>responsible</literal> - complété avec le nom d'utilisateur d'un - développeur FreeBSD, cela signifie que le PR a + <para>Si un PR a son champ <literal>responsible</literal> + complété avec le nom d'utilisateur d'un + développeur FreeBSD, cela signifie que le PR a été confié à cette personne pour davantage de travail.</para> - <para>Les PRs assignés ne devraient pas être - touchés par n'importe qui mais par la personne - désignée. Si vous avez des commentaires, soumettez - un message de suivi. Si pour une raison ou une autre vous pensez - que le PR devrait être changé d'état ou - réassigné, envoyez un message à la personne - assignée. Si cette dernière ne répond pas + <para>Les PRs assignés ne devraient pas être + touchés par n'importe qui mais par la personne + désignée. Si vous avez des commentaires, soumettez + un message de suivi. Si pour une raison ou une autre vous pensez + que le PR devrait être changé d'état ou + réassigné, envoyez un message à la personne + assignée. Si cette dernière ne répond pas dans un délai de deux semaines, désassignez le PR et faites ce qu'il vous plaît.</para> </section> @@ -284,23 +284,23 @@ <section> <title>Doublons</title> - <para>Si vous trouvez plus d'un PR décrivant le même - problème, choisissez celui qui contient la plus grande - quantité d'information utile et fermez les autres, en - précisant clairement le numéro du PR de - remplacement. Si plusieurs PRs contiennent des informations - utiles mais différentes, soumettez ce qui est manquant - dans un PR que vous gardez ouvert par l'intermédiaire - d'un rapport de suivi, en faisant référence aux + <para>Si vous trouvez plus d'un PR décrivant le même + problème, choisissez celui qui contient la plus grande + quantité d'information utile et fermez les autres, en + précisant clairement le numéro du PR de + remplacement. Si plusieurs PRs contiennent des informations + utiles mais différentes, soumettez ce qui est manquant + dans un PR que vous gardez ouvert par l'intermédiaire + d'un rapport de suivi, en faisant référence aux PRs que vous fermez.</para> </section> <section> <title>PRs “éventés”</title> - <para>Un PR est considéré comme - “éventé” s'il n'a pas été - modifié en plus de six mois. Appliquez la + <para>Un PR est considéré comme + “éventé” s'il n'a pas été + modifié en plus de six mois. Appliquez la procédure suivante:</para> <itemizedlist> @@ -308,17 +308,17 @@ <para>Si le PR contient suffisamment de détails, essayez de reproduire le problème sur les branches <literal>-CURRENT</literal> et <literal>-STABLE</literal>. - Si vous réussissez, soumettez un rapport de suivi - détaillant vos résultats et trouvez quelqu'un - à qui l'assigner. Placez l'état sur + Si vous réussissez, soumettez un rapport de suivi + détaillant vos résultats et trouvez quelqu'un + à qui l'assigner. Placez l'état sur “analysé” si c'est approprié.</para> </listitem> <listitem> - <para>Si le PR décrit un problème dont vous - savez que c'est le résultat d'une erreur - d'utilisation (configuration incorrecte ou autre), soumettez - un rapport de suivi expliquant où s'est trompé + <para>Si le PR décrit un problème dont vous + savez que c'est le résultat d'une erreur + d'utilisation (configuration incorrecte ou autre), soumettez + un rapport de suivi expliquant où s'est trompé l'auteur, ensuite fermez le PR avec comme raison “User error” (Erreur d'utilisation) ou “Configuration error” (Erreur @@ -326,32 +326,32 @@ </listitem> <listitem> - <para>Si le PR décrit une erreur dont vous savez - qu'elle a été corrigée dans les - branches <literal>-CURRENT</literal> et + <para>Si le PR décrit une erreur dont vous savez + qu'elle a été corrigée dans les + branches <literal>-CURRENT</literal> et <literal>-STABLE</literal>, fermez-le avec un message - précisant quand cela a été corrigé + précisant quand cela a été corrigé dans chaque branche.</para> </listitem> <listitem> - <para>Si le PR décrit une erreur dont vous savez - qu'elle a été corrigée dans la branche - <literal>-CURRENT</literal>, mais pas dans la branche - <literal>-STABLE</literal>, essayez de voir si la personne - qui l'a corrigé projette de faire - l'intégration dans la branche - <literal>-STABLE</literal>, ou essayez de trouver quelqu'un - (peut-être vous-même?) pour le faire. Placez - l'état sur “retour” et assignez-le + <para>Si le PR décrit une erreur dont vous savez + qu'elle a été corrigée dans la branche + <literal>-CURRENT</literal>, mais pas dans la branche + <literal>-STABLE</literal>, essayez de voir si la personne + qui l'a corrigé projette de faire + l'intégration dans la branche + <literal>-STABLE</literal>, ou essayez de trouver quelqu'un + (peut-être vous-même?) pour le faire. Placez + l'état sur “retour” et assignez-le à quiconque fera l'intégration.</para> </listitem> <listitem> - <para>Dans tous les autres cas, demandez à l'auteur de - confirmer si le problème existe toujours dans les - nouvelles versions. Si l'auteur ne répond pas sous - un mois, fermez le PR avec la mention “Feedback + <para>Dans tous les autres cas, demandez à l'auteur de + confirmer si le problème existe toujours dans les + nouvelles versions. Si l'auteur ne répond pas sous + un mois, fermez le PR avec la mention “Feedback timeout” (Délai de retour expiré).</para> </listitem> </itemizedlist> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/problem-reports/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/problem-reports/article.sgml index 6ace76bc18..f4280a7863 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/problem-reports/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/problem-reports/article.sgml @@ -5,9 +5,9 @@ %entities; ]> -<!-- - The FreeBSD Documentation Project - The FreeBSD French Documentation Project +<!-- + The FreeBSD Documentation Project + The FreeBSD French Documentation Project $FreeBSD$ $Id: article.sgml,v 1.3 2007-01-19 21:27:58 blackend Exp $ @@ -19,7 +19,7 @@ <title>Ecrire des rapports de bogue pour FreeBSD</title> <abstract> - <para>Cet article décrit comment formuler et soumettre au mieux un + <para>Cet article décrit comment formuler et soumettre au mieux un rapport de bogue au projet FreeBSD.</para> &trans.a.fonvieille; @@ -45,115 +45,115 @@ <para>Une des expériences la plus frustrante que peut vivre un utilisateur de logiciel est de soumettre un rapport de bogue et de - le voir être fermé sommairement avec une explication + le voir être fermé sommairement avec une explication laconique et sans aide du type “ce n'est pas un bogue” ou - “PR bogué”. De même une des - expériences la plus frustrante pour un programmeur est + “PR bogué”. De même une des + expériences la plus frustrante pour un programmeur est d'être submergé de rapports de bogue qui ne sont pas vraiment des rapports de bogue mais plutôt des demandes d'aide, ou qui contiennent peu ou pas d'information au sujet du problème et sur comment le reproduire.</para> - <para>Ce document essaye de décrire comment écrire de - bons rapports de bogue. Qu'est-ce qu'un bon rapport de bogue, - allez-vous demander? Bien, pour aller directement au but, un bon - rapport de bogue est celui qui peut être analysé et - traité rapidement, pour la satisfaction mutuelle de + <para>Ce document essaye de décrire comment écrire de + bons rapports de bogue. Qu'est-ce qu'un bon rapport de bogue, + allez-vous demander? Bien, pour aller directement au but, un bon + rapport de bogue est celui qui peut être analysé et + traité rapidement, pour la satisfaction mutuelle de l'utilisateur et du développeur.</para> <para>Bien que l'objectif principal de cet article soit les rapports de bogue pour FreeBSD, sa majeure partie devrait s'appliquer relativement bien à d'autres projets de logiciels.</para> - <para>Notez que cet article est organisé thématiquement, - et non pas de façon chronologique, ainsi vous devriez lire - entièrement ce document avant de soumettre un rapport de - bogue, plutôt que de le traiter comme un guide + <para>Notez que cet article est organisé thématiquement, + et non pas de façon chronologique, ainsi vous devriez lire + entièrement ce document avant de soumettre un rapport de + bogue, plutôt que de le traiter comme un guide pas-à-pas.</para> </sect1> <sect1 id="pr-when"> <title>Quand soumettre un rapport de bogue</title> - <para>Il existe beaucoup de types de problèmes, et tous ne - devraient pas être à l'origine d'un rapport de bogue. - Naturellement, personne n'est parfait, et il y aura des moments - où vous serez convaincus d'avoir trouvé un bogue - dans un programme alors qu'en fait vous avez mal compris la - syntaxe d'une commande ou fait une erreur dans un fichier de - configuration (cependant cela peut en soi être significatif - d'une documentation sommaire ou d'une mauvaise gestion des erreurs - dans l'application). Il reste beaucoup de cas où la - soumission d'un rapport de bogue n'est clairement pas la bonne - ligne de conduite, et ne servira qu'à frustrer les + <para>Il existe beaucoup de types de problèmes, et tous ne + devraient pas être à l'origine d'un rapport de bogue. + Naturellement, personne n'est parfait, et il y aura des moments + où vous serez convaincus d'avoir trouvé un bogue + dans un programme alors qu'en fait vous avez mal compris la + syntaxe d'une commande ou fait une erreur dans un fichier de + configuration (cependant cela peut en soi être significatif + d'une documentation sommaire ou d'une mauvaise gestion des erreurs + dans l'application). Il reste beaucoup de cas où la + soumission d'un rapport de bogue n'est clairement pas la bonne + ligne de conduite, et ne servira qu'à frustrer les développeurs et vous-même. Réciproquement, il y a - des cas où il peut être approprié de - soumettre un rapport de bogue à propos de quelque chose - d'autre qu'un bogue—une amélioration ou une demande + des cas où il peut être approprié de + soumettre un rapport de bogue à propos de quelque chose + d'autre qu'un bogue—une amélioration ou une demande de fonctionnalité, par exemple.</para> <para>Aussi comment déterminer ce qui est un bogue et ce qui ne l'est pas? Un principe de base simple est que votre problème - n'est <emphasis>pas</emphasis> un bogue s'il peut être - exprimé sous la forme d'une question (habituellement de la - forme “Comment puis-je faire X?” ou “Où - puis-je trouver Y?”). Ce n'est pas toujours aussi simple - que cela, mais la règle de la question couvre une + n'est <emphasis>pas</emphasis> un bogue s'il peut être + exprimé sous la forme d'une question (habituellement de la + forme “Comment puis-je faire X?” ou “Où + puis-je trouver Y?”). Ce n'est pas toujours aussi simple + que cela, mais la règle de la question couvre une majorité de cas.</para> - <para>Les quelques cas où il peut être approprié - de soumettre un rapport de bogue au sujet de quelque chose qui + <para>Les quelques cas où il peut être approprié + de soumettre un rapport de bogue au sujet de quelque chose qui n'est pas un bogue sont:</para> <itemizedlist> <listitem> - <para>demandes d'amélioration de caractéristiques. - C'est généralement une bonne idée de - discuter de cela sur les listes de diffusion avant de + <para>demandes d'amélioration de caractéristiques. + C'est généralement une bonne idée de + discuter de cela sur les listes de diffusion avant de soumettre un rapport de bogue.</para> </listitem> <listitem> - <para>Avis de mise à jour de logiciels maintenus à - l'extérieur (principalement des logiciels portés, - mais également des composants du système de base - maintenus à l'extérieur comme BIND ou divers + <para>Avis de mise à jour de logiciels maintenus à + l'extérieur (principalement des logiciels portés, + mais également des composants du système de base + maintenus à l'extérieur comme BIND ou divers utilitaires GNU).</para> </listitem> </itemizedlist> <para>Une autre chose est que si le système sur lequel vous - expérimentez le bogue n'est pas suffisamment à jour, - vous devriez considérer sérieusement de mettre - à jour et d'essayer de reproduire le problème sur + expérimentez le bogue n'est pas suffisamment à jour, + vous devriez considérer sérieusement de mettre + à jour et d'essayer de reproduire le problème sur un système à jour avant de soumettre le rapport de bogue. Il y peu de choses qui ennuieront plus un développeur que de recevoir un rapport de bogue au sujet d'un problème déjà corrigé.</para> <para>Et finalement, un bogue qui ne peut être reproduit peut - rarement être corrigé. Si le bogue se produit une - seule fois et que vous ne pouvez pas le reproduire, et qu'il ne + rarement être corrigé. Si le bogue se produit une + seule fois et que vous ne pouvez pas le reproduire, et qu'il ne semble pas faire une autre victime, il y des chances qu'aucun des développeurs ne sera en mesure de le reproduire ou de comprendre ce qui ne va pas. Cela ne signifie pas que rien ne s'est produit, - mais plutôt que les chances que votre rapport de bogue - mène à un correctif sont très minces, et que + mais plutôt que les chances que votre rapport de bogue + mène à un correctif sont très minces, et que vous devriez envisager de laisser tomber.</para> </sect1> <sect1 id="pr-prep"> <title>Préparations</title> - <para>Une bonne règle à suivre est de toujours - effectuer une recherche avant de soumettre un rapport de bogue. - Peut-être que votre problème a déjà + <para>Une bonne règle à suivre est de toujours + effectuer une recherche avant de soumettre un rapport de bogue. + Peut-être que votre problème a déjà été signalé; peut-être même qu'on en discute actuellement sur les listes de diffusion, ou l'était - récemment; il se peut qu'il soit même déjà - corrigé dans une nouvelle version de ce que vous utilisez. - Vous devriez donc vérifier tous les lieux d'information - avant de soumettre votre rapport de bogue. Pour FreeBSD, cela + récemment; il se peut qu'il soit même déjà + corrigé dans une nouvelle version de ce que vous utilisez. + Vous devriez donc vérifier tous les lieux d'information + avant de soumettre votre rapport de bogue. Pour FreeBSD, cela signifie:</para> <itemizedlist> @@ -164,17 +164,17 @@ <listitem> <para>Les listes de diffusion—si vous n'êtes pas inscrit, utilisez l'outil de recherche des archives sur le site de - FreeBSD. Si votre problème n'a pas été - abordé sur les listes, vous pourriez essayer de poster - un message à ce sujet et attendre quelques jours pour - voir si quelqu'un peut déceler quelque chose que vous + FreeBSD. Si votre problème n'a pas été + abordé sur les listes, vous pourriez essayer de poster + un message à ce sujet et attendre quelques jours pour + voir si quelqu'un peut déceler quelque chose que vous n'avez pas remarqué.</para> </listitem> <listitem> - <para>Eventuellement, l'intégralité du - web—utilisez votre moteur de recherche favoris pour - chercher toutes les références à votre + <para>Eventuellement, l'intégralité du + web—utilisez votre moteur de recherche favoris pour + chercher toutes les références à votre problème. Vous pouvez même obtenir des résultats des archives des listes de diffusion ou des forums de discussion que vous ne connaissiez pas ou parmi lesquels @@ -182,79 +182,79 @@ </listitem> <listitem> - <para>Et finalement, la base de données des PRs. A - moins que votre problème ne soit récent ou - obscure, il y a assez de chance pour qu'il soit + <para>Et finalement, la base de données des PRs. A + moins que votre problème ne soit récent ou + obscure, il y a assez de chance pour qu'il soit déjà signalé.</para> </listitem> </itemizedlist> - <para>Ensuite, vous devez être sûr que le rapport de + <para>Ensuite, vous devez être sûr que le rapport de bogue est envoyé aux bonnes personnes.</para> - <para>Le premier point ici est que si un problème est un - bogue dans un logiciel tiers (un logiciel porté ou - pré-compilé que vous avez installé), vous + <para>Le premier point ici est que si un problème est un + bogue dans un logiciel tiers (un logiciel porté ou + pré-compilé que vous avez installé), vous devrez rapporter le bogue à l'auteur originel, et - pas au projet FreeBSD. Il y a deux exceptions à cette - règle: la première est que si le bogue - n'apparaît pas sur d'autres plate-formes, dans quel cas le - problème peut venir de la façon dont le logiciel a - été porté sous FreeBSD; la seconde est si - l'auteur original a déjà corrigé le - problème et sorti un correctif ou une nouvelle version de + pas au projet FreeBSD. Il y a deux exceptions à cette + règle: la première est que si le bogue + n'apparaît pas sur d'autres plate-formes, dans quel cas le + problème peut venir de la façon dont le logiciel a + été porté sous FreeBSD; la seconde est si + l'auteur original a déjà corrigé le + problème et sorti un correctif ou une nouvelle version de son logiciel, et que le logiciel porté de FreeBSD n'a pas encore été mis à jour.</para> <para>Le second point est que le système de suivi des bogues de - FreeBSD classe les rapports de bogue en fonction de la - catégorie que l'auteur a choisie. Donc, si vous choisissez - la mauvaise catégorie, il y a de fortes chances qu'il - passera inaperçu pendant un moment, jusqu'à ce que + FreeBSD classe les rapports de bogue en fonction de la + catégorie que l'auteur a choisie. Donc, si vous choisissez + la mauvaise catégorie, il y a de fortes chances qu'il + passera inaperçu pendant un moment, jusqu'à ce que quelqu'un le re-catégorise.</para> </sect1> <sect1 id="pr-writing"> <title>Ecrire le rapport de bogue</title> - <para>Maintenant que vous avez décidé que votre - problème mérite un rapport de bogue, et que c'est - un problème avec FreeBSD, il est temps d'écrire - le rapport. Assurez-vous que votre variable d'environnement + <para>Maintenant que vous avez décidé que votre + problème mérite un rapport de bogue, et que c'est + un problème avec FreeBSD, il est temps d'écrire + le rapport. Assurez-vous que votre variable d'environnement <envar>VISUAL</envar> (ou <envar>EDITOR</envar> si - <envar>VISUAL</envar> n'existe pas) est configurée avec + <envar>VISUAL</envar> n'existe pas) est configurée avec quelque chose de pratique, et lancez &man.send-pr.1;.</para> <sect2> <title>Attacher des correctifs ou des fichiers</title> <para>Le programme &man.send-pr.1; prévoit l'attachement de - fichiers à un rapport de bogue. Vous pouvez attacher - autant de fichiers que vous le désirez à condition - que chacun ait un nom de base unique (i.e. le nom propre du - fichier, sans le chemin). Utilisez juste l'option en ligne de - commande <option>-a</option> pour spécifier le nom des + fichiers à un rapport de bogue. Vous pouvez attacher + autant de fichiers que vous le désirez à condition + que chacun ait un nom de base unique (i.e. le nom propre du + fichier, sans le chemin). Utilisez juste l'option en ligne de + commande <option>-a</option> pour spécifier le nom des fichiers que vous souhaitez attacher:</para> <screen>&prompt.user; <userinput>send-pr -a /var/run/dmesg -a /tmp/errors</userinput> </screen> - <para>Ne vous inquiétez pas pour les fichiers binaires; - ils seront automatiquement encodés de façon + <para>Ne vous inquiétez pas pour les fichiers binaires; + ils seront automatiquement encodés de façon à ne pas déranger votre logiciel de courrier.</para> <para>Si vous attachez un correctif, assurez-vous d'employer l'option <option>-c</option> ou <option>-u</option> avec - &man.diff.1; pour créer un fichier diff unifié - ou contextuel, et soyez sûr d'indiquer les numéros - exacts des révisions CVS des fichiers que vous avez + &man.diff.1; pour créer un fichier diff unifié + ou contextuel, et soyez sûr d'indiquer les numéros + exacts des révisions CVS des fichiers que vous avez modifiés afin que les développeurs qui liront votre rapport soient capables d'appliquer facilement vos correctifs.</para> - <para>Vous devez également prendre note à moins que - vous ne le précisiez explicitement dans votre PR, que - tous les correctifs que vous soumettez seront + <para>Vous devez également prendre note à moins que + vous ne le précisiez explicitement dans votre PR, que + tous les correctifs que vous soumettez seront présumés être sous les mêmes termes de licence que le fichier original que vous avez modifié.</para> </sect2> @@ -263,22 +263,22 @@ <title>Remplir le formulaire</title> <para>Le formulaire se compose d'une liste de champs, dont - certains sont déjà préremplis, et qui - peuvent avoir des commentaires expliquant leur but et la liste - des valeurs utilisables. Ne vous inquiétez pas des - commentaires; ils seront retirés automatiquement si vous + certains sont déjà préremplis, et qui + peuvent avoir des commentaires expliquant leur but et la liste + des valeurs utilisables. Ne vous inquiétez pas des + commentaires; ils seront retirés automatiquement si vous ne les modifiez ou retirez pas vous-même.</para> <para>En haut du formulaire, sous les lignes <literal>SEND-PR:</literal>, se trouvent les entêtes - d'émail. Vous n'avez normalement pas besoin de les - modifier, à moins que vous envoyiez le rapport de bogue - à partir d'une machine ou d'un compte qui peut envoyer - mais pas recevoir de courrier, dans ce cas vous voudrez remplir - les champs <literal>From:</literal> et <literal>Reply-To:</literal> - suivant votre adresse émail réelle. Vous pouvez - vouloir vous envoyer (ou à quelqu'un d'autre) une copie - carbone du rapport de bogue en ajoutant une ou plusieurs + d'émail. Vous n'avez normalement pas besoin de les + modifier, à moins que vous envoyiez le rapport de bogue + à partir d'une machine ou d'un compte qui peut envoyer + mais pas recevoir de courrier, dans ce cas vous voudrez remplir + les champs <literal>From:</literal> et <literal>Reply-To:</literal> + suivant votre adresse émail réelle. Vous pouvez + vouloir vous envoyer (ou à quelqu'un d'autre) une copie + carbone du rapport de bogue en ajoutant une ou plusieurs adresses émail au champ <literal>Cc:</literal>.</para> <para>Ensuite vient une série de champ à une ligne:</para> @@ -292,8 +292,8 @@ <listitem> <para><emphasis>Originator:</emphasis> ceci est normalement - complété avec le champ gecos de l'utilisateur - actuellement attaché au système. Veuillez + complété avec le champ gecos de l'utilisateur + actuellement attaché au système. Veuillez indiquer votre véritable nom, suivi optionnellement de votre émail entre les symboles inférieur et supérieur.</para> @@ -309,18 +309,18 @@ <para><emphasis>Confidential:</emphasis> ceci est prérempli avec <literal>no</literal>; le changer ne signifie pas grand chose car il n'y a aucun rapport de bogue confidentiel pour - FreeBSD—la base de données des PRs est + FreeBSD—la base de données des PRs est distribuée dans le monde entier par CVSup.</para> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Synopsis:</emphasis> complétez ceci - avec une description courte et précise du - problème. Le synopsis est utilisé comme sujet + <para><emphasis>Synopsis:</emphasis> complétez ceci + avec une description courte et précise du + problème. Le synopsis est utilisé comme sujet du rapport de bogue, et est employé dans - les listes et résumés de rapport de bogue; les - rapports de bogue avec d'obscures sujets ont tendance à - être ignorés.</para> + les listes et résumés de rapport de bogue; les + rapports de bogue avec d'obscures sujets ont tendance à + être ignorés.</para> <para>Si votre rapport de bogue inclus un correctif, veuillez utiliser un synopsis débutant avec le mot @@ -335,9 +335,9 @@ abstenez-vous de marquer votre problème comme <literal>critical</literal> à moins qu'il ne le soit vraiment (e.g. root exploit, panique du système facilement - reproductible). Les développeurs ont tendance à - ignorer ce champ et le suivant, précisément parce - que les auteurs ont tendance à surestimer l'importance + reproductible). Les développeurs ont tendance à + ignorer ce champ et le suivant, précisément parce + que les auteurs ont tendance à surestimer l'importance de leurs problèmes.</para> </listitem> @@ -357,7 +357,7 @@ </listitem> <listitem> - <para><literal>alpha:</literal> problèmes + <para><literal>alpha:</literal> problèmes spécifiques à la plateforme Alpha.</para> </listitem> @@ -378,12 +378,12 @@ </listitem> <listitem> - <para><literal>gnu:</literal> problèmes avec les logiciels + <para><literal>gnu:</literal> problèmes avec les logiciels GNU comme &man.gcc.1; ou &man.grep.1;.</para> </listitem> <listitem> - <para><literal>i386:</literal> problèmes + <para><literal>i386:</literal> problèmes spécifiques à la plateforme i386.</para> </listitem> @@ -397,49 +397,49 @@ <para><literal>misc:</literal> tout ce qui ne va pas dans une des autres catégories.</para> </listitem> - + <listitem> <para><literal>ports:</literal> problèmes concernant le catalogue des logiciels portés.</para> </listitem> - + <listitem> - <para><literal>sparc:</literal> problèmes + <para><literal>sparc:</literal> problèmes spécifiques à la plate-forme Sparc.</para> </listitem> </itemizedlist> </listitem> - + <listitem> <para><emphasis>Class:</emphasis> choisissez une des suivantes:</para> - + <itemizedlist> <listitem> <para><literal>sw-bug:</literal> bogues logiciel.</para> </listitem> - + <listitem> <para><literal>doc-bug:</literal> erreurs dans la documentation.</para> </listitem> - + <listitem> <para><literal>change-request:</literal> demande de - fonctionnalités supplémentaires ou de + fonctionnalités supplémentaires ou de changement dans des fonctionnalités existantes.</para> </listitem> - + <listitem> <para><literal>update:</literal> mise à jour de logiciels portés ou d'autres logiciels.</para> </listitem> - + <listitem> - <para><literal>maintainer-update:</literal> mise à - jour de logiciels portés dont vous êtes le + <para><literal>maintainer-update:</literal> mise à + jour de logiciels portés dont vous êtes le responsable.</para> </listitem> </itemizedlist> @@ -447,9 +447,9 @@ <listitem> <para><emphasis>Release:</emphasis> La version de FreeBSD que - vous utilisez. Ceci sera complété - automatiquement par &man.send-pr.1; et devra être - modifié seulement si vous envoyez le rapport de + vous utilisez. Ceci sera complété + automatiquement par &man.send-pr.1; et devra être + modifié seulement si vous envoyez le rapport de bogue à partir d'un système différent de celui qui présente le problème.</para> </listitem> @@ -462,10 +462,10 @@ <listitem> <para><emphasis>Environment:</emphasis> Ceci devrait décrire, le plus exactement que possible, l'environnement dans lequel - le problème a été observé. Cela - inclus la version du système d'exploitation, la version + le problème a été observé. Cela + inclus la version du système d'exploitation, la version du programme spécifique - ou fichier qui contient le problème, et tout autre + ou fichier qui contient le problème, et tout autre élément important comme la configuration du système, d'autres logiciels qui influencent le problème, etc. — @@ -476,26 +476,26 @@ <listitem> <para><emphasis>Description:</emphasis> une description - complète et précise du problème que vous + complète et précise du problème que vous expérimentez. - Essayez d'éviter de spéculer au sujet des causes - du problème à moins que vous soyez certain + Essayez d'éviter de spéculer au sujet des causes + du problème à moins que vous soyez certain d'être dans le vrai, car cela peut tromper le développeur.</para> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>How-To-Repeat:</emphasis> Un résumé - des actions nécessaires pour reproduire le + <para><emphasis>How-To-Repeat:</emphasis> Un résumé + des actions nécessaires pour reproduire le problème.</para> </listitem> <listitem> - <para><emphasis>Fix:</emphasis> De préférence un - correctif, ou au moins une solution de fortune (qui n'aidera - pas seulement les autres personnes avec le même + <para><emphasis>Fix:</emphasis> De préférence un + correctif, ou au moins une solution de fortune (qui n'aidera + pas seulement les autres personnes avec le même problème, mais peut aussi - aider un développeur à comprendre la cause du + aider un développeur à comprendre la cause du problème), mais si vous n'avez aucune idée pour l'un ou l'autre, il vaut mieux laisser ce champ en blanc plutôt que de @@ -508,7 +508,7 @@ <title>Envoi du rapport de bogue</title> <para>Une fois que vous avez rempli et sauvegardé le formulaire, - puis quitté votre éditeur, &man.send-pr.1; vous + puis quitté votre éditeur, &man.send-pr.1; vous proposera <prompt>s)end, e)dit or a)bort?</prompt> (envoyer, éditer ou abandonner?). Vous pouvez alors taper <userinput>s</userinput> @@ -517,9 +517,9 @@ encore <userinput>a</userinput> pour abandonner. Si vous choisissez cette dernière votre rapport de bogue restera sur le disque (&man.send-pr.1; vous donnera le nom du fichier avant de - terminer), ainsi vous pouvez l'éditer à loisir, + terminer), ainsi vous pouvez l'éditer à loisir, ou peut-être - même le transférer sur un système avec une + même le transférer sur un système avec une meilleure connexion à l'Internet, avant de l'envoyer avec l'option <option>-f</option> de &man.send-pr.1;:</para> @@ -535,17 +535,17 @@ <sect1 id="pr-followup"> <title>Suivi</title> - <para>Une fois que votre rapport de bogue a été + <para>Une fois que votre rapport de bogue a été classé, vous - recevrez une confirmation par courrier qui contiendra le - numéro de suivi qui a été assigné + recevrez une confirmation par courrier qui contiendra le + numéro de suivi qui a été assigné à votre rapport de bogue et l'URL que vous pouvez utiliser pour vérifier son statut. Avec un peu de chance, - quelqu'un sera intéressé par votre problème et + quelqu'un sera intéressé par votre problème et essaiera de s'en occuper, ou, quand ce sera le cas, expliquera pourquoi ce n'est - pas un problème. Vous serez automatiquement prévenu - de tout changement d'état, et vous recevrez des copies de + pas un problème. Vous serez automatiquement prévenu + de tout changement d'état, et vous recevrez des copies de tout commentaire ou correctif que quelqu'un pourra attacher au suivi de votre rapport de bogue.</para> @@ -554,15 +554,15 @@ vous vous rappelez ou découvrez quelque chose que vous n'avez pas mentionné dans le rapport initial, envoyez-le juste à <email>bug-followup@FreeBSD.org</email>, en vous assurant que le - numéro de suivi est inclus dans le sujet ainsi le système - de suivi des bogues connaîtra à quel rapport de + numéro de suivi est inclus dans le sujet ainsi le système + de suivi des bogues connaîtra à quel rapport de problème l'attacher.</para> - <para>Si le rapport de bogue reste ouvert après que le + <para>Si le rapport de bogue reste ouvert après que le problème soit corrigé, envoyez juste un courrier de suivi (de la manière prescrite ci-dessus) disant que le rapport de bogue peut être - fermé, et, si possible, expliquant comment et quand le + fermé, et, si possible, expliquant comment et quand le problème fut corrigé.</para> </sect1> @@ -578,8 +578,8 @@ <listitem> <para><ulink url="http://www.chiark.greenend.org.uk/~sgtatham/bugs.html"> - Comment rapporter efficacement les bogues</ulink>—un - excellent essai de Simon G. Tatham sur l'écriture de + Comment rapporter efficacement les bogues</ulink>—un + excellent essai de Simon G. Tatham sur l'écriture de rapports de bogue utiles (non spécifique à FreeBSD).</para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/programming-tools/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/programming-tools/article.sgml index 7644119491..a70a2e0d30 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/programming-tools/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/programming-tools/article.sgml @@ -11,11 +11,11 @@ $FreeBSD$ Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> - <title>Les outils de développement sous FreeBSD : Guide de + <title>Les outils de développement sous FreeBSD : Guide de l'utilisateur</title> <authorgroup> <author> @@ -41,7 +41,7 @@ quoique l'essentiel reste aussi valable pour de nombreuses autres versions d'Unix. Il ne cherche <emphasis>pas</emphasis> à expliquer en détail comment coder. La plus grande partie du - document suppose que vous n'avez aucune ou peu de notions + document suppose que vous n'avez aucune ou peu de notions préalables de programmation, bien que l'on espère que la plupart des programmeurs y trouveront quelque chose qui leur sera utile.</para> @@ -54,20 +54,20 @@ <para>FreeBSD fournit un excellent environnement de développement. Le système de base comprend des compilateurs C, C++ et Fortran, et un assembleur, pour ne pas mentionner l'interpréteur Perl et - les outils Unix classiques comme <command>sed</command> et + les outils Unix classiques comme <command>sed</command> et <command>awk</command>. Si cela ne vous suffit pas, il y a beaucoup d'autres compilateurs et interpréteurs au catalogue des logiciels portés. FreeBSD est très largement compatible avec les standards comme <acronym>POSIX</acronym> et <acronym>ANSI</acronym> C, - de même qu'avec son propre héritage BSD, il est donc - possible d'écrire des applications qui compilent et - s'exécutent sur une grande variété de + de même qu'avec son propre héritage BSD, il est donc + possible d'écrire des applications qui compilent et + s'exécutent sur une grande variété de plates-formes.</para> <para>Toute cette puissance, toutefois, peut submerger au premier abord, si vous n'avez jamais auparavant écrit de programme sur une plate-forme Unix. Ce document vise à vous aider à vous y mettre, sans approfondir trop les questions les plus avancées. - L'intention est de vous fournir suffisamment de bases pour vous + L'intention est de vous fournir suffisamment de bases pour vous permettre de tirer ensuite profit de la documentation.</para> <para>La plus grande partie du document ne demande aucune ou peu de connaissance de la programmation mais suppose une compétence de @@ -77,45 +77,45 @@ <title>Introduction à la programmation</title> <para>Un programme est une série d'instructions qui dit à l'ordinateur de faire des choses diverses; l'instruction qu'il doit - exécuter dépend parfois de ce qui s'est passé - lorsqu'il a exécuté une instruction + exécuter dépend parfois de ce qui s'est passé + lorsqu'il a exécuté une instruction précédente. Cette section vous donne un aperçu des deux principales méthodes pour transmettre ces instructions, - ou “commandes” comme on les appellent. L'une est d'utiliser + ou “commandes” comme on les appellent. L'une est d'utiliser un <firstterm>interpréteur</firstterm>, l'autre de se servir d'un <firstterm>compilateur</firstterm>. Comme les langues humaines sont trop - compliquées pour être comprises sans ambiguïté - par un ordinateur, les commandes sont généralement + compliquées pour être comprises sans ambiguïté + par un ordinateur, les commandes sont généralement écrites dans l'un ou l'autre des languages spécialement conçus à cet effet.</para> <sect2> <title>Interpréteurs</title> <para>Dans le cas d'un interpréteur, le langage s'accompagne d'un environnement, sous lequel vous tapez des commandes à son invite - et qui les exécute pour vous. Pour des programmes plus + et qui les exécute pour vous. Pour des programmes plus compliqués, vous pouvez saisir les commandes dans un fichier et le faire charger et exécuter les commandes qu'il contient par l'interpréteur. Si quelque chose se passe mal, la plupart des - interpréteurs passeront le contrôle à un + interpréteurs passeront le contrôle à un débogueur pour vous aider à trouver l'origine du problème.</para> <para>Cela a l'avantage de vous permettre de voir immédiatement le résultat de vos commandes et de corriger sur le champ vos erreurs. Le principal inconvénient survient lorsque vous voulez - partager vos programmes avec d'autres. Il faut qu'ils aient le + partager vos programmes avec d'autres. Il faut qu'ils aient le même interpréteur que vous ou que vous ayez le moyen de leur fournir cet interpréteur; il faut aussi qu'ils comprennent - comment s'en servir. Les utilisateurs peuvent aussi ne pas + comment s'en servir. Les utilisateurs peuvent aussi ne pas apprécier de se retrouver sous un débogueur s'ils appuient sur la mauvaise touche! Du point de vue de la performance, les interpréteurs utilisent parfois beaucoup de mémoire - et ne génèrent habituellement pas le code aussi - efficacement que les compilateurs.</para> + et ne génèrent habituellement pas le code aussi + efficacement que les compilateurs.</para> <para>A mon avis, les langages interprétés sont le meilleur - moyen de débuter si vous n'avez jamais programmé - auparavant. On trouve typiquement ce genre d'environnement avec des + moyen de débuter si vous n'avez jamais programmé + auparavant. On trouve typiquement ce genre d'environnement avec des langages tels que Lisp, Smalltalk, Perl et Basic. On peut aussi - avancer que le <foreignphrase>shell</foreignphrase> Unix est + avancer que le <foreignphrase>shell</foreignphrase> Unix est lui-même un interpréteur, beaucoup écrivent en fait avec des procédures - <foreignphrase>scripts</foreignphrase> - pour @@ -129,56 +129,56 @@ <title>Interpréteurs disponibles pour FreeBSD</title> <para>Voici une liste des interpréteurs disponibles sous forme de - <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/">“paquetages”</ulink> + <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/">“paquetages”</ulink> FreeBSD, accompagnée d'une brève description des langages interprétés les plus répandus.</para> <para>Pour vous procurer l'un de ces “paquetages”, il vous - suffit de cliquer sur le lien correspondant et d'exécuter + suffit de cliquer sur le lien correspondant et d'exécuter ensuite:</para> <screen>&prompt.root; <userinput>pkg_add <replaceable>nom_du_paquetage</replaceable></userinput></screen> <para>sous le compte super-utilisateur <username>root</username>. Il faut bien évidemment que vous ayez un système FreeBSD 2.1.0 ou ultérieur en état de marche pour que le logiciel - fonctionne.</para> + fonctionne.</para> <variablelist> <varlistentry> <term><acronym>BASIC</acronym></term> <listitem> - <para>Abréviation pour “<foreignphrase>Beginner's + <para>Abréviation pour “<foreignphrase>Beginner's All-purpose Symbolic Instruction - Code</foreignphrase>” - code d'instructions - symbolique universel pour les débutants. - Développé dans les années 50 pour apprendre - la programmation aux étudiants des Universités et - fourni avec tout ordinateur personnel qui se respectait dans les + Code</foreignphrase>” - code d'instructions + symbolique universel pour les débutants. + Développé dans les années 50 pour apprendre + la programmation aux étudiants des Universités et + fourni avec tout ordinateur personnel qui se respectait dans les années 80, <acronym>BASIC</acronym> a été le premier langage pour de nombreux programmeurs. C'est aussi la base de <trademark>Visual Basic</trademark>.</para> <para>L'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/bwbasic-2.10.tgz">interpréteur - Basic Bywater</ulink> et - l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/pbasic-2.0.tgz">interpréteur - Basic de Phil Cockroft</ulink> (appelé auparavant - “Rabbit Basic”) sont disponibles sous forme de + Basic Bywater</ulink> et + l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/pbasic-2.0.tgz">interpréteur + Basic de Phil Cockroft</ulink> (appelé auparavant + “Rabbit Basic”) sont disponibles sous forme de <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/">“paquetages” - FreeBSD</ulink>.</para> + FreeBSD</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term>Lisp</term> <listitem> - <para>Un langage développé à la fin des - années 1950 comme alternative aux langages - “dévoreurs de nombres” qui e´taient - populaires à l'époque. Au lieu d'être + <para>Un langage développé à la fin des + années 1950 comme alternative aux langages + “dévoreurs de nombres” qui e´taient + populaires à l'époque. Au lieu d'être basé sur les nombres, Lisp repose sur les listes; de fait, son nom est une abréviation pour “<foreignphrase>List - Processing</foreignphrase>” - traitement de - listes. Très répandu dans les milieux de l'IA + Processing</foreignphrase>” - traitement de + listes. Très répandu dans les milieux de l'IA (Intelligence Artificielle).</para> - <para>Lisp est un langage très puissant et - sophistiqué, mais peut être assez lourd et + <para>Lisp est un langage très puissant et + sophistiqué, mais peut être assez lourd et bavard.</para> - <para>FreeBSD dispose de + <para>FreeBSD dispose de <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/gcl-2.0.tgz">GNU Common Lisp</ulink> sous forme de “paquetage”.</para> </listitem> @@ -186,16 +186,16 @@ <varlistentry> <term>Perl</term> <listitem> - <para>Très employé par les administrateurs - système pour écrire des procédures; et - souvent aussi sur les serveurs <foreignphrase>World Wide + <para>Très employé par les administrateurs + système pour écrire des procédures; et + souvent aussi sur les serveurs <foreignphrase>World Wide Web</foreignphrase> pour écrire des procédures <acronym>CGI</acronym>.</para> <para>La Version 4, qui est probablement encore la version la plus largement répandue est fournie avec FreeBSD; le plus - récent + récent <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/perl-5.001.tgz">Perl - Version 5</ulink> est disponible sous forme de + Version 5</ulink> est disponible sous forme de “paquetage”.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -208,11 +208,11 @@ langage d'initiation et présente un niveau d'abstraction suffisant pour être utilisé pour du travail de recherche.</para> - <para>FreeBSD offre en “paquetages” - l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/elk-3.0.tgz">Interpréteur - Scheme Elk</ulink>, - l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/mit-scheme-7.3.tgz">Interpréteur Scheme du MIT</ulink> et - l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/scm-4e1.tgz">Interpréteur + <para>FreeBSD offre en “paquetages” + l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/elk-3.0.tgz">Interpréteur + Scheme Elk</ulink>, + l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/mit-scheme-7.3.tgz">Interpréteur Scheme du MIT</ulink> et + l'<ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/scm-4e1.tgz">Interpréteur Scheme SCM</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -226,13 +226,13 @@ <varlistentry> <term>Logo</term> <listitem> - <para><ulink url="ftp://ftp.freebsd.org:pub/FreeBSD/packages/lang/ucblogo-3.3.tgz">L'interpréteur + <para><ulink url="ftp://ftp.freebsd.org:pub/FreeBSD/packages/lang/ucblogo-3.3.tgz">L'interpréteur LOGO de Brian Harvey</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry><term>Python</term> <listitem> - <para><ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/python-1.2">Le + <para><ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages/lang/python-1.2">Le langage de programmation orienté objet Python</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -240,50 +240,50 @@ </sect2> <sect2> <title>Compilateurs</title> - <para>Les compilateurs sont assez différents. Vous écrivez + <para>Les compilateurs sont assez différents. Vous écrivez d'abord votre code dans un(des) fichiers(s) à l'aide d'un - éditeur. Vous exécutez ensuite le compilateur et voyez + éditeur. Vous exécutez ensuite le compilateur et voyez s'il valide votre programme. S'il ne le compile pas, serrez les dents et - retournez sous l'éditeur. S'il le compile et vous en fait un - programme, vous pouvez l'utiliser soit à l'invite de - l'interpréteur de commande, soit en vous servant d'un - débogueur pour voir s'il fonctionne + retournez sous l'éditeur. S'il le compile et vous en fait un + programme, vous pouvez l'utiliser soit à l'invite de + l'interpréteur de commande, soit en vous servant d'un + débogueur pour voir s'il fonctionne correctement<footnote><para>Dans le cas contraire, si vous l'exécutez sur la ligne de commande, il - peut éventuellement + peut éventuellement planter - “<foreignphrase>core dump</foreignphrase>”.</para></footnote>.</para> - <para>Ce n'est évidemment pas aussi immédiat que de se - servir d'un interpréteur. Cela vous permet cependant de faire - beaucoup de choses qui sont très difficiles ou même - irréalisables avec un interpréteur, comme écrire - du code qui interagisse étroitement avec le système - d'exploitation - ou même écrire votre propre - système d'exploitation! C'est aussi utile si vous avez besoin + <para>Ce n'est évidemment pas aussi immédiat que de se + servir d'un interpréteur. Cela vous permet cependant de faire + beaucoup de choses qui sont très difficiles ou même + irréalisables avec un interpréteur, comme écrire + du code qui interagisse étroitement avec le système + d'exploitation - ou même écrire votre propre + système d'exploitation! C'est aussi utile si vous avez besoin d'écrire du code très efficace, parce que le compilateur - peut prendre son temps et optimiser le code, ce qui ne serait pas - acceptable d'un interpréteur. Distribuer un programme - écrit pour un compilateur est généralement plus + peut prendre son temps et optimiser le code, ce qui ne serait pas + acceptable d'un interpréteur. Distribuer un programme + écrit pour un compilateur est généralement plus facile - il suffit de livrer une copie de l'exécutable, - en supposant que les destinataires aient le même système + en supposant que les destinataires aient le même système d'exploitation que vous.</para> - <para>Les langages compilés incluent Pascal, C et C++. C et C++ - sont des langages qui pardonnent assez peu, et plus adaptés aux - programmeurs plus expérimentés. Pascal, d'un autre + <para>Les langages compilés incluent Pascal, C et C++. C et C++ + sont des langages qui pardonnent assez peu, et plus adaptés aux + programmeurs plus expérimentés. Pascal, d'un autre côté, a été conçu pour l'enseignement, - et est un assez bon langage avec lequel commencer. Malheureusement, - FreeBSD n'a aucun support pour Pascal, à l'exception d'un - convertisseur de Pascal en C, au catalogue des logiciels + et est un assez bon langage avec lequel commencer. Malheureusement, + FreeBSD n'a aucun support pour Pascal, à l'exception d'un + convertisseur de Pascal en C, au catalogue des logiciels portés.</para> - <para>Comme le cycle + <para>Comme le cycle “édition-compilation-exécution-débogage” - est assez fastidieux, de nombreux fournisseurs de compilateurs + est assez fastidieux, de nombreux fournisseurs de compilateurs commerciaux - ont produit des Environnements de Développement + ont produit des Environnements de Développement Intégrés (<acronym>EDI</acronym> en abrégé). FreeBSD ne dispose pas d'<acronym>EDI</acronym> en tant que tel; il est - cependant possible d'utiliser Emacs à cet effet. C'est - expliqué à la section <link linkend="emacs">Utiliser + cependant possible d'utiliser Emacs à cet effet. C'est + expliqué à la section <link linkend="emacs">Utiliser Emacs comme environnement de développement</link>.</para> </sect2> </sect1> @@ -294,18 +294,18 @@ appelé soit avec la commande <command>cc</command>, soit avec <command>gcc</command>. Les détails de la réalisation d'un programme avec un interpréteur varient considérablement - d'un interpréteur à l'autre, est sont - généralement bien décrits par l'aide en ligne de + d'un interpréteur à l'autre, est sont + généralement bien décrits par l'aide en ligne de l'interpréteur.</para> - <para>Une fois que vous avez écrit votre chef-d'oeuvre, + <para>Une fois que vous avez écrit votre chef-d'oeuvre, l'étape suivante consiste à le convertir en quelque chose qui (espérons-le!) s'exécutera sous FreeBSD. Cela demande habituellement plusieurs opérations successives, dont chacune est confiée à un programme différent.</para> <procedure> - <step> + <step> <para>Pré-processer votre code source pour en éliminer les - commentaires et faire diverses autres choses, comme la substitution + commentaires et faire diverses autres choses, comme la substitution des macros-instructions en C.</para> </step> <step> @@ -314,18 +314,18 @@ cas, il rouspétera.</para> </step> <step> - <para>Convertir le code source en langage + <para>Convertir le code source en langage assembleur - c'est très proche du code machine, mais - encore compréhensible par des êtres humains. C'est du - moins ce que l'on prétend<footnote><para>Pour être - rigoureusement exact, <command>cc</command> convertit le code source - en un <firstterm>P-code</firstterm> qui lui est propre, et ne - dépend pas de la machine, et non en assembleur à ce + encore compréhensible par des êtres humains. C'est du + moins ce que l'on prétend<footnote><para>Pour être + rigoureusement exact, <command>cc</command> convertit le code source + en un <firstterm>P-code</firstterm> qui lui est propre, et ne + dépend pas de la machine, et non en assembleur à ce stade.</para></footnote>.</para> </step> <step> <para>Convertir le langage assembleur en code machine - oui, - nous parlons ici de bits et d'octets, de zéros et de + nous parlons ici de bits et d'octets, de zéros et de uns.</para> </step> <step> @@ -340,48 +340,48 @@ les regrouper.</para> </step> <step> - <para>S'arranger pour produire quelque chose que le chargeur de + <para>S'arranger pour produire quelque chose que le chargeur de programmes du système pourra mettre en mémoire et exécuter.</para> </step> </procedure> <para>Le mot <firstterm>compiler</firstterm> est souvent utilisé pour ne désigner que les étapes 1 à 4 - les - autres sont appelées <firstterm>édition de + autres sont appelées <firstterm>édition de liens</firstterm>. L'étape 1 est parfois appelée <firstterm>pré-processer</firstterm> et les étapes 3-4 <firstterm>assembler</firstterm>.</para> - <para>Heureusement, pratiquement tous ces détails vous sont + <para>Heureusement, pratiquement tous ces détails vous sont transparents, car la commande <command>cc</command> est une interface qui gère pour vous l'appel de ces différents programmes avec les bons arguments; taper simplement:</para> <screen>&prompt.user; <userinput>cc foobar.c</userinput></screen> <para>effectue la compilation de <filename>foobar.c</filename> en passant - par toutes les étapes décrites ci-dessus. Si vous avez + par toutes les étapes décrites ci-dessus. Si vous avez à compiler plus d'un fichier, faites simplement quelque chose comme:</para> <screen>&prompt.user; <userinput>cc foo.c bar.c</userinput></screen> <para>Notez que la vérification syntaxique ne consiste qu'en cela: - vérifier la syntaxe. Il n'y aura pas de contrôle sur les + vérifier la syntaxe. Il n'y aura pas de contrôle sur les erreurs logiques que vous auriez commises, comme faire exécuter au programme une boucle infinie ou utiliser un tri à bulles au lieu - d'un tri par arbre binaire<footnote><para>Au cas où vous ne le - sauriez pas, un tri par arbre binaire est une manière efficace - d'ordonner des données, ce qui n'est pas le cas du tri + d'un tri par arbre binaire<footnote><para>Au cas où vous ne le + sauriez pas, un tri par arbre binaire est une manière efficace + d'ordonner des données, ce qui n'est pas le cas du tri à bulles.</para></footnote>.</para> <para><command>cc</command> dispose d'une quantité d'options, qui - sont toutes décrites dans les pages de manuel. En voici - quelques-unes des plus importantes, et la façon de les + sont toutes décrites dans les pages de manuel. En voici + quelques-unes des plus importantes, et la façon de les utiliser.</para> <variablelist> <varlistentry> <term><option>-o <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></option></term> <listitem> <para>Le nom du fichier résultat. Si vous n'utilisez pas cette - option, <command>cc</command> générera un - exécutable appelé - <filename>a.out</filename><footnote><para>Les raisons de cela se - sont perdues dans les brumes de + option, <command>cc</command> générera un + exécutable appelé + <filename>a.out</filename><footnote><para>Les raisons de cela se + sont perdues dans les brumes de l'histoire.</para></footnote>.</para> <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc foobar.c</userinput> <lineannotation>l'exécutable est <filename>a.out</filename></lineannotation> @@ -393,15 +393,15 @@ <term><option>-c</option></term> <listitem> <para>Uniquement compiler le fichier, ne pas faire l'édition de - liens. Utile pour des programmes d'essai, quand vous voulez + liens. Utile pour des programmes d'essai, quand vous voulez simplement vérifier la syntaxe, ou si vous vous servez d'un <filename>Makefile</filename>.</para> <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc -c foobar.c</userinput></screen> </informalexample> - <para>Cela générera un <firstterm>fichier - objet</firstterm> (et non un exécutable) appelé - <filename>foobar.o</filename>. Il pourra être lié avec + <para>Cela générera un <firstterm>fichier + objet</firstterm> (et non un exécutable) appelé + <filename>foobar.o</filename>. Il pourra être lié avec d'autres fichiers objet pour constituer un exécutable.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -409,45 +409,45 @@ <term><option>-g</option></term> <listitem> <para>Crée une version débogable de l'exécutable - Le compilateur inclut alors dans l'exécutable des + Le compilateur inclut alors dans l'exécutable des informations de correspondance entre les numéros de ligne du fichier source et les fonctions appelées. Un débogueur - peut alors utiliser ces informations pour vous afficher le code - source tandis que vous exécutez pas à pas le - programme, ce qui est <emphasis>très</emphasis> utile; + peut alors utiliser ces informations pour vous afficher le code + source tandis que vous exécutez pas à pas le + programme, ce qui est <emphasis>très</emphasis> utile; l'inconvénient est que toutes ces informations augmentent - considérablement la taille du programme. Normalement, vous - compilez avec <option>-g</option> quand vous développez le - programme, et compilez ensuite une “version de - livraison” quand vous êtes satisfait parce qu'il + considérablement la taille du programme. Normalement, vous + compilez avec <option>-g</option> quand vous développez le + programme, et compilez ensuite une “version de + livraison” quand vous êtes satisfait parce qu'il fonctionne correctement.</para> <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc -g foobar.c</userinput></screen> </informalexample> - <para>Cela produira une version débogable du - programme<footnote><para>Remarquez que nous n'avons pas + <para>Cela produira une version débogable du + programme<footnote><para>Remarquez que nous n'avons pas utilisé l'indicateur <option>-o</option> pour préciser - le nom de l'exécutable, celui-ci s'appellera donc - <filename>a.out</filename>. Générer une version - débogable appelée <filename>foobar</filename> est - laissé à titre d'exercice aux soins du + le nom de l'exécutable, celui-ci s'appellera donc + <filename>a.out</filename>. Générer une version + débogable appelée <filename>foobar</filename> est + laissé à titre d'exercice aux soins du lecteur!</para></footnote>.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term><option>-O</option></term> <listitem> - <para>Génère une version optimisée de + <para>Génère une version optimisée de l'exécutable. Le compilateur effectue alors diverses opérations bien pensées pour essayer de construire - un programme qui aille plus vite que normalement. Vous pouvez - faire suivre <option>-O</option> d'un nombre pour demander un + un programme qui aille plus vite que normalement. Vous pouvez + faire suivre <option>-O</option> d'un nombre pour demander un degré plus important d'optimisation, mais cela met souvent - en évidence des bogues dans l'optimiseur du compilateur. - Par exemple, on sait que la version de <command>cc</command> de + en évidence des bogues dans l'optimiseur du compilateur. + Par exemple, on sait que la version de <command>cc</command> de FreeBSD 2.1.0 produit du code incorrect avec l'option <option>-O2</option> dans certaines circonstances.</para> - <para>On n'active en général l'optimisation + <para>On n'active en général l'optimisation qu'à la compilation de la version de livraison.</para> <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc -O -o foobar foobar.c</userinput></screen> @@ -457,9 +457,9 @@ </listitem> </varlistentry> </variablelist> - <para>Les trois indicateurs suivants demanderont à + <para>Les trois indicateurs suivants demanderont à <command>cc</command> de vérifier que votre code est conforme - à la norme internationale, souvent appelée norme + à la norme internationale, souvent appelée norme <acronym>ANSI</acronym>, bien que ce soit à proprement parler une norme <acronym>ISO</acronym>.</para> <variablelist> @@ -467,18 +467,18 @@ <term><option>-Wall</option></term> <listitem> <para>Active tous les messages d'avertissement que les auteurs du - compilateur <command>cc</command> ont jugés - intéressants. Malgré son nom - (“<foreignphrase>all</foreignphrase>” - tous), - cela n'active pas tous les messages d'avertissement dont le - compilateur est capable.</para> + compilateur <command>cc</command> ont jugés + intéressants. Malgré son nom + (“<foreignphrase>all</foreignphrase>” - tous), + cela n'active pas tous les messages d'avertissement dont le + compilateur est capable.</para> </listitem> </varlistentry> <varlistentry> <term><option>-ansi</option></term> <listitem> - <para>Désactive la plupart, mais pas toutes, les - possibilités non-<acronym>ANSI</acronym> C fournies par + <para>Désactive la plupart, mais pas toutes, les + possibilités non-<acronym>ANSI</acronym> C fournies par <command>cc</command>. Malgré son nom, cela ne garantit pas absolument que votre code soit conforme à la norme.</para> </listitem> @@ -488,17 +488,17 @@ <listitem> <para>Désactive <emphasis>toutes</emphasis> les possibilités non-<acronym>ANSI</acronym> C de - <command>cc</command>.</para> + <command>cc</command>.</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist> <para>Sans ces indicateurs, <command>cc</command> vous permet d'utiliser ses extensions non-standard de la norme. Quelques-unes sont très - utiles, mais ne se retrouveront pas sur d'autres + utiles, mais ne se retrouveront pas sur d'autres compilateurs - de fait, l'un des objectifs principaux de la norme est de permettre l'écriture de code qui puissent être - réutilisé avec n'importe quel compilateur sur n'importe - quel système. C'est cela que l'on appelle du <firstterm>code + réutilisé avec n'importe quel compilateur sur n'importe + quel système. C'est cela que l'on appelle du <firstterm>code portable</firstterm>.</para> <para>En général, vous devriez vous efforcer de rendre votre code aussi portable que possible, sans quoi vous risquez de devoir @@ -530,22 +530,22 @@ <option>-l<replaceable>quelque_chose</replaceable></option>. Par exemple, la bibliothèque mathématique s'appelle <filename>libm.a</filename>, vous donnez donc à - <command>cc</command> l'argument <option>-lm</option>. Un + <command>cc</command> l'argument <option>-lm</option>. Un détail à connaître à propos de la bibliothèque mathématique est que ce doit généralement être la dernière sur - la ligne de commande.</para> + la ligne de commande.</para> <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc -o foobar foobar.c -lm</userinput></screen> </informalexample> - <para>Cela ajoutera à l'édition de liens de - <filename>foobar</filename> des fonctions de la + <para>Cela ajoutera à l'édition de liens de + <filename>foobar</filename> des fonctions de la bibliothèque mathématique.</para> <para>Si vous compilez du code C++, vous devrez ajouter - <option>-lg++</option>, ou <option>-lstdc++</option> si vous - utilisez la version 2.2 de FreeBSD ou une version - ultérieure, à la ligne de commande pour - éditer les liens avec les fonctions de la + <option>-lg++</option>, ou <option>-lstdc++</option> si vous + utilisez la version 2.2 de FreeBSD ou une version + ultérieure, à la ligne de commande pour + éditer les liens avec les fonctions de la bibliothèque C++. Au lieu de cela, vous pouvez utiliser la commande <command>c++</command> au lieu de <command>cc</command>, qui fera la même chose à votre place. Sous FreeBSD, @@ -557,19 +557,19 @@ &prompt.user; <userinput>c++ -o foobar foobar.cc</userinput></screen> </informalexample> - <para>Chacun de ces exemples construira un exécutable + <para>Chacun de ces exemples construira un exécutable <filename>foobar</filename> à partir du fichier source C++ - <filename>foobar.cc</filename>. Remarquez que, sur les - systèmes Unix, les fichiers sources C++ ont + <filename>foobar.cc</filename>. Remarquez que, sur les + systèmes Unix, les fichiers sources C++ ont traditionnellement l'extension <filename>.C</filename>, - <filename>.cxx</filename> ou <filename>.cc</filename>, + <filename>.cxx</filename> ou <filename>.cc</filename>, plutôt que l'extension <filename>.cpp</filename> de sytle <trademark>MS-DOS</trademark> (qui est déjà - utilisée pour autre chose). <command>gcc</command> se + utilisée pour autre chose). <command>gcc</command> se fiait autrefois à l'extension pour savoir quel type de compilateur utiliser avec le fichier source, mais cette restriction ne s'applique plus, vous pouvez donc appeler vos - fichiers C++ <filename>.cpp</filename> en toute + fichiers C++ <filename>.cpp</filename> en toute impunité!</para> </listitem> </varlistentry> @@ -577,21 +577,21 @@ <sect2> <title>Questions et problèmes <command>cc</command></title> <para>Q. J'essaie d'écrire un programme qui utilise la fonction - <function>sin()</function> et j'obtiens une erreur qui ressemble - à ce qui suit. Qu'est-ce que cela veut dire? + <function>sin()</function> et j'obtiens une erreur qui ressemble + à ce qui suit. Qu'est-ce que cela veut dire? <informalexample> <screen>/var/tmp/cc0143941.o: Undefined symbol `_sin' referenced from text segment</screen> </informalexample> </para> <para>R. Quand vous utilisez des fonctions mathématiques telles que <function>sin()</function>, vous devez dire à - <command>cc</command> d'inclure la bibliothèque + <command>cc</command> d'inclure la bibliothèque mathématique à l'édition de liens, comme ceci: <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc -o foobar foobar.c -lm</userinput></screen> </informalexample></para> - <para>Q. D'accord, j'ai écrit ce petit programme pour + <para>Q. D'accord, j'ai écrit ce petit programme pour m'entraîner à utiliser <option>-lm</option>. Il ne fait que calculer 2.1 à la puissance 6: <informalexample> @@ -623,11 +623,11 @@ int main() { regarde s'il en a déjà vu un prototype. Si ce n'est pas le cas, il suppose que la fonction retourne un <type>int</type> - <foreignphrase>entier</foreignphrase>, ce - qui n'est évidemment pas ce que vous souhaitez dans ce + qui n'est évidemment pas ce que vous souhaitez dans ce cas.</para> <para>Q. Comment alors régler ce problème?</para> <para>R. Les prototypes des fonctions mathématiques sont dans - <filename>math.h</filename>. Si vous incluez ce fichier, le + <filename>math.h</filename>. Si vous incluez ce fichier, le compilateur trouvera le prototype et cessera de vous fournir un résultat bizarre! <informalexample> @@ -640,7 +640,7 @@ int main() { </programlisting> </informalexample> </para> - <para>Après l'avoir recompilé de la même + <para>Après l'avoir recompilé de la même façon qu'auparavant, exécutez-le: <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>./a.out</userinput> @@ -651,13 +651,13 @@ int main() { <emphasis>toujours</emphasis> <filename>math.h</filename> et n'oubliez pas d'utiliser la bibliothèque mathématique à l'édition de liens.</para> - <para>Q. J'ai compilé un fichier appelé + <para>Q. J'ai compilé un fichier appelé <filename>foobar.c</filename> et je ne trouve pas d'exécutable - appelé <filename>foobar</filename>. Où est-il + appelé <filename>foobar</filename>. Où est-il passé?</para> - <para>R. N'oubliez pas, <command>cc</command> appellera + <para>R. N'oubliez pas, <command>cc</command> appellera l'exécutable <filename>a.out</filename> à moins que vous - ne lui disiez de faire autrement. Utilisez l'option + ne lui disiez de faire autrement. Utilisez l'option <option>-o <replaceable>nom_de_fichier</replaceable></option>: <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>cc -o foobar foobar.c</userinput></screen> @@ -666,24 +666,24 @@ int main() { <para>Q. OK, si j'ai un exécutable appelé <filename>foobar</filename>, je le vois avec <command>ls</command>, mais quand je tape <command>foobar</command> sur la ligne de commande, - il me dit que le fichier n'existe pas. Pourquoi ne le trouve-t-il + il me dit que le fichier n'existe pas. Pourquoi ne le trouve-t-il pas?</para> <para>R. A l'inverse de <trademark>MS-DOS</trademark>, Unix ne regarde pas dans le répertoire courant quand il cherche le programme que vous voulez exécuter, à moins que vous ne le lui disiez. Soit tapez <command>./foobar</command>, ce qui veut dire - “exécuter le fichier appelé + “exécuter le fichier appelé <filename>foobar</filename> du répertoire courant”, ou - modifiez votre variable d'environnement + modifiez votre variable d'environnement <envar>PATH</envar> pour qu'elle ressemble à: <informalexample> <screen>bin:/usr/bin:/usr/local/bin:.</screen> </informalexample> Le dernier point signifie “chercher dans le répertoire - courant si le fichier n'est pas dans les autres + courant si le fichier n'est pas dans les autres répertoires”.</para> - <para>Q. J'ai appelé mon exécutable + <para>Q. J'ai appelé mon exécutable <filename>test</filename>, mais il ne se passe rien quand je le lance. Pourquoi?</para> <para>R. Il y a un programme appelé <command>test</command> dans @@ -694,31 +694,31 @@ int main() { <screen>&prompt.user; <userinput>./test</userinput></screen> </informalexample> ou choisissez un meilleur nom pour votre programme!</para> - <para>Q. J'ai compilé et tout a commencé à + <para>Q. J'ai compilé et tout a commencé à fonctionner correctement, puis il y a eu une erreur et il m'a dit quelque chose à propos de <errorname>core dumped</errorname>. Qu'est-ce que cela veut dire?</para> - <para>A. L'expression <firstterm>core dump</firstterm> date des tous - premiers jours d'Unix, quand les machines utilisaient la - mémoire + <para>A. L'expression <firstterm>core dump</firstterm> date des tous + premiers jours d'Unix, quand les machines utilisaient la + mémoire centrale - “<foreignphrase>core memory</foreignphrase>” - pour stocker les informations. Essentiellement, si le programme + pour stocker les informations. Essentiellement, si le programme “plantait” dans certaines conditions, le système enregistrait sur disque le contenu de la mémoire centrale dans un fichier appelé <filename>core</filename>, que le - programmeur pouvait ensuite disséquer pour trouver + programmeur pouvait ensuite disséquer pour trouver où les choses avaient mal tournées.</para> - <para>Q. Fascinant, mais que suis-je censé faire + <para>Q. Fascinant, mais que suis-je censé faire maintenant?</para> <para>A. Servez-vous de <command>gdb</command> pour analyser l'image - mémoire (Reportez-vous à la section + mémoire (Reportez-vous à la section <link linkend="debugging">Déboguer</link>).</para> <para>R. Quand mon programme a généré une image mémoire, il a dit quelque chose à propose de - <errorname>segmentation fault</errorname> - “erreur + <errorname>segmentation fault</errorname> - “erreur de segmentation”. Qu'est-ce que c'est?</para> - <para>Q. Cela signifie essentiellement que votre programme a - essayé d'effectuer une quelconque opération + <para>Q. Cela signifie essentiellement que votre programme a + essayé d'effectuer une quelconque opération illégale sur la mémoire; Unix est conçu pour protéger le système d'exploitation des programmes mal éduqués.</para> @@ -745,7 +745,7 @@ strcpy(foo, "bang!"); votre programme, de sorte que le noyau tuera ce dernier avant qu'il ne provoque de dégât. Si vous manquez de chance, il pointera quelque part à l'intérieur de votre - programme et endommagera l'une de vos structures de + programme et endommagera l'une de vos structures de données, provoquant un dysfonctionnement mystérieux de votre programme.</para> </listitem> @@ -759,7 +759,7 @@ bar[27] = 6; </para> </listitem> <listitem> - <para>Essayer d'enregistrer quelque chose dans une zone de + <para>Essayer d'enregistrer quelque chose dans une zone de mémoire accessible en lecture seule, e.g.: <programlisting> char *foo = "Mon texte"; @@ -770,8 +770,8 @@ strcpy(foo, "bang!"); en mémoire accessible en lecture seule.</para> </listitem> <listitem> - <para>Utiliser incorrectement les fonctions - <function>malloc()</function> et <function>free()</function>, + <para>Utiliser incorrectement les fonctions + <function>malloc()</function> et <function>free()</function>, e.g.: <programlisting> char bar[80]; @@ -788,29 +788,29 @@ free(foo); </itemizedlist> </para> <para>Commettre l'une de ces fautes ne provoquera pas toujours une erreur, - mais ce sont malgré tout des choses à ne pas faire. + mais ce sont malgré tout des choses à ne pas faire. Certains systèmes et compilateurs sont plus tolérants que - d'autres, ce qui fait que des programmes qui s'exécutent + d'autres, ce qui fait que des programmes qui s'exécutent correctement sur un système peuvent ne plus fonctionner sur un autre.</para> <para>Q. Parfois, le programme provoque la génération d'une - image mémoire avec le message <errorname>bus error</errorname>. - Mon manuel Unix dit qu'il s'agit d'un erreur matériel, mais + image mémoire avec le message <errorname>bus error</errorname>. + Mon manuel Unix dit qu'il s'agit d'un erreur matériel, mais l'ordinateur fonctionne apparemment correctement. Est-ce vrai?</para> - <para>R. Fort heureusement, non (à moins bien sûr que vous + <para>R. Fort heureusement, non (à moins bien sûr que vous n'ayez aussi un problème matériel). C'est habituellement - une autre façon de dire que vous avez accédé + une autre façon de dire que vous avez accédé incorrectement à la mémoire.</para> - <para>Q. Il me semble que cette histoire de <foreignphrase>core + <para>Q. Il me semble que cette histoire de <foreignphrase>core dump</foreignphrase> peut être très utile, si je peux la provoquer quand je veux. Est-ce possible, ou dois-je attendre qu'il se produise une erreur?</para> <para>R. Oui, allez simplement sur une autre console ou fenêtre <application>xterm</application> et tapez: - <screen>&prompt.user; <userinput>ps</userinput></screen> pour + <screen>&prompt.user; <userinput>ps</userinput></screen> pour connaître l'IDentifiant de processus de votre programme, puis: <screen>&prompt.user; <userinput>kill -ABRT <replaceable>pid</replaceable></userinput></screen> - où <parameter><replaceable>pid</replaceable></parameter> est + où <parameter><replaceable>pid</replaceable></parameter> est l'ID de processus que vous avez recherché.</para> <para>C'est par exemple utile si votre programme est parti dans une boucle infinie. Au cas où votre programme piégerait les @@ -828,55 +828,55 @@ free(foo); n'est pas trop gênant, mais cela devient rapidement très fastidieux lorsqu'il y a plusieurs fichiers - et cela peut aussi mettre du temps à compiler.</para> - <para>Un façon d'éviter ces problèmes est + <para>Un façon d'éviter ces problèmes est d'utiliser des fichiers <firstterm>objets</firstterm> et de ne recompiler que les fichiers de source dont le contenu a changé. - Nous pourrions alors avoir quelque chose du style: + Nous pourrions alors avoir quelque chose du style: <screen>&prompt.user; <userinput>cc fichier1.o fichier2.o</userinput> … <userinput>file37.c</userinput> …</screen> - si nous avons modifé <filename>fichier37.c</filename>, et + si nous avons modifé <filename>fichier37.c</filename>, et celui-là uniquement, depuis notre compilation - précédente. Cela peut sérieusement - accélérer la compilation, mais ne résout pas le - problème de saisie à répétition de la + précédente. Cela peut sérieusement + accélérer la compilation, mais ne résout pas le + problème de saisie à répétition de la commande.</para> <para>Nous pourrions aussi écrire une procédure pour résoudre ce dernier problème, mais ne ne pourrions alors que lui faire tout recompiler, ce qui serait très peu efficace sur un gros projet.</para> - <para>Que ce passe-t-il si nous avons des centaines de fichiers de + <para>Que ce passe-t-il si nous avons des centaines de fichiers de sources? Si nous travaillons en équipe et que d'autres oublient de nous prévenir des modifications qu'ils ont apportées à un des fichiers que nous utilisons?</para> <para>Peut-être pourrions-nous rassembler les deux solutions et - écrire quelque chose qui ressemble à une + écrire quelque chose qui ressemble à une procédure et comporte une sorte de règle magique qui dise quand tel fichier de source doit être compilé. Nous n'aurions plus besoin que d'un programme qui comprennent ces règles, parce que c'est un peu trop compliqué pour une - procédure.</para> + procédure.</para> <para>Ce programme s'appelle <command>make</command>. Il lit un fichier, qu'on appelle un <firstterm>makefile</firstterm>, qui lui dit quelles sont les dépendances entre les différents fichiers, et - en déduit lesquels ont besoin ou non d'être - recompilés. Par exemple, une règle peut signifier + en déduit lesquels ont besoin ou non d'être + recompilés. Par exemple, une règle peut signifier quelque chose comme “si <filename>fromboz.o</filename> est plus - ancien que <filename>fromboz.c</filename>, cela veut dire que - <filename>fromboz.c</filename> doit avoir été + ancien que <filename>fromboz.c</filename>, cela veut dire que + <filename>fromboz.c</filename> doit avoir été modifié, il faut donc le recompiler”. Le fichier - “<foreignphrase>makefile</foreignphrase>” inclut aussi - des règles qui lui disent <emphasis>comment</emphasis> + “<foreignphrase>makefile</foreignphrase>” inclut aussi + des règles qui lui disent <emphasis>comment</emphasis> recompiler, ce qui en fait un outil encore plus puissant.</para> - <para>Ces fichiers “makefiles” sont habituellement - rangés dans le même répertoire que les sources + <para>Ces fichiers “makefiles” sont habituellement + rangés dans le même répertoire que les sources auxquels ils s'appliquent, et peuvent être appelés <filename>makefile</filename>, <filename>Makefile</filename> ou <filename>MAKEFILE</filename>. La plupart des programmeurs utilisent le nom <filename>Makefile</filename>, ce qui fait qu'ils se trouvent alors vers le début de la liste des fichiers et sont ainsi facilement repérables <footnote><para>Ils n'utilisent pas la - variante <filename>MAKEFILE</filename> parce que les noms en + variante <filename>MAKEFILE</filename> parce que les noms en majuscules servent souvent à désigner les fichiers de - documentation comme + documentation comme <filename>README</filename>.</para></footnote>.</para> </sect2> <sect2> @@ -892,40 +892,40 @@ foo: foo.c <para>La ligne décrivant la dépendance contient le nom du programme (qu'on appelle la <firstterm>cible</firstterm>), suivi de “deux points”, puis d'un blanc et du nom - du fichier source. Quand <command>make</command> lit cette ligne, - il regarde si <filename>foo</filename> existe; s'il existe, il + du fichier source. Quand <command>make</command> lit cette ligne, + il regarde si <filename>foo</filename> existe; s'il existe, il compare la date de dernière modification de <filename>foo</filename> à celle de dernière modification de <filename>foo.c</filename>. Si <filename>foo</filename> n'existe pas, ou s'il est antérieur à <filename>foo.c</filename>, il regarde alors la ligne de - génération pour savoir ce qu'il faut faire. En + génération pour savoir ce qu'il faut faire. En d'autres termes, c'est la règle à appliquer pour - savoir si <filename>foo.c</filename> doit être + savoir si <filename>foo.c</filename> doit être recompilé.</para> <para>La ligne de génération commence par une - <token>tabulation</token> (appuyez sur la touche + <token>tabulation</token> (appuyez sur la touche <keycap>Tab</keycap>) suivie de la commande que vous taperiez - pour compiler <filename>foo</filename> si vous le faisiez sur - la ligne de commande. Si <filename>foo</filename> n'est pas - à jour ou s'il n'existe pas, <command>make</command> - exécute alors cette commande pour le créer. En + pour compiler <filename>foo</filename> si vous le faisiez sur + la ligne de commande. Si <filename>foo</filename> n'est pas + à jour ou s'il n'existe pas, <command>make</command> + exécute alors cette commande pour le créer. En d'autres termes, c'est la règle qui dit à <command>make</command> comment recompiler <filename>foo.c</filename>.</para> - <para>Ainsi, quand vous tapez <userinput>make</userinput>, il - fera en sorte que <filename>foo</filename> soit en phase avec les + <para>Ainsi, quand vous tapez <userinput>make</userinput>, il + fera en sorte que <filename>foo</filename> soit en phase avec les dernières modifications que vous avez apportées à - <filename>foo.c</filename>. Ce principe s'étend aux - <filename>Makefile</filename>s avec des centaines de - cibles - de fait, sur FreeBSD, il est possible de compiler - tout le système d'exploitation en tapant simplement - <userinput>make world</userinput> dans le répertoire + <filename>foo.c</filename>. Ce principe s'étend aux + <filename>Makefile</filename>s avec des centaines de + cibles - de fait, sur FreeBSD, il est possible de compiler + tout le système d'exploitation en tapant simplement + <userinput>make world</userinput> dans le répertoire adéquat!</para> <para>Une autre particularité de <filename>Makefile</filename>s est que les cibles ne sont pas nécessairement des programmes. Nous pourrions par exemple avoir le <filename>Makefile</filename> - suivant: + suivant: <programlisting> foo: foo.c cc -o foo foo.c @@ -937,13 +937,13 @@ install: <para>Nous pouvons dire à <command>make</command> quelle cible nous voulons atteindre en tapant: <screen>&prompt.user; <userinput>make <replaceable>cible</replaceable></userinput></screen> - <command>make</command> examinera alors cette cible et ignorera - toutes les autres. Par exemple, si, avec le + <command>make</command> examinera alors cette cible et ignorera + toutes les autres. Par exemple, si, avec le <filename>Makefile</filename> précédent, nous tapons <userinput>make foo</userinput>, <command>make</command> ignorera la cible <action>install</action>.</para> - <para>Si nous tapons simplement <userinput>make</userinput> tout - court, il examinera toujours la première cible et + <para>Si nous tapons simplement <userinput>make</userinput> tout + court, il examinera toujours la première cible et s'arrêtera ensuite sans s'occuper des autres. Si nous avions tapé <userinput>make</userinput> dans ce cas, il serait simplement allé à la cible @@ -954,17 +954,17 @@ install: <para>Remarquez que la cible <action>install</action> ne dépend en fait de rien du tout! Cela signifie que la commande sur la ligne suivante est toujours exécutée si nous essayons de - reconstruire cette cible en tapant + reconstruire cette cible en tapant <userinput>make install</userinput>. Dans ce cas, il copiera <filename>foo</filename> dans le répertoire de l'utilisateur. C'est souvent utilisé par les <filename>Makefile</filename>s de logiciels, de sorte que l'application soit installée dans - le bon répertoire, une fois correctement + le bon répertoire, une fois correctement compilée.</para> <para>C'est un point un peu délicat à expliquer. Si vous ne comprenez pas exactement comment <command>make</command> fonctionne, la meilleure chose à faire est d'écrire - un programme simple comme le classique “Bonjour, le + un programme simple comme le classique “Bonjour, le monde!”, un fichier <filename>Makefile</filename> et de faire des essais. Compilez ensuite en utilisant plus d'un fichier source, ou en ayant un fichier source qui inclut un @@ -974,7 +974,7 @@ install: </sect2> <sect2> <title>Makefiles FreeBSD</title> - <para>L'écriture de <filename>Makefile</filename>s peut + <para>L'écriture de <filename>Makefile</filename>s peut être assez compliquée. Heureusement, les systèmes basés sur BSD, comme FreeBSD, en fournissent de très puissants, intégrés au système. Le catalogue des @@ -992,12 +992,12 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz qui se passe:</para> <procedure> <step> - <para>Il regarde si le code source de ce logiciel est + <para>Il regarde si le code source de ce logiciel est déjà présent sur le système.</para> </step> <step> - <para>S'il n'y est pas, une connexion FTP à l'URL - indiquée par <symbol>MASTER_SITES</symbol> est + <para>S'il n'y est pas, une connexion FTP à l'URL + indiquée par <symbol>MASTER_SITES</symbol> est établie pour télécharger le source.</para> </step> <step> @@ -1007,27 +1007,27 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz pas été corrompu pendant le transfert.</para> </step> <step> - <para>Les modifications nécessaires pour que le code + <para>Les modifications nécessaires pour que le code fonctionne sous FreeBSD sont appliquées - c'est ce que l'on appelle <firstterm>patcher</firstterm>.</para> </step> <step> <para>Les opérations particulières de configuration du source sont effectuées. (De nombreuses distributions de - programmes Unix essayent de déterminer sur quel - système elles sont compilées et de quelles - fonctionnalités Unix optionnelles il + programmes Unix essayent de déterminer sur quel + système elles sont compilées et de quelles + fonctionnalités Unix optionnelles il dispose - c'est à ce stade du scénario d'installation de logiciels sous FreeBSD que leur sont fournies - ces informations).</para> + ces informations).</para> </step> <step> <para>Le code source du programme est compilé. De fait, on - passe dans le répertoire où le code a - été décompacté et + passe dans le répertoire où le code a + été décompacté et <command>make</command> y est exécuté - le <filename>Makefile</filename> du programme lui-même contient - les informations nécessaires à sa + les informations nécessaires à sa compilation.</para> </step> <step> @@ -1036,32 +1036,32 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz si nous avons confiance dans le programme, nous pouvons taper <userinput>make install</userinput>. Cela recopiera le programme et tous les fichiers d'environnement dont il a besoin à - l'endroit adéquat; une entrée sera aussi - créée dans une <database>base de données des + l'endroit adéquat; une entrée sera aussi + créée dans une <database>base de données des logiciels</database>, de façon à ce qu'il puisse être désinstallé par la suite, si nous changeons d'avis.</para> </step> </procedure> <para>Je pense que vous serez maintenant d'accord pour trouver que c'est - assez impressionnant pour une simple procédure de quatre + assez impressionnant pour une simple procédure de quatre lignes!</para> - <para>Le secret se trouve à la dernière ligne, qui dit - à <command>make</command> d'aller voir ce qu'il y a dans le - <filename>Makefile</filename> appelé + <para>Le secret se trouve à la dernière ligne, qui dit + à <command>make</command> d'aller voir ce qu'il y a dans le + <filename>Makefile</filename> appelé <filename>bsd.port.mk</filename>. Il est facile de rater cette ligne, mais c'est pourtant de là que vient toute la mécanique subtile. Quelqu'un a écrit un <filename>Makefile</filename> - qui dit à <command>make</command> de faire tout ce qui a + qui dit à <command>make</command> de faire tout ce qui a été décrit ci-dessus (plus deux ou trois autres choses dont je n'ai pas parlé, dont le traitement des erreurs qui pourraient se produire) et tout le monde peut l'utiliser en - mettant simplement cette unique ligne dans son propre + mettant simplement cette unique ligne dans son propre <filename>Makefile</filename>!</para> - <para>Si vous voulez jeter un oeil à ces + <para>Si vous voulez jeter un oeil à ces <filename>Makefile</filename>s systèmes, ils sont dans le répertoire <filename>/usr/share/mk</filename>, mais il vaut - mieux attendre d'avoir un peu d'expérience des + mieux attendre d'avoir un peu d'expérience des <filename>Makefile</filename>s, parce qu'ils sont très compliqués (et si vous les regardez, ayez sous la main une bonne dose de café serré!).</para> @@ -1069,35 +1069,35 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <sect2> <title>Utilisation plus poussée de <command>make</command></title> <para> <command>make</command> est un outil très puissant, et peut - faire beaucoup plus que l'exemple élémentaire que nous + faire beaucoup plus que l'exemple élémentaire que nous avons donné. Il y a malheureusement plusieurs versions de - <command>make</command>, et elles sont très + <command>make</command>, et elles sont très différentes. La meilleure façon de savoir ce qu'elles - peuvent faire est certainement de lire la - documentation - espérons que cette introduction + peuvent faire est certainement de lire la + documentation - espérons que cette introduction vous aura fourni les bases pour le faire.</para> <para>La version de <command>make</command> fournie avec FreeBSD est <application>Berkeley make</application>; elle s'accompagne d'un guide dans <filename>/usr/share/doc/psd/12.make</filename>. Pour le - visualiser, tapez: + visualiser, tapez: <screen>&prompt.user; <userinput>zmore paper.ascii.gz</userinput></screen> dans ce répertoire.</para> - <para>Il y a des nombreux logiciels du catalogue des logiciels + <para>Il y a des nombreux logiciels du catalogue des logiciels portés qui utilisent <application>GNU make</application>, qui - est très bien documenté dans les pages + est très bien documenté dans les pages “info”. Si vous avez installé un de ces logiciels, <application>GNU make</application> sera automatiquement installé sont le nom <command>gmake</command>. Il est aussi disponible sous forme de logiciel porté ou précompilé autonome.</para> <para>Pour visualiser les pages “info” de - <application>GNU make</application>, il vous faut éditer le + <application>GNU make</application>, il vous faut éditer le fichier <filename>dir</filename> du répertoire <filename>/usr/local/info</filename> et y ajouter une ligne pour ce programme. C'est une ligne du genre: <programlisting> * Make: (make). L'utilitaire GNU Make. </programlisting> - Une fois que c'est fait, vous pouvez taper <userinput>info</userinput> + Une fois que c'est fait, vous pouvez taper <userinput>info</userinput> puis sélectionner <guimenuitem>make</guimenuitem> dans le menu (ou sous <application>Emacs</application>, taper <userinput>C-h i</userinput>).</para> @@ -1108,7 +1108,7 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <sect2> <title>Le débogueur</title> <para>Le débogueur qui est fourni avec FreeBSD s'appelle - <command>gdb</command> + <command>gdb</command> (<application>GNU débogueur</application>). Vous le lancez en tapant: <screen>&prompt.user; <userinput>gdb <replaceable>nom_du_programme</replaceable></userinput></screen> @@ -1117,22 +1117,22 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <screen><userinput>M-x gdb RET <replaceable>progname</replaceable> RET</userinput></screen> </para> <para>Se servir d'un débogueur vous permet d'exécuter le - programme sous contrôle. Vous pouvez typiquement + programme sous contrôle. Vous pouvez typiquement l'exécuter pas à pas, inspecter les valeurs des variables, les modifier, dire au débogueur d'exécuter - le programme jusqu'à un certain endroit et de s'y + le programme jusqu'à un certain endroit et de s'y arrêter, et ainsi de suite. Vous pouvez même - le rattacher à un programme qui est déjà en - cours d'exécution, ou charger une image - mémoire - “<foreignphrase>core</foreignphrase>”. + le rattacher à un programme qui est déjà en + cours d'exécution, ou charger une image + mémoire - “<foreignphrase>core</foreignphrase>”. Il est même possible de déboguer le noyau, bien que cela - soit un peu plus compliqué que dans le cas des programmes + soit un peu plus compliqué que dans le cas des programmes utilisateurs, dont nous parlerons dans cette section.</para> <para><command>gdb</command> dispose d'une assez bonne aide en ligne, ainsi que d'un jeu de pages “info”, cette section se - concentrera donc sur quelques commandes de base.</para> + concentrera donc sur quelques commandes de base.</para> <para>Enfin, si le mode de fonctionnement en ligne de commande vous - rebute, il existe une interface graphique appelée + rebute, il existe une interface graphique appelée <ulink url="http://www.freebsd.org/ports/devel.html">xxgdb</ulink> au catalogue des logiciels portés.</para> <para>Cette section est destinée à servir d'introduction @@ -1143,8 +1143,8 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <sect2> <title>Exécuter un programme sous le débogueur</title> <para>Il faudra que vous ayez compilé le programme avec l'option - <option>-g</option> pour tirer le meilleur parti de - <command>gdb</command>. Cela fonctionnera sans cela, mais vous ne + <option>-g</option> pour tirer le meilleur parti de + <command>gdb</command>. Cela fonctionnera sans cela, mais vous ne verrez que le nom de la fonction dans laquelle vous êtes, au lieu du code source. Si vous avez un message du genre: <screen>… (no debugging symbols found) …</screen> @@ -1152,21 +1152,21 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz programme n'a pas été compilé avec l'option <option>-g</option>.</para> <para>A l'invite de <command>gdb</command>, tapez <userinput>break - main</userinput>. Cela dira au débogueur d'exécuter le + main</userinput>. Cela dira au débogueur d'exécuter le code préliminaire de mise en oeuvre dans le programme et de s'arrêter au début de votre programme. Tapez maintenant <userinput>run</userinput> pour lancer le programme - il - commencera au début du code préliminaire et sera - interrompu par le débogueur sur l'appel de - <function>main()</function>. (Si vous vous étiez jamais - demandé d'où la fonction <function>main()</function> + commencera au début du code préliminaire et sera + interrompu par le débogueur sur l'appel de + <function>main()</function>. (Si vous vous étiez jamais + demandé d'où la fonction <function>main()</function> était appelée, vous le savez maintenant!).</para> <para>Vous pouvez maintenant exécuter le programme une ligne à la fois, en appuyant sur <command>n</command>. Si vous arrivez sur un appel de fonction, vous pouvez passer dans la fonction en appuyant sur <command>s</command>. Une fois dans la - fonction, vous pouvez terminer son exécution et en sortir en - tapant <command>f</command>. Vous pouvez aussi utiliser + fonction, vous pouvez terminer son exécution et en sortir en + tapant <command>f</command>. Vous pouvez aussi utiliser <command>up</command> et <command>down</command> pour jeter un coup d'oeil au code appelant.</para> <para>Voici un exemple simple de la manière de diagnostiquer une @@ -1192,7 +1192,7 @@ int bazz(int un_entier) { </programlisting> </para> <para>Ce programme affecte à <symbol>i</symbol> la valeur - <literal>5</literal> et la passe à la fonction + <literal>5</literal> et la passe à la fonction <function>bazz()</function> qui affiche la valeur que nous lui donnons en paramètre.</para> <para>Quand nous compilons et exécutons le programme, nous @@ -1201,7 +1201,7 @@ int bazz(int un_entier) { &prompt.user; <userinput>./temp</userinput> C'est mon programme Vous m'avez donné 4231</screen></para> - <para>Ce n'est pas ce à quoi nous nous attendions! C'est le + <para>Ce n'est pas ce à quoi nous nous attendions! C'est le moment d'aller voir ce qui ce passe! <screen>&prompt.user; <userinput>gdb temp</userinput> GDB is free software and you are welcome to distribute copies of it @@ -1220,9 +1220,9 @@ C'est mon programme <lineannotation>Le programme imprime</lineannotation> bazz (un_entier=4231) at temp.c:17 <lineannotation><command>gdb</command> affiche la position dans la pile d'appel</lineannotation> (gdb)</screen></para> <para>Une minute! Comment <symbol>un_entier</symbol> peut-il valoir - <literal>4231</literal>? Ne l'avons-nous pas initialisé - à <literal>5</literal> dans <function>main()</function>? - Revenons à <function>main()</function> et jetons un + <literal>4231</literal>? Ne l'avons-nous pas initialisé + à <literal>5</literal> dans <function>main()</function>? + Revenons à <function>main()</function> et jetons un oeil.</para> <para> <screen>(gdb) <userinput>up</userinput> <lineannotation>Remonter d'un cran dans la pile d'appel</lineannotation> @@ -1240,50 +1240,50 @@ main() { printf("C'est mon programme\n"); <lineannotation>…</lineannotation> </programlisting> - mais nous avons oublié la ligne <literal>i=5;</literal>. + mais nous avons oublié la ligne <literal>i=5;</literal>. Comme nous n'avons pas initialisé <symbol>i</symbol>, il - prend la valeur qui se trouve à cet endroit de la + prend la valeur qui se trouve à cet endroit de la mémoire quand le programme s'exécute, dans notre - cas, il s'est trouvé que c'était + cas, il s'est trouvé que c'était <literal>4231</literal>.</para> <note> <para><command>gdb</command> affiche l'endroit où nous nous - trouvons dans la pile d'appel, chaque fois que nous entrons ou + trouvons dans la pile d'appel, chaque fois que nous entrons ou sortons d'une fonction, même si nous utilisons - <command>up</command> et <command>down</command> pour nous + <command>up</command> et <command>down</command> pour nous déplacer dans la pile. Cela nous donne le nom de la fonction et les valeurs de ses paramètres, ce qui nous aide à repérer où nous sommes et ce qu'il se passe. (La pile - d'appel est une zone de mémoire où le programme + d'appel est une zone de mémoire où le programme enregistre les informations sur les paramètres passés aux fonctions et où aller quand il ressort d'un fonction appelée.)</para> </note> </sect2> <sect2> - <title>Examiner un fichier + <title>Examiner un fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>”</title> - <para>Un fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>” est - essentiellement un fichier qui contient l'état complet du - programme au moment où il s'est “planté”. Au - “bon vieux temps”, les programmeurs devaient imprimer le - contenu en hexadécimal des fichiers + <para>Un fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>” est + essentiellement un fichier qui contient l'état complet du + programme au moment où il s'est “planté”. Au + “bon vieux temps”, les programmeurs devaient imprimer le + contenu en hexadécimal des fichiers “<foreignphrase>core</foreignphrase>” et transpirer sur des manuels de code machine, mais la vie est aujourd'hui un peu plus facile. - Au passage, sous FreeBSD et les autres systèmes 4.4BSD, un - fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>” s'appelle + Au passage, sous FreeBSD et les autres systèmes 4.4BSD, un + fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>” s'appelle <filename><replaceable>nom_du_programme</replaceable>.core</filename>, et non <filename>core</filename> tout court, - de façon à ce que l'on sache à quel programme il + de façon à ce que l'on sache à quel programme il correspond.</para> - <para>Pour examiner un fichier - “<foreignphrase>core</foreignphrase>”, lancez + <para>Pour examiner un fichier + “<foreignphrase>core</foreignphrase>”, lancez <command>gdb</command> comme d'habitude. Au lieu de taper <command>break</command> ou <command>run</command>, tapez: <screen>(gdb) <userinput>core <replaceable>nom_du_programme</replaceable>.core</userinput></screen> - Si vous n'êtes pas dans le même répertoire que - le fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>”, vous - devrez d'abord faire + Si vous n'êtes pas dans le même répertoire que + le fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>”, vous + devrez d'abord faire <userinput>dir /ou/se/trouve/le/fichier/core</userinput>.</para> <para>Vous devriez voir quelque chose comme: <screen>&prompt.user; <userinput>gdb a.out</userinput> @@ -1298,13 +1298,13 @@ Cannot access memory at address 0x7020796d. #0 0x164a in bazz (un_entier=0x5) at temp.c:17 (gdb)</screen></para> <para>Dans ce cas, le programme s'appelait <filename>a.out</filename>, le - fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>” s'appelle - donc <filename>a.out.core</filename>. Nous constatons que le programme - s'est terminé en erreur à cause d'une tentative - d'accès à une zone de mémoire qui n'était - pas accessible dans une fonction appelé + fichier “<foreignphrase>core</foreignphrase>” s'appelle + donc <filename>a.out.core</filename>. Nous constatons que le programme + s'est terminé en erreur à cause d'une tentative + d'accès à une zone de mémoire qui n'était + pas accessible dans une fonction appelé <function>bazz</function>.</para> - <para>Il est parfois utile de pouvoir savoir comment une fonction a + <para>Il est parfois utile de pouvoir savoir comment une fonction a été appelée, parce que le problème peut s'être produit bien au-dessus dans la pile d'appel dans un programme complexe. La commande <command>bt</command> dit à @@ -1320,25 +1320,25 @@ Cannot access memory at address 0x7020796d. <function>main()</function>.</para> </sect2> <sect2> - <title>Prendre le contrôle d'un programme en cours + <title>Prendre le contrôle d'un programme en cours d'exécution</title> <para>Une des possibilités les plus intéressantes de - <command>gdb</command> est qu'il peut se rattacher à un + <command>gdb</command> est qu'il peut se rattacher à un programme en cours d'exécution. Il faut bien sûr que vous ayez les autorisations suffisantes pour le faire. Le cas d'un programme - qui “fourche” - <foreignphrase>fork</foreignphrase> - est + qui “fourche” - <foreignphrase>fork</foreignphrase> - est un problème classique, lorsque vous voulez suivre le déroulement du processus fils, alors que le débogueur ne - vous permet que de tracer le processus père.</para> + vous permet que de tracer le processus père.</para> <para>Vous lancez alors un autre <command>gdb</command>, utilisez <command>ps</command> pour connaître l'IDentifiant de processus du fils, puis faites: -<screen>(gdb) <userinput>attach <replaceable>pid</replaceable></userinput></screen> - sous <command>gdb</command>, et déboguez alors comme +<screen>(gdb) <userinput>attach <replaceable>pid</replaceable></userinput></screen> + sous <command>gdb</command>, et déboguez alors comme d'habitude.</para> - <para>“Tout cela est bien beau”, vous dites vous + <para>“Tout cela est bien beau”, vous dites vous peut-être, “mais le temps que j'ai fait tout ça, le - processus fils aura déjà fait un bon bout de + processus fils aura déjà fait un bon bout de chemin”. Rien à craindre, aimable lecteur, voici ce qu'il faut faire (emprunté aux pages “info” de <command>gdb</command>): @@ -1363,39 +1363,39 @@ else if (pid == 0) { <sect2> <title>Emacs</title> <para>Les systèmes Unix ne s'accompagnent malheureusement pas - du type d'environnement de développement + du type d'environnement de développement intégré du genre “tout ce que vous avez toujours voulu et encore beaucoup plus en un seul monstrueux paquetage” dont disposent d'autres systèmes<footnote><para>Au moins, pas à moins que vous ne soyez prêt à les payer une somme - astronomique.</para></footnote>. Il est cependant possible de mettre - au point votre propre environnement. Il ne sera peut-être pas - aussi esthétique et il ne sera peut-être pas aussi + astronomique.</para></footnote>. Il est cependant possible de mettre + au point votre propre environnement. Il ne sera peut-être pas + aussi esthétique et il ne sera peut-être pas aussi intégré, mais vous pourrez le configurer comme vous le voulez. Et il est gratuit. En plus, vous en avez les sources.</para> <para>Emacs est la clé de tout. Il y a bien des gens qui le - décrient, mais nombreux sont ceux qui l'aiment. Si vous + décrient, mais nombreux sont ceux qui l'aiment. Si vous êtes des premiers, j'ai peur que cette section n'ait que peu - d'intérêt pour vous. Il vous faudra aussi pas mal de + d'intérêt pour vous. Il vous faudra aussi pas mal de mémoire pour l'utiliser. Je conseille 8Mo en mode texte et 16Mo sous X comme strict minimum pour avoir des temps de réponse raisonnables.</para> - <para>Emacs est essentiellement un éditeur extrêmement + <para>Emacs est essentiellement un éditeur extrêmement configurable - il a de fait été configuré au point de ressembler plus à un système - d'exploitation qu'à un éditeur! De nombreux + d'exploitation qu'à un éditeur! De nombreux développeurs et administrateurs système passent le plus - clair de leur temps à travailler sous Emacs, le quittant + clair de leur temps à travailler sous Emacs, le quittant seulement pour se déconnecter.</para> <para>Il est impossible de même résumer ici tout ce qu'Emacs est capable de faire, mais voici quelques fonctionnalités qui intéressent les développeurs: <itemizedlist> <listitem> - <para>Editeur très puissant qui permet et de rechercher et + <para>Editeur très puissant qui permet et de rechercher et remplacer des chaînes de caractères et d'utiliser pour le faire des expressions régulières (motifs), d'aller - au début ou à la fin de blocs syntaxiques, etc, + au début ou à la fin de blocs syntaxiques, etc, etc.</para> </listitem> <listitem> @@ -1409,7 +1409,7 @@ else if (pid == 0) { <para>Complètement configurable.</para> </listitem> <listitem> - <para>Vous pouvez compiler et déboguer des programmes depuis + <para>Vous pouvez compiler et déboguer des programmes depuis Emacs.</para> </listitem> <listitem> @@ -1432,27 +1432,27 @@ else if (pid == 0) { compile.</para> </listitem> </itemizedlist> - Et sans aucun doute bien d'autres choses qui m'ont + Et sans aucun doute bien d'autres choses qui m'ont échappées.</para> - <para>Emacs peut être installé sous FreeBSD sous forme de - <ulink url="http://www.freebsd.org/ports/editors.html">logiciel + <para>Emacs peut être installé sous FreeBSD sous forme de + <ulink url="http://www.freebsd.org/ports/editors.html">logiciel porté</ulink>.</para> - <para>Une fois qu'il est installé, lancez-le et tapez + <para>Une fois qu'il est installé, lancez-le et tapez <userinput>C-h t</userinput> - ce qui signifie maintenir - enfoncée la touche <keycap>Ctrl</keycap>, taper + enfoncée la touche <keycap>Ctrl</keycap>, taper <keycap>h</keycap>, relâcher la touche <keycap>Ctrl</keycap>, et appuyer ensuite sur <keycap>t</keycap> - pour lire le guide - d'Emacs (Vous pouvez aussi utiliser la souris pour sélectionner - <guimenuitem>Emacs - Tutorial</guimenuitem> - “<foreignphrase>Guide - Emacs</foreignphrase>” - depuis le menu + d'Emacs (Vous pouvez aussi utiliser la souris pour sélectionner + <guimenuitem>Emacs + Tutorial</guimenuitem> - “<foreignphrase>Guide + Emacs</foreignphrase>” - depuis le menu <guimenu>Help</guimenu> - “<foreignphrase>Aide</foreignphrase>”).</para> <para>Bien qu'Emacs ait des menus, il vaut la peine d'apprendre à - utiliser les raccourcis claviers, parce qu'il est bien plus rapide - quand vous éditez quelque chose d'appuyer sur deux ou trois + utiliser les raccourcis claviers, parce qu'il est bien plus rapide + quand vous éditez quelque chose d'appuyer sur deux ou trois touches que de courir après la souris et cliquer ensuite au bon - endroit. Si, par ailleurs, vous discutez avec des utilisateurs - expérimentés d'Emacs, vous vous apercevrez qu'ils + endroit. Si, par ailleurs, vous discutez avec des utilisateurs + expérimentés d'Emacs, vous vous apercevrez qu'ils utilisent assez couramment des expressions comme “<literal>M-x replace-s RET foo RET bar RET</literal>”, il peut donc servir de comprendre ce qu'ils veulent dire. Et de toute @@ -1460,79 +1460,79 @@ else if (pid == 0) { tenir sur une barre de menus.</para> <para>Il est heureusement assez facile de découvrir les raccourcis claviers, ils sont affichés dans les menus. Je vous conseille - d'utiliser les menus pour, par exemple, ouvrir un fichier - jusqu'à ce que vous compreniez comment cela marche et ayez - suffisamment confiance en vous, puis d'essayer C-x C-f. Une fois que - cela vous convient, passez à une autre des commandes des + d'utiliser les menus pour, par exemple, ouvrir un fichier + jusqu'à ce que vous compreniez comment cela marche et ayez + suffisamment confiance en vous, puis d'essayer C-x C-f. Une fois que + cela vous convient, passez à une autre des commandes des menus.</para> <para>Si vous ne vous rappelez pas ce que fait une combinaison - donnée de touches, choisissez <guimenuitem>Describe + donnée de touches, choisissez <guimenuitem>Describe Key</guimenuitem> - “<foreignphrase>Description d'une - touche</foreignphrase>” - dans le menu + touche</foreignphrase>” - dans le menu <guimenu>Help</guimenu> - “<foreignphrase>Aide</foreignphrase>” - et - tapez cette combinaison - Emacs vous dira ce qu'elle fait. - Vous pouvez aussi utiliser le choix <guimenuitem>Command + tapez cette combinaison - Emacs vous dira ce qu'elle fait. + Vous pouvez aussi utiliser le choix <guimenuitem>Command Apropos</guimenuitem> - “<foreignphrase>A propos d'une - commande</foreignphrase>” - pour connaître + commande</foreignphrase>” - pour connaître toutes les commandes comportant un mot donné et les touches qui leur correspondent.</para> <para>Au fait, l'expression plus haut signifie: enfoncer la touche - <keysym>Méta</keysym>, appuyer sur <keysym>x</keysym>, - relâcher la touche <keysym>Méta</keysym>, taper - <userinput>replace-s</userinput> (abréviation de - <literal>replace-string</literal> - “<foreignphrase>remplacer - une chaîne de caractères</foreignphrase>” - une autre - caractéristique d'Emacs est de vous permettre d'abréger - les commandes), appuyer sur <keysym>Entrée</keysym>, taper + <keysym>Méta</keysym>, appuyer sur <keysym>x</keysym>, + relâcher la touche <keysym>Méta</keysym>, taper + <userinput>replace-s</userinput> (abréviation de + <literal>replace-string</literal> - “<foreignphrase>remplacer + une chaîne de caractères</foreignphrase>” - une autre + caractéristique d'Emacs est de vous permettre d'abréger + les commandes), appuyer sur <keysym>Entrée</keysym>, taper <userinput>foo</userinput> (la chaîne que vous voulez remplacer), - appuyer sur <keysym>Entrée</keysym>, taper + appuyer sur <keysym>Entrée</keysym>, taper <userinput>bar</userinput> (la chaîne avec laquelle vous voulez remplacer <literal>foo</literal>) et appuyer encore sur - <keysym>Entrée</keysym>. Emacs effectuera alors - l'opération de recherche et remplacement que vous venez de + <keysym>Entrée</keysym>. Emacs effectuera alors + l'opération de recherche et remplacement que vous venez de demander.</para> - <para>Si vous vous demandez ce qu'est la touche - <keysym>Méta</keysym>, c'est une touche spéciale qu'ont + <para>Si vous vous demandez ce qu'est la touche + <keysym>Méta</keysym>, c'est une touche spéciale qu'ont beaucoup de stations Unix. Malheureusement, les PCs n'en ont pas, c'est - habituellement la touche <keysym>Alt</keysym> qui est utilisée - (ou si vous n'avez pas de chance, la touche + habituellement la touche <keysym>Alt</keysym> qui est utilisée + (ou si vous n'avez pas de chance, la touche <keysym>Echap</keysym>).</para> <para>Oh, et pour sortir d'Emacs, tapez <command>C-x C-c</command> (Ce qui signifie: enfoncer la touche <keysym>Ctrl</keysym>, appuyer sur - <keysym>c</keysym>, appuyer sur <keysym>x</keysym> et relâcher la - touche <keysym>Ctrl</keysym>). S'il y a des fichiers ouverts que vous - n'avez pas sauvegardés, Emacs vous demandera si vous voulez les - sauvegarder. (Oubliez que la documentation dit que la méthode - habituelle pour quitter Emacs est d'utiliser - <command>C-z</command> - cela laisse Emacs actif en - tâche de fond et n'est réellement utile que si vous - êtes sur un système qui ne gère pas de terminaux + <keysym>c</keysym>, appuyer sur <keysym>x</keysym> et relâcher la + touche <keysym>Ctrl</keysym>). S'il y a des fichiers ouverts que vous + n'avez pas sauvegardés, Emacs vous demandera si vous voulez les + sauvegarder. (Oubliez que la documentation dit que la méthode + habituelle pour quitter Emacs est d'utiliser + <command>C-z</command> - cela laisse Emacs actif en + tâche de fond et n'est réellement utile que si vous + êtes sur un système qui ne gère pas de terminaux virtuels).</para> </sect2> <sect2> <title>Configurer Emacs</title> <para>Emacs fait des choses admirables; certaines fonctionnalités - sont incorporées, d'autres doivent être + sont incorporées, d'autres doivent être configurées.</para> - <para>Au lieu d'utiliser un langage de macros-instructions - propriétaires, Emacs se sert d'une version de Lisp + <para>Au lieu d'utiliser un langage de macros-instructions + propriétaires, Emacs se sert d'une version de Lisp spécialement adaptée aux éditeurs, connue sous le nom de Emacs Lisp. Ce peut être très utile si vous voulez - aller plus loin et apprendre ensuite par exemple Common Lisp, parce - qu'il est considérablement plus léger que Common Lisp + aller plus loin et apprendre ensuite par exemple Common Lisp, parce + qu'il est considérablement plus léger que Common Lisp (quoique qu'encore assez imposant!).</para> - <para>La meilleure façon d'apprendre Emacs Lisp est de - télécharger - <ulink url="ftp://prep.ai.mit.edu/pub/gnu/elisp-manual-19-2.4.tar.gz">le + <para>La meilleure façon d'apprendre Emacs Lisp est de + télécharger + <ulink url="ftp://prep.ai.mit.edu/pub/gnu/elisp-manual-19-2.4.tar.gz">le Guide Emacs Lisp</ulink>.</para> <para>Il n'y a cependant pas besoin de connaître quoique ce soit à Lisp pour commencer à configurer Emacs, parce que j'ai inclu un fichier <filename>.emacs</filename> d'exemple, qui devrait - suffire au début. Copiez-le simplement dans votre + suffire au début. Copiez-le simplement dans votre répertoire utilisateur et relancez Emacs, s'il s'exécute déjà; il lira les commandes du fichier et (je - l'espère) vous fournira une configuration de base utile.</para> + l'espère) vous fournira une configuration de base utile.</para> </sect2> <sect2> <title>Un exemple de fichier <filename>.emacs</filename></title> @@ -1546,43 +1546,43 @@ else if (pid == 0) { commentaire et est ignoré par Emacs.</para> </listitem> <listitem> - <para>La première ligne, - <literal>-*- Emacs-Lisp -*-</literal> permet - d'éditer le fichier <filename>.emacs</filename> - lui-même sous Emacs et de profiter de toutes les + <para>La première ligne, + <literal>-*- Emacs-Lisp -*-</literal> permet + d'éditer le fichier <filename>.emacs</filename> + lui-même sous Emacs et de profiter de toutes les fonctionnalitées liées à l'édition de code Emacs Lisp. Emacs tente habituellement de deviner le type de - fichier en fonction de son nom, mais risque de ne pas y arriver + fichier en fonction de son nom, mais risque de ne pas y arriver pour le fichier <filename>.emacs</filename>.</para> </listitem> <listitem> - <para>La touche <keysym>Tab</keysym> est utilisée pour + <para>La touche <keysym>Tab</keysym> est utilisée pour l'indentation dans certains modes, de sorte que si vous appuyez sur cette touche cela indente la ligne de code courante. Si vous voulez mettre un caractère <token>tabulation</token> dans votre texte, enfoncer la touche <keysym>Ctrl</keysym> en - même temps que vous appuyez sur + même temps que vous appuyez sur <keysym>Tab</keysym>.</para> </listitem> <listitem> - <para>Ce fichier permet le mise en valeur syntaxique de code C, + <para>Ce fichier permet le mise en valeur syntaxique de code C, C++, Perl, Lisp et Scheme, en déterminant le langage d'après le nom du fichier édité.</para> </listitem> <listitem> - <para>Emacs a déjà une fonction - prédéfinie appelée + <para>Emacs a déjà une fonction + prédéfinie appelée <function>next-error</function> - “<foreignphrase>erreur suivante</foreignphrase>”. Dans la fenêtre de - résultats d'une compilation, cela vous permet d'aller - d'une erreur à la suivante avec <command>M-n</command>; + résultats d'une compilation, cela vous permet d'aller + d'une erreur à la suivante avec <command>M-n</command>; nous définissons la fonction complémentaire <function>previous-error</function> - “<foreignphrase>erreur précédente</foreignphrase>”, qui vous permet de retourner à l'erreur précédente avec <command>M-p</command>. Le plus sympathique est que <command>C-c C-c</command> ouvrira le fichier source où - l'erreur s'est produite et ira à la ligne + l'erreur s'est produite et ira à la ligne concernée.</para> </listitem> <listitem> @@ -1608,7 +1608,7 @@ else if (pid == 0) { ;; Ce fichier est conçu pour être relu; la variable ;; first-time est utilisée pour éviter les problèmes ;; que cela pourra poser. -(defvar first-time t +(defvar first-time t "Indicateur signifiant que le fichier .emacs est lu pour la première fois") ;; Méta @@ -1678,7 +1678,7 @@ else if (pid == 0) { (autoload 'ediff-buffers "ediff" "Interface Emacs intelligente pour diff" t) (autoload 'ediff-files "ediff" "Interface Emacs intelligente pour diff" t) (autoload 'ediff-files-remote "ediff" - "Interface Emacs intelligente pour diff") + "Interface Emacs intelligente pour diff") </screen> <screen> @@ -1692,7 +1692,7 @@ else if (pid == 0) { ) auto-mode-alist))) ;; Mise en valeur syntaxique automatique -(defvar font-lock-auto-mode-list +(defvar font-lock-auto-mode-list (list 'c-mode 'c++-mode 'c++-c-mode 'emacs-lisp-mode 'lisp-mode 'perl-mode 'scheme-mode) "Listes des modes à démarrer toujours avec mise en valeur") @@ -1703,7 +1703,7 @@ else if (pid == 0) { (defun font-lock-auto-mode-select () "Sélectionne automatiquement type de mise en valeur si le major mode courant est dans font-lock-auto-mode-list" - (if (memq major-mode font-lock-auto-mode-list) + (if (memq major-mode font-lock-auto-mode-list) (progn (font-lock-mode t)) ) @@ -1716,15 +1716,15 @@ else if (pid == 0) { (setq dabbrev-always-check-other-buffers t) (setq dabbrev-abbrev-char-regexp "\\sw\\|\\s_") (add-hook 'emacs-lisp-mode-hook - '(lambda () + '(lambda () (set (make-local-variable 'dabbrev-case-fold-search) nil) (set (make-local-variable 'dabbrev-case-replace) nil))) (add-hook 'c-mode-hook - '(lambda () + '(lambda () (set (make-local-variable 'dabbrev-case-fold-search) nil) (set (make-local-variable 'dabbrev-case-replace) nil))) (add-hook 'text-mode-hook - '(lambda () + '(lambda () (set (make-local-variable 'dabbrev-case-fold-search) t) (set (make-local-variable 'dabbrev-case-replace) t))) @@ -1838,7 +1838,7 @@ else if (pid == 0) { (progn ;; (global-set-key [M-f1] 'hilit-repaint-command) ;; (global-set-key [M-f2] [?\C-u M-f1]) - (setq hilit-mode-enable-list + (setq hilit-mode-enable-list '(not text-mode c-mode c++-mode emacs-lisp-mode lisp-mode scheme-mode) hilit-auto-highlight nil @@ -1850,7 +1850,7 @@ else if (pid == 0) { (setq baud-rate 2400) ; Pour les connections série lentes ) -;; Terminal type TTY +;; Terminal type TTY (if (and (not window-system) (not (equal system-type 'ms-dos))) (progn @@ -1891,36 +1891,36 @@ else if (pid == 0) { </example> </sect2> <sect2> - <title>Permettre à Emacs de comprendre de nouveaux + <title>Permettre à Emacs de comprendre de nouveaux langages</title> <para>Bon, tout cela est très bien si vous ne voulez programmer qu'avec les langages déjà introduits dans le fichier <filename>.emacs</filename> (C, C++, Perl, Lisp et Scheme), mais que se - passe-t-il quand un nouveau langage appelé + passe-t-il quand un nouveau langage appelé “whizbang” fait son apparition, avec plein de nouvelles fonctionnalités attrayantes?</para> - <para>La première chose à faire est de regarder si whizbang + <para>La première chose à faire est de regarder si whizbang s'accompagne de fichiers de configuration d'Emacs pour ce langage. - Ces fichiers ont généralement comme extension + Ces fichiers ont généralement comme extension <filename>.el</filename>, raccourci pour “Emacs Lisp”. Par exemple, si whizbang est un logiciel porté pour FreeBSD, ces fichiers peuvent être repérés par: <screen>&prompt.user; <userinput>find /usr/ports/lang/whizbang -name "*.el" -print</userinput></screen> - et il faut les installer en le copiant dans le répertoire du - “site Lisp” d'Emacs. Sous FreeBSD 2.1.0-RELEASE, c'est le + et il faut les installer en le copiant dans le répertoire du + “site Lisp” d'Emacs. Sous FreeBSD 2.1.0-RELEASE, c'est le répertoire <filename>/usr/local/share/emacs/site-lisp</filename>.</para> - <para>Ainsi par exemple, si la commande précédente nous + <para>Ainsi par exemple, si la commande précédente nous donnait: <screen>/usr/ports/lang/whizbang/work/misc/whizbang.el</screen> nous le copierions alors comme suit: <screen>&prompt.user; <userinput>cp /usr/ports/lang/whizbang/work/misc/whizbang.el /usr/local/share/emacs/site-lisp</userinput></screen> </para> - <para>Décidons ensuite de l'extension que doivent avoir les + <para>Décidons ensuite de l'extension que doivent avoir les fichiers source whizbang. Supposons, pour les besoins de l'exemple, qu'ils se terminent tous par <filename>.wiz</filename>. Il faut ajouter une entrée à notre fichier <filename>.emacs</filename>, - pour être sûr qu'Emacs puisse utiliser les informations du + pour être sûr qu'Emacs puisse utiliser les informations du fichier <filename>whizbang.el</filename>.</para> <para>Recherchons l'entrée <symbol>auto-mode-alist</symbol> dans <filename>.emacs</filename> et ajoutons une ligne pour whizbang, par @@ -1931,16 +1931,16 @@ else if (pid == 0) { ("\\.wiz$" . whizbang-mode) ("\\.scm$" . scheme-mode) <lineannotation>…</lineannotation> - </programlisting> - Cela signifie qu'Emacs passera automatiquement en + </programlisting> + Cela signifie qu'Emacs passera automatiquement en <function>whizbang-mode</function> à l'édition d'un fichier d'extension <filename>.wiz</filename>.</para> - <para>Juste après, il y a une entrée + <para>Juste après, il y a une entrée <symbol>font-lock-auto-mode-list</symbol>. Ajoutez-y <function>whizbang-mode</function> comme ceci: <programlisting> ;; Auto font-lock-mode -(defvar font-lock-auto-mode-list +(defvar font-lock-auto-mode-list (list 'c-mode 'c++-mode 'c++-c-mode 'emacs-lisp-mode 'whizbang-mode 'lisp-mode 'perl-mode 'scheme-mode) "Listes des modes à démarrer toujours en font-lock-mode") </programlisting> @@ -1948,7 +1948,7 @@ else if (pid == 0) { <function>font-lock-mode</function> (i.e., la mise en valeur syntaxique) à l'édition d'un fichier <filename>.wiz</filename>.</para> - <para>Cela suffit. S'il y a autre chose que vous voulez automatiser + <para>Cela suffit. S'il y a autre chose que vous voulez automatiser à l'ouverture d'un fichier <filename>.wiz</filename>, vous pouvez ajouter un <function>whizbang-mode hook</function> (voyez mon <function>my-scheme-mode-hook</function> pour avoir un exemple simple @@ -1960,36 +1960,36 @@ else if (pid == 0) { <title>A lire pour aller plus loin</title> <itemizedlist> <listitem> - <para>Brian Harvey et Matthew Wright <emphasis>Simply + <para>Brian Harvey et Matthew Wright <emphasis>Simply Scheme</emphasis> MIT 1994.<!-- <br> --> ISBN 0-262-08226-8</para> </listitem> <listitem> - <para>Randall Schwartz <emphasis>Learning Perl</emphasis> O'Reilly + <para>Randall Schwartz <emphasis>Learning Perl</emphasis> O'Reilly 1993<!-- <br> --> ISBN 1-56592-042-2</para> </listitem> <listitem> <para>Patrick Henry Winston et Berthold Klaus Paul Horn - <emphasis>Lisp (3rd Edition)</emphasis> Addison-Wesley + <emphasis>Lisp (3rd Edition)</emphasis> Addison-Wesley 1989<!-- <br> --> ISBN 0-201-08319-1</para> </listitem> <listitem> - <para>Brian W. Kernighan et Rob Pike <emphasis>The Unix Programming - Environment</emphasis> Prentice-Hall 1984<!-- <br> --> ISBN + <para>Brian W. Kernighan et Rob Pike <emphasis>The Unix Programming + Environment</emphasis> Prentice-Hall 1984<!-- <br> --> ISBN 0-13-937681-X</para> </listitem> <listitem> - <para>Brian W. Kernighan et Dennis M. Ritchie <emphasis>The C - Programming Language (2nd Edition)</emphasis> Prentice-Hall + <para>Brian W. Kernighan et Dennis M. Ritchie <emphasis>The C + Programming Language (2nd Edition)</emphasis> Prentice-Hall 1988<!-- <br> --> ISBN 0-13-110362-8</para> </listitem> <listitem> - <para>Bjarne Stroustrup <emphasis>The C++ Programming - Language</emphasis> Addison-Wesley 1991<!-- <br> --> ISBN + <para>Bjarne Stroustrup <emphasis>The C++ Programming + Language</emphasis> Addison-Wesley 1991<!-- <br> --> ISBN 0-201-53992-6</para> </listitem> <listitem> - <para>W. Richard Stevens <emphasis>Advanced Programming in the Unix - Environment</emphasis> Addison-Wesley 1992<!-- <br> --> ISBN + <para>W. Richard Stevens <emphasis>Advanced Programming in the Unix + Environment</emphasis> Addison-Wesley 1992<!-- <br> --> ISBN 0-201-56317-7</para> </listitem> <listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/Makefile index bf8ac1964c..91a81f97bd 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/Makefile @@ -1,4 +1,4 @@ -# +# # The FreeBSD Documentation Project # The FreeBSD French Documentation Project # diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/article.sgml index eee1bfa4e8..0065c1c847 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng-packages/article.sgml @@ -52,8 +52,8 @@ </abstract> </articleinfo> - - <!-- Introduction + + <!-- Introduction <sect1 id="introduction"> <title>Introduction</title> @@ -74,7 +74,7 @@ catalogue des logiciels portés qui peut être utilisé pour la création des logiciels binaires pré-compilés qui accompagnent une version donnée de FreeBSD.</para> - + <sect2> <title>La “grappe de machines” pour les logiciels portés</title> @@ -98,7 +98,7 @@ de logiciels pré-compilés qui pourraient fonctionner sur certains systèmes et pas sur d'autres en fonction du logiciel qui fut précédemment installé.</para> - + <para>La “grappe de machines pour les logiciels portés” destinée à l'architecture x86 consiste actuellement en un noeud maître (un @@ -111,7 +111,7 @@ équipements du Projet FreeBSD au centre Yahoo “corner of Exodus” à Santa Clara en Californie.</para> - + <para>La “grappe de machines pour les logiciels portés” destinée à l'architecture Alpha se compose de 7 machines PWS 500A données par diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng/Makefile index d529f66d67..0117c9702d 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/releng/Makefile @@ -1,4 +1,4 @@ -# +# # The FreeBSD Documentation Project # The FreeBSD French Documentation Project # diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/articles/zip-drive/article.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/articles/zip-drive/article.sgml index 94d93ba242..ad9b8a3d57 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/articles/zip-drive/article.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/articles/zip-drive/article.sgml @@ -13,7 +13,7 @@ Version française : Michel Boucey Original revision: n.nn ---> +--> <article lang="fr"> <articleinfo> @@ -23,7 +23,7 @@ <author> <firstname>Jason</firstname> <surname>Bacon</surname> - + <affiliation> <address><email>acadix@execpc.com</email></address> </affiliation> @@ -43,10 +43,10 @@ <sect1> <title>Les bases au sujet des lecteurs ZIP</title> - <para>Les disques ZIP sont des disques magnétiques amovibles de grande - capacité, accessibles en lecture et en écriture par les lecteurs ZIP de - marque IOMEGA. Les disques ZIP sont similaires aux disquettes, en - étant cependant bien plus rapides et en ayant une capacité bien + <para>Les disques ZIP sont des disques magnétiques amovibles de grande + capacité, accessibles en lecture et en écriture par les lecteurs ZIP de + marque IOMEGA. Les disques ZIP sont similaires aux disquettes, en + étant cependant bien plus rapides et en ayant une capacité bien supérieure. Alors qu'une disquette comporte typiquement 1.44 Mo, les disques ZIP sont disponibles en deux capacités, à savoir 100 Mo et 250 Mo. Les lecteurs ZIP ne doivent pas être confondus avec @@ -54,106 +54,106 @@ qui accepte aussi les traditionnelles disquettes de 1.44 Mo de capacité.</para> - <para>IOMEGA vends aussi un lecteur à la capacité et aux performances + <para>IOMEGA vends aussi un lecteur à la capacité et aux performances supérieurs appelé JAZZ. Les lecteurs JAZZ sont livrés en 1 Go et 2 Go de capacité.</para> - <para>Les lecteurs ZIP sont disponibles en unité interne ou externe, + <para>Les lecteurs ZIP sont disponibles en unité interne ou externe, utilisant l'une des trois interfaces suivantes :</para> - + <orderedlist> <listitem> - <para>L'interface SCSI (Small Computer Standard Interface) est - l'interface la plus rapide, la plus sophistiquée, la plus extensible, - et la plus chère. L'interface SCSI est utilisée sur tous types - d'ordinateur, du PC à la station de travail RISC, jusqu'aux + <para>L'interface SCSI (Small Computer Standard Interface) est + l'interface la plus rapide, la plus sophistiquée, la plus extensible, + et la plus chère. L'interface SCSI est utilisée sur tous types + d'ordinateur, du PC à la station de travail RISC, jusqu'aux mini-ordinateurs, pour connecter tous types de périphériques tels que lecteurs de disque, lecteurs de bande, scanners, etc. - Les lecteurs ZIP SCSI peuvent être internes ou externes, étant - entendu que votre adaptateur SCSI possède un connecteur + Les lecteurs ZIP SCSI peuvent être internes ou externes, étant + entendu que votre adaptateur SCSI possède un connecteur externe.</para> - + <note> - <para>Si vous utilisez un matériel SCSI externe, il est important - de ne jamais le connecter ni le déconnecter tout pendant - que l'ordinateur est en fonctionnement. Faire ceci risque de + <para>Si vous utilisez un matériel SCSI externe, il est important + de ne jamais le connecter ni le déconnecter tout pendant + que l'ordinateur est en fonctionnement. Faire ceci risque de causer des dommages aux systèmes de fichiers sur les disques en cours de connection.</para> </note> - - <para>Si vous souhaitez le maximum de performance et la plus grande - facilité d'installation, l'interface SCSI est le meilleur choix. Cela - demandera certainement l'adjonction d'un adaptateur SCSI, puisque la - majorité des PC (exception faite des serveurs hautes performances) - ne comportent pas d'origine de support SCSI. Chaque adaptateur peut + + <para>Si vous souhaitez le maximum de performance et la plus grande + facilité d'installation, l'interface SCSI est le meilleur choix. Cela + demandera certainement l'adjonction d'un adaptateur SCSI, puisque la + majorité des PC (exception faite des serveurs hautes performances) + ne comportent pas d'origine de support SCSI. Chaque adaptateur peut prendre en charge 7 ou 15 périphériques SCSI, selon le modèle.</para> - - <para>Chaque périphérique SCSI a son propre contrôleur, et ces - contrôleurs sont assez intelligents et bien standardisés (le - second `S' de SCSI est l'abréviation de Standard), ce qui signifie - , du point de vue du système d'exploitation, que tous les lecteurs de - disques SCSI sont quasiment identiques, ceci vaut aussi pour les - lecteurs de bandes, etc. Pour prendre en charge du matériel SCSI, le - système d'exploitation n'a besoin que d'un pilote (driver) propre à - l'adaptateur utilisé, et un pilote générique propre à chaque type de - matériel, à savoir un pilote pour disque SCSI, un pilote pour lecteur - de bande, et ainsi de suite. Il y a certains matériels SCSI qui - peuvent être mieux utilisés grâce à des pilotes spécialisés (comme par - exemple les lecteurs DAT), mais, généralement, ils fonctionnent bien + + <para>Chaque périphérique SCSI a son propre contrôleur, et ces + contrôleurs sont assez intelligents et bien standardisés (le + second `S' de SCSI est l'abréviation de Standard), ce qui signifie + , du point de vue du système d'exploitation, que tous les lecteurs de + disques SCSI sont quasiment identiques, ceci vaut aussi pour les + lecteurs de bandes, etc. Pour prendre en charge du matériel SCSI, le + système d'exploitation n'a besoin que d'un pilote (driver) propre à + l'adaptateur utilisé, et un pilote générique propre à chaque type de + matériel, à savoir un pilote pour disque SCSI, un pilote pour lecteur + de bande, et ainsi de suite. Il y a certains matériels SCSI qui + peuvent être mieux utilisés grâce à des pilotes spécialisés (comme par + exemple les lecteurs DAT), mais, généralement, ils fonctionnent bien avec le pilote générique. Il se peut alors que le pilote générique ne prenne pas en compte un certain nombre de caractéristiques spécifiques.</para> - - <para>Utiliser un lecteur ZIP SCSI consiste simplement à déterminer - quel fichier matériel dans le répertoire <filename>/dev</filename> - représente le lecteur ZIP. Pour ce faire, on peut observer les messages lors - de l'amorçage de BSD (ou dans <filename>/var/log/messages</filename> après le + + <para>Utiliser un lecteur ZIP SCSI consiste simplement à déterminer + quel fichier matériel dans le répertoire <filename>/dev</filename> + représente le lecteur ZIP. Pour ce faire, on peut observer les messages lors + de l'amorçage de BSD (ou dans <filename>/var/log/messages</filename> après le démarrage), où vous verrez une ligne ressemblant fort à ceci:</para> - + <programlisting>da1: <IOMEGA ZIP 100 D.13> Removable Direct Access SCSI-2 Device</programlisting> - <para>Cela signifie que le lecteur ZIP est représenté par le fichier + <para>Cela signifie que le lecteur ZIP est représenté par le fichier <filename>/dev/da1</filename>.</para> </listitem> <listitem> - <para>L'interface IDE (Integrated Drive Electronics) est une interface - de lecteur de disque bon marché utilisée pour les ordinateurs de bureau. + <para>L'interface IDE (Integrated Drive Electronics) est une interface + de lecteur de disque bon marché utilisée pour les ordinateurs de bureau. La plus grande partie des matériels IDE est strictement interne.</para> - <para>Les performances des lecteurs ZIP IDE sont comparables à celles des - lecteurs ZIP SCSI (l'interface IDE n'est pas aussi rapide que l'interface - SCSI, mais les performances des lecteurs ZIP sont limitées essentiellement + <para>Les performances des lecteurs ZIP IDE sont comparables à celles des + lecteurs ZIP SCSI (l'interface IDE n'est pas aussi rapide que l'interface + SCSI, mais les performances des lecteurs ZIP sont limitées essentiellement par leur mécanique, non pas à cause du bus SCSI).</para> - + <para>L'inconvénient de l'interface IDE sont les limites qu'elle impose. - La plupart des adaptateurs IDE ne peuvent prendre en charge que deux - périphériques, et ne sont en général pas conçues pour le long terme. Par - exemple, l'interface originelle IDE ne prend pas en charge les disques durs - comportant plus de 1024 cylindres, ce qui oblige de nombreuses personnes à - mettre à jour prématurément leurs équipements. Si vous prévoyez d'étendre - votre PC par l'adjonction d'un nouveau disque dur, d'un lecteur de bande, - ou d'un scanner, vous pouvez investir dans un adaptateur SCSI et ZIP SCSI + La plupart des adaptateurs IDE ne peuvent prendre en charge que deux + périphériques, et ne sont en général pas conçues pour le long terme. Par + exemple, l'interface originelle IDE ne prend pas en charge les disques durs + comportant plus de 1024 cylindres, ce qui oblige de nombreuses personnes à + mettre à jour prématurément leurs équipements. Si vous prévoyez d'étendre + votre PC par l'adjonction d'un nouveau disque dur, d'un lecteur de bande, + ou d'un scanner, vous pouvez investir dans un adaptateur SCSI et ZIP SCSI afin d'éviter des problèmes dans le futur.</para> <para>Les périphériques IDE sous FreeBSD sont préfixés par un <literal>w</literal>. - Par exemple, un disque dur IDE peut être <filename>/dev/wd0</filename>, - un lecteur de CDROM IDE (ATAPI) peut être <filename>/dev/wcd1</filename>, + Par exemple, un disque dur IDE peut être <filename>/dev/wd0</filename>, + un lecteur de CDROM IDE (ATAPI) peut être <filename>/dev/wcd1</filename>, et ainsi de suite.</para> </listitem> <listitem> - <para>L'interface port parallèle est populaire grâce aux périphériques externes - portables tels que lecteurs ZIP externes, scanners, parce que potentiellement - chaque ordinateur possède un port parallèle standard (habituellement utilisé - pour les imprimantes). Ceci rend aisé pour tout un chacun le transfert de données + <para>L'interface port parallèle est populaire grâce aux périphériques externes + portables tels que lecteurs ZIP externes, scanners, parce que potentiellement + chaque ordinateur possède un port parallèle standard (habituellement utilisé + pour les imprimantes). Ceci rend aisé pour tout un chacun le transfert de données entre ordinateurs par simple le transport de ces lecteurs ZIP.</para> - <para>Les performances seront en général moindre qu'avec un lecteur ZIP ou IDE, - du fait de la vitesse limitée du port parallèle. Cette vitesse varie + <para>Les performances seront en général moindre qu'avec un lecteur ZIP ou IDE, + du fait de la vitesse limitée du port parallèle. Cette vitesse varie considérablement d'un ordinateur à l'autre, et peut souvent être configurée - à partir du système BIOS. Certaines machines demanderont une configuration du - BIOS pour pouvoir faire fonctionner le port parallèle en mode bidirectionnel - (Les ports parallèles ont seulement été conçus à l'origine pour fournir des + à partir du système BIOS. Certaines machines demanderont une configuration du + BIOS pour pouvoir faire fonctionner le port parallèle en mode bidirectionnel + (Les ports parallèles ont seulement été conçus à l'origine pour fournir des données sortantes vers les imprimantes)</para> </listitem> </orderedlist> @@ -162,44 +162,44 @@ <sect1> <title>ZIP parallèle : Le pilote <devicename>vpo</devicename></title> - <para>Pour utiliser un lecteur ZIP port parallèle sous FreeBSD, le pilote - <devicename>vpo</devicename> doit être configuré dans le noyau. Les lecteurs - ZIP port parallèle ont aussi un contrôleur SCSI intégré. Le pilote vpo autorise - le noyau FreeBSD à communiquer avec le contrôleur SCSI du lecteur ZIP au travers + <para>Pour utiliser un lecteur ZIP port parallèle sous FreeBSD, le pilote + <devicename>vpo</devicename> doit être configuré dans le noyau. Les lecteurs + ZIP port parallèle ont aussi un contrôleur SCSI intégré. Le pilote vpo autorise + le noyau FreeBSD à communiquer avec le contrôleur SCSI du lecteur ZIP au travers du port parallèle.</para> - - <para>Depuis que le pilote vpo ne fait plus parti du noyau en standard (au - moins pour FreeBSD 3.2), vous avez à reconstruire le noyau afin de rendre - accessible ce périphérique. La démarche de reconstruction d'un noyau est indiquée - en détails dans une autre section. Les étapes suivantes indiquent brièvement + + <para>Depuis que le pilote vpo ne fait plus parti du noyau en standard (au + moins pour FreeBSD 3.2), vous avez à reconstruire le noyau afin de rendre + accessible ce périphérique. La démarche de reconstruction d'un noyau est indiquée + en détails dans une autre section. Les étapes suivantes indiquent brièvement la démarche à suivre afin de mettre en état de marche le pilote vpo:</para> - + <orderedlist> <listitem> - <para>Lancer <command>/stand/sysinstall</command>, et installer les sources + <para>Lancer <command>/stand/sysinstall</command>, et installer les sources du noyau sur votre système.</para> <screen>&prompt.root; <userinput>cd /sys/i386/conf</userinput> &prompt.root; <userinput>cp GENERIC MYKERNEL</userinput></screen> - <para>Editer <filename>MYKERNEL</filename>, changer la ligne - <literal>ident</literal> en <literal>MYKERNEL</literal>, et décommenter + <para>Editer <filename>MYKERNEL</filename>, changer la ligne + <literal>ident</literal> en <literal>MYKERNEL</literal>, et décommenter la ligne décrivant le pilote vpo.</para> - - <para>Si vous possédez un second port parallèle, vous pourriez avoir besoin - de copier la section dédiée à <literal>ppc0</literal> pour créer le - périphérique <literal>ppc1</literal>. Le second port parallèle utilise - généralement l'IRQ 5 et l'adresse 378. Seul l'IRQ est requise pour le + + <para>Si vous possédez un second port parallèle, vous pourriez avoir besoin + de copier la section dédiée à <literal>ppc0</literal> pour créer le + périphérique <literal>ppc1</literal>. Le second port parallèle utilise + généralement l'IRQ 5 et l'adresse 378. Seul l'IRQ est requise pour le fichier de configuration.</para> - <para>Si votre disque dur est un SCSI, vous courez au devant d'un problème - dans l'ordre de la détection des périphériques, qui entraînera le système - à tenter d'utiliser le lecteur ZIP en tant que périphérique racine. Le démarrage - échouera alors, à moins que vous ayez installé un système de fichiers racine + <para>Si votre disque dur est un SCSI, vous courez au devant d'un problème + dans l'ordre de la détection des périphériques, qui entraînera le système + à tenter d'utiliser le lecteur ZIP en tant que périphérique racine. Le démarrage + échouera alors, à moins que vous ayez installé un système de fichiers racine sur le disque ZIP! Dans ce cas, vous aurez besoin de forcer le noyau à lier le disque SCSI racine à <filename>/dev/da0</filename>, à savoir le disque SCSI racine. Cela assignera alors le disque ZIP au prochain disque SCSI disponible, - à savoir <literal>/dev/da1</literal>. Pour forcer votre disque dur SCSI en + à savoir <literal>/dev/da1</literal>. Pour forcer votre disque dur SCSI en <literal>da0</literal>, changer la ligne <programlisting>device da0</programlisting> @@ -212,24 +212,24 @@ l' ID SCSI de votre disque dur. Vous devrez aussi forcer l'entrée scbus0 afin de l'ajuster à votre contrôleur. Par exemple, si vous avez un contrôleur 15xx de chez Adaptec, vous changerez - + <programlisting>controller scbus0</programlisting> en <programlisting>controller scbus0 at aha0</programlisting></para> - <para>En dernier lieu, puisque vous êtes en train d'éditer le fichier de - configuration du noyau, profitez-en pour ôter tous les pilotes inutiles. - Cela doit être fait avec de grandes précautions, et seulement si vous avez - assez confiance en vous en ce qui concerne les modifications du noyau. Ôter - les pilotes inutiles réduira la taille du noyau, laissant plus de mémoire disponible - à vos applications. Afin de déterminer les pilotes qui ne sont pas nécessaires, - allez à la fin du fichier <filename>/var/log/messages</filename>, et recherchez - les lignes comportant "not found" (non trouvé). Commenter alors ces périphériques - dans votre fichier de configuration (par un # en tête de ligne). Vous pouvez aussi - changer d'autres options afin de réduire la taille et d'accroître la rapidité de - votre noyau. Lisez la section concernant la reconstruction du noyau pour de + <para>En dernier lieu, puisque vous êtes en train d'éditer le fichier de + configuration du noyau, profitez-en pour ôter tous les pilotes inutiles. + Cela doit être fait avec de grandes précautions, et seulement si vous avez + assez confiance en vous en ce qui concerne les modifications du noyau. Ôter + les pilotes inutiles réduira la taille du noyau, laissant plus de mémoire disponible + à vos applications. Afin de déterminer les pilotes qui ne sont pas nécessaires, + allez à la fin du fichier <filename>/var/log/messages</filename>, et recherchez + les lignes comportant "not found" (non trouvé). Commenter alors ces périphériques + dans votre fichier de configuration (par un # en tête de ligne). Vous pouvez aussi + changer d'autres options afin de réduire la taille et d'accroître la rapidité de + votre noyau. Lisez la section concernant la reconstruction du noyau pour de plus amples informations.</para> </listitem> @@ -237,44 +237,44 @@ <para>Il est maintenant temps de compiler le noyau:</para> <screen>&prompt.root; <userinput>/usr/sbin/config MYKERNEL</userinput> -&prompt.root; <userinput>cd ../../compile/MYKERNEL</userinput> +&prompt.root; <userinput>cd ../../compile/MYKERNEL</userinput> &prompt.root; <userinput>make clean depend && make all install</userinput></screen> </listitem> </orderedlist> - - <para>Après le reconstruction du noyau, vous devez redémarrer. Assurez-vous - que le lecteur ZIP est connecté au port parallèle avant que le démarrage ne - commence. Vous devriez voir apparaître le lecteur ZIP parmi les messages de - démarrage en tant que périphérique vp0 ou vp1, selon le port parallèle auquel - le lecteur est rattaché. Vous devez pouvoir voir aussi à quel fichier - périphérique le lecteur ZIP a été associé. Ce sera <filename>/dev/da0</filename> - si vous n'avez pas d'autre disque SCSI dans le système, ou <filename>/dev/da1</filename> + + <para>Après le reconstruction du noyau, vous devez redémarrer. Assurez-vous + que le lecteur ZIP est connecté au port parallèle avant que le démarrage ne + commence. Vous devriez voir apparaître le lecteur ZIP parmi les messages de + démarrage en tant que périphérique vp0 ou vp1, selon le port parallèle auquel + le lecteur est rattaché. Vous devez pouvoir voir aussi à quel fichier + périphérique le lecteur ZIP a été associé. Ce sera <filename>/dev/da0</filename> + si vous n'avez pas d'autre disque SCSI dans le système, ou <filename>/dev/da1</filename> si vous avez un disque dur SCSI à la racine de votre système.</para> </sect1> <sect1> <title>Monter les disques ZIP</title> - <para>Pour accéder à un disque ZIP, vous avez simplement à le monter, comme - n'importe quel autre périphérique. Le système de fichiers est représenté - par la quatrième tranche sur le périphérique, que ce soit pour un disque ZIP + <para>Pour accéder à un disque ZIP, vous avez simplement à le monter, comme + n'importe quel autre périphérique. Le système de fichiers est représenté + par la quatrième tranche sur le périphérique, que ce soit pour un disque ZIP en SCSI ou en parallèle, vous devriez faire:</para> - + <screen>&prompt.root; <userinput>mount_msdos /dev/da1s4 /mnt</userinput></screen> <para>Pour les lecteurs ZIP IDE:</para> - + <screen>&prompt.root; <userinput>mount_msdos /dev/wd1s4 /mnt</userinput></screen> - <para>Cela facilitera aussi les choses de mettre à jour <filename>/etc/fstab</filename> - afin de rendre le montage plus aisé. Ajoutez une ligne telle que la suivante, ajustée + <para>Cela facilitera aussi les choses de mettre à jour <filename>/etc/fstab</filename> + afin de rendre le montage plus aisé. Ajoutez une ligne telle que la suivante, ajustée à votre système: - + <programlisting>/dev/da1s4 /zip msdos rw,noauto 0 0</programlisting> - + et créer le répertoire <filename>/zip</filename>.</para> - - <para>Vous pouvez alors monter simplement en tapant + + <para>Vous pouvez alors monter simplement en tapant <screen>&prompt.root; <userinput>mount /zip</userinput></screen> @@ -282,12 +282,12 @@ <screen>&prompt.root; <userinput>umount /zip</userinput></screen></para> - <para>Pour savoir plus sur le format de <filename>/etc/fstab</filename>, + <para>Pour savoir plus sur le format de <filename>/etc/fstab</filename>, voir &man.fstab.5;.</para> - - <para>Vous pouvez aussi créer un système de fichiers FreeBSD sur un disque - ZIP en utilisant &man.newfs.8;. Cependant, le disque ne sera utilisable - que par un système FreeBSD, et peut-être par quelques clônes Unix + + <para>Vous pouvez aussi créer un système de fichiers FreeBSD sur un disque + ZIP en utilisant &man.newfs.8;. Cependant, le disque ne sera utilisable + que par un système FreeBSD, et peut-être par quelques clônes Unix reconnaissant le système de fichiers FreeBSD (mais certainement pas par DOS ou Windows).</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/Makefile index fa024f4a6a..3579fb6968 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/Makefile @@ -5,11 +5,11 @@ # Compilation du Manuel du Developpeur de FreeBSD # # -# +# # $FreeBSD$ # Original revision: 1.25 # -# +# MAINTAINER=gioria@FreeBSD.org @@ -20,7 +20,7 @@ FORMATS?= html-split INSTALL_COMPRESSED?= gz INSTALL_ONLY_COMPRESSED?= -# +# # SRCS lists the individual SGML files that make up the document. Changes # to any of these files will force a rebuild # diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/chapters.ent b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/chapters.ent index 1e7b62b7f1..54dc7b50cb 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/chapters.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/chapters.ent @@ -2,14 +2,14 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: chapters.ent,v 1.1 2002-02-14 14:25:01 gioria Exp $ Original revision: 1.4 Creates entities for each chapter in the FreeBSD Developer's Handbook. Each entity is named chap.foo, where foo is the value of the id attribute on that chapter, and corresponds to the name of the directory in which that chapter's .sgml file is stored. - + Chapters should be listed in the order in which they are referenced. $FreeBSD$ --> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/locking/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/locking/chapter.sgml index cf513fe3d8..4f594844f7 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/locking/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/locking/chapter.sgml @@ -1,13 +1,13 @@ <?xml version="1.0" encoding="ISO8859-1" standalone="no"?> <!-- The FreeBSD Documentation Project - The FreeBSD French Documentation Project - The FreeBSD SMP Next Generation Project + The FreeBSD French Documentation Project + The FreeBSD SMP Next Generation Project $Id: chapter.sgml,v 1.2 2002-12-11 16:31:20 gioria Exp $ Original revision: 1.3 $FreeBSD$ --> - + <chapter id="locking"> <title>Notes sur le verrouillage</title> @@ -17,8 +17,8 @@ les suggestions à &a.smp;.</emphasis></para> <para>Ce document souligne le verrouillage utilisé dans le noyau FreeBSD - pour permettre d'utiliser du vrai multi-processeur à l'intérieur du noyau. - Le verrouillage peut être réalisé par différents moyens. + pour permettre d'utiliser du vrai multi-processeur à l'intérieur du noyau. + Le verrouillage peut être réalisé par différents moyens. Les structures de données puvent être protégées par des mutex ou &man.lockmgr.9; verrous. Quelques variables sont protégées simplement par l'utilisation continuelle d'opérations atomiques pour y accéder. @@ -37,7 +37,7 @@ pour n'être pris que pendant une courte période. Spécifiquement, le détenteur ne doit pas se suspendre pendant qu'il retient un mutex. Si vous avez besoin de maintenir un verrouillage pendant une suspension, utilisez un &man.lockmgr.9; verrou ("lock").</para> - + <para>Chaque mutex a plusieurs intérêts :</para> <variablelist> @@ -114,7 +114,7 @@ <term>Protégés</term> <listitem> <para>Une liste de structures de données ou des membres de structure de données - que cette entrée protège. Pour les membres de structures de données, + que cette entrée protège. Pour les membres de structures de données, le nom sera de la forme <structname>structure name</structname>.<structfield>member name</structfield>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -130,7 +130,7 @@ <table frame="all" colsep="1" rowsep="1" pgwide="1"> <title>Liste du mutex</title> - + <tgroup cols="5"> <thead> <row> @@ -141,7 +141,7 @@ <entry>Fonctions dépendantes</entry> </row> </thead> - + <!-- The scheduler lock --> <tbody> <row> @@ -275,7 +275,7 @@ <sect1> <title>Les verrous du gestionnaire de verrous (Lock Manager)</title> - <para>Les verrous qui sont fournis par l'interface &man.lockmgr.9; + <para>Les verrous qui sont fournis par l'interface &man.lockmgr.9; sont les verrous du gestionnaire de verrous. Ces verrous sont des verrous lecture-écriture et peuvent être retenus par un process suspendu. </para> @@ -316,8 +316,8 @@ <title>Variables protégées atomiquement</title> <para>Une variable protégée atomiquement est une variable spéciale qui - n'est pas protégé par un verrou explicite. Toutefois, tous les accès de - données aux variables utilisent des opérations atomiques spéciales + n'est pas protégé par un verrou explicite. Toutefois, tous les accès de + données aux variables utilisent des opérations atomiques spéciales comme décrit dans &man.atomic.9;. Très peu de variables sont traitées de cette façon, bien que les autres primitives de synchronisation comme les mutex soient implémentées avec des variables protégées atomiquement.</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/pci/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/pci/chapter.sgml index 7d8c67bb8e..4ffcec4936 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/pci/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/pci/chapter.sgml @@ -2,7 +2,7 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: chapter.sgml,v 1.1 2002-02-14 14:25:02 gioria Exp $ Original revision: 1.3 $FreeBSD$ @@ -19,7 +19,7 @@ <title>Rechercher et rattacher</title> <para>Informations ici sur comment le code du bus PCI fait un cycle - sur les périphériques non rattachés et voir si le nouvellement chargé + sur les périphériques non rattachés et voir si le nouvellement chargé pilote de périphérique chargeable dans le noyau (kld) sera rattaché à l'un d'eux.</para> @@ -33,7 +33,7 @@ #include <sys/types.h> #include <sys/module.h> -#include <sys/systm.h> /* uprintf */ +#include <sys/systm.h> /* uprintf */ #include <sys/errno.h> #include <sys/param.h> /* defines used in kernel.h */ #include <sys/kernel.h> /* types used in module initialization */ @@ -72,10 +72,10 @@ static struct cdevsw mypci_cdevsw = { /* variables */ static dev_t sdev; -/* Nous sommes plus interresses dans la recherche/attachement +/* Nous sommes plus interresses dans la recherche/attachement que dans l'ouverture/fermeture/lecture/ecriture a ce point */ -int +int mypci_open(dev_t dev, int oflags, int devtype, struct proc *p) { int err = 0; @@ -84,14 +84,14 @@ mypci_open(dev_t dev, int oflags, int devtype, struct proc *p) return(err); } -int +int mypci_close(dev_t dev, int fflag, int devtype, struct proc *p) { int err=0; - uprintf("Peripherique \"monpci.\ "ferme\n"); + uprintf("Peripherique \"monpci.\ "ferme\n"); return(err); -} +} int mypci_read(dev_t dev, struct uio *uio, int ioflag) @@ -131,7 +131,7 @@ mypci_probe(device_t dev) return ENXIO; } -/* La fonction Attach n'est appelée que si +/* La fonction Attach n'est appelée que si la recherche est reussie*/ static int @@ -209,7 +209,7 @@ static driver_t mypci_driver = { static devclass_t mypci_devclass; DRIVER_MODULE(mypci, pci, mypci_driver, mypci_devclass, 0, 0);</programlisting> - + <para>Informations complémentaires <itemizedlist> <listitem><simpara><ulink url="http://www.pcisig.org">PCI @@ -226,7 +226,7 @@ DRIVER_MODULE(mypci, pci, mypci_driver, mypci_devclass, 0, 0);</programlisting> <title>Les ressources du bus</title> <para>FreeBSD fournit un mécanisme orienté objet pour demander - des ressources du bus parent. Pratiquement tous les périphériques + des ressources du bus parent. Pratiquement tous les périphériques seront un fils membre d'un type de bus (PCI, ISA, USB, SCSI, etc) et ces périphériques nécessite des ressources issues de leur bus parent (comme des segments de mémoire, des interruptions or des canaux DMA).</para> @@ -237,7 +237,7 @@ DRIVER_MODULE(mypci, pci, mypci_driver, mypci_devclass, 0, 0);</programlisting> <para>Pour faire de particulièrement utile avec un périphérique PCI, vous aurez besoin d'obtenir les <emphasis>registres d'adresse de base</emphasis> (Base Address Registers ou BARs) de l'espace de configuration PCI. - Les détails spécifiques au PCI sur l'obtention du registre d'adresse de base + Les détails spécifiques au PCI sur l'obtention du registre d'adresse de base sont masqués dans la fonction <function>bus_alloc_resource()</function>.</para> <para>Par exemple, un pilote typique aura sa fonction <function>attach()</function> @@ -267,11 +267,11 @@ DRIVER_MODULE(mypci, pci, mypci_driver, mypci_devclass, 0, 0);</programlisting> </programlisting> - <para>Des références pour chaque registre d'adresse de base sont gardées + <para>Des références pour chaque registre d'adresse de base sont gardées dans la structure <structname>softc</structname> afin qu'elle puisse être utilisée pour écrire dans le périphérique plus tard.</para> - <para>Ces références peuvent alors être utilisées pour lire ou écrire + <para>Ces références peuvent alors être utilisées pour lire ou écrire dans les registres du périphérique avec les fonctions <function>bus_space_*</function>. Par exemple, un pilote peut contenir une fonction raccourci pour lire dans un registre spécifique à une carte comme cela : @@ -301,11 +301,11 @@ board_write(struct ni_softc *sc, uint16_t address, uint16_t value) { <title>Les interruptions</title> <para>Les interruptions sont alloués à partir du code orienté objet du - bus de façon similaire aux ressources mémoire. D'abord une ressource + bus de façon similaire aux ressources mémoire. D'abord une ressource IRQ doit être allouée à partir du bus parent, et alors le gestionnaire d'interruption doit être règlé pour traiter cet IRQ.</para> - <para>A nouveau, un exemple de fonction + <para>A nouveau, un exemple de fonction <function>attach()</function> en dit plusqu'un long discours.</para> <programlisting>/* Recupere la ressource IRQ */ @@ -336,12 +336,12 @@ board_write(struct ni_softc *sc, uint16_t address, uint16_t value) { <sect2> <title>DMA</title> - <para>Sur les PC, les périphériques qui veulent utiliser la gestion de - bus DMA doivent travailler avec des adresses physiques. C'est un problème - puisque FreeBSD utilise une mémoire virtuelle et travaille presque + <para>Sur les PC, les périphériques qui veulent utiliser la gestion de + bus DMA doivent travailler avec des adresses physiques. C'est un problème + puisque FreeBSD utilise une mémoire virtuelle et travaille presque exclusivement avec des adresses virtuelles. Heureusement, il y a une fonction <function>vtophys()</function> pour nous aider.</para> - + <programlisting>#include <vm/vm.h> #include <vm/pmap.h> @@ -367,7 +367,7 @@ board_write(struct ni_softc *sc, uint16_t address, uint16_t value) { <para>Il est très important de désallouer toutes les ressources qui furent allouées pendant <function>attach()</function>. Unsoin tout particulier doit être pris pour désallouer - les bonnes choses même lors d'un échec afin que le système reste + les bonnes choses même lors d'un échec afin que le système reste utilisable lorsque votre driver meurt.</para> </sect2> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/scsi/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/scsi/chapter.sgml index 33c724ac59..92c9266bee 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/scsi/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/scsi/chapter.sgml @@ -2,15 +2,15 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: chapter.sgml,v 1.1 2002-02-14 14:25:02 gioria Exp $ Original revision: 1.3 $FreeBSD$ --> <chapter id="scsi"> - - <title>Contrôleurs SCSI Common Access Method (CAM) **</title> + + <title>Contrôleurs SCSI Common Access Method (CAM) **</title> <sect1><title>En cours de traduction</title> <para>En cours de traduction</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/secure/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/secure/chapter.sgml index 0268a2e244..272c1899cf 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/secure/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/secure/chapter.sgml @@ -2,7 +2,7 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: chapter.sgml,v 1.1 2002-02-14 14:25:02 gioria Exp $ Original revision: 1.3 $FreeBSD$ @@ -15,7 +15,7 @@ <para>Ce chapître a été écrit par Murray Stokely.</para> <sect1><title>Synopsis</title> - + <para>Ce chapître décrit quelques problèmes de sécurité qui ont tourmenté les programmeurs Unix depuis des dizaines d'années et quelques uns des nouveaux outils disponibles pour aider @@ -28,7 +28,7 @@ <para>Ecrire des applications sécurisées demande une très minutieuse et pessimiste vision de la vie. Les applications devrait fonctionner - avec le principe du <quote>privilège moindre</quote> de façon à ce + avec le principe du <quote>privilège moindre</quote> de façon à ce qu'aucun processus ne fonctionne avec plus que le strict minimum dont il a besoin pour accomplir sa tâche. Le code pré-testé devrait être réutilisé autant que possible pour éviter les erreurs communes que @@ -39,49 +39,49 @@ Les applications ne devraient jamais avoir confiance dans la saisie de l'utilisateur (sous toutes ses formes), les ressources système, la communication inter-processus, ou l'enchaînement - des évènements. Les processus Unix n'exécutent pas de manière synchrone + des évènements. Les processus Unix n'exécutent pas de manière synchrone aussi, logiquement, les opérations sont rarement atomiques.</para> </sect1> - <sect1><title>Dépassement de capacité</title> + <sect1><title>Dépassement de capacité</title> <para>Les dépassements de capacité ("Buffer Overflows") existent depuis les débuts de l'architecture de Von-Neuman <xref linkend="COD"/>. Ils gagnèrent une grande notoriété en 1988 avec le ver pour Internet de Morris. Malheureusement, la même attaque basique reste effective aujourd'hui. Des 17 rapports de sécurité du CERT de 1999, 10 - furent causés directement des bogues logiciels de dépassement de + furent causés directement des bogues logiciels de dépassement de capacité. De loin la plus commune de types d'attaques par dépassement de capacité est basée sur la corruption de la pile.</para> - <para>La plupart des systèmes informatiques modernes utilise une pile + <para>La plupart des systèmes informatiques modernes utilise une pile pour passer les arguments aux procédures et stocker les variables locales Une pile est une zone mémoire dernier entré-premier sorti (Last In-First - Out : LIFO) dans la zone de mémoire haute de l'image d'un processus. - Quand un programme invoque une fonction une nouvelle structure pile est - créée. Cette structure pile consiste dans les arguments passés à la + Out : LIFO) dans la zone de mémoire haute de l'image d'un processus. + Quand un programme invoque une fonction une nouvelle structure pile est + créée. Cette structure pile consiste dans les arguments passés à la fonction aussi bien que dans une quantité dynamique d'espace pour la variable locale. Le pointeur de pile est un registre qui référence la position courante du sommet de la pile. Etant donné que cette valeur - change constamment au fur et à mesure que de nouvelles valeurs sont + change constamment au fur et à mesure que de nouvelles valeurs sont ajoutées au sommet de la pile, beaucoup d'implémentations fournissent aussi un pointeur de structure qui est positionné dans le voisinage du début de la structure pile de façon à ce que les variables locales soient plus facilement adressables relativement à cette valeur. <xref linkend="COD"/> L'adresse de retour des appels de fonction est aussi - stocké dans la pile, et cela est la cause des découvertes des + stocké dans la pile, et cela est la cause des découvertes des dépassements de pile puisque faire déborder une variable locale dans une fonction peut écraser l'adresse de retour de cette fonction, permettant potentiellement à un utilisateur malveillant d'exécuter le code qu'il ou elle désire.</para> - <para>Bien que les attaques basées sur les dépassements de pile soient + <para>Bien que les attaques basées sur les dépassements de pile soient de loin les plus communes, il serait aussi possible de faire exploser la pile avec une attaque du tas (malloc/free).</para> <para>Le langage de programmation C ne réalise pas de vérifications automatiques des limites sur les tableaux ou pointeurs comme d'autres - langages le font. De plus, la librairie standard du C est remplie d'une + langages le font. De plus, la librairie standard du C est remplie d'une poignée de fonctions très dangereuses.</para> <informaltable> @@ -142,7 +142,7 @@ int main() { int i=0; while ((buffer[i++] = getchar()) != '\n') {}; - + i=1; manipulate(buffer); i=2; @@ -150,9 +150,9 @@ int main() { return 0; }</programlisting> - <para>Examinons quel serait l'aspect de l'image mémoire de ce processus - si nous avions entré 160 espaces dans notre petit programme avant - d'appuyer sur <keycap>Entrée</keycap>.</para> + <para>Examinons quel serait l'aspect de l'image mémoire de ce processus + si nous avions entré 160 espaces dans notre petit programme avant + d'appuyer sur <keycap>Entrée</keycap>.</para> <para>[XXX Schéma ici!]</para> @@ -165,28 +165,28 @@ int main() { <para>La solution la plus simple au problème de débordement de pile est de toujours utiliser de la mémoire restreinte en taille et les fonctions de copie de chaîne de caractères. <function>strncpy</function> - et <function>strncat</function> font parties de la libraire standard du + et <function>strncat</function> font parties de la libraire standard du C. Ces fonctions acceptent une valeur de longueur comme paramètre qui - qui ne devrait pas être plus grande que la taille du tampon de + qui ne devrait pas être plus grande que la taille du tampon de destination. Ces fonctions vont ensuite copier `taille' octets de la - source vers la destination. Toutefois, il y a un certain nombre de + source vers la destination. Toutefois, il y a un certain nombre de problèmes avec ces fonctions. Aucune fonction ne garantit une terminaison - par le caractère NULL si la taille du tampon d'entrée est aussi grand + par le caractère NULL si la taille du tampon d'entrée est aussi grand que celui de destination. Le paramètre taille est aussi utilisé de façon illogique entre <function>strncpy</function> et <function>strncat</function> aussi il est facile pour les programmeurs d'être déroutés sur leur - utilisation convenable. Il y a aussi une perte significative des - performances comparé à <function>strcpy</function> lorsque l'on copie - une courte chaîne dans un grand tampon puisque <function>strncpy</function> + utilisation convenable. Il y a aussi une perte significative des + performances comparé à <function>strcpy</function> lorsque l'on copie + une courte chaîne dans un grand tampon puisque <function>strncpy</function> remplit de caractères NULL jusqu'à la taille spécifiée.</para> - <para>Dans OpenBSD, une autre implémentation de la copie de mémoire + <para>Dans OpenBSD, une autre implémentation de la copie de mémoire a été créée pour contourner ces problèmes. Les fonctions <function>strlcpy</function> - et <function>strlcat</function> garantissent qu'elles termineront + et <function>strlcat</function> garantissent qu'elles termineront toujours le tampon de destination par un caractère NULL losque l'argument - de taille est différent de zéro. Pour plus d'informations sur ces + de taille est différent de zéro. Pour plus d'informations sur ces fonctions, voir <xref linkend="OpenBSD"/>. Les fonctions <function>strlcpy</function> et - <function>strlcat</function> d'OpenBSD ont été inclues dans FreeBSD + <function>strlcat</function> d'OpenBSD ont été inclues dans FreeBSD depuis la version 3.5.</para> <sect3><title>V#233;rifications des limites en fonctionnement basées sur le compilateur</title> @@ -194,26 +194,26 @@ int main() { <para>Malheureusement il y a toujours un très important assortiment de code en utilisation publique qui copie aveuglément la mémoire sans - utiliser une des routines de copie limitée dont nous venons juste de + utiliser une des routines de copie limitée dont nous venons juste de discuter. Heureusement, il y a une autre solution. Plusieurs produits - complémentaires pour compilateur et librairies existent pour faire - de la vérification de limites pendant le fonctionnement en C/C++.</para> + complémentaires pour compilateur et librairies existent pour faire + de la vérification de limites pendant le fonctionnement en C/C++.</para> - <para>StackGuard est un de ces produits qui est implémenté comme un - petit correctif ("patch") pour le générateur de code gcc. Extrait du + <para>StackGuard est un de ces produits qui est implémenté comme un + petit correctif ("patch") pour le générateur de code gcc. Extrait du site Internet de StackGuard, http://immunix.org/stackguard.html : - <blockquote><para>"StackGuard détecte et fait échouer les attaques + <blockquote><para>"StackGuard détecte et fait échouer les attaques par débordement de pile en empêchant l'adresse de retour sur la pile - d'être altérée. StackGuard place un mot "canari" + d'être altérée. StackGuard place un mot "canari" <footnote><para>NDT : Jaune de préférence pour être bien visible</para></footnote> à côté de l'adresse de retour quand la fontion est appelée. Si le mot "canari" a été altéré au retour de la fonction, alors une attaque par débordement de pile a été tentée et le programme répond en envoyant - une alerte d'intrusion dans la trace système (syslog) et - s'arrête alors."</para></blockquote> + une alerte d'intrusion dans la trace système (syslog) et + s'arrête alors."</para></blockquote> <blockquote><para>"StackGuard est implémenté comme un petit correctif - au générateur de code gcc, spécifiquement sur les routines + au générateur de code gcc, spécifiquement sur les routines function_prolog() et function_epilog(). function_prolog() a été amélioré pour laisser des "canaris" sur la pile quand les fonctions démarrent, et function_epilog vérifie l'intégrité des "canaris" quand @@ -222,14 +222,14 @@ int main() { </para> <para>Recompiler votre application avec StackGuard est un - moyen efficace pour stopper la plupart des attques par dépassement de + moyen efficace pour stopper la plupart des attques par dépassement de capacité, mais cela peut toujours être compromis.</para> </sect3> <sect3><title>Vérifications des limites en fonctionnement basées sur les librairies</title> - <para>Les mécanismes basés sur le compilateur sont totalement inutiles + <para>Les mécanismes basés sur le compilateur sont totalement inutiles pour logiciel seulement binaire que vous ne pouvez recompiler. Pour ces situations, il existe un nombre de librairies qui re-implémente les fonctions peu sûres de la librairie C @@ -245,8 +245,8 @@ int main() { <para>Malheureusement ces défenses basées sur les librairies possèdent un certain nombre de défauts. Ces librairies protègent seulement d'un - très petit ensemble de problèmes liés à la sécurité et oublient de - réparer le problème actuel. Ces défenses peuvent échouer si + très petit ensemble de problèmes liés à la sécurité et oublient de + réparer le problème actuel. Ces défenses peuvent échouer si l'application a été compilée avec -fomit-frame-pointer. De même, les variables d'environnement LD_PRELOAD et LD_LIBRARY_PATH peuvent être réécrites/non définies par l'utilisateur.</para> @@ -257,25 +257,25 @@ int main() { <sect1><title>Les problèmes liés à SetUID</title> - <para>Il y a au moins 6 differents ID (identifiants) associés à un + <para>Il y a au moins 6 differents ID (identifiants) associés à un processus donné. A cause de cela, vous devez être très attentif avec l'accès que votre processus possède à un instant donné. En particulier, - toutes les applications ayant reçu des privilèges par seteuid doivent + toutes les applications ayant reçu des privilèges par seteuid doivent les abandonnés dès qu'ils ne sont plus nécessaires.</para> <para>L'identifiant de l'utilisateur réel (real user ID) peut seulement - être changé par un processus super-utilisateur. Le programme <application>login</application> - met celui à jour quand un utilisateur se connecte et il est rarement + être changé par un processus super-utilisateur. Le programme <application>login</application> + met celui à jour quand un utilisateur se connecte et il est rarement changé.</para> <para>L'identifiant de l'utilisateur effectif (effective user ID) est mis - à jour par les fonctions <function>exec()</function> si un programme + à jour par les fonctions <function>exec()</function> si un programme possède son bit seteuid placé. Une application peut appeler <function>seteuid()</function> à n'importe quel moment pour règler - l'identifiant de l'utilisateur effectif sur l'identifiant d'un + l'identifiant de l'utilisateur effectif sur l'identifiant d'un utilisateur réel ou sur le "set-user-ID" sauvé. - Quand l'identifiant de l'utilisateur effectif est placé par les - fonctions <function>exec()</function>, la valeur précédente est sauvée + Quand l'identifiant de l'utilisateur effectif est placé par les + fonctions <function>exec()</function>, la valeur précédente est sauvée dans le "set-user-ID" sauvé.</para> </sect1> @@ -285,46 +285,46 @@ int main() { <para>La méthode traditionnelle pour restreindre l'accès d'un processus se fait avec l'appel système <function>chroot()</function>. Cet appel système change le répertoire racine depuis lequel tous les autres chemins - sont référencés pour un processus et ses fils. Pour que cet appel + sont référencés pour un processus et ses fils. Pour que cet appel réussisse, le processus doit avoir exécuté (recherché) la permission dans le répertoire référencé. Le nouvel environnement - environment ne prend pas effet que lorsque vous appelez <function>chdir()</function> - dans celui-ci. + environment ne prend pas effet que lorsque vous appelez <function>chdir()</function> + dans celui-ci. Il doit être aussi noté qu'un processus peut facilement s'échapper d'un environnement chroot s'il a les privilèges du super-utilisateur. - Cela devrait être accompli en créant des fichiers spéciaux de - périphérique pour la mémoire du noyau, en attachant un dévermineur à un - processus depuis l'extérieur de sa "prison", ou par d'autres manières + Cela devrait être accompli en créant des fichiers spéciaux de + périphérique pour la mémoire du noyau, en attachant un dévermineur à un + processus depuis l'extérieur de sa "prison", ou par d'autres manières créatrices.</para> - + <para>Le comportement de l'appel système <function>chroot()</function> - peut être un peu contrôlé avec la commande <command>sysctl</command> et - la variable kern.chroot_allow_open_directories. - Quand cette valeur est règlée à 0, <function>chroot()</function> échouera + peut être un peu contrôlé avec la commande <command>sysctl</command> et + la variable kern.chroot_allow_open_directories. + Quand cette valeur est règlée à 0, <function>chroot()</function> échouera avec EPERM s'il y a un répertoire d'ouvert. Si la variable est règlée sur - la valeur par défaut 1, alors <function>chroot()</function> échouera - avec EPERM s'il y a un répertoire d'ouvert et que le processus est déjà - sujet à un appel <function>chroot()</function>. Pour toute autre valeur, la + la valeur par défaut 1, alors <function>chroot()</function> échouera + avec EPERM s'il y a un répertoire d'ouvert et que le processus est déjà + sujet à un appel <function>chroot()</function>. Pour toute autre valeur, la vérification des répertoires ouverts sera totalement court-circuitée.</para> <sect2><title>La fonctionnalité "prison" de FreeBSD</title> <para>Le concept de Prison ("Jail") étend <function>chroot()</function> en limitant les droits du - super-utilisateur pour créer un véritable `serveur virtuel'. Une fois - qu'une prison est mise en place, toute communication réseau doit avoir lieu - au travers de l'adresse IP spécifiée, et le droit du + super-utilisateur pour créer un véritable `serveur virtuel'. Une fois + qu'une prison est mise en place, toute communication réseau doit avoir lieu + au travers de l'adresse IP spécifiée, et le droit du "privilège super-utilisateur" dans cette prison est sévèrement gêné.</para> - <para>Tant qu'il se trouve en prison, tout test avec les droits du - super-utilisateur dans le noyau au travers d'un appel à + <para>Tant qu'il se trouve en prison, tout test avec les droits du + super-utilisateur dans le noyau au travers d'un appel à <function>suser()</function> échouera. Toutefois, quelques appels à <function>suser()</function> ont été changés par la nouvelle interface <function>suser_xxx()</function>. Cette fonction est responsable de fournir ou de retirer les accès aux droits du super-utilisateur pour les processus emprisonnés.</para> - <para>Un processus super-utilisateur dans un environnement emprisonné + <para>Un processus super-utilisateur dans un environnement emprisonné a le pouvoir de : </para> <itemizedlist> <listitem><simpara>Manipuler les identitifications avec @@ -339,16 +339,16 @@ int main() { <listitem><simpara>Règler les paramètres d'un noeud virtuel (vnode): <function>chflags</function>, <function>fchflags</function></simpara></listitem> - <listitem><simpara>Règler les attributs d'un noeud virtuel comme - les permissions d'un fichier, le propriétaire, le groupe, la taille, + <listitem><simpara>Règler les attributs d'un noeud virtuel comme + les permissions d'un fichier, le propriétaire, le groupe, la taille, la date d'accès, et la date de modification.</simpara></listitem> <listitem><simpara>Se lier à des ports privilégiés sur Internet (ports < 1024)</simpara></listitem> </itemizedlist> - <para><function>Jail</function> est un outil très utile pour exécuter + <para><function>Jail</function> est un outil très utile pour exécuter des applications dans un environnement sécurisé mais il a des - imperfections. Actuellement, les mécanismes IPC (Inter-Process + imperfections. Actuellement, les mécanismes IPC (Inter-Process Communications) n'ont pas été convertis pour utiliser <function>suser_xxx</function> aussi des applications comme MySQL ne peuvent être exécutée dans une prison. L'accès super-utilisateur peut avoir un sens très limité dans une prison, @@ -358,7 +358,7 @@ int main() { <sect2><title>Les capacitès des processus POSIX.1e</title> - <para>Posix a réalisé un document de travail qui ajoute l'audit + <para>Posix a réalisé un document de travail qui ajoute l'audit d'évènement, les listes de contrôle d'accès, les privilèges fins, l'étiquetage d'information, et le contrôle d'accès mandaté.</para> <para>Il s'agit d'un travail en cours et c'est l'objectif du projet <ulink @@ -373,15 +373,15 @@ int main() { <sect1><title>La confiance</title> <para>Une application ne devrait jamais supposer que tout est sain - dans l'environnement des utilisateurs. Cela inclut (mais n'est - certainement pas limité à) : la saisie de l'utilisateur, les signaux, - les variables d'environnement, les ressources, les communication - inter-processus, les mmaps, le répertoire de travail du système de - fichiers, les descripteurs de fichier, le nombre de fichiers ouverts, + dans l'environnement des utilisateurs. Cela inclut (mais n'est + certainement pas limité à) : la saisie de l'utilisateur, les signaux, + les variables d'environnement, les ressources, les communication + inter-processus, les mmaps, le répertoire de travail du système de + fichiers, les descripteurs de fichier, le nombre de fichiers ouverts, etc.</para> <para>Vous ne devriez jamais supposer que vous pouvez gérer toutes les - formes de saisie invalide qu'un utilisateur peut entrer. Votre + formes de saisie invalide qu'un utilisateur peut entrer. Votre application devrait plutôt utiliser un filtrage positif pour seulement permettre un sous-ensemble spécifique que vous jugez sain. Une mauvaise validation des entrées a été la cause de beaucoup @@ -390,7 +390,7 @@ int main() { aux chemins ("../", "/"), liens symboliques et caractères d'échappement de l'interpréteur de commandes.</para> - <para>Perl possède une caractéristique tès sympathique appelée mode + <para>Perl possède une caractéristique tès sympathique appelée mode "Taint" qui peut être utilisée pour empêcher les scripts d'utiliser des données externes au programme par un moyen non sûr. Ce mode vérifiera les arguments de la ligne de commandes, les variables d'environnement, @@ -405,20 +405,20 @@ int main() { <para>Une condition de course est un comportement anormal causé par une dépendance inattendue sur le séquencement relatif des évènements. En - d'autres mots, un programmeur a supposé à tort qu'un évènement + d'autres mots, un programmeur a supposé à tort qu'un évènement particulier se passerait avant un autre.</para> - <para>Quelques causes habituelles de conditions de course sont les - signaux, les vérifications d'accès et les fichiers ouverts. + <para>Quelques causes habituelles de conditions de course sont les + signaux, les vérifications d'accès et les fichiers ouverts. Les signaux sont des évènements asynchrones par nature aussi un soin particulier doit être pris pour les utiliser. - Vérifier les accès avec <function>access(2)</function> puis + Vérifier les accès avec <function>access(2)</function> puis <function>open(2)</function> n'est clairement pas atomique. Les utilisateurs peuvent déplacer des fichiers entre les deux appels. - Les applications privilégiées devraient plutôt faire un appel à - <function>seteuid()</function> puis appeler <function>open()</function> + Les applications privilégiées devraient plutôt faire un appel à + <function>seteuid()</function> puis appeler <function>open()</function> directement. Dans le même esprit, une application devrait toujours règler - un umask correct avant un appel à <function>open()</function> pour + un umask correct avant un appel à <function>open()</function> pour prévenir le besoin d'appels non valides à <function>chmod()</function>.</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/tools/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/tools/chapter.sgml index 43a815bf3a..088a9a5396 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/tools/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/tools/chapter.sgml @@ -2,7 +2,7 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: chapter.sgml,v 1.1 2002-02-14 14:25:02 gioria Exp $ Original revision: 1.4 $FreeBSD$ @@ -17,23 +17,23 @@ <sect1><title>Synopsis</title> - <para>Ce document est une introduction à l'utilisation de quelques + <para>Ce document est une introduction à l'utilisation de quelques outils de programmation fournis avec FreeBSD, toutefois tout sera applicable à beaucoup d'autres versions d'Unix. Cette introduction <emphasis>n'essaye</emphasis> pas de décrire la programmation dans le détail. La plupart du document suppose que vous possédez peu ou pas de connaissances - en programmation, espérant que les programmeurs trouveront un + en programmation, espérant que les programmeurs trouveront un intérêt dans ce document.</para> </sect1> <sect1><title>Introduction</title> - + <para>FreeBSD offre un excellent environnement de développement. - Des compilateurs pour C, C++ et Fortran ainsi qu'un assembleur sont fournis avec + Des compilateurs pour C, C++ et Fortran ainsi qu'un assembleur sont fournis avec le système de base, sans parler de l'interpréteur PERL ni des outils classiques Unix comme <command>sed</command> et <command>awk</command>. - Si cela n'est pas suffisant, il y a encore plus de compilateurs et + Si cela n'est pas suffisant, il y a encore plus de compilateurs et d'interpréteurs dans la collection des logiciels portés. FreeBSD est compatible avec les standards comme <acronym>POSIX</acronym> et C <acronym>ANSI</acronym>, aussi bien qu'avec son propre héritage BSD, @@ -42,14 +42,14 @@ plateformes.</para> <para>Toutefois, toute cette puissance peut être plutôt écrasante - au premier abord si vous n'avez jamais écrit de programmes sur une + au premier abord si vous n'avez jamais écrit de programmes sur une plateforme Unix auparavant. Ce document a pour but de vous aider à commencer, sans entrer trop loin dans des sujets plus avancés. L'intention est que ce document devrait vous donner assez de bases pour être capable de donner du sens à la documentation.</para> <para>La majeure partie du document requiert peu ou pas de connaissance - de la programmation, bien qu'il suppose une compétence de base dans + de la programmation, bien qu'il suppose une compétence de base dans l'utilisation d'Unix et dans la bonne volonté d'apprendre !</para> </sect1> @@ -59,14 +59,14 @@ <para>Un programme est un ensemble d'instructions qui disent à l'ordinateur de faire diverses choses; quelques fois, l'instruction qu'il a à exécuter - dépend de ce qui s'est passé lors de l'exécution d'une instruction - précédente. Cette section donne un aperçu des deux manières par lesquelles + dépend de ce qui s'est passé lors de l'exécution d'une instruction + précédente. Cette section donne un aperçu des deux manières par lesquelles vous pouvez donner ces instructions, ou - <quote>commandes</quote> comme elles sont habituellement nommées. + <quote>commandes</quote> comme elles sont habituellement nommées. Une façon utilise un <firstterm>interpréteur</firstterm>, l'autre un <firstterm>compilateur</firstterm>. Comme les langages humains sont trop difficiles à comprendre sans ambiguïté par un ordinateur, - les commandes sont habituellement écrites dans un langage ou un autre + les commandes sont habituellement écrites dans un langage ou un autre spécialement conçus pour cet usage.</para> <sect2> @@ -76,31 +76,31 @@ où vous entrez des commandes à un invite de commandes et l'environnement les exécute pour vous. Pour des programmes plus compliqués, vous pouvez entrer les commandes dans un fichier et demander à l'interpréteur de charger - le fichier et d'exécuter les commandes qui sont à l'intérieur. + le fichier et d'exécuter les commandes qui sont à l'intérieur. Si quoique ce soit se passe mal, beaucoup d'interpréteurs vous enverrons dans un dévermineur pour vous aider à débusquer le problème.</para> <para>L'avantage de cela est que vous pouvez voir les résultats de vos commandes immédiatement, et les erreurs peuvent être corrigées facilement. Le plus gros désavantage arrive quand vous voulez partager - vos programmes avec d'autres personnes. Ils doivent avoir le même + vos programmes avec d'autres personnes. Ils doivent avoir le même interpréteur ou bien vous devez avoir un moyen de leur donner, - et ils doivent comprendre comment l'utiliser. Par ailleurs, les - utilisateurs pourraient ne pas apprécier d'être renvoyés dans un + et ils doivent comprendre comment l'utiliser. Par ailleurs, les + utilisateurs pourraient ne pas apprécier d'être renvoyés dans un dévermineur s'ils ont appuyé sur la mauvaise touche ! D'un point de vue performance, les interpréteurs peuvent utiliser beaucoup de mémoire et généralement ne génèrent pas un code aussi efficace que les compilateurs.</para> <para>A mon avis, les langages interprétés sont le meilleur moyen - pour démarrer si vous n'avez jamais programmé. Ce genre + pour démarrer si vous n'avez jamais programmé. Ce genre d'environnement se trouve typiquement avec des langages comme Lisp, - Smalltalk, Perl et Basic. Il peut aussi être dit que l'interpréteur de - commandes Unix (<command>sh</command>, <command>csh</command>) est + Smalltalk, Perl et Basic. Il peut aussi être dit que l'interpréteur de + commandes Unix (<command>sh</command>, <command>csh</command>) est lui-même un interpréteur, et beaucoup de gens écrivent en fait des <quote>scripts</quote> (procédures) pour l'interpréteur pour les aider - dans diverses tâches <quote>domestiques</quote> sur leur machine. - En effet, une partie de la philosophie d'origine d'Unix était de + dans diverses tâches <quote>domestiques</quote> sur leur machine. + En effet, une partie de la philosophie d'origine d'Unix était de fournir plein de petits programmes utilitaires qui pouvaient être liés ensemble dans des procédures pour effectuer des tâches utiles.</para> </sect2> @@ -109,17 +109,17 @@ <title>Les interpréteurs disponibles avec FreeBSD</title> <para>Voici la liste des interpréteurs qui sont disponibles sous la forme - de <ulink url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/"> - logiciels pré-compilés pour FreeBSD</ulink>, avec une brève description + de <ulink url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/"> + logiciels pré-compilés pour FreeBSD</ulink>, avec une brève description de quelques uns des langages interprétés les plus populaires.</para> - <para>Pour obtenir un de ces logiciels pré-compilés, tout ce que vous + <para>Pour obtenir un de ces logiciels pré-compilés, tout ce que vous avez à faire est de cliquer sur le lien du logiciel et d'exécuter</para> <screen>&prompt.root; <userinput>pkg_add <replaceable>nom du logiciel</replaceable></userinput> </screen> - <para>en tant que super-utilisateur. Evidemment, vous aurez besoin d'un + <para>en tant que super-utilisateur. Evidemment, vous aurez besoin d'un FreeBSD 2.1.0 ou plus en état de marche pour que le logiciel fonctionne !</para> <variablelist> @@ -128,12 +128,12 @@ <listitem> <para>Abbréviation de "Beginner's All-purpose Symbolic - Instruction Code" (code d'instruction symbolique tout usage + Instruction Code" (code d'instruction symbolique tout usage pour le débutant). Développé dans les années 50 pour apprendre aux étudiants d'université à programmer et fourni avec tout ordinateur qui se respecte dans les années 80, - <acronym>BASIC</acronym> a été le premier langage de - programmation pour beaucoup de programmeurs. Il est aussi le + <acronym>BASIC</acronym> a été le premier langage de + programmation pour beaucoup de programmeurs. Il est aussi le fondement même du Visual Basic.</para> <para>L'interpréteur Basic <ulink @@ -172,7 +172,7 @@ <listitem> <para>Très populaire auprès des administrateurs système pour la rédaction - de procédures; aussi souvent utilisé sur les serveurs Internet pour + de procédures; aussi souvent utilisé sur les serveurs Internet pour l'écriture de procédures <acronym>CGI</acronym>.</para> <para>La dernière version (version 5) est fournie avec FreeBSD.</para> @@ -186,7 +186,7 @@ <para>Un dérivé du Lisp qui est plutôt plus compact et plus propre que le Common Lisp. Populaire dans les universités étant suffisamment simple à apprendre aux étudiants comme premier langage - , il possède un niveau d'abstraction suffisamment important pour être + , il possède un niveau d'abstraction suffisamment important pour être utilisé dans le travail de recherche.</para> <para>On trouve pour FreeBSD les logiciels pré-compilés <ulink @@ -194,7 +194,7 @@ Scheme Elk</ulink>, <ulink url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/lang/mit-scheme-7.3.tgz">l'interpréteur Scheme du MIT</ulink> et <ulink - url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/lang/scm-4e1.tgz">l'interpréteur Scheme + url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/lang/scm-4e1.tgz">l'interpréteur Scheme SCM</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -204,7 +204,7 @@ <listitem> <para><ulink - url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/lang/icon-9.0.tgz">Le langage + url="ftp://ftp.FreeBSD.org:pub/FreeBSD/packages/lang/icon-9.0.tgz">Le langage de programmation Icon</ulink>.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -235,23 +235,23 @@ <title>Les compilateurs</title> <para>Les compilateurs sont plutôt différents entre eux. Tout d'abord, vous écrivez - votre code dans un fichier (ou des fichiers) en utilisant un éditeur de texte. Vous - exécutez ensuite le compilateur et vérifiez qu'il accepte votre programme. S'il ne + votre code dans un fichier (ou des fichiers) en utilisant un éditeur de texte. Vous + exécutez ensuite le compilateur et vérifiez qu'il accepte votre programme. S'il ne compile pas, grincez des dents et retournez à l'éditeur; s'il compile et vous donne un programme, vous pouvez exécuter ce dernier à l'invite de commande ou dans un dévermineur pour voir s'il fonctionne correctement. - + <footnote> - <para>Si vous l'exécuter à l'invite de commande, vous pouvez recevoir un fichier + <para>Si vous l'exécuter à l'invite de commande, vous pouvez recevoir un fichier d'image mémoire (NDT: le désormais célèbre "core dump").</para> </footnote></para> - <para>Evidemment, ce n'est pas aussi direct que d'utiliser un interpréteur. - Toutefois cela vous permet de faire beaucoup de choses qui sont difficiles + <para>Evidemment, ce n'est pas aussi direct que d'utiliser un interpréteur. + Toutefois cela vous permet de faire beaucoup de choses qui sont difficiles ou même impossibles avec un interpréteur, comme écrire du code qui interagit de façon proche du système d'exploitation ou même d'écrire votre propre système d'exploitation ! C'est aussi utile si vous avez besoin d'écrire du code - très efficace, étant donné que le compilateur peut prendre son temps et + très efficace, étant donné que le compilateur peut prendre son temps et optimiser le code, ce qui ne serait pas acceptable avec un interpréteur. Et distribuer un programme écrit pour un compilateur est habituellement plus évident qu'un écrit pour un interpréteur—vous pouvez juste donner @@ -263,15 +263,15 @@ aux programmeurs expérimentés; Pascal, d'autre part, a été conçu comme un langage éducatif, et est un assez bon langage pour commencer. Malheureusement, FreeBSD ne possède aucun - support Pascal, excepté pour un convertisseur Pascal vers C + support Pascal, excepté pour un convertisseur Pascal vers C dans les logiciels portés.</para> <para>Le cycle édition-compilation-exécution-déverminage étant relativement pénible - lors de l'utilisation de programmes séparés, beaucoup de fabricants de compilateur - ont produit des environnements de développement intégrés (ou <acronym>IDE</acronym> pour - Integrated Development Environments et <acronym>EDI</acronym> dans la langue de + lors de l'utilisation de programmes séparés, beaucoup de fabricants de compilateur + ont produit des environnements de développement intégrés (ou <acronym>IDE</acronym> pour + Integrated Development Environments et <acronym>EDI</acronym> dans la langue de Molière). FreeBSD ne possède pas d'<acronym>EDI</acronym> - tel quel; toutefois il est possible d'utiliser Emacs à cet effet. + tel quel; toutefois il est possible d'utiliser Emacs à cet effet. Ceci est vu dans <xref linkend="emacs"/>.</para> </sect2> @@ -300,7 +300,7 @@ </step> <step> - <para>Vérifier la syntaxe de votre code source pour voir si vous avez + <para>Vérifier la syntaxe de votre code source pour voir si vous avez obéi aux règles du langage. Si vous ne l'avez pas fait, il se plaindra !</para> </step> @@ -311,7 +311,7 @@ <footnote> <para>Pour être vraiment précis, <command>cc</command> convertit à ce niveau le - code source dans son propre <firstterm>p-code</firstterm> indépendant de la + code source dans son propre <firstterm>p-code</firstterm> indépendant de la machine plutôt qu'en langage assembleur.</para> </footnote></para> </step> @@ -401,10 +401,10 @@ <varlistentry> <term><option>-c</option></term> - + <listitem> <para>Compile juste le fichier, ne le lie pas. Utile pour les - programmes jouets dont vous voulez juste vérifier la syntaxe, + programmes jouets dont vous voulez juste vérifier la syntaxe, ou si vous utilisez un <filename>Makefile</filename>.</para> <informalexample> @@ -431,7 +431,7 @@ ce qui est <emphasis>très</emphasis> utile; le désavantage est que toutes ces informations supplémentaires rendent le programme plus gros. Normalement, vous compilez avec l'option <option>-g</option> quand vous - êtes en train de développer un programme et compilez ensuite une + êtes en train de développer un programme et compilez ensuite une <quote>version de production</quote> sans <option>-g</option> quand vous êtes satisfait du fonctionnement.</para> @@ -444,9 +444,9 @@ <footnote> <para>Notez, nous n'avons pas utilisé l'option <option>-o</option> - pour spécifier le nom de l'exécutable, aussi nous obtiendrons un + pour spécifier le nom de l'exécutable, aussi nous obtiendrons un exécutable du nom de <filename>a.out</filename>. - Produire une version de déverminage du nom de + Produire une version de déverminage du nom de <filename>foobar</filename> est laissé en exercice pour le lecteur!</para> </footnote></para> </listitem> @@ -459,14 +459,14 @@ <para>Crée une version optimisée de l'exécutable. Le compilateur effectue différents trucs malins pour essayer de produire un exécutable qui s'exécute plus rapidement que normal. - Vous pouvez ajouter un nombre après l'option <option>-O</option> + Vous pouvez ajouter un nombre après l'option <option>-O</option> pour spécifier un niveau d'optimisation plus important, mais cela vous expose souvent aux bogues dans l'optimiseur du compilateur. Par exemple, la version de - <command>cc</command> fournit avec la version 2.1.0 FreeBSD est connue + <command>cc</command> fournit avec la version 2.1.0 FreeBSD est connue pour produire du mauvais code avec l'option <option>-O2</option> dans certaines circonstances.</para> - <para>L'optimisation est habituellement activée uniquement lors de + <para>L'optimisation est habituellement activée uniquement lors de la compilation d'une version de production.</para> <informalexample> @@ -491,7 +491,7 @@ <listitem> <para>Active tous les avertissements que les auteurs de - <command>cc</command> pensent valoir le coup. Malgré le nom, il + <command>cc</command> pensent valoir le coup. Malgré le nom, il n'active pas tous les avertissements dont <command>cc</command> est capable.</para> </listitem> @@ -502,7 +502,7 @@ <listitem> <para>Désactive la plupart, mais pas toutes, des caractéristiques - du C fournies par <command>cc</command> qui sont non-<acronym>ANSI</acronym> . Malgré + du C fournies par <command>cc</command> qui sont non-<acronym>ANSI</acronym> . Malgré le nom, cela ne garantit pas strictement que votre code sera conforme au standard.</para> </listitem> </varlistentry> @@ -518,14 +518,14 @@ </variablelist> <para>Sans ces options, <command>cc</command> vous permettrait d'utiliser - quelques extensions au standard non-standards. Quelques unes de celles-ci + quelques extensions au standard non-standards. Quelques unes de celles-ci sont très utiles, mais ne fonctionneront pas avec d'autres compilateurs - —en fait, un des principaux buts du standard est de permettre aux gens + —en fait, un des principaux buts du standard est de permettre aux gens d'écrire du code qui fonctionnera avec n'importe quel compilateur sur n'importe quel système. Cela est connu sous le nom de <firstterm>code portable</firstterm>.</para> - <para>Generalement, vous devriez essayer de faire votre code aussi portable - que possible, sinon vous pourriez avoir a ré-écrire totalement votre + <para>Generalement, vous devriez essayer de faire votre code aussi portable + que possible, sinon vous pourriez avoir a ré-écrire totalement votre programme plus tard pour le faire fonctionner autre part—et qui sait ce que vous utiliserez dans quelques années?</para> @@ -555,8 +555,8 @@ <filename>lib<replaceable>quelque_chose</replaceable>.a</filename>, vous donnez à <command>cc</command> l'argument <option>-l<replaceable>quelque_chose</replaceable></option>. - Par exemple, la librairie des fonctions mathématiques est - <filename>libm.a</filename>, aussi vous donnez à + Par exemple, la librairie des fonctions mathématiques est + <filename>libm.a</filename>, aussi vous donnez à <command>cc</command> le paramètre <option>-lm</option>. Un <quote>piège</quote> habituel avec la librairie math est qu'elle doit être la dernière sur la ligne de commande.</para> @@ -575,7 +575,7 @@ <command>cc</command> pour lier avec les fonctions de la librairie C++. Alternativement, vous pouvez utiliser <command>c++</command> plutôt que <command>cc</command>, qui fait tout cela pour vous. - <command>c++</command> peut aussi être invoqué par + <command>c++</command> peut aussi être invoqué par <command>g++</command> sur FreeBSD.</para> <informalexample> @@ -591,7 +591,7 @@ , les fichiers source C++ se terminent traditionnellement en <filename>.C</filename>, <filename>.cxx</filename> ou <filename>.cc</filename>, plutôt que le style MS-DOS - <filename>.cpp</filename> (qui était déjà + <filename>.cpp</filename> (qui était déjà utilisé pour autre chose). <command>gcc</command> a utilisé cela pour trouver le type de compilateur à utiliser sur le fichier source; toutefois, cette restriction ne s'applique plus, @@ -608,7 +608,7 @@ <qandaentry> <question> <para>J'essaye d'écrire un programme qui utilise la fonction - <function>sin()</function> et je reçois l'erreur suivante. + <function>sin()</function> et je reçois l'erreur suivante. Que cela signifie-t-il ?</para> <informalexample> @@ -631,7 +631,7 @@ <qandaentry> <question> - <para>J'ai écrit un programme simple pour m'exercer à + <para>J'ai écrit un programme simple pour m'exercer à l'utilisation de l'option <option>-lm</option>. Tout ce qu'il fait est d'élever 2,1 à la puissance 6.</para> @@ -655,7 +655,7 @@ int main() { </screen> </informalexample> - <para>et comme expliqué ici, mais j'obtiens ceci + <para>et comme expliqué ici, mais j'obtiens ceci quand je l'exécute :</para> <informalexample> @@ -670,8 +670,8 @@ int main() { <answer> <para>Quand le compilateur voit que vous appelez une fonction, il - vérifie s'il a déjà un prototype pour celle-ci. - S'il ne l'a pas vu, il suppose que la fonction retourne un <type>int</type>, + vérifie s'il a déjà un prototype pour celle-ci. + S'il ne l'a pas vu, il suppose que la fonction retourne un <type>int</type>, ce qui n'est absolument pas ce que vous voulez ici. </para> </answer> @@ -698,7 +698,7 @@ int main() { </programlisting> </informalexample> - <para>Après avoir recompilé comme précédemment, + <para>Après avoir recompilé comme précédemment, exécutez : </para> @@ -733,7 +733,7 @@ int main() { </informalexample> </answer> </qandaentry> - + <qandaentry> <question> <para>OK, j'ai un exécutable appelé @@ -745,8 +745,8 @@ int main() { </question> <answer> - <para>A l'inverse de MS-DOS, Unix ne regarde pas dans le - répertoire courant lorsqu'il essaye de trouver un + <para>A l'inverse de MS-DOS, Unix ne regarde pas dans le + répertoire courant lorsqu'il essaye de trouver un exécutable que vous voulez exécuter, sauf si vous lui avez dit de le faire. Vous pouvez soit taper <command>./foobar</command>, ce qui @@ -761,7 +761,7 @@ int main() { </screen> </informalexample> - <para>Le point à la fin signifie <quote>regarde dans le repertoire + <para>Le point à la fin signifie <quote>regarde dans le repertoire courant s'il n'est dans aucun autre</quote>.</para> </answer> </qandaentry> @@ -800,8 +800,8 @@ int main() { <answer> <para>Le nom <firstterm>core dump</firstterm> date des tous premiers jours d'Unix, quand les machines utilisaient - la mémoire centrale<footnote><para>NDT: je n'ai pas trouvé - de meilleure traduction pour core memory</para></footnote>pour stocker + la mémoire centrale<footnote><para>NDT: je n'ai pas trouvé + de meilleure traduction pour core memory</para></footnote>pour stocker les données. Simplement, si le programme a échoué sous certaines conditions, le système va écrire le contenu de la mémoire centrale @@ -818,7 +818,7 @@ int main() { </question> <answer> - <para>Utilisez <command>gdb</command> pour analyser le fichier <filename>core</filename> + <para>Utilisez <command>gdb</command> pour analyser le fichier <filename>core</filename> (voir <xref linkend="debugging"/>).</para> </answer> </qandaentry> @@ -842,7 +842,7 @@ int main() { <itemizedlist> <listitem> <para>Essayer d'écrire dans un pointeur <symbol>NULL</symbol>, - par exemple + par exemple </para> <programlisting>char *foo = NULL; @@ -887,7 +887,7 @@ strcpy(foo, "bang!"); </programlisting> <para>Les compilateurs Unix mettent souvent les chaînes comme - <literal>"Ma chaine"</literal> dans des zones de mémoire + <literal>"Ma chaine"</literal> dans des zones de mémoire en lecture seule. </para> </listitem> @@ -960,7 +960,7 @@ free(foo); <parameter><replaceable>identifiant</replaceable></parameter> est l'identifiant du processus que vous avez trouvé.</para> - <para>Ceci est utile si votre programme est bloqué dans une boucle + <para>Ceci est utile si votre programme est bloqué dans une boucle infinie, par exemple. Si votre programme arrive à bloquer le signal <symbol>SIGABRT</symbol>, il y a d'autres signaux qui ont des effets similaires. @@ -971,7 +971,7 @@ free(foo); Voir la page de manuel en ligne de &man.abort.3; pour en savoir plus. </para> - <para>Si vous voulez créer un fichier <filename>core</filename> depuis + <para>Si vous voulez créer un fichier <filename>core</filename> depuis l'extérieur de votre programme, mais ne voulez pas que le processus s'arrêt,vous pouvez utiliser le programme <command>gcore</command>. Voir la page de manuel en ligne de &man.gcore.1 pour plus d'informations. @@ -990,7 +990,7 @@ free(foo); <title>Qu'est-ce que <command>make</command>?</title> <para>Quand vous travaillez sur un programme simple avec seulement - un ou deux fichiers source, taper + un ou deux fichiers source, taper </para> <screen>&prompt.user; <userinput>cc fichier1.c fichier2.c</userinput> @@ -1000,7 +1000,7 @@ free(foo); il y a plusieurs fichiers—et cela peut prendre du temps à compiler aussi. </para> - <para>Une façon de contourner cela est d'utiliser les fichiers objet + <para>Une façon de contourner cela est d'utiliser les fichiers objet et de recompiler le fichier source seulement si le code source a changé. Aussi, nous pourrions avoir quelque chose comme ça: </para> @@ -1019,7 +1019,7 @@ free(foo); </para> <para>Que se passe-t-il si nous avons des centaines de fichiers source ? - Que se passe-t-il si nous travaillons dans une équipe avec + Que se passe-t-il si nous travaillons dans une équipe avec d'autres personnes qui oublient de nous dire quand ils ont changé un de leurs fichiers source que nous utilisons ? </para> @@ -1028,18 +1028,18 @@ free(foo); écrire quelque chose comme une procédure qui contiendrait quelque règle magique disant quand notre fichier source doit être compilé. Maintenant, tout ce dont nous avons besoin est un programme - qui comprend ces règles, alors que c'est trop compliqué pour + qui comprend ces règles, alors que c'est trop compliqué pour l'interpréteur. </para> <para>Ce programme s'appelle <command>make</command>. Il lit - dans un fichier, appelé un <firstterm>makefile</firstterm>, + dans un fichier, appelé un <firstterm>makefile</firstterm>, qui lui dit comment les différents fichiers dépendent les uns des autres, et détermine quels fichiers ont besoin d'être recompilés et quels n'en ont pas besoin. Par exemple, une règle pourrait dire quelque chose comme <quote>si <filename>fromboz.o</filename> est plus ancien que - <filename>fromboz.c</filename>, cela signifie que quelqu'un a dû + <filename>fromboz.c</filename>, cela signifie que quelqu'un a dû changer <filename>fromboz.c</filename>, aussi il a besoin d'être recompilé.</quote> Le makefile possède aussi des règles pour dire à <command>make</command> <emphasis>comment</emphasis> @@ -1047,15 +1047,15 @@ free(foo); puissant. </para> - <para>Les <filename>Makefile</filename>s sont typiquement stockés dans le même - répertoire que le source auxquels il s'appliquent, et peuvent être + <para>Les <filename>Makefile</filename>s sont typiquement stockés dans le même + répertoire que le source auxquels il s'appliquent, et peuvent être appelés <filename>makefile</filename>, <filename>Makefile</filename> ou <filename>MAKEFILE</filename>. La plupart des programmeurs utilise le nom <filename>Makefile</filename>, celui-ci se trouvant proche du début de la liste du contenu du répertoire où il peut être facilement vu. <footnote> - <para>Ils n'utilisent pas la forme <filename>MAKEFILE</filename> + <para>Ils n'utilisent pas la forme <filename>MAKEFILE</filename> car les bloques de majuscules sont souvent utilisés pour les fichiers de documentation comme <filename>README</filename>. </para> @@ -1097,14 +1097,14 @@ free(foo); à make de re-compiler <filename>foo.c</filename>. </para> - <para>Aussi, quand vous tapez <userinput>make</userinput>, il vérifiera - que <filename>foo</filename> est à jour en respect de vos derniers + <para>Aussi, quand vous tapez <userinput>make</userinput>, il vérifiera + que <filename>foo</filename> est à jour en respect de vos derniers changements sur <filename>foo.c</filename>. Ce principe peut être étendu à des <filename>Makefile</filename>s de plusieurs - centaines de cibles—en fait, sur FreeBSD, il est possible de + centaines de cibles—en fait, sur FreeBSD, il est possible de compiler un système d'exploitation entier en tapant juste <userinput>make world</userinput> dans le répertoire approprié ! - </para> + </para> <para>Une autre propriété utile des makefiles est que les cibles n'ont pas nécessairement besoin d'être des programmes. @@ -1126,7 +1126,7 @@ install: </screen> <para><command>make</command> ira seulement voir cette cible - et ingorera les autres. Par exemple, si nous tapons + et ingorera les autres. Par exemple, si nous tapons <userinput>make foo</userinput> avec le <filename>Makefile</filename> du dessus, <command>make</command> ignorera la cible <action>install</action>. </para> @@ -1135,7 +1135,7 @@ install: <command>make</command> regardera toujours la première cible et s'arrêtera sans regarder aucune autre. Aussi, si nous avions tapé <userinput>make</userinput> seul, <command>make</command> serait juste allé à la cible <action>foo</action>, - aurait recompilé <filename>foo</filename> si nécessaire et se + aurait recompilé <filename>foo</filename> si nécessaire et se serait arrêté sans aller à la cible <action>install</action>. </para> @@ -1145,7 +1145,7 @@ install: Dans ce cas, <command>make</command> va copier <filename>foo</filename> dans le répertoire de l'utilisateur. Cela est souvent utilisé par les <filename>Makefile</filename>s des applications, ainsi l'application - peut être installée dans le répertoire correct + peut être installée dans le répertoire correct quand elle a été correctement compilée </para> @@ -1203,7 +1203,7 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <step> <para>Tout changement requis pour faire fonctionner le source sur FreeBSD est appliqué— - cela est connu sous le nom de <firstterm>correctif</firstterm><footnote><para>NDT: On entendra plus souvent parler de + cela est connu sous le nom de <firstterm>correctif</firstterm><footnote><para>NDT: On entendra plus souvent parler de <literal>patch</literal>.</para></footnote>. </para> </step> @@ -1225,7 +1225,7 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <step> <para>Le code source pour ce programme est compilé. En effet, nous changeons de répertoire pour le répertoire où le source a été - décompressé et faisons <command>make</command>—le fichier <filename>Makefile</filename> + décompressé et faisons <command>make</command>—le fichier <filename>Makefile</filename> du programme contient les informations nécessaires pour construire le programme. </para> </step> @@ -1286,11 +1286,11 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <para>dans ce répertoire.</para> - <para>Beaucoup d'applications dans les logiciels portés utilisent - <application>GNU make</application>, qui possède un très bon ensemble de page + <para>Beaucoup d'applications dans les logiciels portés utilisent + <application>GNU make</application>, qui possède un très bon ensemble de page d'<quote>info</quote>. Si vous avez installé un de ces logiciels portés, <application>GNU make</application> aura été automatiquement installé - sous le nom de <command>gmake</command>. Il est aussi disponible comme logiciel porté ou + sous le nom de <command>gmake</command>. Il est aussi disponible comme logiciel porté ou logiciel pré-compilé seul. </para> @@ -1304,7 +1304,7 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <para>au fichier. Une fois que vous avez fait ceci, vous pouvez taper <userinput>info</userinput> et ensuite sélectionner - <guimenuitem>make</guimenuitem> dans le menu (ou dans <application>Emacs</application>, + <guimenuitem>make</guimenuitem> dans le menu (ou dans <application>Emacs</application>, faites <userinput>C-h i</userinput>). </para> @@ -1325,7 +1325,7 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz <screen>&prompt.user; <userinput>gdb <replaceable>nomprog</replaceable></userinput> </screen> - <para>bien que la plupart des gens préfèrent le démarrer au + <para>bien que la plupart des gens préfèrent le démarrer au sein d'<application>Emacs</application>. Vous pouvez faire cela avec: </para> @@ -1350,7 +1350,7 @@ DISTFILES= scheme-microcode+dist-7.3-freebsd.tgz </para> <para>Finalement, si vous trouvez son interface texte non fonctionnelle, - il y a une interface graphique pour celui-ci, <ulink url="../../ports/devel.html">xxgdb</ulink>, + il y a une interface graphique pour celui-ci, <ulink url="../../ports/devel.html">xxgdb</ulink>, dans la collection des logiciels portés. </para> @@ -1451,8 +1451,8 @@ bazz (anint=4231) at temp.c:17 <lineannotation><command>gdb</command> montre l </screen> <para>Arrêtons-nous une minute! Comment <symbol>anint</symbol> a eu la valeur - <literal>4231</literal>? Ne l'avons-nous pas mis à <literal>5</literal> - dans <function>main()</function>? Remontons dans <function>main()</function> + <literal>4231</literal>? Ne l'avons-nous pas mis à <literal>5</literal> + dans <function>main()</function>? Remontons dans <function>main()</function> et regardons. </para> @@ -1502,13 +1502,13 @@ main() { listings en hexadécimal de fichiers <filename>core</filename> et transpirer sur leur manuels de code machine, mais la vie est maintenant un peu plus facile. Par chance, sous FreeBSD et les autres systèmes 4.4BSD, un fichier <filename>core</filename> - est appelé <filename><replaceable>nomprog</replaceable>.core</filename> + est appelé <filename><replaceable>nomprog</replaceable>.core</filename> plutôt que juste <filename>core</filename>, pour mieux savoir à quel programme appartient un fichier <filename>core</filename>. </para> - <para>Pour examiner un fichier <filename>core</filename>, démarrez <command>gdb</command> - de façon habituel. Plutôt que de taper <command>break</command> ou + <para>Pour examiner un fichier <filename>core</filename>, démarrez <command>gdb</command> + de façon habituel. Plutôt que de taper <command>break</command> ou <command>run</command>, tapez </para> @@ -1536,14 +1536,14 @@ Cannot access memory at address 0x7020796d. (gdb) </screen> - <para>Dans ce cas, le programme a été appelé <filename>a.out</filename>, - aussi le fichier <filename>core</filename> s'appelle <filename>a.out.core</filename>. - Nous pouvons voir que le programme s'est planté car il a essayé + <para>Dans ce cas, le programme a été appelé <filename>a.out</filename>, + aussi le fichier <filename>core</filename> s'appelle <filename>a.out.core</filename>. + Nous pouvons voir que le programme s'est planté car il a essayé d'accèder à une zone dans la mémoire qui n'était pas disponible dans la fonction appelée <function>bazz</function>. </para> - <para>Quelquefois il est utile de pouvoir voir comment une fonction a été + <para>Quelquefois il est utile de pouvoir voir comment une fonction a été appelée car le problème peut avoir eu lieu bien avant dans la pile des appels dans un programme complexe. La commande <command>bt</command> demande à <command>gdb</command> d'afficher une trace inverse de la pile @@ -1558,7 +1558,7 @@ Cannot access memory at address 0x7020796d. </screen> <para>La fonction <function>end()</function> est appelée lorsque le programme se plante; - dans ce cas, la fonction <function>bazz()</function> a été appelée + dans ce cas, la fonction <function>bazz()</function> a été appelée <function>main()</function>. </para> </sect2> @@ -1618,7 +1618,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ <title>Emacs</title> <para>Malheureusement, les systèmes Unix ne sont pas fournis avec des sortes - d'environnements de développement intégrés + d'environnements de développement intégrés tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-et-beaucoup-plus-dans-un-ensemble-gigantesque que d'autres sytèmes ont. @@ -1633,7 +1633,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ vous voulez. Et c'est gratuit. Et vous en avez les sources. </para> - <para>La clé de tout cela est Emacs. Maintenant il y a des gens qui le détestent, + <para>La clé de tout cela est Emacs. Maintenant il y a des gens qui le détestent, mais beaucoup l'aiment. Si vous êtes un du premier groupe, j'ai peur que cette section ait peu d'intérêt pour vous. Vous aurez besoin d'une quantité moyenne de mémoire pour le faire fonctionner—Je recommenderai 8Mo en mode @@ -1644,7 +1644,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ —en effet, il a été personnalisé au point de ressembler plus à un système d'exploitation qu'à un éditeur! Beaucoup de développeurs et d'administrateurs système passent - en fait pratiquement tout leur temps à travailler dans Emacs, + en fait pratiquement tout leur temps à travailler dans Emacs, en ne le quittant qu'à leur déconnexion. </para> @@ -1711,7 +1711,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ <para>Et sans doute beaucoup plus que je n'ai survolé. </para> - <para>Emacs peut être installé sur FreeBSD en utilisant Emacs + <para>Emacs peut être installé sur FreeBSD en utilisant Emacs <ulink url="../../ports/editors.html">le logiciel porté Emacs</ulink>. </para> @@ -1750,15 +1750,15 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ </para> <para>De cette manière, l'expression ci-dessus signifie maintenir la touche - <keysym>Meta</keysym>, taper <keysym>x</keysym>, relâcher - la touche <keysym>Meta</keysym>, taper <userinput>replace-s</userinput> + <keysym>Meta</keysym>, taper <keysym>x</keysym>, relâcher + la touche <keysym>Meta</keysym>, taper <userinput>replace-s</userinput> (raccourci pour <literal>replace-string</literal>— une autre caractéristique d'Emacs est que vous pouvez abréger les commandes), appuyer sur la touche <keysym>Entrée</keysym>, taper <userinput>foo</userinput> (la chaîne que vous voulez remplacer), presser la touche <keysym>Entrée</keysym>, taper <userinput>bar</userinput> (la chaîne que vous voulez substituer à <literal>foo</literal>) puis appuyer sur - <keysym>Entrée</keysym> une dernière fois. Emacs va alors faire + <keysym>Entrée</keysym> une dernière fois. Emacs va alors faire l'opération chercher-remplacer que vous avez demandé. </para> @@ -1822,7 +1822,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ </listitem> <listitem> - <para>A la première ligne, le <literal>-*- Emacs-Lisp -*-</literal> + <para>A la première ligne, le <literal>-*- Emacs-Lisp -*-</literal> est tel que vous pouvez éditer le fichier <filename>.emacs</filename> lui-même à l'intérieur d'Emacs et d'obtenir tous les fantaisistes dispositifs pour l'édition en Emacs Lisp. Emacs essaye habituellement de deviner cela @@ -1886,7 +1886,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ ;; Ce fichier est concu pour etre reevalue, utiliser la variable first-time ;; pour eviter tout probleme. -(defvar first-time t +(defvar first-time t "Valeur signifiant que c'est la premiere fois que .emacs a ete evalue" ) @@ -1969,7 +1969,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ ) auto-mode-alist))) ;; Mode de verrouillage automatique de la police de caracteres -(defvar font-lock-auto-mode-list +(defvar font-lock-auto-mode-list (list 'c-mode 'c++-mode 'c++-c-mode 'emacs-lisp-mode 'lisp-mode 'perl-mode 'scheme-mode) "List of modes to always start in font-lock-mode") @@ -1981,7 +1981,7 @@ else if (pid == 0) { /* le fils */ (defun font-lock-auto-mode-select () "Automatically select font-lock-mode if the current major mode is in font-lock-auto-mode-list" - (if (memq major-mode font-lock-auto-mode-list) + (if (memq major-mode font-lock-auto-mode-list) (progn (font-lock-mode t)) ) @@ -1994,15 +1994,15 @@ in font-lock-auto-mode-list" (setq dabbrev-always-check-other-buffers t) (setq dabbrev-abbrev-char-regexp "\\sw\\|\\s_") (add-hook 'emacs-lisp-mode-hook - '(lambda () + '(lambda () (set (make-local-variable 'dabbrev-case-fold-search) nil) (set (make-local-variable 'dabbrev-case-replace) nil))) (add-hook 'c-mode-hook - '(lambda () + '(lambda () (set (make-local-variable 'dabbrev-case-fold-search) nil) (set (make-local-variable 'dabbrev-case-replace) nil))) (add-hook 'text-mode-hook - '(lambda () + '(lambda () (set (make-local-variable 'dabbrev-case-fold-search) t) (set (make-local-variable 'dabbrev-case-replace) t))) @@ -2115,7 +2115,7 @@ in font-lock-auto-mode-list" (progn ;; (global-set-key [M-f1] 'hilit-repaint-command) ;; (global-set-key [M-f2] [?\C-u M-f1]) - (setq hilit-mode-enable-list + (setq hilit-mode-enable-list '(not text-mode c-mode c++-mode emacs-lisp-mode lisp-mode scheme-mode) hilit-auto-highlight nil @@ -2128,7 +2128,7 @@ in font-lock-auto-mode-list" ) ;; Terminal de type TTY -(if (and (not window-system) +(if (and (not window-system) (not (equal system-type 'ms-dos))) (progn (if first-time @@ -2173,7 +2173,7 @@ in font-lock-auto-mode-list" <title>Etendre la palette de langages qu'Emacs comprend</title> <para>Maintenant, Emacs est très bien si vous voulez seulement programmer - dans des langages déjà fournis dans le fichier <filename>.emacs</filename> + dans des langages déjà fournis dans le fichier <filename>.emacs</filename> (C, C++, Perl, Lisp et Scheme), mais qu'arrive-t-il si un nouveau langage appelé <quote>whizbang</quote> sort, plein d'excitantes fonctionnalités ? </para> @@ -2226,22 +2226,22 @@ in font-lock-auto-mode-list" par <filename>.wiz</filename>. </para> - <para>Juste en-dessous, vous trouverez l'entrée <symbol>font-lock-auto-mode-list</symbol>. + <para>Juste en-dessous, vous trouverez l'entrée <symbol>font-lock-auto-mode-list</symbol>. Ajoutez <function>whizbang-mode</function> à celle-ci comme ceci : </para> <programlisting>;; Auto font lock mode -(defvar font-lock-auto-mode-list +(defvar font-lock-auto-mode-list (list 'c-mode 'c++-mode 'c++-c-mode 'emacs-lisp-mode 'whizbang-mode 'lisp-mode 'perl-mode 'scheme-mode) "List of modes to always start in font-lock-mode")</programlisting> - <para>Cela signifie qu'Emacs autorisera toujours <function>font-lock-mode</function> + <para>Cela signifie qu'Emacs autorisera toujours <function>font-lock-mode</function> (ie colorisation de la syntaxe) pendant l'édition d'un fichier <filename>.wiz</filename>. </para> <para>Et c'est tout ce qui est nécessaire. S'il y a quoique ce soit que vous voulez de fait automatiquement quand vous ouvrez un fichier - <filename>.wiz</filename>, vous pouvez ajouter un <function>whizbang-mode hook</function> + <filename>.wiz</filename>, vous pouvez ajouter un <function>whizbang-mode hook</function> (voir <function>my-scheme-mode-hook</function> pour un exemple simple qui ajoute <function>auto-indent</function>, l'auto-indentation). </para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/usb/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/usb/chapter.sgml index f72365f9f6..b2b14c668a 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/usb/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/usb/chapter.sgml @@ -2,9 +2,9 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: chapter.sgml,v 1.1 2002-02-14 14:25:03 gioria Exp $ - Original revision: 1.1 + Original revision: 1.1 $FreeBSD$ --> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/Makefile index 3ea4fd0be5..bd0fcd905b 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/Makefile @@ -16,13 +16,13 @@ INSTALL_COMPRESSED?= gz INSTALL_ONLY_COMPRESSED?= JADEFLAGS+=-Vbiblio-xref-title -# +# # SRCS lists the individual SGML files that make up the document. Changes # to any of these files will force a rebuild # # SGML content -SRCS= book.sgml +SRCS= book.sgml DOC_PREFIX?= ${.CURDIR}/../../.. diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml index cd970c34f7..be9bf27213 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml @@ -41,7 +41,7 @@ <abstract> <para>Ceci est la FAQ pour les versions de FreeBSD 2.X, 3.X et 4.X. Toutes les entrées sont relatives à FreeBSD - 2.05 et les versions ultérieures. + 2.05 et les versions ultérieures. La dernière version de ce document est disponible en anglais à l'adresse suivante : <ulink url="http://www.fr.FreeBSD.ORG/"> FreeBSD World Wide Web @@ -71,9 +71,9 @@ <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: 1.33 ---> +--> <chapter id="introduction"> <beginpage/> @@ -84,17 +84,17 @@ <para>Comme toutes les FAQ Usenet, ce document contient les questions les plus fréquemment posées à propos du système d'exploitation FreeBSD, ainsi que leurs réponses. Bien que -destinées, à l'origine, à réduire le trafic et éviter que -les mêmes questions soient posées encore et encore, les FAQ +destinées, à l'origine, à réduire le trafic et éviter que +les mêmes questions soient posées encore et encore, les FAQ sont maintenant reconnues comme de précieuses sources d'information. </para> - <para>Tous les efforts ont été apportés pour rendre -cette FAQ la plus complète possible. Si vous avez des commentaires + <para>Tous les efforts ont été apportés pour rendre +cette FAQ la plus complète possible. Si vous avez des commentaires la concernant ou si vous voulez y contribuer, envoyez un e-mail au <ulink url="mailto:freebsd-france@freebsd.francenet.fr">responsable de cette -FAQ</ulink>. +FAQ</ulink>. </para> </sect1> @@ -102,8 +102,8 @@ FAQ</ulink>. <title>FreeBSD c'est quoi ?</title> <para>Pour résumer, FreeBSD 2.X est un système d'exploitation -UN*X basé sur la distribution 4.4BSD-lite de l'université de -Berkeley pour des plate-formes i386. +UN*X basé sur la distribution 4.4BSD-lite de l'université de +Berkeley pour des plate-formes i386. Il est aussi basé indirectement sur le portage de William Jolitz de la distribution Net/2 de l'université de Berkeley, plus connu sous le nom de 386BSD, mais très peu de code de @@ -125,21 +125,21 @@ FreeBSD</ulink> pour vous faire une idée.</para> référez vous au <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel de FreeBSD</ulink></para> </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Quels sont les buts de FreeBSD ?</title> <para>L'objectif du projet FreeBSD est de fournir un logiciel qui puisse être utilisé à n'importe quelle fin et sans aucun restriction. - Nombre d'entre nous sont impliqués de façon significative dans le + Nombre d'entre nous sont impliqués de façon significative dans le code (et dans le projet) et ne refuseraient certainement pas une - petite compensation financière de temps à autre, mais ce n'est - certainement pas dans nos intentions d'insister là dessus. Nous + petite compensation financière de temps à autre, mais ce n'est + certainement pas dans nos intentions d'insister là dessus. Nous croyons que notre première et principale “mission” est de fournir du code à tout le monde, pour n'importe quel projet, de façon à ce que l'il soit utilisé le plus possible et avec le maximum d'avantages. C'est, nous le pensons, l'un des objectifs les plus fondamentaux du Logiciel Libre et l'un de ceux que nous soutenons avec enthousiasme.</para> - + <para>Le code de l'arborescence des sources, qui est régi par la Licence Publique GNU (“GNU Public License” - GPL) ou @@ -147,37 +147,37 @@ url="&url.handbook;index.html">manuel de FreeBSD</ulink></para> Public License” - GLPL) impose légèrement plus de contraintes, bien que plutôt liées à une disponibilité plus grande qu'au contraire, comme c'est généralement le cas. En raison des - complications supplémentaires qui peuvent résulter de l'utilisation + complications supplémentaires qui peuvent résulter de l'utilisation commerciale de logiciels GPL, nous essayons, cependant de remplacer ces derniers par des logiciels soumis à la licence BSD qui est plus souple, chaque fois que c'est possible.</para> </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Pourquoi le nom FreeBSD ?</title> <para><itemizedlist> <listitem> <para>Il peut être utilisé gratuitement, même pour un usage commercial.</para> </listitem> - <listitem><para>L'intégralité des sources est disponible -gratuitement, et le moins de restrictions possible ont été placées sur + <listitem><para>L'intégralité des sources est disponible +gratuitement, et le moins de restrictions possible ont été placées sur son utilisation, sa distribution et son incorporation dans d'autres travaux (à des fins commerciales ou non).</para> </listitem> - <listitem><para>N'importe quelle personne qui a une nouvelle fonctionnalité -et/ou une correction de bogue peut soumettre une portion de -code, qui pourra être inclus dans l'arbre de + <listitem><para>N'importe quelle personne qui a une nouvelle fonctionnalité +et/ou une correction de bogue peut soumettre une portion de +code, qui pourra être inclus dans l'arbre de développement (moyennant une ou deux conditions évidentes).</para> </listitem> </itemizedlist> </para> <para> Pour ceux de nos lecteurs dont la langue maternelle n'est pas l'anglais, il est important de rappeler que le mot "free" -est utilisé ici de deux manières, l'une signifiant "gratuitement" -et l'autre "vous pouvez faire ce que vous voulez". +est utilisé ici de deux manières, l'une signifiant "gratuitement" +et l'autre "vous pouvez faire ce que vous voulez". Excepté une ou deux choses que vous <emphasis>ne pouvez</emphasis> -pas faire avec le code FreeBSD, par exemple prétendre que vous l'avez +pas faire avec le code FreeBSD, par exemple prétendre que vous l'avez développé, vous pouvez réellement faire ce que vous en voulez. </para> </sect1> @@ -193,17 +193,17 @@ RELEASE</emphasis>. remap="bf">-stable</emphasis> est destinée aux fournisseurs d'accès à l'Internet et autres utilisateurs professionnels qui recherchent un système stable ainsi que des changements mineurs lors de la -mise à jour de leur système en dernière version. +mise à jour de leur système en dernière version. <!-- Actuellement ces deux versions ne font qu'une, mais il ne devrait pas tarder avant que la branche <emphasis remap="bf">-current</emphasis> soit suffisemment polie pour une distribution générale. </para> <para>Cela ne veut pas dire que la version 3.0-STABLE n'est pas -utilisable en production, et beaucoup de personnes qui ont besoin de +utilisable en production, et beaucoup de personnes qui ont besoin de nouvelles fonctionnalités spécifiques à la version 3.0 (nouvelle version des compilateurs, code réseau plus optimisé, etc) ont décidé de tenter leur chance sans problèmes. Nous ne voulons -tout simplement pas <quote>certifier</quote> la version 3.0 comme +tout simplement pas <quote>certifier</quote> la version 3.0 comme bonne pour le service avant qu'elle ne soit livrée comme 3.1-RELEASE en février 1999. --> </para> @@ -227,14 +227,14 @@ pour plus de détails sur l'utilisation de -current.</para> ou que vous n'êtes pas capable de différencier un problème temporaire d'un problème critique, vous ne devez pas utiliser FreeBSD-current. Cette branche évolue assez rapidement et peut ne pas -être compilée pendant un certain temps. +être compilée pendant un certain temps. <!-- --> Les personnes utilisant FreeBSD-current doivent être capables d'analyser n'importe quel problème et de ne rapporter que les erreurs utiles. -<!-- +<!-- People that use FreeBSD-current are expected to be able to analyze any problems and only report them if they are deemed to be mistakes rather than ``glitches''. Questions such as ``make world produces some error about groups'' on the -current mailing list are sometimes treated with contempt. @@ -255,7 +255,7 @@ de chaque version de test sont les suivants: <listitem> <para>Donner aux personnes voulant utiliser -current mais n'ayant pas le temps ou la bande passante pour suivre jour après jour -les évolutions du système, une façon simple de faire +les évolutions du système, une façon simple de faire évoluer leur système.</para> </listitem> @@ -307,23 +307,23 @@ ASCII qui vous montre à quoi ressemble l'arbre de développement : <figure> <title>L'arbre de développement</title> <programlisting> - 2.0 - | - | - | [2.1-stable] -*Nouvelle BRANCHE* 2.0.5 -> 2.1 -> 2.1.5 -> 2.1.6 -> 2.1.7.1 [fin de la branche 2.1-stable] - | (Mars 1997) - | - | - | [2.2-stable] + 2.0 + | + | + | [2.1-stable] +*Nouvelle BRANCHE* 2.0.5 -> 2.1 -> 2.1.5 -> 2.1.6 -> 2.1.7.1 [fin de la branche 2.1-stable] + | (Mars 1997) + | + | + | [2.2-stable] *Nouvelle BRANCHE* 2.2.1 -> 2.2.2-RELEASE -> 2.2.5 -> 2.2.6 -> 2.2.7 -> 2.2.8 [fin] |(Mars 1997) (Octobre 97) (Avril 98) (Juillet 98) (Décembre 1998) - | - | - 3.0-SNAPs (Debut 1er trimestre 1997) - | - | - 3.0.0-RELEASE (Octobre 1998) + | + | + 3.0-SNAPs (Debut 1er trimestre 1997) + | + | + 3.0.0-RELEASE (Octobre 1998) | | [3.0-stable] *Nouvelle BRANCHE* 3.1 (Feb 1999) -> ... future 3.x releases ... @@ -335,7 +335,7 @@ ASCII qui vous montre à quoi ressemble l'arbre de développement : </programlisting> </figure> - <para> La branche -current progresse lentement vers la version 4.0 et au-delà, + <para> La branche -current progresse lentement vers la version 4.0 et au-delà, la branche 2.2-stable étant terminée avec la version 2.2.8. La branche 3.0-stable l'a maintenant remplacée, la prochaine version arrivant avec la 3.1 au début 1999 . La version 4.0-current est maintenant la "branche @@ -391,7 +391,7 @@ url="http://www.openbsd.org">OpenBSD</ulink></para> </para> </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Qui sont les responsables de FreeBSD ?</title> <para>Les décisions concernant le projet FreeBSD, comme les @@ -405,7 +405,7 @@ code.</para> <para>Bien sûr, la plupart des changements sont discutés au préalable dans les listes de messagerie, et il n'y a aucune restriction -sur qui peut prendre part à la discussion.</para> +sur qui peut prendre part à la discussion.</para> </sect1> @@ -459,11 +459,11 @@ développeurs.</para> Le Monde en Tique 6 rue du Maître Albert 75005 PARIS -FRANCE -Téléphone :01 55 42 73 73 -Télécopie :01 55 42 73 74 +FRANCE +Téléphone :01 55 42 73 73 +Télécopie :01 55 42 73 74 WWW:<ulink url="http://www.lmet.fr">Serveur WWW du Monde en Tique</ulink> -Ouverture : Du lundi au samedi, de 9h30 à 19h30 sans interruption +Ouverture : Du lundi au samedi, de 9h30 à 19h30 sans interruption Métro : Ligne 10 : Station Maubert - Mutualité Rer B : Cluny - La Sorbonne, Sortie : Boulevard Saint-Michel - Boulevard Saint-Germain Rer C : Saint Michel - Notre Dame, Sortie : Notre-Dame @@ -489,10 +489,10 @@ Questions: +1 925 674-0783 FAX: +1 925 674-0821 email: <ulink url="mailto:orders@cdrom.com">Commandes Walnut Creek</ulink> WWW: <ulink url="http://www.cdrom.com/">Serveur WWW de Walnut Creek</ulink> -</programlisting> +</programlisting> </para> - <para> En Australie chez : + <para> En Australie chez : <programlisting> Advanced Multimedia Distributors Factory 1/1 Ovata Drive @@ -638,7 +638,7 @@ WWW à l'adresse suivante : <ulink url="http://gnn.com/gnn/bus/ora/category/bsd.html">http://gnn.com/gnn/bus/ora/category/bsd.html</ulink>. Vu le peu de ventes, ces livres sont relativement difficiles a trouver.</para> - <para>Pour plus d'informations sur le noyau 4.4BSD vous pouvez vous + <para>Pour plus d'informations sur le noyau 4.4BSD vous pouvez vous reporter au livre suivant : <programlisting> @@ -793,7 +793,7 @@ traduction de la documentation.</para> <sect1> <title>Autres sources d'informations.</title> - <para>Les forums de discussion suivants se rapportent à FreeBSD + <para>Les forums de discussion suivants se rapportent à FreeBSD <itemizedlist> <listitem> @@ -850,13 +850,13 @@ lien</ulink>.</para> url="&url.handbook;bibliography.html"> bibliographie</ulink> plus importante, si vous recherchez d'autres livres ou informations.</para> </sect1> - + </chapter> <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: n.nn --> @@ -868,7 +868,7 @@ importante, si vous recherchez d'autres livres ou informations.</para> <title>Quels fichiers télécharger pour installer FreeBSD ?</title> <para> Vous n'avez généralement besoin que d'une image-disque, le -fichier <filename path="floppies/boot.flp">floppies/boot.flp</filename>, que vous copiez sur +fichier <filename path="floppies/boot.flp">floppies/boot.flp</filename>, que vous copiez sur une disquette 1.44 Mo et qui permet de démarrer pour pouvoir télécharger le reste (l'installation prend en charge votre connexion TCP/IP, votre lecteur de bandes, CDROM, disquettes, partitions DOS, tout ce @@ -899,7 +899,7 @@ path="src/ssys.*">src/ssys.*</filename></para> </itemizedlist> </para> - <para>Vous trouverez les instructions complètes pour cette procédure et un peu + <para>Vous trouverez les instructions complètes pour cette procédure et un peu plus au sujet de l'installation en général dans la section <ulink url="../handbook/install.html"> installation de FreeBSD</ulink> du manuel.</para> </sect1> @@ -910,7 +910,7 @@ installation de FreeBSD</ulink> du manuel.</para> <title>A l'aide ! L'image-disque de démarrage ne tient pas sur une seule disquette !</title> <para> Une disquette 3,5 pouces (1.44 Mo) peut contenir jusqu'à -1474560 octets de données. La taille du fichier image est exactement +1474560 octets de données. La taille du fichier image est exactement 1474560 octets.</para> <para>Les erreurs courantes concernant la création de la @@ -921,15 +921,15 @@ disquette de démarrage sont les suivantes : <command>binary</command> en utilisant FTP</para> <para>Certains clients FTP mettent par défaut le transfert en mode -<emphasis>ASCII</emphasis>, et essayent de changer le -caractère de fin de ligne reçu pour correspondre aux conventions utilisées -par le système client. Cela altère presque inévitablement le fichier +<emphasis>ASCII</emphasis>, et essayent de changer le +caractère de fin de ligne reçu pour correspondre aux conventions utilisées +par le système client. Cela altère presque inévitablement le fichier image. Vérifiez la taille du fichier image téléchargé: si elle n'est pas <emphasis>exactement </emphasis> la même que sur le serveur, alors le processus de téléchargement est suspect.</para> -<para>Une solution simple : tapez <command>binary</command> à l'invite FTP, -après la connexion sur le serveur et avant le démarrage du +<para>Une solution simple : tapez <command>binary</command> à l'invite FTP, +après la connexion sur le serveur et avant le démarrage du téléchargement de l'image.</para> </listitem> <listitem> @@ -940,10 +940,10 @@ l'image de démarrage sur la disquette.</para> <para> Les programmes comme <command>copy</command> ne fonctionnent pas correctement avec les images, car ils ne -peuvent créer une disquette de démarrage. L'image est le contenu exact de la disquette, +peuvent créer une disquette de démarrage. L'image est le contenu exact de la disquette, piste à piste, et ne peut être copiée sur la disquette comme un fichier normal. Vous devez la transférer sur la -disquette en mode brut {raw} en utilisant les outils de bas niveau {low-level} <command>fdimage</command> +disquette en mode brut {raw} en utilisant les outils de bas niveau {low-level} <command>fdimage</command> ou <command>rawrite</command>. Ces outils sont décrits dans la section <ulink url="../handbook/install.html">installation de FreeBSD</ulink> du manuel.</para> </listitem> @@ -964,8 +964,8 @@ installation de FreeBSD</ulink> du manuel. <sect1> <title>De quoi ai-je besoin pour faire tourner FreeBSD ?</title> - <para> Vous avez besoin d'un PC 386 ou mieux, avec 5Mo ou plus de mémoire vive (RAM) -et au moins 60Mo de disque dur. Il suffit d'une carte graphique MDA, + <para> Vous avez besoin d'un PC 386 ou mieux, avec 5Mo ou plus de mémoire vive (RAM) +et au moins 60Mo de disque dur. Il suffit d'une carte graphique MDA, mais pour utiliser X11R6, une carte video VGA ou mieux est nécessaire.</para> <para>Voir aussi la section <ulink url="hardware.html"> compatibilité matérielle</ulink>.</para> @@ -984,22 +984,22 @@ besoin d'au moins 5Mo de mémoire vive pour être installées sur un nouveau systèm <para>Toutes les versions de FreeBSD, y compris la version 3.0, peuvent fonctionner avec 4Mo de mémoire vive, mais ne peuvent pas exécuter le programme d'installation en 4Mo. - Vous pouvez ajouter de la mémoire vive supplémentaire pour le processus -d'installation, si vous voulez, et quand le système + Vous pouvez ajouter de la mémoire vive supplémentaire pour le processus +d'installation, si vous voulez, et quand le système fonctionne, revenir à 4Mo. Ou vous pouvez placer votre disque sur un système disposant de plus de 4Mo, effectuer l'installation et l'échanger à nouveau.</para> <para>Il y a malgré tout des situations dans lesquelles FreeBSD 2.1.7 ne peut s'installer avec 4Mo. Pour être exact : cette version de n'installe pas avec 640Ko de mémoire de base et 3Mo de -mémoire étendue. Si votre carte mère peut +mémoire étendue. Si votre carte mère peut réallouer quelques blocs mémoire <quote>perdue</quote> hors de la région entre 640Ko et 1Mo alors vous pourrez installer FreeBSD 2.1.7</para> <para> Regardez dans la configuration de votre BIOS si vous disposez d'un option <quote>remap</quote>. Si oui, activez la. Vous devez -aussi désactiver la copie miroir de la mémoire ROM.</para> +aussi désactiver la copie miroir de la mémoire ROM.</para> <para>Il est plus simple d'augmenter la mémoire vive à plus de 4Mo pour l'installation, construire un noyau contenant juste les options dont vous avez @@ -1009,12 +1009,12 @@ besoin, puis revenir à une configuration avec 4Mo.</para> 2.0.5 et effectuer une mise à jour de votre système en version 2.1.7 avec l'option <option>upgrade</option> du programme d'installation de la 2.1.7.</para> - <para>Après l'installation, si vous construisez un noyau sur mesure, + <para>Après l'installation, si vous construisez un noyau sur mesure, cela tournera sans problème avc 4Mo. Certaines personnes ont même réussi a démarrer sur un système disposant de 2Mo de mémoire vive (bien sûr le système fut complétement inutilisable :-)).</para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment créer ma propre disquette d'installation ?</title> @@ -1022,7 +1022,7 @@ vive (bien sûr le système fut complétement inutilisable :-)).</para> une disquette d'installation personnalisée. Vous devez créer une distribution complète, qui contiendra votre disquette d'installation. Le code se trouvant dans -<filename>/usr/src/release/floppies/Makefile</filename> peut +<filename>/usr/src/release/floppies/Makefile</filename> peut laisser supposer que vous pouvez créer votre disquette, mais ce n'est pas le cas actuellement.</para> @@ -1044,9 +1044,9 @@ url="&url.tutorials;multios/index.html">cohabitation de plusieurs systèmes d'exp <title>Est-ce que Windows 95 peut coexister avec FreeBSD ? </title> <para> Installez en premier Windows 95, puis FreeBSD. Le -gestionnaire de démarrage de FreeBSD, vous permet de démarrer -indifféremment sous Windows 95 ou FreeBSD. Si vous installez Windows 95 en second, -il surchargera votre gestionnaire de démarrage sans même +gestionnaire de démarrage de FreeBSD, vous permet de démarrer +indifféremment sous Windows 95 ou FreeBSD. Si vous installez Windows 95 en second, +il surchargera votre gestionnaire de démarrage sans même poser une question. Si cela arrive, voir la section suivante.</para> </sect1> @@ -1079,12 +1079,12 @@ ré-installé</para> <listitem> <para>Démarrez à nouveau sous FreeBSD avec la disquette de démarrage et allez dans le menu <literal>Custom installation</literal>. -Choisissez <literal>Partition</literal> Sélectionnez le disque devant contenir +Choisissez <literal>Partition</literal> Sélectionnez le disque devant contenir le gestionnaire de démarrage (probablement le premier) et -quand vous arrivez dans l'éditeur de partition, la première chose à faire -(c'est à dire n'effectuer aucun changement) sélectionnez <literal>(W)rite</literal>. Vous serez -interrogé pour confirmation, répondez <literal>yes</literal>, et quand vous obtenez -le menu de sélection du gestionnaire de +quand vous arrivez dans l'éditeur de partition, la première chose à faire +(c'est à dire n'effectuer aucun changement) sélectionnez <literal>(W)rite</literal>. Vous serez +interrogé pour confirmation, répondez <literal>yes</literal>, et quand vous obtenez +le menu de sélection du gestionnaire de démarrage, assurez vous de bien sélectionner <literal>Boot manager</literal>. Cela re-écrit le gestionnaire de démarrage sur le disque. Ensuite quittez le programme d'installation et redémarrez à partir du disque dur normalement.</para> @@ -1102,7 +1102,7 @@ quittez le programme d'installation et redémarrez à partir du disque dur url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?bad144">bad144</ulink>) de FreeBSD n'est pas fiable à 100% ; il serait plus juste de dire que si vous disposez d'un disque IDE ou ESDI avec énormement de <foreignphrase>bad -blocks</foreignphrase>, alors FreeBSD n'est pas +blocks</foreignphrase>, alors FreeBSD n'est pas pour vous ! En fait FreeBSD tourne sur des centaines de systèmes à base de disques IDE, il vaut mieux essayer avant de vous décourager.</para> @@ -1113,7 +1113,7 @@ voyez <ulink url="#awre">cette réponse</ulink></para> <sect1> <title>Il se passe des choses étranges lorsque je démarre depuis la disquette d'installation !</title> - + <para>Si vous détectez des choses comme : un blocage de la machine, un redémarrage inopiné de votre système avec la disquette d'installation, posez vous les 3 questions suivantes :</para> @@ -1122,20 +1122,20 @@ d'installation, posez vous les 3 questions suivantes :</para> <listitem> <para>Avez-vous utilisé une disquette neuve, sans erreurs (préférez une disquette sortie de la boîte plutôt qu'une disquette provenant -du dernier magazine oublié sous votre lit depuis trois ans) ?</para> +du dernier magazine oublié sous votre lit depuis trois ans) ?</para> </listitem> <listitem> - <para>Avez vous téléchargé l'image en mode binaire (ne -vous offusquez pas, même les meilleurs d'entre nous, + <para>Avez vous téléchargé l'image en mode binaire (ne +vous offusquez pas, même les meilleurs d'entre nous, ont téléchargé des fichiers en mode ASCII au moins une fois) ? </para> </listitem> <listitem> <para>Si vous utilisez des systèmes d'exploitation récents -comme Windows 95 ou Windows NT, avez vous arrété le système et -redémarré en DOS simple et honnête ? Il semble que ces systèmes peuvent interférer +comme Windows 95 ou Windows NT, avez vous arrété le système et +redémarré en DOS simple et honnête ? Il semble que ces systèmes peuvent interférer avec des programmes -qui écrivent directement sur le matériel, comme c'est le cas des programmes de -création de disquette ; même en l'exécutant dans une fenêtre DOS +qui écrivent directement sur le matériel, comme c'est le cas des programmes de +création de disquette ; même en l'exécutant dans une fenêtre DOS de windows cela peut causer ces problèmes.</para> </listitem> </orderedlist></para> @@ -1150,10 +1150,10 @@ pouvez.</para> <sect1> <title>Je n'arrive pas à installer à partir de la bande</title> - <para>Si vous installez la version 2.1.7R à partir d'une + <para>Si vous installez la version 2.1.7R à partir d'une bande, vous devez créer la bande en utilisant un facteur de blocage de 10 (5120 octets). Le facteur de blocage par défaut de <filename>tar</filename> est 20 (10240 -octets), et les bandes crées en utilisant cette valeur par défaut +octets), et les bandes crées en utilisant cette valeur par défaut ne peuvent pas être utilisées pour installer la version 2.1.7R ; avec ce type de bande vous obtiendrez une erreur disant que la taille des enregistrements est trop grande.</para> @@ -1199,8 +1199,8 @@ IP Address 10.0.0.1 10.0.0.2 # ifconfig lp0 10.0.0.2 10.0.0.1 </programlisting> -<para>C'est tout ! Lisez aussi les manpages -<citerefentry><refentrytitle>lp</refentrytitle><manvolnum>4</manvolnum></citerefentry> and +<para>C'est tout ! Lisez aussi les manpages +<citerefentry><refentrytitle>lp</refentrytitle><manvolnum>4</manvolnum></citerefentry> and <citerefentry><refentrytitle>lpt</refentrytitle><manvolnum>4</manvolnum></citerefentry>.</para> @@ -1208,7 +1208,7 @@ IP Address 10.0.0.1 10.0.0.2 <programlisting> - 127.0.0.1 localhost.my.domain localhost + 127.0.0.1 localhost.my.domain localhost 10.0.0.1 max.my.domain max 10.0.0.2 moritz.my.domain moritz </programlisting> @@ -1221,7 +1221,7 @@ IP Address 10.0.0.1 10.0.0.2 <programlisting> $ ifconfig lp0 lp0: flags=8851<UP,POINTOPOINT,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1500 - inet 10.0.0.1 --> 10.0.0.2 netmask 0xff000000 + inet 10.0.0.1 --> 10.0.0.2 netmask 0xff000000 $ netstat -r @@ -1256,26 +1256,26 @@ round-trip min/avg/max/stddev = 2.530/2.643/2.774/0.103 ms <title>Cable parallèle</title> <informalexample> <screen> - +----------------------------------------+ - |A-name A-End B-End Descr. Port/Bit | - +----------------------------------------+ - |DATA0 2 15 Data 0/0x01 | - |-ERROR 15 2 1/0x08 | - +----------------------------------------+ - |DATA1 3 13 Data 0/0x02 | - |+SLCT 13 3 1/0x10 | - +----------------------------------------+ - |DATA2 4 12 Data 0/0x04 | - |+PE 12 4 1/0x20 | - +----------------------------------------+ - |DATA3 5 10 Strobe 0/0x08 | - |-ACK 10 5 1/0x40 | - +----------------------------------------+ - |DATA4 6 11 Data 0/0x10 | - |BUSY 11 6 1/0x80 | - +----------------------------------------+ - |GND 18-25 18-25 GND - | - +----------------------------------------+ + +----------------------------------------+ + |A-name A-End B-End Descr. Port/Bit | + +----------------------------------------+ + |DATA0 2 15 Data 0/0x01 | + |-ERROR 15 2 1/0x08 | + +----------------------------------------+ + |DATA1 3 13 Data 0/0x02 | + |+SLCT 13 3 1/0x10 | + +----------------------------------------+ + |DATA2 4 12 Data 0/0x04 | + |+PE 12 4 1/0x20 | + +----------------------------------------+ + |DATA3 5 10 Strobe 0/0x08 | + |-ACK 10 5 1/0x40 | + +----------------------------------------+ + |DATA4 6 11 Data 0/0x10 | + |BUSY 11 6 1/0x80 | + +----------------------------------------+ + |GND 18-25 18-25 GND - | + +----------------------------------------+ </screen> </informalexample> </figure> @@ -1331,7 +1331,7 @@ FreeBSD n'arrive pas à détecter la géométrie correctement au moment de l'installation, la façon la plus simple de faire, est de créer une petite partition DOS sur le disque. La géométrie correcte sera alors détectée (et vous pourrez toujours retirer la partition DOS dans -l'éditeur de partitions si vous ne voulez pas la garder ou conservez la +l'éditeur de partitions si vous ne voulez pas la garder ou conservez la pour la programmation de cartes réseau).</para> <para>Une autre solution est d'utiliser un outil disponible librement distribué avec @@ -1345,7 +1345,7 @@ entrer cette géométrie dans l'éditeur de partitions.</para> <sect1> <title>Y a-t-il des restrictions sur la façon de partitionner le disque ?</title> - + <para>Oui. Vous devez vous assurer que la partition <quote><filename>/</filename></quote> <quote><filename>{root}</filename></quote> se trouve dans les 1024 premiers cylindres, pour permettre au BIOS de trouver le noyau. (Notez que c'est une @@ -1362,18 +1362,18 @@ dans les 504 premiers Mo.</para> <sect1> <title>A propos des gestionnaires de disque ? Ou bien, j'ai un disque de grande capacité !</title> - + <para>FreeBSD reconnait le gestionnaire "Ontrack Disk Manager" et le tolère. Les autres gestionnaires de disque ne sont pas supportés.</para> - - <para>Si vous voulez utiliser le disque uniquement avec FreeBSD, + + <para>Si vous voulez utiliser le disque uniquement avec FreeBSD, vous n'avez pas besoin de gestionnaire de disque. Configurez -simplement le disque pour utiliser le maximum de place reconnue par le +simplement le disque pour utiliser le maximum de place reconnue par le BIOS (la plupart du temps 504Mo), et FreeBSD trouvera de lui même la -capacité de votre disque. Si vous utilisez un vieux disque avec +capacité de votre disque. Si vous utilisez un vieux disque avec un controlleur MFM, vous devrez donner explicitement à FreeBSD le nombre de cylindres à utiliser.</para> - + <para>Si vous voulez utiliser le disque avec FreeBSD et un autre système d'exploitation, vous n'aurez pas besoin d'un gestionnaire de disque: assurez vous que la partition de démarrage de FreeBSD et @@ -1390,7 +1390,7 @@ système d'exploitation, sont en conflit à propos de la <anchor id="geometry2"/> géométrie du disque. Vous devez alors réinstaller FreeBSD, en faisant attention à toutes les informations qui vous sont présentées.</para> - + </sect1> <sect1> @@ -1398,19 +1398,19 @@ qui vous sont présentées.</para> <para>Ceci est un autre symptôme du problème décrit à la question précédente. La géométrie trouvée par le BIOS et celle de FreeBSD ne sont pas les mêmes. Si votre contrôleur ou votre -BIOS supporte la translation de cylindres (souvent indiquée comme "Support des disques >1Go"), +BIOS supporte la translation de cylindres (souvent indiquée comme "Support des disques >1Go"), essayez de changer les paramètres et réinstallez FreeBSD.</para> </sect1> - + <sect1> <title id="bigram">Je dispose de plus de 16Mo de RAM. Est-ce que cela peut poser un problème ?</title> <para>Mis à part les problèmes de performances, non. FreeBSD 2.X inclus des <quote>bounce buffers</quote> permettant à votre bus principal d'accéder à plus de 16Mo de mémoire. (Notez que cela n'est vrai que pour les -périphériques ISA, et quelques périphériques EISA +périphériques ISA, et quelques périphériques EISA ou VLB).</para> - + <para>Voyez aussi la section parlant des ordinateurs <ulink url="#reallybigram">plus de 64Mo de RAM</ulink>, si vous avez autant de mémoire, ou si vous utilisez un ordinateur Compaq ou un autre BIOS qui donne de mauvaises @@ -1439,13 +1439,13 @@ sources).</para> comment l'on construit un système avec, cela permettra d'avoir une façon très simple pour mettre à jour votre système vers les prochaines versions de FreeBSD.</para> - + <para>Pour n'installer qu'une partie des sources, utilisez le menu <literal> Custom</literal> quand vous êtes dans le menu <literal>Distributions</literal> du programme d'installation. Le script <filename>src/install.sh</filename> peut installer aussi certains éléments des sources, en fonction des arguments que vous lui passez.</para> - + </sect1> <sect1> @@ -1461,7 +1461,7 @@ paramètres de la plupart des cartes ISA.</para> <para>Il est encore recommandé construire un nouveau noyau contenant juste les pilotes dont avez besoin, seulement pour -économiser un peu de RAM, mais ce n'est plus une exigence stricte pour la +économiser un peu de RAM, mais ce n'est plus une exigence stricte pour la plupart des systèmes.</para> </sect1> @@ -1580,7 +1580,7 @@ suivantes : démarre, lancez la commande <command> echo "1:wd(2,a)kernel" > /boot.config</command> pour affecter la bonne chaîne de démarrage.</para> - + </listitem> <listitem> <para>Déplacez le disque FreeBSD sur le controleur primaire, @@ -1600,32 +1600,32 @@ disk wd1 at wdc1 drive 0 # change from wd2 to wd1 disk wd2 at wdc1 drive 1 # change from wd3 to wd2 </programlisting> - Puis installez le nouveau noyau. Si vous avez déplacé -vos disques et vous voulez restaurer la configuration précédente, + Puis installez le nouveau noyau. Si vous avez déplacé +vos disques et vous voulez restaurer la configuration précédente, placez les disques dans la configuration désirée puis redémarrez. Votre système doit démarrer correctement.</para> </listitem> </itemizedlist> </para> - + </sect1> <sect1> <title>Quelles sont les limites mémoire ? </title> - <para>Pour la mémoire, la limite est (en théorie) 4Go. + <para>Pour la mémoire, la limite est (en théorie) 4Go. Un essai a été fait avec un Go ; vous ne pourrez probablement pas acheter des PC i386 pouvant supporter plus que cela.</para> </sect1> <sect1> -<title>Quelles sont les tailles limites pour les systèmes de fichiers +<title>Quelles sont les tailles limites pour les systèmes de fichiers FFS ?</title> <para>La taille maximum théorique d'un système de fichiers FFS est de 8 téraoctets (2G blocs) ou de 16To avec la taille de bloc par -défaut de 8K. Il y a en pratique une limite logicielle à +défaut de 8K. Il y a en pratique une limite logicielle à 1 téraoctet mais, avec quelques modifications, il est possible d'avoir des systèmes de fichiers de 4 téraoctet (et il en existe).</para> @@ -1649,24 +1649,24 @@ taille de bloc -stable -current marche devrait marcher </programlisting> - -<para>Quand la taille du bloc est de 4K, l'adressage du bloc par indirection triple + +<para>Quand la taille du bloc est de 4K, l'adressage du bloc par indirection triple fonctionne et la limite devrait être définie par le plus grand numéro de bloc qui peut être reprété avec une indirection triple (approximativement 1K^3 + 1K^2 + 1K), mais la limite effective est en fait donnée par une valeur (erronée) de 1G-1 pour le nombre de blocs maximum. Cette valeur devraite être de 2G-1. -Il y a des bogues avec les blocs dont le numéro est voisin de 2G-1, +Il y a des bogues avec les blocs dont le numéro est voisin de 2G-1, et ces blocs ne peuvent être adressés quand la taille du bloc est de 4K. </para> <para>Pour les tailles de blocs de 8K et plus, tout devrait être limité par la valeur de 2G-1 pour les numéros de blocs, mais l'est en fait par la valeur maximum de 1G-1, hormis sous -stable, les blocs adressés par -indirection triple ne peuvent être atteints, la limite est donc +indirection triple ne peuvent être atteints, la limite est donc donnée par le plus grand numéro de bloc qui peut être -adressé par une double indirection (approximativement +adressé par une double indirection (approximativement (taille du bloc/4)^2 + (taille du bloc/4)), et dépasser cette limite sous -current peut poser des problèmes. Utiliser la valeur correcte de 2G-1 blocs posent à coup sûr des problèmes.</para> @@ -1677,11 +1677,11 @@ de 2G-1 blocs posent à coup sûr des problèmes.</para> <para>J'en ai plusieurs - virtuels - sur disquette :-). La taille maximum d'un fichier n'a pas de lien étroit avec la dimension maximum -d'un disque. Un disque peut avoir jusqu'à un 1To. Il est +d'un disque. Un disque peut avoir jusqu'à un 1To. Il est fonctionnellement possible d'avoir un fichier plus grand que le disque.</para> -<para>L'exemple suivant crée un fichier de 8T-1 occupant 32K d'espace disque. -(3 blocs indirects et 1 bloc de données) sur une petite partition racine. Il +<para>L'exemple suivant crée un fichier de 8T-1 occupant 32K d'espace disque. +(3 blocs indirects et 1 bloc de données) sur une petite partition racine. Il faut pour cela une version de la commande <command>dd</command> qui fonctionne sur de gros fichiers.</para> @@ -1719,9 +1719,9 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: 1.15 ---> +--> <chapter id="hardware"> @@ -1730,10 +1730,10 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit <sect1> <title>Quels sont les types de disques durs supportés par FreeBSD ?</title> - <para>FreeBSD supporte les disques EIDE et SCSI (pour les contrôleurs - compatibles, voir la section suivante), ainsi que tous les disques - utilisant l'interface originale "Western Digital" (MFM, RLL, ESDI - et bien sûr IDE). + <para>FreeBSD supporte les disques EIDE et SCSI (pour les contrôleurs + compatibles, voir la section suivante), ainsi que tous les disques + utilisant l'interface originale "Western Digital" (MFM, RLL, ESDI + et bien sûr IDE). Quelques contrôleurs ESDI utilisant des interfaces propriétaires peuvent ne pas marcher: utilisez les interfaces WD1002/3/6/7 et leurs clones.</para> @@ -1763,8 +1763,8 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit </itemizedlist> </para> - <para>Toutes les cartes non-SCSI sont connues pour être extrêmement lentes - par rapport aux lecteurs SCSI, et certains CDROM ATAPI peuvent ne pas + <para>Toutes les cartes non-SCSI sont connues pour être extrêmement lentes + par rapport aux lecteurs SCSI, et certains CDROM ATAPI peuvent ne pas être pris en charge.</para> <para>A partir de la version 2.2, le CD-ROM FreeBSD de Walnut Creek @@ -1776,20 +1776,20 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit <para>FreeBSD supporte bien sûr les lecteurs ZIP SCSI de base - <foreignphrase>out of the box</foreignphrase>. - Les lecteurs ZIP ne peuvent être réglés que pour marcher sur les cibles + Les lecteurs ZIP ne peuvent être réglés que pour marcher sur les cibles SCSI d'adresse 5 ou 6, mais si le BIOS de votre adaptateur SCSI hôte - le permet, vous pourrez même démarrer à partir du ZIP. + le permet, vous pourrez même démarrer à partir du ZIP. Je ne sais pas quel adaptateur SCSI hôte vous permet de démarrer depuis des cibles autres que 0 ou 1... regardez votre documentation (et dites moi si cela marche pour vous).</para> - <para>Les ZIP ATAPI (IDE) sont pris en charge par FreeBSD 2.2.6 + <para>Les ZIP ATAPI (IDE) sont pris en charge par FreeBSD 2.2.6 ainsi que par les versions ultérieures.</para> <para>FreeBSD 3.0-STABLE contient le support pour lecteur ZIP - sur port parallèle, mais pour cela, vous aurez à construire - un nouveau noyau avec support pour ppbus (Parallel Port Bus) - afin d'utiliser le ZIP. + sur port parallèle, mais pour cela, vous aurez à construire + un nouveau noyau avec support pour ppbus (Parallel Port Bus) + afin d'utiliser le ZIP. Prendre le fichier de configuration LINT comme exemple.</para> <para>Regarder aussi cette note traitant <link linkend="jaz">des @@ -1800,13 +1800,13 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit <sect1> <title>Est-ce que FreeBSD supporte JAZ, EZ et autres disques amovibles ?</title> - <para>A part la version IDE du lecteur EZ, ce sont tous des - périphériques SCSI, alors pour FreeBSD, ils sont considérés comme des + <para>A part la version IDE du lecteur EZ, ce sont tous des + périphériques SCSI, alors pour FreeBSD, ils sont considérés comme des disques SCSI, et le lecteur IDE EZ est considéré comme un lecteur IDE. </para> <para><anchor id="jaz"/>Je ne suis pas sûr que FreeBSD supporte - correctemement un changement de media en cours de fonctionnement. + correctemement un changement de media en cours de fonctionnement. Vous devrez bien sûr démonter le lecteur avant l'échange, et vous assurer que les unités externes soient allumées pendant le démarrage du système de sorte que FreeBSD puisse les voir.</para> @@ -1815,7 +1815,7 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit <sect1> <title> Quelles sont les cartes séries multi-ports prises en charge par FreeBSD ?</title> - <para>Une liste est disponible à la section + <para>Une liste est disponible à la section <ulink url="&url.handbook;install.html#INSTALL-HW">périphériques divers </ulink> du handbook.</para> @@ -1823,7 +1823,7 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit sont connues pour fonctionner, en particulier celles qui se disent être compatibles AST.</para> - <para>Regarder la page de manuel + <para>Regarder la page de manuel <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sio">sio</ulink> pour plus d'informations sur la configuration de telles cartes.</para> </sect1> @@ -1831,7 +1831,7 @@ ttyv0:bde@alphplex:/tmp/q> exit <sect1> <title>J'ai une souris bus inhabituelle. Comment la configurer ?</title> - <para>FreeBSD supporte les souris bus et les souris bus InPort de + <para>FreeBSD supporte les souris bus et les souris bus InPort de constructeurs tels que Microsoft, Logitech et ATI. Le contrôleur du bus est compilé dans le noyau GENERIC par défaut. Si vous construisez un noyau personalisé avec le contrôleur de souris bus, assurez-vous d'avoir bien @@ -1843,7 +1843,7 @@ device mse0 at isa? port 0x23c tty irq5 vector mseintr </para> <para>La souris bus vient souvent avec une interface dédiée. - Cela vous permet de mettre une adresse de port et un numéro + Cela vous permet de mettre une adresse de port et un numéro d'IRQ autres que ceux donnés ci-dessus. Reportez-vous au manuel de votre souris et à la page de manuel <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?mse">mse</ulink> @@ -1853,18 +1853,18 @@ device mse0 at isa? port 0x23c tty irq5 vector mseintr <sect1> <title id="ps2mouse">Comment utiliser ma souris PS/2 (``port souris'' ou ``clavier'') ?</title> - <para>Si vous utilisez une version de FreeBSD post-2.2.5, le pilote - nécessaire, psm, est inclu et activé dans le noyau. + <para>Si vous utilisez une version de FreeBSD post-2.2.5, le pilote + nécessaire, psm, est inclu et activé dans le noyau. Le noyau devrait détecter votre souris PS/2 au moment du démarrage.</para> - <para>Si vous utilisez une version précédente mais assez récente de + <para>Si vous utilisez une version précédente mais assez récente de FreeBSD (2.1.x ou mieux), alors vous pouvez simplement l'activer - dans le menu de configuration du noyau à l'installation, ou plus tard - avec -c à l'invite du démarrage (boot). Il est désactivé par défaut, + dans le menu de configuration du noyau à l'installation, ou plus tard + avec -c à l'invite du démarrage (boot). Il est désactivé par défaut, c'est pourquoi vous aurez à l'activer explicitement.</para> - <para>Si vous utilisez une version plus ancienne du noyau, alors - vous aurez à ajouter la ligne suivante dans la configuration + <para>Si vous utilisez une version plus ancienne du noyau, alors + vous aurez à ajouter la ligne suivante dans la configuration de votre noyau, et compiler un nouveau noyau : <programlisting> @@ -1876,7 +1876,7 @@ device psm0 at isa? port "IO_KBD" conflicts tty irq 12 vector psmintr Handbook sur la configuration du noyau</ulink> si vous n'avez aucune expérience dans la construction d'un noyau.</para> - <para>Un fois que vous aurez un noyau détectant correctement psm0 au + <para>Un fois que vous aurez un noyau détectant correctement psm0 au moment du démarrage, assurez vous qu'une entrée pour psm0 existe bien dans /dev. Vous pouvez le faire en tapant : @@ -1892,25 +1892,25 @@ cd /dev; sh MAKEDEV psm0 <title id="moused">Puis-je utiliser ma souris en dehors de X Window ?</title> <para>Si vous utilisez le pilote de console par défaut, syscons, vous - pourrez utiliser un curseur souris dans les consoles texte pour couper + pourrez utiliser un curseur souris dans les consoles texte pour couper et coller du texte. Lancer le démon (de gestion de la) souris : moused, et déclencher le curseur de souris dans la console virtuelle. <programlisting> -moused -p /dev/xxxx -t yyyy +moused -p /dev/xxxx -t yyyy vidcontrol -m on </programlisting> </para> - <para>Où <filename>xxxx</filename> est le nom du périphérique souris et - <filename>yyyy</filename> le type de protocole pour la souris. + <para>Où <filename>xxxx</filename> est le nom du périphérique souris et + <filename>yyyy</filename> le type de protocole pour la souris. Voir la page de manuel - <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?moused">moused</ulink> + <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?moused">moused</ulink> pour les types de protocoles supportés.</para> - <para> Peut-être préférez-vous lancer le démon gérant la souris au - moment du démarrage du système. + <para> Peut-être préférez-vous lancer le démon gérant la souris au + moment du démarrage du système. Dans la version 2.2.1, positionnez les variables suivantes dans <filename>/etc/sysconfig</filename>. @@ -1920,7 +1920,7 @@ mousedport="xxxx" mousedflags="" </programlisting> - Dans les versions 2.2.2 et plus, positionnez les variables + Dans les versions 2.2.2 et plus, positionnez les variables suivantes dans <filename>/etc/rc.conf</filename>. <programlisting> @@ -1929,15 +1929,15 @@ moused_port="xxxx" moused_flags="" </programlisting> - A partir de la version 2.2.6 de FreeBSD, le démon souris - est capable de déterminer le type de protocole approprié - automatiquement à moins que votre souris série ne soit d'un modèle + A partir de la version 2.2.6 de FreeBSD, le démon souris + est capable de déterminer le type de protocole approprié + automatiquement à moins que votre souris série ne soit d'un modèle relativement ancien. Spécifiez ``<filename>auto</filename>'' comme protocole pour activer la détection automatique.</para> <para>Quand le démon souris tourne, l'accès à la souris doit être - coordonné entre le démon souris et les autres programmes + coordonné entre le démon souris et les autres programmes comme X-Window. Se référer à <link linkend="x-and-moused">une autre section</link> de ce document.</para> </sect1> @@ -1945,7 +1945,7 @@ moused_flags="" <sect1> <title>Comment puis-je couper et coller du texte avec ma souris dans ma console texte ?</title> - <para>Une fois que vous aurez réussi à lancer le démon souris + <para>Une fois que vous aurez réussi à lancer le démon souris (voir <link linkend="moused">section précédente</link>), appuyez en le maintenant sur le bouton 1 (bouton de gauche) et déplacez la souris afin de sélectionner une partie du texte. Puis, appuyez @@ -1953,10 +1953,10 @@ moused_flags="" de droite) pour le coller à l'endroit du curseur texte.</para> <para>Dans les versions 2.2.6 et plus, un clic sur le bouton 2 collera - le texte. Un clic sur le bouton droit ``étendra'' la partie de - texte sélectionné. + le texte. Un clic sur le bouton droit ``étendra'' la partie de + texte sélectionné. Si votre souris n'a pas de bouton du milieu, vous - pouvez l'émuler ou redéfinir les boutons en utilisant les + pouvez l'émuler ou redéfinir les boutons en utilisant les options de la souris. Se reporter à la page de référence <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?moused">moused</ulink> pour plus de détails.</para> @@ -1965,12 +1965,12 @@ moused_flags="" <sect1> <title>Ma souris a une roulette et des boutons ésotériques. Puis-je les utiliser sous FreeBSD ?</title> - <para> Malheureusement, la réponse est: ``Cà dépend''. - Ces souris avec des fonctionnalités supplémentaires ont - besoin de pilotes spéciaux dans la majorité des cas. + <para> Malheureusement, la réponse est: ``Cà dépend''. + Ces souris avec des fonctionnalités supplémentaires ont + besoin de pilotes spéciaux dans la majorité des cas. Alors, à moins que le pilote de la souris ou que le - programme utilisateur ait un support spécifique pour cette - souris, la souris se comportera comme une souris standard 2 ou 3 + programme utilisateur ait un support spécifique pour cette + souris, la souris se comportera comme une souris standard 2 ou 3 boutons.</para> </sect1> @@ -1985,21 +1985,21 @@ moused_flags="" <sect1> <title>Quels types de lecteurs de bandes sont supportés ?</title> - <para> FreeBSD supporte les lecteurs de bandes magnétique SCSI, + <para> FreeBSD supporte les lecteurs de bandes magnétique SCSI, QIC-36 (avec une interface QIC-02) et QIC-40/80 (basés sur l'interface Floppy). Ceci inclut les lecteurs 8-mm (connus sous le nom d'Exabyte) et lecteurs DAT. Les lecteurs QIC-40/80 sont connus pour être lents.</para> <para>Parmi les premiers lecteurs 8-mm, quelques-uns ne sont pas tout à - fait compatibles SCSI-2, et peuvent de ce fait ne pas très bien + fait compatibles SCSI-2, et peuvent de ce fait ne pas très bien marcher avec FreeBSD.</para> </sect1> <sect1> <title>FreeBSD supporte-t-il les changeurs de bandes ?</title> - <para>FreeBSD 2.2 gère les changeurs SCSI en utilisant le périphérique + <para>FreeBSD 2.2 gère les changeurs SCSI en utilisant le périphérique <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ch(4)">ch</ulink> ainsi que la commande <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?chio" >chio</ulink>. @@ -2009,9 +2009,9 @@ moused_flags="" <para>Si vous n'utilisez pas <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?amanda">AMANDA</ulink> - ou un autre produit qui gère déjà les changeurs, - souvenez-vous qu'ils ne savent que déplacer une bande d'un - point à un autre. Par conséquent, vous devrez garder une + ou un autre produit qui gère déjà les changeurs, + souvenez-vous qu'ils ne savent que déplacer une bande d'un + point à un autre. Par conséquent, vous devrez garder une trace de l'emplacement dans lequel une bande est mise, ainsi que celui où la bande courante devra revenir.</para> </sect1> @@ -2019,18 +2019,18 @@ moused_flags="" <sect1> <title>Quelles sont les cartes son supportées par FreeBSD ?</title> - <para>FreeBSD prend en charge les cartes son: SoundBlaster, - SoundBlaster Pro, SoundBlaster 16, Pro Audio Spectrum 16, - AdLib et Gravis UltraSound. + <para>FreeBSD prend en charge les cartes son: SoundBlaster, + SoundBlaster Pro, SoundBlaster 16, Pro Audio Spectrum 16, + AdLib et Gravis UltraSound. Il y a aussi un support limité pour les cartes MPU-401 et compatible MIDI. - Les cartes conformes aux spécifications Microsoft Sound System + Les cartes conformes aux spécifications Microsoft Sound System sont aussi supportées par l'intermédiaire du pilote pcm.</para> <note> <para>Ceci n'est valable que pour les sons! Ce pilote ne supporte pas les CD-ROMs, SCSI ou joysticks sur - ces cartes, excepté pour la SoundBlaster. + ces cartes, excepté pour la SoundBlaster. L'interface SCSI SoundBlaster et quelques CD-ROM non-SCSI sont aussi supportés. Mais vous ne pourrez pas démarrer depuis ces périphériques.</para> @@ -2052,19 +2052,19 @@ moused_flags="" toutes les autres machines en ont déjà un intégré dans la CPU.</para> </note> - <para>En règle générale, il n'y a pas d'inconvénient, mais il + <para>En règle générale, il n'y a pas d'inconvénient, mais il existe des circonstances dans lesquelles cela peut causer des problèmes aussi bien au niveau des performances qu'au niveau de la précision du code d'émulation arithmétique (voir la section <link linkend="emul">sur l'émulation FP</link>). - En particulier, le dessin de courbes sous X sera TRES lent. - Il est hautement recommandé d'acheter un coprocesseur arithmétique : + En particulier, le dessin de courbes sous X sera TRES lent. + Il est hautement recommandé d'acheter un coprocesseur arithmétique : c'est quand même mieux avec !</para> <note> <para>Certains coprocesseurs mathématiques sont meilleurs que d'autres. Cela nous peine de le dire, mais personne n'a jamais été licencié - pour avoir acheté de l'Intel. + pour avoir acheté de l'Intel. A moins que d'être sûr qu'ils fonctionnent avec FreeBSD, méfiez-vous des clones !</para> </note> @@ -2079,9 +2079,9 @@ moused_flags="" <sect1> <title>FreeBSD supporte-t-il le gestionnaire d'énergie de mon portable ?</title> - <para>FreeBSD supporte l'APM sur certaines machines. + <para>FreeBSD supporte l'APM sur certaines machines. Regardez dans le fichier de configuration du noyau - <filename>LINT</filename>, et cherchez le mot-clef + <filename>LINT</filename>, et cherchez le mot-clef <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?apm">APM</ulink>.</para> </sect1> @@ -2110,7 +2110,7 @@ moused_flags="" <sect1> <title>J'ai un nouveau contrôleur Adaptec, et FreeBSD ne le reconnait pas.</title> - <para> Les nouvelles puces de la série Adaptec AIC789x sont supportées + <para> Les nouvelles puces de la série Adaptec AIC789x sont supportées dans le cadre du CAM SCSI qui démarre avec la 3.0. Des patches pour la version 2.2-STABLE sont disponibles à <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/cam/" > @@ -2126,19 +2126,19 @@ moused_flags="" <para>Vous devez ajouter l'ID PnP du modem à la liste des ID PnP dans le pilote série. - Pour activer le support Plug & Play, il faut compiler un nouveau + Pour activer le support Plug & Play, il faut compiler un nouveau noyau avec <filename>controller pnp0</filename> dans le fichier de configuration, puis redémarrer le système. Le noyau affichera alors - l'ID PnP de tous les périphériques qu'il trouvera. + l'ID PnP de tous les périphériques qu'il trouvera. Copier alors l'ID PnP du modem dans le tableau de - <filename>/sys/i386/isa/sio.c</filename>, vers la ligne 1200. - Cherchez la chaîne de caractère "SUP1310" dans la structure - "siopnp_ids[]" pour trouver le tableau. - Construire à nouveau le noyau, installer, redémarrer, et votre + <filename>/sys/i386/isa/sio.c</filename>, vers la ligne 1200. + Cherchez la chaîne de caractère "SUP1310" dans la structure + "siopnp_ids[]" pour trouver le tableau. + Construire à nouveau le noyau, installer, redémarrer, et votre modem devrait être reconnu.</para> - <para>Vous pouvez configurer manuellement les périphériques PnP en - utilisant la commande `pnp' à la configuration au moment du démarrage, + <para>Vous pouvez configurer manuellement les périphériques PnP en + utilisant la commande `pnp' à la configuration au moment du démarrage, avec une commande du style : <programlisting> @@ -2157,7 +2157,7 @@ pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8 </para></listitem> <listitem><para> Créer un fichier /boot.config avec pour seul contenu - <filename>-P</filename> + <filename>-P</filename> </para></listitem> <listitem><para> Déconnecter le clavier du système. @@ -2172,8 +2172,8 @@ pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8 <sect1> <title>Pourquoi ma carte réseau 3Com PCI ne marche pas avec mon Micron ?</title> - <para>Certaines cartes mères Micron ont une implémentation non-conforme - du BIOS PCI qui ne configure pas les périphériques PCI à l'adresse + <para>Certaines cartes mères Micron ont une implémentation non-conforme + du BIOS PCI qui ne configure pas les périphériques PCI à l'adresse annoncée. Cela cause des problèmes quand FreeBSD démarre.</para> @@ -2199,9 +2199,9 @@ pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8 <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: 1.9 ---> +--> <chapter id="troubleshoot"> <title>Résolutions des incidents. **Mise à jour en cours**</title> @@ -2339,7 +2339,7 @@ pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8 les autres cartes Buslogic (Bustek = Buslogic).</para> <para>Il y a 2 ``versions'' générales de la carte 742a. - Ce sont les révisions matérielles A-G et H - et plus. + Ce sont les révisions matérielles A-G et H - et plus. La lettre de révision est placée après le numéro d'assemblage sur le bord de la carte. La 742a possède 2 puces ROM dessus, l'une est la puce BIOS et l'autre @@ -2353,9 +2353,9 @@ pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8 d'adaptatation pour votre révision de matériel.</para> <para>Les cartes REV A-G ne peuvent recevoir que les versions de - BIOS/Firmware 2.41/2.21. + BIOS/Firmware 2.41/2.21. Les cartes REV H - et plus peuvent accepter les plus récente - versions de BIOS/Firmware 4.70/3.37. + versions de BIOS/Firmware 4.70/3.37. La différence entre ces jeux de firmware est que le 3.37 supporte l'allocation tournante (<foreignphrase>``round robin''</foreignphrase>). </para> @@ -2397,11 +2397,11 @@ pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8 l'auto-configuration de FreeBSD ne peut actuellement pas très bien gérer cette situation.</para> - <para>Donc, pour le moment, le mieux que vous ayez à faire, est + <para>Donc, pour le moment, le mieux que vous ayez à faire, est de prétendre qu'il n'y a pas de conflit de plage d'adresse :-), en propulsant l'option du noyau <filename>EISA_SLOTS</filename> à la valeur 12. - Configurez et compilez un noyau comme décrit dans + Configurez et compilez un noyau comme décrit dans <ulink url="&url.handbook;kernelconfig.html">le manuel de référence sur la configuration du noyau</ulink>.</para> @@ -2418,7 +2418,7 @@ eisa 12 quit </programlisting> - <para>au prompt, et installez le système comme d'habitude. + <para>au prompt, et installez le système comme d'habitude. Quoiqu'il en soit, il est recommandé de compiler et d'installer un noyau adapté.</para> @@ -2439,18 +2439,18 @@ quit <title> Que se passe-t'il avec le contrôleur CMD640 IDE controller? </title> <para> -Il ne marche pas, Il ne peut pas manipuler des commandes sur +Il ne marche pas, Il ne peut pas manipuler des commandes sur les deux canaux simultanément. </para> <para> -Il y a un détour disponible à présent, et elle s'active automatiquement +Il y a un détour disponible à présent, et elle s'active automatiquement si votre système utilise cette puce. Pour plus de détails, référez-vous à la page de manuel du driver de dique (man 4 wd). </para> <para> -Si vous lancez déjà FreeBSD 2.2.1 ou 2.2.2 avec un contrôleur +Si vous lancez déjà FreeBSD 2.2.1 ou 2.2.2 avec un contrôleur IDE CMD640 et que vous voulez utiliser le deuxième canal, construisez un nouveau noyau avec les options <filename>options "CMD640"</filename> activé. Il est mis par défaut pour FreeBSD 2.2.5 et plus. @@ -2488,13 +2488,13 @@ a pas de liaison sur le port UTP ou si le cable est déconnecté. <para> Vous devez spécifier à <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?mount"> mount </ulink> -le type de périphérique que vous voulez monter. Par défaut, +le type de périphérique que vous voulez monter. Par défaut, <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?mount"> mount </ulink> supposera que le système de fichier est de type ``<filename>ufs</filename>''. Vous pouvez vouloir monter un système de fichier CDROM, et vous pouvez le -faire en spécifiant l'option ``<filename>-t cd9660</filename>'' à -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?mount"> mount </ulink>. +faire en spécifiant l'option ``<filename>-t cd9660</filename>'' à +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?mount"> mount </ulink>. Cela suppose évidemment que le CDROM contienne un système de fichier ISO 9660 , qui est celui qu'ont presque tous les CDROM. Comme pour le 1.1R, FreeBSD comprend automatiquement les extensions @@ -2503,7 +2503,7 @@ Rock Ridge (nom long). <para> Par exemple, si vous voulez monter le lecteur CDROM -``<filename>/dev/cd0c</filename>'', sous le répertoire <filename>/mnt</filename>, +``<filename>/dev/cd0c</filename>'', sous le répertoire <filename>/mnt</filename>, vous aurez à exécuter : <programlisting> @@ -2512,7 +2512,7 @@ mount -t cd9660 /dev/cd0c /mnt </para> <para> -Bien noter que le nom du périphérique (``<filename>/dev/cd0c</filename>'' +Bien noter que le nom du périphérique (``<filename>/dev/cd0c</filename>'' de cet exemple peut être différent suivant l'interface du CDROM. Noter que l'option ``<filename>-t cd9660</filename>'' ne fait qu'exécuter la commande @@ -2553,7 +2553,7 @@ options "SCSI_DELAY=15" <para> Si c'est du parallèle, et que le seul problème est qu'elle est -terriblement lente, essayez de positionner votre port imprimante +terriblement lente, essayez de positionner votre port imprimante en mode ``poller'': <programlisting> @@ -2577,9 +2577,9 @@ que même si chaque programme de test de mémoire essayeront de vous dire que tout va bien, il est possible que certaines rares zones de mémoire passent tous les tests mémoires, mais échouent pourtant durant certaines conditions d'opération (comme pendant qu'un bus maîtrise l'accès direct -à la mémoire depuis un contrôleur SCSI comme l'Adaptec 1542, quand vous +à la mémoire depuis un contrôleur SCSI comme l'Adaptec 1542, quand vous chargez la mémoire en compilant le noyau, ou quand le système tourne -dans des conditions très critiques) +dans des conditions très critiques) </para> <para> @@ -2594,7 +2594,7 @@ mauvais contrôleur cache. Essayez de désactiver le cache secondaire dans la setup BIOS, et regardez si cela résoud le problème. </para> - <para>Il y a une FAQ plus détaillée sur + <para>Il y a une FAQ plus détaillée sur <ulink url="http://www.bitwizard.nl/sig11/"> la FAQ du problème SIG11 </ulink> </para> </sect1> @@ -2607,9 +2607,9 @@ Ceci est un problème connu avec les cartes vidéo ATI Mach 64. Le problème est que cette carte utilise l'adresse <filename>2e8</filename>, et que le quatrième port série aussi. Dû à un bug (une fonctionnalité ?) dans le driver -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sio"> sio.c </ulink>, +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sio"> sio.c </ulink>, cela touchera ce port même si vous n'avez pas ce quatrième -port série, et *même* si vous désactives sio3 (le quatrième +port série, et *même* si vous désactives sio3 (le quatrième port) qui utilise normalement cette adresse. </para> @@ -2617,12 +2617,12 @@ port) qui utilise normalement cette adresse. <itemizedlist> <listitem><para> -Entrez <filename>-c</filename> à l'invite. +Entrez <filename>-c</filename> à l'invite. (Cela mettra le noyau en mode configuration). </para></listitem> - <listitem><para>Désactivez <filename>sio0</filename>, - <filename>sio1</filename>, <filename>sio2</filename> and - <filename>sio3</filename> (tous). + <listitem><para>Désactivez <filename>sio0</filename>, + <filename>sio1</filename>, <filename>sio2</filename> and + <filename>sio3</filename> (tous). De cette manière, le driver sio ne sera pas activé. et donc plus de problèmes. </para></listitem> @@ -2633,7 +2633,7 @@ et donc plus de problèmes. <para> Si vous voulez pouvoir utiliser les ports séries, vous aurez à construire -un nouveau noyau avec les modifications suivantes : +un nouveau noyau avec les modifications suivantes : Dans <filename>/usr/src/sys/i386/isa/sio.c</filename> cherchez la seule occurence de la chaîne <filename>0x2e8</filename> et enlevez cette chaîne et la virgule @@ -2643,9 +2643,9 @@ normale de la construction d'un nouveau noyau. <para> Même après avoir appliqué toutes ces astuces, vous pouvez trouver que X -Window ne marche pas correctement, Certaines nouvelles cartes vidéo +Window ne marche pas correctement, Certaines nouvelles cartes vidéo ATI Mach 64 (notamment ATI Mach Xpression) ne marche pas avec la version -actuelle de <filename>XFree86</filename>; l'écran devient noir quand vous démarrez +actuelle de <filename>XFree86</filename>; l'écran devient noir quand vous démarrez X Window, ou alors il marche avec des problèmes étranges. Vous pouvez obtenir la version beta d'un nouveau serveur X qui marche mieux. Regardez sur @@ -2709,7 +2709,7 @@ Où <filename>n</filename> est votre mémoire en KiloOctet. Pour une machine &agra <para> La panique indique que le système n'a plus de mémoire virtuelle pour les -buffers réseau (spécialement mbuf clusters). Vous pouvez augmenter +buffers réseau (spécialement mbuf clusters). Vous pouvez augmenter la quantité de mémoire virtuelle disponible pour les clusters mbuf en ajoutant : </para> @@ -2725,8 +2725,8 @@ vous aurez à supporter. Je vous recommande d'utiliser 2048 - cela devrait vous débarasser complètement de cette panique. Vous pouvez contrôler le nombre de clusters mbuf alloué/en cours d'utilisation sur votre système, avec -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?netstat"> netstat -m </ulink>. -La valeur par défaut pour NMBCLUSTERS est +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?netstat"> netstat -m </ulink>. +La valeur par défaut pour NMBCLUSTERS est <filename>512 + MAXUSERS * 16/</filename>. </para> </sect1> @@ -2751,12 +2751,12 @@ rm /var/db/kvm_*.db <sect1> <title>ahc0: brkadrint, Illegal Host Access at seqaddr 0x0</title> <para> -C'est un conflit avec l'adaptateur hôte Ultrastor SCSI. +C'est un conflit avec l'adaptateur hôte Ultrastor SCSI. </para> <para> Durant la procédure de boot, entrez dans le menu de configuration du -noyau et désactivez +noyau et désactivez <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?uha(4)"> uha0" </ulink> qui est à la cause de ce problème. </para> @@ -2782,14 +2782,14 @@ Vous avez demandé que les mails adressés au domaine (par exemple domain.net) soient dirigés vers un hôte spécifique (dans ce cas relay.domain.net) en utilisant un enregistrement MX, mais la machine de relai ne s'est pas reconnu lui-même comme domain.net. Ajoutez domain.net à /etc/sendmail.cw -(si vous utilisez FEATURE(use_cw_file)) ou ajoutez "Cw domain.net" à +(si vous utilisez FEATURE(use_cw_file)) ou ajoutez "Cw domain.net" à /etc/sendmail.cf. </programlisting> <para> -La version actuelle de +La version actuelle de <ulink url="ftp://rtfm.mit.edu/pub/usenet/news.answers/mail/sendmail-faq"> la FAQ sendmail </ulink> n'est plus maintenue avec la release sendmail. Mais elle est de toute façon postée régulièrement à : @@ -2801,8 +2801,8 @@ façon postée régulièrement à : Vous pouvez aussi en recevoir une copie par courrier électronique, en envoyant un mail à : <ulink url="mailto:mail-server@rtfm.mit.edu"> mail-server@rtfm.mit.edu </ulink> -avec la commande -with the command "send usenet/news.answers/mail/sendmail-faq" +avec la commande +with the command "send usenet/news.answers/mail/sendmail-faq" comme corps de message. </para> </sect1> @@ -2820,14 +2820,14 @@ Il y a un certains nombres de contournement de ce problème : <listitem><para> Après s'être loggué sur la machine distante, positionnez votre variable d'environnement TERM à soit <filename>ansi</filename> soit <filename>sco</filename>.</para></listitem> - <listitem><para>Utilisez localement un émulateur VT100 comme + <listitem><para>Utilisez localement un émulateur VT100 comme <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?screen">. screen </ulink> <filename>screen</filename> permet la possibilité de lancer plusieurs sessions concurentes depuis un terminal.</para></listitem> <listitem><para>Installez l'entrée <filename>cons25</filename> du terminal dans la base de données sur la machine distante.</para></listitem> <listitem><para> -fire up X et login vers la machine distante depuis un +fire up X et login vers la machine distante depuis un <filename>xterm</filename>. </para></listitem> </itemizedlist> @@ -2840,22 +2840,22 @@ fire up X et login vers la machine distante depuis un <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: 1.4 ---> +--> <chapter id="commercial"> <title>Applications commerciales. **Mise à jour en cours**</title> <para> NOTE : -Cette section est encore très clairsemée, car nous espérons -naturellement, que les industries y contribueront :-) -L'organisation FreeBSD n'a aucun intérêt financier dans aucune des +Cette section est encore très clairsemée, car nous espérons +naturellement, que les industries y contribueront :-) +L'organisation FreeBSD n'a aucun intérêt financier dans aucune des sociétés énumérées ici, mais les liste simplement comme service public -(et estime que l'intérêt commercial dans FreeBSD peut avoir des effets -très positifs sur la viabilité à long terme de FreeBSD). -Nous encourageons les constructeurs de logiciel commerciaux -à envoyer leurs références ici pour inclusion. Voir +(et estime que l'intérêt commercial dans FreeBSD peut avoir des effets +très positifs sur la viabilité à long terme de FreeBSD). +Nous encourageons les constructeurs de logiciel commerciaux +à envoyer leurs références ici pour inclusion. Voir <ulink url="http://www.fr.freebsd.org/commercial/commercial.html"> les pages des constructeurs </ulink> pour une liste plus complète. </para> @@ -2863,7 +2863,7 @@ pour une liste plus complète. <sect1> <title> Où puis je obtenir Motif pour FreeBSD ? </title> <para> -Contactez <ulink url="http://www.apps2go.com">Apps2go</ulink> pour une distribution ELF +Contactez <ulink url="http://www.apps2go.com">Apps2go</ulink> pour une distribution ELF Motif 2.1 pour FreeBSD. </para> @@ -2873,7 +2873,7 @@ Cette distribution comprend : <listitem><para> OSF/Motif manager, xmbind, panner, wsm. </para></listitem> - + <listitem><para> Les librairies ELF statiques et dynamiques (utilisables avec FreeBSD 3.0 et supérieur). @@ -2881,7 +2881,7 @@ Les librairies ELF statiques et dynamiques (utilisables avec FreeBSD </para></listitem> <listitem><para> -Kit de développement avec les fichiers +Kit de développement avec les fichiers uil, mrm, xm, xmcxx, include et Imake. </para></listitem> @@ -2893,7 +2893,7 @@ Des applications de démonstration. </para> <para> -Soyez sûr d'indiquer que vous voulez la version de FreeBSD de Motif +Soyez sûr d'indiquer que vous voulez la version de FreeBSD de Motif lors de la commande ! Des versions pour NetBSD et OpenBSD sont également vendues par <emphasis remap="apps2go">Apps2go</emphasis>. Vous avez actuellement juste la possiblité de télécharger en FTP. @@ -2903,7 +2903,7 @@ actuellement juste la possiblité de télécharger en FTP. Ou les addresse de messageries du département des <ulink url="mailto:sales@apps2go.com">ventes </ulink> ou encore - du <ulink url="mailto:support@apps2go.com">support </ulink> + du <ulink url="mailto:support@apps2go.com">support </ulink> Tél: (817) 431 8775 ou +1 817 431-8775 </programlisting> @@ -2921,9 +2921,9 @@ Cette distribution comprend : <listitem><para> OSF/Motif manager, xmbind, panner, wsm. </para></listitem> - + <listitem><para> -Kit de développement avec les fichiers +Kit de développement avec les fichiers uil, mrm, xm, xmcxx, include et Imake. </para></listitem> @@ -2946,13 +2946,13 @@ Les pages de manuel préformattées </para> <para> -Soyez sûr d'indiquer que vous voulez la version de FreeBSD de Motif +Soyez sûr d'indiquer que vous voulez la version de FreeBSD de Motif lors de la commande ! Des versions pour Linux sont également vendues par <emphasis remap="metrox">Metro Link</emphasis>. La distribution est disponible par téléchargement FTP ou sur un CDROM.</para> <para> -Contactez <ulink url="http://www.xig.com">Xi Graphics</ulink> pour une distribution a.out +Contactez <ulink url="http://www.xig.com">Xi Graphics</ulink> pour une distribution a.out Motif 2.0 pour FreeBSD. </para> @@ -2962,7 +2962,7 @@ Cette distribution comprend : <listitem><para> OSF/Motif manager, xmbind, panner, wsm. </para></listitem> - + <listitem><para> Les librairies a.out statiques et dynamiques (utilisables avec FreeBSD 2.2.8 et supérieur). @@ -2970,7 +2970,7 @@ Les librairies a.out statiques et dynamiques (utilisables avec FreeBSD </para></listitem> <listitem><para> -Kit de développement avec les fichiers +Kit de développement avec les fichiers uil, mrm, xm, xmcxx, include et Imake. </para></listitem> @@ -2986,7 +2986,7 @@ Les pages de manuel préformattées </para> <para> -Soyez sûr d'indiquer que vous voulez la version de FreeBSD de Motif +Soyez sûr d'indiquer que vous voulez la version de FreeBSD de Motif lors de la commande ! Des versions pour BSDI et Linux sont également vendues par <emphasis remap="xig">Xi Graphics</emphasis>. La distribution comprend actuellement 4 disquettes. Dans le futur il y @@ -2997,7 +2997,7 @@ aura un CD comme pour CDE.</para> <sect1> <title> Où puis-je avoir CDE pour FreeBSD? </title> <para> -Contactez <ulink url="http://www.xig.com">Xi Graphics</ulink> pour une distribution +Contactez <ulink url="http://www.xig.com">Xi Graphics</ulink> pour une distribution CDE 1.0.10 pour FreeBSD. Cela inclut Motif 1.2.5, et peut être utilisé avec Motif 2.0. </para> @@ -3011,19 +3011,19 @@ C'est une distribution CDROM uniforme pour FreeBSD et Linux. <title> Y a-t-il des serveurs X commerciaux haute-performance ?<!-- <label id="xig"> --> </title> <para> -Oui, +Oui, <ulink url="http://www.xig.com"> Xi Graphics </ulink> et <ulink url="http://www.metrolink.com">Metro Link</ulink> -vendent leur produit Accelerated-X pour FreeBSD et autres systèmes +vendent leur produit Accelerated-X pour FreeBSD et autres systèmes basés sur Intel. </para> <para>Le serveur X de Metro Link offre une configuration facile - grace a l'utilisation des outils de gestion des packages de FreeBSD, -supporte de multiples cartes vidéos et est distribué + grace a l'utilisation des outils de gestion des packages de FreeBSD, +supporte de multiples cartes vidéos et est distribué en forme binaire seulement, par FTP. N'oublions pas de mentionner que Metro Link offre se serveur a un prix raisonnable de 39$. </para> - + <para>Metro Link vend aussi une version ELF et a.out de Motif (voir ci-dessus).</para> @@ -3033,7 +3033,7 @@ Metro Link offre se serveur a un prix raisonnable de 39$. Ou les addresse de messageries du département des <ulink url="mailto:sales@metrolink.com">ventes </ulink> ou encore - du <ulink url="mailto:tech@metrolink.com">support </ulink> + du <ulink url="mailto:tech@metrolink.com">support </ulink> Tél: (954) 938-0283 or +1 954 938-0283 </programlisting> @@ -3047,7 +3047,7 @@ et est au format disquette pour FreeBSD et Linux. Xi Graphics offre aussi un serveur haute performances pour les portables.</para> <para> -Il y a une "démo de compatibilité" disponible et gratuite de la +Il y a une "démo de compatibilité" disponible et gratuite de la version 5.0. </para> @@ -3072,8 +3072,8 @@ ou encore par téléphone au <sect1> <title> Y a-t-il un système de bases de données pour FreeBSD? </title> <para> -Oui ! Conetic Software Systems a porté leur système de -bases de données C/base and C/books pour FreeBSD 2.0.5 et plus, +Oui ! Conetic Software Systems a porté leur système de +bases de données C/base and C/books pour FreeBSD 2.0.5 et plus, et Sleepycat Software vend une version commerciale supportée de leur librairie de base de données DB. </para> @@ -3095,10 +3095,10 @@ et <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + $Id: book.sgml,v 1.9 2002-10-05 15:17:08 gioria Exp $ Original revision: n.nn ---> +--> <chapter id="applications"> <title>Applications. **Mise à jour en cours**</title> @@ -3157,7 +3157,7 @@ disponibles sous forme de ``package''. C'est une bonne idée de vérifier régulièrement la disponibilité des différents packages sur le <ulink url="ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/">site principal de FreeBSD</ulink></para> - + </sect1> <sect1> @@ -3191,10 +3191,10 @@ précédente.</para> /etc/sysconfig </filename> (ou <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?rc.conf(5)"> /etc/rc.conf </ulink>) et positionner la variable suivante sur <emphasis -remap="bf"> YES </emphasis>: -<programlisting> +remap="bf"> YES </emphasis>: +<programlisting> # à positionner sur YES si vous voulez que l'émulation ibcs2(SCO) soit chargée au démarrage -ibcs2=NO +ibcs2=NO </programlisting></para> <para>Cela activera le module <ulink @@ -3204,9 +3204,9 @@ démarrage.</para> <para>Vous devrez aussi créer le répertoire <filename> /compat/ibcs2/dev </filename> et mettre en place ce qui suit : -<programlisting> -lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 X0R@ -> /dev/null -lrwxr-xr-x 1 root wheel 7 Oct 15 22:20 nfsd@ -> socksys +<programlisting> +lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 X0R@ -> /dev/null +lrwxr-xr-x 1 root wheel 7 Oct 15 22:20 nfsd@ -> socksys -rw-rw-r-- 1 root wheel 0 Oct 28 12:02 null lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 socksys@ -> /dev/null crw-rw-rw- 1 root wheel 41, 1 Oct 15 22:14 spx @@ -3221,14 +3221,14 @@ SPX_HACK </filename> lors de la compilation de votre système.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment dois-je configurer INN (Internet News) pour mon système ?</title> <para>Après avoir installé le package ou le port de inn, la meilleur façon de commencer est de voir la page de <ulink url="http://www.eerie.fr/~news/">Fabien TASSIN</ulink> -sur INN, ou vous trouverez la FAQ de INN.</para> +sur INN, ou vous trouverez la FAQ de INN.</para> </sect1> <sect1> @@ -3237,7 +3237,7 @@ sur INN, ou vous trouverez la FAQ de INN.</para> <para>Utilisez les ports ! Une pré-version patchée pour Apache est disponible dans les ports</para> </sect1> - + </chapter> @@ -3246,9 +3246,9 @@ disponible dans les ports</para> <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: 1.2 ---> +--> <chapter id="kernelconfig"> @@ -3264,17 +3264,17 @@ disponible dans les ports</para> </title> <para> - Pas du tout ! Jetez un coup d'oeil à + Pas du tout ! Jetez un coup d'oeil à <ulink url="../handbook/kernelconfig.html"> la section de la configuration du noyau du manuel de référence. </ulink> </para> <para> - NOTE : + NOTE : Je vous recommande de faire une sauvegarde datée de votre noyau dans <filename>kernel.YYMMDD</filename> dès que vous arrivez à tout faire marcher. - Ainsi, si jamais en jouant avec votre configuration du noyau, vous + Ainsi, si jamais en jouant avec votre configuration du noyau, vous mélangez tout, vous pourrez démarrer sur ce noyau plutôt que de repartir depuis <filename>kernel.GENERIC</filename>. Ceci est particulièrement important si vous démarrez actuellement depuis un contrôleur qui n'est pas supporté par le @@ -3284,19 +3284,19 @@ disponible dans les ports</para> <sect1> <title> - Ma compilation du noyau échoue car <filename>&hw&float</filename> + Ma compilation du noyau échoue car <filename>&hw&float</filename> manque. </title> <para> Laissez-moi deviner. Vous avez supprimé - <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?npx(4)"> + <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?npx(4)"> npx0 - </ulink> + </ulink> de votre fichier de configuration du noyau car vous n'avez pas de coprocesseur arithmétique, c'est ça ? Faux ! :-). - Le périphérique <filename>npx0</filename> est *OBLIGATOIRE*. - Même si vous n'avez pas de coprocesseur arithmétique, vous + Le périphérique <filename>npx0</filename> est *OBLIGATOIRE*. + Même si vous n'avez pas de coprocesseur arithmétique, vous *devez* inclure le périphérique <filename>npx0</filename>. </para> </sect1> @@ -3354,8 +3354,8 @@ disk fd1 at fdc0 drive 1 </para> <para> - Puis, vous créez un périphérique appelé - <filename>/dev/ft0</filename> + Puis, vous créez un périphérique appelé + <filename>/dev/ft0</filename> en allant dans le répertoire <filename>/dev</filename> et en lançant la commande suivante : </para> @@ -3373,7 +3373,7 @@ disk fd1 at fdc0 drive 1 <para> Vous aurez un périphérique appelé <filename>/dev/ft0</filename>, où vous pourrez écrire par l'intermédiaire d'un programme spécial appelé - ``<filename>ft</filename>'' - Voir la page de manuel + ``<filename>ft</filename>'' - Voir la page de manuel <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ft"> ft </ulink> @@ -3384,7 +3384,7 @@ disk fd1 at fdc0 drive 1 Les versions précédentes de <filename>-current</filename> ont aussi quelques problèmes avec certaines cartouche ddfectueuses. Si vous avez des problèmes où <filename>ft</filename> semble aller et venir indéfiniment, - essayez de récupérer la dernière version de <filename>ft</filename> depuis + essayez de récupérer la dernière version de <filename>ft</filename> depuis <filename>/usr/src/sbin/ft</filename> dans <filename>-current</filename> et essayez le. </para> </sect1> @@ -3396,7 +3396,7 @@ disk fd1 at fdc0 drive 1 The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.20 ---> +--> <chapter id="admin"> <title>Administration système. **Mise à jour en cours**</title> @@ -3408,7 +3408,7 @@ disk fd1 at fdc0 drive 1 configuration principal était <filename> /etc/sysconfig </filename>. Toutes les options sont spécifiées dans ce fichier et les autres fichiers comme <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?rc"> -/etc/rc </ulink> et <filename> /etc/netstart </filename> ne font +/etc/rc </ulink> et <filename> /etc/netstart </filename> ne font que l'inclure.</para> <para>Regardez dans le fichier <filename> /etc/sysconfig @@ -3431,7 +3431,7 @@ toujours et peut être utilisé pour démarrer des services additionnels comme <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?^inn">INN</ulink> ou pour positionner certaines valeurs.</para> - + <para>Le fichier <filename>/etc/rc.serial </filename> permet d'initialiser les ports série (par exemple mettre en place les caractéristiques du port, etc..).</para> @@ -3439,11 +3439,11 @@ caractéristiques du port, etc..).</para> <para>Le fichier <filename>/etc/rc.i386 </filename> est spécifique aux paramètres des plateformes Intel, comme l'émulation iBCS2 ou la configuration de la console système d'un PC.</para> - + <para>Avec la version 2.1.0R, vous pouvez définir des fichiers de démarrage "locaux" se trouvant dans un répertoire spécifié dans le fichier <filename>/etc/sysconfig</filename> (ou le fichier <filename> -/etc/rc.conf </filename>): +/etc/rc.conf </filename>): <programlisting> # Emplacement des fichiers de démarrage locaux local_startup=/usr/local/etc/rc.local.d @@ -3455,7 +3455,7 @@ sera éxécuté dans l'ordre alphabétique.</para> <para>Si vous voulez vous assurez d'un certain ordre de démarrage sans changer le nom des fichiers, vous pouvez utiliser un schéma similaire à celui qui suit, en faisant précéder chaque fichier -de chiffres pour assurer l'ordre de démarrage: +de chiffres pour assurer l'ordre de démarrage: <programlisting> 10news.sh 15httpd.sh @@ -3481,7 +3481,7 @@ url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?adduser"> adduser <filename>``new-account''</filename> écrit en Perl par <ulink url="mailto:roberto@FreeBSD.ORG">Ollivier Robert</ulink>. Demandez le lui. Cet outil est actuellement en cours de développements supplémentaires</para> - + <para>Pour retirer un utilisateur, utilisez la commande <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?rmuser">rmuser</ulink>.</para> @@ -3505,7 +3505,7 @@ reconnu par le système et que vous avez inséré une cartouche/disquette, la manipulation est la même pour tous les périphériques.</para> <para><anchor id="disklabel"/>(Cette section est basée sur <ulink url="http://www.vmunix.com/mark/FreeBSD/ZIP-FAQ.html">la FAQ </ulink> des lecteurs ZIP de Mark Mayo)</para> - + <para>Si c'est un disque ZIP ou une disquette DOS, il y a déjà un système de fichier DOS installé, vous pouvez utilisez les commandes suivantes: <programlisting> mount -t msdos /dev/fd0c /floppy @@ -3514,7 +3514,7 @@ mount -t msdos /dev/fd0c /floppy mount -r msdos /dev/sd2s4 /zip </programlisting>s'il s'agit d'un lecteur ZIP dans sa configuration d'origine. </para> - + <para>Pour les autres types de disques, voyez leur partitionnement en utilisant <filename> fdisk </filename> ou <filename> /stand/sysinstall </filename>.</para> <para>Les exemples qui suivent supposent que vous disposez d'un disque ZIP sur sd2, le troisième disque SCSI.</para> @@ -3545,9 +3545,9 @@ mount /dev/sd2c /zip <title>Comment monter une partition DOS étendue ?</title> <para>Les partitions DOS étendues se trouvent après la fin de toutes les partitions primaires. Par exemple, si vous avez une partition "E" en tant que partition DOS étendue sur le deuxième disque SCSI, vous devez créer le fichier spécial pour la partition 5 dans /dev et monter /dev/sd1s5 : <programlisting> -# cd /dev -# ./MAKEDEV sd1s5 -# mount -t msdos /dev/sd1s5 /dos/e +# cd /dev +# ./MAKEDEV sd1s5 +# mount -t msdos /dev/sd1s5 /dos/e </programlisting></para> </sect1> @@ -3578,12 +3578,12 @@ supposerons qu'il s'appelle <filename> c:\bootsect.bsd </filename> (équivalent de <filename> c:\bootsect.dos </filename>). Il suffit d'éditer le fichier <filename> c:\boot.ini </filename> pour qu'il ressemble à ceci:</para> - + <para><programlisting> -[boot loader] +[boot loader] timeout=30 -default=multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS -[operating systems] +default=multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS +[operating systems] multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS="Windows NT" C:\BOOTSECT.BSD="FreeBSD" C:\="DOS" </programlisting> Cette @@ -3598,15 +3598,15 @@ disque.</para> partition n'est pas en FAT, mais en NTFS) sous <filename> /mnt </filename>.</para> - <para><programlisting> -dd if=/dev/rsd0a of=/mnt/bootsect.bsd bs=512 count=1 + <para><programlisting> +dd if=/dev/rsd0a of=/mnt/bootsect.bsd bs=512 count=1 </programlisting> Redémarrez en mode DOS ou NT. Si vous avez une partition NTFS copiez le fichier <filename> bootsect.bsd </filename> de la disquette dans le répertoire C:\. Modifiez les attributs (permissions) du fichier boot.ini.</para> - <para><programlisting> + <para><programlisting> attrib -s -r c:\boot.ini </programlisting>Ajoutez la ligne correcte au fichier boot.ini et restaurez les anciens attributs.</para> @@ -3618,7 +3618,7 @@ la commande DOS <filename> fdisk /MBR </filename> après avoir reconfiguré FreeBSD pour démarrer depuis sa partition native.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment démarrer FreeBSD et Linux grace à LILO ?</title> <para>Si vous avez installé FreeBSD et Linux sur le mème disque, @@ -3626,10 +3626,10 @@ suivez les instructions du manuel de LILO pour démarrer sur d'autres systèmes que Linux. En résumé il faut :</para> <para>Démarrer sous Linux et ajouter les lignes suivantes au -fichier <filename> /etc/lilo.conf </filename>: +fichier <filename> /etc/lilo.conf </filename>: <programlisting> -other=/dev/hda2 -table=/deb/hda +other=/dev/hda2 +table=/deb/hda label=FreeBSD </programlisting>(l'exemple précédant suppose que la partition FreeBSD est connue par linux sous le nom <filename> /dev/hda2 </filename>. @@ -3638,19 +3638,19 @@ fini.</para> <para>Si FreeBSD se trouve sur un autre disque vous devez ajouter <filename> loader=/boot/chain.b </filename> au fichier de -configuration de lilo : -<programlisting> +configuration de lilo : +<programlisting> other=/dev/sdb4 -table=/dev/sdb -loader=/boot/chain.b +table=/dev/sdb +loader=/boot/chain.b label=FreeBSD </programlisting> Dans certains cas, vous devez spécifier le numéro du disque connu par le BIOS au programme de démarrage de FreeBSD pour démarrer sur le deuxième disque. Par exemple, si votre disque SCSI contenant FreeBSD est trouvé par le BIOS comme disque numéro 1, vous devez taper la ligne -suivante au prompt du programme de démarrage: -<programlisting> -Boot: 1:sd(0,a)/kernel +suivante au prompt du programme de démarrage: +<programlisting> +Boot: 1:sd(0,a)/kernel </programlisting> Vous pouvez configurer le <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?boot(8)"> programme de démarrage </ulink> de FreeBSD version 2.2.5 ou supérieure pour prendre @@ -3658,7 +3658,7 @@ cette chaine par défaut.</para> <para>Le document <ulink url="http://sunsite.unc.edu/LDP/HOWTO/mini/Linux+FreeBSD.html">Linux+FreeBSD -mini-HOWTO</ulink> est une très bonne référence sur +mini-HOWTO</ulink> est une très bonne référence sur l'interopérabilité entre FreeBSD et Linux.</para> </sect1> @@ -3716,7 +3716,7 @@ fdisk valide. Lorsque votre machine démarre il ignore tout simplement de tels disques, tente de démarrer sur une disquette, et vous affiche un ``Read error''. Très impressionnant, non ?. C'est ce que certains appellent un système "orienté-utilisateur".</para> - + <para>Les avantages de ce partitionnement sont : FreeBSD utilise le disque au complet, il n'y a donc pas de besoin de garder quelques 'pistes' au début du disque qui ne servaient à rien sauf pour un @@ -3746,11 +3746,11 @@ nouveau MBR, en recouvrant le programme de démarrage BSD.</para> <sect1> <title>Comme faire pour ajouter plus de "swap" ?</title> - + <para>La meilleur façon de faire, est d'augmenter la taille de votre partition de swap, ou de prendre cette excuse pour ajouter un autre disque.</para> - + <para>Ajouter du "swap" sur un autre disque permet plus d'augmenter la rapidité que d'en ajouter sur le même disque. Par exemple, si vous compilez des fichiers qui se trouvent sur un disque et que le "swap" @@ -3772,33 +3772,33 @@ réseau extrèmement rapide, et d'un très bon serveur NFS.</para> <para>Voici un exemple pour ajouter 64Mo de swap en utilisant un fichier se nommant <filename> /usr/swap0 </filename>.</para> <para>Assurez vous que votre noyau est compilé avec la ligne -<programlisting> +<programlisting> pseudo-device vn 1 # #Vnode driver (turns a file into a device) </programlisting>Le noyau GENERIC la contient par défaut. <itemizedlist> <listitem> - <para>Créez un vn-device : -<programlisting> -cd /dev + <para>Créez un vn-device : +<programlisting> +cd /dev sh./MAKEDEV vn0 </programlisting></para> </listitem> <listitem> - <para>Créez le fichier de "swap" (<filename>/usr/swap0</filename>). + <para>Créez le fichier de "swap" (<filename>/usr/swap0</filename>). <programlisting> dd if=/dev/zero of=/usr/swap0 bs=1024k count=64 </programlisting></para> </listitem> <listitem> <para>Activez le fichier de "swap" dans le fichier <filename> /etc/rc.conf </filename> <programlisting> -swapfile="/usr/swap0" # Set to name of swapfile if aux swapfile desired. +swapfile="/usr/swap0" # Set to name of swapfile if aux swapfile desired. </programlisting></para> </listitem> <listitem> <para>Rebootez la machine</para> </listitem> </itemizedlist></para> - <para>Pour activer le fichier de "swap" immédiatement, tapez + <para>Pour activer le fichier de "swap" immédiatement, tapez <programlisting> vnconfig -ce /dev/vn0c /usr/swap0 swap </programlisting></para> @@ -3830,7 +3830,7 @@ fichier se terminant par <filename>.kbd</filename>.</para> <filename>/etc/sysconfig</filename> (ou <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?rc.conf(5)">rc.conf</ulink>). Regardez les commentaires apropriés dans ce fichier.</para> - + <para>Pour les versions 2.0.5 et suivantes, tout ce qui est relatif aux fontes du texte, à la configuration du clavier se trouve dans <filename>/usr/share/syscons</filename>.</para> @@ -3866,30 +3866,30 @@ relatif aux fontes du texte, à la configuration du clavier se trouve dans </itemizedlist> </para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment faire en sorte que les quotas utilisateurs fonctionnent correctement ?</title> <para> <itemizedlist> <listitem><para>Ne mettez pas de quotas sur '/',</para></listitem> - <listitem><para>Mettez le fichier des quotas sur le système de fichiers + <listitem><para>Mettez le fichier des quotas sur le système de fichiers qui en dispose, par ex : -<programlisting> +<programlisting> Système de fichier Emplacement du fichier des quotas /usr /usr/admin/quotas /home /home/admin/quotas ... </programlisting></para></listitem></itemizedlist></para> - + </sect1> <sect1> <title>Qu'est-ce qui ne va pas avec ma configuration de ccd ?</title> - + <para>Le symptome est le suivant : <programlisting> # ccdconfig -C -ccdconfig: ioctl (CCDIOCSET): /dev/ccd0c: Inappropriate file type or format +ccdconfig: ioctl (CCDIOCSET): /dev/ccd0c: Inappropriate file type or format # </programlisting></para> <para>Ceci apparait la plupart du temps lorsque vous essayez de @@ -3906,23 +3906,23 @@ disques à concaténer et changez le type des partitions en type <para>Le symptome est le suivant : <programlisting> -# disklabel ccd0 -(ça affiche quelque chose de particulier ici, donc essayons de l'éditer) -# disklabel -e ccd0 +# disklabel ccd0 +(ça affiche quelque chose de particulier ici, donc essayons de l'éditer) +# disklabel -e ccd0 (édition, sauvegarde, sortie) -disklabel: ioctl DIOCWDINFO: No disk label on disk; -use "disklabel -r" to install initial label -# +disklabel: ioctl DIOCWDINFO: No disk label on disk; +use "disklabel -r" to install initial label +# </programlisting></para> - + <para>Cela apparait souvent lorsque le label retourné par le gestionnaire de disques concaténé est un faux, un qui n'est pas véritablement sur le disque. Pour résoudre ce problème il faut écrire explicitement sur le disque, comme ceci : -<programlisting> -# disklabel ccd0 > /tmp/disklabel.tmp -# disklabel -Rr ccd0 /tmp/disklabel.tmp -# disklabel -e ccd0 +<programlisting> +# disklabel ccd0 > /tmp/disklabel.tmp +# disklabel -Rr ccd0 /tmp/disklabel.tmp +# disklabel -e ccd0 (maintenant cela doit fonctionner correctement) </programlisting></para> @@ -3932,10 +3932,10 @@ explicitement sur le disque, comme ceci : <title>Est-ce que FreeBSD supporte les communications inter-processus de type Système V (IPC) ?</title> <para>Oui, FreeBSD supporte les communications inter-processus de type Système V, IPC. Cela inclue la mémoire partagée, les files de -messages et les sémaphores. Vous devez ajouter les lignes suivantes à +messages et les sémaphores. Vous devez ajouter les lignes suivantes à votre fichier de configuration du noyau pour les activer :</para> <para><programlisting> -options SYSVSHM +options SYSVSHM options "SHMMAXPGS=64" # 256Ko de mémoire partagée options SYSVSEM # activation des sémaphores options SYSVMSG # activation des files de messages @@ -3972,7 +3972,7 @@ vous avez monté le CD-ROM exécutez les commandes suivantes :</para> cd /usr/src tar -xvzf /cdrom/dists/src/ssmailcf.aa </programlisting></para> - + <para>Cela correspond juste à une centaine de kilo-octets. Le fichier <filename>README</filename> dans le répertoire <filename>cf</filename> vous explique rapidement comment fonctionnne @@ -4001,22 +4001,22 @@ cp foo.cf /etc/sendmail.cf <para>Un fichier classique ressemble à ceci:</para> <para><programlisting> -include(`../m4/cf.m4') -VERSIONID(`Votre numéro de version) -OSTYPE(bsd4.4) -FEATURE(nodns) -FEATURE(nocanonify) -FEATURE(mailertable) +include(`../m4/cf.m4') +VERSIONID(`Votre numéro de version) +OSTYPE(bsd4.4) +FEATURE(nodns) +FEATURE(nocanonify) +FEATURE(mailertable) -define(`UUCP_RELAY', nom.du.relai.uucp) -define(`UUCP_MAX_SIZE', 200000) +define(`UUCP_RELAY', nom.du.relai.uucp) +define(`UUCP_MAX_SIZE', 200000) -MAILER(local) -MAILER(smtp) -MAILER(uucp) +MAILER(local) +MAILER(smtp) +MAILER(uucp) Cw alias.de.votre.nom.de.machine -Cw votrenomdenoeuduucp.UUCP +Cw votrenomdenoeuduucp.UUCP </programlisting></para> <para>Les directives <emphasis>nodns</emphasis>et @@ -4027,21 +4027,21 @@ bizarres; ne posez pas de questions et utilisez-la. Mettez juste un nom de machine capable de recevoir du courrier en UUCP. La plupart du temps il faut mettre le nom du serveur de messagerie de votre fournisseur d'accès.</para> - + <para>Après avoir défini tout ceci, vous avez besoin d'un fichier <filename>/etc/mailertable</filename>. Voici un exemple de ce type de fichier :</para> <para><programlisting> # -# makemap hash /etc/mailertable.db < /etc/mailertable -# -horus.interface-business.de uucp-dom:horus -.interface-business.de uucp-dom:if-bus -interface-business.de uucp-dom:if-bus -.heep.sax.de smtp8:%1 -horus.UUCP uucp-dom:horus -if-bus.UUCP uucp-dom:if-bus -. uucp-dom:sax +# makemap hash /etc/mailertable.db < /etc/mailertable +# +horus.interface-business.de uucp-dom:horus +.interface-business.de uucp-dom:if-bus +interface-business.de uucp-dom:if-bus +.heep.sax.de smtp8:%1 +horus.UUCP uucp-dom:horus +if-bus.UUCP uucp-dom:if-bus +. uucp-dom:sax </programlisting></para> <para>Les trois premières lignes font en sorte d'envoyer @@ -4074,19 +4074,19 @@ alors le type d'agent utilisé pour l'envoi, la machine auquelle l'agent enverra le courrier, et l'adresse à laquelle il l'enverra. Pour quitter ce mode tapez Control-D.</para> <para><programlisting> -j@uriah 191% sendmail -bt -ADDRESS TEST MODE (ruleset 3 NOT automatically invoked) -Enter <ruleset> <address> -> 0 foo@interface-business.de -rewrite: ruleset 0 input: foo @ interface-business . de -... -rewrite: ruleset 0 returns: $# uucp-dom $@ if-bus $: foo \ +j@uriah 191% sendmail -bt +ADDRESS TEST MODE (ruleset 3 NOT automatically invoked) +Enter <ruleset> <address> +> 0 foo@interface-business.de +rewrite: ruleset 0 input: foo @ interface-business . de +... +rewrite: ruleset 0 returns: $# uucp-dom $@ if-bus $: foo \ < @ interface-business . de > -> ^D -j@uriah 192% +> ^D +j@uriah 192% </programlisting></para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment mettre en oeuvre le courrier électronique avec une connexion temporaire à un réseau ?</title> @@ -4116,7 +4116,7 @@ réseau est établie en ajoutant la ligne suivante au fichier MYADDR: !bg su monlogin -c fetchmail </programlisting></para> - + <para>Ici nous assumons que vous disposez d'un compte nommé <filename>monlogin</filename> sur la machine <filename>bsd.perso</filename>. Vous devez alors créer un fichier @@ -4137,26 +4137,26 @@ sendmail pour utiliser l'adresse <filename>monlogin@bsd.perso</filename>. Vous devez aussi dire à votre sendmail d'envoyer tout le courrier via le serveur <filename>relai.monISP.com</filename>, permettant au courrier -d'être envoyé plus rapidement.</para> +d'être envoyé plus rapidement.</para> <para>Le fichier de configuration <filename>.mc</filename> suivant doit convenir :</para> <para><programlisting> -VERSIONID(`bsd.perso.mc version 1.0') -OSTYPE(bsd4.4)dnl -FEATURE(nouucp)dnl -MAILER(local)dnl -MAILER(smtp)dnl -Cwlocalhost -Cwbsd.perso -MASQUERADE_AS(`monISP.com')dnl -FEATURE(allmasquerade)dnl -FEATURE(masquerade_envelope)dnl -FEATURE(nocanonify)dnl -FEATURE(nodns)dnl -define(SMART_HOST, `relai.monISP.com') -Dmbsd.perso -define(`confDOMAIN_NAME',`bsd.perso')dnl -define(`confDELIVERY_MODE',`deferred')dnl +VERSIONID(`bsd.perso.mc version 1.0') +OSTYPE(bsd4.4)dnl +FEATURE(nouucp)dnl +MAILER(local)dnl +MAILER(smtp)dnl +Cwlocalhost +Cwbsd.perso +MASQUERADE_AS(`monISP.com')dnl +FEATURE(allmasquerade)dnl +FEATURE(masquerade_envelope)dnl +FEATURE(nocanonify)dnl +FEATURE(nodns)dnl +define(SMART_HOST, `relai.monISP.com') +Dmbsd.perso +define(`confDOMAIN_NAME',`bsd.perso')dnl +define(`confDELIVERY_MODE',`deferred')dnl </programlisting></para> <para>Reférez-vous à la section précédente pour l'explication @@ -4169,7 +4169,7 @@ sendmail après avoir modifié le fichier <sect1> <title>Horreur !! J'ai perdu le mot de passe de root !! </title> - + <para>Ne paniquez pas! Redémarrez tout simplement le système en tapant -s au "prompt" Boot: pour passer en mode mono-utilisateur. A la question sur le shell à utiliser, appuyez sur ENTREE. Vous obtiendrez @@ -4197,7 +4197,7 @@ décrivant.</para> <sect1> <title>Comment transformer les fichiers textes au format DOS en fichiers UNIX ?</title> - + <para>Utilisez tout simplement la commande perl suivante :</para> <para><programlisting> @@ -4214,15 +4214,15 @@ remplace dans le fichier et sauvegarde l'ancien sous le nom <title>Comment tuer un processus par son nom ?</title> <para>Utilisez <ulink url="/cgi/cvsweb.cgi/man.cgi?killall">killall(1)</ulink></para> </sect1> - + <sect1> <title>Pourquoi la commande <filename>su</filename> me dit sans arrêt que je ne suis pas dans les ACL de root ?</title> - + <para>Cette erreur vient du système d'authentification distribué Kerberos. Ceci n'est pas un problème très grave. Un palliatif consiste à utiliser l'option "-k" de su ou de désinstaller Kerberos comme expliqué à la section suivante.</para> - + </sect1> <sect1> @@ -4235,13 +4235,13 @@ cd (la plupart du temps dans /cdrom) et lancer :</para> <para><programlisting> cd /cdrom/bin ./install.sh -</programlisting></para> +</programlisting></para> </sect1> <sect1> <title>Comment ajouter des pseudo-terminaux au système ?</title> - <para>Si vous avez un grand nombre de telnet, ssh, X, or screen users, - vous risquez probablement de manquer de pseudo-terminaux. + <para>Si vous avez un grand nombre de telnet, ssh, X, or screen users, + vous risquez probablement de manquer de pseudo-terminaux. Voici comment en ajouter plusieurs :</para> <orderedlist> @@ -4271,15 +4271,15 @@ cd /cdrom/bin ttyqc none network </programlisting> - <para>L'ordre des lettres de désignation est - <filename>tty[pqrsPQRS][0-9a-v]</filename>, - en utilisant une expression régulière. </para></listitem> + <para>L'ordre des lettres de désignation est + <filename>tty[pqrsPQRS][0-9a-v]</filename>, + en utilisant une expression régulière. </para></listitem> - <listitem><para>Démarrez le système avec le nouveau noyau + <listitem><para>Démarrez le système avec le nouveau noyau et vous êtes prêts à travailler.</para></listitem> </orderedlist> - + </sect1> </chapter> @@ -4289,9 +4289,9 @@ cd /cdrom/bin <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: n.nn ---> +--> <chapter id="x"> <title> Le système X-Windows et les consoles @@ -4309,7 +4309,7 @@ l'installation que l'on veut utiliser X. <para> Puis, lire la documentation suivante sur l'outil <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=xf86config"> xf86config </ulink>, qui vous aidera dans la configuration de -XFree86(tm) pour vos cartes graphiques, souris etc... +XFree86(tm) pour vos cartes graphiques, souris etc... </para> @@ -4324,14 +4324,14 @@ pour un prix très raisonnable/ Voir la section sur <title> Pourquoi ma souris ne marche pas sous X ? <anchor id="x-and-moused"/> </title> <para> -Si vous utilisez syscons (le driver par défaut de la console), +Si vous utilisez syscons (le driver par défaut de la console), vous pouvez configurer FreeBSD de telle sorte qu'il puisse supporter un pointeur de souris sur chacun des écrans virtuels. Afin d'éviter des conflits avec X, les supports syscons un périphérique virtuel nommé -``<filename>/dev/sysmouse</filename>''. -Tous les évènement liés à la souris sont écrit vers le périphérique +``<filename>/dev/sysmouse</filename>''. +Tous les évènement liés à la souris sont écrit vers le périphérique sysmouse, en utilsant le protocole MouseSystems. Si vous voulez utiliser -votre souris sur une console virtuelle ou plus, +votre souris sur une console virtuelle ou plus, <emphasis remap="bf">et</emphasis> utiliser X, la configuration suivante est recommandée. @@ -4351,7 +4351,7 @@ Device "/dev/sysmouse" <para> Certaines personnes préfèrent utiliser ``<filename>/dev/mouse</filename>'' -sous X. Ppour le faire marcher, ``<filename>/dev/mouse</filename>'' +sous X. Ppour le faire marcher, ``<filename>/dev/mouse</filename>'' devrait être un lien symbolique pour <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sysmouse"> /dev/sysmouse</ulink> <programlisting> @@ -4372,7 +4372,7 @@ Essayez de désactiver la touche Num Lock. <para> Si votre touche Num Lock est activée par défaut au moment du boot, vous pouvez ajouter la ligne suivante dans la section -``<emphasis>Keyboard</emphasis>'' du fichier +``<emphasis>Keyboard</emphasis>'' du fichier <filename>XF86config</filename>. </para> @@ -4414,10 +4414,10 @@ L'installation par défaut de FreeBSD a 3 consoles virtuelles activées, et Alt-F1, Alt-F2, et d Alt-F3 vous permettra de basculer entre ces consoles virtuelles. -Pour en activer plus, éditez +Pour en activer plus, éditez <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ttys">/etc/ttys</ulink> -et ajoutez les entrées pour ``<filename>ttyv4</filename>'' -à +et ajoutez les entrées pour ``<filename>ttyv4</filename>'' +à ``<emphasis remap="tt">ttyvc</emphasis>'' après les commentaires sur les ``terminaux virtuels'': <programlisting> @@ -4443,7 +4443,7 @@ vous avez 8Mo de RAM ou moins. Vous pouvez aussi changer </para> <para> -<emphasis remap="bf">NOTE IMPORTANTE</emphasis> si vous +<emphasis remap="bf">NOTE IMPORTANTE</emphasis> si vous voulez lancer un serveur X, vous <emphasis remap="bf">DEVEZ</emphasis> avoir au moins un terminal virtuel non utilisé (ou désactivé)afin qu'il puisse l'utiliser. @@ -4490,7 +4490,7 @@ ttyvb "/usr/libexec/getty Pc" cons25 off secure Une fois que vous avez édité <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ttys"> /etc/ttys" </ulink>, l'étape suivante est de s'assurer que vous avez assez de périphériques de -terminaux virtuels. +terminaux virtuels. La plus simple manière de procéder est : <programlisting> @@ -4501,7 +4501,7 @@ La plus simple manière de procéder est : <para> Ensuite, la plus simple (et plus propre) manière d'activer la console -virtuelle est de rebooter. Malgrè tout, si vous voulez vraiment +virtuelle est de rebooter. Malgrè tout, si vous voulez vraiment ne pas avoir è rebooter, vous pouvez juste arrêter le système X Window et exécuter <emphasis remap="tt">root</emphasis>. @@ -4539,7 +4539,7 @@ Taper la touche contrôle à nouveau pour le débloquer. <title>Comment démarrer XDM au boot ?</title> <para> -Il y a deux écoles de pensée à propos du démarrage de +Il y a deux écoles de pensée à propos du démarrage de <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=xdm" >xdm</ulink> Une école démarre xdm epuis <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ttys"> <filename>/etc/ttys</filename></ulink> en utilisant l'exemple fourni. @@ -4570,7 +4570,7 @@ Une version précédente de la FAQ disait d'ajouter les <emphasis remap="tt">vt</emphasis> que vous vouliez que X utilise dans le fichier <filename>/usr/X11R6/lib/X11/xdm/Xservers</filename>. Cela n'est pas -nécessaire, et X utilisera le premier +nécessaire, et X utilisera le premier <emphasis remap="tt">vt</emphasis> qu'il trouvera. </para> </sect1> @@ -4579,16 +4579,16 @@ nécessaire, et X utilisera le premier <title> Quand je lance xconsole, j'obtiens ``Couldn't open console'' </title> <para>Si vous démarrez -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=X" >X</ulink> -avec -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=startx" >startx</ulink>, +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=X" >X</ulink> +avec +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=startx" >startx</ulink>, les permissions sur /dev/console ne seront <emphasis remap="tt">pas </emphasis> changé, ce qui entraînera que -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=xterm" >xterm -C</ulink> +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=xterm" >xterm -C</ulink> et <ulink url= "http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?manpath=xfree86&query=xconsole" >xconsole</ulink> ne marcheront pas. </para> <para> -Cela est dû à la manière dont les droits sur la consoles sont +Cela est dû à la manière dont les droits sur la consoles sont fixés par défaut. Sur un système multi-utilisateur, on ne veut pas nécessairement que n'importe quel utilisateur ait la possibilité d'écrire sur la console @@ -4631,7 +4631,7 @@ options PSM_CHECKSYNC </para> <para> -voir la section sur +voir la section sur <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?=make-kernel"> la construction du noyau</ulink> si vous n'avez aucune expérience dans la recompilation de noyau. </para> @@ -4668,7 +4668,7 @@ et voir que votre souris ne marche pas correctement. <para> Si cela arrive, désactiver le mode de vérification de la synchronization en positionnant le drapeau pour les pilotes de souris PS/2 à 0x100. -Entrez dans <emphasis>UserConfig</emphasis> en tapant ``<filename>-c</filename>'' option +Entrez dans <emphasis>UserConfig</emphasis> en tapant ``<filename>-c</filename>'' option à l'invite du boot. <programlisting> @@ -4698,7 +4698,7 @@ l'écran à l'autre très souvent. Malheureusement, il n'y a pas de solution pour les versions 2.0.X et 2.1.X. Dans les versions 2.2 à 2.2.5, ajouter le patch suivant à <filename>/sys/i386/isa/psm.c</filename> et reconstruisez le noyau. Voir -la section sur +la section sur <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?make-kernel"> la construction d'un noyau</ulink>si vous n'avez aucune expérience dans la construction des noyaux, @@ -4726,7 +4726,7 @@ Entrez dans<emphasis>UserConfig</emphasis> en spécifiant l'option boot: -c </programlisting> -puis, dans la ligne de commande de<emphasis>UserConfig</emphasis> +puis, dans la ligne de commande de<emphasis>UserConfig</emphasis> tapez : <programlisting> @@ -4755,7 +4755,7 @@ ou manuellement à partir des fichiers de distributions X. <sect1> <title>Comment puis-je inverser les boutons de la souris ? </title> - <para>Lancez la commande + <para>Lancez la commande <emphasis remap="tt">xmodmap -e "pointer = 3 2 1"</emphasis> depuis votre .xinitrc ou .xsession. </para> @@ -4767,9 +4767,9 @@ depuis votre .xinitrc ou .xsession. <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: n.nn ---> +--> <chapter id="network"> @@ -4781,7 +4781,7 @@ depuis votre .xinitrc ou .xsession. <para> Le ``boot sans disque'' veut dire que la machine sous FreeBSD est bootée depuis le -réseau, et lit les fichiers nécessaires depuis un serveur et non depuis +réseau, et lit les fichiers nécessaires depuis un serveur et non depuis son disque dur. Pour plus de détails, lisez <ulink url="../handbook/diskless.html"> la section du Handbook sur le Diskless booting </ulink> </para> @@ -4813,7 +4813,7 @@ Cette option mettra la variable <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?s Dans la plupart des cas, vous aurez aussi à lancer un processus de routage afin de renseigner les autres systèmes sur votre routeur. FreeBSD est fourni avec le démon de routage standard BSD -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?routed" >routed</ulink>, +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?routed" >routed</ulink>, ou pour des situations plus complexes, vous pouvez essayer <emphasis remap="em">GaTeD</emphasis> (disponible par FTP depuis <emphasis remap="tt">ftp.gated.Merit.EDU) </emphasis> qui supporte FreeBSD depuis 3_5Alpha7. @@ -4821,8 +4821,8 @@ qui supporte FreeBSD depuis 3_5Alpha7. <para> Nous nous devons de vous prévenir que lorsque FreeBSD est -configuré de cette manière, il ne correspond pas tout à fait -aux requis standards de l'Internet sur les routeurs. Néamoins, +configuré de cette manière, il ne correspond pas tout à fait +aux requis standards de l'Internet sur les routeurs. Néamoins, il s'en rapproche assez pour un usage ordinaire. </para> @@ -4834,7 +4834,7 @@ il s'en rapproche assez pour un usage ordinaire. <para> Typiquement, les gens qui posent cette questions sont ceux qui ont 2 PC -à la maison, un avec FreeBSD et un avec Win95. L'idée est d'utiliser +à la maison, un avec FreeBSD et un avec Win95. L'idée est d'utiliser la machine sous FreeBSD pour se connecter à l'Internet et puis pouvoir ensuite accéder à l'Internet depuis la machine sous Windows 95 via la machine sous FreeBSD. @@ -4848,7 +4848,7 @@ FreeBSD comme <ulink url="http://www.ssimicro.com/~jeremyc/ppp.html" >routeur p </para> <para> -<emphasis remap="bf">NOTE:</emphasis> +<emphasis remap="bf">NOTE:</emphasis> Cela requiert que vous ayez au moins deux adresses IP fixes, et probablement 3 ou plus, cela dépend du travail que vous voulez effectuer pour pouvoir mettre en place la machine sous Windows. @@ -4862,7 +4862,7 @@ sur la machine sous FreeBSD. </para> <para> -Voir aussi la section sur +Voir aussi la section sur <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?natd"> natd </ulink>. </para> @@ -4873,8 +4873,8 @@ Voir aussi la section sur <para> -Il y a un conflit entre le fichier ``<emphasis remap="tt">cdefs.h</emphasis>'' -de la distribution et celui fourni par FreeBSD. +Il y a un conflit entre le fichier ``<emphasis remap="tt">cdefs.h</emphasis>'' +de la distribution et celui fourni par FreeBSD. Vous n'avez qu'à enlever <emphasis remap="tt">compat/include/sys/cdefs.h</emphasis>. @@ -4886,12 +4886,12 @@ Vous n'avez qu'à enlever <para> Oui, regardez les pages de manuel -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?slattach" >slattach</ulink>, +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?slattach" >slattach</ulink>, <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sliplogin">sliplogin</ulink>, -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?pppd">pppd</ulink> et +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?pppd">pppd</ulink> et <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp">ppp</ulink>. <emphasis remap="tt">pppd</emphasis> et <emphasis remap="tt">ppp</emphasis> -permettent les connexions entrantes et sortantes +permettent les connexions entrantes et sortantes <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sliplogin" >Sliplogin</ulink> ne peut s'utiliser qu'avec des connexions entrantes et <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?slattach" >slattach</ulink> qu'avec des connexions sortantes. @@ -4931,7 +4931,7 @@ Ces programmes sont décrits dans les sections suivantes du <para> Si vous avez accès à l'Internet à travers un "compte shell" -vous pouvez jeter un coup d'oeil au paquetage +vous pouvez jeter un coup d'oeil au paquetage <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?^slirp">slirp</ulink>. Il peut vous fournir un accès (limité) aux services tels que ftp @@ -4948,15 +4948,15 @@ Si vous avez un sous-réseau local (une ou plusieur machines), mais qu'une seule adresse IP vous a été allouée (même si ce n'est qu'une adresse IP dynamique), vous pouvez regarder le programme <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?natd">natd</ulink> -. <emphasis remap="tt">Natd</emphasis> vous permet de connecter un sous-réseau entier +. <emphasis remap="tt">Natd</emphasis> vous permet de connecter un sous-réseau entier à l'Internet en n'utilisant qu'une seule adresse IP. </para> <para> Le programme <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp" >ppp</ulink> a des fonctionnalités similaires construit par l'intermédiaire -de l'option <emphasis remap="tt">-alias</emphasis> switch. -La +de l'option <emphasis remap="tt">-alias</emphasis> switch. +La <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?libalias">bibliothèque alias</ulink> est utilisée dans les deux cas. @@ -4969,7 +4969,7 @@ est utilisée dans les deux cas. <para> Vous devriez tout d'abord lire la page de manuel <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp">ppp</ulink> et -<ulink url="../handbook/ppp-and-slip.html#USERPPP" >la section du handbook sur ppp</ulink>. +<ulink url="../handbook/ppp-and-slip.html#USERPPP" >la section du handbook sur ppp</ulink>. Activer le logging avec la commande <programlisting> @@ -4979,10 +4979,10 @@ set log Phase Chat Connect Carrier lcp ipcp ccp command </para> <para> -Cette commande peut-être tapée à l'invite de commande de <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> -ou peut-être entrée dans le fichier de configuration +Cette commande peut-être tapée à l'invite de commande de <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> +ou peut-être entrée dans le fichier de configuration <emphasis remap="tt">/etc/ppp/ppp.conf</emphasis>. -(le début de la section par défaut <emphasis remap="bf">default</emphasis> +(le début de la section par défaut <emphasis remap="bf">default</emphasis> est l'endroit idéal pour le mettre). Assurez vous que le fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?syslog.conf" @@ -4996,7 +4996,7 @@ Assurez vous que le fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?syslo </para> <para> -et que le fichier <emphasis remap="tt">/var/log/ppp.log</emphasis> existe. +et que le fichier <emphasis remap="tt">/var/log/ppp.log</emphasis> existe. Vous pouvez aussi tirer pas mal de renseignements sur ce qui se passe en lisant les fichiers log. Ne vous inquiétez pas même si cela vous semble dénué de sens, si vous obtenez @@ -5013,20 +5013,20 @@ Il pourrra se construire sur FreeBSD version 2.1.5 et plus. <sect2> <title>Ppp se bloque quand je le lance</title> <para> -Cela est usuellement dû au fait que votre nom d'hôte ne peut être résolu. La meilleure solution pour résoudre ce problème est de s'assurer que votre -<emphasis remap="tt">/etc/hosts</emphasis> est consulté en -premier par votre résolveur en éditant -<emphasis remap="tt">/etc/host.conf</emphasis> et en mettant la ligne -<emphasis remap="tt">hosts</emphasis> en premier. -Puis, ajoutez simplement une entrée pour votre machine locale -dans <emphasis remap="tt">/etc/hosts</emphasis>. -Si vous n'avez pas de réseau local, changez simplement votre +Cela est usuellement dû au fait que votre nom d'hôte ne peut être résolu. La meilleure solution pour résoudre ce problème est de s'assurer que votre +<emphasis remap="tt">/etc/hosts</emphasis> est consulté en +premier par votre résolveur en éditant +<emphasis remap="tt">/etc/host.conf</emphasis> et en mettant la ligne +<emphasis remap="tt">hosts</emphasis> en premier. +Puis, ajoutez simplement une entrée pour votre machine locale +dans <emphasis remap="tt">/etc/hosts</emphasis>. +Si vous n'avez pas de réseau local, changez simplement votre ligne <emphasis remap="tt">localhost</emphasis> :</para> <programlisting> 127.0.0.1 foo.bar.com foo localhost </programlisting><para> Sinon, ajoutez simplement une autre entrée pour votre hôte. Consultez les pages de manuels appropriées pour plus de détails. -Vous devrez être alors capable de réussir à faire un +Vous devrez être alors capable de réussir à faire un <emphasis remap="tt">ping -c1 `hostname`</emphasis> quand vous aurez fini. </para> @@ -5049,11 +5049,11 @@ default 10.0.0.2 UGSc 0 0 tun0 ici, on supposera que vous avez utilisé les adresses données en exemple dans le handbook, les pages man ou depuis le fichier ppp.conf.sample. -Si vous n'avez pas de routage par défaut, c'est peut-être parce que vous +Si vous n'avez pas de routage par défaut, c'est peut-être parce que vous utilisez une vieille version de <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp" >ppp</ulink> qui ne comprend pas le mot -<emphasis remap="tt">HISADDR</emphasis> dans le fichier ppp.conf. +<emphasis remap="tt">HISADDR</emphasis> dans le fichier ppp.conf. Si votre version de -<emphasis remap="bf">ppp</emphasis> est antérieure à FreeBSD 2.2.5, +<emphasis remap="bf">ppp</emphasis> est antérieure à FreeBSD 2.2.5, changer la ligne <programlisting> @@ -5072,7 +5072,7 @@ add 0 0 10.0.0.2 </para> <para> -Une autre raison au fait que la ligne du routage par défaut soit +Une autre raison au fait que la ligne du routage par défaut soit manquante est que vous avez pu régler un routage par défaut erroné dans le fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?rc.conf" >/etc/rc.conf</ulink> (ce fichier est appelé <emphasis remap="tt">/etc/sysconfig</emphasis> avant la release 2.2.2), et que vous avez @@ -5085,7 +5085,7 @@ delete ALL <para> from <emphasis remap="tt">ppp.conf</emphasis>. Si cela est le cas, revenez à la section du -handbook sur +handbook sur <ulink url="../handbook/ppp-and-slip.html" >la configuration finale du système</ulink> section of the handbook. </para> @@ -5104,10 +5104,10 @@ add 0 0 HISADDR </para> <para> -dans votre fichier <emphasis remap="tt">/etc/ppp/ppp.linkup</emphasis>. +dans votre fichier <emphasis remap="tt">/etc/ppp/ppp.linkup</emphasis>. Cela est seulement nécessaire si vous avez une adresse IP dynamique ou que vous ne savez pas l'adresse de votre routeur. Si vous utilisez le mode -interactif, vous pouvez taper les lignes suivantes après être entré +interactif, vous pouvez taper les lignes suivantes après être entré en <emphasis remap="tt">mode paquet</emphasis> (le mode paquet est indiqué par le <emphasis remap="bf">PPP</emphasis> en majuscule à l'invite): @@ -5119,7 +5119,7 @@ add 0 0 HISADDR </para> <para> -Se référer à la section du handbook sur +Se référer à la section du handbook sur <ulink url="../handbook/ppp-and-slip.html"> PPP et les adresses IP dynamiques </ulink>pour plus de détails. </para> @@ -5149,8 +5149,8 @@ Il est possible de mettre cette commande dans le fichier Il est également possible de l'ajuster au vol alors que la ligne est active, en se connectant à la socket du serveur <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> en utilisant -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?telnet">telnet</ulink> ou -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?pppctl" >pppctl</ulink>. +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?telnet">telnet</ulink> ou +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?pppctl" >pppctl</ulink>. Se réferer à la page de manuel de <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp">ppp</ulink> pour plus de détails. @@ -5164,7 +5164,7 @@ Si vous avez activé le report de la qualité de connexion (Link Quality Reporting il est possible ce soit parce que que trop de paquets LQR sont perdus entre la machine et son interlocuteur. PPP en déduit que la ligne doit être trop mauvaise, et se déconnecte. Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, -LQR était activé par défaut. +LQR était activé par défaut. Il est maintenant désactivé par défaut. LQR peut-être désactivé avec la ligne suivante : @@ -5188,7 +5188,7 @@ support de connexion (lost carrier) <para> Il y a un réglage sur la plupart des modems qui déterminent le degré de tolérance sur la perte temporaire de la ligne porteuse. Sur un -USR Sportster par exemple, cela est mesuré par le registre S10 en +USR Sportster par exemple, cela est mesuré par le registre S10 en dixième de secondes. Pour rendre votre modem plus tolérant, vous pouvez ajouter la séquence envoi-attente suivante à votre chaîne de connexion : @@ -5209,11 +5209,11 @@ Se référer au manuel de votre modem pour plus de détails. <para> Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, une fois la ligne établie, -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp" >ppp</ulink> devait attendre que ce soit l'autre parti (peer) +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ppp" >ppp</ulink> devait attendre que ce soit l'autre parti (peer) qui initialise le protocole de -contrôle de ligne (Line Control Protocol (LCP). -Or, plusieurs ISPs ne débuteront pas la négociation et attendront du client -qu'il le fasse. Pour forcer <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> +contrôle de ligne (Line Control Protocol (LCP). +Or, plusieurs ISPs ne débuteront pas la négociation et attendront du client +qu'il le fasse. Pour forcer <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> à initialiser le LCP, utiliser la ligne suivante : <programlisting> @@ -5223,10 +5223,10 @@ set openmode active </para> <para> -<emphasis remap="bf">Note</emphasis>: +<emphasis remap="bf">Note</emphasis>: Cela ne fait pas de dégats si chacun des deux parties initialisent tous les deux la connexion, c'est pourquoi openmode est à présent activé par défaut. -Quoiqu'il en soit, la prochaine section expliquera quand est-ce ce que +Quoiqu'il en soit, la prochaine section expliquera quand est-ce ce que cela peut gêner. </para></sect2> @@ -5236,7 +5236,7 @@ cela peut gêner. <para> De temps en temps, juste après la connexion, vous pouvez voir des -messages dans le log qui dit "magic is the same". +messages dans le log qui dit "magic is the same". Parfois ces messages sont sans conséquences, et parfois l'un ou l'autre des partis quitte. La plupart des implémentations ppp ne peuvent survivre à ce problème, et @@ -5246,20 +5246,20 @@ fichier log à moins que ppp abandonne et ne ferme la connexion. </para> <para> -Cela apparaît normallement sur les machines serveurs avec des disques +Cela apparaît normallement sur les machines serveurs avec des disques lents qui diffusent un getty sur le port, et qui exécute ppp depuis un script ou programme de login après le login. J'ai aussi eu vent de cela arrivant lorsqu'on utilise slirp. -La raison est qu'entre le temps où getty quitte et que ppp commence, -le ppp côté-client commence par envoyer des paquets -Line Control Protocol (LCP). Parce que l'ECHO est toujours actif +La raison est qu'entre le temps où getty quitte et que ppp commence, +le ppp côté-client commence par envoyer des paquets +Line Control Protocol (LCP). Parce que l'ECHO est toujours actif sur les ports du côté serveur, le client ppp verra ces paquets qui lui seront "reflèté". </para> <para> -Une partie de la négociation LCP est d'établir un nombre magique +Une partie de la négociation LCP est d'établir un nombre magique (magic number) de chaque côté de la ligne, ceci afin que les "réflexions" soient détectées. Le protocole dit que lorsque l'autre parti essaye de @@ -5275,7 +5275,7 @@ s'empilant joyeusement dans le buffer stty du serveur. Aussitôt que ppp démarre sur le serveur, il est innondé par des changement de nombre magique et souvent décide qu'il a assez essayé de négociation LCP et abandonne. -Pendant ce temps, le client qui ne voit alors plus de réflexions, +Pendant ce temps, le client qui ne voit alors plus de réflexions, se réjouit juste le temps de voir que le serveur l'a déconnecté. </para> @@ -5316,16 +5316,16 @@ attendant que la période des 3 secondes se termine. Cela est pour l'instant un défaut d'implémentation dans <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> où il n'associe pas les réponses LCP, CCP & IPCP avec leur requête originale. -Comme conséquence, si l'une des implémentations +Comme conséquence, si l'une des implémentations <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> est 6 secondes plus lente que l'autre côté, l'autre côté enverra 2 requêtes de configuration LCP supplémentaire. Cela est fatal. -Soient 2 implémentations, <emphasis remap="bf">A</emphasis> et -<emphasis remap="bf">B</emphasis>. <emphasis remap="bf">A</emphasis> +Soient 2 implémentations, <emphasis remap="bf">A</emphasis> et +<emphasis remap="bf">B</emphasis>. <emphasis remap="bf">A</emphasis> commence à envoyer des requêtes LCP immédiatement après s'être connecté et <emphasis remap="bf">B</emphasis> met 7 secondes à démarer. -Quand <emphasis remap="bf">B</emphasis> démarre, +Quand <emphasis remap="bf">B</emphasis> démarre, <emphasis remap="bf">A</emphasis> a envoyé 3 requêtes LCP. Nous supposons que la ligne a désactivée l'ECHO, car dans le cas contraire nous verrions des problèmes de nombres magiques comme décrit @@ -5335,54 +5335,54 @@ dans la section précédente. REQ de <emphasis remap="bf">A</emphasis>. Le résultat est que <emphasis remap="bf">A</emphasis> entre dans l'état <emphasis remap="bf">OPENED</emphasis> et envoie un ACK -(le premier) en retour à <emphasis remap="bf">B</emphasis>. +(le premier) en retour à <emphasis remap="bf">B</emphasis>. Pendant ce temps, <emphasis remap="bf">B</emphasis> renvoi 2 ACK de plus en réponse au 2 REQ supplémentaires envoyés par -<emphasis remap="bf">A</emphasis> avant +<emphasis remap="bf">A</emphasis> avant <emphasis remap="bf">B</emphasis> que B n'ait commencé. <emphasis remap="bf">B</emphasis> reçoit alors le premier ACK de <emphasis remap="bf">A</emphasis> et entre dans l'état -<emphasis remap="bf">OPENED</emphasis>. +<emphasis remap="bf">OPENED</emphasis>. <emphasis remap="bf">A</emphasis> reçoit le deuxième ACK de <emphasis remap="bf">B</emphasis> et revient à l'état <emphasis remap="bf">REQ-SENT</emphasis>, et envoie un autre (quatrième) -REQ comme décrit dans la RFC. -Il envoie alors un troisième ACK et entre dans l'état -<emphasis remap="bf">OPENED</emphasis>. -Durant ce moment, <emphasis remap="bf">B</emphasis> -reçoit le quatrième REQ de <emphasis remap="bf">A</emphasis>, -par conséquent, revient dans l'état +REQ comme décrit dans la RFC. +Il envoie alors un troisième ACK et entre dans l'état +<emphasis remap="bf">OPENED</emphasis>. +Durant ce moment, <emphasis remap="bf">B</emphasis> +reçoit le quatrième REQ de <emphasis remap="bf">A</emphasis>, +par conséquent, revient dans l'état <emphasis remap="bf">ACK-SENT</emphasis> et envoie un autre (second) -REQ et (quatrième) ACK as per the RFC. +REQ et (quatrième) ACK as per the RFC. <emphasis remap="bf">A</emphasis> reçoit le REQ, va dans l'état <emphasis remap="bf">REQ-SENT</emphasis> et envoie un autre REQ. -Il reçoit alors immédiatement le ACK suivant et entre dans l'état +Il reçoit alors immédiatement le ACK suivant et entre dans l'état <emphasis remap="bf">OPENED</emphasis>. </para> <para> -Cela continue tant qu'un des partis ne s'aperçoive qu'ils n'iront -nulle part comme cela et abandonne. +Cela continue tant qu'un des partis ne s'aperçoive qu'ils n'iront +nulle part comme cela et abandonne. </para> <para> La meilleure façon d'éviter cela est de configurer un côté comme étant -<emphasis remap="bf">passif</emphasis> - cela fait, +<emphasis remap="bf">passif</emphasis> - cela fait, faire de telle sorte qu'un des côtés attende que l'autre commence la négociation. Cela peut-être fait par la commande : <programlisting> set openmode passive </programlisting> -Faire attention avec cette option, vous devriez aussi utiliser +Faire attention avec cette option, vous devriez aussi utiliser la commande <programlisting> set stopped N </programlisting> afin de limiter la durée avant que -<emphasis remap="bf">ppp</emphasis> attende de l'autre parti de -commencer la négociation. +<emphasis remap="bf">ppp</emphasis> attende de l'autre parti de +commencer la négociation. D'une autre façon, la commande <programlisting> set openmode active N @@ -5400,16 +5400,16 @@ faite). Regardez les pages de manuels pour plus de détails. <para> Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, il était possible que votre ligne soit désactivée peu après la connexion, dûe à -une mauvaise négociation de compression Predictor1 de +une mauvaise négociation de compression Predictor1 de <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> -Cela ne devrait arriver que si +Cela ne devrait arriver que si deux côtés essayent de négocier des protocoles de contrôle de compression ( -Compression Control Protocols (CCP) différents. +Compression Control Protocols (CCP) différents. Ce problème est à présent résolu, mais si vous utilisez toujours une -vieille version de -<emphasis remap="bf">ppp</emphasis>, +vieille version de +<emphasis remap="bf">ppp</emphasis>, le problème peut-être sauté avec la ligne <programlisting> @@ -5423,8 +5423,8 @@ disable pred1 <para> -Quand vous exécutez le <emphasis remap="tt">shell</emphasis> ou la -commande <emphasis remap="tt">!</emphasis>, +Quand vous exécutez le <emphasis remap="tt">shell</emphasis> ou la +commande <emphasis remap="tt">!</emphasis>, <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> exécute un shell (ou si vous avez passé des arguments, <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> exécutera ces arguments). Ppp attendra que la commande se termine avant @@ -5448,10 +5448,10 @@ pourra continuer de servir la connexion. <title> Ppp sur un null-modem ne quitte jamais. </title> <para> -Il n'y a aucune manière pour que <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> -détermine automatiquement qu'une connexion directe +Il n'y a aucune manière pour que <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> +détermine automatiquement qu'une connexion directe s'est achevée. Cela est dû aux lignes utilisées dans un câble série -null-modem. Quand on utilise cette sorte de connexion, LQR devrait +null-modem. Quand on utilise cette sorte de connexion, LQR devrait être toujours activé avec la ligne : <programlisting> @@ -5496,7 +5496,7 @@ la raison tracé avec le moment où cela s'est produit à côté. Vous pouvez à présent désactiver les appels sous ces circonstances. D'habitude, ces sortes de problèmes arrivent à cause des DNS lookup. Pour empêcher le DNS lookup d'établir une connexion (cela n'empêchera -<emphasis remap="bf">pas</emphasis> <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> +<emphasis remap="bf">pas</emphasis> <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> de passer les paquets à travers une connexion établie), utilisez les lignes suivantes : @@ -5509,7 +5509,7 @@ set dfilter 3 permit 0/0 0/0 </para> <para> -Cela ne convient pas toujours puisqu'il +Cela ne convient pas toujours puisqu'il enlèvera effectivement vos fonctionnalités de demandes d'appels - la plupart des programmes auront besoin du DNS lookup avant de faire quelque chose ayant un rapport avec le réseau. @@ -5519,12 +5519,12 @@ avant de faire quelque chose ayant un rapport avec le réseau. <para> Dans le cas DNS, vous pouvez essayer de déterminer qui est-ce qui essaye actuellement de résoudre le nom de l'hôte. -La plupart du temps, c'est +La plupart du temps, c'est <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sendmail" >sendmail</ulink> le coupable. Vous devez vous assurer que vous avez dit à sendmail de ne faire aucun DNS lookup dans ses fichiers de configuration, regardez la section sur -<ulink url="ispmail">la configuration du mail</ulink> pour les détails de comment créer son propre fichier de +<ulink url="ispmail">la configuration du mail</ulink> pour les détails de comment créer son propre fichier de comfiguration, et qu'est ce qu'on doit mettre dedans. Vous pouvez aussi vouloir ajouter les lignes suivantes dans votre fichier <emphasis remap="bf">.mc</emphasis> : @@ -5536,7 +5536,7 @@ define(`confDELIVERY_MODE', `d')dnl </para> <para> -Cela fera que sendmail mettra tout en file d'attente +Cela fera que sendmail mettra tout en file d'attente jusqu'à ce que la file soit lancée (habituellement, sendmail est invoqué avec ``-bd -q30m'', lui disant de lancer la file d'attente toutes les 30 minutes) ou jusqu'à ce que un @@ -5557,7 +5557,7 @@ CCP: Received Terminate Ack (1) state = Req-Sent (6) </para> <para> -Ceci est obtenu parce que ppp est en train de négocier la compression +Ceci est obtenu parce que ppp est en train de négocier la compression Predictor1 et que l'autre parti ne veut pas du tout négocier de compression. Ces messages sont sans conséquences aucune, mais si vous voulez les enleverm vous pouvez désactiver la compression Predictor1 aussi en local. @@ -5580,8 +5580,8 @@ résultait en une erreur IO qui était alors tracé avec syslogd, </para> <para> -Les spécifications ppp disent qu'un MTU de 1500 devrait -<emphasis remap="bf">toujours</emphasis> être accepté +Les spécifications ppp disent qu'un MTU de 1500 devrait +<emphasis remap="bf">toujours</emphasis> être accepté comme un minimum, ceci quelque soit la négociation LCP. Il est toutefois possible que vous diminuez le MTU à moins de 1500, votre ISP vous transmettra des paquets @@ -5600,7 +5600,7 @@ de 1500 sous FreeBSD 2.2.2 et avant. <title> Pourquoi ppp ne trace-t-il pas ma vitesse de connexion ? </title> <para> -La façon de tracer toutes les lignes de la ``conversation'' de +La façon de tracer toutes les lignes de la ``conversation'' de votre modem est d'activer : <programlisting> @@ -5618,7 +5618,7 @@ de tout tracer jusqu'à la dernière chaîne de requête d'"attente" <para> Si vous voulez voir votre vitesse de connexion et que vous utilisez PAP ou CHAP (et donc ne rien avoir avec "chat" après le CONNECT -dans le script dial - pas de script "set login"), vous devez +dans le script dial - pas de script "set login"), vous devez vous assurer que vous prévenez ppp de s'attendre tout la ligne CONNECT, quelque chose comme : @@ -5630,7 +5630,7 @@ set dial "ABORT BUSY ABORT NO\\sCARRIER TIMEOUT 4 \"\" ATZ OK-ATZ-OK ATDT\\T TIM <para> Ici, nous avons notre CONNECT, ne rien envoyer, et puis attendre -un saut de ligne, forçant +un saut de ligne, forçant <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> à lire toute la réponse CONNECT. @@ -5643,9 +5643,9 @@ CONNECT. Ppp parse chacune des lignes de votre fichier de configuration, de telle sorte qu'il puisse interprêter des chaines comme <emphasis remap="tt">set phone "123 456 789"</emphasis> correctement -(et réaliser qu'il n'y a que <emphasis remap="bf">un</emphasis> +(et réaliser qu'il n'y a que <emphasis remap="bf">un</emphasis> seul argument. -Pour pouvoir spécifier un caractère ``"'', vous devez +Pour pouvoir spécifier un caractère ``"'', vous devez l'échapper avec un backslash (``\''). </para> @@ -5654,13 +5654,13 @@ l'échapper avec un backslash (``\''). Quand l'interprêteur chat parse chaque argument, il re-interprête l'argument de telle sorte à trouver des séquences de caractères d'échappement comme -``\P'' ou ``\T'' (voir les pages de manuel). En conséquence de +``\P'' ou ``\T'' (voir les pages de manuel). En conséquence de ce double-parsing, vous devez vous souvenir d'utiliser le nombre correct d'échappement. </para> <para> -Si vous voulez envoyer un caractère ``\'' à votre modem, +Si vous voulez envoyer un caractère ``\'' à votre modem, vous aurez besoin de faire quelque chose comme : <programlisting> @@ -5763,7 +5763,7 @@ rendant ainsi possible le diagnostique de votre problème. </para> <para> -Si vous êtes familier avec gdb, vous pouvez vouloir trouver d'autres +Si vous êtes familier avec gdb, vous pouvez vouloir trouver d'autres techniques pour trouver ce qui a causé le dump, et les adresses et valeurs des variables concernées. </para></sect2> @@ -5772,16 +5772,16 @@ valeurs des variables concernées. <title> Le processus qui force un appel en mode auto ne se connecte jamais. </title> <para> -Cela est un problème connu quand <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> +Cela est un problème connu quand <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> est réglé de telle sorte à négocier une adresse IP dynamique avec son -homologue. Quand ce programme initial appelle -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?connect"> connect(2) </ulink>, +homologue. Quand ce programme initial appelle +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?connect"> connect(2) </ulink>, l'adresse IP de l'interface tun est assignée à l'extrêmité de la socket. Le noyau crée le premier paquet sortant et l'écrit sur le -périphérique tun. <emphasis remap="bf">Ppp</emphasis> +périphérique tun. <emphasis remap="bf">Ppp</emphasis> lit alors le paquet et établit alors la connexion. Si, comme -résultat de l'assignation dynamique de -<emphasis remap="bf">ppp</emphasis>, +résultat de l'assignation dynamique de +<emphasis remap="bf">ppp</emphasis>, l'adresse de l'interface est changée, l'extrêmité originale de la socket sera invalide. Tout paquet envoyé à l'autre parti sera alors en principe perdu. Et même s'il ne l'était pas, toute réponse ne @@ -5792,7 +5792,7 @@ ne serait plus possèdée par cette machine. <para> Théoriquement, il y a plusieurs manières d'aborder ce problème. -Le mieux serait que l'homologue re-assigne la même adresse IP si +Le mieux serait que l'homologue re-assigne la même adresse IP si possible <emphasis remap="tt">:-)</emphasis> </para> @@ -5804,27 +5804,27 @@ paquets sortant de telle sorte que les adresses IP de la source soient changées de l'interface Ip à l'IP négocié au vol. C'est essentiellement ce que <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?libalias"> libalias(3) </ulink> -(et l'option <emphasis remap="bf">-alias</emphasis> de ppp) +(et l'option <emphasis remap="bf">-alias</emphasis> de ppp) font actuellement. </para> <para> Une autre alternative (et probablement la plus sûre); est d'implémenter -un appel système qui change tous les sockets reliées depuis une +un appel système qui change tous les sockets reliées depuis une adresse IP à une autre. <emphasis remap="bf">Ppp</emphasis> utiliserait cet appel pour -modifier la socket de tous les programmes existant lorsqu'une nouvelle +modifier la socket de tous les programmes existant lorsqu'une nouvelle adresse IP est négociée. </para> <para> -Une troisième possibilité est d'autoriser à une interface de +Une troisième possibilité est d'autoriser à une interface de s'activer sans adresse IP. Les paquets sortant auront une adresse IP de -255.255.255.255 jusqu'à ce que le premier SIOCAIFADDR ioctl soit fait. +255.255.255.255 jusqu'à ce que le premier SIOCAIFADDR ioctl soit fait. Cela reviendrait à lier entièrement la socket, et -ça serait à <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> +ça serait à <emphasis remap="bf">ppp</emphasis> de changer l'adresse IP source, mais seulement si il est à 255.255.255.255, et seulement si le numéro IP et le checksum IP doivent être changés. Quoiqu'il en soit, c'est de la @@ -5845,9 +5845,9 @@ Aucune de ces solutions n'a (encore) été implémentée. <para> -La raison pour laquelle les jeux et assimilés ne marchent pas avec +La raison pour laquelle les jeux et assimilés ne marchent pas avec libalias est que la machine extérieure essaye d'ouvrir une connexion -ou envoyer des paquets UDP (non sollicités) à la machine +ou envoyer des paquets UDP (non sollicités) à la machine interne. Le logiciel packet alias ne sait alors pas qu'il faut envoyer ces paquets à une machine interne. </para> @@ -5866,7 +5866,7 @@ passer à travers la machine routeur. Quand quelque chose revient depuis l'extérieur, il sera retiré (c'est ça le problème). Noter le numéro de port de ces paquets, puis arrêtez le logiciel incriminé. Faite ceci quelques fois pour voir si les numéro de ports sont consistants. Si ils -le sont, alors la ligne suivante dans la section appropriée de +le sont, alors la ligne suivante dans la section appropriée de /etc/ppp/ppp.conf rendra le logiciel fonctionnel. <programlisting> @@ -5897,37 +5897,37 @@ options : </para> <para> -<emphasis remap="bf">1)</emphasis> Soumettre le support dans libalias. +<emphasis remap="bf">1)</emphasis> Soumettre le support dans libalias. Des exemples de ``cas spéciaux'' peuvent être trouvés dans /usr/src/lib/libalias/alias_*.c (alias_ftp.c -iest un bon prototype). +iest un bon prototype). Cela implique habituellement la lecture de certains paquets sortant reconnus, identification des instructions qui dit à la machine extérieure d'initialiser la connexion en retour vers machine interne sur un port -(aléatoire) spécifique, et mettre en place une +(aléatoire) spécifique, et mettre en place une ``route'' dans la table d'alias de telle sorte que les paquets concernés sachent où aller. </para> <para> -C'est la solution la plus difficile, mais c'est la meilleure et +C'est la solution la plus difficile, mais c'est la meilleure et permettra au logiciel de marcher sur plusieurs machines </para> <para> -<emphasis remap="bf">2)</emphasis> +<emphasis remap="bf">2)</emphasis> Utiliser un proxy. L'application peut pouvoir supporter socks5 par -exemple, ou (comme dans le cas de ``cvsup'') peut avoir une option -``passive'' qui évite d'avoir à toujours demander que l'autre parti +exemple, ou (comme dans le cas de ``cvsup'') peut avoir une option +``passive'' qui évite d'avoir à toujours demander que l'autre parti ouvre une connexion en retour sur la machine locale. </para> <para> <emphasis remap="bf">3)</emphasis> -Tout rediriger vers une machine interne utilisant +Tout rediriger vers une machine interne utilisant ``alias addr''. C'est l'approche "bourrin". </para></sect2> @@ -5939,7 +5939,7 @@ Si tout le reste échoue, envoyer autant d'informations que vous pouvez, y compris vos fichiers de configuration, comment vous avez démarré <emphasis remap="bf">ppp</emphasis>, les parties pertinentes de votre fichier log, et la sortie de la commande -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?netstat"> netstat -rn </ulink>(avant et après connexion) à la liste de diffusion +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?netstat"> netstat -rn </ulink>(avant et après connexion) à la liste de diffusion <ulink url="mailto:freebsd-questions@FreeBSD.org"> freebsd-questions@FreeBSD.org </ulink>ou au newsgroup <ulink url="news:comp.unix.bsd.freebsd.misc"> comp.unix.bsd.freebsd.misc, </ulink>et quelqu'un devrait vous orienter dans la bonne direction. </para></sect2> @@ -5949,10 +5949,10 @@ votre fichier log, et la sortie de la commande <sect1> <title>Je ne peux pas créer un périphérique <emphasis remap="tt">/dev/ed0</emphasis> ! </title> <para> -Dans le cadre des réseaux Berkeley, les interfaces réseaux sont -seulement directement accessibles par le code du noyau. -Regarder le fichier -<emphasis remap="tt">/etc/rc.network</emphasis> +Dans le cadre des réseaux Berkeley, les interfaces réseaux sont +seulement directement accessibles par le code du noyau. +Regarder le fichier +<emphasis remap="tt">/etc/rc.network</emphasis> et les pages de manuels pour les différents programmes réseaux mentionnés ici pour plus d'informations. Si cela vous est complètement confus, vous devriez prendre un livre décrivant l'administration réseaux sur un autre @@ -5968,7 +5968,7 @@ même chose que sur un SunOS 4.0 ou un Ultrix. <para> Ajouter ``<emphasis remap="tt">netmask 0xffffffff</emphasis>'' à votre -ligne de commande +ligne de commande <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ifconfig">ifconfig</ulink> comme ci-dessous : @@ -5985,10 +5985,10 @@ ifconfig ed0 alias 204.141.95.2 netmask 0xffffffff <para> Si vous voulez utiliser les autres ports, vous avez à spécifier un paramêtre supplémentaire dans la ligne de commande -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ifconfig">ifconfig</ulink>. -Le port par défaut est``<emphasis remap="tt">link0</emphasis>''. -Pour utiliser le port AUI à la place du BNC,utiliser -``<emphasis remap="tt">link2</emphasis>''. +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ifconfig">ifconfig</ulink>. +Le port par défaut est``<emphasis remap="tt">link0</emphasis>''. +Pour utiliser le port AUI à la place du BNC,utiliser +``<emphasis remap="tt">link2</emphasis>''. Ces paramêtres devraient être spécifiés en utilisant les variables de ifconfig_* variables dans <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?rc.conf">/etc/rc.conf</ulink>. </para> @@ -6013,7 +6013,7 @@ Regarder <ulink url="../handbook/nfs.html">la partie du Handbook sur NFS </ulink <para> Certaines versions du code NFS de Linux ne peuvent accepter des -requêtes de montages que depuis un port privilègié; essayez +requêtes de montages que depuis un port privilègié; essayez <programlisting> mount -o -P linuxbox:/blah /mnt @@ -6066,22 +6066,22 @@ routeur multicast, vous devez recompiler votre noyau avec l'option <emphasis remap="tt">MROUTING</emphasis> et lancer <emphasis remap="tt">mrouted</emphasis>. FreeBSD 2.2 et plus démarrera <emphasis remap="tt">mrouted</emphasis> au moment du boot si -l'option <emphasis remap="tt">mrouted_enable</emphasis> est mis à +l'option <emphasis remap="tt">mrouted_enable</emphasis> est mis à "YES" dans <emphasis remap="tt">/etc/rc.conf</emphasis>. </para> <para> -Les outils MBONE tools sont disponibles dans leur +Les outils MBONE tools sont disponibles dans leur propre catégorie de ports, mbone. Si vous cherchez les outils de -conférence <emphasis remap="tt">vic</emphasis> et -<emphasis remap="tt">vat</emphasis>, +conférence <emphasis remap="tt">vic</emphasis> et +<emphasis remap="tt">vat</emphasis>, c'est là qu'il faut voir ! </para> <para> -Pour plus d'informations, regarder +Pour plus d'informations, regarder <ulink url="http://www.mbone.com/">le web d'information Mbone</ulink>. </para> @@ -6092,7 +6092,7 @@ Pour plus d'informations, regarder <para> Voici une liste compilée par -<ulink url="mailto:gfoster@driver.nsta.org">Glen Foster</ulink>, +<ulink url="mailto:gfoster@driver.nsta.org">Glen Foster</ulink>, avec quelques ajouts récents : <programlisting> @@ -6124,32 +6124,32 @@ Zynx ZX342 <para> Vous verrez probablement que l'hôte est actuellement dans un domaine -différent; par exemple, si vous êtes dans foo.bar.edu -et que vous voulez atteindre un hôte nommé ``mumble'' -dans le domaine bar.edu domain, vous aurez à vous y référer +différent; par exemple, si vous êtes dans foo.bar.edu +et que vous voulez atteindre un hôte nommé ``mumble'' +dans le domaine bar.edu domain, vous aurez à vous y référer par son nom de domaine entièrement qualifié, ``mumble.bar.edu'', à la place de juste ``mumble''. </para> <para> -Traditionellement, cela était autorisés par les résolveurs -BSD BIND. Malgrè tout, la version courante de -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?named">bind</ulink> -qui est fournie avec FreeBSD ne fournit plus d'abbréviation par défaut +Traditionellement, cela était autorisés par les résolveurs +BSD BIND. Malgrè tout, la version courante de +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?named">bind</ulink> +qui est fournie avec FreeBSD ne fournit plus d'abbréviation par défaut pour un domaine non entièrement qualifié; autre que le domaine dans lequel vous êtes. -Ainsi, un hôte non-qualifié <emphasis remap="tt">mumble</emphasis> -doit soit être trouvé comme -<emphasis remap="tt">mumble.foo.bar.edu</emphasis>, +Ainsi, un hôte non-qualifié <emphasis remap="tt">mumble</emphasis> +doit soit être trouvé comme +<emphasis remap="tt">mumble.foo.bar.edu</emphasis>, ou alors il sera cherché dans le domaine racine. </para> <para> -Cela est différent du comportement décrit auparavant, où la recherche -continuait à travers <emphasis remap="tt">mumble.bar.edu</emphasis>, -et <emphasis remap="tt">mumble.edu</emphasis>. +Cela est différent du comportement décrit auparavant, où la recherche +continuait à travers <emphasis remap="tt">mumble.bar.edu</emphasis>, +et <emphasis remap="tt">mumble.edu</emphasis>. Jetez un coup d'oeil à la RFC 1535 pour savoir pourquoi cela est considéré comme une mauvaise pratique, ou encore même un trou de sécurité. @@ -6173,7 +6173,7 @@ domain foo.bar.edu </para> <para> -dans votre fichier +dans votre fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?resolv.conf"> /etc/resolv.conf </ulink>. Quoiqu'il en soit, assurez vous que l'ordre de recherche ne vas pas en dehors des ``limites entre l'administration locale @@ -6187,10 +6187,10 @@ et publique'', comme appelée dans la RFC 1535. <para> -Si vous avez compilé votre noyau avc l'option +Si vous avez compilé votre noyau avc l'option <emphasis remap="tt">IPFIREWALL</emphasis>, vous devez être prévenu, que la politique par défaut depuis le -2.1.7R (cela a changé durant le développement +2.1.7R (cela a changé durant le développement du 2.1-STABLE) est de refuser tous les paquets qui ne sont pas explicitement autorisés. </para> @@ -6207,7 +6207,7 @@ ipfw add 65534 allow all from any to any </para> <para> -Vous pouvez aussi régler "firewall_type='open'" dans +Vous pouvez aussi régler "firewall_type='open'" dans <emphasis remap="tt">/etc/rc.conf</emphasis>. </para> @@ -6224,7 +6224,7 @@ voir la <ulink url="../handbook/firewalls.html">section correspondante du handbo <para> La réponse à ceci dépend pour la plupart à votre ensemble de règle et à -votre vitesse de processeur. Pour la plupart des applications +votre vitesse de processeur. Pour la plupart des applications utilisant ethernet et de petits ensembles de règles, la réponse est : négligeable. Pour tous ceux d'entre vous qui veulent des mesures actuelles pour satisfaire leur curiosité, continuez à lire : @@ -6251,7 +6251,7 @@ ipfw add deny tcp from any to any 55555 </para> <para> -Cela démontre le pire des cas en faisant que chaque paquet IPFW entraine l'exécution de +Cela démontre le pire des cas en faisant que chaque paquet IPFW entraine l'exécution de la routine de vérification qui finallement décide que le paquet ne correspond pas aux règles (en vertu du numéro de port)? Apès la 999eme itération de cette règle, il y avait un @@ -6272,15 +6272,15 @@ ipfw add deny ip from 1.2.3.4 to 1.2.3.4 <para> Les adresses IP des sources non correspondantes aux règles énoncées ci-dessus font que ces règles sont sautées très rapidement. Comme -auparavant, la 1000eme règle était un +auparavant, la 1000eme règle était un <emphasis remap="tt">allow ip from any to any</emphasis>. </para> <para> -L'étude par paquet dans le premier cas a été approximativement de +L'étude par paquet dans le premier cas a été approximativement de 2.703ms/paquet, soit en gros 2.7 microseconds par règle -. +. Ainsi, la limite théorique d'étude de paquet avec ces règles est de 370 paquets par secondes. En supposant un éthernet 10Mbps et des paquets d'environ 1500 bytes, nous ne pourrons être capable que d'obtenir une @@ -6288,10 +6288,10 @@ utilisation de la bande passante de 55.5% </para> <para> -Pour le dernier cas, chaque paquet a été étudié en approximativement +Pour le dernier cas, chaque paquet a été étudié en approximativement 1.172ms, soit en gros 1.2 microseconds par règle. La limite théorique de l'étude des paquets ici, serait d'environ de 853 -paquets par secondes, ce qui pourrait consommer une bande passante +paquets par secondes, ce qui pourrait consommer une bande passante d'un éthernet 10Mbps. </para> @@ -6301,14 +6301,14 @@ Le nombre excessif de règle testés, et la nature de ces règles ne fournissent pas un scénario du monde réel -- ils ont été utilisés que pour générer les informations de temps présentés ici.Voici certaines choses à garder à l'esprit pour construire un ensemble de règles -efficaces : +efficaces : <itemizedlist> <listitem> <para> -Placer une règle d'`établissement' très tôt afin de pouvoir -gérer la majorité du trafic TCP. Ne mettre aucun +Placer une règle d'`établissement' très tôt afin de pouvoir +gérer la majorité du trafic TCP. Ne mettre aucun <emphasis remap="tt">allow tcp</emphasis> avant cette règle. </para> @@ -6318,7 +6318,7 @@ avant cette règle. <para> Placer les règles souvent sollicitées le plus au début de l'ensemble des règles plutôt que celles rarement utilisées -(<emphasis remap="bf">sans changer la permissivité du firewall </emphasis>, bien sûr). +(<emphasis remap="bf">sans changer la permissivité du firewall </emphasis>, bien sûr). Vous pourrez voir quels sont les règles les plus souvent utilisées en examinant les statistiques des comptages des paquets avec <emphasis remap="tt">ipfw -a l</emphasis>. @@ -6356,9 +6356,9 @@ respectivement. <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: n.nn ---> +--> <chapter id="serial"> <title>Communications par port série. **Mise à jour en cours**</title> @@ -6369,7 +6369,7 @@ protocoles PPP et SLIP sont couverts dans la section Réseaux.</para> <sect1> <title>Comment savoir si FreeBSD a trouvé mes ports séries ?</title> - <para> Lorsque FreeBSD démarre, il recherche les ports série sur + <para> Lorsque FreeBSD démarre, il recherche les ports série sur votre machine qui sont configurés dans le noyau. Vous pouvez voir ces ports en regardant avec attention au moment du démarrage les messages affichés, ou en lançant la commande suivante:</para> @@ -6381,8 +6381,8 @@ dmesg | grep sio de l'affichage de la commande précédente. <programlisting> sio0 at 0x3f8-0x3ff irq 4 on isa -sio0: type 16550A -sio1 at 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa +sio0: type 16550A +sio1 at 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa sio1: type 16550A </programlisting> Vous voyez alors apparaitre deux ports série. Le premier se trouve à @@ -6393,9 +6393,9 @@ cartes modems internes sont traités comme des ports série -- sauf qu'ils ont toujours un modem sur le port. </para> - <para>Le noyau <emphasis remap="tt">GENERIC</emphasis> comprends -le support pour deux ports série dont les adresses et les IRQ sont les -memes que celles ci-dessus. Si ces valeurs ne vous conviennent pas, ou + <para>Le noyau <emphasis remap="tt">GENERIC</emphasis> comprends +le support pour deux ports série dont les adresses et les IRQ sont les +memes que celles ci-dessus. Si ces valeurs ne vous conviennent pas, ou si vous avez des cartes modems additionnelles ou des cartes série, reconfigurez un noyau. Voyez la section sur la reconstruction d'un noyau pour plus de détails.</para> @@ -6413,7 +6413,7 @@ devices <emphasis remap="tt">ttydX</emphasis>. Vous devrez donc changer toutes vos anciennes configurations pour utiliser ces devices.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment accéder aux ports série sous FreeBSD ? </title> @@ -6444,24 +6444,24 @@ gérer les conflits.</para> <sect1> <title>Comment activer le support pour les cartes séries multiports</title> <para>Encore une fois, reportez vous à la section sur la - configuration du noyau. Pour une carte série multiports placez + configuration du noyau. Pour une carte série multiports placez une ligne <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?sio">sio</ulink> pour chaque port série de la carte dans le fichier de configuration du noyau. Ne mettez pour une valeur l'irq et le vecteur d'adresse de la carte. Tous les ports de la cartes doivent partager la même irq. Pour des raisons de - cohérence, spécifiez l'irq pour le dernier port. N'oubliez pas - d'ajouter l'option <emphasis remap="tt"> COM_MULTIPORT </emphasis>. + cohérence, spécifiez l'irq pour le dernier port. N'oubliez pas + d'ajouter l'option <emphasis remap="tt"> COM_MULTIPORT </emphasis>. </para> <para>L'example suivant correspond à une carte série 4ports AST sur l'irq 7</para> <programlisting> -options "COM_MULTIPORT" -device sio4 at isa? port 0x2a0 tty flags 0x781 -device sio5 at isa? port 0x2a8 tty flags 0x781 -device sio6 at isa? port 0x2b0 tty flags 0x781 -device sio7 at isa? port 0x2b8 tty flags 0x781 irq 7 vector siointr +options "COM_MULTIPORT" +device sio4 at isa? port 0x2a0 tty flags 0x781 +device sio5 at isa? port 0x2a8 tty flags 0x781 +device sio6 at isa? port 0x2b0 tty flags 0x781 +device sio7 at isa? port 0x2b8 tty flags 0x781 irq 7 vector siointr </programlisting> <para>Les drapeaux (flags) indiquent que le port maitre à un @@ -6477,9 +6477,9 @@ device sio7 at isa? port 0x2b8 tty flags 0x781 irq 7 vector siointr <sect1> <title>Est-ce que FreeBSD sait gérer les cartes séries multiports en partageant les IRQ ?</title> - <para>Pas pour le moment. Vous devez utiliser une IRQ différente + <para>Pas pour le moment. Vous devez utiliser une IRQ différente pour chaque carte.</para> - + </sect1> <sect1> @@ -6494,12 +6494,12 @@ pour chaque carte.</para> commande: </para> <programlisting> -stty -a -f /dev/ttyd1 +stty -a -f /dev/ttyd1 </programlisting> - + <para>Lorsque vous changez les paramètres du périphérique, ces - paramètres sont effectifs jusqu'au moment ou vous arreterez de - vous servir de ce périphérique. S'il est ouvert de nouveau, il + paramètres sont effectifs jusqu'au moment ou vous arreterez de + vous servir de ce périphérique. S'il est ouvert de nouveau, il reprendra les paramètres par défaut. Pour changer les paramètres par défaut , vous devez ouvrir le périphérique et changer les paramètres de l'``état initial'' du @@ -6517,33 +6517,33 @@ stty -f /dev/ttyd5 clocal cs8 ixon ixoff lorsqu'une application ovrira <emphasis remap="tt"> ttyd5</emphasis> elle obtiendra les valeurs ci-dessus. </para> - <para>Vous pouvez empecher certaines valeurs d'etre modifiées en - utilisant le fonction de ``lock'' du périphérique. Par exemple + <para>Vous pouvez empecher certaines valeurs d'etre modifiées en + utilisant le fonction de ``lock'' du périphérique. Par exemple pour forcer la vitesse à 57600bauds sur <emphasis remap="tt"> ttyd5 </emphasis>:</para> <programlisting> stty -f /dev/ttyd5 57600 </programlisting> - + <para>Maintenant lorsqu'un programme ouvrira <emphasis - remap="tt">ttyd5</emphasis> et tentera de changer la vitesse + remap="tt">ttyd5</emphasis> et tentera de changer la vitesse du port, il obtiendra toujours 57600 bauds.</para> - <para> Bien sur, vous devez laisser la possibilité de changer les + <para> Bien sur, vous devez laisser la possibilité de changer les états initiaux et de lock que pour l'utilisateur root. Le script <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?MAKEDEV"> MAKEDEV - </ulink> <emphasis remap="bf"> ne le fait pas </emphasis> par + </ulink> <emphasis remap="bf"> ne le fait pas </emphasis> par défaut lorsqu'il crée les noeuds.</para> - + </sect1> <sect1> <title>Comment mettre en place un login dialup sur mon modem?</title> <para>Vous voulez devenir fournisseur d'accès à l'Internet ? - Pour commencer vous devez disposer de plus d'un modem pouvant + Pour commencer vous devez disposer de plus d'un modem pouvant répondre automatiquement. Votre modem doit pouvoir detecter -une émission de porteuse lorsque qu'elle se présente et ne doit pas en -détecter constemment. Il doit aussi etre capable de racrocher la ligne +une émission de porteuse lorsque qu'elle se présente et ne doit pas en +détecter constemment. Il doit aussi etre capable de racrocher la ligne lorsqu'il détecte le passage de 1 à 0 du signal <emphasis remap="tt">DTR</emphasis>. Il doit aussi utiliser un controle de flux de type <emphasis remap="tt"> RTS/CTS </emphasis> ou aucun controle @@ -6560,7 +6560,7 @@ AT &C1 &D3 &K3 &Q6 S0=1 &W <para>Voyez la section sur l'envoi direct de commandes AT, pour savoir comment les mettre en place sans avoir besoin de lancer un -émulateur de terminal sous MS-DOS.</para> +émulateur de terminal sous MS-DOS.</para> <para>Ensuite créez une entrée dans <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ttys"> /etc/ttys </ulink> pour @@ -6582,7 +6582,7 @@ url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?gettytab"> /etc/gettytab autorisés sur ce port. Pour utiliser d'autres ports en entrée, utilisez les autres entrées <emphasis remap="tt"> ttydX </emphasis>. </para> - + <para>Il est d'usage courant d'utiliser ``dialup'' comme type de terminal. Beaucoup d'utilisateurs affichent un prompt dans leur .profile ou .login si le type de terminal est ``dialup''. L'exemple @@ -6613,7 +6613,7 @@ possible sur le port en tapant : <programlisting> ps -ax | grep '[t]tyd1' </programlisting> - + <para>Et vous devez voir apparaitre quelque chose comme ceci:</para> <programlisting> @@ -6621,20 +6621,20 @@ ceci:</para> </programlisting> </sect1> - <sect1> + <sect1> <title>Comment connecter un terminal sur mon système FreeBSD?</title> - <para>Si vous utilisez un autre ordinateur en tant que terminal, + <para>Si vous utilisez un autre ordinateur en tant que terminal, vous devez vous procurer un cable null modem pour relier les deux ports série. Si vous utilisez un vrai terminal (de type WYSE-50), suivez les instructions du manuel</para> <para>Ensuite, modifez <ulink -url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ttys"> /etc/ttys</ulink> comme +url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?ttys"> /etc/ttys</ulink> comme expliqué à la section précedente. Par exemple, pour un terminal WYSE-50 connecté sur le 5ème port série, utilisez une entrée ressemblant à la suivante:</para> - + <programlisting> ttyd4 "/usr/libexec/getty std.38400" wyse50 on secure </programlisting> @@ -6643,14 +6643,14 @@ ttyd4 "/usr/libexec/getty std.38400" wyse50 on secure <filename>/dev/ttyd4</filename> est connecté sur un terminal wyse50 à la vitesse de 38400 bauds sans parité (<emphasis remap="tt">std.38400</emphasis> se trouvant dans le fichier <ulink -url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?gettytab">/etc/gettytab</ulink>) +url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?gettytab">/etc/gettytab</ulink>) et les logins root sont permis (mot clé secure)</para> </sect1> - + <sect1> <title>Pourquoi ne puis-je pas executer <filename>tip</filename> ou <filename>cu</filename>?</title> - + <para>Sur votre système, les programmes <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?tip">tip</ulink> et <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?cu">cu</ulink> ne sont @@ -6688,9 +6688,9 @@ reconnus. Vous devez absolument désactiver ces messages lorsque vous utilisez <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?tip">tip</ulink> (en tapant <filename>ATX0&W</filename>).</para> - + <para>De plus le timeout de <filename>tip</filename> est de 60 -secondes. Votre modem doit absolument utiliser une valeur plus faible, +secondes. Votre modem doit absolument utiliser une valeur plus faible, sinon <filename>tip</filename> pensera qu'il y a un problème de communication. Essayez la commande <filename>ATS7=45&W</filename></para> @@ -6698,7 +6698,7 @@ communication. Essayez la commande <para>Le version de <filename>tip</filename> livrée ne comporte pas toutes ces fonctionnalités. La solution est d'éditer le fichier <filename>tipconf.h</filename> se trouvant dans le répertoire -<filename>/usr/src/usr.bin/tip/tip</filename>. Bien sur cela nécessite +<filename>/usr/src/usr.bin/tip/tip</filename>. Bien sur cela nécessite que vous ayez installé les sources.</para> <para>Remplacez alors la ligne <filename>#define HAYES 0</filename> par <filename>#define HAYES 1</filename>. Puis tapez @@ -6717,10 +6717,10 @@ Par exemple, si votre modem est attaché sur le premier port série, <programlisting> cuaa0:dv=/dev/cuaa0:br#19200:pa=none </programlisting> - + <para>Utilisez le taux maximum, de transfert de votre modem, pour la fonctionnalitée br. Ensuite tapez <ulink -url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?tip">tip cuaa0</ulink> et vous +url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?tip">tip cuaa0</ulink> et vous serez alors connecté sur votre modem.</para> <para>S'il n'existe pas de fichier @@ -6744,13 +6744,13 @@ série(ex:<filename>/dev/cuaa0</filename>) et <quote>vitesse</quote>(la vitesse maximum de votre modem)(ex:<filename>57600</filename>). Lorsque vous avez entrer les commandes AT apropriées, tapez <filename>~.</filename> pour quitter</para> - + </sect1> <sect1> <title>Le symbole <filename>@</filename> pour la fonctionnalité pn ne marche pas!</title> <para>Le symbole <filename>@</filename> dans le numéro de -téléphone demande à <filename>tip</filename> de regarder dans le +téléphone demande à <filename>tip</filename> de regarder dans le fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?phones(5)"> /etc/phones </ulink> pour trouver le numéro aproprié. Mais le symbole <filename>@</filename> est aussi un caractère spécial pour le fichier @@ -6761,35 +6761,35 @@ Mettez un backslash devant pour qu'il soit correctement interprété.</para> <programlisting> pn=\@ </programlisting> - + </sect1> <sect1> <title>Comment composer un numéro de téléphone depuis la ligne de commande?</title> - + <para>Mettez une ligne <quote><filename>generic</filename></quote> dans le fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?remote">/etc/remote</ulink>. Par exemple:</para> <programlisting> -tip115200|Dial any phone number at 115200 bps:\ - :dv=/dev/cuaa0:br#115200:at=hayes:pa=none:du: -tip57600|Dial any phone number at 57600 bps:\ +tip115200|Dial any phone number at 115200 bps:\ + :dv=/dev/cuaa0:br#115200:at=hayes:pa=none:du: +tip57600|Dial any phone number at 57600 bps:\ :dv=/dev/cuaa0:br#57600:at=hayes:pa=none:du: </programlisting> <para>Vous pourrez alors utilisez la commande suivante <quote><filename>tip -115200 5551234 </filename></quote>. Si vous -préferez <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?cu">cu</ulink> +préferez <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?cu">cu</ulink> à <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?tip">tip</ulink>, utilisez une ligne générique pour cu:</para> <programlisting> -cu115200|Use cu to dial any number at 115200bps:\ - :dv=/dev/cuaa1:br#57600:at=hayes:pa=none:du: +cu115200|Use cu to dial any number at 115200bps:\ + :dv=/dev/cuaa1:br#57600:at=hayes:pa=none:du: </programlisting> <para>et utilisez la commande <quote><filename>cu 5551234 -s @@ -6817,16 +6817,16 @@ utilisez la fonctionnalité <filename>cm</filename> de tip. Voyez, par exemple, les entrèes suivantes du fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?remote">/etc/remote</ulink>:</para> <programlisting> -pain|pain.deep13.com|Forrester's machine:\ - :cm=CONNECT pain\n:tc=deep13: -muffin|muffin.deep13.com|Frank's machine:\ - :cm=CONNECT muffin\n:tc=deep13: -deep13:Gizmonics Institute terminal server:\ - :dv=/dev/cua02:br#38400:at=hayes:du:pa=none:pn=5551234: +pain|pain.deep13.com|Forrester's machine:\ + :cm=CONNECT pain\n:tc=deep13: +muffin|muffin.deep13.com|Frank's machine:\ + :cm=CONNECT muffin\n:tc=deep13: +deep13:Gizmonics Institute terminal server:\ + :dv=/dev/cua02:br#38400:at=hayes:du:pa=none:pn=5551234: </programlisting> <para>Cela vous permet de taper directement <filename>tip -pain</filename> ou <filename>tip muffin</filename> pour vous connectez +pain</filename> ou <filename>tip muffin</filename> pour vous connectez sur les machines pain ou muffin, et <filename>tip deep13</filename> pour accéder au serveur de terminaux.</para> @@ -6836,38 +6836,38 @@ pour accéder au serveur de terminaux.</para> <title>Est-ce que tip peut utiliser plusieurs numéros de téléphones pour se connecter à un site?</title> <para>C'est un problème courant lorsqu'une université a -plusieurs lignes pour les modems et plusieurs milliers d'étudiants qui +plusieurs lignes pour les modems et plusieurs milliers d'étudiants qui les utilisent.</para> - + <para>Créez une ligne pour votre université dans le fichier <ulink -url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?remote">/etc/remote</ulink> +url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?remote">/etc/remote</ulink> et utilisez <filename>\@</filename> comme valeur pour la fonctionnalité <filename>pn</filename>.</para> -<programlisting> -big-university:\ - :pn=\@:tc=dialout -dialout:\ - :dv=/dev/cuaa3:br#9600:at=courier:du:pa=none: +<programlisting> +big-university:\ + :pn=\@:tc=dialout +dialout:\ + :dv=/dev/cuaa3:br#9600:at=courier:du:pa=none: </programlisting> <para>Ensuite listez tous les numéros de téléphones de l'université dans le fichier <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?phones">/etc/phones</ulink></para> - + <programlisting> big-university 5551111 -big-university 5551112 -big-university 5551113 +big-university 5551112 +big-university 5551113 big-university 5551114 -</programlisting> +</programlisting> <para><ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?tip">tip</ulink> essaiera alors tous les numéros de téléphones dans l'ordre de la liste puis s'arretera. Si vous voulez qu'il réessaye à l'infini, lancez <filename>tip</filename> dans une boucle sans fin</para> - + </sect1> <sect1> <title>Pourquoi dois-je appuyer deux fois sur CTRL+P pour envoyer un CRTL+P?</title> @@ -6880,12 +6880,12 @@ d'échappement <filename>~s</filename>, qui équivaut à <quote>set a variable</quote>.</para> <para>Tapez -<quote><filename>~sforce=<single-char></filename></quote> suivit +<quote><filename>~sforce=<single-char></filename></quote> suivit d'un saut de ligne. <filename><single-char></filename> correspondant à un simple caractère.Si vous laissez <filename><single-char></filename> vide, alors le caractère de ``force'' est le caractère nul, que vous pouvez obtenir par CTRL+2 ou -CTRL+SPACE. La meilleur valeur pour ce caractère est SHIFT+CTRL+6, que +CTRL+SPACE. La meilleur valeur pour ce caractère est SHIFT+CTRL+6, que je n'ai vu que utilisé que sur peu de terminaux.</para> <para>Vous pouvez affecter la valeur que vous voulez pour ce @@ -6895,9 +6895,9 @@ caractère en le spécifiant dans le fichier <programlisting> force=<single-char> </programlisting> - + </sect1> - + <sect1> <title>Tout d'un coup, tout ce que je tape est en majuscule?</title> @@ -6908,7 +6908,7 @@ comme auparavant, <filename>~s</filename>, et fixez la variable <quote>raisechar</quote> a une valeur plus raisonnable. En fait, vous pouvez le mettre à la meme valeur que le caractère de ``force'', si vous ne désirez jamais utiliser ces fonctionnalités.</para> - + <para>Voici un exemple de fichier <filename>.tiprc</filename> pour les utilisateurs d'Emacs qui utilisent beaucoup CTRL+2 et CTRL+A:</para> @@ -6917,7 +6917,7 @@ CTRL+A:</para> force=^^ raisechar=^^ </programlisting> - + <para>Le caractère <filename>^^</filename> correspond à SHIFT+CTRL+6.</para> </sect1> @@ -6936,7 +6936,7 @@ ces commandes est:</para> <programlisting> ~p <fichier-local> [<fichier-distant>] -~t <fichier-distant> [<fichier-local>] +~t <fichier-distant> [<fichier-local>] </programlisting> <para>Il n'y a aucun controle d'erreur, donc il vaut mieux @@ -6952,17 +6952,17 @@ zmodem depuis les ports(un de ceux de la catégorie comms <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?^lrzsz">lrzsz</ulink> ou <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?^rzsz">rzsz</ulink>). </para> - + <para>Pour recevoir un fichier, démarrez le programme d'envoi des données sur le système distant. Ensuite pressez entrée puis tapez <quote><filename>~C rz</filename></quote> (ou <quote><filename>~C lrz</filename></quote> si vous avez installé lrzsz) pour recevoir le fichier.</para> - + <para>Pour envoyer des fichiers, démarrez le programme de réception sur le système distant. Ensuite tapez entrée et tapez <quote><filename>~C sz <files></filename></quote>(ou -<quote><filename>~C lsz <files></filename></quote>) pour envoyer +<quote><filename>~C lsz <files></filename></quote>) pour envoyer le fichier.</para> </sect1> @@ -6973,9 +6973,9 @@ UART Acer, ne sont pas reconnues correctement par le programme de détection de FreeBSD. Un patch est disponible à <ulink url="http://www.lemis.com/serial-port-patch.html"> www.lemis.com </ulink> pour résoudre votre problème.</para> - - </sect1> - + + </sect1> + </chapter> @@ -6983,9 +6983,9 @@ url="http://www.lemis.com/serial-port-patch.html"> www.lemis.com <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: n.nn ---> +--> <chapter id="misc"> @@ -6996,7 +6996,7 @@ url="http://www.lemis.com/serial-port-patch.html"> www.lemis.com <para> Non. Vous voulez peut-être dire "pourquoi mon swap semble être plein ?". -Si cela est vraiment ce que vous voulez dire, c'est en fait parce que +Si cela est vraiment ce que vous voulez dire, c'est en fait parce que mettre les choses dans le swap plutôt que les mettre de côté rend toujours plus facile sa récupération que si le pager devait aller chercher à travers tout le système de fichier afin de récupérer des blocs propres (non modifié) @@ -7067,7 +7067,7 @@ pour plus d'informations. <para> FreeBSD vient du camp "classique" et utilise traditionnellement le -format +format <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?a.out(5)" >a.out</ulink>, une technologie esssayée et éprouvée à travers des générations de releases BSD. Bien qu'il a aussi été quelques fois possible de @@ -7076,13 +7076,13 @@ sur un système FreeBSD, FreeBSD a initiallement résisté à la "pression" de passer à <emphasis remap="tt">ELF</emphasis> comme format par défaut. Pourquoi ? Bien, quand le camp Linux ont fait leur difficile transition vers <emphasis remap="tt">ELF</emphasis>, -il ne suffisait pas de fuir le format exécutable +il ne suffisait pas de fuir le format exécutable <emphasis remap="tt">a.out</emphasis>. mais leur mécanisme de librairies partagées -basé sur des table de sauts inflexible ce +basé sur des table de sauts inflexible ce qui rendait la construction de librairies partagées difficiles pour les -vendeurs et développeurs. +vendeurs et développeurs. <!-- it was not so much to flee the a.out executable format as it was their inflexible jump-table based shared library mechanism, @@ -7104,14 +7104,14 @@ Dans le cas FreeBSD, notre mécanisme de librairie partagée se rapproche plus des style de mécanisme de librairie partagée des <emphasis remap="tt">SunOS</emphasis> de Sun, et de la sorte, est très simple à utiliser. Quoiqu'il en soit, à partir de 3.0, FreeBSD supportera officiellement -les binaires <emphasis remap="tt">ELF</emphasis> comme format par défaut. Même si les +les binaires <emphasis remap="tt">ELF</emphasis> comme format par défaut. Même si les formats exécutables <emphasis remap="tt">a.out</emphasis> nous ont beaucoup servis, les gens du GNU auteurs des outils de compilation que nous utilisons ont arrêté leur supports pour le format <emphasis remap="tt">a.out</emphasis>. Cela nous a forcé à maintenir des versions divergentes du compilateur et -de l'éditeur de liens, et nous a empêché de bénéficier des -derniers efforts du développement GNU. Et puis, les demandes de -ISO-C++, notemment pour les constructeurs et les destructeurs, +de l'éditeur de liens, et nous a empêché de bénéficier des +derniers efforts du développement GNU. Et puis, les demandes de +ISO-C++, notemment pour les constructeurs et les destructeurs, nous ont aussi conduit à supporter de l' <emphasis remap="tt">ELF</emphasis> natif pour les futures release de FreeBSD.</para> </sect1> @@ -7121,31 +7121,31 @@ nous ont aussi conduit à supporter de l' <para> -Vous devez utiliser soit ``<emphasis remap="tt">-H</emphasis>'' ou +Vous devez utiliser soit ``<emphasis remap="tt">-H</emphasis>'' ou ``<emphasis remap="tt">-L</emphasis>'' ensemble avec -l'option ``<emphasis remap="tt">-R</emphasis>'' pour que cela marche. +l'option ``<emphasis remap="tt">-R</emphasis>'' pour que cela marche. Regardez les pages de manuels de <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?chmod" >chmod</ulink> et <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?symlink" >symlink</ulink>. </para> <para> -<emphasis remap="bf">ATTENTION</emphasis> l'option -``<emphasis remap="tt">-R</emphasis>'' fait un chmod +<emphasis remap="bf">ATTENTION</emphasis> l'option +``<emphasis remap="tt">-R</emphasis>'' fait un chmod <emphasis remap="bf">RECURSIF</emphasis> -<emphasis remap="tt">chmod</emphasis>. Faites attention en spécifiant +<emphasis remap="tt">chmod</emphasis>. Faites attention en spécifiant le répertoire -ou les liens symboliques vers les repertoires où vous lancerez +ou les liens symboliques vers les repertoires où vous lancerez <emphasis remap="tt">chmod</emphasis>. Si vous voulez changer les permissions d'un répertoire référencé par un symlink, utiliser <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?chmod" >chmod</ulink> sans aucune option et suivre le lien symbolique avec un slash final -(``<emphasis remap="tt">/</emphasis>''). Par exemple, si -``<emphasis remap="tt">foo</emphasis>'' est un lien -symbolique vers le répertoire ``<emphasis remap="tt">bar</emphasis>'', +(``<emphasis remap="tt">/</emphasis>''). Par exemple, si +``<emphasis remap="tt">foo</emphasis>'' est un lien +symbolique vers le répertoire ``<emphasis remap="tt">bar</emphasis>'', et que vous voulez changer les -permissions de ``<emphasis remap="tt">foo</emphasis>'' -(actuellement ``<emphasis remap="tt">bar</emphasis>''), +permissions de ``<emphasis remap="tt">foo</emphasis>'' +(actuellement ``<emphasis remap="tt">bar</emphasis>''), vous devrez sans doute faire quelque chose comme : <programlisting> chmod 555 foo/ @@ -7154,8 +7154,8 @@ chmod 555 foo/ </para> <para> -Avec un slash final, -<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?chmod" >chmod</ulink> +Avec un slash final, +<ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?chmod" >chmod</ulink> suivra le lien symbolique, ``<emphasis remap="tt">foo</emphasis>'', pour changer les droits sur le répertoire ``<emphasis remap="tt">bar</emphasis>''.</para> @@ -7166,9 +7166,9 @@ le répertoire ``<emphasis remap="tt">bar</emphasis>''.</para> <para> -Vous pouvez penser qu'il est assez simple de changer -<emphasis remap="bf">UT_NAMESIZE</emphasis> -et de reconstruire tout le monde, et que tout marcherait. +Vous pouvez penser qu'il est assez simple de changer +<emphasis remap="bf">UT_NAMESIZE</emphasis> +et de reconstruire tout le monde, et que tout marcherait. Malheureusement, il y a souvent une escouade d'applications et d'utilitaires (y compris les outils systèmes) qui ont codé en dur les petits nombres (pas toujours "8" ou "9", mais d'autres plus étranges @@ -7181,7 +7181,7 @@ d'autres systèmes UNIX. </para> <para> -Dans FreeBSD 3.0 et plus, la longueur maximale des noms a été +Dans FreeBSD 3.0 et plus, la longueur maximale des noms a été augmentée à 16 caractères et tous ces divers utilitaires avec des tailles de noms codés en dur ont été trouvés et corrigés. Le fait que cela touche tant de @@ -7211,9 +7211,9 @@ Changer les fichiers appropriés dans /usr/src/... à la place. <para> Oui, à partir de la version 3.0, vous pouvez utiliser -<emphasis remap="tt">rundos</emphasis> l'émulateur DOS de BSDI, +<emphasis remap="tt">rundos</emphasis> l'émulateur DOS de BSDI, qui a été intégré et perfectionné. -Envoyez un courrier électronique à +Envoyez un courrier électronique à <ulink url="mailto:freebsd-emulation@freebsd.org"> la liste de discussion sur les émulations de FreeBSD</ulink> si cela vous interesse de vous joindre à cet effort en progression. @@ -7235,13 +7235,13 @@ le système X Windows (fourni comme XFree86).</para> <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/ports.cgi?^sup" >SUP</ulink> veut dire Software Update Protocol, et a été développé par CMU pour pouvoir synchroniser leurs arbres de développement. Nous l'utilisons -pour garder les sites distants en synchronisation avec nos sources +pour garder les sites distants en synchronisation avec nos sources centraux de développement </para> <para> SUP n'est pas très ami avec la bande passante et a été retiré. La méthode -actuelle recommandé pour pouvoir garder vos sources à jour est +actuelle recommandé pour pouvoir garder vos sources à jour est <ulink url="../handbook/synching.html" >Handbook entry on CVSup</ulink></para> </sect1> @@ -7306,17 +7306,17 @@ l'administration système. </para> <para> -Si le bruit vous parvient, un bon ``<emphasis remap="tt">fdisk /mbr</emphasis>'' +Si le bruit vous parvient, un bon ``<emphasis remap="tt">fdisk /mbr</emphasis>'' depuis le DOS vous en débarassera, mais ne soyez pas surpris s'il réagissent et qu'ils essayent de vous contrer. De plus, si jamais à un moment de l'opération, vous entendez la voix satanique de Bill Gates vous parvenant du haut-parleur interne, continuez, et ne regardez jamais en arrière ! Délivré de l'influence contre-balançante des démons BSD, les démons -jumeaux de DOS et Windows pourront alors prendre le contrôle totale de +jumeaux de DOS et Windows pourront alors prendre le contrôle totale de votre machine jusqu'à la damnation éternelle de votre âme. -S'il fallait choisir, je pense que je préfèrerais m'habituer au +S'il fallait choisir, je pense que je préfèrerais m'habituer au grésillement !</para> </sect1> @@ -7325,8 +7325,8 @@ grésillement !</para> <title>Que veut dire 'MFC' ?</title> <para> -MFC est un acronyme pour 'Merged From -CURRENT.' C'est utilisés dans -les logs CVS pour noter quand un changement a migré depuis un +MFC est un acronyme pour 'Merged From -CURRENT.' C'est utilisés dans +les logs CVS pour noter quand un changement a migré depuis un CURRENT vers une branche STABLE </para> </sect1> @@ -7337,13 +7337,13 @@ CURRENT vers une branche STABLE <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: n.nn ---> +--> <chapter id="hackers"> <title>Pour les passionnés. **Mise à jour en cours**</title> - + <sect1> <title>Que sont les SNAP et RELEASE</title> @@ -7367,7 +7367,7 @@ CVS</ulink> des sources de FreeBSD: autres, c'est juste une valeur symbolique constante pour désigner le répertoire de la version courante(ou version de développement), auquel nous nous référerons sous le nom de -current.</para> - + <para>Actuellement -current est la branche de développement de la version 3.0 résultant de la séparation de la branche 2.2-stable(RELENG_2_2) en Novembre 1996.</para> @@ -7375,11 +7375,11 @@ en Novembre 1996.</para> <para>La branche 2.1-stable, RELENG_2_1_0, s'étant séparée de -current en Septembre 1994.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment créer ma propre version</title> - <para>Pour créer votre propre version, vous devez effectuer trois + <para>Pour créer votre propre version, vous devez effectuer trois choses. Premièrement, vous devez avoir un noyau contenant le gestionnaire <ulink url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?vn">vn</ulink>. Ajoutez la @@ -7393,28 +7393,28 @@ ligne suivante au fichier de configuration du noyau, puis reconstruisez le.</par <para>Ensuite, vous devez disposer de l'arbre CVS au complet. Pour l'obtenir, vous pouvez utiliser <ulink url="../handbook/synching.html">CVSUP</ulink> et remplissez votre fichier -de configuration de cvsup de la façon suivante:</para> - +de configuration de cvsup de la façon suivante:</para> + <programlisting> -*default prefix=/home/ncvs -*default base=/a -*default host=cvsup.FreeBSD.org -*default release=cvs -*default delete compress use-rel-suffix - -## Main Source Tree -src-all -src-eBones -src-secure - -# Other stuff -ports-all -www -doc-all +*default prefix=/home/ncvs +*default base=/a +*default host=cvsup.FreeBSD.org +*default release=cvs +*default delete compress use-rel-suffix + +## Main Source Tree +src-all +src-eBones +src-secure + +# Other stuff +ports-all +www +doc-all </programlisting> <para>Ensuite lancez la commande <filename>cvsup -g -fichier_de_configuration_de_cvsup</filename> pour rapatrier tous les +fichier_de_configuration_de_cvsup</filename> pour rapatrier tous les sources sur votre machine</para> <para>Pour finir, vous devez disposez de beaucoup de place sur @@ -7426,16 +7426,16 @@ l'arbre CVS se trouve dans <filename>/home/ncvs</filename></para> <programlisting> setenv CVSROOT /home/ncvs # ou export CVSROOT=/hom/ncvs (pour du sh) cd /usr/src/release -make release +make release BUILDNAME=3.0-MY-SNAP CHROOTDIR=/tres/gros/systeme/de/fichiers </programlisting> <para>Une distribution complète sera alors crée dans le -répertoire <filename>/tres/gros/systeme/de/fichiers</filename> et vous +répertoire <filename>/tres/gros/systeme/de/fichiers</filename> et vous disposerez d'un programme d'installation ftp utilisant ce répertoire par défaut. Vous pouvez aussi décider de compiler autre chose que la version -current en donnant au paramètre <filename>RELEASETAG</filename> une autre -valeur. Par exemple pour compiler une version 2.2, il suffit de passer +valeur. Par exemple pour compiler une version 2.2, il suffit de passer la valeur <filename>RELEASETAG=RELENG_2_2</filename> à la ligne de commande de make.</para> @@ -7445,7 +7445,7 @@ commande de make.</para> <title>Comment créer une disquette d'installation personnalisée?</title> <para>Le processus de création, des disquettes d'installation -ainsi que des archives binaires, est automatisé par différentes cibles +ainsi que des archives binaires, est automatisé par différentes cibles dans le fichier <filename>/usr/src/release/Makefile</filename>. Ce fichier doit etre votre point de départ pour plus d'informations. Bien sur, cela veut dire que vous devrez faire un <quote>make world</quote> et @@ -7466,7 +7466,7 @@ lorsque vous éxecutez <quote>make world</quote> ou <quote>make install</quote>, les binaires seront installés dans la même arborescence que votre système sauf que la racine du nouveau système sera <filename>${DESTDIR}</filename>. Différentes -combinations dans la modification des librairies partagées et dans les +combinations dans la modification des librairies partagées et dans les programmes, peut entrainer une erreur du <quote>make world</quote>.</para> @@ -7475,41 +7475,41 @@ world</quote>.</para> <title>Lorsque le système démarre, il affiche <quote>(bus speed defaulted)</quote></title> <para>Les cartes SCSI Adaptec 1542 permettent d'accéder à la configuration de la vitesse du bus par logiciel. Les anciennes -versions du gestionnaire de périphérique 1542 essayaient de déterminer +versions du gestionnaire de périphérique 1542 essayaient de déterminer la vitesse maximale utiliable et de configurer la carte à cette valeur. Nous avons trouvé que cela pouvait casser certains systèmes, donc vous devez définir l'option -<filename>TUNE_1542</filename> dans le fichier de configuration -du noyau, pour que cela soit actif. En l'utilisant sur des systèmes ou -la carte le supporte, cela vous permettra d'avoir une meilleur vitesse +<filename>TUNE_1542</filename> dans le fichier de configuration +du noyau, pour que cela soit actif. En l'utilisant sur des systèmes ou +la carte le supporte, cela vous permettra d'avoir une meilleur vitesse pour vos disques, mais sur des système ne le supportant pas vous obtiendrez des données corrompues.</para> - + </sect1> - + <sect1> <title>Puis-je me tenir à jour par rapport à -current si j'ai un accès limité à l'Internet?</title> - <para>Oui, vous pouvez le faire sans télécharger l'arbre complet + <para>Oui, vous pouvez le faire sans télécharger l'arbre complet des sources en utilisant la fonctionnalitée <ulink url="../handbook/synching.html">CTM</ulink></para> </sect1> - + <sect1> <title>Comment faire pour couper la distribution en fichiers de 240Ko?</title> <para>Les systèmes BSD récents diposent d'une option -<quote><filename>-b</filename></quote> pour vous permettre de découper +<quote><filename>-b</filename></quote> pour vous permettre de découper les fichiers binaires en plusieurs parties</para> <para>Voici un exemple, tiré de <filename>/usr/src/Makefile</filename>.</para> <programlisting> -bin-tarball: - (cd ${DISTDIR}; \ - tar cf - . \ - gzip --no-name -9 -c | \ - split -b 240640 - \ - ${RELEASEDIR}/tarballs/bindist/bin_tgz.) +bin-tarball: + (cd ${DISTDIR}; \ + tar cf - . \ + gzip --no-name -9 -c | \ + split -b 240640 - \ + ${RELEASEDIR}/tarballs/bindist/bin_tgz.) </programlisting> </sect1> <sect1> @@ -7521,9 +7521,9 @@ url="../handbook/contrib.html">soumettre du code</ulink></para> <sect1> <title>Comment sont détectées les cartes plugs and play ISA?</title> - + <para>Contribution de <ulink url="mailto:uhclem@nemesis.lonestar.org">Frank Durda IV</ulink></para> - + <para>Il y a un certains nombres de ports d'entrées/sorties sur lesquels la plupart des cartes PnP répondent lorsqu'une machine interroge le bus ISA. Donc, lorsque la routine de détection PnP @@ -7533,7 +7533,7 @@ indiquant leur modèle et la routine de détection reçoit alors une valeur qui est soit <quote>oui</quote> soit rien. Au minimum un bit est mis à 1 lors de la réponse. Alors le code de détection peut essayer de dialoguer avec les cartes, graçe aux numéros de modèle de -cartes (définis par Microsoft/Intel), inférieurs à X pour leur dire de +cartes (définis par Microsoft/Intel), inférieurs à X pour leur dire de s'arréter. Il vérifie alors qu'aucune autre carte ne répond à la question précedente. Si la réponse est <emphasis>0</emphasis> alors il considère qu'aucune carte n'a d'ID au dessus de X. Ensuite il @@ -7541,7 +7541,7 @@ interroge le bus pour obtenir la liste des cartes sous <quote>X</quote>. S'il en trouve alors il interroge le bus pour avoir la liste des celles ayant un ID supérieur à X-(limit/4). Et répète ainsi de suite l'algorithme, qui consiste à diviser l'intervalle de -recherche par deux. Avec cet algorithme, les cartes seront découvertes +recherche par deux. Avec cet algorithme, les cartes seront découvertes avec un maximum d'itération de 2^64.</para> <para>Les Identifiants de cartes sont codés sur 32 bits + 8 bit @@ -7551,24 +7551,24 @@ cartes du meme constructeur ayant différents code de carte. L'idée de coder sur 32 bits le nom du constructeur serait un peu excessif.</para> - <para>Les 32 bits de poids faibles sont le numéro de série de la + <para>Les 32 bits de poids faibles sont le numéro de série de la carte; l'adresse ethernet , ou quelque chose rendant la carte unique par ce numéro. Le constructeur ne doit jamais produire une deuxième -carte ayant ce meme numéro tout en ayant le meme nombre représenté sur +carte ayant ce meme numéro tout en ayant le meme nombre représenté sur les 32 premiers bits. Vous pouvez dons avoir plusieurs cartes du meme type dans votre ordinateur , et l'ensemble des 64 bits permet de rendre chacune unique.</para> - + <para>Les groupes de 32 bits ne peuvent en aucun cas etre tous -à zéro. Cela permet d'effectuer le <quote>OU</quote> pour afficher les +à zéro. Cela permet d'effectuer le <quote>OU</quote> pour afficher les bits non nuls lors de la première recherche dicotomique.</para> - - <para>Lorsque le système à détecter toutes les cartes présentes, + + <para>Lorsque le système à détecter toutes les cartes présentes, ils les réactivent une à une, et recherche les ressources dont elles ont besoin, quels sont les choix possibles pour les interruptions, etc. Un <quote>scan</quote> de toutes les cartes est effectué pour collecter toutes ces informations.</para> - + <para>Cette information est combinée avec l'information recueillie des fichiers ECU se trouvant sur le disque dur ou dans le BIOS. Le support ECU et BIOS du plug-and-play pour le matériel est @@ -7604,7 +7604,7 @@ c'est une explication simple du processus de détection.</para> <para>Différentes personnes sont interressées sur un support multi-architecture pour FreeBSD, et certaines personnes sont en train de porter FreeBSD sur la plateforme ALPHA, en coopération avec -DEC. Pour plus d'informations sur les nouvelles architectures utilisez +DEC. Pour plus d'informations sur les nouvelles architectures utilisez la mailling liste <ulink url="mailto:<freebsd-platforms@FreeBSD.ORG>"><freebsd-platforms@FreeBSD.ORG></ulink> </para> @@ -7614,22 +7614,22 @@ url="mailto:<freebsd-platforms@FreeBSD.ORG>"><freebsd-platforms@FreeBSD <title>J'ai besoin d'un <quote>major number</quote> pour un gestionnaire de périphérique que je viens d'écrire</title> <para>Ceci dépend du fait que vous vouliez ou non rendre public ce gestionnaire. Si vous le désirez, envoyez nous une copie code source -du gestionnaire et les modifications nécessaires à apporter au fichier +du gestionnaire et les modifications nécessaires à apporter au fichier <filename>files.i386</filename>, un fichier de configuration et le code du fichier <ulink -url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?MAKEDEV">MAKEDEV</ulink>nécessaire +url="http://www.freebsd.org/cgi/man.cgi?MAKEDEV">MAKEDEV</ulink>nécessaire pour créer les fichiers spéciaux dont le gestionnaire à besoin. Si -vous ne désirez pas rendre plublic le code, ou si vous ne pouvez pas à +vous ne désirez pas rendre plublic le code, ou si vous ne pouvez pas à cause de certaines restrictions de votre license, alors utilisez le <quote>major number</quote> 32 (pour les gestionnaires de type -caractère) et le <quote>major number</quote> 8 (pour les gestionnaires +caractère) et le <quote>major number</quote> 8 (pour les gestionnaires de type blocs), qui sont réservés à ce type de chose. Dans les deux cas nous sommes interessés par votre gestionnaire, discutez à son propos sur la mailling liste <ulink url="mailto:<freebsd-hackers@FreeBSD.ORG>"><freebsd-hackers@FreeBSD.ORG></ulink>.</para> </sect1> - + </chapter> @@ -7637,9 +7637,9 @@ url="mailto:<freebsd-hackers@FreeBSD.ORG>"><freebsd-hackers@FreeBSD.ORG <!-- The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - + Original revision: 1.1 ---> +--> @@ -7652,8 +7652,8 @@ url="mailto:<freebsd-hackers@FreeBSD.ORG>"><freebsd-hackers@FreeBSD.ORG </programlisting> <para><emphasis remap="tt"> Si vous voyez un problème avec cette FAQ, ou que vous voulez rajouter -une entrée, mailez nous à <FAQ@FreeBSD.ORG> -Nous apprécions tout commentaire, et seul votre aide nous permettra +une entrée, mailez nous à <FAQ@FreeBSD.ORG> +Nous apprécions tout commentaire, et seul votre aide nous permettra d'améliorer cette FAQ !</emphasis> </para> <programlisting> @@ -7665,7 +7665,7 @@ d'améliorer cette FAQ !</emphasis> <!-- Faudrait trouver l'equivalent de descript/tag en docbook) --> <programlisting> - Version originale + Version originale </programlisting> <itemizedlist> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/Makefile index 318d4fb71d..8f097b5d05 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/Makefile @@ -6,7 +6,7 @@ # # $FreeBSD$ # Original revision: 1.6 -# +# MAINTAINER=doc@FreeBSD.ORG @@ -17,28 +17,28 @@ FORMATS?= html-split html INSTALL_COMPRESSED?= gz INSTALL_ONLY_COMPRESSED?= -# +# # SRCS lists the individual SGML files that make up the document. Changes # to any of these files will force a rebuild # # SGML content -SRCS= book.sgml -SRCS+= overview/chapter.sgml -SRCS+= psgml-mode/chapter.sgml -SRCS+= see-also/chapter.sgml -SRCS+= sgml-markup/chapter.sgml -SRCS+= sgml-primer/chapter.sgml -SRCS+= stylesheets/chapter.sgml -SRCS+= the-faq/chapter.sgml -SRCS+= the-handbook/chapter.sgml -SRCS+= the-website/chapter.sgml -SRCS+= tools/chapter.sgml +SRCS= book.sgml +SRCS+= overview/chapter.sgml +SRCS+= psgml-mode/chapter.sgml +SRCS+= see-also/chapter.sgml +SRCS+= sgml-markup/chapter.sgml +SRCS+= sgml-primer/chapter.sgml +SRCS+= stylesheets/chapter.sgml +SRCS+= the-faq/chapter.sgml +SRCS+= the-handbook/chapter.sgml +SRCS+= the-website/chapter.sgml +SRCS+= tools/chapter.sgml SRCS+= translations/chapter.sgml -SRCS+= writing-style/chapter.sgml +SRCS+= writing-style/chapter.sgml # Entities -SRCS+= chapters.ent +SRCS+= chapters.ent DOC_PREFIX?= ${.CURDIR}/../../.. diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/book.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/book.sgml index c6ab72db31..47277fcdeb 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/book.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/book.sgml @@ -48,7 +48,7 @@ <bookinfo> <title>Introduction au Projet de Documentation de FreeBSD pour les nouveaux participants</title> - + <author> <firstname>Nik</firstname> <surname>Clayton</surname> @@ -106,7 +106,7 @@ DOMMAGES.</para> </important> </legalnotice> - + <abstract> <para>Merci de votre participation au Projet de Documentation de FreeBSD. Votre contribution est très utile.</para> @@ -131,7 +131,7 @@ <sect1> <title>Invites de l'interpréteur de commandes</title> - + <para>La table ci-dessous donne les invites par défaut du système pour un utilisateur normal et pour le super-utilisateur. Elles sont utilisées dans les exemples pour indiquer quel utilisateur doit @@ -145,7 +145,7 @@ <entry>Invite</entry> </row> </thead> - + <tbody> <row> <entry>Utilisateur normal</entry> @@ -160,7 +160,7 @@ </tgroup> </informaltable> </sect1> - + <sect1> <title>Conventions Typographiques</title> @@ -175,14 +175,14 @@ <entry>Exemples</entry> </row> </thead> - + <tbody> <row> <entry>Noms de commandes, fichiers et répertoires. Affichage à l'écran de l'ordinateur.</entry> <entry><para>Modifiez votre fichier - <filename>.login</filename>.</para><para>Utilisez + <filename>.login</filename>.</para><para>Utilisez <command>ls -a</command> pour avoir la liste de tous les fichiers.</para><para><screen>Vous avez reçu du courrier.</screen></para></entry> </row> @@ -272,9 +272,9 @@ Password:</screen></entry> commentaires et critiques utiles.</para> </sect1> </preface> - + &chap.overview; - &chap.tools; + &chap.tools; &chap.sgml-primer; &chap.sgml-markup; &chap.stylesheets; diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/chapters.ent b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/chapters.ent index b8e31b0712..9b4bbf4986 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/chapters.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/chapters.ent @@ -1,12 +1,12 @@ <?xml version="1.0" encoding="ISO8859-1"?> -<!-- +<!-- Creates entities for each chapter in the Documentation Project Primer. - Each entity is named chap.foo, where foo is the value of the id - attribute on that chapter, and corresponds to the name of the + Each entity is named chap.foo, where foo is the value of the id + attribute on that chapter, and corresponds to the name of the directory in which that chapter's .sgml file is stored. - + Chapters should be listed in the order in which they are referenced. - + $Id: chapters.ent,v 1.1 2000-06-12 15:46:26 gioria Exp $ --> @@ -21,4 +21,4 @@ <!ENTITY chap.translations SYSTEM "translations/chapter.sgml"> <!ENTITY chap.writing-style SYSTEM "writing-style/chapter.sgml"> <!ENTITY chap.psgml-mode SYSTEM "psgml-mode/chapter.sgml"> -<!ENTITY chap.see-also SYSTEM "see-also/chapter.sgml"> +<!ENTITY chap.see-also SYSTEM "see-also/chapter.sgml"> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/overview/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/overview/chapter.sgml index 984ae164ea..0644165e80 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/overview/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/overview/chapter.sgml @@ -37,52 +37,52 @@ <chapter id="overview"> <title>Introduction</title> - + <para>Bienvenue au Projet de Documentation de FreeBSD. Une documentation de bonne qualité est un facteur important de succès pour FreeBSD, et le Projet de Documentation de FreeBSD - “<foreignphrase>The FreeBSD Documentation Project</foreignphrase>” - est la source d'une grande part de cette documentation. Votre participation est importante.</para> - + <para>L'objectif principal de ce document est d'expliquer clairement <emphasis>comment est organisé le FDP</emphasis>, <emphasis>comment écrire et soumettre de la documentation au FDP</emphasis> et <emphasis>comment utiliser les outils disponibles pour produire de la documentation</emphasis>.</para> - + <para>La participation de chacun au FDP est bienvenue. Il n'y a pas de cotisation minimum, pas de quota de documentation à produire par mois. Il vous suffit de vous inscrire sur la &a.doc;.</para> <para>Après avoir lu ce document, vous :</para> - + <itemizedlist> - <listitem> + <listitem> <para>Saurez quelles sont les documentations maintenues par le FDP.</para> </listitem> - + <listitem> <para>Serez capable de lire et comprendre le code SGML source des documentations maintenues par le FDP.</para> </listitem> - - <listitem> + + <listitem> <para>Serez capable de modifier la documentation.</para> </listitem> - + <listitem> <para>Saurez comment soumettre vos modifications pour qu'elles soient revues et incorporées à la documentation de FreeBSD.</para> - </listitem> + </listitem> </itemizedlist> <sect1> <title>Le jeu de documentations de FreeBSD</title> <para>Le FDP a la responsabilité de quatre catégories de documents.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term>Les pages de manuel</term> @@ -101,7 +101,7 @@ <varlistentry> <term>FAQ</term> - + <listitem> <para>L'objectif de la FAQ est de répondre (sous forme de courtes questions/réponses) aux questions qui sont posées, ou devraient @@ -120,10 +120,10 @@ de référence pour les utilisateurs de FreeBSD.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term>Le site Web</term> - + <listitem> <para>C'est le point de présence central de FreeBSD sur le <foreignphrase>World Wide Web</foreignphrase>, dont le site @@ -134,7 +134,7 @@ </listitem> </varlistentry> </variablelist> - + <para>Ces quatres catégories de documentation sont disponibles dans les archives CVS de FreeBSD. Ce qui signifie que les modifications et les notifications sont accessibles à tous, et que chacun peut utiliser un @@ -142,21 +142,21 @@ <application>CTM</application> pour maintenir à jour son propre exemplaire local.</para> - + <para>En plus de ces documents, de nombreuses personnes ont écrit des guides ou réalisé des sites Web se rapportant à FreeBSD. Certains sont aussi archivés dans l'arborescence CVS (quand l'auteur a donné son accord). Dans d'autre cas, l'auteur a choisi de conserver ses documentations en dehors des archives FreeBSD. Le FDP essaie de donner le maximum de liens possible sur ces documents.</para> - </sect1> - - <sect1> - <title>Avant de commencer</title> - - <para>Ce document fait l'hypothèse que vous savez déjà :</para> - <itemizedlist> - <listitem> + </sect1> + + <sect1> + <title>Avant de commencer</title> + + <para>Ce document fait l'hypothèse que vous savez déjà :</para> + <itemizedlist> + <listitem> <para>Vous procurer et tenir à jour une copie locale de la documentation. Soit en maintenant une copie locale des archives CVS de FreeBSD (avec <application>CVS</application>, @@ -165,12 +165,12 @@ télécharger que la version extraite - <emphasis>courante</emphasis>.</para> </listitem> - - <listitem> + + <listitem> <para>Comment télécharger et installer de nouveaux logiciels en vous - servant soit du catalogue des logiciels de FreeBSD soit de + servant soit du catalogue des logiciels de FreeBSD soit de &man.pkg.add.1;.</para> - </listitem> - </itemizedlist> - </sect1> + </listitem> + </itemizedlist> + </sect1> </chapter> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/psgml-mode/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/psgml-mode/chapter.sgml index 86faef1ac1..a469e56b2a 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/psgml-mode/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/psgml-mode/chapter.sgml @@ -34,7 +34,7 @@ <chapter id="psgml-mode"> <title> Utiliser <literal>sgml-mode</literal> avec <application>Emacs</application></title> - + <para>Les versions récentes d'Emacs ou Xemacs (disponibles au catalogue des logiciels portés) incluent un paquetage très utile appelé PSGML. Il est automatiquement appelé au chargement d'un fichier avec l'extension @@ -49,7 +49,7 @@ <variablelist> <varlistentry> <term><command>C-c C-e</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-insert-element</literal>. On vous demandera le nom de l'élement à insérer là ou se trouve le @@ -62,10 +62,10 @@ dans cet élément, ils seront aussi inclus.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><command>C-c =</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-change-element-name</literal>. Mettez-vous dans un élément et utilisez cette commande. On vous demandera le nom @@ -73,10 +73,10 @@ et de fin de l'élément seront remplacées.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><command>C-c C-r</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-tag-region</literal>. Sélectionnez du texte (placez-vous au début, <command>C-espace</command>, allez à @@ -88,7 +88,7 @@ <varlistentry> <term><command>C-c -</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-untag-element</literal>. Mettez-vous sur la marque de début ou de fin de l'élément que vous voulez supprimer @@ -96,10 +96,10 @@ l'élément seront supprimées.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><command>C-c C-q</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-fill-element</literal>. “Remplira” (i.e., reformatera) le contenu de l'élément @@ -109,10 +109,10 @@ précaution.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><command>C-c C-a</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-edit-attributes</literal>. Ouvre un deuxième tampon donnant la liste des attributs de l'élément @@ -123,10 +123,10 @@ document principal.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><command>C-c C-v</command></term> - + <listitem> <para>Exécute <literal>sgml-validate</literal>. Vous propose de sauvegarder le document en cours (si besoin est) et passe ensuite un @@ -136,7 +136,7 @@ </listitem> </varlistentry> </variablelist> - - <para>Il y a sans aucun doute d'autres fonctions utiles, mais j'ai décrit + + <para>Il y a sans aucun doute d'autres fonctions utiles, mais j'ai décrit celles que j'utilise le plus souvent.</para> </chapter> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/see-also/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/see-also/chapter.sgml index a91ba9354d..c1079906d1 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/see-also/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/see-also/chapter.sgml @@ -63,7 +63,7 @@ <para><ulink url="http://www.oasis-open.org/cover/">La page Web SGML/XML</ulink>, un ressource SGML exhaustive,</para> </listitem> - + <listitem> <para><ulink url='http://etext.virginia.edu/bin/tei-tocs?div=DIV1&id=SG">http://etext.virginia.edu/bin/tei-tocs?div=DIV1&id=SG'>L'Introduction en @@ -77,7 +77,7 @@ <itemizedlist> <listitem> - <para><ulink url="http://www.w3.org/">Le consortium World Wide + <para><ulink url="http://www.w3.org/">Le consortium World Wide Web</ulink>,</para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-markup/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-markup/chapter.sgml index c13282a5cd..bf3b9f5aa1 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-markup/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-markup/chapter.sgml @@ -44,7 +44,7 @@ savoir lequel employer dans un contexte particulier. Cette section décrit ceux dont vous aurez probablement besoin et donne des exemples de la manière de s'en servir.</para> - + <para>Ce n'est <emphasis>pas</emphasis> une liste exhaustive d'éléments, cela ne ferait que reprendre le contenu de la documentation de chacun de ces langages. L'objectif de cette section est de lister les éléments qui @@ -55,17 +55,17 @@ <note> <title>En ligne vs. de bloc</title> - + <para>Dans la suite de ce document, quand on décrira des éléments, <emphasis>en ligne</emphasis> signifie que l'élément peut apparaître à l'intérieur d'un bloc et ne génère pas de passage à la ligne. A l'inverse un élément de bloc provoque un passage à la ligne (et d'autres opérations) lorsqu'on le rencontre.</para> </note> - + <sect1> <title>HTML</title> - + <para>HTML, l'<foreignphrase>HyperText Markup Language</foreignphrase> - Langage de Marquage de l'Hypertexte - est le langage de prédilection du @@ -83,7 +83,7 @@ deux variantes de la dernière version, 4.0 (disponible à la fois en version <emphasis>stricte</emphasis> et <emphasis>relâchée</emphasis>).</para> - + <para>Les DTDs HTML existent au catalogue des logiciels portés dans <filename>textproc/html</filename>. Elles sont automatiquement installées par le méta-port @@ -108,7 +108,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <title>Sections</title> <para>Un document HTML est habituellement composé de deux sections. La - première section, appelée + première section, appelée <emphasis>head</emphasis> - en-tête, contient des informations sur le document, comme son titre, le nom de son auteur, le document dans lequel il est inclus, et ainsi de suite. La seconde @@ -137,7 +137,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> </html></programlisting> </example> </sect2> - + <sect2> <title>Eléments de blocs</title> @@ -173,9 +173,9 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <h2>C'est le titre de la seconde section</h2> -<!-- Contenu de la seconde section -->]]></programlisting> +<!-- Contenu de la seconde section -->]]></programlisting> </example> - + <para>Une page HTML doit normalement avoir un titre de premier niveau (<sgmltag>h1</sgmltag>). Il peut contenir plusieurs titres de second niveau (<sgmltag>h2</sgmltag>), et à leur tour, de nombreux titres @@ -200,7 +200,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <!-- Ce n'est pas bon, <h2> a été oublié -->]]></programlisting> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Paragraphes</title> @@ -245,7 +245,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <sect3> <title>Listes</title> - <para>Il y a trois types de listes que vous pouvez afficher : + <para>Il y a trois types de listes que vous pouvez afficher : ordonnée, non ordonnée et de définition.</para> <para>Typiquement, chaque entrée d'une liste ordonnée sera numérotée, @@ -256,7 +256,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Les listes ordonnées sont dénotées par l'élément <sgmltag>ol</sgmltag>, les listes non ordonnées par l'élément - <sgmltag>ul</sgmltag> et les listes de définition par l'élément + <sgmltag>ul</sgmltag> et les listes de définition par l'élément <sgmltag>dl</sgmltag> element.</para> <para>Les listes ordonnées et non ordonnées contiennent des éléments @@ -267,7 +267,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Les listes de définition contiennent des termes à définir (<sgmltag>dt</sgmltag>) et leurs définitions (<sgmltag>dd</sgmltag>). Le terme à définir n'est composé que de - texte. La définition peut comporter d'autres éléments de + texte. La définition peut comporter d'autres éléments de blocs.</para> <example> @@ -352,7 +352,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> Une nouvelle version de mon introduction pour les nouveaux participants au Projet de Documentation de FreeBSD est - disponible à l'adresse suivante : + disponible à l'adresse suivante : <URL:http://www.freebsd.org/~nik/primer/index.html> @@ -473,7 +473,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <!-- Comme la grande cellule se prolonge sur cette colonne, la première cellule marquée par <td> se trouvera à sa droite --> - + <td>Cellule du milieu à droite</td> </tr> @@ -635,7 +635,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Ces liens amèneront l'utilisateur au début du document sélectionné.</para> </sect3> - + <sect3> <title>Liens sur d'autres parties des documents</title> @@ -680,7 +680,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <example> <title>Lien sur une partie nommée du même document</title> - <para>Supposons que l'exemple <literal>para1</literal> fasse partie + <para>Supposons que l'exemple <literal>para1</literal> fasse partie de ce document.</para> <programlisting> @@ -691,7 +691,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> </sect3> </sect2> </sect1> - + <sect1> <title>DocBook</title> @@ -711,12 +711,12 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> de l'élément comporte une titre. La version informelle n'en a pas.</para> </note> - + <para>La DTD DocBook est disponible au catalogue des logiciels portés avec le “méta-logiciel porté” <filename>textproc/docbook</filename>. Elle est automatiquement installée par ce dernier.</para> - + <sect2> <title>Extensions FreeBSD</title> @@ -729,7 +729,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Le terme “DocBook” désigne dans ce qui suit la DTD DocBook avec les extensions FreeBSD.</para> - + <note> <para>Il n'y a rien dans ces extensions qui soit propre à FreeBSD, on a juste pensé que ce seraient des ajouts utiles pour ce projet @@ -793,7 +793,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Les <ulink url="&url.tutorials;">guides FreeBSD</ulink> sont tous des articles, tandis que ce document, la - <ulink url="&url.faq;">FAQ FreeBSD</ulink>, et le + <ulink url="&url.faq;">FAQ FreeBSD</ulink>, et le <ulink url="&url.handbook;">Manuel de Référence FreeBSD</ulink> sont des livres.</para> @@ -819,7 +819,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <programlisting><book> <bookinfo> <title><replaceable>Mettez le titre ici</replaceable></title> - + <author> <firstname><replaceable>Votre prénom</replaceable></firstname> <surname><replaceable>Votre nom de famille</replaceable></surname> @@ -873,7 +873,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <programlisting><article> <artheader> <title><replaceable>Mettez le titre ici</replaceable></title> - + <author> <firstname><replaceable>Votre prénom</replaceable></firstname> <surname><replaceable>Votre nom de famille</replaceable></surname> @@ -901,7 +901,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> … </article></programlisting> - </example> + </example> </sect3> <sect3> <title>Séparer les chapitres</title> @@ -931,7 +931,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <title>C'est un chapitre vide</title> <para></para> -</chapter>]]></programlisting> +</chapter>]]></programlisting> </example> </sect3> @@ -943,7 +943,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> suite. Dans les articles, les sections sont les principaux éléments d'organisation et chaque article doit contenir au moins une section. Utilisez l'élément - <sgmltag>sect<replaceable>n</replaceable></sgmltag>. Le + <sgmltag>sect<replaceable>n</replaceable></sgmltag>. Le <replaceable>n</replaceable> est le type de section, qui indique son niveau de profondeur.</para> @@ -988,7 +988,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> </sect1> </chapter>]]></programlisting> </example> - + <note> <para>Cet exemple donne les numéros des sections dans leurs titres. Vous ne devez pas le faire. Les feuilles de style s'en chargent @@ -996,7 +996,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> en préoccupez.</para> </note> </sect3> - + <sect3> <title>Subdivision en <sgmltag>part</sgmltag>s</title> @@ -1028,60 +1028,60 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> </part>]]></programlisting> </sect3> </sect2> - + <sect2> <title>Eléments de blocs</title> - + <sect3> <title>Paragraphes</title> - + <para>DocBook connaît trois types de paragraphes : <sgmltag>formalpara</sgmltag>, <sgmltag>para</sgmltag> et <sgmltag>simpara</sgmltag>.</para> - + <para>La plupart du temps, des <sgmltag>para</sgmltag>s vous suffiront. Les <sgmltag>formalpara</sgmltag>s ont un <sgmltag>title</sgmltag>, et avec les <sgmltag>simpara</sgmltag>s, certains éléments sont interdits à l'intérieur du paragraphe. Tenez-vous en aux <sgmltag>para</sgmltag>s.</para> - + <example> <title><sgmltag>para</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>C'est un paragraphe. Il peut contenir presque n'importe quel autre élément.</para> ]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>C'est un paragraphe. Il peut contenir presque n'importe quel autre élément.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Citations en bloc</title> - + <para>Une citation en bloc est un long extrait d'un autre document qui ne doit pas faire partie du paragraphe courant. Vous n'en aurez probablement pas besoin souvent.</para> - + <para>Les citations en blocs peuvent facultativement avoir un titre et une attribution (ou n'avoir ni titre ni attribution).</para> <example> <title><sgmltag>blockquote</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>Un court extrait de la constitution des Etats-Unis :</para> - + <blockquote> <title>Préambule à la Constitution des Etats-Unis</title> <attribution>Copié d'un site Web quelque part</attribution> - + <para>Nous le Peuple des Etats-Unis, dans le but de former une Union plus parfaite, d'établir la Justice, de garantir la Tranquilité domestique, assurer la défense collective, @@ -1092,7 +1092,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> </blockquote>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>Un court extrait de la constitution des Etats-Unis :</para> @@ -1100,26 +1100,26 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <title>Préambule à la Constitution des Etats-Unis</title> <attribution>Copié d'un site Web quelque part</attribution> - + <para>Nous le Peuple des Etats-Unis, dans le but de former une Union plus parfaite, d'établir la Justice, de garantir la Tranquilité domestique, assurer la défense collective, promouvoir notre Bien-être général, et conserver à nous-mêmes et à notre Postérité les bienfaits de la Liberté, proclamons et établissons cette Constitution des Etats-Unis d'Amérique.</para> - </blockquote> + </blockquote> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Indications, notes, avertissements, mises en garde, informations importantes et barres verticales.</title> - - <para>Vous devrez peut-être ajouter des informations distinctes du - texte lui-même. Ce sont habituellement des + + <para>Vous devrez peut-être ajouter des informations distinctes du + texte lui-même. Ce sont habituellement des “méta-informations” que l'utilisateur doit connaître.</para> - + <para>Selon la nature de l'information, vous utiliserez l'un des élements <sgmltag>tip</sgmltag>, <sgmltag>note</sgmltag>, <sgmltag>warning</sgmltag>, <sgmltag>caution</sgmltag> ou @@ -1130,56 +1130,56 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Les cas où il faut choisir l'un ou l'autre de ces éléments ne sont pas clairement explicités. Voici ce que suggère la documentation DocBook :</para> - + <itemizedlist> <listitem> <para>Une Note est une information destinée à tous les lecteurs.</para> </listitem> - + <listitem> <para>Un élément Important est une variante de la Note.</para> </listitem> - + <listitem> <para>Une <foreignphrase>Caution</foreignphrase> est une information relative à la perte de données ou dégats logiciels éventuels.</para> </listitem> - + <listitem> <para>Un <foreignphrase>Warning</foreignphrase> est une information relative aux dégats matériels ou risques corporels.</para> </listitem> </itemizedlist> - + <example> <title><sgmltag>warning</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<warning> <para>Installer FreeBSD peut vous donner envie de supprimer Windows de votre disque dur.</para> </warning>]]></programlisting> </example> - + <!-- Need to do this outside of the example --> <warning> <para>Installer FreeBSD peut vous donner envie de supprimer Windows de votre disque dur.</para> - </warning> + </warning> </sect3> - + <sect3> <title>Listes and procédures</title> - + <para>Vous aurez souvent besoin de lister des informations ou d'indiquer à l'utilisateur les différentes étapes nécessaires pour effectuer une tâche donnée.</para> - + <para>Pour cela, servez-vous de <sgmltag>itemizedlist</sgmltag>, <sgmltag>orderedlist</sgmltag> ou <sgmltag>procedure</sgmltag><footnote><para>Il y a d'autres types de @@ -1187,7 +1187,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> moment.</para> </footnote> </para> - + <para><sgmltag>itemizedlist</sgmltag> et <sgmltag>orderedlist</sgmltag> sont semblables à leurs contreparties <sgmltag>ul</sgmltag> et <sgmltag>ol</sgmltag> en HTML. Chacune @@ -1196,7 +1196,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> de blocs. Les élements <sgmltag>listitem</sgmltag> sont analogues aux marques <sgmltag>li</sgmltag> du HTML. Néanmoins, au contraire du HTML, ils sont ici obligatoires.</para> - + <para>Une <sgmltag>procedure</sgmltag> est légérement différente. Elle consiste en <sgmltag>step</sgmltag>s, qui à leur tour sont composés de <sgmltag>step</sgmltag>s ou <sgmltag>substep</sgmltag>s. Chaque @@ -1206,9 +1206,9 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <title><sgmltag>itemizedlist</sgmltag>, <sgmltag>orderedlist</sgmltag> et <sgmltag>procedure</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<itemizedlist> <listitem> <para>C'est le premier élément de la liste.</para> @@ -1243,9 +1243,9 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <para>Et maintenant cela.</para> </step> </procedure>]]></programlisting> - + <para>Apparence :</para> - + <itemizedlist> <listitem> <para>C'est le premier élément de la liste.</para> @@ -1281,16 +1281,16 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> <step> <para>Et maintenant cela.</para> </step> - </procedure> + </procedure> </sect3> - + <sect3> <title>Extraits de fichiers</title> - + <para>Si vous voulez incorporer un extrait de fichier (ou éventuellement une fichier entier), mettez-le dans un élément <sgmltag>programlisting</sgmltag>.</para> - + <para>Les blancs et sauts de ligne à l'intérieur de <sgmltag>programlisting</sgmltag> <emphasis>sont</emphasis> significatifs. Cela signifie en particulier que la marque de début @@ -1298,12 +1298,12 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN"</programlisting> la marque de fin doit être sur la même ligne que la dernière ligne du listing, sans quoi il y aurait des lignes blanches en trop.</para> - + <example> <title><sgmltag>programlisting</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA[<para>Quand vous aurez fini, votre programme ressemblera à cela :</para> @@ -1318,21 +1318,21 @@ main(void) <para>Notez qu'il faut utiliser les entités correspondantes et non les signes “supérieur” et “inférieur” à la ligne <literal>#include</literal>.</para> - + <para>Apparence :</para> - + <para>Quand vous aurez fini votre programme, ressemblera à cela :</para> - + <programlisting>#include <stdio.h> int main(void) { printf("bonjour, le monde\n"); -}</programlisting> +}</programlisting> </example> - + <note> <para>DocBook dispose d'un mécanisme pour faire référence à des sections d'un <sgmltag>programlisting</sgmltag> inclus auparavant, @@ -1345,10 +1345,10 @@ main(void) “rappels”.</para> </note> </sect3> - + <sect3> <title>Tables</title> - + <para>Au contraire d'HTML, vous n'avez pas besoin d'utiliser les tables pour des questions de présentation, puisque les feuilles de style s'en chargent. Les tables servent uniquement pour les données @@ -1369,12 +1369,12 @@ main(void) qui contiennent à leur tour des éléments <sgmltag>entry</sgmltag>. Chaque élément <sgmltag>entry</sgmltag> correspond à une cellule du tableau.</para> - + <example> <title><sgmltag>informaltable</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<informaltable> <tgroup cols="2"> <thead> @@ -1397,9 +1397,9 @@ main(void) </tbody> </tgroup> </informaltable>]]></programlisting> - + <para>Apparence :</para> - + <informaltable> <tgroup cols="2"> <thead> @@ -1408,13 +1408,13 @@ main(void) <entry>C'est le titre de la colonne 2</entry> </row> </thead> - + <tbody> <row> <entry>Ligne 1, colonne 1</entry> <entry>Ligne 1, colonne 2</entry> </row> - + <row> <entry>Ligne 2, colonne 1</entry> <entry>Ligne 2, colonne 2</entry> @@ -1423,7 +1423,7 @@ main(void) </tgroup> </informaltable> </example> - + <para>Si vous ne voulez pas de bordures autour du tableau, vous pouvez ajouter à l'élément <sgmltag>informaltable</sgmltag> l'attribut <literal>frame</literal> avec la valeur <literal>none</literal> @@ -1432,9 +1432,9 @@ main(void) <example> <title>Tableaux avec <literal>frame="none"</literal></title> - + <para>Apparence :</para> - + <informaltable frame="none"> <tgroup cols="2"> <thead> @@ -1443,13 +1443,13 @@ main(void) <entry>C'est le titre de la colonne 2</entry> </row> </thead> - + <tbody> <row> <entry>Ligne 1, colonne 1</entry> <entry>Ligne 1, colonne 2</entry> </row> - + <row> <entry>Ligne 2, colonne 1</entry> <entry>Ligne 2, colonne 2</entry> @@ -1459,39 +1459,39 @@ main(void) </informaltable> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Exemples que l'utilisateur doit suivre</title> - + <para>Vous aurez souvent à donner des exemples que l'utilisateur puisse suivre. Ce seront habituellement des dialogues avec la machine : l'utilisateur tape une commande, il reçoit une réponse, il tape une autre commande, et ainsi de suite.</para> - + <para>Il y a là un certain nombre d'entités et d'éléments qui entrent en jeu.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term><sgmltag>screen</sgmltag></term> - + <listitem> <para>Tout ce que l'utilisateur voit dans cet exemple est affiché sur l'écran de l'ordinateur, l'élément suivant est donc <sgmltag>screen</sgmltag>.</para> - + <para>A l'intérieur de <sgmltag>screen</sgmltag>, les blancs sont significatifs.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><sgmltag>prompt</sgmltag>, <literal>&prompt.root;</literal> et <literal>&prompt.user;</literal></term> - + <listitem> - <para>Parmi ce que l'utilisateur verra à l'écran, il y a les + <para>Parmi ce que l'utilisateur verra à l'écran, il y a les invites (du système, de l'interpréteur de commandes ou des applications). Ils doivent être marqués avec <sgmltag>prompt</sgmltag>.</para> @@ -1514,10 +1514,10 @@ main(void) </note> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><sgmltag>userinput</sgmltag></term> - + <listitem> <para>Quant il s'agit de texte que l'utilisateur doit taper, mettez-le dans un élément <sgmltag>userinput</sgmltag>. Il @@ -1525,13 +1525,13 @@ main(void) </listitem> </varlistentry> </variablelist> - + <example> <title><sgmltag>screen</sgmltag>, <sgmltag>prompt</sgmltag> et <sgmltag>userinput</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<screen>&prompt.user; <userinput>ls -1</userinput> foo1 foo2 @@ -1542,9 +1542,9 @@ foo2 <prompt>Password: </prompt> &prompt.root; <userinput>cat foo2</userinput> C'est le fichier 'foo2'</screen>]]></programlisting> - + <para>Apparence:</para> - + <screen>&prompt.user; <userinput>ls -1</userinput> foo1 foo2 @@ -1556,48 +1556,48 @@ foo2 &prompt.root; <userinput>cat foo2</userinput> C'est le fichier 'foo2'</screen> </example> - + <note> <para>Bien que nous montrions le contenu du fichier <filename>foo2</filename>, nous n'utilisons <emphasis>pas</emphasis> la marque - <sgmltag>programlisting</sgmltag>. Réservez + <sgmltag>programlisting</sgmltag>. Réservez <sgmltag>programlisting</sgmltag> pour les extraits de fichiers hors du dialogue homme/machine.</para> </note> </sect3> </sect2> - + <sect2> <title>Eléments en ligne</title> - + <sect3> <title>Mettre de l'information en valeur</title> - + <para>Si vous voulez mettre en valeur un mot ou une phrase, servez-vous de <sgmltag>emphasis</sgmltag>. La présentation en sera peut-être en italiques, ou gras, ou bien ce sera prononcé différement par un logiciel de synthèse vocale.</para> - + <para>Il n'y a aucun moyen de changer la présentation du texte mis en valeur dans votre document, pas d'équivalent des - <sgmltag>b</sgmltag> et <sgmltag>i</sgmltag>. Si l'information que + <sgmltag>b</sgmltag> et <sgmltag>i</sgmltag>. Si l'information que vous donnez est importante, envisagez d'utiliser <sgmltag>important</sgmltag> plutôt que <sgmltag>emphasis</sgmltag>.</para> - + <example> <title><sgmltag>emphasis</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>FreeBSD est sans aucun doute <emphasis>le</emphasis> premier système d'exploitation de type Unix pour architecture Intel.</para>]]></programlisting> - + <para>Apparence :</para> - + <para>FreeBSD est sans aucun doute <emphasis>le</emphasis> premier système d'exploitation de type Unix pour architecture @@ -1607,7 +1607,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <sect3> <title>Applications, commandes, options et références</title> - + <para>Il vous arrivera souvent de désigner des applications ou des commandes quand vous rédigerez quelque chose pour le Manuel de Référence. Distinguer les unes des autres est simple : une @@ -1617,20 +1617,20 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <para>Vous aurez aussi de temps à autre à lister une ou plusieurs des options d'une commande.</para> - + <para>Pour finir, il arrivera souvent que vous vouliez indiquer en même temps que la commande, son numéro de section dans les pages de manuel, au format “commande(numéro)” habituel dans les documentations Unix.</para> - + <para>Désignez les noms d'applications avec <sgmltag>application</sgmltag>.</para> - + <para>Si vous voulez lister une commande avec son numéro de section dans le manuel (ce qui sera la plupart du temps le cas), l'élément DocBook pour cela est <sgmltag>citerefentry</sgmltag>. Il contiendra deux autres éléments, <sgmltag>refentrytitle</sgmltag> et - <sgmltag>manvolnum</sgmltag>. Le contenu de + <sgmltag>manvolnum</sgmltag>. Le contenu de <sgmltag>refentrytitle</sgmltag> est le nom de la commande, et celui de <sgmltag>manvolnum</sgmltag> est son numéro de section dans le manuel.</para> @@ -1639,11 +1639,11 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> d'<link linkend="sgml-primer-general-entities">entités générales</link> pour faciliter ces références. Chacune de ces entités est de la - forme + forme <literal>&man.<replaceable>page-de-manuel</replaceable>.<replaceable>section-du-manuel</replaceable>;</literal>.</para> <para>Ces entités sont dans le fichier - <filename>doc/share/sgml/man-refs.ent</filename>, qui peut-être + <filename>doc/share/sgml/man-refs.ent</filename>, qui peut-être référencé par le FPI :</para> <programlisting>PUBLIC "-//FreeBSD//ENTITIES DocBook Manual Page Entities//EN"</programlisting> @@ -1654,7 +1654,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <programlisting><!DOCTYPE book PUBLIC "-//FreeBSD//DTD DocBook V3.1-Based Extension//EN" [ -<!ENTITY % man PUBLIC +<!ENTITY % man PUBLIC "-//FreeBSD//ENTITIES DocBook Manual Page Entities//EN"> %man; @@ -1675,13 +1675,13 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <example> <title>Applications, commandes et options.</title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para><application>Sendmail</application> est le logiciel de - courrier électronique le plus employé sous Unix.</para> + courrier électronique le plus employé sous Unix.</para> -<para><application>Sendmail</application> comporte les +<para><application>Sendmail</application> comporte les programmes <citerefentry> <refentrytitle>sendmail</refentrytitle> <manvolnum>8</manvolnum> @@ -1695,16 +1695,16 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <command>sendmail -bp</command>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para><application>Sendmail</application> est le logiciel de - courrier électronique le plus employé sous Unix.</para> - + courrier électronique le plus employé sous Unix.</para> + <para><application>Sendmail</application> comporte les programmes <citerefentry><refentrytitle>sendmail</refentrytitle> <manvolnum>8</manvolnum></citerefentry> et <citerefentry><refentrytitle>newaliases</refentrytitle> <manvolnum>8</manvolnum></citerefentry>.</para> - + <para>L'un des paramètres de la ligne de commande de <citerefentry><refentrytitle>sendmail</refentrytitle> <manvolnum>8</manvolnum></citerefentry>, <option>-bp</option>, @@ -1717,19 +1717,19 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <literal>&man.<replaceable>commande</replaceable>.<replaceable>section</replaceable>;</literal>.</para> </note> </sect3> - + <sect3> <title>Fichiers, répertoires, extensions</title> - + <para>Chaque fois que vous voulez donner le nom d'un fichier, d'un répertoire ou de l'extension d'un fichier, servez-vous de <sgmltag>filename</sgmltag>.</para> - + <example> <title><sgmltag>filename</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>Vous trouverez le source SGML du Manuel de Référence en Anglais dans <filename>/usr/doc/en/handbook/</filename>. Le @@ -1740,7 +1740,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <filename>.ent</filename>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>Vous trouverez le source SGML du Manuel de Référence en Anglais dans <filename>/usr/doc/en/handbook/</filename>. Le fichier principal, dans ce répertoire, s'appelle @@ -1749,33 +1749,33 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> avec l'extension <filename>.ent</filename>.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Fichiers spéciaux de périphériques</title> - + <note> <title>extension FreeBSD</title> - + <para>Ces éléments font partie des extensions FreeBSD à DocBook et n'existent pas dans la DTD DocBook d'origine.</para> </note> - + <para>Pour faire référence à des fichiers spéciaux de périphériques, vous avez deux solutions. Soit utiliser le nom du fichier spécial dans <filename>/dev</filename>, soit le nom sous lequel il est désigné dans le noyau. Dans ce dernier cas, servez-vous de <sgmltag>devicename</sgmltag>.</para> - + <para>Il y a des cas où vous n'aurez pas le choix. Pour certains périphériques, les cartes réseaux par exemple, il n'y a pas d'entrées dans <filename>/dev</filename>, ou bien celles-ci sont très différentes des noms utilisés dans le noyau.</para> - + <example> <title><sgmltag>devicename</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para><devicename>sio</devicename> sert sous FreeBSD aux communications séries. <devicename>sio</devicename> correspond @@ -1793,7 +1793,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <filename>/dev/fd0</filename>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para><devicename>sio</devicename> sert sous FreeBSD aux communications séries. <devicename>sio</devicename> correspond à un certain nombre d'entrées dans <filename>/dev</filename>, dont @@ -1809,52 +1809,52 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <filename>/dev/fd0</filename>.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Machines, domaines, adresses IP, et ainsi de suite</title> - + <note> <title>extension FreeBSD</title> - + <para>Ces éléments font partie des extensions FreeBSD à DocBook et n'existent pas dans la DTD DocBook d'origine.</para> </note> - + <para>Il y a différentes façons de dénoter les informations d'identification des machines en réseau, selon le type d'information. Elles utilisent toutes <sgmltag>hostid</sgmltag> comme élément, l'attribut <literal>role</literal> servant à qualifier le type d'information.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term>Pas de valeur de l'attribut, ou <literal>role="hostname"</literal></term> - + <listitem> <para>Sans valeur de l'attribut (i.e., <sgmltag>hostid</sgmltag>...<sgmltag>hostid</sgmltag>), - l'information donnée est le seul nom de la machine, + l'information donnée est le seul nom de la machine, <literal>freefall</literal> ou <literal>wcarchive</literal>, par exemple. Vous pouvez l'expliciter avec <literal>role="hostname"</literal>.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><literal>role="domainname"</literal></term> - + <listitem> <para>C'est ici un nom de domaine, comme <literal>FreeBSD.org</literal> ou - <literal>ngo.org.uk</literal>. Il n'y a pas de nom de + <literal>ngo.org.uk</literal>. Il n'y a pas de nom de machine.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><literal>role="fqdn"</literal></term> - + <listitem> <para>C'est le nom complet de la machine - <foreignphrase>Fully Qualified Domain @@ -1865,16 +1865,16 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <varlistentry> <term><literal>role="ipaddr"</literal></term> - + <listitem> <para>On donne alors l'adresse IP, probablement sous forme de quatre nombres séparés par des points.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><literal>role="netmask"</literal></term> - + <listitem> <para>C'est un masque de sous-réseau, qui peut être donné comme quatre nombres séparés par des points, un chaîne en @@ -1882,10 +1882,10 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> nombre.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><literal>role="mac"</literal></term> - + <listitem> <para>C'est une adresse Ethernet MAC, exprimée par un séries de valeurs hexadécimales sur deux positions séparées par des @@ -1893,12 +1893,12 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> </listitem> </varlistentry> </variablelist> - + <example> <title><sgmltag>hostid</sgmltag> et <literal>role</literal>s</title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>La machine locale peut toujours être désignée par <hostid>localhost</hostid>, et aura l'adresse IP @@ -1911,7 +1911,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <hostid role="fqdn">bento.FreeBSD.org</hostid>.</para> <para>Quand vous ajoutez un alias IP à une interface (avec - <command>ifconfig</command>), utilisez + <command>ifconfig</command>), utilisez <emphasis>toujours</emphasis> le masque de sous-réseau <hostid role="netmask">255.255.255.255</hostid> (qui peut aussi s'écrire @@ -1923,7 +1923,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> role="mac">08:00:20:87:ef:d0</hostid>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>La machine locale peut toujours être désignée par <hostid>localhost</hostid>, et aura l'adresse IP <hostid role="ipaddr">127.0.0.1</hostid>.</para> @@ -1945,33 +1945,33 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> role="mac">08:00:20:87:ef:d0</hostid>.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Noms d'utilisateurs</title> - + <note> <title>extension FreeBSD</title> - + <para>Ces éléments font partie des extensions FreeBSD à DocBook et n'existent pas dans la DTD DocBook d'origine.</para> </note> - + <para>Si vous avez besoin de faire référence à un nom d'utilisateur, comme <literal>root</literal> ou <literal>bin</literal>, servez-vous de <sgmltag>username</sgmltag>.</para> - + <example> <title><sgmltag>username</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>Pour effectuer la plupart des tâches d'administration système, vous aurez besoin d'être <username>root</username>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>Pour effectuer la plupart des tâches d'administration système, vous aurez besoin d'être <username>root</username>.</para> </example> @@ -1979,18 +1979,18 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <sect3> <title>Décrire les <filename>Makefile</filename>s</title> - + <note> <title>extension FreeBSD</title> - + <para>Ces éléments font partie des extensions FreeBSD à DocBook et n'existent pas dans la DTD DocBook d'origine.</para> </note> - + <para>Il y a des éléments pour décrire les composantes d'un <filename>Makefile</filename>s, <sgmltag>maketarget</sgmltag> et <sgmltag>makevar</sgmltag>.</para> - + <para><sgmltag>maketarget</sgmltag> désigne une cible définie dans un <filename>Makefile</filename> qui peut être utilisée en paramètre de <command>make</command>. <sgmltag>makevar</sgmltag> désigne une @@ -2001,9 +2001,9 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <example> <title><sgmltag>maketarget</sgmltag> et <sgmltag>makevar</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>Il y a deux cibles courantes dans les <filename>Makefile</filename> : <maketarget>all</maketarget> et @@ -2021,7 +2021,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <makevar>RECURSE</makevar>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>Il y a deux cibles courantes dans les <filename>Makefile</filename> : <maketarget>all</maketarget> et <maketarget>clean</maketarget>.</para> @@ -2037,10 +2037,10 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <makevar>RECURSE</makevar>.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Litéraux</title> - + <para>Vous aurez souvent besoin d'inclure “litéralement” du texte dans le Manuel. Ce sont des extraits d'un fichier, que l'on doit pouvoir copier tel quel dans un autre fichier.</para> @@ -2052,64 +2052,64 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <para>Servez-vous dans ces cas-là de <sgmltag>literal</sgmltag>.</para> - + <example> <title><sgmltag>literal</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>La ligne <literal>maxusers 10</literal> du fichier de configuration du noyau détermine la table de nombreuses tables système et définit approximativement le nombre de connexions simultanées qu'acceptera le système.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>La ligne <literal>maxusers 10</literal> du fichier de configuration du noyau détermine la table de nombreuses tables système et définit approximativement le nombre de connexions simultanées qu'acceptera le système.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title>Montrer ce que l'utilisateur <emphasis>doit</emphasis> renseigner</title> - + <para>Il arrivera souvent que vous vouliez montrer à l'utilisateur ce qu'il doit faire, faire référence à un fichier, à une ligne de commande, ou autre, dans lesquels l'utilisateur ne pourra pas purement et simplement copier les examples que vous lui donnez, mais devra y renseigner lui-même certaines informations.</para> - + <para><sgmltag>replaceable</sgmltag> est prévu pour ces cas-là. Servez-vous en <emphasis>à l'intérieur</emphasis> d'autres éléments pour indiquer quels contenus l'utilisateur doit remplacer.</para> - + <example> <title><sgmltag>replaceable</sgmltag></title> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>man <replaceable>command</replaceable></userinput></screen> </informalexample>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <informalexample> <screen>&prompt.user; <userinput>man <replaceable>command</replaceable></userinput></screen> </informalexample> - + <para><sgmltag>replaceable</sgmltag> peut servir dans de nombreux autres éléments, dont <sgmltag>literal</sgmltag>. Cet exemple montre aussi qu'il ne faut mettre <sgmltag>replaceable</sgmltag> qu'autour du contenu que l'utilisateur <emphasis>doit</emphasis> fournir. Il faut laisser le reste tel quel.</para> - + <para>Utilisez :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>La ligne <literal>maxusers 10</literal> du fichier de configuration du noyau détermine la table de nombreuses tables système et définit approximativement le nombre @@ -2120,7 +2120,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> de travail.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> - + <para>La ligne <literal>maxusers 10</literal> du fichier de configuration du noyau détermine la table de nombreuses tables système et définit approximativement le nombre de connexions @@ -2173,18 +2173,18 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> </sect1> </chapter>]]></programlisting> </example> - + <para>Vous devriez utiliser des valeurs plus explicites. Ces valeurs doivent être uniques pour le document (i.e., pas uniquement dans le fichier, mais dans le document dans lequel le fichier peut - éventuellement être inclus aussi). Remarquez que + éventuellement être inclus aussi). Remarquez que l'<literal>id</literal> de la sous-section est construit en le préfixant de l'<literal>id</literal> du chapitre. Cela aide à construire des identifiants uniques.</para> <para>Si vous voulez que l'utilisateur puisse aller à un endroit précis du document (éventuellement au milieu du paragraphe), ou à un - exemple, servez-vous de <sgmltag>anchor</sgmltag>. Cet élément n'a + exemple, servez-vous de <sgmltag>anchor</sgmltag>. Cet élément n'a pas de contenu, mais il a un attribut <literal>id</literal>.</para> <example> @@ -2194,7 +2194,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <anchor id="para1">lien interne. Il n'apparaît pas dans le document.</para>]]></programlisting> </example> - + <para>Si vous voulez fournir à l'utilisateur un lien qu'il puisse activer (probablement en cliquant dessus) pour aller à une section du document qui a un attribut <literal>id</literal>, vous pouvez @@ -2206,17 +2206,17 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> comme attribut <literal>id</literal> (peu importe si cette valeur n'a pas encore été définie dans le document, les liens peuvent être en avant ou en arrière).</para> - + <para>Si vous vous servez de <sgmltag>xref</sgmltag>, vous n'avez pas le contrôle du texte du lien. Il sera généré automatiquement.</para> - + <example> <title>Se servir de <sgmltag>xref</sgmltag></title> <para>Supposons que ce fragment apparaisse quelque part dans un document qui contienne l'exemple que nous avons donné pour <literal>id</literal> :</para> - + <programlisting><![ CDATA [<para>Vous trouverez plus d'information au <xref linkend="chapter1">.</para> @@ -2235,7 +2235,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <emphasis>la section appellée Sous-section 1</emphasis>.</para> </blockquote> </example> - + <para>Remarquez que le texte du lien est construit à partir du titre de la section ou du numéro du chapitre.</para> @@ -2247,7 +2247,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> contenu et <sgmltag>xref</sgmltag> ne pourrait donc pas générer le texte du lien.</para> </note> - + <para>Si vous voulez avoir la maîtrise du texte du lien, servez-vous alors de <sgmltag>link</sgmltag>. Cet élément encadre un contenu qui sera utilisé comme lien.</para> @@ -2265,7 +2265,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <para>Vous trouverez des informations plus détaillées dans <link linkend="chapter1-sect1">cette</link> section.</para>]]></programlisting> - + <para>Ce qui générera (le texte mis <emphasis>en valeur</emphasis> indique que c'est cela le lien) :</para> @@ -2278,7 +2278,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> </blockquote> </example> - + <note> <para>Le dernier exemple n'est pas à suivre. N'utilisez jamais “ce” ou “ici” comme origine du lien. Le @@ -2299,7 +2299,7 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <title>Liens vers d'autres documents sur le WWW</title> <para>Mettre des liens sur des documents externes est beaucoup plus - facile, si tant est que vous connaissiez l'URL du document sur + facile, si tant est que vous connaissiez l'URL du document sur lequel vous voulez mettre un lien. Servez-vous de <sgmltag>ulink</sgmltag>. L'attribut <literal>url</literal> sera l'URL de la page où pointera le lien, et le contenu du lien sera @@ -2311,34 +2311,34 @@ C'est le fichier 'foo2'</screen> <para>Utilisez :</para> <programlisting><![ CDATA [<para>Vous pouvez bien sûr cessez de lire - ce document, et aller au lieu de cela sur la <ulink + ce document, et aller au lieu de cela sur la <ulink url="http://www.FreeBSD.org/"> page Web de FreeBSD</ulink>.</para>]]></programlisting> <para>Apparence :</para> <para>Vous pouvez bien sûr cessez de lire ce document, et aller au - lieu de cela sur la <ulink + lieu de cela sur la <ulink url="http://www.FreeBSD.org/"> page Web de FreeBSD</ulink>.</para> </example> </sect3> </sect2> </sect1> - + <sect1> <title>* LinuxDoc</title> - + <para>LinuxDoc est adapté de la DTD QWERTZ, et a été d'abord utilisé par le <ulink url="http://sunsite.unc.edu/LDP/">Projet de Documentation de Linux</ulink>, puis adopté ensuite par celui de FreeBSD.</para> - + <para>La DTD LinuxDoc utilise des marques qui décrivent avant tout l'apparence du document et non son contenu (i.e., elle décrit à quoi quelque chose ressemble, et non ce que c'est).</para> - + <para>Et le Projet de Documentation de FreeBSD et celui de Linux sont en train de migrer de la DTD LinuxDoc à la DTD DocBook.</para> - + <para>La DTD LinuxDoc DTD est disponible au catalogue des logiciels portés, dans la catégorie <filename>textproc/linuxdoc</filename>.</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-primer/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-primer/chapter.sgml index b0620143c9..60933635c2 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-primer/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/sgml-primer/chapter.sgml @@ -32,7 +32,7 @@ The FreeBSD French Documentation Project $FreeBSD$ - Original revision: 1.8 + Original revision: 1.8 --> <chapter id="sgml-primer"> @@ -46,28 +46,28 @@ <para>Des parties de cette section se sont inspirées du livre de Mark Galassi, <ulink url="http://nis-www.lanl.gov/~rosalia/mydocs/docbook-intro/docbook-intro.html">“<foreignphrase>Get Going With DocBook</foreignphrase>”</ulink>.</para> - + <sect1> <title>Introduction</title> <para>Il était autrefois facile de travailler sur des documents électroniques. Vous n'aviez normalement à connaître que le jeu de caractères utilisé (ASCII, EBCDIC, ou l'un des nombreux autres) et - c'était à peu près tout. Le texte était du texte, et vous voyiez + c'était à peu près tout. Le texte était du texte, et vous voyiez vraiment ce que vous obteniez. Pas de sophistication, pas de formatage, pas d'intelligence.</para> <para>Cela devint inévitablement insuffisant. Une fois que vous avez du texte qu'une machine peut lire, vous vous attendez à ce que la machine puisse l'utiliser et le manipuler intelligemment. Vous aimeriez pouvoir - préciser que certaines phrases sont accentuées, y ajouter un glossaire + préciser que certaines phrases sont accentuées, y ajouter un glossaire ou des hyper-liens. Vous voulez que les noms de fichiers apparaissent en police “machine à écrire” à l'écran et en italique à l'impression, et tout un tas d'autres options de présentation encore.</para> <para>Il fut un temps où l'on pensait que l'Intelligence Artificielle (IA) - rendrait cela facile. Votre ordinateur pourrait lire le document et + rendrait cela facile. Votre ordinateur pourrait lire le document et identifier les phrases clés, les noms de fichiers, le texte que l'utilisateur devait taper, et d'autres encore. Malheureusement, la réalité est un peu différente, et il faut aider nos ordinateurs à @@ -87,16 +87,16 @@ taper, référence aux pages de manuel, et ainsi de suite. Mais l'ordinateur lui ne le peut pas. Pour cela, Nous avons besoin des marques.</para> - + <para>Le “marquage” est communément qualifié de “valeur ajoutée” ou “coût augmenté”. Le terme prend ces deux - sens quand il s'applique au texte. La marquage est du texte en + sens quand il s'applique au texte. La marquage est du texte en supplément dans le document, distinct par un moyen ou un autre du contenu du document, de façon à ce que les programmes qui traitent le document puisse le lire et l'utiliser pour prendre des décisions. Les éditeurs peuvent masquer le marquage à l'utilisateur, de façon à ce qu'il ne soit pas perturbé par ces marques.</para> - + <para>L'information supplémentaire donnée avec les marques <emphasis>ajoute de la valeur</emphasis> au document. Le marquage doit habituellement être manuel - après tout, si les ordinateurs @@ -120,7 +120,7 @@ définir ce que les marques veulent dire et comment elles doivent être traitées. Il vous faudra un language de marquage auquel vous référer pour marquer vos documents.</para> - + <para>Un seul language de marquage peut bien sûr ne pas suffire. Les besoins de marquage d'une documentation technique diffèrent énormément de ceux de recettes de cuisines. ces derniers seront à leur tour @@ -128,18 +128,18 @@ avez en fait besoin d'un language qui vous permette de définir ces autres languages de marquage. Un <emphasis>méta-language de marquage</emphasis>.</para> - + <para>C'est exactement ce qu'est <foreignphrase>Standard Generalised Markup Language (SGML)</foreignphrase> - Language de Marquage Standard Généralisé. De nombreux languages de marquage sont écrits en SGML, dont les deux languages les plus utilisés par le FDP, HTML et DocBook.</para> - + <para>Chaque définition d'un language s'appelle plus exactement une - <foreignphrase>Document Type Definition + <foreignphrase>Document Type Definition (DTD)</foreignphrase> - Définition de Type de Document. La DTD - définit les noms des éléments utilisables, leur ordre d'apparition (et - leur hiérarchie) et les informations qui s'y rapportent. Une DTD est + définit les noms des éléments utilisables, leur ordre d'apparition (et + leur hiérarchie) et les informations qui s'y rapportent. Une DTD est parfois désignée comme une <emphasis>application</emphasis> de SGML.</para> @@ -159,19 +159,19 @@ ordre, et ainsi de suite, se conforme à ce que définit la DTD. Il ne vérifie <emphasis>pas</emphasis> que vous avez utilisé les marques <emphasis>appropriées</emphasis> au document. Si vous marquez tous les - noms de fichiers de votre document comme des noms de fonctions, + noms de fichiers de votre document comme des noms de fonctions, l'analyseur ne le signalera pas comme une erreur (en supposant, bien sûr, que votre DTD définisse des éléments pour les noms de fichiers et de fonctions et qu'ils aient le droit d'apparaître aux mêmes endroits).</para> </note> - + <para>Il est probable que vos contributions au Projet de Documentation consiste en documents marqués soit en HTML soit en DocBook, plutôt qu'en modifications aux DTDs. Pour cette raison, cet ouvrage n'abordera pas la façon d'écrire une DTD.</para> </sect1> - + <sect1 id="sgml-primer-elements"> <title>Eléments, marques et attributs</title> @@ -213,7 +213,7 @@ al.), cela se fait avec des <emphasis>marques</emphasis>.</para> <para>Une marque sert à dire où commence et où finit un élément. - <emphasis>La marque ne fait pas partie de l'élément lui-même</emphasis>. + <emphasis>La marque ne fait pas partie de l'élément lui-même</emphasis>. Comme chaque DTD est habituellement écrite pour marquer des types d'informations spécifiques, chacune reconnaîtra des éléments différents, et aura donc des noms différents pour les marques.</para> @@ -230,14 +230,14 @@ <para>HTML dispose d'un élément pour indiquer que le contenu inclus est un paragraphe, appelé <literal>p</literal>. Cet élément a une marque de début et une de fin.</para> - + <programlisting> <![ CDATA [<p>C'est un paragraphe. Il commence avec la marque de début pour l'élément 'p', et se terminera avec la marque de fin pour l'élément 'p'</p> <p>C'est un autre paragraphe. Mais il est beaucoup plus - court.</p>]]></programlisting> + court.</p>]]></programlisting> </example> <para>Tous les éléments n'ont pas besoin d'une marque de fin. Certains @@ -249,7 +249,7 @@ <example> <title>Utiliser un élément (marque de début uniquement)</title> - <para>HTML dispose d'un élément pour inclure une ligne horizontale, + <para>HTML dispose d'un élément pour inclure une ligne horizontale, appelé <literal>hr</literal>. C'est un élément sans contenu, il n'a donc qu'une marque de début.</para> @@ -261,7 +261,7 @@ <p>C'est un autre paragraphe. Une ligne horizontale le sépare du précédent.</p>]]></programlisting> </example> - + <para>Si ce n'était pas encore clair, les éléments peuvent contenir d'autres éléments. Dans l'exemple du livre plus haut, ce livre contenait tous les chapitres, qui à leur tour contenaient tous les paragraphes, et @@ -269,12 +269,12 @@ <example> <title>Eléments dans des éléments ; <sgmltag>em</sgmltag></title> - + <programlisting> <![ CDATA [<p>C'est un <em>paragraphe</em> simple où certains <em>mots</em> ont été <em>mis en valeur</em>.</p>]]></programlisting> </example> - + <para>La DTD définira les règles qui disent quels éléments peuvent être inclus dans quels autres éléments, et ce qu'ils peuvent précisement contenir.</para> @@ -297,7 +297,7 @@ <para>Cette distinction <emphasis>est</emphasis> très subtile. Mais gardez la à l'esprit.</para> </important> - + <para>Les éléments peuvent avoir des attributs. Un attribut a un nom et une valeur, et sert à donner des informations supplémentaires concernant l'élément. Ce peuvent être des informations qui précisent @@ -320,14 +320,14 @@ <example> <title>Utiliser un élément avec un attribut</title> - + <programlisting> <![ CDATA [<p align="left">L'attribut align est superflus pour ce paragraphe, puisque 'left' est la valeur par défaut.</p> <p align="center">Ce paragraphe sera peut-être centré.</p>]]></programlisting> </example> - + <para>Certains attributs ne prennent que des valeurs prédéfinies, comme <literal>left</literal> ou <literal>justify</literal>. D'autres peuvent prendre les valeurs que vous voulez. Si vous avez besoin de quotes @@ -336,7 +336,7 @@ <example> <title>Simples quotes dans un attribut</title> - + <programlisting> <![ CDATA [<p align='right'>Je suis à droite !</p>]]></programlisting> </example> @@ -352,7 +352,7 @@ <para>Pour tester les exemples donnés dans ce document, vous devrez installer des logiciels sur votre système et vérifiez qu'une variable d'environnement est correctement définie.</para> - + <procedure> <step> <para>Téléchargez et installez <filename>textproc/docproj</filename> @@ -361,18 +361,18 @@ tous les programmes et fichiers utilisés par le Projet de Documentation.</para> </step> - + <step> <para>Ajoutez les lignes pour définir <envar>SGML_CATALOG_FILES</envar> à vos procédures d'initialisation de l'interpréteur de commandes.</para> - + <example id="sgml-primer-envars"> <title><filename>.profile</filename>, pour les utilisateurs de &man.sh.1; et &man.bash.1;</title> - + <programlisting> -SGML_ROOT=/usr/local/share/sgml +SGML_ROOT=/usr/local/share/sgml SGML_CATALOG_FILES=${SGML_ROOT}/jade/catalog SGML_CATALOG_FILES=${SGML_ROOT}/iso8879/catalog:$SGML_CATALOG_FILES SGML_CATALOG_FILES=${SGML_ROOT}/html/catalog:$SGML_CATALOG_FILES @@ -383,7 +383,7 @@ export SGML_CATALOG_FILES</programlisting> <example> <title><filename>.login</filename>, pour les utilisateurs de &man.csh.1; et &man.tcsh.1;</title> - + <programlisting> setenv SGML_ROOT /usr/local/share/sgml setenv SGML_CATALOG_FILES ${SGML_ROOT}/jade/catalog @@ -391,11 +391,11 @@ setenv SGML_CATALOG_FILES ${SGML_ROOT}/iso8879/catalog:$SGML_CATALOG_FILES setenv SGML_CATALOG_FILES ${SGML_ROOT}/html/catalog:$SGML_CATALOG_FILES setenv SGML_CATALOG_FILES ${SGML_ROOT}/docbook/catalog:$SGML_CATALOG_FILES</programlisting> </example> - + <para>Déconnectez-vous et reconnectez-vous ensuite, ou exécutez ces commandes pour définir la variable d'environnement.</para> </step> - + <step> <para>Créez un fichier <filename>exemple.sgml</filename>, où vous mettrez :</para> @@ -405,11 +405,11 @@ setenv SGML_CATALOG_FILES ${SGML_ROOT}/docbook/catalog:$SGML_CATALOG_FILES</prog Transitional//EN"> <html> - <head> + <head> <title>Exemple de fichier HTML</title> </head> - <body> + <body> <p>C'est un paragraphe avec du texte.</p> <p>C'est encore un paragraphe avec du texte.</p> @@ -417,7 +417,7 @@ setenv SGML_CATALOG_FILES ${SGML_ROOT}/docbook/catalog:$SGML_CATALOG_FILES</prog <p align="right">Ce paragraphe sera peut-être justifié à droite.</p> - </body> + </body> </html>]]></programlisting> </step> @@ -469,7 +469,7 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> <entry>Signification</entry> </row> </thead> - + <tbody> <row> <entry>1</entry> @@ -570,7 +570,7 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> <variablelist> <varlistentry> <term><literal><!</literal></term> - + <listitem> <para>C'est l'<emphasis>indicateur</emphasis> qui dit que c'est une déclaration SGML. Cette ligne définit le type de document.</para> @@ -579,18 +579,18 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> <varlistentry> <term><literal>DOCTYPE</literal></term> - + <listitem> <para>Précise que c'est la déclaration SGML du type de document.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><literal>html</literal></term> - + <listitem> - <para>Définit le premier <link + <para>Définit le premier <link linkend="sgml-primer-elements">élément</link> qui apparaîtra dans le document.</para> </listitem> @@ -615,13 +615,13 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> <varlistentry> <term><literal>></literal></term> - + <listitem> <para>Retour au document.</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist> - + <sect2> <title><foreignphrase>Formal Public Identifiers (FPIs)</foreignphrase> - Identifiants Publics @@ -633,8 +633,8 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> si votre processeur SGML ne trouve pas la DTD que vous utilisez.</para> </note> - - <para>Les FPIs doivent respecter une syntaxe précise. La + + <para>Les FPIs doivent respecter une syntaxe précise. La voici :</para> <programlisting> @@ -643,7 +643,7 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> <variablelist> <varlistentry> <term><replaceable>Propriétaire</replaceable></term> - + <listitem> <para>Indique qui détient le FPI.</para> @@ -656,7 +656,7 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> <para>Sinon, cette chaîne sera de la forme <literal>-//<replaceable>Propriétaire</replaceable></literal> ou - <literal>+//<replaceable>Propriétaire</replaceable></literal> + <literal>+//<replaceable>Propriétaire</replaceable></literal> (remarquez que la seule différence est le <literal>+</literal> ou <literal>-</literal> du début).</para> @@ -664,7 +664,7 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> le propriétaire n'est pas enregistré, il l'est si elle commence par un <literal>+</literal>.</para> - <para>L'ISO 9070:1991 définit comment sont générés les noms + <para>L'ISO 9070:1991 définit comment sont générés les noms enregistrés ; ils peuvent dériver du numéro d'une publication ISO, d'un code ISBN ou d'un code d'organisation affecté selon l'ISO 6523. De plus, il pourrait y avoir une @@ -674,15 +674,15 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> National Américain des Standards.</para> <para>Comme le Projet FreeBSD n'est pas enregistré, la chaîne - utilisée est <literal>-//FreeBSD</literal>. Comme vous pouvez + utilisée est <literal>-//FreeBSD</literal>. Comme vous pouvez vous en rendre compte, le W3C n'est pas non plus un propriétaire enregistré.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><replaceable>Mot-Clé</replaceable></term> - + <listitem> <para>Il y a plusieurs mots-clés qui définissent le type d'information dans le fichier. Les mots-clés les plus courants @@ -695,10 +695,10 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> (texte et marques).</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><replaceable>Description</replaceable></term> - + <listitem> <para>La description que vous souhaitez donner du contenu du fichier. Cela peut inclure des numéros de version et n'importe @@ -706,31 +706,31 @@ nsgmls:example.sgml:6:8:E: end tag for "HEAD" which is not finished</screen> SGML.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><replaceable>Langue</replaceable></term> - + <listitem> <para>C'est une code ISO de deux caractères qui identifie la - langue utilisée dans le fichier. Pour l'anglais, c'est + langue utilisée dans le fichier. Pour l'anglais, c'est <literal>EN</literal>.</para> </listitem> </varlistentry> </variablelist> - + <sect3> <title>Fichiers <filename>catalog</filename></title> - + <para>Si vous avez utilisé la syntaxe décrite plus haut et essayé d'utiliser un processeur SGML pour traiter votre document, il aura besoin de convertir le FPI en un nom de fichier sur votre ordinateur qui décrive la DTD.</para> - - <para>Vous pouvez pour cela vous servir d'un fichier catalogue + + <para>Vous pouvez pour cela vous servir d'un fichier catalogue (habituellement appelé <filename>catalog</filename>). Il contient des lignes qui donnent les correspondances entre FPIs et noms de fichiers. Par exemple, s'il y a la ligne :</para> - + <programlisting> PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> @@ -753,7 +753,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> des paramètres de leur ligne de commande pour donner le chemin d'accès à un ou plusieurs catalogues.</para> - <para>Vous pouvez par ailleurs définir + <para>Vous pouvez par ailleurs définir <envar>SGML_CATALOG_FILES</envar> pour désigner ces fichiers. Cette variable d'environnement doit contenir une liste de fichiers catalogues (donnés par leurs chemins d'accès complets) séparés par @@ -786,24 +786,24 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> --> </sect3> </sect2> - + <sect2 id="sgml-primer-fpi-alternatives"> <title>Alternatives aux FPIs</title> - + <para>Au lieu d'utiliser un FPI pour préciser la DTD utilisée (et donc le fichier qui contient la DTD), il est possible de donner explicitement le nom du fichier.</para> - + <para>La syntaxe pour le faire est légèrement différente :</para> - + <programlisting> <![ CDATA [<!DOCTYPE html SYSTEM "/path/to/file.dtd">]]></programlisting> - + <para>Le mot-clé <literal>SYSTEM</literal> indique que le processeur SGML doit localiser le fichier d'une façon qui dépend du système. Cela signifie habituellement (mais pas toujours) que la DTD sera définie par un nom de fichier.</para> - + <para>Il est préférable d'utiliser des FPIs pour des raisons de portabilité. Vous ne voulez pas livrer un exemplaire de la DTD avec votre document, et si vous avez utilisé l'identifiant @@ -811,23 +811,23 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> endroits.</para> </sect2> </sect1> - + <sect1 id="sgml-primer-sgml-escape"> <title>Revenir au SGML</title> - <para>On a dit plus haut dans cette introduction que le SGML n'était + <para>On a dit plus haut dans cette introduction que le SGML n'était utilisé que pour écrire les DTDs. Ce n'est pas tout à fait vrai. Il y a - des éléments de la syntaxe SGML que vous voudrez pouvoir utiliser dans + des éléments de la syntaxe SGML que vous voudrez pouvoir utiliser dans vos documents. Par exemple, vous pouvez y inclure des commentaires, qui seront ignorés par les analyseurs. Les commentaires sont inclus en utilisant une syntaxe SGML. D'autres utilisations du SGML dans les documents seront mentionnées plus loin.</para> - + <para>Il vous faut évidemment un moyen d'indiquer au processeur SGML que ce qui va suivre n'est pas constitué d'éléments du document, mais est du SGML que le processeur doit prendre en compte.</para> - <para>Ces sections sont marqués avec <literal><! ... ></literal> + <para>Ces sections sont marqués avec <literal><! ... ></literal> dans votre document. Tout ce qui se trouve entre ces délimiteurs est du code SGML comme on en trouve dans les DTDs.</para> @@ -836,11 +836,11 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> est un exemple de syntaxe SGML que vous devez inclure dans votre document…</para> </sect1> - + <sect1> <title>Commentaires</title> &sgml.todo; - + <para>Les commentaires suivent une syntaxe SGML et ne sont normalement autorisés que dans une DTD. Cependant comme la <xref linkend="sgml-primer-sgml-escape"/> le montre, il est possible @@ -855,7 +855,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <programlisting> <!-- commentaire de test --></programlisting> - + <programlisting><![ CDATA [ <!-- C'est le texte du commentaire --> @@ -883,14 +883,14 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <emphasis>double tiret</emphasis> plus professionnel, et déformé l'exemple au passage.</para> - <para>Les versions HTML, texte et RTF de ce document ne sont pas + <para>Les versions HTML, texte et RTF de ce document ne sont pas sujettes à ce problème.</para> </important> ]]> - + <para>Si vous avez déjà utilisé HTML auparavant, on vous a peut-être donné des règles différentes pour les commentaires. En particulier, vous - pensez peut-être qu'ils commencent par <literal><!--</literal> et + pensez peut-être qu'ils commencent par <literal><!--</literal> et ne se terminent qu'avec <literal>--></literal>.</para> <para>Ce n'est <emphasis>pas</emphasis> le cas. Les analyseurs syntaxiques @@ -957,14 +957,14 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>C'est un bon moyen pour avoir du texte réutilisable et facile à modifier. C'est aussi le seul moyen d'inclure, en utilisant SGML, un fichier marqué dans un autre.</para> - + <para>Il y a deux sortes d'entités SGML qui s'utilisent dans des situations différentes : les <emphasis>entités générales</emphasis> et les <emphasis>entités paramètres</emphasis>.</para> - + <sect2 id="sgml-primer-general-entities"> <title>Entités Générales</title> - + <para>Vous ne pouvez pas employer les entités générales dans un contexte SGML (bien que ce soit là que vous les définissiez). Elles ne peuvent être utilisées que dans votre document. Comparez cela au cas des @@ -998,7 +998,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Heureusement, il y a deux entités générales, &lt; et &amp; pour le cas où vous auriez besoin d'inclure l'un ou l'autre de ces symboles.</para> - + <para>Une entité générale ne peut être définie que dans un contexte SGML. On le fait habituellement immédiatement après la déclaration DOCTYPE.</para> @@ -1011,9 +1011,9 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <!ENTITY version.courante "3.0-RELEASE"> <!ENTITY derniere.version "2.2.7-RELEASE"> ]>]]></programlisting> - + <para>Remarquez que la déclaration DOCTYPE est suivie d'un crochet - ouvrant à la fin de la première ligne. Les deux entités sont + ouvrant à la fin de la première ligne. Les deux entités sont définies aux deux lignes suivantes, avant le crochet fermant. La déclaration DOCTYPE se termine ensuite.</para> @@ -1021,7 +1021,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> complément à la DTD mentionnée par la déclaration DOCTYPE.</para> </example> </sect2> - + <sect2 id="sgml-primer-parameter-entities"> <title>Entités paramètres</title> @@ -1040,12 +1040,12 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Les entités <emphasis>P</emphasis>aramètres employent le symbole <emphasis>P</emphasis>ourcent.</para> </footnote>. Leur définition comporte aussi un <literal>%</literal> - entre le mot-clé <literal>ENTITY</literal> et le nom de + entre le mot-clé <literal>ENTITY</literal> et le nom de l'entité.</para> - + <example> <title>Définition d'entités paramètres</title> - + <programlisting> <![ CDATA [<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" [ <!ENTITY % param.du "du"> @@ -1055,7 +1055,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <!-- %param.encore contient maintenant "encore du texte" --> ]>]]></programlisting> </example> - + <para>Cela ne paraît peut être pas très utile. On verra pourtant que ça l'est.</para> </sect2> @@ -1071,16 +1071,16 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <programlisting> <![ CDATA [<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN" [ <!ENTITY version "1.1"> -]> +]> <html> - <head> + <head> <title>Exemple de fichier HTML</title> </head> <!-- Vous pourriez aussi mettre des commentaires ici --> - - <body> + + <body> <p>C'est un paragraphe avec du texte.</p> <p>C'est encore un paragraphe avec du texte.</p> @@ -1088,9 +1088,9 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <p align="right">Ce paragraphe sera peut-être justifié à droite</p> - <p>La version courante de ce document est : &version;</p> - </body> -</html>]]></programlisting> + <p>La version courante de ce document est : &version;</p> + </body> +</html>]]></programlisting> </step> <step> @@ -1103,11 +1103,11 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <filename>exemple.html</filename> pour que votre navigateur le reconnaisse comme un document HTML).</para> - <para>A moins que votre navigateur ne soit très évolué, il ne + <para>A moins que votre navigateur ne soit très évolué, il ne remplacera pas la référence <literal>&version;</literal> à l'entité par le numéro de version. Les analyseurs de la plupart des navigateurs sont élémentaires et ne gèrent pas correctement - le SGML<footnote><para>C'est tout à fait dommage. Imaginez les + le SGML<footnote><para>C'est tout à fait dommage. Imaginez les problèmes et bricolages (comme les <foreignphrase>Server Side Includes</foreignphrase>) que cela éviterait.</para></footnote>.</para> @@ -1141,10 +1141,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> </procedure> </sect2> </sect1> - + <sect1> <title>Utiliser les entités pour inclure des fichiers</title> - + <para>Les entités (<link linkend="sgml-primer-general-entities">générales</link> et <link linkend="sgml-primer-parameter-entities">paramètres</link>) sont @@ -1152,7 +1152,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <sect2 id="sgml-primer-include-using-gen-entities"> <title>Utiliser les entités générales pour inclure des fichiers</title> - + <para>Supposons que le contenu d'un livre SGML soit découpé en fichiers, à raison d'un fichier par chapitre, appelés <filename>chaptitre1.sgml</filename>, @@ -1167,7 +1167,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <example> <title>Utiliser les entités générales pour inclure des fichiers</title> - + <programlisting> <![ CDATA [<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" [ <!ENTITY chapitre.1 SYSTEM "chapitre1.sgml"> @@ -1184,7 +1184,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> &chapitre.3; </html>]]></programlisting> </example> - + <warning> <para>Quand vous vous servez d'entités générales pour inclure d'autres fichiers dans un document, les fichiers inclus @@ -1194,10 +1194,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> serait une erreur de syntaxe.</para> </warning> </sect2> - + <sect2> <title>Utiliser les entités paramètres pour inclure des fichiers</title> - + <para>Rappelez-vous que les entités paramètres ne peuvent être utilisées que dans un contexte SGML. Quand aurez-vous besoin d'inclure un fichier dans un contexte SGML ?</para> @@ -1223,7 +1223,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Mettez d'abord les définitions de vos entités dans un fichier séparé, appelé <filename>chapitres.ent</filename>. Voici ce qu'il contiendra :</para> - + <programlisting> <![ CDATA [<!ENTITY chapitre.1 SYSTEM "chapitre1.sgml"> <!ENTITY chapitre.2 SYSTEM "chapitre2.sgml"> @@ -1237,7 +1237,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <programlisting> <![ CDATA [<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" [ -<!-- +<!-- Définissez une entité paramètre pour inclure le fichier des entités générales pour les chapitres --> @@ -1324,12 +1324,12 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Vous devez d'abord avoir mis en pratique l'exemple précédent.</para> </note> - + <procedure> <step> <para>Modifiez comme ceci <filename>exemple.sgml</filename> :</para> - + <programlisting> <![ CDATA [<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" [ <!ENTITY % entites SYSTEM "entites.sgml"> %entites; @@ -1351,7 +1351,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> </step> <step> - <para>Créez un nouveau fichier, <filename>entites.sgml</filename>, + <para>Créez un nouveau fichier, <filename>entites.sgml</filename>, qui contienne :</para> <programlisting> @@ -1378,10 +1378,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> </sect3> </sect2> </sect1> - + <sect1 id="sgml-primer-marked-sections"> <title>Sections marquées</title> - + <para>SGML fournit un mécanisme pour définir quelles parties d'un document doivent être traitées de façon particulière. On appelle cela des “sections marquées”.</para> @@ -1405,24 +1405,24 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Le second crochet ouvrant indique que le contenu de la section marquée commence là.</para> - + <para>La section marquée se termine par deux crochets fermants, puis un <literal>></literal> pour indiquer que l'on quitte le contexte SGML et que l'on revient au document.</para> - + <sect2> <title>Mots-clés pour les sections marquées</title> - + <sect3> <title><literal>CDATA</literal>, <literal>RCDATA</literal></title> - + <para>Ces deux mots-clés définissent des sections marquées comme <emphasis>modèle de contenu</emphasis> et vous permettent de modifier sa valeur par défaut.</para> - + <para>Quand un analyseur SGML traite un docuemnt, il mémorise ce que l'on appelle le “modèle de contenu”.</para> - + <para>En bref, le modèle de contenu décrit ce que l'analyseur doit s'attendre à trouver comme contenu, et ce qu'il doit en faire quand il le rencontre.</para> @@ -1430,7 +1430,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Les deux modèles de contenu que vous trouverez certainement les plus utiles sont <literal>CDATA</literal> et <literal>RCDATA</literal>.</para> - + <para><literal>CDATA</literal> signifie “<foreignphrase>Character Data</foreignphrase>” - données caractères. Si @@ -1438,14 +1438,14 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> à trouver des caractères, et uniquement des caractères. Les symboles < et & perdent alors leur signification particulière et sont traités comme de simples caractères.</para> - + <para><literal>RCDATA</literal> signifie “Références à des entités et données caractères”. Si l'analyseur est à l'intérieur de ce modèle de contenu, il s'attend à trouver des caractères <emphasis>et</emphasis> des entités. < perd sa signification particulière, mais & est toujours compris comme le début d'une entité générale.</para> - + <para>C'est particulièrement utile si vous incluez du texte qui contient de nombreux caractères < et &. Vous pourriez bien sûr contrôler que dans votre texte tous les < sont écrits @@ -1456,12 +1456,12 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> apparaîtront dans le contenu.</para> <!-- The nesting of CDATA within the next example is disgusting --> - + <example> <title>Utiliser une section marquée CDATA</title> - + <programlisting> -<para>Voici un exemple de la façon dont vous pourriez inclure +<para>Voici un exemple de la façon dont vous pourriez inclure un texte comportant de nombreux &lt; et &amp;. L'exemple lui-même est en HTML. Le texte qui l'encadre (<para> et <programlisting>) est du DocBook.</para> @@ -1488,10 +1488,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> utilise constamment cette technique.</para> </example> </sect3> - + <sect3> <title><literal>INCLUDE</literal> et <literal>IGNORE</literal></title> - + <para>Si le mot-clé est <literal>INCLUDE</literal>, alors le contenu de la section marquée sera pris en compte. Si le mot-clé est <literal>IGNORE</literal>, alors la section marquée sera ignorée. Il @@ -1510,11 +1510,11 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> Ce texte ne sera pas traité ou inclus. ]]></programlisting> </example> - + <para>En soi, cela ne sert pas à grand-chose. Si vous vouliez supprimer du texte de votre document, vous auriez pu l'enlever ou le mettre en commentaires.</para> - + <para>Cela devient plus utile quand vous comprenez que vous pouvez vous servir des <link linkend="sgml-primer-parameter-entities">entités paramètres</link> @@ -1523,13 +1523,13 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> une section marquée <emphasis>est</emphasis> un contexte SGML.</para> <para>Si par exemple, vous générez une version imprimée et une version - électronique de votre document, vous pourriez vouloir inclure dans + électronique de votre document, vous pourriez vouloir inclure dans la version électronique un contenu supplémentaire qui ne devra pas apparaître dans la version imprimée.</para> <para>Créez une entité paramètre et donnez lui comme contenu <literal>INCLUDE</literal>. Rédigez votre document en utilisant des - sections marquées pour délimiter le contenu qui ne doit apparaître + sections marquées pour délimiter le contenu qui ne doit apparaître que dans la version électronique. Dans ces sections marquées, servez-vous de l'entité paramètre au lieu du mot-clé.</para> @@ -1540,10 +1540,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <example> <title>Utiliser une entité paramètre pour contrôler une section marquée</title> - + <programlisting> <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" [ -<!ENTITY % version.electronique "INCLUDE"> +<!ENTITY % version.electronique "INCLUDE"> ]]> ... @@ -1555,7 +1555,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <para>Pour générer la version imprimée, changez la définition de l'entité en :</para> - + <programlisting> <!ENTiTY % version.electronique "IGNORE"></programlisting> @@ -1584,7 +1584,7 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> <title>Exemple d'utilisation des sections marquées</title> </head> - <body> + <body> <p>Ce paragraphe <![ CDATA [contient de nombreux caractères < (< < < < <) il est donc plus facile de l'inclure dans une section marquée @@ -1600,10 +1600,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> sorties.</p> <p>Cela dépend de l'entité paramètre - <![CDATA[%sortie.texte]]>.</p> + <![CDATA[%sortie.texte]]>.</p> ]]> </body> -</html></programlisting> +</html></programlisting> </step> <step> @@ -1622,10 +1622,10 @@ PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0//EN" "4.0/strict.dtd"</programlisting> </procedure> </sect2> </sect1> - + <sect1> <title>Conclusion</title> - + <para>Ici se termine cette introduction à SGML. Pour des raisons de place et de complexité, de nombreux points ont été survolés (voire omis). Les sections qui précédent décrivent néanmoins suffisamment d'éléments diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/stylesheets/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/stylesheets/chapter.sgml index ed891de47e..d88cf1992b 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/stylesheets/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/stylesheets/chapter.sgml @@ -32,24 +32,24 @@ --> <chapter id="stylesheets"> - + <title>* Feuilles de style</title> <para>SGML ne décrit pas comment un document doit être affiché ou imprimé. A cet effet, différents langages ont été conçus pour définir des feuilles de style, dont DynaText, Panorama, SPICE, JSSS, FOSI, CSS, et DSSSL.</para> - + <para>Pour DocBook, nous utilisons des feuilles de style écrites en DSSSL. Pour le HTML, nous utilisons CSS.</para> <sect1> <title>* DSSSL</title> - + <para>Le Projet de Documentation utilise une version un minimum personnalisée des feuilles de style DocBook modulaires de Norm Walsh.</para> - + <para>Vous les trouverez dans <filename>textproc/dsssl-docbook-modular</filename>.</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-faq/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-faq/chapter.sgml index 9e42aaa730..ad0c1b1207 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-faq/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-faq/chapter.sgml @@ -33,6 +33,6 @@ <chapter id="the-faq"> <title>* La Foire Aux Questions</title> - + <para></para> </chapter> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-handbook/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-handbook/chapter.sgml index 5a7bb3e533..ea476b2747 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-handbook/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/the-handbook/chapter.sgml @@ -33,13 +33,13 @@ <chapter id="the-handbook"> <title>* Le Manuel de Référence</title> - + <sect1> <title>Organisation logique</title> <para>Le Manuel de Référence est rédigé en conformité avec la DTD DocBook étendue de FreeBSD.</para> - + <para>Le Manuel de Référence est un <sgmltag>book</sgmltag> DocBook. Il est ensuite divisé en <sgmltag>part</sgmltag>s, qui contiennent elles-mêmes plusieurs <sgmltag>chapter</sgmltag>s. Les @@ -48,10 +48,10 @@ (<sgmltag>sect2</sgmltag>, <sgmltag>sect3</sgmltag>) et ainsi de suite.</para> </sect1> - + <sect1> <title>Organisation physique</title> - + <para>Le Manuel de Référence (et ses traductions) sont dans le sous-répertoire <filename>doc/<replaceable>langue</replaceable>/handbook</filename> @@ -59,7 +59,7 @@ code ISO pour la langue, <literal>en</literal>, pour l'Anglais, <literal>ja</literal> pour le Japonais, et ainsi de suite.</para> - <para>Il y a un certain nombre de fichiers et répertoires dans le + <para>Il y a un certain nombre de fichiers et répertoires dans le répertoire <filename>handbook</filename>.</para> <note> @@ -85,7 +85,7 @@ <title><filename>handbook.sgml</filename></title> <para>C'est la racine du Manuel de Référence. Il contient la - <link linkend="sgml-primer-doctype-declaration">déclaration + <link linkend="sgml-primer-doctype-declaration">déclaration DOCTYPE</link> du Manuel, ainsi que les éléments qui décrivent sa structure.</para> @@ -106,7 +106,7 @@ <literal>id</literal> de l'élément <sgmltag>chapter</sgmltag>.</para> <para>Si par exemple, un des chapitres contient :</para> - + <programlisting><![ CDATA [ <chapter id="kernelconfiguration"> ... @@ -115,7 +115,7 @@ <para>il s'appelera alors <filename>chapter.sgml</filename> dans le répertoire <filename>kernelconfiguration</filename>. Habituellement, il y aura un seul fichier pour tout le chapitre.</para> - + <para>A la génération de la version HTML du Manuel, on obtiendra un <filename>kernelconfiguration.html</filename>. C'est dû à la valeur du <literal>id</literal>, et non au nom du répertoire.</para> @@ -148,13 +148,13 @@ fichiers (à moins que des chapitres entiers ne changent de niveau dans la hiérarchie).</para> </important> - + <para>Chaque fichier <filename>chapter.sgml</filename> n'est pas un document SGML intégral. Ils n'ont en particulier pas de déclaration DOCTYPE en tête du fichier.</para> - + <para>C'est dommage pour deux raisons :</para> - + <itemizedlist> <listitem> <para>Il n'est pas possible de les traiter comme des fichiers SGML @@ -163,7 +163,7 @@ recompiler tout le Manuel chaque fois que vous voulez vérifier les effets d'une modification d'un seul chapitre.</para> </listitem> - + <listitem> <para>Le <literal>sgml-mode</literal> d'Emacs ne peut pas s'en servir pour déterminer quelle DTD utiliser, ce qui fait perdre les @@ -212,7 +212,7 @@ <programlisting> <![ CDATA [+--- C'est la colonne 0 - + <chapter> <title>...</title> @@ -230,7 +230,7 @@ chaque marque de fin la décrémente d'autant. Le contenu des éléments doit être indenté de 2 blancs s'il court sur plusieurs lignes.</para> - ... + ... </sect2> </sect1> </chapter>]]></programlisting> @@ -248,8 +248,8 @@ <para>Quand vous intégrez des modifications, <emphasis>ne faites pas en même temps de modification de contenu et de présentation des sources</emphasis>.</para> - - <para>Cela pour que les équipes de traductions du Manuel puissent + + <para>Cela pour que les équipes de traductions du Manuel puissent rapidement voir les modifications de contenu que vous avez intégrées, sans avoir à se demander si une ligne a changé de contenu ou simplement de présentation.</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/tools/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/tools/chapter.sgml index 2d17de6e99..253edad48b 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/tools/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/tools/chapter.sgml @@ -46,7 +46,7 @@ <para>Tous ces outils existent sous forme de logiciels portés ou pré-compilés pour FreeBSD, ce qui vous simplifie beaucoup la tâche de leur installation.</para> - + <para>Vous devrez les installer avant de mettre en pratique les exemples donnés dans les chapitres suivants. Ces chapitres vous expliquent comment vous servir de ces outils.</para> @@ -90,47 +90,47 @@ <sect2> <title>Logiciels</title> - + <para>Vous aurez besoin de ces programmes avant de pouvoir utilement travailler sur la documentation de FreeBSD. Ils font tous partie de <filename>textproc/docproj</filename>.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term><application>SP</application> (<filename>textproc/sp</filename>)</term> - + <listitem> <para>Une série d'applications, dont un analyseur syntaxique SGML et un outil de normalisation du source SGML.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><application>Jade</application> (<filename>textproc/jade</filename>)</term> - + <listitem> <para>Une implémentation des DSSSL. Cela sert à convertir des documents marqués vers d'autres formats, dont HTML et TeX.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><application>Tidy</application> (<filename>www/tidy</filename>)</term> - + <listitem> <para>Un formateur HTML, qui sert à remettre en forme le code HTML généré automatiquement pour qu'il soit plus lisible.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><application>Lynx</application> (<filename>www/lynx-current</filename>)</term> - + <listitem> <para>Navigateur WWW en mode texte, &man.lynx.1; peut aussi convertir des fichiers HTML en fichiers texte.</para> @@ -144,32 +144,32 @@ <para>Ce sont les DTDs et jeux d'entités utilisés par le FDP. Il faut les installer avant de pouvoir travailler à la documentation.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term>DTD HTML (<filename>textproc/html</filename>)</term> - + <listitem> <para>HTML est le langage principal du <foreignphrase>World Wide Web</foreignphrase>, il est utilisé constamment par le site Web de FreeBSD.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term>DTD LinuxDoc (<filename>textproc/linuxdoc</filename>)</term> - + <listitem> <para>Une partie de la documentation de FreeBSD est marquée avec LinuxDoc. Le FDP migre activement de LinuxDoc à DocBook.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term>DTD DocBook (<filename>textproc/docbook</filename>)</term> - + <listitem> <para>DocBook est conçu pour le marquage de documentation technique et le FDP est en cours de migration de LinuxDoc à @@ -178,11 +178,11 @@ DocBook.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term>Entités ISO 8879 (<filename>textproc/iso8879</filename>)</term> - + <listitem> <para>19 de jeux de caractères ISO 8879:1986 utilisés par de nombreuses DTDs. Cela comprend des symboles mathématiques @@ -200,12 +200,12 @@ <para>Les feuilles de style sont utilisées pour convertir et formater la documentation pour l'affichage à l'écran, l'impression, et ainsi de suite.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term>Les <foreignphrase>Modular DocBook Stylesheets</foreignphrase> (<filename>textproc/dsssl-docbook-modular</filename>)</term> - + <listitem> <para>Les <foreignphrase>Modular DocBook Stylesheets</foreignphrase> sont utilisées pour convertir la @@ -227,14 +227,14 @@ <sect2> <title>Logiciels</title> - + <variablelist> <varlistentry> <term><application>JadeTeX</application> et <application>teTeX</application> (<filename>print/jadetex</filename> et <filename>print/teTeX</filename>)</term> - + <listitem> <para><application>Jade</application> et <application>teTeX</application> servent à convertir les @@ -261,13 +261,13 @@ </important> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><application>Emacs</application> ou - <application>xemacs</application> + <application>xemacs</application> (<filename>editors/emacs</filename> ou <filename>editors/xemacs</filename>)</term> - + <listitem> <para>Ces deux éditeurs ont un mode spécialisé pour travailler sur des documents marqués conformément à une DTD SGML. Cela vous @@ -281,7 +281,7 @@ </listitem> </varlistentry> </variablelist> - + <para>Si quelqu'un a d'autres outils utiles pour manipuler des documents SGML, merci de transmettre l'information à Nik Clayton (nik@freebsd.org), de façon à ce qu'il les ajoute à cette diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/translations/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/translations/chapter.sgml index 7cb330528d..e7b2abfb7c 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/translations/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/translations/chapter.sgml @@ -34,13 +34,13 @@ <chapter id="translations"> <title>Traductions</title> - <para>Ceci est la Foire aux Questions pour les gens qui traduisent la + <para>Ceci est la Foire aux Questions pour les gens qui traduisent la documentation de FreeBSD (FAQ, Manuel de Référence, guides, pages de manuel et autres) en différentes langues.</para> - - <para>Elle est <emphasis>très</emphasis> largement basée sur la FAQ du + + <para>Elle est <emphasis>très</emphasis> largement basée sur la FAQ du Projet Allemand de Documentation de FreeBSD, rédigée à l'origine par - Frank Grnder <email>elwood@mc5sys.in-berlin.de</email> et traduite en + Frank Grnder <email>elwood@mc5sys.in-berlin.de</email> et traduite en Anglais par Bernd Warken <email>bwarken@mayn.de</email>.</para> <para>Nik Clayton <email>nik@FreeBSD.org</email> maintient cette FAQ.</para> @@ -62,10 +62,10 @@ <qandaentry> <question> - <para>Que signfient <phrase>i18n</phrase> et + <para>Que signfient <phrase>i18n</phrase> et <phrase>l10n</phrase> ?</para> </question> - + <answer> <para><phrase>i18n</phrase> veut dire <phrase>internationalisation</phrase> et <phrase>l10n</phrase> @@ -86,7 +86,7 @@ </question> <answer> - <para>Oui, <email>freebsd-translate@ngo.org.uk</email>. Inscrivez-vous + <para>Oui, <email>freebsd-translate@ngo.org.uk</email>. Inscrivez-vous en envoyant un message à <email>freebsd-translate-request@ngo.org.uk</email> avec le mot <literal>subscribe</literal> dans le texte du message.</para> @@ -118,7 +118,7 @@ </question> <answer> - <para>Oui. Plus il y a de gens qui travaillent aux traductions, plus + <para>Oui. Plus il y a de gens qui travaillent aux traductions, plus vite elles sont réalisées, et synchronisées avec les modifications de la version anglaise.</para> @@ -142,7 +142,7 @@ traduction espagnole de la FAQ.</para> </answer> </qandaentry> - + <qandaentry> <question> <para>Quels logiciels faut-il que je connaisse ?</para> @@ -186,12 +186,12 @@ les aider.</para> <para>S'il la page n'indique personne qui travaille dans votre langue, - envoyez un message à la &a.doc; au cas où quelqu'un aurait déjà + envoyez un message à la &a.doc; au cas où quelqu'un aurait déjà envisagé de commencer une traduction, mais que ne ce soit pas encore signalé.</para> </answer> </qandaentry> - + <qandaentry> <question> <para>Il n'y a personne d'autre qui traduise dans ma langue. Que @@ -220,10 +220,10 @@ <para>S'il y a déjà dans votre pays quelqu'un qui maintienne un site miroir de FreeBSD, vous devriez le contacter et voir s'il peut vous - fournir un hébergement pour votre projet et, si possible, une + fournir un hébergement pour votre projet et, si possible, une adresse de courrier électronique et la possibilité de mettre en place une liste de diffusion.</para> - + <para>Choisissez ensuite une documentation et commencez la traduction. Il vaut mieux commencer par quelque chose de pas trop volumineux—soit la FAQ, soit l'un des guides.</para> @@ -243,7 +243,7 @@ seront décrites dans ses pages Web.</para> <para>Si vous êtes la seule personne à travailler dans une langue - donnée (ou si vous êtes responsable d'un projet de traduction et + donnée (ou si vous êtes responsable d'un projet de traduction et voulez soumettre votre travail au Projet FreeBSD), vous devez alors l'envoyer au Projet FreeBSD (voir la question suivante).</para> </answer> @@ -262,7 +262,7 @@ <answer> <para>Commencez par vérifier que vos traductions sont correctement - structurées. C'est-à-dire qu'elles doivent s'intégrer à + structurées. C'est-à-dire qu'elles doivent s'intégrer à l'arborescence des documentations existantes et compiler sans problèmes.</para> @@ -274,7 +274,7 @@ versions de FreeBSD postérieures au 20 Janvier 1999).</para> <para>S'il ya a différentes codifications pour votre langue - (le Chinois,par exemple), il y aura au niveau en-dessous plusieurs + (le Chinois,par exemple), il y aura au niveau en-dessous plusieurs sous-répertoires, un pour chacun des formats de codage que vous aurez fournis.</para> @@ -286,7 +286,7 @@ <programlisting> doc/ sv/ - Makefile + Makefile FAQ/ Makefile *.sgml</programlisting> @@ -317,7 +317,7 @@ &man.send-pr.1; pour envoyer un rapport signalant que vous avez soumis de la documentation. Il serait très utile que d'autres puissent relire votre traduction d'abord, parce qu'il y a peu de - chances que la personne qui l'intégrera connaisse bien votre + chances que la personne qui l'intégrera connaisse bien votre langue.</para> <para>Quelqu'un (probablement le Responsbale du Projet de @@ -335,17 +335,17 @@ <para><command>make all</command> fonctionne-t-il correctement dans le répertoire <filename>sv</filename>.</para> </listitem> - + <listitem> <para><command>make install</command> fonctionne-t-il correctement.</para> </listitem> </orderedlist> - + <para>S'il y a des problèmes, la personne qui examine votre soumission vous en fera part pour que vous essayiez de les régler.</para> - <para>S'il n'y a pas de problèmes, votre traduction sera intégrée + <para>S'il n'y a pas de problèmes, votre traduction sera intégrée aussi vite que possible.</para> </answer> </qandaentry> @@ -364,7 +364,7 @@ en Corée dans votre Manuel.</para> <para>Il n'y a pas vraiment de raison pour que cette information - ne soit pas aussi présente dans la version anglaise (ou allemande, + ne soit pas aussi présente dans la version anglaise (ou allemande, espagnole, …). Il se peut qu'un anglophone ait besoin d'un exemplaire de FreeBSD alors qu'il se trouve en Corée. Cela permet aussi de mettre en avant la pénétration de FreeBSD dans le monde @@ -385,7 +385,7 @@ <para>Comment faut-il coder les caractères propres à une langue ?</para> - <para>Dans les documentations, les caractères Non-ASCII doivent + <para>Dans les documentations, les caractères Non-ASCII doivent apparaître sous forme d'entités SGML.</para> <para>Brièvement, celles-ci sont constituées d'une perluette (&), @@ -403,7 +403,7 @@ <segtitle>L'apparence</segtitle> <segtitle>Définition</segtitle> - + <seglistitem> <seg>&eacute;</seg> <seg>é</seg> @@ -477,7 +477,7 @@ <para>Vous devrez aussi ajouter une troisième ligne qui donne la version anglaise d'origine sur laquelle est basée la traduction.</para> - + <para>Donc, la version espagnole du présent fichier commencerait par :</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/writing-style/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/writing-style/chapter.sgml index 29d7633c46..52cd005e70 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/writing-style/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/fdp-primer/writing-style/chapter.sgml @@ -37,11 +37,11 @@ <para>Pour conserver une certaine cohérence entre le travail des nombreux rédacteurs de la documentation de FreeBSD, on a défini quelques règles à suivre.</para> - + <variablelist> <varlistentry> <term>N'utilisez pas de formes contractées</term> - + <listitem> <para>N'utilisez pas de formes contractées. Utilisez toujours les mots entiers. “<foreignphrase>Don't use @@ -53,38 +53,38 @@ précis, et facilite la tâche des traducteurs.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term>Utilisez la virgule dans les énumérations</term> - + <listitem> <para>Dans une énumération au sein d'un paragraphe, séparez avec des virgules les éléments les uns des autres. Mettez aussi un virgule et la conjonction “et” avant le dernier élément.</para> <para>Examinez par exemple la phrase suivante :</para> - + <blockquote> <para>C'est une liste d'un, deux et trois éléments.</para> </blockquote> - + <para>Est-ce une liste de trois éléments, “un”, “deux”, et “trois”, ou une liste de deux éléments, “un” et “deux et trois” ?</para> - + <para>Il vaut mieux être explicite et ajouter la dernière virgule :</para> - + <blockquote> <para>C'est une liste d'un, deux, et trois éléments.</para> </blockquote> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term>Evitez les redondances</term> - + <listitem> <para>Evitez les redondances. En particulier, “la commande”, “le fichier”, et “man @@ -92,39 +92,39 @@ <para>Voici deux exemples pour ce qui concerne les commandes. Il est préférable d'utiliser le second.</para> - + <informalexample> <para>Utilisez la commande <command>cvsup</command> pour mettre à jour vos sources.</para> </informalexample> - + <informalexample> <para>Utilisez <command>cvsup</command> pour mettre à jour vos sources.</para> </informalexample> - + <para>Voici deux exemples pour ce qui concerne les noms de fichiers. Il est préférable d'utiliser le second.</para> - + <informalexample> <para>… dans le fichier <filename>/etc/rc.local</filename>…</para> </informalexample> - + <informalexample> <para>… dans <filename>/etc/rc.local</filename>…</para> </informalexample> - + <para>Voici enfin deux exemples pour les références aux pages de manuel. Il est préférable d'utiliser le second (il emploie <sgmltag>citerefentry</sgmltag>).</para> - + <informalexample> <para>Voyez <command>man csh</command> pour plus d'information.</para> </informalexample> - + <informalexample> <para>Voyez &man.csh.1;</para> </informalexample> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/Makefile index 83f55837ae..06a317db06 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/Makefile @@ -15,7 +15,7 @@ # fingerprints by default. If you would like for the # entire key to be displayed, then set this variable. # This option has no affect on the HTML formats. -# +# # Handbook-specific targets # # pgpkeyring This target will read the contents of diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/advanced-networking/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/advanced-networking/chapter.sgml index 83f7bf76c9..43c3a78be9 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/advanced-networking/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/advanced-networking/chapter.sgml @@ -1357,7 +1357,7 @@ linuxemu/chapter.sgml --> (extension <filename>.INF</filename>).</para> </listitem> </orderedlist> - + <para>Vous aurez besoin de compiler le module d'interface du mini-pilote &man.ndis.4;. En tant que <username>root</username>:</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/basics/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/basics/chapter.sgml index 7cb9582f7c..c5b319661a 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/basics/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/basics/chapter.sgml @@ -2792,7 +2792,7 @@ Swap: 256M Total, 38M Used, 217M Free, 15% Inuse pour les développeurs mais le mécanisme de bibliothèques partagées basé sur des tables de sauts inflexible. Puisque les outils <acronym>ELF</acronym> - disponibles offraient une solution au problème + disponibles offraient une solution au problème des bibliothèques partagées et étaient perçus comme “le chemin à suivre” de toute façon, le coût de la migration a été diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/book.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/book.sgml index a79efca496..5e67831f62 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/book.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/book.sgml @@ -153,7 +153,7 @@ </listitem> <listitem> - <para>Vous montreront comment installer la profusion d'applications + <para>Vous montreront comment installer la profusion d'applications tiers disponibles pour FreeBSD.</para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/chapters.ent b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/chapters.ent index 4511d03850..11c9ba463e 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/chapters.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/chapters.ent @@ -1,5 +1,5 @@ <?xml version="1.0" encoding="ISO8859-1"?> -<!-- +<!-- Creates entities for each chapter in the FreeBSD Handbook. Each entity is named chap.foo, where foo is the value of the id attribute on that chapter, and corresponds to the name of the directory in which that diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/config/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/config/chapter.sgml index ce53d71c6c..ef226655e7 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/config/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/config/chapter.sgml @@ -1349,7 +1349,7 @@ tun0: flags=8010<POINTOPOINT,MULTICAST> mtu 1500</screen> </listitem> <listitem> - <para>Elle a un masque de sous-réseau valide + <para>Elle a un masque de sous-réseau valide (<literal>netmask</literal>; <hostid role="netmask">0xffffff00</hostid> est équivalent à <hostid role="netmask">255.255.255.0</hostid>).</para> @@ -1674,7 +1674,7 @@ ifconfig_fxp0_alias7="inet 202.0.75.20 netmask 255.255.255.255"</programlisting> <tgroup cols="2"> <colspec colwidth="1*"/> <colspec colwidth="2*"/> - + <tbody> <row> <entry><filename>/etc</filename></entry> @@ -3190,7 +3190,7 @@ kern.maxvnodes: 100000</screen> par logiciel, effet identique à un:</para> <screen>&prompt.root; <userinput>halt -p</userinput></screen> - + <para>D'autres options sont disponibles via &man.sysctl.8;. Consultez les pages de manuel &man.acpi.4; et &man.acpiconf.8; pour plus d'informations.</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/disks/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/disks/chapter.sgml index 0294c091a2..0ab2eeb6bc 100755 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/disks/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/disks/chapter.sgml @@ -914,7 +914,7 @@ device umass</programlisting> <screen>umass0: USB Solid state disk, rev 1.10/1.00, addr 2 GEOM: create disk da0 dp=0xc2d74850 da0 at umass-sim0 bus 0 target 0 lun 0 -da0: <Generic Traveling Disk 1.11> Removable Direct Access SCSI-2 device +da0: <Generic Traveling Disk 1.11> Removable Direct Access SCSI-2 device da0: 1.000MB/s transfers da0: 126MB (258048 512 byte sectors: 64H 32S/T 126C)</screen> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml index ec3aa319d9..6a759de68d 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml @@ -711,7 +711,7 @@ pqb0.0.1.4.0 PQB0 PCI EIDE</screen> <itemizedlist> <title>Un média local</title> - + <listitem> <para>Un CDROM ou un DVD</para> </listitem> @@ -749,7 +749,7 @@ pqb0.0.1.4.0 PQB0 PCI EIDE</screen> <para>Si vous avez acheté FreeBSD sur CD ou DVD alors vous disposez déjà de ce que vous avez besoin, - et vous devriez passer à la section suivante + et vous devriez passer à la section suivante (<xref linkend="install-floppies"/>).</para> <para>Si vous n'avez pas récupéré les fichiers @@ -2814,7 +2814,7 @@ installation menus to retry whichever operations have failed. [ Yes ] No</screen> <para>Pour configurer un périphérique réseau, - sélectionnez &gui.yes; et appuyez + sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>. Sinon, sélectionnez &gui.no; pour continuer.</para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/introduction/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/introduction/chapter.sgml index c8015aabb7..9911fc345e 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/introduction/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/introduction/chapter.sgml @@ -699,7 +699,7 @@ <para>Le 13 Mars 2000 a vu l'apparition d'une nouvelle branche: la branche 4.X-STABLE. Il y a eu plusieurs versions - jusqu'ici: la 4.0-RELEASE est sortie en Mars 2000, et la + jusqu'ici: la 4.0-RELEASE est sortie en Mars 2000, et la dernière version, la 4.11-RELEASE est sortie en Janvier 2005.</para> @@ -733,7 +733,7 @@ à se faire dans la branche (tronc) 7.X-CURRENT, et des “instantanées” de la 7.X sur CDROM (et, bien sûr, sur le net) sont continuellement mises à disposition - sur le <ulink + sur le <ulink url="ftp://current.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/snapshots/">serveur d'instantané</ulink> pendant l'avancement des travaux.</para> </sect2> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/l10n/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/l10n/chapter.sgml index 218f60db39..f1b15de6e7 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/l10n/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/l10n/chapter.sgml @@ -351,7 +351,7 @@ me:\ :setenv=LC_NUMERIC=zh_TW.Big5:\ :setenv=LC_TIME=zh_TW.Big5:\ :charset=big5:\ - :xmodifiers="@im=gcin": #Set gcin as the XIM Input Server</programlisting> + :xmodifiers="@im=gcin": #Set gcin as the XIM Input Server</programlisting> <para>Voir la <link linkend="adm-setup">configuration au niveau administrateur</link> et la page de manuel diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/mirrors/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/mirrors/chapter.sgml index 382e8e9728..de5be75037 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/mirrors/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/mirrors/chapter.sgml @@ -1108,7 +1108,7 @@ Warning: Permanently added 'anoncvs.freebsd.org' (DSA) to the list of known host d'un fichier <filename>supfile</filename>.</para> <para>Un fichier <filename>supfile</filename> est un fichier - texte. Les commentaires débutent par un + texte. Les commentaires débutent par un <literal>#</literal> et se prolongent jusqu'à la fin de la ligne. Les lignes vides ou qui ne contiennent que des commentaires sont ignorées.</para> @@ -1856,7 +1856,7 @@ doc/zh_*</screen> <para>Logiciels relatifs au DNS.</para> </listitem> </varlistentry> - + <varlistentry> <term><literal>ports-editors release=cvs</literal></term> @@ -2094,7 +2094,7 @@ doc/zh_*</screen> <varlistentry> <term><literal>ports-polish release=cvs</literal></term> - + <listitem> <para>Support pour le polonais.</para> </listitem> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/ppp-and-slip/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/ppp-and-slip/chapter.sgml index eb8005c7d5..09063deca2 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/ppp-and-slip/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/ppp-and-slip/chapter.sgml @@ -1060,7 +1060,7 @@ ng0: flags=88d1<UP,POINTOPOINT,RUNNING,NOARP,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1500 <application>pptp</application> ne vous rendra pas la main.</para> </tip> - + <para>Un périphérique virtuel de tunnel (<devicename>tun</devicename>) sera créé pour la communication entre les processus @@ -1604,7 +1604,7 @@ water.CS.Example localhost.Example. UGH 34 47641234 lo0 - 0.438 <filename>/etc/rc.conf</filename> et positionner la variable <literal>gateway_enable</literal> à <option>YES</option>.</para> - + <para>Vous devrez ensuite redémarrer pour que les nouveaux paramètres prennent effet.</para> @@ -1672,7 +1672,7 @@ water.CS.Example localhost.Example. UGH 34 47641234 lo0 - 0.438 contiendra:</para> <programlisting># -# login local-addr remote-addr mask opt1 opt2 +# login local-addr remote-addr mask opt1 opt2 # (normal,compress,noicmp) # Shelmerg dc-slip sl-helmerg 0xfffffc00 autocomp</programlisting> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/serialcomms/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/serialcomms/chapter.sgml index 181fae0d8f..1ba04304a1 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/serialcomms/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/serialcomms/chapter.sgml @@ -9,7 +9,7 @@ <chapter id="serialcomms"> <title>Serial Communications ** Traduction en Cours **</title> - + <sect1 id="serial-synopsis"> <title>Synopsis</title> <para></para> @@ -18,7 +18,7 @@ <sect1 id="serial"> <title>Introduction</title> <para></para> - + <sect2 id="serial-terminology"> <title>Terminology</title> <para></para> @@ -26,7 +26,7 @@ <sect2 id="serial-cables-ports"> <title>Cables and Ports</title> - + <sect3 id="term-cables"> <title>Cables</title> @@ -40,7 +40,7 @@ <sect1 id="term"> <title>Terminals</title> - + <sect2 id="term-uses"> <title>Uses and Types of Terminals</title> <para></para> @@ -48,8 +48,8 @@ <sect2 id="term-config"> <title>Configuration</title> - - + + <sect3 id="term-etcttys"> <title>Adding an Entry to <filename>/etc/ttys</filename></title> <para></para> @@ -61,18 +61,18 @@ <para></para> </sect3> </sect2> - + <sect2 id="term-debug"> <title>Troubleshooting Your Connection</title> <para></para> </sect2> </sect1> - + <sect1 id="dialup"> <title>Dial-in Service</title> <para></para> </sect1> - + <sect1 id="dialout"> <title>Dial-out Service</title> <para></para> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/x11/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/x11/chapter.sgml index 29c16f0c4e..ff900d6c82 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/x11/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/x11/chapter.sgml @@ -926,7 +926,7 @@ EndSection</programlisting> chemin des polices de caractères. Cela est identique à ce qui est décrit ci-dessus pour les polices <link linkend="type1">Type1</link>, c'est à dire, utiliser</para> - + <screen>&prompt.user; <userinput>xset fp+ /usr/local/lib/X11/fonts/TrueType</userinput> &prompt.user; <userinput>xset fp rehash</userinput></screen> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/Makefile index 6d2fc6ae01..ee458fb168 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/Makefile @@ -1,4 +1,4 @@ -# +# # $FreeBSD$ # Original revision: 1.4 # @@ -14,7 +14,7 @@ FORMATS?= html-split INSTALL_COMPRESSED?= gz INSTALL_ONLY_COMPRESSED?= -# +# # SRCS lists the individual SGML files that make up the document. Changes # to any of these files will force a rebuild # diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/book.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/book.sgml index da82344a96..40f2cdd23a 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/book.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/porters-handbook/book.sgml @@ -38,37 +38,37 @@ <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> <abstract> - <para>N.d.T.: La version française est publiée sur le - <ulink url="http://www.freebsd-fr.org/">serveur World Wide Web du groupe - de traduction en langue française de la documentation de + <para>N.d.T.: La version française est publiée sur le + <ulink url="http://www.freebsd-fr.org/">serveur World Wide Web du groupe + de traduction en langue française de la documentation de FreeBSD</ulink>.</para> - <para>N.d.T.: Contactez la &a.fr-doc; si vous voulez collaborer à - la traduction.</para> - &trans.a.gioria; + <para>N.d.T.: Contactez la &a.fr-doc; si vous voulez collaborer à + la traduction.</para> + &trans.a.gioria; </abstract> </bookinfo> <chapter id="why-port"> <title>Introduction</title> - &trans.a.gioria; - + &trans.a.gioria; + <para>La collection des ports de &os; est la méthode la plus employée pour installer des applications sous &os;. Comme tout dans &os;, elle est basée sur un principe de volontariat. Ceci est très important a retenir tout au long de la lecture de ce document. </para> - <para>Dans &os;, n'importe qui peut soumettre un nouveau port, ou - se porter volontaire à la maintenance d'un port sans - propriétaire—vous n'avez pas besoin de disposer de + <para>Dans &os;, n'importe qui peut soumettre un nouveau port, ou + se porter volontaire à la maintenance d'un port sans + propriétaire—vous n'avez pas besoin de disposer de privilèges d'écriture CVS pour le faire.</para> - + </chapter> <chapter id="own-port"> <title>Créez vous même votre port</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; <para>Alors, comme cela vous êtes interessé par créer votre propre port ou pour mettre à jour un port existant ? Super !</para> @@ -81,93 +81,93 @@ vous pouvez vous réferer au fichier<filename>/usr/ports/Mk/bsd.port.mk</filename> que tout fichier de Makefiles inclu. Même si vous ne modifiez pas des Makefiles a longueur de journée, ce fichier est bien commenté et vous - apprendrez beaucoup en le lisant. De plus, vous pouvez posez des questions + apprendrez beaucoup en le lisant. De plus, vous pouvez posez des questions spécifiques sur la &a.ports;.</para> <note> - <para>Seule une fraction des variables (<makevar><replaceable>VAR</replaceable></makevar>) + <para>Seule une fraction des variables (<makevar><replaceable>VAR</replaceable></makevar>) qui peuvent êtres remplacées sont mentionnées dans ce document. - La plupart (si ce n'est toutes), sont documentées au début du + La plupart (si ce n'est toutes), sont documentées au début du fichier <filename>/usr/ports/Mk/bsd.port.mk</filename>; celles qui ne le sont pas le seront. Notez aussi que ce fichier n'utilise pas une tabulation standard: - <application>Emacs</application> et <application>Vim</application> devraient - reconnaitre sans problème les valeurs en le chargeant. &man.vi.1; et &man.ex.1; - peuvent eux aussi utiliser la bonne valeur en tapant la commande + <application>Emacs</application> et <application>Vim</application> devraient + reconnaitre sans problème les valeurs en le chargeant. &man.vi.1; et &man.ex.1; + peuvent eux aussi utiliser la bonne valeur en tapant la commande <command>:set tabstop=4</command>, une fois le fichier chargé.</para> </note> </chapter> <chapter id="quick-porting"> <title>Portage simple ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="slow"> <title>Portage complexe ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-masterdir"> <title><makevar>MASTERDIR ** Traduction en Cours **</makevar></title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="shared"> <title>Les versions des librairies partagées ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-manpages"> <title>Pages de manuel ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-motif"> <title>Portage nécessitant Motif ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="x11-fonts"> <title>Polices de caractères X11 ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-info"> <title>Fichiers Info ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; <chapter id="pkg-files"> <title>Les fichiers <filename>pkg-<replaceable>*</replaceable></filename> ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="testing"> <title>Test de votre port ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="port-upgrading"> <title>Mise à jour du port ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-dads"> <title>Bonnes pratiques et mauvaises pratiques ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-samplem"> <title>Example de fichier <filename>Makefile</filename>** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="porting-autoplist"> <title>Création automatique de la packing-liste ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> <chapter id="changes"> <title>Changements sur ce document et le système des ports ** Traduction en Cours **</title> - &trans.a.gioria; + &trans.a.gioria; </chapter> </book> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/Makefile index 0873ce6ac6..4ad17f078f 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/Makefile @@ -5,11 +5,11 @@ # Compilation du Manuel PPP # # -# +# # $FreeBSD$ # Original revision: 1.1 # $Id: Makefile,v 1.1 2002-02-14 14:52:21 gioria Exp $ -# +# # Build the PPP PrimerQ # @@ -22,13 +22,13 @@ FORMATS?= html-split html INSTALL_COMPRESSED?= gz INSTALL_ONLY_COMPRESSED?= -# +# # SRCS lists the individual SGML files that make up the document. Changes # to any of these files will force a rebuild # # SGML content -SRCS= book.sgml +SRCS= book.sgml DOC_PREFIX?= ${.CURDIR}/../../.. diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/book.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/book.sgml index ed5053dee4..d6fc19b3ba 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/book.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/ppp-primer/book.sgml @@ -12,7 +12,7 @@ $FreeBSD$ $Id: book.sgml,v 1.2 2003-02-15 10:13:49 blackend Exp $ Original revision: n.nn ---> +--> <book lang="fr"> <bookinfo> @@ -30,7 +30,7 @@ <releaseinfo>$FreeBSD$</releaseinfo> -<abstract><para>Ce document est un guide pas à pas pour la configuration de FreeBSD dans le cadre de son utilisation +<abstract><para>Ce document est un guide pas à pas pour la configuration de FreeBSD dans le cadre de son utilisation comme routeur/passerelle de connexions à la demande dans un réseau local. Toutes les commandes fonctionnent avec un système FreeBSD 2.2 ou ultérieur, sauf indication contraire.</para> &trans.a.haby; @@ -42,7 +42,7 @@ comme routeur/passerelle de connexions à la demande dans un réseau local. <para>Le protocole de connexion PPP en mode utilisateur de la version 2.2 de FreeBSD (appelé aussi “IIJ-PPP”) supporte maintenant la réécriture de paquets pour les connexions à l'Internet. Cette possibilité, -connue aussi sous le nom de “<emphasis remap="it">Mascarade (Masquerading)</emphasis>”, +connue aussi sous le nom de “<emphasis remap="it">Mascarade (Masquerading)</emphasis>”, “<emphasis remap="it">Alias IP (IP Aliasing)</emphasis>”, ou “<emphasis remap="it">Traduction d'Adresse Réseau (Network Adresse Translation)</emphasis>”, permet à un système FreeBSD d'interagir comme routeur de connexion à la demande entre un réseau local @@ -52,21 +52,21 @@ des informations avec ce dernier.</para> <para>But de ce document</para> <para>Ce document<footnote><para>N.d.T: Si vous souhaitez consulter le document -original en langue anglaise, il se trouve sur +original en langue anglaise, il se trouve sur <ulink url="http://www.FreeBSD.org/tutorials/ppp/ppp.html">http://www.FreeBSD.org/ppp/ppp.html</ulink>.</para></footnote> vous explique comment: <itemizedlist> -<listitem><para>Configurer le système FreeBSD pour permettre les connexions +<listitem><para>Configurer le système FreeBSD pour permettre les connexions vers l'extérieur,</para> </listitem> <listitem> -<para>Partager une seule connexion vers l'extérieur avec les autres +<para>Partager une seule connexion vers l'extérieur avec les autres machines du réseau,</para> </listitem> <listitem> -<para>Configurer les machines Windows pour utiliser la machine +<para>Configurer les machines Windows pour utiliser la machine FreeBSD comme passerelle vers l'Internet.</para> </listitem> @@ -74,7 +74,7 @@ FreeBSD comme passerelle vers l'Internet.</para> </para> <para>Bien que l'objectif de ce document soit avant tout d'expliquer comment -configurer la traduction d'adresses IP, il fournit aussi des exemples +configurer la traduction d'adresses IP, il fournit aussi des exemples d'installation et de configuration des autres composants. Chaque section est indépendante et peut être utilisée pour configurer divers aspects d'une passerelle FreeBSD entre plusieurs réseaux.</para> @@ -88,12 +88,12 @@ passerelle FreeBSD entre plusieurs réseaux.</para> utilisé pour fournir des services à la <emphasis>seule</emphasis> machine FreeBSD, il peut aussi servir à en faire une “passerelle” ou “routeur” entre les autres dispositifs reliés au réseau local -et l'Internet ou tout autre service connecté.</para> +et l'Internet ou tout autre service connecté.</para> <sect1> <title>Topologie classique du réseau</title> -<para>Ce document s'applique à un réseau local dont la +<para>Ce document s'applique à un réseau local dont la topologie est - classiquement - la suivante:</para> <programlisting> @@ -120,27 +120,27 @@ topologie est - classiquement - la suivante:</para> <title>Hypothèses sur le réseau local</title> <para>Pour les besoins de notre exemple, nous supposerons que :</para> -<para>Il y a trois stations et un serveur reliés par le réseau Ethernet +<para>Il y a trois stations et un serveur reliés par le réseau Ethernet local: <itemizedlist> <listitem> -<para>un serveur FreeBSD (“Curly”) avec un contrôleur +<para>un serveur FreeBSD (“Curly”) avec un contrôleur Ethernet NE-2000 configuré sur “ed0”,</para> </listitem> <listitem> -<para>une station de travail Windows 95 (“Larry”) avec +<para>une station de travail Windows 95 (“Larry”) avec les pilotes TCP/IP 32-bits natifs de Microsoft,</para> </listitem> <listitem> -<para>une station de travail Windows for Workgroups +<para>une station de travail Windows for Workgroups (“Larry”) avec les extension TCP/IP 16-bits de Microsoft,</para> </listitem> <listitem> -<para>une station de travail Windows NT (“Larry”) avec +<para>une station de travail Windows NT (“Larry”) avec les pilotes TCP/IP 32-bits natifs de Microsoft.</para> </listitem> @@ -148,7 +148,7 @@ les pilotes TCP/IP 32-bits natifs de Microsoft.</para> </para> <para>Les adresses IP du réseau Ethernet sur lequel se base notre exemple -ont été attribuées dans l'espace d'adresses privées défini par la RFC-1597, +ont été attribuées dans l'espace d'adresses privées défini par la RFC-1597, comme suit:</para> <!-- Mise en forme remise à l'identique du PPP-Primer--> <!-- FP le 19/04/2001 @@ -204,11 +204,11 @@ Nom Adresse IP FP le 19/04/2001 --> (<filename>/dev/cuaa0</filename> ou <emphasis remap="tt">COM1:</emphasis> selon la -terminologie DOS) de la machine FreeBSD.</para> +terminologie DOS) de la machine FreeBSD.</para> <para>Enfin, nous supposerons que notre fournisseur d'accès Internet nous fournit automatiquement les adresses IP des deux extrémités de la liaison PPP (point à point) : celle de notre machine FreeBSD et celle de la machine du côté -du fournisseur (adressage dynamique). Les détails de configuration de la +du fournisseur (adressage dynamique). Les détails de configuration de la connexion de la machine FreeBSD à l'extérieur sont donnés dans le chapître 2, "Configuration du système FreeBSD".</para> </sect1> @@ -224,7 +224,7 @@ au réseau local de notre exemple:</para> <itemizedlist> <listitem> -<para>Son nom de machine (<filename>hostname</filename>), +<para>Son nom de machine (<filename>hostname</filename>), “Curly” dans notre exemple,</para> </listitem> @@ -237,7 +237,7 @@ au réseau local de notre exemple:</para> et les adresses IP des autres machines du réseau).</para> </listitem> -</itemizedlist> +</itemizedlist> </para> <para>Si vous avez installé FreeBSD via une connexion réseau, il @@ -267,9 +267,9 @@ paraît correct (c'est très subjectif :-), vous pouvez passer au paragraphe <para>Dans notre exemple, le résultat de la commande <command>hostname</command> devrait être “curly.my.domain” si le nom de la machine a été -correctement défini à l'installation, ou ensuite. (A ce stade, ne vous +correctement défini à l'installation, ou ensuite. (A ce stade, ne vous préoccupez pas du suffixe “.my.domain”, nous verrons cela par la -suite. Ce qui compte maintenant est le nom qui précède le premier +suite. Ce qui compte maintenant est le nom qui précède le premier “.”)</para> <para>Si le nom de machine n'a pas été défini à l'installation, la réponse de @@ -291,7 +291,7 @@ correctement! Soyez prudents !</para> </note> <para>Le nom de machine du système FreeBSD est défini au démarrage par le -fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur par défaut +fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur par défaut (“ee”) pour éditer ce fichier.</para> <para>Sous une session “root”, visualisez le fichier dans l'éditeur @@ -339,11 +339,11 @@ hostname="curly.my.domain" # Set this! </informalexample> </para> -<para>Une fois la modification faite, appuyez sur la touche -<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de -l'éditeur. Choisissez +<para>Une fois la modification faite, appuyez sur la touche +<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de +l'éditeur. Choisissez “leave editor” (quitter l'éditeur) et sélectionnez bien l'option -“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question +“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question vous est posée.</para> @@ -357,11 +357,11 @@ vous est posée.</para> “ed0”. C'est la valeur par défaut pour les contrôleurs NE-1000, NE-2000, WD/SMC modèles 8003, 8013 et Elite Ultra (8216).</para> -<para>Les fichiers d'interface d'autres modèles de contrôleurs peuvent -avoir d'autres noms sous FreeBSD. Si vous n'êtes pas certain du nom -correspondant à votre contrôleur, consultez les Questions Fréquemment Posées +<para>Les fichiers d'interface d'autres modèles de contrôleurs peuvent +avoir d'autres noms sous FreeBSD. Si vous n'êtes pas certain du nom +correspondant à votre contrôleur, consultez les Questions Fréquemment Posées à propos de -FreeBSD (“FAQ”) et substituez la bonne +FreeBSD (“FAQ”) et substituez la bonne <!-- Ajout d'une liste de valeurs FP le 19/04/2001 --> valeur (par ex.: '<emphasis remap="tt">de0</emphasis>','<emphasis remap="tt">zp0</emphasis>', ou équivalent) dans les exemples @@ -376,7 +376,7 @@ votre système FreeBSD), utilisez la commande suivante:</para> <prompt>#</prompt> <userinput>ifconfig -a</userinput> </screen> -<para>Soit en clair: "Donnes-moi la <acronym>CONFIG</acronym>uration des <emphasis remap="bf">I</emphasis>nter<emphasis remap="bf">F</emphasis>aces de mes +<para>Soit en clair: "Donnes-moi la <acronym>CONFIG</acronym>uration des <emphasis remap="bf">I</emphasis>nter<emphasis remap="bf">F</emphasis>aces de mes périphériques réseau."</para> <para>Par exemple: @@ -400,12 +400,12 @@ inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000 <para>Sur cet exemple, les périphériques suivants sont reconnus :</para> <itemizedlist> <listitem> -<para><filename>ed0</filename>: l'interface +<para><filename>ed0</filename>: l'interface Ethernet,</para> </listitem> <listitem> -<para><filename>lp0</filename>: l'interface parallèle +<para><filename>lp0</filename>: l'interface parallèle (que nous n'utiliserons pas ici),</para> </listitem> @@ -414,19 +414,19 @@ Ethernet,</para> </listitem> <listitem> -<para><filename>ppp0</filename>: un autre interface PPP -(pour le module <command>ppp</command> intégré au noyau, que n'utiliserons pas +<para><filename>ppp0</filename>: un autre interface PPP +(pour le module <command>ppp</command> intégré au noyau, que n'utiliserons pas ici),</para> </listitem> <listitem> -<para><filename>lo0</filename>: l'interface +<para><filename>lo0</filename>: l'interface "en boucle" - "loopback" - que nous n'utiliserons pas non plus).</para> </listitem> </itemizedlist> -<para>Dans l'exemple, l'interface “ed0” est active +<para>Dans l'exemple, l'interface “ed0” est active (“UP”) et fonctionne (“RUNNING”). Les indications importantes sont: <orderedlist> @@ -441,12 +441,12 @@ cas: 192.168.1.1,</para> </listitem> <listitem> -<para>Elle a un masque de sous-réseau (“netmask”; +<para>Elle a un masque de sous-réseau (“netmask”; 0xffffff00 qui équivaut à 255.255.255.0) correct,</para> </listitem> <listitem> -<para>Elle a une adresse de diffusion (“broadcast”; +<para>Elle a une adresse de diffusion (“broadcast”; ici, 192.168.1.255) valide.</para> </listitem> @@ -469,8 +469,8 @@ ether 01:02:03:04:05:06 <para>c'est que cette interface n'est pas encore configurée.</para> -<para>Si l'interface Ethernet est déjà configurée, vous pouvez passer -directement au paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des +<para>Si l'interface Ethernet est déjà configurée, vous pouvez passer +directement au paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>. Sinon, continuez en séquence.</para> @@ -488,8 +488,8 @@ a de fortes chances que votre système <emphasis>ne redémarre</emphasis> pas correctement! Soyez prudents !</para> </note> -<para>Les paramètres de configuration des interfaces réseau sont définis au -démarrage par le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur +<para>Les paramètres de configuration des interfaces réseau sont définis au +démarrage par le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Utilisez l'éditeur par défaut (“ee”) pour éditer ce fichier.</para> <para>Sous une session “root”, visualisez le fichier dans l'éditeur @@ -500,8 +500,8 @@ avec la commande:</para> </userinput> </para> -<para>Vers la vingtième ligne environ du fichier, se trouve la section qui -définit quelles interfaces réseau doivent être mises en service au +<para>Vers la vingtième ligne environ du fichier, se trouve la section qui +définit quelles interfaces réseau doivent être mises en service au démarrage. Le fichier de configuration par défaut contient la ligne :</para> <programlisting> @@ -529,7 +529,7 @@ network_interfaces="lo0 ed0" # List of network interfaces (lo0 is loopback) déjà un référence à votre carte Ethernet. Dans ce cas, assurez vous que son nom soit correct.</para> -<para>Les lignes qui suivent celles où sont listées les interfaces à mettre en +<para>Les lignes qui suivent celles où sont listées les interfaces à mettre en service décrivent les paramètres de chacune de ces interfaces. Dans le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename> par défaut, il n'y a qu'un seule ligne qui dit:</para> @@ -544,15 +544,15 @@ votre interface “ed0”.</para> <!-- Modif de tag FP le 19/04/2001--> “<literal>ifconfig_ed0=</literal>” existe peut-être déjà. Vérifiez alors qu'elle contienne bien les bonnes valeurs.</para> -<para>En nous référant à notre exemple, nous insérerons la ligne suivante, -immédiatement après la définition de l'interface +<para>En nous référant à notre exemple, nous insérerons la ligne suivante, +immédiatement après la définition de l'interface “en boucle”:</para> <programlisting> ifconfig_ed0="inet 192.168.1.1 netmask 255.255.255.0" </programlisting> -<para>Après modification, cette section du fichier +<para>Après modification, cette section du fichier <filename>/etc/rc.conf</filename> doit ressembler à:</para> <programlisting> --- @@ -563,11 +563,11 @@ ifconfig_ed0="inet 192.168.1.1 netmask 255.255.255.0" </programlisting> <para>Un fois que vous avez fait toutes les modifications nécessaires, -appuyez sur la touche -<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de -l'éditeur. Choisissez +appuyez sur la touche +<keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de +l'éditeur. Choisissez “leave editor” (quitter l'éditeur) et sélectionnez bien l'option -“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question +“save changes” (enregistrer les modifications) quand la question vous est posée.</para> </sect2> @@ -576,7 +576,7 @@ vous est posée.</para> <sect1> <title>Autoriser la transmission de paquets</title> -<para>Par défaut, FreeBSD n'active pas le transmission de paquets +<para>Par défaut, FreeBSD n'active pas le transmission de paquets entre les différentes interfaces réseau d'une machine. En d'autres termes, les fonctions de routage (aussi appelées de passerelle) ne sont pas disponibles.</para> @@ -584,7 +584,7 @@ ne sont pas disponibles.</para> <para>Si vous voulez utiliser le programme <command>ppp</command> comme poste Internet autonome et non comme passerelle entre le réseau local et votre fournisseur d'accès à Internet, vous pouvez -passer directement au paragraphe +passer directement au paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>.</para> <para>Si vous voulez utiliser le programme <command>ppp</command> @@ -592,7 +592,7 @@ pour connecter à la fois votre machine FreeBSD (pour servir de routeur) et les autres postes du réseau local, vous devez autoriser la transmission de paquets IP.</para> -<para>Pour cela, vous devez éditer le fichier +<para>Pour cela, vous devez éditer le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Visualisez le fichier dans l'éditeur avec la commande:</para> <para> @@ -617,7 +617,7 @@ gateway_enable="YES" # Set to YES if the host will be a gateway </para> <para>et quittez l'éditeur (en enregistrant vos modifications!).</para> <note> -<para>Cette ligne contient peut-être déjà +<para>Cette ligne contient peut-être déjà <command>gateway_enable="YES"</command> si la transmission de paquets IP a été autorisée au moment de l'installation du système FreeBSD.</para> @@ -625,17 +625,17 @@ du système FreeBSD.</para> </sect1> <sect1 id="list-lan-hosts"> -<title>Renseigner la liste des autres machines du réseau +<title>Renseigner la liste des autres machines du réseau (<filename>/etc/hosts</filename>)</title> <para>La dernière étape de la configuration du réseau local vu de la machine FreeBSD consiste à créer la liste des noms et des adresses TCP/IP des différentes machines raccordées au réseau local. Cette liste est définie dans le fichier <filename>/etc/hosts</filename>.</para> -<para>Par défaut, ce fichier ne contient qu'une ligne: le nom et l'adresse +<para>Par défaut, ce fichier ne contient qu'une ligne: le nom et l'adresse de l'interface “en boucle”. Par convention, ce nom est toujours “localhost” et son adresse 127.0.0.1. (Reportez-vous à l'exemple -de configuration des interfaces au paragraphe +de configuration des interfaces au paragraphe <link linkend="verify-ether-if-config">Contrôler la configuration de l'interface Ethernet</link>.)</para> <para>Pour éditer le fichier <filename>/etc/hosts</filename>, tapez la @@ -656,7 +656,7 @@ réseau de notre exemple) les noms et les adresses IP suivantes:</para> 192.168.1.4 shemp shemp.my.domain # machine Windows NT </programlisting> -<para>(Vous ne devez pas modifier la ligne +<para>(Vous ne devez pas modifier la ligne “<command>127.0.0.1 localhost</command>”.)</para> <para>Une fois que vous avez ajouté ces lignes, appuyez sur la touche <keycap>Echap</keycap> pour aller dans le menu de commandes de @@ -676,7 +676,7 @@ redémarrer votre machine FreeBSD. Cela va faire deux choses importantes: <itemizedlist> <listitem> -<para>Appliquer les modifications de configuration des interfaces, +<para>Appliquer les modifications de configuration des interfaces, et:</para> </listitem> @@ -691,7 +691,7 @@ flagrante.</para> <para>Une fois que le système a redémarré, vous devriez tester vos interfaces réseaux.</para> <sect2> -<title>Vérifier le bon fonctionnement de l'interface +<title>Vérifier le bon fonctionnement de l'interface “en boucle”</title> <para>Pour vérifier que l'interface “en boucle” est correctement @@ -711,7 +711,7 @@ PING localhost.my.domain. (127.0.0.1): 56 bytes </screen> </para> -<para>jusqu'à ce que vous tapiez +<para>jusqu'à ce que vous tapiez <keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>C</keycap></keycombo> pour arrêter ce délire.</para> </sect2> @@ -746,8 +746,8 @@ PING curly.my.domain. (192.168.1.1): 56 bytes <para>Si les noms et les adresses apparaîssent correctement dans les résultats de la commande <command>ping</command> mais que des messages d'erreur sont -affichés, quelque chose ne va pas dans la configuration des interfaces. -Retournez au paragraphe <link linkend="system-config">Contrôler le nom de la machine FreeBSD</link> et +affichés, quelque chose ne va pas dans la configuration des interfaces. +Retournez au paragraphe <link linkend="system-config">Contrôler le nom de la machine FreeBSD</link> et vérifiez de nouveau votre configuration.</para> <para>Si maintenant, tout va bien, passez à la section suivante.</para> @@ -768,7 +768,7 @@ mode “Interactif” et en mode “Automatique”.</para> <itemizedlist> <listitem> -<para>Etablissez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès +<para>Etablissez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès Internet,</para> </listitem> @@ -778,7 +778,7 @@ Internet,</para> </listitem> <listitem> -<para>Coupez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès +<para>Coupez manuellement la connexion avec votre fournisseur d'accès Internet.</para> </listitem> @@ -786,7 +786,7 @@ Internet.</para> </para> <para>En mode Automatique, le programme <command>ppp</command> surveille -silencieusement les opérations du système FreeBSD et se connecte et se +silencieusement les opérations du système FreeBSD et se connecte et se déconnecte automagiquement à votre fournisseur d'accès selon le besoin, intégrant de façon transparente l'Internet à votre réseau.</para> @@ -799,7 +799,7 @@ d'origine</title> <note> <para>Les versions les plus récentes de FreeBSD possèdent des fichiers d'exemple dans <filename>/usr/share/examples/ppp</filename>, aussi, cette étape peut ne pas être nécessaire.</para> </note> - + <para>Avant de modifier les fichiers qu'utilise <command>ppp</command>, il est bon de sauvegarder les fichiers par défaut créés à l'installation de FreeBSD.</para> @@ -813,7 +813,7 @@ procédure ci-dessous:</para> <prompt>#</prompt> cd etc </userinput> </para> -<para>Faites un copie des fichiers d'origine du répertoire +<para>Faites un copie des fichiers d'origine du répertoire <filename>ppp</filename>:</para> <para> @@ -829,7 +829,7 @@ et un répertoire <filename>ppp.ORIGINAL</filename> dans le répertoire </sect1> <sect1> -<title>Créer vos propres fichiers de configuration de +<title>Créer vos propres fichiers de configuration de <command>ppp</command></title> <para>Par défaut, la procédure d'installation de FreeBSD crée un certain @@ -848,7 +848,7 @@ les pages de manuel:</para> </para> <para>Pour plus d'informations sur le langage <command>chat</command>, utilisé -par <command>ppp</command> pour établir la connexion, lisez les pages de +par <command>ppp</command> pour établir la connexion, lisez les pages de manuel:</para> <para> <userinput> @@ -856,22 +856,22 @@ manuel:</para> </userinput> </para> -<para>La suite de cette section décrit le contenu recommandé des fichiers +<para>La suite de cette section décrit le contenu recommandé des fichiers de configurations de <command>ppp</command>.</para> <sect2> <title>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename></title> -<para>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> contient les +<para>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> contient les informations et les paramètres nécessaires pour établir une connexion -vers l'extérieur. Le +vers l'extérieur. Le <ulink url="&url.handbook;index.html">Manuel FreeBSD</ulink> décrit en détail le contenu et la syntaxe de ce fichier.</para> <para>N'est décrite ici que la configuration minimale nécessaire pour arriver à établir une connexion.</para> -<para>Voici le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> que nous +<para>Voici le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> que nous utiliserons sur notre passerelle entre le réseau local et l'Internet:</para> <para> <programlisting> @@ -935,7 +935,7 @@ parties:</para> <sect3> <title>La section “default”</title> -<para> La section “default:” contient les informations et +<para> La section “default:” contient les informations et paramètres utilisés par toutes les autres sections du fichier. Cette section est donc implicitement ajoutée à toutes les autres.</para> @@ -944,8 +944,8 @@ est donc implicitement ajoutée à toutes les autres.</para> du modem et le dialogue d'initialisation de la connexion, qui ne changent pas, quel que soit le système distant auquel vous vous connectez.</para> -<para>Voici le détail de chacune des lignes de la section -“default:” du fichier +<para>Voici le détail de chacune des lignes de la section +“default:” du fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename>:</para> <para> <programlisting> @@ -955,7 +955,7 @@ set device /dev/cuaa0 <para>Cette instruction dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser le premier port série. Sous FreeBSD, le périphérique “/dev/cuaa0” -correspond au port appelé “COM1:” de DOS, Windows, Windows 95, +correspond au port appelé “COM1:” de DOS, Windows, Windows 95, etc.</para> <para>Si votre modem est sur le port “COM2”: vous devrez mettre @@ -974,8 +974,8 @@ de notre configuration fonctionne à 28.8 Kbps, donner la valeur 57600 per à la liaison série de fonctionner suffisamment vite pour gérer la compression de données intégrée aux modems les plus récents.</para> -<para>Si vous avez des problèmes pour dialoguer avec votre modem à cette -vitesse, descendez à une valeur inférieure: 38400, voir aussi faible que +<para>Si vous avez des problèmes pour dialoguer avec votre modem à cette +vitesse, descendez à une valeur inférieure: 38400, voir aussi faible que 19200.</para> <para> @@ -1001,9 +1001,9 @@ deny lqr </programlisting> </para> -<para>Ces deux lignes contrôlent l'“audit de la qualité de la +<para>Ces deux lignes contrôlent l'“audit de la qualité de la liaison (Link Quality Reporting)” qui est partie intégrante des -spécifications du protocole PPP. +spécifications du protocole PPP. (Voyez la RFC-1989 pour plus de détails.)</para> <para>La première ligne, “disable lqr” instruit le programme @@ -1016,7 +1016,7 @@ qualité de la liaison de la machine distante.</para> <para>Comme la plupart des modems ont des procédures intégrées de détection et de correction d'erreur et que l'audit LQR est rarement intégralement -implémentée par les constructeurs, il vaut en général mieux ne pas utiliser +implémentée par les constructeurs, il vaut en général mieux ne pas utiliser cette possibilité.</para> <para> <programlisting> @@ -1024,7 +1024,7 @@ set dial "ABORT BUSY ABORT NO\\sCARRIER TIMEOUT 5 \"\ " ATE1Q0M0 OK-AT-OK\\dATADT\\T TIMEOUT 40 CONNECT" </programlisting> </para> -<note><para>(Cette instruction doit être écrite sur une seule ligne; ne tenez +<note><para>(Cette instruction doit être écrite sur une seule ligne; ne tenez pas compte du formatage sur deux lignes, si elle se présente ainsi dans ce document.)</para> </note> @@ -1046,31 +1046,31 @@ instructions rudimentaires sur la marche à suivre: <listitem> <para>Le programme <command>ppp</command> doit constater, avec -un délai maximum de cinq secondes entre chaque événement, la séquence +un délai maximum de cinq secondes entre chaque événement, la séquence d'événements suivants: <itemizedlist> <listitem> <para>Initialement, le programme <command>ppp</command> n'attend pas de -réponse du modem (c'est le sens de la chaîne <literal>\"\"</literal> dans +réponse du modem (c'est le sens de la chaîne <literal>\"\"</literal> dans l'instruction),</para> </listitem> <listitem> -<para>Le programme enverra au modem la chaîne “ATE1Q0M0” et +<para>Le programme enverra au modem la chaîne “ATE1Q0M0” et attendra la réponse “OK”. Si cette réponse n'arrive pas, il enverra la commande d'interrogation “AT” et attendra à nouveau une réponse “OK”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Le programme devra attendre une seconde (c'est le sens de la chaîne +<para>Le programme devra attendre une seconde (c'est le sens de la chaîne “\\d” dans l'instruction), et envoyer la séquence d'appel au modem. Le préfixe “ATDT” est la commande d'appel standard pour les lignes téléphoniques à fréquences vocales. Si vous n'avez pas de ligne à fréquence vocale, remplacez “ATDT” par “ATDP”. La chaîne “\\T” sera remplacée par le numéro -de téléphone réel (qui sera défini plus loin par la ligne +de téléphone réel (qui sera défini plus loin par la ligne “set dial”).</para> </listitem> @@ -1114,7 +1114,7 @@ paramètres utilisés par les connexions PPP interactives avec un système distant particulier. Les lignes de la section “default:” sont automatiquement incluses dans cette section.</para> -<para>L'exemple donné ci-dessous suppose que vous vous connectiez à un système +<para>L'exemple donné ci-dessous suppose que vous vous connectiez à un système qui sait identifier un utilisateur sans avoir à utiliser une série de commandes baroques. Nous supposerons que le protocole CHAP est utilisé pour initialiser la session.</para> @@ -1125,11 +1125,11 @@ devrait fonctionner.</para> <para>Si, à l'inverse, quand vous vous connectez chez votre fournisseur d'accès avec les utilitaires de Microsoft Windows 95, vous devez utiliser l'option -“Utiliser des procédures de connexion”<footnote><para>N.d.T: ne +“Utiliser des procédures de connexion”<footnote><para>N.d.T: ne disposant du matériel nécessaire au contrôle de certains de ces libellés dans -les versions françisées de Windows, ils ont été traduits du document en langue -anglaise. En cas d'inexactitude, le lecteur voudra bien rectifier de -lui-même.</para></footnote>. il vous faudra alors +les versions françisées de Windows, ils ont été traduits du document en langue +anglaise. En cas d'inexactitude, le lecteur voudra bien rectifier de +lui-même.</para></footnote>. il vous faudra alors lire les pages de manuel de <command>ppp</command> pour trouver des exemples de fichiers de configuration de PPP comportant des procédures “expect / reponse” pour établir votre connexion et vous devrez @@ -1138,7 +1138,7 @@ utiliser la commande “set login” à cet effet.</para> <para>Ou mieux, trouvez-vous un fournisseur d'accès qui offre l'authentification par PAP ou CHAP!</para> -<para>La configuration donnée en exemple a été utilisée avec succès pour se +<para>La configuration donnée en exemple a été utilisée avec succès pour se connecter: <itemizedlist> @@ -1147,17 +1147,17 @@ connecter: </listitem> <listitem> -<para>au réseau IBM +<para>au réseau IBM (<ulink url="http://www.ibm.net">http://www.ibm.net</ulink>),</para> </listitem> <listitem> -<para>à AT&T WorlNet +<para>à AT&T WorlNet (<ulink url="http://www.att.com/worldnet">http://www.att.com/worldnet</ulink>),</para> </listitem> <listitem> -<para>à Erol's +<para>à Erol's (<ulink url="http://www.erols.com">http://www.erols.com</ulink>).</para> </listitem> @@ -1174,7 +1174,7 @@ set authname Votre_Nom_d_Utilisateur_du_Système_Distant </programlisting> </para> -<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au +<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au système distant.</para> <para> @@ -1191,7 +1191,7 @@ set phone 012345678789 </programlisting> </para> -<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système +<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système distant.</para> <para> <programlisting> @@ -1222,11 +1222,11 @@ accept chap <para>Cette ligne dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser le protocole CHAP “Challenge Handsake Autentification Protocole -(protocole d'authentification par poignée de main avec défi de -décryptage)” pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le -système local et le système distant pour transmettre le nom d'utilisateur -et le mot de passe sont définies par les lignes “authname” et -“authkey”.</para> +(protocole d'authentification par poignée de main avec défi de +décryptage)” pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le +système local et le système distant pour transmettre le nom d'utilisateur +et le mot de passe sont définies par les lignes “authname” et +“authkey”.</para> </sect3> @@ -1242,7 +1242,7 @@ automatiquement incluses dans cette section.</para> la section qui définit la configuration “interactive”.</para> <para>Comme indiqué plus tôt, les exemples donnés -dans cette section suppose que vous vous connectiez à un système +dans cette section suppose que vous vous connectiez à un système qui comprenne le protocole CHAP pour initialiser la session.</para> @@ -1256,7 +1256,7 @@ set authname Votre_Nom_d_Utilisateur_du_Système_Distant </programlisting> </para> -<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au +<para>Cette ligne définit avec quel nom d'utilisateur vous vous connectez au système distant.</para> <para> @@ -1274,7 +1274,7 @@ set phone 012345678789 </programlisting> </para> -<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système +<para>C'est le numéro de téléphone avec lequel vous joignez le système distant.</para> <para> @@ -1306,12 +1306,12 @@ accept chap <para>Cette ligne dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser le protocole CHAP “Challenge Handsake Autentification Protocole -(protocole d'authentification par poignée de +(protocole d'authentification par poignée de main avec défi de décryptage)” -pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le système local et le +pour vous authentifier. Les valeurs échangées entre le système local et le système distant pour transmettre le nom d'utilisateur et le mot de passe -sont définies par les lignes “authname” et -“authkey”</para> +sont définies par les lignes “authname” et +“authkey”</para> <para> <programlisting> @@ -1320,10 +1320,10 @@ set ifaddr 127.1.1.1/0 127.2.2.2/0 255.255.255.0 </para> <para>Cette commande définit une paire d'adresses IP fictives pour les deux -extrémités de la liaison point-à-point. Elle dit au programme +extrémités de la liaison point-à-point. Elle dit au programme <command>ppp</command> d'utiliser l'adresse 127.1.1.1 pour l'extrémité locale -de la liaison gérée par le pilote de périphérique -“tun0 (tunnel)”(Reportez-vous au <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD</ulink> pour une +de la liaison gérée par le pilote de périphérique +“tun0 (tunnel)”(Reportez-vous au <ulink url="&url.handbook;index.html">manuel FreeBSD</ulink> pour une description de ce pilote) et l'adresse 127.2.2.2 pour l'extrémité distante. Le “/0” qui les suit précise le nombre de digits significatifs de ces adresses, qui peuvent, (et doivent en fait) être négociées entre les @@ -1332,11 +1332,11 @@ sous-réseau qui s'applique à ces deux pseudo-interfaces.</para> <para>Rappelez-vous, nous avons supposé que votre fournisseur d'accès vous assigne les adresses des deux extrémités de la ligne! Si votre fournisseur -vous a donné une adresse particulière, vous pouvez la mentionner sur cette -ligne <emphasis>à la place</emphasis> de l'adresse 127.1.1.1.</para> +vous a donné une adresse particulière, vous pouvez la mentionner sur cette +ligne <emphasis>à la place</emphasis> de l'adresse 127.1.1.1.</para> <para>Inversement, si votre fournisseur vous a donné une adresse particulière -pour son côté de la liaison, vous pouvez la mentionner sur cette +pour son côté de la liaison, vous pouvez la mentionner sur cette ligne <emphasis>à la place</emphasis> de l'adresse 127.2.2.2.</para> <para>Dans les deux cas, il vaut mieux conserver le “/0” après les @@ -1350,7 +1350,7 @@ add 0 0 127.2.2.2 </para> <para>Cette dernière ligne dit au programme <command>ppp</command> d'ajouter une -route par défaut pour le trafic vers l'adresse (fictive) 127.2.2.2 du +route par défaut pour le trafic vers l'adresse (fictive) 127.2.2.2 du fournisseur d'accès.</para> <note> @@ -1360,12 +1360,12 @@ devez utiliser la même adresse ici, à la place de 127.2.2.2.</para> </note> <para>En ajoutant cette route “fictive” pour le trafic IP, le -programme <command>ppp</command> peut, successivement, avant et au moment +programme <command>ppp</command> peut, successivement, avant et au moment d'établir la liaison: <itemizedlist> <listitem> -<para>Accepter des paquets que FreeBSD ne sait pas encore comment +<para>Accepter des paquets que FreeBSD ne sait pas encore comment rediriger,</para> </listitem> @@ -1385,7 +1385,7 @@ d'accès,</para> </itemizedlist> automatiquement!</para> -<para>Une fois le nombre de secondes défini par l'instruction +<para>Une fois le nombre de secondes défini par l'instruction “timeout” de la section “default” écoulé sans trafic TCP/IP, le programme <command>ppp</command> coupe automatiquement la connexion, et le processus peut recommencer.</para> @@ -1397,17 +1397,17 @@ connexion, et le processus peut recommencer.</para> <title>Le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename></title> <para>L'autre fichier nécessaire à la configuration de <command>ppp</command> -est <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename>. Ce fichier contient les +est <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename>. Ce fichier contient les instructions qui définissent ce que <command>ppp</command> doit faire une fois que la connexion est établie.</para> -<para>Dans le cas d'une connexion à la demande, le programme +<para>Dans le cas d'une connexion à la demande, le programme <command>ppp</command> doit supprimer la route par défaut vers l'adresse IP -fictive du système distant (127.2.2.2 dans notre exemple plus haut) et +fictive du système distant (127.2.2.2 dans notre exemple plus haut) et définir une nouvelle route vers l'adresse IP réelle de ce système (obtenue à l'établissement de la connexion).</para> -<para>Voici un bon exemple de fichier +<para>Voici un bon exemple de fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename>:</para> <para> <programlisting> @@ -1416,14 +1416,14 @@ définir une nouvelle route vers l'adresse IP réelle de ce système (obtenue # Fichier PPP Link Up ('/etc/ppp/ppp.linkup') # # Ce fichier est consulté une fois que PPP a établi une connexion -# +# # Ce fichier est lu dans l'ordre suivant : # # 1) En premier, l'adresse IP qui nous a été assignée est recherchée # et la/les commande(s) associée(s) exécutée(s) # # 2) Si l'adresse IP n'est pas trouvée, alors l'étiquette donnée au -# démarrage de PPP est recherchée, et la/les commande(s) associée(s) +# démarrage de PPP est recherchée, et la/les commande(s) associée(s) # exécutée(s) # # 3) Si ni l'une ni l'autre n'ont été trouvées, les commandes associées @@ -1438,7 +1438,7 @@ demand: delete ALL add 0 0 HISADDR # -# Toutes les autres configurations de /etc/ppp/ppp.conf utilisent +# Toutes les autres configurations de /etc/ppp/ppp.conf utilisent # ce qui suit: # MYADDR: @@ -1459,7 +1459,7 @@ connexion à la demande établie: </listitem> <listitem> -<para>Ajouter une route par défaut vers l'adresse réelle de la machine +<para>Ajouter une route par défaut vers l'adresse réelle de la machine distante.</para> </listitem> @@ -1470,7 +1470,7 @@ distante.</para> <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> et qui comportent les lignes “set ifaddr” et “add 0 0” (i.e.: les configurations de connexion à la demande) exécutent les instructions “delete ALL” -et “add 0 0 HISADDR” du fichier +et “add 0 0 HISADDR” du fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup.</filename></para> <para><emphasis><emphasis remap="bf">C'est le mécanisme qui contrôle la configuration de la liaison @@ -1478,9 +1478,9 @@ dans le cas d'une connexion à la demande.</emphasis></emphasis></para> <para>Toutes les configurations qui ne sont pas explicitement définies dans le fichier <filename>/etc/ppp/ppp.linkup</filename> utiliseront les commandes -listées dans la section “MYADDR:” de ce fichier. C'est ce que -feront les connexions manuelles (comme dans notre exemple -“interactive:”). Cette section ajoute simplement une route par +listées dans la section “MYADDR:” de ce fichier. C'est ce que +feront les connexions manuelles (comme dans notre exemple +“interactive:”). Cette section ajoute simplement une route par défaut vers l'adresse IP du fournisseur d'accès (à l'autre extrémité de la ligne).</para> @@ -1493,14 +1493,14 @@ ligne).</para> <para>Toutes les étapes précédentes s'appliquent à un systeme FreeBSD utilisé pour se connecter à la demande à un fournisseur d'accès Internet.</para> -<para>Si vous cherchez simplement, en lisant ce guide, à connecter votre +<para>Si vous cherchez simplement, en lisant ce guide, à connecter votre systeme FreeBSD à l'Internet, vous pouvez passer directement au chapitre <link linkend="testing-the-network">Tester le réseau</link>.</para> <para>Une possibilité très intéressante du programme <command>ppp</command> en mode “connexion à la demande” est sa capacité à aiguiller automatiquement le trafic vers les autres systèmes du réseau local. On donne -à cela des noms divers “alias IP (IP Aliasing)”, +à cela des noms divers “alias IP (IP Aliasing)”, “traduction d'adresse réseau (Network Adress Translation)”, “mascarade d'adresse (Adress Masquerading)” ou “mandatement transparent (Transparent Proxying)”.</para> @@ -1511,7 +1511,7 @@ de façon habituelle, il ne fera pas transiter de paquets entre l'interface avec le réseau local et la liaison vers l'extérieur. En effet, seul le système FreeBSD est connecté à l'Internet; les autres systèmes ne peuvent pas partager la même connexion.</para> - + <para>Par exemple, si le programme <command>ppp</command> est lancé par:</para> <para> <userinput> @@ -1547,7 +1547,7 @@ commandes suivantes:</para> <para>Alternativement, vous pouvez utiliser l'instruction “alias enable yes” dans votre fichier de configuration de <command>ppp</command> (Reportez-vous aux pages de manuel pour plus de détails).</para> - + <para>Gardez cela présent à l'esprit si vous passez maintenant au chapitre <link linkend="config-windows-system">Configurer les systèmes Windows</link>.</para> @@ -1557,7 +1557,7 @@ yes” dans votre fichier de configuration de <command>ppp</command> <chapter id="config-windows-system"> <title>Configurer les Systèmes Windows</title> -<para>Comme indiqué au Chapitre <link linkend="lan">Mise en oeuvre du réseau local</link>, +<para>Comme indiqué au Chapitre <link linkend="lan">Mise en oeuvre du réseau local</link>, le réseau de notre exemple comporte un système FreeBSD (“Curly”) qui sert de passerelle (ou routeur) pour un réseau local composé de trois moutures différentes @@ -1565,7 +1565,7 @@ de systèmes Windows. Pour que ces stations puissent utiliser Curly comme routeur, elles doivent être correctement configurées. Notez bien que l'on ne vous explique pas ici comment configurer les postes Windows pour qu'ils puissent se connecter eux-mêmes. Si vous cherchez de bonnes explications sur -le sujet, voyez +le sujet, voyez <ulink url="http://www.aladdin.co.uk/techweb">http://www.aladdin.co.uk/techweb</ulink>.</para> <sect1> @@ -1580,20 +1580,20 @@ vers votre fournisseur d'accès. Effectuez les étapes suivantes:</para> <para>Pour vous connecter aux autres postes TCP/IP du réseau local, vous devrez installer une copie du fichier <filename>hosts</filename> que vous avez créé -sur votre système FreeBSD au paragraphe +sur votre système FreeBSD au paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>. <itemizedlist> <listitem> <para>Cliquez sur le bouton “Démarrer”, choisissez -“Exécuter ...”, lancez +“Exécuter ...”, lancez <userinput>notepad \WINDOWS\HOSTS</userinput> et cliquez sur “OK”,</para> </listitem> <listitem> <para>Sous l'éditeur, entrez les noms et les adresses des machines -recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe +recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>,</para> </listitem> @@ -1609,21 +1609,21 @@ recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <listitem> <para>Cliquez sur le bouton “Démarrer” de la barre de -tâches, Choisissez “Paramètres” et +tâches, Choisissez “Paramètres” et “Panneau de Configuration”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour +<para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour l'ouvrir.</para> -<para>Les paramètres des éléments du réseau sont tous +<para>Les paramètres des éléments du réseau sont tous affichés.</para> </listitem> <listitem> -<para>Sélectionnez l'option “Configuration” et faites -défiler la liste des composants installés pour choisir la ligne +<para>Sélectionnez l'option “Configuration” et faites +défiler la liste des composants installés pour choisir la ligne “TCP/IP -><replaceable>votre interface</replaceable>” (où <replaceable>votre interface</replaceable> est le nom ou le modèle de votre contrôleur Ethernet),</para> @@ -1653,15 +1653,15 @@ la liste des paramètres associés au composant TCP.</para> </listitem> <listitem> -<para>Enfoncez le bouton “Spécifier une adresse +<para>Enfoncez le bouton “Spécifier une adresse IP”.</para> -<para>(Dans notre exemple, le système Windows 95 est celui que nous avons +<para>(Dans notre exemple, le système Windows 95 est celui que nous avons appelé “Larry”.)</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez +<para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez “192.168.1.2”,</para> </listitem> @@ -1682,10 +1682,10 @@ appelé “Larry”.)</para> <para>Dans le réseau de notre exemple, c'est le système FreeBSD qui sera notre passerelle vers l'Internet (routant les paquets entre le réseau local Ethernet et la connexion PPP). Entrez l'adresse IP de l'interface Ethernet de la -machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone -“Nouvelle Passerelle” et cliquez sur le bouton +machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone +“Nouvelle Passerelle” et cliquez sur le bouton “Ajouter”. S'il y a d'autres passerelles définies dans les -“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les +“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les supprimer.</para> </listitem> @@ -1700,7 +1700,7 @@ liste de serveurs de noms de domaines (Domain Name Servers) - ou “Serveurs DNS” - que vous devez utiliser. Si vous voulez mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous au chapitre -<link linkend="exercices">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur +<link linkend="exercices">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD.</para> <para> @@ -1711,7 +1711,7 @@ l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD.</para> </listitem> <listitem> -<para>Assurez-vous que l'option “Activer DNS” est +<para>Assurez-vous que l'option “Activer DNS” est bien sélectionnée,</para> <para>(Si cette option n'est pas sélectionnée, seules les machines définies dans @@ -1730,11 +1730,11 @@ local, dans notre cas : “my.domain”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, +<para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, entrez les adresses -IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur +IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur “Ajouter” à chaque adresse que vous définissez. Répétez l'opération -autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre +autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre fournisseur vous a indiquées.</para> </listitem> @@ -1747,9 +1747,9 @@ fournisseur vous a indiquées.</para> <para>Pour nos besoins, les paramètres des sections “Avancées”, “Configuration WINS” et “Liens” sont inutiles.</para> -<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows +<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows (Windows Internet Naming Service - “WINS”), vous trouverez -plus d'informations sur +plus d'informations sur <ulink url="http://www.localnet.org">http://www.localnet.org</ulink>, en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente à travers l'Internet.</para> @@ -1787,8 +1787,8 @@ en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente Windows 95 à quelques différences près quant à l'interface utilisateur.</para> <para>Les étapes décrites ci-dessous s'appliquent à Windows NT 4.0 Workstation, -mais les principes sont les mêmes pour Windows NT 3.5x. Si vous installez un -poste Windows NT 3.5x, vous pouvez vous référer +mais les principes sont les mêmes pour Windows NT 3.5x. Si vous installez un +poste Windows NT 3.5x, vous pouvez vous référer au paragraphe <link linkend="workgroups">Configurer Windows for Workgroups</link>, en effet, l'interface utilisateur est la même pour NT 3.5x et WfW.</para> @@ -1800,20 +1800,20 @@ effet, l'interface utilisateur est la même pour NT 3.5x et WfW.</para> <para>Pour vous connecter aux autres postes TCP/IP du réseau local, vous devrez installer une copie du fichier <filename>hosts</filename> que vous avez créé -sur votre système FreeBSD au paragraphe +sur votre système FreeBSD au paragraphe <link linkend="workgroups">Configurer Windows for Workgroups</link>. <itemizedlist> <listitem> <para>Cliquez sur le bouton “Démarrer”, choisissez -“Exécuter ...”, lancez +“Exécuter ...”, lancez <userinput>notepad \WINDOWS\SYSTEM\DRIVERS\ETC\HOSTS</userinput> et cliquez sur “OK”,</para> </listitem> <listitem> <para>Sous l'éditeur, entrez les noms et les adresses des machines -recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe +recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>,</para> </listitem> @@ -1831,21 +1831,21 @@ recopiés du fichier <filename>hosts</filename> du paragraphe <listitem> <para>Cliquez sur le bouton “Démarrer” de la barre de -tâches, Choisissez “Paramètres” et +tâches, Choisissez “Paramètres” et “Panneau de Configuration”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour +<para>Double-cliquez sur l'icône réseau pour l'ouvrir,</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans l'onglet “Identification”, +<para>Dans l'onglet “Identification”, vérifiez les informations des zones “Nom d'Ordinateur” et “Workgroup”. Dans notre exemple, “Shemp” sera le nom de la machine, et “Stooges” celui du groupe de travail. -Choisissez “Modifier” pour corriger ces valeurs au +Choisissez “Modifier” pour corriger ces valeurs au besoin,</para> </listitem> @@ -1853,9 +1853,9 @@ besoin,</para> <para>Choisissez l'onglet “Protocoles”.</para> <para>Les Protocoles Réseau installés seront affichés. Il peut y en avoir un -certain nombre, mais le seul qui nous intéresse ici est le -“Protocole TCP/IP”. Si le “Protocole TCP/IP” -n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur le bouton “Ajouter” +certain nombre, mais le seul qui nous intéresse ici est le +“Protocole TCP/IP”. Si le “Protocole TCP/IP” +n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur le bouton “Ajouter” pour l'installer.</para> <tip> @@ -1876,7 +1876,7 @@ bouton “Propriétés”.</para> <para> <emphasis remap="bf">Configurer les informations relatives à l'adresse IP</emphasis></para> -<para>Vérifiez que l'interface Ethernet est bien définie dans la zone +<para>Vérifiez que l'interface Ethernet est bien définie dans la zone “Carte Réseau”; si ce n'est pas le cas, parcourez la liste des contrôleurs jusqu'à ce que l'interface adéquate soit affichée. <itemizedlist> @@ -1890,7 +1890,7 @@ pour activer les trois zones de texte,</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez +<para>Dans la zone “Adresse IP”, entrez “192.168.1.4”,</para> </listitem> @@ -1913,13 +1913,13 @@ et la connexion PPP).</para> <listitem> <para>S'il n'y a rien encore dans la zone “Nouvelle Passerelle”, entrez l'adresse IP de l'interface Ethernet de la -machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans cette zone +machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans cette zone et cliquez sur le bouton “Ajouter”. Sinon, utilisez le bouton "Avancées" et la fonction “Ajouter” pour ajouter cette nouvelle passerelle.</para> <para>S'il y a d'autres passerelles définies dans les -“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les +“Passerelles Installées”, peut-être devrez-vous les supprimer.</para> </listitem> @@ -1933,9 +1933,9 @@ liste de serveurs de noms de domaines (Domain Name Servers) - ou “Serveurs DNS” - que vous devez utiliser.</para> <para>Si vous voulez -mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous +mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous au chapitre -<link linkend="exercices">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur +<link linkend="exercices">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD. <itemizedlist> @@ -1955,9 +1955,9 @@ local, dans notre cas : “my.domain”,</para> <listitem> <para>Dans la zone “Ordre de recherche du service DNS”, entrez les adresses -IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur +IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur “Ajouter” à chaque adresse que vous définissez. Répétez l'opération -autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre +autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre fournisseur vous a indiquées.</para> </listitem> @@ -1970,9 +1970,9 @@ fournisseur vous a indiquées.</para> <para>Pour nos besoins, les paramètres des sections “Adresses WINS” et “Routage” sont inutiles.</para> -<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows +<para>Si vous souhaitez utiliser le service de noms Internet de Windows (Windows Internet Naming Service - “WINS”), vous trouverez -plus d'informations sur +plus d'informations sur <ulink url="http://www.localnet.org">http://www.localnet.org</ulink>, en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente à travers l'Internet.</para> @@ -2009,31 +2009,31 @@ en particulier en ce qui concerne le partage de fichiers de façon transparente faut avoir installé les pilotes qui sont sur la disquette Microsoft TCP/IP. Ces pilotes ne sont pas inclus avec WfW et les disquettes qui vont avec. S'il vous en faut une copie, ils sont disponibles sur -<ulink url="ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip">ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip.</ulink></para> +<ulink url="ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip">ftp://ftp.microsoft.com/peropsys/windows/public/tcpip.</ulink></para> -<para>Une fois que les pilotes TCP/IP ont été installés, effectuez les +<para>Une fois que les pilotes TCP/IP ont été installés, effectuez les opérations suivantes:</para> <para> -<emphasis remap="bf">Créer le fichier Windows for Workgroups +<emphasis remap="bf">Créer le fichier Windows for Workgroups <filename>hosts</filename></emphasis></para> <para>Pour vous connecter aux autres postes TCP/IP du réseau local, vous devrez installer une copie du fichier <filename>hosts</filename> que vous avez créé -sur votre système FreeBSD au paragraphe +sur votre système FreeBSD au paragraphe <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>.</para> <itemizedlist> <listitem> -<para>Dans le Gestionnaire de Programmes, cliquez sur le bouton -“Fichier”, choisissez “Exécuter ...”, lancez +<para>Dans le Gestionnaire de Programmes, cliquez sur le bouton +“Fichier”, choisissez “Exécuter ...”, lancez <userinput>notepad \WINDOWS\HOSTS</userinput> et cliquez sur “OK”,</para> </listitem> <listitem> <para>Sous l'éditeur, entrez les noms et les adresses des machines -recopiés du fichier <filename>hosts</filename> de +recopiés du fichier <filename>hosts</filename> de <link linkend="list-lan-hosts">Renseigner la liste des autres machines du réseau</link>,</para> </listitem> @@ -2054,12 +2054,12 @@ recopiés du fichier <filename>hosts</filename> de </listitem> <listitem> -<para>Double-cliquez sur l'icône “Paramètres +<para>Double-cliquez sur l'icône “Paramètres Réseau”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans la boîte de dialogue “Pilotes Réseau”, +<para>Dans la boîte de dialogue “Pilotes Réseau”, double-cliquez sur l'option “Microsoft TCP/IP-32”.</para> </listitem> @@ -2082,8 +2082,8 @@ pour effacer le “X”.</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans notre exemple, le poste Windows for Workgroups est celui -qui s'appelle “Moe”; dans la zone “Adresse IP”, entrez +<para>Dans notre exemple, le poste Windows for Workgroups est celui +qui s'appelle “Moe”; dans la zone “Adresse IP”, entrez “192.168.1.3”,</para> </listitem> @@ -2105,7 +2105,7 @@ et la connexion PPP). <listitem> <para>Entrez l'adresse IP de l'interface Ethernet de la -machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone +machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone “Passerelle par Défaut”.</para> </listitem> @@ -2115,13 +2115,13 @@ machine FreeBSD, “192.168.1.1”, dans la zone <para> <emphasis remap="bf">Configurer les informations relatives au DNS</emphasis></para> -<para>Nous supposons toujours que votre fournisseur d'accès Internet vous a +<para>Nous supposons toujours que votre fournisseur d'accès Internet vous a donné une liste de serveurs de noms de domaines (Domain Name Servers) - ou “Serveurs DNS” - que vous devez utiliser.</para> <para>Si vous voulez -mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous +mettre en service un serveur DNS sur votre machine FreeBSD, reportez-vous au chapitre -<link linkend="exercices">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur +<link linkend="exercices">Exercices pour l'étudiant intéressé</link> pour avoir des indications sur l'installation d'un serveur DNS sur une machine FreeBSD. <itemizedlist> @@ -2140,11 +2140,11 @@ local, dans notre cas : “my.domain”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, +<para>Dans la zone “Ordre de recherche DNS”, entrez les adresses -IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur +IP des serveurs DNS que votre fournisseur vous a données, cliquez sur “Ajouter” à chaque adresse que vous définissez. Répétez l'opération -autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre +autant de fois que nécessaire pour entrer toutes les adresses que votre fournisseur vous a indiquées,</para> </listitem> @@ -2210,7 +2210,7 @@ modem et votre fournisseur d'accès.</para> <sect1> <title>Gérer un mini-DNS</title> -<para>Bien que gérer une hiérarchie du service de noms de domaines +<para>Bien que gérer une hiérarchie du service de noms de domaines (“Domain Name Service” - DNS) puisse être une tâche diabolique, il est tout à fait faisable d'installer un mini-serveur DNS sur le sytème FreeBSD qui vous sert aussi de passerelle vers votre @@ -2218,7 +2218,7 @@ fournisseur d'accès.</para> <para>A partir des fichiers existants dans <filename>/etc/namedb</filename> après installation de FreeBSD, il est possible de définir un serveur DNS qui -ait autorité sur le réseau de notre exemple et serve d'interface avec +ait autorité sur le réseau de notre exemple et serve d'interface avec l'architecture DNS de l'Internet.</para> <para>Pour cette configuration minimale, il suffit de trois fichiers:</para> @@ -2264,7 +2264,7 @@ responsabilité,</para> </orderedlist> </para> -<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, créez un fichier +<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, créez un fichier <filename>/etc/namedb/named.boot</filename> comme suit: <programlisting> @@ -2279,7 +2279,7 @@ primary my.domain. mydomain.db </programlisting> </para> -<para>Les lignes qui commencent par un point-virgule sont des commentaires. +<para>Les lignes qui commencent par un point-virgule sont des commentaires. Voici la signification des autres lignes: <itemizedlist> @@ -2312,7 +2312,7 @@ primary my.domain mydomain.db </para> <para>Dit au serveur de noms qu'il a “autorité” sur un domaine DNS -appelé “my.domain” et que la liste des adresses IP des machines +appelé “my.domain” et que la liste des adresses IP des machines du domaine “my.domain” (le réseau local) se trouve dans le fichier <filename>/etc/namedb/mydomain.db</filename>. </para> @@ -2322,7 +2322,7 @@ du domaine “my.domain” (le réseau local) se trouve dans le fichier </para> <para>Une fois créé et sauvegardé le fichier -<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, passez à l'étape suivante pour +<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, passez à l'étape suivante pour créer le fichier <filename>/etc/namedb/named.db</filename>.</para> </sect2> @@ -2381,8 +2381,8 @@ le domaine appelé “my.domain”,</para> </listitem> <listitem> -<para>Responsable de la résolution inverse des adresses IP qui -commencent par “192.168.1” et “127.0.0” +<para>Responsable de la résolution inverse des adresses IP qui +commencent par “192.168.1” et “127.0.0” (“$ORIGIN ...”).</para> </listitem> @@ -2406,7 +2406,7 @@ pas lancé au démarrage du système. Vous pouvez modifier ce comportement en rectifiant une seule ligne dans le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>, comme suit:</para> -<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, visualisez le fichier +<para>Avec l'éditeur <command>ee</command>, visualisez le fichier <filename>/etc/rc.conf</filename>. Descendez d'une quarantaine de lignes jusqu'à ce que vous trouviez la section qui dit:</para> <para> @@ -2430,7 +2430,7 @@ named_flags="-b /etc/namedb/named.boot" # Flags to named (if enabled). <para>Sauvegardez le fichier et redémarrez le système.</para> -<para>Vous pouvez aussi démarrer le serveur DNS avec la commande +<para>Vous pouvez aussi démarrer le serveur DNS avec la commande suivante:</para> <para> @@ -2439,7 +2439,7 @@ suivante:</para> </userinput> </para> <para>Chaque fois que vous modifiez les fichiers du répertoire -<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, vous devez faire relire ces +<filename>/etc/namedb/named.boot</filename>, vous devez faire relire ces modifications par le serveur DNS avec la commande suivante:</para> <para> @@ -2459,7 +2459,7 @@ de filtrage au trafic qu'il route. Bien que cela ne soit pas aussi sécurisé qu'un véritable coupe-feu, cela autorise quelques contrôles d'accès à la liaison.</para> -<para>(“<filename>man ipfw</filename>” pour plus +<para>(“<filename>man ipfw</filename>” pour plus d'informations sur la configuration d'un système FreeBSD plus sécurisé.)</para> <para>La documentation complète des différents filtres et règles utilisables @@ -2471,7 +2471,7 @@ de <command>ppp</command>.</para> <itemizedlist> <listitem> -<para><filename>alive</filename> - filtre compteur d'accès +<para><filename>alive</filename> - filtre compteur d'accès (ou “Keep Alive” - garder en vie)</para> <para>Ils définissent quels événements sont ignorés par l'instruction @@ -2480,21 +2480,21 @@ de <command>ppp</command>.</para> <listitem> <para><filename>dial</filename> - filtre d'appel</para> - + <para>Ils définissent quels événements sont ignorés par <command>ppp</command> en mode connexion à la demande.</para> </listitem> <listitem> -<para><filename>in</filename> - filtre d'entrée</para> +<para><filename>in</filename> - filtre d'entrée</para> -<para>Ils définissent quels paquets entrants sont acceptés ou +<para>Ils définissent quels paquets entrants sont acceptés ou refusés par le programme <command>ppp</command>.</para> </listitem> <listitem> <para><filename>out</filename> - filtre de sortie</para> -<para>Ils définissent quels paquets sortants sont acceptés ou +<para>Ils définissent quels paquets sortants sont acceptés ou refusés par le programme <command>ppp</command>.</para> </listitem> @@ -2509,7 +2509,7 @@ chaque jeu de règles.:</para> <para> <programlisting> # - # filtres KeepAlive + # filtres KeepAlive # ne pa prendre en compte les paquets ICMP,DNS et RIP # set filter alive 0 deny icmp @@ -2595,8 +2595,8 @@ chaque jeu de règles.:</para> </programlisting> </para> <para>Il peut y avoir jusqu'à vingt règles dans chaque classe de filtres. Dans -chaque classe, les règles sont numérotées séquentiellement de 0 à 20, -<emphasis>mais aucune règle dans une classe particulière n'est appliquée tant +chaque classe, les règles sont numérotées séquentiellement de 0 à 20, +<emphasis>mais aucune règle dans une classe particulière n'est appliquée tant que la règle “0” n'est pas définie!</emphasis></para> <para>Si vous décidez de <emphasis>ne pas</emphasis> utiliser de règles de filtrage dans votre configuration du programme <command>ppp</command>, alors @@ -2604,7 +2604,7 @@ filtrage dans votre configuration du programme <command>ppp</command>, alors est connecté à votre fournisseur d'accès.</para> <para>Si vous décidez d'appliquer des règles de filtrages, ajoutez les lignes précédentes à votre fichier <filename>/etc/ppp/ppp.conf</filename> dans l'une -des sections “default”, “demand” ou +des sections “default”, “demand” ou “interactive” (ou à toutes - c'est à vous de voir).</para> </sect1> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/FAQ/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/FAQ/Makefile index 2cab16b3d3..7129ce2140 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/FAQ/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/FAQ/Makefile @@ -10,6 +10,6 @@ .include "../Makefile.inc" .endif -DATA= index.html +DATA= index.html .include "${DOC_PREFIX}/share/mk/web.site.mk" diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/Makefile index 23b60247aa..a2ba9dccbc 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/Makefile @@ -18,17 +18,17 @@ DOCS+= art.sgml DOCS+= auditors.sgml DOCS+= availability.sgml DOCS+= community.sgml -DOCS+= docs.sgml +DOCS+= docs.sgml DOCS+= features.sgml -DOCS+= internet.sgml +DOCS+= internet.sgml DOCS+= logo.sgml -DOCS+= mailto.sgml +DOCS+= mailto.sgml DOCS+= publish.sgml DOCS+= relnotes.sgml DOCS+= send-pr.sgml DOCS+= support.sgml -DOCS+= where.sgml -DOCS+= y2kbug.sgml +DOCS+= where.sgml +DOCS+= y2kbug.sgml # These will be directly installed. diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/applications.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/applications.sgml index bce298a369..b3d56e3cf5 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/applications.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/applications.sgml @@ -25,10 +25,10 @@ <body class="navinclude.about"> <h2>FreeBSD vous offre de nombreuses possibilités</h2> - + <p>FreeBSD saura accomplir quasiment toutes les tâches que vous pouvez attendre d'une station &unix;, et bien plus encore :</p> - + <h2>FreeBSD est un véritable système ouvert accompagné de l'intégralité de son code source.</h2> @@ -45,7 +45,7 @@ href="&base;/copyright/freebsd-license.html"> fondements de sa licence</a>, vous pouvez utiliser FreeBSD comme base pour toutes vos applications libres <i> ou commerciales</i>.</p> - + <h2>FreeBSD est capable de faire fonctionner des milliers d'applications.</h2> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/availability.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/availability.sgml index d5bc06cc5c..1f29d7a49e 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/availability.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/availability.sgml @@ -18,7 +18,7 @@ <head> <meta http-equiv="refresh" content="5;url=&base;/index.html"/> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=ISO-8859-1"/> - + <title>&title;</title> <cvs:keyword xmlns:cvs="http://www.FreeBSD.org/XML/CVS">$FreeBSD$</cvs:keyword> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/docproj/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/docproj/Makefile index 7e4231aae9..0222389085 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/docproj/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/docproj/Makefile @@ -10,13 +10,13 @@ .include "../Makefile.inc" .endif -DOCS= current.sgml +DOCS= current.sgml DOCS+= doc-set.sgml DOCS+= handbook.sgml DOCS+= handbook3.sgml DOCS+= sgml.sgml DOCS+= submitting.sgml -DOCS+= who.sgml +DOCS+= who.sgml DOCS+= translations.sgml DOCS+= docproj.sgml diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/events/events.css b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/events/events.css index e2d9890a3d..6b9f9e16db 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/events/events.css +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/events/events.css @@ -1,6 +1,6 @@ <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.1 --> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/features.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/features.sgml index 16b405ed9d..920f5fee58 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/features.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/features.sgml @@ -28,10 +28,10 @@ soit utilisé à son plein potentiel. Les caractéristiques sophistiquées de FreeBSD vous permettent de profiter au mieux de toute la puissance de votre machine.</p> - + <h2>Un système d'exploitation complet basé sur 4.4BSD.</h2> - + <p>Les bases de FreeBSD proviennent des derniers développements <b>BSD</b> réalisés par le Groupe de Recherche sur les Systèmes Informatiques ("Computer Systems Research Group") à l'université de Berkeley en Californie. Le livre <i>Conception et Implémentation du Système 4.4BSD ("The Design and @@ -45,11 +45,11 @@ d'exploitation 4.4BSD. Chaque nouvelle version de FreeBSD est ainsi plus stable, plus rapide et offre de nouvelles fonctionnalités attendues par les utilisateurs.</p> - + <h2>FreeBSD fournit de hautes performances, une excellente compatibilité avec d'autres systèmes d'exploitation et ne demande qu'une faible maintenance.</h2> - + <p>Les développeurs de FreeBSD se sont attaqués à de nombreux problèmes inhérents aux systèmes d'exploitation et vous permettent de bénéficier des innovations suivantes :</p> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/index.xsl b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/index.xsl index 5a68028a44..bc063b4c17 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/index.xsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/index.xsl @@ -5,10 +5,10 @@ ]> <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- - The FreeBSD French Documentation Project +<!-- + The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.87 - + Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/news.xml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/news.xml index 3c621a7a1c..8375ad9fe9 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/news.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/news.xml @@ -2,7 +2,7 @@ <!-- Simple schema for FreeBSD Project news. - Divide time in to <year>, <month>, and <day> elements, each of which + Divide time in to <year>, <month>, and <day> elements, each of which has a <name>. each <day> element contains one or more <event> elements. @@ -14,11 +14,11 @@ or one of the mirrors. Use the <title> element if the <p> content is lengthy. When generating - synopses of this information (e.g., for syndication using RDF files), + synopses of this information (e.g., for syndication using RDF files), the contents of <title> will be preferred over <p>. --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.10 @@ -42,7 +42,7 @@ <event> <title>Mises à jour des ports GNOME2 avec GNOME2 version beta4</title> - <p>Tous les composants de la Plate-forme GNOME2 déjà portés sur + <p>Tous les composants de la Plate-forme GNOME2 déjà portés sur FreeBSD ont étés mis à jour avec les dernières versions incluses dans la distribution officielle de GNOME2 beta4.</p> </event> @@ -54,7 +54,7 @@ <event> <title>Mises à jour des ports GNOME2 avec GNOME2 version beta3</title> - <p>Tous les composants de la Plate-forme de Développement GNOME2 déjà portés sur + <p>Tous les composants de la Plate-forme de Développement GNOME2 déjà portés sur FreeBSD ont étés mis à jour avec les dernières versions incluses dans la distribution officielle de GNOME2 beta3.</p> </event> @@ -70,7 +70,7 @@ maintenant committer (c'est à dire qu'il a maintenant un accès direct au dépôt cvs). Sa principale préoccupation en tant que committer sera GNOME sous FreeBSD, aussi on peut s'attendre à ce que les divers problèmes soient résolus encore plus rapidement qu'avant. - Il est également prévu qu'il devrait réactiver le port de GNOME2, + Il est également prévu qu'il devrait réactiver le port de GNOME2, un peu en sommeil pour l'instant. Bienvenue à bord, Joe!!!</p> </event> </day> @@ -85,11 +85,11 @@ <event> <title>Sortie de Mozilla 0.9.9</title> - <p>Mozilla 0.9.9 est disponible. Il apporte de nombreuses corrections de bugs ainsi que des nouvelles fonctionnalités. + <p>Mozilla 0.9.9 est disponible. Il apporte de nombreuses corrections de bugs ainsi que des nouvelles fonctionnalités. Le port FreeBSD a également été mis à jour. Cette nouvelle version est fortement recommandée à tous les utilisateurs.</p> </event> - </day> + </day> <day> <name>11</name> @@ -116,7 +116,7 @@ <title>Début du port de la plate-forme GNOME2 sur FreeBSD</title> <p>L'équipe de GNOME pour FreeBSD a commencé le travail initial pour faire - fonctionner les différents composants de GNOME2 sous FreeBSD. Cela devrait prendre + fonctionner les différents composants de GNOME2 sous FreeBSD. Cela devrait prendre beaucoup de temps, cela dit une première série de ports concernant le noyau de la plate-forme GNOME2 devrait être incluse dans les ports FreeBSD dès que possible.</p> @@ -158,7 +158,7 @@ </event> </day> - + <day> <name>28</name> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/newsflash.xsl b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/newsflash.xsl index d867abc350..cf1d01fd93 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/newsflash.xsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/newsflash.xsl @@ -6,7 +6,7 @@ <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.8 diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/rss.xsl b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/rss.xsl index 286a154586..1cf252f0b7 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/rss.xsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/gnome/rss.xsl @@ -3,11 +3,11 @@ "http://www.FreeBSD.org/XML/www/share/sgml/xslt10-freebsd.dtd"> <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.4 - Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> + Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> <xsl:stylesheet xmlns:xsl="http://www.w3.org/1999/XSL/Transform" diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/handbook/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/handbook/Makefile index 60a111a75e..bf27be2881 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/handbook/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/handbook/Makefile @@ -10,6 +10,6 @@ .include "../Makefile.inc" .endif -DATA= index.html +DATA= index.html .include "${DOC_PREFIX}/share/mk/web.site.mk" diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/index.xsl b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/index.xsl index 866a7c81cb..74961ef441 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/index.xsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/index.xsl @@ -83,7 +83,7 @@ </div> <!-- frontgetcontent --> <div class="frontgetbot"><div> </div> </div> </div> <!-- frontgetroundbox --> - + <div id="frontreleases"> <div id="frontreleasescontent" class="txtshortcuts"> <h2><a href="&base;/releases/">DERNIERES VERSIONS</a></h2> @@ -198,7 +198,7 @@ <div class="frontnewbot"><div> </div> </div> </div> <!-- frontnewroundbox --> </div> <!-- FEATURERIGHT --> - + </div> <!-- FRONTFEATURECONTAINER --> <br class="clearboth" /> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internal/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internal/Makefile index cab9f67ac8..34ebce8522 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internal/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internal/Makefile @@ -10,8 +10,8 @@ .include "../Makefile.inc" .endif -DOCS= photos.sgml -DOCS+= internal.sgml +DOCS= photos.sgml +DOCS+= internal.sgml DOCS+= about.sgml DOCS+= machines.sgml DOCS+= mirror.sgml @@ -28,7 +28,7 @@ DOCS+= core-vote.sgml INDEXLINK= internal.html -# build the list of personal homepages of FreeBSD developers only +# build the list of personal homepages of FreeBSD developers only # on the main FreeBSD machines hostname!= hostname .if ${hostname} == "hub.freebsd.org" || ${hostname} == "freefall.freebsd.org" || ${hostname} == "www.freebsd.org" diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internet.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internet.sgml index 233d1f3c44..ad831f3568 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internet.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/internet.sgml @@ -33,7 +33,7 @@ FreeBSD une plate-forme idéale pour la téléphonie et autres applications de diffusion de données.</p> - + <h2>FreeBSD supporte tous les protocoles standards TCP/IP.</h2> @@ -86,7 +86,7 @@ plus le SLIP et la numérotation PPP "sur demande". C'est un système d'exploitation qui conviendra aussi bien à un particulier désirant un accès performant à Internet qu'à un administrateur réseau en entreprise.</p> - + <h2>Les fonctions réseaux de FreeBSD sont stables et rapides.</h2> @@ -133,7 +133,7 @@ <p>La <a href="&base;/ports/index.html">collection de ports</a> de FreeBSD contient de nombreux logiciels prêts à l'emploi qui permettent de créer facilement votre propre serveur Internet.</p> - + <h2>Performances élevées <em>et</em> sécurité.</h2> @@ -154,7 +154,7 @@ href="http://www.cert.org/">CERT</a>).</p> <h2>Paroles d'expert...</h2> - + <p><i>``FreeBSD ... dipose probablement de la pile TCP/IP la plus robuste et la plus fonctionnelle à ce jour ...''</i></p> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/index.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/index.sgml index 5532b3288c..472801d02d 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/index.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/index.sgml @@ -26,7 +26,7 @@ <a href="http://java.sun.com"><img src="j2j.gif" hspace="10" border="0" alt="Jump to Java" align="right"/></a> - + <p>Voici le portage officiel pour FreeBSD du Kit de Développement &java; de Sun (JDK). Aucun bug significatif connu n'existe à l'heure actuelle mais aucune garantie n'est donnée sur son utilisation. Cependant, comme de nombreuses diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/links/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/links/Makefile index f2eae73bb0..9d69cc8af0 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/links/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/java/links/Makefile @@ -13,10 +13,10 @@ DOCS = freebsd.sgml DOCS+= tools.sgml DOCS+= api.sgml -DOCS+= index.sgml +DOCS+= index.sgml DOCS+= tutorials.sgml DOCS+= development.sgml -DOCS+= resources.sgml +DOCS+= resources.sgml DOCS+= vendor.sgml DOCS+= documentation.sgml DOCS+= servlets.sgml diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2001/news.xml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2001/news.xml index 8ce94a5faf..089d2ae170 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2001/news.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2001/news.xml @@ -2,7 +2,7 @@ <!-- Simple schema for FreeBSD Project news. - Divide time in to <year>, <month>, and <day> elements, each of which + Divide time in to <year>, <month>, and <day> elements, each of which has a <name>. each <day> element contains one or more <event> elements. @@ -14,7 +14,7 @@ or one of the mirrors. Use the <title> element if the <p> content is lengthy. When generating - synopses of this information (e.g., for syndication using RDF files), + synopses of this information (e.g., for syndication using RDF files), the contents of <title> will be preferred over <p>. --> @@ -28,10 +28,10 @@ ************************************************* --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.63 - + Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> Version francaise (mise a jour) : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> @@ -59,7 +59,7 @@ sera organisé cette année par l'<a href="http://www.usenix.org"> Association Usenix</a>. Ce congrès aura lieu du 11 au 14 Février à San Francisco. Le projet FreeBSD y sera - largement présent et toutes les personnes + largement présent et toutes les personnes qui souhaitent en apprendre plus sur des technologies spécifiques ou sur le projet FreeBSD en général sont encouragées à y assister.</p> </event> @@ -95,7 +95,7 @@ <p>La branche FreeBSD-stable de l'arbre des sources a été gelée en préparation de la sortie de FreeBSD 4.5. Cela signifie - que toute nouvelle modification sur les sources de la branche -stable doit être + que toute nouvelle modification sur les sources de la branche -stable doit être tout d'abord approuvée par l'équipe technique. La date de sortie prévue pour la 4.5 est le 20 Janvier 2002.</p> </event> @@ -109,7 +109,7 @@ </event> <event> - <title>Site "Backports", des patches pour les anciennes versions + <title>Site "Backports", des patches pour les anciennes versions de FreeBSD</title> <p><a href="http://www.visi.com/~hawkeyd/freebsd-backports.html">La @@ -119,10 +119,10 @@ versions. Plus ces patches seront testés, plus ils auront de chance d'être incorporés dans les anciennes versions de FreeBSD. Par conséquent, si votre site compte sur d'anciennes versions de FreeBSD et que, pour une - raison quelconque, vous ne souhaitez pas effectuer une mise à jour du système, + raison quelconque, vous ne souhaitez pas effectuer une mise à jour du système, vous êtes encouragé à consulter ce site régulièrement.</p> </event> - </day> + </day> <day> <name>20</name> @@ -185,14 +185,14 @@ <event> <title>Ecrire des rapports de bugs</title> - + <p><a href="mailto:des@FreeBSD.org">Dag-Erling Smørgrav</a> a écrit un article sur comment <a href="$base/../doc/fr_FR.ISO8859-1/articles/problem-reports/article.html"> écrire des rapports de bugs FreeBSD</a>.</p> </event> </day> - + <day> <name>20</name> @@ -203,7 +203,7 @@ <event> <title>Désignation d'un "Bugmeister"</title> - + <p>L'équipe dirigeante FreeBSD a désigné <a href="mailto:des@FreeBSD.org">Dag-Erling Smørgrav</a> en tant que "Bugmeister" (responsable des bugs).</p> @@ -263,7 +263,7 @@ <name>2</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:nobutaka@FreeBSD.org">MANTANI + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:nobutaka@FreeBSD.org">MANTANI Nobutaka</a> (Ports)</p> </event> @@ -302,7 +302,7 @@ <name>26</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:matusita@FreeBSD.org">Makoto + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:matusita@FreeBSD.org">Makoto Matsushita</a> (préparation des versions FreeBSD)</p> </event> </day> @@ -313,7 +313,7 @@ <event> <title>"Bootstrapping" Vinum : une base pour des serveurs fiables</title> <p><a href="mailto:Bob@BGPBook.Com">Bob Van Valzah</a> propose - un article d'introduction <a + un article d'introduction <a href="$base/../doc/en_US.ISO8859-1/articles/vinum/index.html"> aux serveurs à haute-disponibilité et décrit les étapes à suivre pour réaliser ce type de serveur avec l'aide de Vinum</a>.</p> @@ -322,7 +322,7 @@ <event> <title>Le portage FreeBSD/ia64 démarre en mode multi-utilisateurs</title> <p><a href="mailto:dfr@FreeBSD.org">Doug Rabson</a> et - <a href="mailto:peter@FreeBSD.org">Peter Wemm</a> ont + <a href="mailto:peter@FreeBSD.org">Peter Wemm</a> ont tavaillé non-stop sur le portage FreeBSD/ia64 durant ces dernières semaines et ont déclaré aujourd'hui qu'il démarre en mode multi-utilisateurs sans l'intervention d'un opérateur. C'est une étape @@ -352,7 +352,7 @@ <name>17</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:amorita@FreeBSD.org">Akio + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:amorita@FreeBSD.org">Akio Morita</a> (PC98)</p> </event> </day> @@ -429,7 +429,7 @@ <title>FreeBSD 5.0 repoussé à Novembre 2002</title> <p>FreeBSD 5.0 a été repoussé à Novembre 2002. L' - annonce complète de Jordan est disponible <a + annonce complète de Jordan est disponible <a href="http://docs.FreeBSD.org/cgi/getmsg.cgi?fetch=34983+0+archive/2001/freebsd-announce/20010902.freebsd-announce">ici</a>.</p> </event> </day> @@ -462,7 +462,7 @@ FreeBSD a écrit "FreeBSD : Un système d'exploitation open-source pour votre PC", une introduction à FreeBSD destiné aux nouveaux utilisateurs. Publié par "The Bit Tree Press", le numéro ISBN est 0971204500 et il - peut être commandé notamment sur + peut être commandé notamment sur <a href="http://mall.daemonnews.org">DaemonNews Mall</a>.</p> </event> </day> @@ -476,15 +476,15 @@ <p>La section <a href="$base/../doc/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install.html">Installation de FreeBSD</a> du - <a href="$base/../doc/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/index.html">Manuel de Référence</a> + <a href="$base/../doc/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/index.html">Manuel de Référence</a> a été substantiellement amélioré et mise à jour. Parmi les nouveautés, des captures d'écrans de la plupart des étapes du - processus d'installation et un texte étoffé qui détaille ce que fait + processus d'installation et un texte étoffé qui détaille ce que fait chaque étape de l'installation. Le gros du travail a été réalisé par Randy Pratt.</p> </event> </day> - + <day> <name>14</name> @@ -519,7 +519,7 @@ <p>Un fichier RDF des 10 derniers titres des nouvelles présentées sur le site FreeBSD est disponible. L'URL est <a href="http://www.FreeBSD.org/news/news.rdf">http://www.FreeBSD.org/news/news.rdf</a>. Vous pouvez utiliser ce fichier pour <i>publier</i> les titres des nouvelles FreeBSD sur votre propre site - web (comme <a href="http://daily.daemonnews.org/">Daily + web (comme <a href="http://daily.daemonnews.org/">Daily DaemonNews</a> et le <a href="http://www.freebsddiary.org/newsfeeds.php">FreeBSD Diary</a> do) ou sur votre bureau avec des applications tel que @@ -533,8 +533,8 @@ <event> <title>Groupe Utilisateurs Pandaemonium</title> - <p><a href="http://pandaemonium.newmillennium.net.au/">Pandaemonium</a>, - le groupe d'utilisateurs BSD de l'Ouest de l'Australie a été + <p><a href="http://pandaemonium.newmillennium.net.au/">Pandaemonium</a>, + le groupe d'utilisateurs BSD de l'Ouest de l'Australie a été ajouté à la page <a href="$base/support.html">Support</a>.</p> </event> </day> @@ -548,7 +548,7 @@ </event> </day> </month> - + <month> <name>Juillet</name> @@ -559,7 +559,7 @@ <title>La liste des tâches pour le Manuel de Référence FreeBSD est disponible</title> <p>Une seconde édition du <a href="$base/handbook">Manuel de Référence - FreeBSD</a> va bientôt paraître. Une + FreeBSD</a> va bientôt paraître. Une <a href="$base/docproj/handbook.html">liste des tâches</a> a été publiée pour les personnes qui veulent contribuer à la documentation papier de FreeBSD.</p> @@ -576,12 +576,12 @@ <day> <name>16</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:bbraun@FreeBSD.org">Rob Braun</a></p> </event> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:zarzycki@FreeBSD.org">Dave Zarzycki</a></p> @@ -591,10 +591,10 @@ <p>Nouveau participant : <a href="mailto:mike@FreeBSD.org">Mike Barcroft</a></p> </event> </day> - + <day> <name>13</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:chern@FreeBSD.org">Chern Lee</a> (Docs)</p> @@ -635,7 +635,7 @@ <p><a href="mailto:benno@FreeBSD.org">Benno Rice</a> est parvenu au stade où FreeBSD affiche l'invite de montage de la racine sur - processeur PowerPC. Veuillez consulter la <a href="$base/platforms/ppc.html">page</a> + processeur PowerPC. Veuillez consulter la <a href="$base/platforms/ppc.html">page</a> de la plate-forme PowerPC et la liste de diffusion pour plus d'informations.</p> </event> @@ -658,7 +658,7 @@ (Ports)</p> </event> </day> - + <day> <name>13</name> @@ -696,7 +696,7 @@ <day> <name>1</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:cjc@FreeBSD.org">Crist J. Clark</a> (Réseaux, sécurité)</p> @@ -709,7 +709,7 @@ <day> <name>24</name> - + <event> <title>ftp.FreeBSD.org de retour</title> @@ -724,7 +724,7 @@ <day> <name>16</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:pirzyk@FreeBSD.org">Jim Pirzyk</a></p> @@ -733,7 +733,7 @@ <day> <name>2</name> - + <event> <title>Nouveau numéro du fanzine FreeBSD</title> @@ -750,7 +750,7 @@ <day> <name>27</name> - + <event> <title>Le SMP pour Alpha fonctionne</title> @@ -764,21 +764,21 @@ <day> <name>25</name> - + <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:tshiozak@FreeBSD.org">Takuya + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:tshiozak@FreeBSD.org">Takuya SHIOZAKI</a> (Internationalisation)</p> </event> - + <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:ue@FreeBSD.org">Udo Erdelhoff</a> + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:ue@FreeBSD.org">Udo Erdelhoff</a> (Docs)</p> </event> </day> <day> <name>18</name> - + <event> <p>Le <a href="$base/../doc/en_US.ISO8859-1/books/developers-handbook/index.html">Manuel @@ -793,7 +793,7 @@ <day> <name>17</name> - + <event> <p>Addison Wesley nous a autorisé à republier <a href="$base/../doc/en_US.ISO8859-1/books/corp-net-guide/index.html">le chapitre @@ -807,9 +807,9 @@ <day> <name>16</name> - + <event> - <p>Encore un autre participant : + <p>Encore un autre participant : <a href="mailto:schweikh@FreeBSD.org">Jens Schweikhardt</a> (Conformité aux standards)</p> </event> @@ -817,7 +817,7 @@ <day> <name>12</name> - + <event> <p>Le numéro d'Avril du fanzine <a href="http://www.freebsdzine.org/">The FreeBSD 'zine</a> est disponible.</p> @@ -826,7 +826,7 @@ <day> <name>10</name> - + <event> <p>La <a href="$base/ports/index.html">Collection des Ports</a> contient maintenant plus de 5000 entrées !</p> @@ -835,7 +835,7 @@ <day> <name>5</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:greid@FreeBSD.org">George Reid</a> (Support audio, ports)</p> @@ -844,9 +844,9 @@ <day> <name>4</name> - + <event><p>Wind River rachète la partie logiciel de BSDi. Veuillez consulter le - <a href="http://www.windriver.com/press/html/bsdi.html">communiqué de presse + <a href="http://www.windriver.com/press/html/bsdi.html">communiqué de presse de Wind River</a>, l'annonce de <a href="http://www.FreeBSD.org/cgi/mid.cgi?20010404220529.E3AFE37B727">Jordan K. Hubbard</a>, et le <a href="http://www.FreeBSD.org/cgi/mid.cgi?Pine.NEB.3.96L.1010405211037.46990E-100000">communiqué de l'équipe principale de FreeBSD</a>.</p> @@ -859,7 +859,7 @@ <day> <name>25</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:yar@FreeBSD.org">Yar Tikhiy</a> (Réseaux)</p> @@ -868,7 +868,7 @@ <day> <name>24</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:eric@FreeBSD.org">Eric Melville</a> (Outils systèmes)</p> @@ -877,7 +877,7 @@ <day> <name>13</name> - + <event> <p>Le numéro de Mars du fanzine <a href="http://www.freebsdzine.org/">The FreeBSD 'zine</a> est disponible.</p> @@ -886,7 +886,7 @@ <day> <name>9</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:dd@FreeBSD.org">Dima Dorfman</a> (Docs)</p> @@ -895,7 +895,7 @@ <day> <name>7</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:keichii@FreeBSD.org">Michael C. Wu</a> (Internationalisation, projets de portages)</p> @@ -904,12 +904,12 @@ <day> <name>6</name> - + <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:tmm@FreeBSD.org">Thomas + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:tmm@FreeBSD.org">Thomas M&ouml;stl</a> (extensions POSIX.1e)</p> - </event> - + </event> + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:orion@FreeBSD.org">Orion Hodson</a> (Support audio)</p> @@ -922,7 +922,7 @@ <day> <name>20</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:jesper@FreeBSD.org">Jesper Skriver</a></p> @@ -931,7 +931,7 @@ <day> <name>16</name> - + <event> <p>Le numéro de Février du fanzine <a href="http://www.freebsdzine.org/">The FreeBSD 'zine</a> est disponible.</p> @@ -940,7 +940,7 @@ <day> <name>5</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:mikeh@FreeBSD.org">Mike Heffner</a> (Projet d'audit)</p> @@ -953,16 +953,16 @@ <day> <name>24</name> - + <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:olgeni@FreeBSD.org">Jimmy + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:olgeni@FreeBSD.org">Jimmy Olgeni</a> (Ports)</p> </event> </day> <day> <name>23</name> - + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:dinoex@FreeBSD.org">Dirk Meyer</a> (Ports)</p> @@ -971,9 +971,9 @@ <day> <name>20</name> - + <event> - <p>Nouveau participant : <a href="mailto:ijliao@FreeBSD.org">Ying-chieh + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:ijliao@FreeBSD.org">Ying-chieh Liao</a> (Ports)</p> </event> </day> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2002/news.xml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2002/news.xml index 7eea34aafb..a86d2d389c 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2002/news.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/2002/news.xml @@ -28,10 +28,10 @@ ************************************************* --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.1 - + Copy from: news/news.xml v1.179 Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> @@ -54,7 +54,7 @@ Octobre 2002</title> <p>Le rapport sur le projet FreeBSD de Septembre et Octobre - est disponible; voyez la + est disponible; voyez la <a href="$base/news/status/status.html">page sur les rapports du projet</a> pour plus d'informations.</p> </event> @@ -69,7 +69,7 @@ <p><a href="http://bsdcon.jp/">La conférence BSD Japonaise 2002</a> s'est tenue à Tokyo le 23 Novembre 2002. Lors de cette conférence les utilisateurs FreeBSD/NetBSD/OpenBSD ont pu - discuter ensemble sur différents sujets. De plus + discuter ensemble sur différents sujets. De plus <a href="http://www.apple.com/">Apple Computer, Inc.</a> leur a offert d'excellentes conférences sur Mac OS X et Rendezvous. <a href="http://www.matsui.co.jp/">Matsui Securities Co.,Ltd</a>, @@ -105,7 +105,7 @@ version</a>, <a href="$base/releases/5.0R/DP2/errata.html">l'errata</a> et le nouveau <a - href="$base/releases/5.0R/DP2/early-adopter.html">Guide pour + href="$base/releases/5.0R/DP2/early-adopter.html">Guide pour les testeurs</a> pour plus d'informations.</p> </event> @@ -128,7 +128,7 @@ (Projet de Documentation)</p> </event> </day> - + </month> <month> @@ -211,7 +211,7 @@ href="$base/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="$base/releases/4.7R/errata.html">l'errata</a> - après installation pour connaître les dernières informations et/ou + après installation pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 4.7.</p> </event> </day> @@ -223,7 +223,7 @@ <p>Nouveau participant : <a href="mailto:emoore@FreeBSD.org">Eric Moore</a></p> </event> - </day> + </day> <day> <name>4</name> @@ -233,7 +233,7 @@ href="mailto:mheinen@FreeBSD.org">Martin Heinen</a> (Projet de Documentation)</p> </event> - </day> + </day> <day> <name>3</name> @@ -259,7 +259,7 @@ href="mailto:grehan@FreeBSD.org">Peter Grehan</a> (PowerPC)</p> </event> - </day> + </day> <day> <name>2</name> @@ -277,7 +277,7 @@ <event> <title>Gel de la branche FreeBSD-STABLE en préparation de la 4.7</title> - <p>La branche FreeBSD-STABLE de l'arbre des sources est maintenant + <p>La branche FreeBSD-STABLE de l'arbre des sources est maintenant gelée en <a href="$base/releases/4.7R/schedule.html">préparation</a> de la sortie de FreeBSD 4.7. Cela signifie que toute nouvelle @@ -296,7 +296,7 @@ <month> - + <name>Août</name> <day> @@ -339,7 +339,7 @@ href="$base/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="$base/releases/4.6.2R/errata.html">l'errata</a> - après installation pour connaître les dernières informations et/ou + après installation pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 4.6.2.</p> </event> @@ -377,7 +377,7 @@ href="mailto:njl@FreeBSD.org">Nate Lawson</a></p> </event> </day> - + <day> <name>1</name> @@ -386,7 +386,7 @@ <p><a href="http://www.opengroup.org">L'Open Group</a> a généreusement donné plusieurs copies de livres et CD-ROM de "the Authorized Guide to The - Single UNIX Specification, Version 3" au + Single UNIX Specification, Version 3" au <a href="$base/projects/c99/index.html">Projet de conformité POSIX C99 </a>. Nous apprécions ce don.</p> </event> @@ -395,7 +395,7 @@ <month> <name>Juillet</name> - + <day> <name>19</name> @@ -461,7 +461,7 @@ href="$base/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="$base/releases/4.6R/errata.html">l'errata</a> - après installation pour connaître les dernières informations et/ou + après installation pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 4.6.</p> </event> </day> @@ -487,7 +487,7 @@ <title>Directives d'utilisation des rapports de bogues</title> <p>The <a href="$base/../doc/fr_FR.ISO8859-1/articles/pr-guidelines/article.html"> - Ces directives décrivent les pratiques + Ces directives décrivent les pratiques recommandées d'utilisation des rapports de bogues de FreeBSD.</a></p> </event> </day> @@ -530,12 +530,12 @@ <event> <title>Gel de FreeBSD-STABLE en vue de la 4.6</title> - <p>La branche FreeBSD-STABLE a été - gelée en <a - href="$base/releases/4.6R/schedule.html">préparation</a> - de la version 4.6 de FreeBSD. Cela veut dire que les nouvelles - modifications à la branche -stable doivent être approuvées au préalable par - l'équipe en charge des versions (release engineering team). Cette version + <p>La branche FreeBSD-STABLE a été + gelée en <a + href="$base/releases/4.6R/schedule.html">préparation</a> + de la version 4.6 de FreeBSD. Cela veut dire que les nouvelles + modifications à la branche -stable doivent être approuvées au préalable par + l'équipe en charge des versions (release engineering team). Cette version sortira vers le 1er Juin 2002.</p> </event> @@ -543,14 +543,14 @@ </month> - + <month> <name>Avril</name> <day> <name>29</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:ikob@FreeBSD.ORG">Katsushi Kobayashi</a></p> </event> </day> @@ -596,10 +596,10 @@ <name>8</name> <event> - <title>FreeBSD 5.0 Developer Preview #1 est maintenant + <title>FreeBSD 5.0 Developer Preview #1 est maintenant disponible</title> - <p>Une version développeur de 5.0-CURRENT est maintenant + <p>Une version développeur de 5.0-CURRENT est maintenant <a href="$base/releases/5.0R/DP1/announce.html">disponible</a>. Voyez les <a href="$base/releases/5.0R/DP1/relnotes.html">notes de version @@ -630,11 +630,11 @@ <name>1</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a - href="mailto:nork@FreeBSD.org">Norikatsu Shigemura</a> + <p>Nouveau participant : <a + href="mailto:nork@FreeBSD.org">Norikatsu Shigemura</a> (Ports)</p> </event> - + </day> </month> @@ -645,9 +645,9 @@ <name>30</name> <event> - <p>Le compte rendu du <a + <p>Le compte rendu du <a href="$base/events/2002/bsdcon-devsummit.html"> - Sommet des Développeurs FreeBSD</a> du BSDCon 2002 + Sommet des Développeurs FreeBSD</a> du BSDCon 2002 est disponible.</p> </event> </day> @@ -673,17 +673,17 @@ <name>19</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a - href="mailto:netchild@FreeBSD.org">Alexander Leidinger</a> + <p>Nouveau participant : <a + href="mailto:netchild@FreeBSD.org">Alexander Leidinger</a> (Ports)</p> </event> </day> - + <day> <name>17</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:ceri@FreeBSD.org">Ceri Davies</a> (Documentation)</p> </event> </day> @@ -694,7 +694,7 @@ <event> <title>Mise à jour du planning des versions</title> - <p>Une nouvelle zone du site de FreeBSD dédiée à + <p>Une nouvelle zone du site de FreeBSD dédiée à <a href="$base/releng/index.html">la création des versions</a> a été créée. Cette nouvelle section contient des informations au sujet des futures versions de FreeBSD, un agenda spécifique aux @@ -704,7 +704,7 @@ </day> <day> - <name>9</name> + <name>9</name> <event> <title>FreeBSD supporte le multiprocesseur sur sparc64</title> @@ -721,7 +721,7 @@ <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:mux@FreeBSD.org">Maxime Henrion</a> (VFS, SMP, ...)</p> </event> @@ -743,7 +743,7 @@ </event> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:jmallett@FreeBSD.org">J.Mallett</a></p> </event> </day> @@ -752,8 +752,8 @@ <name>18</name> <event> - <p>Nouveau participant: <a - href="mailto:ticso@FreeBSD.org">Bernd Walter</a> + <p>Nouveau participant: <a + href="mailto:ticso@FreeBSD.org">Bernd Walter</a> (Alpha)</p> </event> </day> @@ -776,7 +776,7 @@ <name>7</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:maxim@FreeBSD.org">Maxim Konovalov</a></p> </event> </day> @@ -793,23 +793,23 @@ <p><a href="http://www.eurobsdcon2002.org/cfp.html">L'annonce et l'appel à contributions</a> pour la session 2002 du BSDCon Europe sont disponibles. Cette conférence se déroulera à Amsterdam, - Pays-Bas, en Novembre 2002. Les personnes désirant présenter un article à la conférence devront + Pays-Bas, en Novembre 2002. Les personnes désirant présenter un article à la conférence devront soumettre un résumé avant le 24 Juin 2002.</p> </event> </day> - + <day> <name>29</name> <event> <title>Sortie de la 4.5</title> - - <p><a href="$base/releases/4.5R/announce.html">FreeBSD + + <p><a href="$base/releases/4.5R/announce.html">FreeBSD 4.5</a> est disponible. Merci de consulter la page des <a href="$base/releases/index.html">informations sur les versions</a> pour plus de détails. N'oubliez pas de consulter l'<a - href="$base/releases/4.5R/errata.html">errata</a> après - l'installation pour les informations de dernières minutes au sujet de + href="$base/releases/4.5R/errata.html">errata</a> après + l'installation pour les informations de dernières minutes au sujet de la version 4.5.</p> </event> </day> @@ -820,9 +820,9 @@ <event> <title>Guide de tests disponible pour la future version 4.5.</title> - <p>L'équipe technique de FreeBSD 4.5 a préparé un + <p>L'équipe technique de FreeBSD 4.5 a préparé un <a href="$base/releases/4.5R/qa.html">guide de tests</a> - pour la future version 4.5 de FreeBSD. Aidez nous à + pour la future version 4.5 de FreeBSD. Aidez nous à faire en sorte que FreeBSD 4.5 soit notre version la plus stable et la plus performante que nous ayons jamais eu.</p> </event> @@ -834,14 +834,14 @@ <event> <title>Nouveau guide : "Le symbole Euro sur FreeBSD"</title> - <p>Aaron Kaplan a réalisé un nouvel article qui explique comment - configurer votre système pour utiliser le nouveau <a + <p>Aaron Kaplan a réalisé un nouvel article qui explique comment + configurer votre système pour utiliser le nouveau <a href="$base/../doc/fr_FR.ISO8859-1/articles/euro/article.html">symbole Euro sur FreeBSD</a>.</p> </event> </day> </month> </year> - + </news> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-july-2002-aug-2002.xml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-july-2002-aug-2002.xml index 1acf45ef04..e34fa124aa 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-july-2002-aug-2002.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-july-2002-aug-2002.xml @@ -1,15 +1,15 @@ <?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1" ?> <!-- useful for the french translation --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: Original checkum: md5 = b573d0324d07019e0e99dadeb0992f6a Original date: 2002-10-03 - + Version francaise : Luc Vo Van Version francaise (mise a jour) : Olivier Cherrier <Olivier.Cherrier@cediti.be> - Version francaise (mise a jour) : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> + Version francaise (mise a jour) : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> <report> @@ -21,7 +21,7 @@ <section> <title>Introduction</title> - <p>Durant Juillet et Août, les efforts se sont concentrés sur + <p>Durant Juillet et Août, les efforts se sont concentrés sur la mise en place des derniers composants majeurs concernant les nouvelles fonctionnalités de FreeBSD 5.0-RELEASE. Pour l'instant, cette nouvelle version est prévue pour fin Novembre ou début Décembre. Les travaux sur une granularité plus fine @@ -30,9 +30,9 @@ à maturité et les nouveaux ports pour processeurs ia64 et sparc64 sont proches de la qualité nécessaire à une utilisation en production. Dans les deux prochains mois, nous devrions voir de nouvelles pré-versions de la 5.0 pour les développeurs et des améliorations supplémentaires concernant - la granularité et les threads ainsi que les nouvelles architectures supportées. + la granularité et les threads ainsi que les nouvelles architectures supportées. Le support du Firewire a été importé dans l'arbre des sources et - une refonte substantielle du code portant sur l'ACPI/le PCI est en cours. + une refonte substantielle du code portant sur l'ACPI/le PCI est en cours. Enfin, l'import du support de l'accélération matérielle pour IPsec est prévu dans un futur proche.</p> <p>Lorsque de nouvelles pré-versions pour les développeurs sortent, essayez-les ! Même si @@ -44,7 +44,7 @@ des conseils pour aider les utilisateurs de FreeBSD à choisir la nouvelle version la plus adaptée à leurs besoins. Garder un oeil sur tout cela et n'hésitez pas à nous envoyer vos commentaires.</p> - <p>Pour celles et ceux qui sont en Europe -- nous attendons avec impatience de vous voir à la + <p>Pour celles et ceux qui sont en Europe -- nous attendons avec impatience de vous voir à la Convention Européenne BSD qui aura lieu dans quelques mois !</p> <p>Scott Long, Robert Watson</p> @@ -91,9 +91,9 @@ <li>Le futur des BSD</li> </ul> - <p>Les propositions sous la forme de résumés détaillés doivent être envoyées avant le - 1er Avril 2003. Assurez-vous de respecter toutes les conditions requises concernant ce - résumé avant de l'envoyer. La sélection se fera sur la + <p>Les propositions sous la forme de résumés détaillés doivent être envoyées avant le + 1er Avril 2003. Assurez-vous de respecter toutes les conditions requises concernant ce + résumé avant de l'envoyer. La sélection se fera sur la qualité des travaux et sur leur intérêt pour la communauté.</p> <p>Nous attendons avec impatience vos articles !</p> @@ -122,11 +122,11 @@ périphériques "disc" apparaissent dorénavant en "disc#" au lieu de "ds#". Il reste du travail à faire sur "pppd" pour lui intégrer la duplication mais cela devrait fonctionner tant que les périphériques sont créés au préalable.</p> - <p>Du côté de l'API, la gestion des interfaces obligatoires (i.e. lo0) + <p>Du côté de l'API, la gestion des interfaces obligatoires (i.e. lo0) est prise en charge par le code générique de duplication si bien que if_clone_destroy a de nouveau la même API que sous NetBSD et <if>_modevent n'a pas besoin de créer les périphériques nécessaires manuellement.</p> - <p>Actuellement, toutes les pseudo-interfaces ont été converties vers + <p>Actuellement, toutes les pseudo-interfaces ont été converties vers l'API de duplication ou possèdent déjà leurs propres duplications (sl(4) par exemple utilise un mécanisme qui lui est propre). Certains périphériques tels que tun(4) et tap/vmware devrait probablement être convertis vers l'API de duplication @@ -158,9 +158,9 @@ <body> <p>Nous étions sur la mise à jour de la branche RELENG_4 en vue de la 4.7-RELEASE. Lorsque le port ja-man-1.1j_5 ne fonctionnait plus vers la fin Juillet, - Kumano-san et Mori-san ont essayé de mettre à jour le port de manière à ce qu'il soit basé + Kumano-san et Mori-san ont essayé de mettre à jour le port de manière à ce qu'il soit basé sur une version plus récente des pages de manuel des commandes du système de base FreeBSD. - Finalement, nous avons décidé de simplement corriger le port ja-man-1.1j_5 de façon à ce + Finalement, nous avons décidé de simplement corriger le port ja-man-1.1j_5 de façon à ce qu'il puisse être compilé, étant donné que le nouveau port n'était pas encore terminé.</p> </body> </project> @@ -186,10 +186,10 @@ </links> <body> - <p>Le code GEOM est si bien avancé qu'il surpasse notre code actuel + <p>Le code GEOM est si bien avancé qu'il surpasse notre code actuel sur plusieurs points bien qu'il soit encore en retard sur d'autres. L'objectif est de faire de GEOM le défaut dans la 5.0-RELEASE.</p> - <p>Un module de chiffrement qui devrait être capable de + <p>Un module de chiffrement qui devrait être capable de protéger un disque/une partition de pratiquement n'importe quel attaque est actuellement en cours de conception.</p> @@ -222,7 +222,7 @@ <body> <p>Le système de fichier UFS2 est en cours d'achèvement : les fonctions - pour les attributs étendus ont été ajoutées (dont une nouvelle + pour les attributs étendus ont été ajoutées (dont une nouvelle API composée pour les modifications) et les tests de base ont été un succès.</p> </body> @@ -262,12 +262,12 @@ </links> <body> - <p>Environ 50% du nouveau Manuel de Référence a été traduit (toute la partie + <p>Environ 50% du nouveau Manuel de Référence a été traduit (toute la partie concernant l'installation est traduite). La plupart des articles ont également été traduits.</p> <p>Le site web est en cours, consultez le serveur web. Nous devons maintenant l'intégrer à l'arbre CVS US.</p> - <p>La traduction de la dernière version de la FAQ reste à faire et le prochain _très_ + <p>La traduction de la dernière version de la FAQ reste à faire et le prochain _très_ gros projet sera les pages de manuel.</p> </body> </project> @@ -299,29 +299,29 @@ </links> <body> - <p>Je suis très heureux d'annoncer qu'une nouvelle version de - développement est disponible à l'adresse + <p>Je suis très heureux d'annoncer qu'une nouvelle version de + développement est disponible à l'adresse http://www.geocities.com/m_evmenkin/ngbt-fbsd-20020909.tar.gz</p> <p>Cette version comprends plusieurs changements majeurs et inclue le support des couches de transport UART H4 et USB H2, l'Interface de Contrôleur d'Hôte (HCI), le Protocole de Contrôle et d'Adaptation de la Couche Liaison (L2CAP) et la couche pour les sockets Bluetooth. - Elle inclue également plusieurs utilitaires qui + Elle inclue également plusieurs utilitaires qui peuvent être utilisés pour configurer et tester les périphériques Bluetooth. Enfin, plusieurs pages de manuel ont été ajoutées.</p> <p>Le Protocole de Découverte de Service (SDP) est maintenant supporté. Cette version inclue un démon SDP, un outil de configuration et une bibliothèque utilisateur (un portage de BlueZ-sdp-0.7).</p> - <p>RFCOMM est maintenant supporté. Cette version inclue le démon + <p>RFCOMM est maintenant supporté. Cette version inclue le démon rfcommd qui fournit un service RFCOMM via des pseudo-ttys. Ce n'est pas très utile pour les applications classiques, mais il est maintenant possible de faire fonctionner PPP à travers Bluetooth. C'est un portage de l'ancien - BlueZ-rfcommd-1.1 (qui n'est plus supporté par BlueZ) et il + BlueZ-rfcommd-1.1 (qui n'est plus supporté par BlueZ) et il comporte encore plusieurs bugs.</p> <p>Les prochaines étapes sont de corriger le support RFCOMM actuel et de travailler sur une nouvelle implémentation côté noyau de RFCOMM et BNEP (Protocole - d'Encapsulation de Réseau Bluetooth). Il reste aussi beaucoup de travail - sur les programmes utilisateurs (de meilleurs utilitaires et bibliothèques, une meilleure + d'Encapsulation de Réseau Bluetooth). Il reste aussi beaucoup de travail + sur les programmes utilisateurs (de meilleurs utilitaires et bibliothèques, une meilleure documentation, etc.).</p> </body> </project> @@ -347,8 +347,8 @@ <body> <p>La version 1.2 est disponible depuis peu. Elle devrait compiler et fonctionner sur n'importe quel FreeBSD-current récent. Le support pour manipuler les registres SUNI - a été ajouté aux drivers ATM (afin de passer entre les modes - SONET et SDH par exemple). Le paquetage ngatmsig inclu désormais un petit module + a été ajouté aux drivers ATM (afin de passer entre les modes + SONET et SDH par exemple). Le paquetage ngatmsig inclu désormais un petit module simple de contrôle d'appel qui peut être utilisé pour concevoir un switch ATM basique. Le code netgraph a été corrigé afin d'utiliser le verrouillage "officiel" de netgraph.</p> @@ -383,9 +383,9 @@ <body> <p>Du côté API, fmtmsg(3) a été implémenté, glob(3) supporte de nouvelles - options, ulimit(3) a été implémenté et le support des caractères/chaînes de + options, ulimit(3) a été implémenté et le support des caractères/chaînes de caractères étendus a été largement amélioré avec l'ajout de 30 nouvelles fonctions - (consultez l'état du projet pour plus de détails). Le travail progresse en ce qui + (consultez l'état du projet pour plus de détails). Le travail progresse en ce qui concerne l'ajout de qualification de type restreint C99 aux fonctions de l'ensemble du système. Cela permet au compilateur de réaliser des optimisations supplémentaires basées sur le fait qu'un argument à qualification restreinte est la seule référence @@ -436,7 +436,7 @@ <body> <p>Le port du bureau GNOME 2 en est maintenant à sa version 2.0.2rc1 avec une version 2.0.2 qui devrait sortir avant la 4.7-RELEASE. Mozilla 1.1 a été porté - et est disponible au côté de Mozilla 1.0.1. Les développements sur GNOMENG + et est disponible au côté de Mozilla 1.0.1. Les développements sur GNOMENG sont en bonne voie. Une bonne partie des ports utilisent maintenant la nouvelle infrastructure notamment grâce à la participation de Edwin Groothuis. Nous sommes actuellement sur les @@ -468,9 +468,9 @@ </links> <body> - <p>Le module ATAPI/CAM permet aux périphériques ATAPI (lecteurs - CD-ROM, CD-RW et DVD, lecteurs de disques tels que Iomega Zip, lecteurs de bandes) - d'être accessibles à travers le sous-système SCSI (CAM). ATAPI/CAM a été + <p>Le module ATAPI/CAM permet aux périphériques ATAPI (lecteurs + CD-ROM, CD-RW et DVD, lecteurs de disques tels que Iomega Zip, lecteurs de bandes) + d'être accessibles à travers le sous-système SCSI (CAM). ATAPI/CAM a été intégré dans -CURRENT. Le code devrait être complètement fonctionnel (il a été utilisé par de nombreux testeurs via des patches pour -STABLE et -CURRENT durant les huit derniers mois), mais il reste quelques problèmes @@ -492,7 +492,7 @@ </contact> <body> <p>L'objectif de ce projet est d'importer le sous-système de chiffrement intégré au noyau - de OpenBSD. Ce système permet un accès côté noyau et côté utilisateur aux + de OpenBSD. Ce système permet un accès côté noyau et côté utilisateur aux périphériques de chiffrement matériels pour le calcul des "hashes" et des clefs de chiffrement ainsi que pour les opérations avec clef publique. Les principaux clients de ce système sont RNG (/dev/random), les protocoles réseaux (comme IPSEC) et @@ -503,7 +503,7 @@ chiffrement est stable et est utilisé en production sur des machines en version -stable depuis plusieurs mois.</p> <p>L'import de ce développement dans la branche -current a commencé. Un patch disponible - publiquement pour la version 4.7 sera proposé après la sortie de la 4.7. L'intégration + publiquement pour la version 4.7 sera proposé après la sortie de la 4.7. L'intégration dans la branche -stable est prévu pour la 4.8.</p> </body> </project> @@ -551,12 +551,12 @@ </links> <body> - <p>Le travail progresse pour faire passer en -stable plusieurs corrections de + <p>Le travail progresse pour faire passer en -stable plusieurs corrections de bugs liés à une corruption vm_map. Ce travail est probablement trop compliqué pour qu'il soit terminé avant la sortie de la 4.7 mais il devrait être achevé après la fin du gel du code source. Le bug en question se produit typiquement sur les systèmes avec beaucoup de mémoire et fortement - chargés. Il conduit généralement à des paniques ou à des fautes de page noyau + chargés. Il conduit généralement à des paniques ou à des fautes de page noyau (KPF, "kernel-page-fault's") dans une fonction liée à vm_map.</p> </body> </project> @@ -583,7 +583,7 @@ <body> <p>Le code existant a été réécrit. Le gestionnaire noyau est - nettement plus simple puisqu'il déplace toutes les fonctions en mode utilisateur et + nettement plus simple puisqu'il déplace toutes les fonctions en mode utilisateur et passe simplement les CCBs vers/depuis le SIM. Le mode utilisateur émule un disque (RBC) avec les E/S dirigées vers un fichier. Il remplace /sys/cam/scsi/scsi_target* et /usr/share/examples/scsi_target.</p> @@ -612,17 +612,17 @@ <body> <p>Une nouvelle implémentation du gestionnaire de processus avec algorithme "loterie" imaginé par Carl Waldspurger et. al. est en cours de développement sur FreeBSD - -STABLE. Il est développé dans le cadre d'un projet d'étude + -STABLE. Il est développé dans le cadre d'un projet d'étude informatique de l'Université de Brasília du Brésil. En conséquence, d'autres implémentations existantes n'ont pas été consultées de manière à éviter le plagiat mais elles le seront plus tard - afin de chercher des idées pour une meilleure implémentation. + afin de chercher des idées pour une meilleure implémentation. Actuellement, une partie de la structure nécessaire a été codée - dans le noyau et le travail progresse malgré le manque général de - documentation en ce qui concerne le noyau. Ce projet apportera également une - documentation simple sur la structure du gestionnaire de processus du noyau - de la branche -STABLE, un port du gestionnaire avec algorithme "loterie" sur - la branche -CURRENT et des implémentations supplémentaires + dans le noyau et le travail progresse malgré le manque général de + documentation en ce qui concerne le noyau. Ce projet apportera également une + documentation simple sur la structure du gestionnaire de processus du noyau + de la branche -STABLE, un port du gestionnaire avec algorithme "loterie" sur + la branche -CURRENT et des implémentations supplémentaires d'autres algorithmes de gestion de processus de Carl Waldspurger et. al. Les membres de la communauté FreeBSD ont joué et continueront à jouer un rôle décisif par leurs tests et leurs suggestions/commentaires sur les idées @@ -711,7 +711,7 @@ </links> <body> - <p>Le Projet de Documentation FreeBSD en langue Portugaise/Brésilienne a + <p>Le Projet de Documentation FreeBSD en langue Portugaise/Brésilienne a fusionné avec un groupe de traduction formé de membres du groupe d'utilisateurs brésilien de FreeBSD (le FUG-BR). Le projet brésilien a décidé de devenir un groupe officiel au sein du FUG-BR après avoir reçu @@ -721,15 +721,15 @@ Le travail progresse vite : le Manuel de Référence est à moitié traduit et la traduction des articles est en cours. Les membres de l'ancien projet de traduction sont fiers de maintenant faire partie d'un groupe d'utilisateurs aussi motivés. Les contacts - ci-dessus représentent les contacts officiels pour le nouveau - groupe de traduction. Nous espérons avoir au moins une partie de ces + ci-dessus représentent les contacts officiels pour le nouveau + groupe de traduction. Nous espérons avoir au moins une partie de ces travaux prêts à temps pour la sortie de FreeBSD 4.7.</p> </body> </project> <project> <title>KSE</title> - + <contact> <person> <name> @@ -753,23 +753,23 @@ <email>deischen@freebsd.org</email> </person> </contact> - + <links> <url href="http://www.freebsd.org/~julian">une vague description</url> </links> - + <body> <p>David Xu et moi-même avons travaillé sur le "nettoyage" de certaines parties - de KSE-III et Jonathon et Dan ont travaillé sur l'interface + de KSE-III et Jonathon et Dan ont travaillé sur l'interface utilisateur. La librairie utilisateur sera prochainement intégrée à l'état de prototype et un programme de test fonctionnel utilisant cette devrait l'accompagner. Je viens également d'intégrer une refonte des états de fonctionnement pour les threads noyau, ce qui permet de simplifier ou de résoudre certains problèmes apparus récemment.</p> - <p>Si tout va bien, nous devrions être capable de faire fonctionner des threads sur + <p>Si tout va bien, nous devrions être capable de faire fonctionner des threads sur plusieurs processeurs dès les prochaines semaines. Les bases du support pour les signaux sont actuellement en cours d'évolution. Archie Cobbs apportera également son aide sur certains travaux. - Un alias de courrier électronique est disponible pour tous les développeurs à l'adresse kse@elischer.org. + Un alias de courrier électronique est disponible pour tous les développeurs à l'adresse kse@elischer.org. Il est pour le moment géré manuellement.</p> </body> </project> @@ -798,9 +798,9 @@ 4.6.1.) La prochaine version de la série 4.X sera FreeBSD 4.7 et elle est prévue pour le 1er Octobre 2002.</p> <p>Parallèlement, le travail se poursuit pour la sortie de la pré-version - développeur 5.0-DP2, une étape importante sur le chemin de + développeur 5.0-DP2, une étape importante sur le chemin de FreeBSD 5.0, toujours prévue pour le 20 Novembre. - Au fur et à mesure que la 5.0 se rapproche, les efforts se focalisent sur la + Au fur et à mesure que la 5.0 se rapproche, les efforts se focalisent sur la stabilisation du système et non plus sur l'ajout de nouvelles fonctions. Pour nous aider dans cette tâche, les développeurs sont invités à discuter avec nous de toutes les nouvelles fonctions prévues dans -CURRENT à partir du 1er Octobre.</p> @@ -853,11 +853,11 @@ <body> <p>L'équipe en charge des donations a commencé son activité ces derniers - mois. Les offres en équipement continuent d'arriver et nous les + mois. Les offres en équipement continuent d'arriver et nous les distribuons aux développeurs FreeBSD aussi rapidement que possible. Nous avons maintenant une "liste de souhaits" dans la section dédiée aux donations sur le site web. Plusieurs petites choses, comme des cartes réseaux, ont - été envoyées aux personnes désirant écrire le code nécessaire pour + été envoyées aux personnes désirant écrire le code nécessaire pour supporter ce matériel. Nous avons eu quelques donations plus importantes (i.e. des serveurs) prêtes à être envoyées aux développeurs, une fois que tous les détails pour l'expédition auront été réglés.</p> @@ -885,7 +885,7 @@ <body> <p>Le travail sur RAIDFrame s'était arrêté pour quelque temps, puis avait repris - l'été dernier, avait cessé à nouveau et il est maintenant reparti. Des progrès + l'été dernier, avait cessé à nouveau et il est maintenant reparti. Des progrès significatifs ont eté faits pour rendre les mécanismes de verrous compatibles avec SMPng et pour éviter un usage abusif de la pile noyau. Je suis heureux d'annoncer qu'il commence à fonctionner de manière fiable sur des disques @@ -893,7 +893,7 @@ à fonctionner avec de vrais disques. Beaucoup de nettoyage reste à faire et quelques gros "hack" sont encore présents mais tout sera peut-être prêt pour la sortie de FreeBSD 5.0. Les patches pour FreeBSD 5-current et 4-stable - sont disponibles sur le site web. Bien que les patches pour 4-stable datent de plus d'un an, + sont disponibles sur le site web. Bien que les patches pour 4-stable datent de plus d'un an, ils s'appliquent et fonctionnent toujours sans problème.</p> </body> </project> @@ -924,30 +924,30 @@ </contact> <links> - <url href="http://www.freebsd.org/projects/libh.html">Page web du + <url href="http://www.freebsd.org/projects/libh.html">Page web du projet</url> </links> <body> <p>L'ordinateur de développement principal, où était stocké le dépôt CVS et - les pages web, est mort. Le serveur a planté + les pages web, est mort. Le serveur a planté après une mise à jour du système et il n'a jamais pu redémarré. Nous avons - du sortir les disques afin de faire des backups. Nous allons + du sortir les disques afin de faire des backups. Nous allons mettre en place une autre machine en remplacement de celle-ci et espérer que tout se passe pour le mieux. Donc - pour l'instant, le port est arrêté puisque le CVS ainsi que les pages web + pour l'instant, le port est arrêté puisque le CVS ainsi que les pages web sont inaccessibles. Nous travaillons à corriger ce problème, merci d'être indulgent.</p> <p>Sur une note plus positive, Max a commencé à coder les changements qu'il avait lui-même proposé concernant le système de compilation et l'API TCL; LibH va passer - à SWIG pour l'interface TCL, ce qui devrait considérablement simplifier le + à SWIG pour l'interface TCL, ce qui devrait considérablement simplifier le système et réduire les temps de compilation. Le sous-système Hui est par conséquent en cours de ré-écriture. De mon côté, j'ai réalisé quelques tests sur la compilation et l'utilisation de LibH avec rhtvision mais ces tests ont été moins concluants que je ne l'avais espéré et j'ai donc mis de côté cette idée. Le travail sur libh s'est arrêté durant tout le mois de Juillet puisque je n'avais plus d'accès réseau pendant ce laps de temps. Pour l'instant, LibH est plutôt en - mauvais état. Mais nous avons bon espoir de tout remettre en place + mauvais état. Mais nous avons bon espoir de tout remettre en place très bientôt pour pouvoir sortir une nouvelle version qui utilisera pleinement la nouvelle interface SWIG.</p> </body> @@ -991,9 +991,9 @@ <p>En Septembre, l'officier de sécurité FreeBSD a publié une nouvelle clef PGP (ID 0xCA6CDFB2, disponible sur le site FTP et dans le manuel de référence). Cela a permis de remettre en adéquation la liste des personnes qui possède la clef privé correspondante - avec la liste des membre du groupe de l'officier de sécurité publiée sur + avec la liste des membre du groupe de l'officier de sécurité publiée sur le site web. Cela a également permis de contourner le problème lié - à la présence d'une version corrompue de l'ancienne clef sur certains serveurs de + à la présence d'une version corrompue de l'ancienne clef sur certains serveurs de clefs publiques.</p> </body> </project> @@ -1021,7 +1021,7 @@ notre plug-in noyau de contrôle d'accès pour FreeBSD, a énormément évolué et une grande partie de cette infrastructure a été intégrée dans la branche principale de développement de FreeBSD durant Juillet et Août.</p> - <p>Plusieurs changements ont été apportés comme: les noms des + <p>Plusieurs changements ont été apportés comme: les noms des composants sont passés à l'espace de nommage VOP de VFS; une meilleure mise en cache des labels MAC dans les vnodes; accès mémoire mmap pour le relabel des sujets; vérification pour access()/eaccess(); vérifications pour les fonctions read, @@ -1030,11 +1030,11 @@ nettoyage des vérifications de socket/visibilité; vérifications pour les fonctions socket bind, connect, listen, ....; de nombreuses améliorations en ce qui concerne le vérouillage et les assertions, en particulier pour les vnodes, des processus; l'infrastructure supporte désormais les mises à jour - partielles de label sur les sujets et les objets; la gestion des références dans - 'struct file' a été améliorée, il y a une meilleure distinction entre active_cred + partielles de label sur les sujets et les objets; la gestion des références dans + 'struct file' a été améliorée, il y a une meilleure distinction entre active_cred et file_cred et ils sont passés explicitement à l'infrastructure - MAC; le système de comptabilité utilise maintenant les références en cache pour - les opérations d'écritures; socreate() peut utiliser les références en cache pour + MAC; le système de comptabilité utilise maintenant les références en cache pour + les opérations d'écritures; socreate() peut utiliser les références en cache pour le label des sockets ce qui corrige les connexions socket nfs différées et les reconnexions avec TCP; les intéractions entre kse et proc1 ont été corrigées; l'option IO_NOMACCHECK a été ajoutée à vn_rdwr() pour une utilisation interne de façon à éviter @@ -1043,10 +1043,10 @@ les labels MAC par défaut; mac_get_pid() afin de supporter ps et getpmac -p pid; révocation mmap par défaut en "fail stop"; MAC_DEBUG inclu un compteur atomique de labels; support des attributs étendus de UFS2; premier - port de LOMAC sur l'infrastructure MAC; mise à jour des politiques de contrôles pour tenir - compte de tous ces changements; intégration de KSE III; intégration de nmount(); mise à jour de + port de LOMAC sur l'infrastructure MAC; mise à jour des politiques de contrôles pour tenir + compte de tous ces changements; intégration de KSE III; intégration de nmount(); mise à jour de ugidfw pour pouvoir utiliser les noms de groupes et d'utilisateurs; libugidfw; nombreuses améliorations - dans les conventions de nommages; dépendances des modules dans + dans les conventions de nommages; dépendances des modules dans l'infrastructure MAC; intégration à grande échelle des fonctions MAC dans la branche principale de FreeBSD. Interfaces KDE pour les activités de gestion les plus courantes.</p> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-sample.xml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-sample.xml index 7f437faa71..d90ee8a100 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-sample.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report-sample.xml @@ -1,6 +1,6 @@ <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.2 @@ -31,9 +31,9 @@ </links> <body> - <p>Vous pouvez commencer votre premier paragraphe ici. En géneral, vous - ne soumettrez qu'un seul paragraphe par rapport car ils - doivent être brefs. Si toutefois, vous trouvez + <p>Vous pouvez commencer votre premier paragraphe ici. En géneral, vous + ne soumettrez qu'un seul paragraphe par rapport car ils + doivent être brefs. Si toutefois, vous trouvez nécessaire d'en écrire un avec plusieurs paragraphes, c'est très simple.</p> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report.xsl b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report.xsl index 6ee96233d3..501151161f 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report.xsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/news/status/report.xsl @@ -6,11 +6,11 @@ <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.5 - - Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> + + Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> <!-- Standard header material --> @@ -65,11 +65,11 @@ </xsl:apply-templates> <!-- Standard footer --> - <a href="../news.html">News Home</a> | <a href="status.html">Status Home</a> + <a href="../news.html">News Home</a> | <a href="status.html">Status Home</a> </xsl:template> <!-- Everything that follows are templates for the rest of the content --> - + <!-- A section creates a header, and copies in all the <p> elements from itself --> <xsl:template match="section"> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/platforms/x86-64.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/platforms/x86-64.sgml index 8664a7594a..68571b0b10 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/platforms/x86-64.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/platforms/x86-64.sgml @@ -16,7 +16,7 @@ <head> <meta http-equiv="refresh" content="5;url=&base;/platforms/amd64.html"/> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=ISO-8859-1"/> - + <title>&title;</title> <cvs:keyword xmlns:cvs="http://www.FreeBSD.org/XML/CVS">$FreeBSD$</cvs:keyword> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/c99/index.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/c99/index.sgml index 08bee7a8e8..49725e949b 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/c99/index.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/c99/index.sgml @@ -1716,7 +1716,7 @@ </tr> <tr> - <td> Implémenter l'utilitaire <a href="http://people.FreeBSD.org/~schweikh/posix-utilities.html#fuser">fuser</a> (PR: <a href="http://www.FreeBSD.org/cgi/query-pr.cgi?pr=36076">36076</a>, + <td> Implémenter l'utilitaire <a href="http://people.FreeBSD.org/~schweikh/posix-utilities.html#fuser">fuser</a> (PR: <a href="http://www.FreeBSD.org/cgi/query-pr.cgi?pr=36076">36076</a>, <a href="http://www.FreeBSD.org/cgi/query-pr.cgi?pr=53682">53682</a>). </td> <td> </td> <td> 4 Février 2003 </td> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/mips/index.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/mips/index.sgml index 3289d7d34e..d8fadf16e1 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/mips/index.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/mips/index.sgml @@ -31,7 +31,7 @@ <html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml"> <head> - + <title>Projet FreeBSD/MIPS</title> <cvs:keyword xmlns:cvs="http://www.FreeBSD.org/XML/CVS">$FreeBSD$</cvs:keyword> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/projects.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/projects.sgml index b176011a87..fe8da91382 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/projects.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/projects/projects.sgml @@ -152,7 +152,7 @@ Contribuer au catalogue des logiciels portés de FreeBSD</a></li> <li><a name="kame" href="http://www.kame.net/">Projet KAME</a>, une pile IPv6/IPsec pour BSD disponible librement.</li> <li><a name="SYSLOG-SECURE" href="http://www.faqs.org/rfcs/rfc3164.html">SYSLOG-SECURE</a>: En Août 2001, un standard pour syslog a été établi sous la - dénomination RFC3164. Ce document RFC décrit certaines extensions pour + dénomination RFC3164. Ce document RFC décrit certaines extensions pour améliorer la sécurité de syslog. Le projet a débuté en 2002 pour adapter le RFC3164 à la version FreeBSD de syslog, et pour lui ajouter des extensions de sécurité (au minimum syslog-sign). La libc et syslogd @@ -236,7 +236,7 @@ sont que les utilisateurs ont un contrôle strict sur le pourcentage relatif d'exécution de leurs processus et que les utilisateurs sont isolés les uns des autres ce qui empêche un utilisateur de monopoliser le CPU.</li> -<li><a name="openbsm" href="http://www.OpenBSM.org/">OpenBSM</a>: +<li><a name="openbsm" href="http://www.OpenBSM.org/">OpenBSM</a>: est une implémentation open source de l'API d'Audit du Module de Sécurité Fondamentale de Sun ("BSM - Basic Security Module") ainsi que de son format de fichier. OpenBSM fournit les librairies accessibles depuis l'espace utilisateur, les outils, ainsi que la documentation @@ -389,7 +389,7 @@ la liste de diffusion, etc...</li> est un projet visant à obtenir un fonctionnement stable de l'ACPI sur FreeBSD.</li> - <li><a name="binup" + <li><a name="binup" href="http://www.daemonology.net/freebsd-update/">Mise à jour binaire</a>: FreeBSD Update est un système permettant, et ce de manière automatique, de construire, distribuer, récupérer et appliquer diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/relnotes/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/relnotes/Makefile index d4351fd9be..8a26a84476 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/relnotes/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/relnotes/Makefile @@ -8,7 +8,7 @@ # path to that relnotes set. # # $FreeBSD$ -# Original Revision: 1.5 +# Original Revision: 1.5 # .if exists(../Makefile.inc) .include "../Makefile.inc" diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/Makefile b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/Makefile index f3606a1a78..df30c15d60 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/Makefile +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/Makefile @@ -11,7 +11,7 @@ .endif DOCS+= index-site.sgml -DOCS+= search.sgml +DOCS+= search.sgml DOCS+= searchhints.sgml DOCS+= search-mid.sgml diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/search.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/search.sgml index bc8b3b9055..6a5173e1e7 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/search.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/search/search.sgml @@ -541,7 +541,7 @@ conduire à des résultats inexacts.</em></p> </tr> <tr> - <td><input type="checkbox" name="source" + <td><input type="checkbox" name="source" value="freebsd-python"/> <strong>Python</strong></td> <td>Problèmes avec Python spécifiques à FreeBSD</td> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/security/mkindex.xsl b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/security/mkindex.xsl index a438daa67c..1cc4309ac8 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/security/mkindex.xsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/htdocs/security/mkindex.xsl @@ -4,11 +4,11 @@ <!-- $FreeBSD$ --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.4 - Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> + Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> --> <xsl:stylesheet xmlns:xsl="http://www.w3.org/1999/XSL/Transform" version="1.0"> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/abstract.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/abstract.ent index 8ebec98cff..9a157fa89a 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/abstract.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/abstract.ent @@ -3,8 +3,8 @@ The FreeBSD French Documentation Project Références vers d'autres fichiers qui peuvent être inclus à l'intérieur - d'un élément Abstract. Les noms des éléments sont de la forme - "abstract.<element>", où <element> est le texte de la partie visible de + d'un élément Abstract. Les noms des éléments sont de la forme + "abstract.<element>", où <element> est le texte de la partie visible de l'entité. Exemple : "abstract.legalnotice" et "abstract.preface". $FreeBSD$ diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/artheader.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/artheader.ent index 90b7b739ca..e155a066a9 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/artheader.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/artheader.ent @@ -3,8 +3,8 @@ The FreeBSD French Documentation Project Références vers d'autres fichiers qui peuvent être inclus à l'intérieur - d'un élément ArtHeader. Les noms des éléments sont de la forme - "artheader.<element>", où <element> est le texte de la partie visible de + d'un élément ArtHeader. Les noms des éléments sont de la forme + "artheader.<element>", où <element> est le texte de la partie visible de l'entité. Exemple : "artheader.legalnotice" et "artheader.preface". $FreeBSD$ diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/catalog b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/catalog index 98f156210f..31448f8a28 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/catalog +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/catalog @@ -3,7 +3,7 @@ -- ...................................................................... -- -- French specific ...................................................... -- - + -- $FreeBSD$ -- diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/events.xml b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/events.xml index 043ccf6220..915a052335 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/events.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/events.xml @@ -7,10 +7,10 @@ Please sort the events by start date. --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.20 - + Version francaise : Francis Bacque <opl@opltech.net> --> @@ -39,7 +39,7 @@ </location> <description>SUCON est une conférence emergente centrée sur - les thèmes relatifs au système d'exploitation Unix. Notre but + les thèmes relatifs au système d'exploitation Unix. Notre but est de rassembler les dévelopeurs, les administrateurs système et les utilisateurs d'Unix pour encourager les projets, les idées et la connaissance de chaque individu. Il y aura aussi des exposés @@ -67,10 +67,10 @@ <description>A la Conférence Technique Annuelle USENIX 2004, se tiendra <a href="http://www.usenix.org/events/usenix04/cfp/freenix.html">FREENIX</a> - et une session d'évaluation formelle des documents ainsi que les nouvelles + et une session d'évaluation formelle des documents ainsi que les nouvelles Sessions du Groupe d'Intéret Spécial <a href="http://www.usenix.org/events/usenix04/usebsd.html">UseBSD</a>. - Il n'y aura pas d'autre conférence BSD indépendante soutenue par Usenix + Il n'y aura pas d'autre conférence BSD indépendante soutenue par Usenix aux USA en 2004, ce qui fait de celle-ci LA grosse conférence de l'année pour les "BSDistes" enthousiastes aux US.</description> </event> @@ -94,7 +94,7 @@ <site>Kongresszentrum</site> </location> <description>Linuxtag est l'un des plus importants marchés et conférences - Linux et Open Source d'Europe. Comme les années précédentes, un stand FreeBSD + Linux et Open Source d'Europe. Comme les années précédentes, un stand FreeBSD sera présent.</description> </event> @@ -115,7 +115,7 @@ <country>Canada</country> <city>Ottawa</city> <site>University of Ottawa</site> - </location> + </location> <description>BSDCan est une conférence pour dévelopeurs, où l'accent est fortement mis sur les technologies émergentes, les projets de recherche et les travaux en cours. Il présente aussi les projets @@ -168,7 +168,7 @@ <address>Fruebjergvej 3</address> </location> <description>Conférence annuelle Open Source Danoise. Le groupe danois - d'utilisateurs BSD <a href="http://www.bsd-dk.dk">BSD-DK</a> + d'utilisateurs BSD <a href="http://www.bsd-dk.dk">BSD-DK</a> présentera les BSDs.</description> </event> @@ -217,7 +217,7 @@ <address>La Défense</address> </location> <description>Un événement sur 3 jours pour la promotion de GNU/Linux et - des logiciels Open Source.<a href="http://www.FreeBSD-fr.ORG"> Le + des logiciels Open Source.<a href="http://www.FreeBSD-fr.ORG"> Le groupe français d'utilisateurs FreeBSD</a> sera présent dans le village des Associations pour promouvoir FreeBSD, bien sûr!</description> </event> @@ -244,7 +244,7 @@ </location> <description>Le Congrès Chaos Communication est une conférence de 3 jours portant sur la technologie, la société et l'utopie. - FreeBSD sera présent avec un stand. Si vous désirez + FreeBSD sera présent avec un stand. Si vous désirez nous aider, merci de contacter <a href="mailto:brueffer@FreeBSD.org">Christian Brueffer</a>. </description> @@ -271,7 +271,7 @@ <country>Brésil</country> <city>Rio de Janeiro</city> </location> - <description>C'est la première édition de la BSDCon Brésil. BSDCon + <description>C'est la première édition de la BSDCon Brésil. BSDCon Brésil est promue et organisée par un groupe de corporations en relation avec la communauté BSD. Il y aura 2 jours intensifs d'ateliers, de présentations et de mini tutoriels relatifs aux @@ -322,8 +322,8 @@ </location> <description>Rejoignez nous Lundi 24 Novembre pour célébrer les 10 ans de FreeBSD ! RSVP <a - href="http://www.offmyserver.com/cgi-bin/store/rsvp.html"> ici</a> - pour que nous commandions suffisamment de nourriture et de boissons + href="http://www.offmyserver.com/cgi-bin/store/rsvp.html"> ici</a> + pour que nous commandions suffisamment de nourriture et de boissons pour tout le monde.</description> <link type="photos"> @@ -379,7 +379,7 @@ travaux à la communauté. L'entrée est gratuite. Il y sera aussi question de FreeBSD.</description> </event> - + <event id="bsdcon-japan-2003"> <name>BSDCon Japon 2003</name> <url>http://bsdcon.jp/</url> @@ -450,7 +450,7 @@ </location> <description>Pour la quatrième fois, l'évenement majeur BSD, la BSDCon. Deux jours de tutoriels précederont deux jours et demi de sessions - techniques. Une opportunité pour les personnes de tous niveaux + techniques. Une opportunité pour les personnes de tous niveaux d'expérience de rencontrer des experts BSD, des professionnels avec des expériences concrètes et des leaders de l'industrie. </description> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/freebsd.dsl b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/freebsd.dsl index 36f354c060..310845b2d1 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/freebsd.dsl +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/freebsd.dsl @@ -18,8 +18,8 @@ <style-sheet> <style-specification use="docbook"> <style-specification-body> - - <![ %output.html; [ + + <![ %output.html; [ <!-- Fix a problem with the French localisation. This should really be a patch to the dsssl-docbook-modular port, but this gets it @@ -40,7 +40,7 @@ (literal "."))) (make element gi: "p" attributes: (list (list "align" "center")) - (make element gi: "small" + (make element gi: "small" (literal "Pour toutes questions à propos de FreeBSD, lisez la ") (make element gi: "a" attributes: (list (list "href" "http://www.freebsd.org/docs.html")) diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/navibar.l10n.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/navibar.l10n.ent index 3537bfee90..14359bbf30 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/navibar.l10n.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/navibar.l10n.ent @@ -100,10 +100,10 @@ <li><a href="&enbase;/&u.rel.announce;">Version de production: &rel.current;</a></li> <li><a href="&enbase;/&u.rel2.announce;">Version (ancienne) de production: &rel2.current;</a></li> <li><a href="&base;/snapshots/">Instantanés</a></li> - <![ %beta.testing; [ + <![ %beta.testing; [ <li><a href="&u.betarel.schedule;">Version à venir: &betarel.current;</a></li> ]]> - <![ %beta2.testing; [ + <![ %beta2.testing; [ <li><a href="&u.betarel2.schedule;">Version à venir: &betarel2.current;</a></li> ]]> </ul> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/news.xml b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/news.xml index 585b91ae24..2dbde73a35 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/news.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/news.xml @@ -4,7 +4,7 @@ <!-- Simple schema for FreeBSD Project news. - Divide time in to <year>, <month>, and <day> elements, each of which + Divide time in to <year>, <month>, and <day> elements, each of which has a <name>. each <day> element contains one or more <event> elements. @@ -16,7 +16,7 @@ or one of the mirrors. Use the <title> element if the <p> content is lengthy. When generating - synopses of this information (e.g., for syndication using RDF files), + synopses of this information (e.g., for syndication using RDF files), the contents of <title> will be preferred over <p>. --> @@ -30,10 +30,10 @@ ************************************************* --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 1.252 - + Version francaise : Francois TIFFREAU <dc@freebsd-fr.org> Version francaise (mise a jour) : 1.13 2002/08/22 11:03:57 eagle Version francaise (mise a jour) : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> @@ -96,7 +96,7 @@ <event> <title>La marque FreeBSD transférée à la Fondation</title> - <p>La marque 'FreeBSD', qui appartenait à l'origine + <p>La marque 'FreeBSD', qui appartenait à l'origine à Walnut Creek CDROM (maintenant <a href="http://www.freebsdmall.com">FreeBSD Mall, Inc.</a>) depuis 1996, a été transférée à la <a @@ -131,7 +131,7 @@ <event> <title>Sortie de GNOME 2.8.1 pour FreeBSD</title> - <p>GNOME 2.8.1 a été intégré dans l'arbre des ports + <p>GNOME 2.8.1 a été intégré dans l'arbre des ports dans la foulée de la sortie de FreeBSD 5.3. Consultez la <a href="/gnome/index.html">page de GNOME sous FreeBSD</a> pour plus de détails ainsi que les @@ -167,7 +167,7 @@ <p>L'équipe chargée de la sortie des nouvelles versions est fier d'annoncer la disponibilité de FreeBSD 5.3-RC2. Deux - problèmes critiques ont été découverts pendant les tests de la RC1 et l'équipe a + problèmes critiques ont été découverts pendant les tests de la RC1 et l'équipe a pensé qu'il était préférable de sortir une RC supplémentaire pour pouvoir tester de manière approfondie les corrections apportées. Si aucun autre problème critique n'est découvert, ce sera la dernière version de test avant la @@ -176,7 +176,7 @@ href="http://docs.freebsd.org/cgi/getmsg.cgi?fetch=219950+0+current/freebsd-current">ici</a>.</p> </event> </day> - + <day> <name>29</name> @@ -484,13 +484,13 @@ <event> <title>Efffacement de la gallerie</title> - <p>Du a la difficulté de la maintenance et au peu de bénéfice + <p>Du a la difficulté de la maintenance et au peu de bénéfice <a href="../gallery/">des pages de la gallerie</a> - apporté au projet et aux sites listés, nous avons + apporté au projet et aux sites listés, nous avons décidé de passer plus de temps a travailler sur d'autres aspects de FreeBSD que ces pages. Elles seront retirées d'ici deux semaines et les nouvelles soumissions - ne seront pas traitées. Cela n'a aucune influence sur la + ne seront pas traitées. Cela n'a aucune influence sur la <a href="../commercial/">gallerie commerciale</a>.</p> </event> </day> @@ -564,8 +564,8 @@ <p><a href="&base;/releases/5.2.1R/announce.html">FreeBSD 5.2.1-RELEASE</a> est sorti. Veuillez consulter <a href="&base;/releases/5.2.1R/errata.html">l'errata</a> - avant l'installation pour connaître les dernières informations et/ou - les problèmes de dernière minute concernant cette version 5.2.1. La + avant l'installation pour connaître les dernières informations et/ou + les problèmes de dernière minute concernant cette version 5.2.1. La page <a href="&base;/releases/index.html">d'information sur les versions</a> propose plus de détails à propos des différentes versions.</p> @@ -584,7 +584,7 @@ <day> <name>17</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:rees@FreeBSD.org">Jim Rees</a> (src)</p> </event> @@ -593,7 +593,7 @@ <day> <name>15</name> <event> - <p>Un membre de l'équipe principale démissionne : <a + <p>Un membre de l'équipe principale démissionne : <a href="mailto:grog@FreeBSD.org">Greg Lehey</a> </p> </event> </day> @@ -601,7 +601,7 @@ <day> <name>10</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:mlaier@FreeBSD.org">Max Laier</a> (src)</p> </event> @@ -610,13 +610,13 @@ <day> <name>2</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:le@FreeBSD.org">Lukas Ertl</a> (src)</p> </event> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:pjd@FreeBSD.org">Pawel Jakub Dawidek</a> (src)</p> </event> @@ -642,7 +642,7 @@ <day> <name>21</name> <event> - <p>Nouveau participant : <a + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:philip@FreeBSD.org">Philip Paeps</a> (src)</p> </event> @@ -671,8 +671,8 @@ <p><a href="&base;/releases/5.2R/announce.html">FreeBSD 5.2-RELEASE</a> est sorti. Veuillez consulter <a href="&base;/releases/5.2R/errata.html">l'errata</a> - avant l'installation pour connaître les dernières informations et/ou - les problèmes de dernière minute concernant cette version 5.2. La + avant l'installation pour connaître les dernières informations et/ou + les problèmes de dernière minute concernant cette version 5.2. La page <a href="&base;/releases/index.html">d'information sur les versions</a> propose plus de détails à propos des différentes versions.</p> @@ -729,7 +729,7 @@ <event> <p>Hifn <a href="http://www.hifn.com/info/pr/pressreleases/print/pr_121603_2.html"> - annonce</a> le support officiel de FreeBSD pour ces périphériques de chiffrement + annonce</a> le support officiel de FreeBSD pour ces périphériques de chiffrement de type 795x.</p> </event> </day> @@ -783,7 +783,7 @@ href="&base;/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="&base;/releases/4.9R/errata.html">l'errata</a> - pour connaître les dernières informations et/ou + pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 4.9.</p> </event> </day> @@ -834,8 +834,8 @@ <name>17</name> <event> <title>La page des Evénements FreeBSD est maintenant disponible</title> - <p>La page des <a href="&base;/events/events.html">Evénements - FreeBSD</a> propose des informations sur les événements passés et + <p>La page des <a href="&base;/events/events.html">Evénements + FreeBSD</a> propose des informations sur les événements passés et futurs liés à FreeBSD.</p> </event> </day> @@ -892,7 +892,7 @@ le support natif du JDK 1.3.1 pour FreeBSD</p> </event> </day> - + <day> <name>18</name> <event> @@ -930,9 +930,9 @@ <title>Le Manuel de l'Architecture FreeBSD est maintenant disponible</title> <p>Le tout nouveau <a - href="&base;/../doc/en_US.ISO8859-1/books/arch-handbook/index.html">Manuel de + href="&base;/../doc/en_US.ISO8859-1/books/arch-handbook/index.html">Manuel de l'Architecture FreeBSD</a> est maintenant disponible en ligne pour - les utilisateurs qui voudraient en savoir plus à propos du noyau + les utilisateurs qui voudraient en savoir plus à propos du noyau FreeBSD. La plupart des textes proviennent du <a href="&base;/../doc/fr_FR.ISO8859-1/books/developers-handbook/index.html">Manuel des @@ -980,7 +980,7 @@ <day> <name>21</name> - <event> + <event> <p>Nouveau participant : <a href="mailto:krion@FreeBSD.org">Kirill Ponomarew</a> (Ports)</p> @@ -1021,7 +1021,7 @@ <event> <title>Le Projet FreeBSD fête ses 10 ans !</title> - <p>Il y a 10 ans jour pour jour, le nom "FreeBSD" a été inventé + <p>Il y a 10 ans jour pour jour, le nom "FreeBSD" a été inventé par David Greenman dans <a href="&base;/news/1993/freebsd-coined.html">ce message</a>. Viva FreeBSD !</p> @@ -1056,7 +1056,7 @@ href="&base;/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="&base;/releases/5.1R/errata.html">l'errata</a> - pour connaître les dernières informations et/ou + pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 5.1.</p> </event> </day> @@ -1079,18 +1079,18 @@ </event> </day> </month> - + <month> <name>5</name> - <day> - <name>6</name> - <event> - <p>Nouveau participant : <a + <day> + <name>6</name> + <event> + <p>Nouveau participant : <a href="mailto:oliver@FreeBSD.org">Oliver Lehmann</a> - (Ports)</p> - </event> - </day> + (Ports)</p> + </event> + </day> <day> <name>5</name> @@ -1117,12 +1117,12 @@ <event> <title>Nouvelle liste de diffusion "performance"</title> - <p>La liste de diffusion "performance" a été mise en place pour permettre + <p>La liste de diffusion "performance" a été mise en place pour permettre aux "hackers", administrateurs et/ou aux parties concernées de discuter de sujets relatifs aux performances sous FreeBSD. Les sujets possibles incluent les discussions à propos des installations - de FreeBSD qui supportent de fortes charges d'utilisation, qui - ont des problèmes de performances ou qui repoussent les + de FreeBSD qui supportent de fortes charges d'utilisation, qui + ont des problèmes de performances ou qui repoussent les limites de FreeBSD. Les parties concernées qui désirent travailler à l'amélioration des performances de FreeBSD sont fortement encouragées à s'inscrire à cette liste. Il s'agit d'une @@ -1140,9 +1140,9 @@ <event> <title>Les listes de diffusion FreeBSD.org utilisent maintenant Mailman</title> - <p>Majordomo a très bien rempli son rôle, mais il est maintenant remplacé + <p>Majordomo a très bien rempli son rôle, mais il est maintenant remplacé par <a href="http://www.list.org/">Mailman</a>. - Il est désormais possible de naviguer dans la liste + Il est désormais possible de naviguer dans la liste complète des listes de diffusion sur la page <a href="http://lists.FreeBSD.org/mailman/listinfo">http://lists.FreeBSD.org/mailman/listinfo</a> ou bien via la <a @@ -1162,7 +1162,7 @@ href="&base;/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="&base;/releases/4.8R/errata.html">l'errata</a> - après installation pour connaître les dernières informations et/ou + après installation pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 4.8.</p> </event> </day> @@ -1235,7 +1235,7 @@ <day> <name>19</name> - + <event> <title>FreeBSD 5.0-RELEASE est maintenant disponible</title> @@ -1244,7 +1244,7 @@ href="&base;/releases/index.html">d'information sur les versions</a> pour plus de détails. Consultez également <a href="&base;/releases/5.0R/errata.html">l'errata</a> - après installation pour connaître les dernières informations et/ou + après installation pour connaître les dernières informations et/ou les problèmes de dernière minute concernant cette version 5.0.</p> </event> </day> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/press.xml b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/press.xml index 5ff0f9c0e8..6b4279d319 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/press.xml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/press.xml @@ -1,16 +1,16 @@ <?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1" ?> <!DOCTYPE press PUBLIC "-//FreeBSD//DTD FreeBSD XML Database for Press//EN" "http://www.FreeBSD.org/XML/www/share/sgml/press.dtd"> -<!-- - COMMITTERS PLEASE NOTE: - News articles referenced in this file are also to be archived under - "freefall:/c/www/bsddocs/press/". +<!-- + COMMITTERS PLEASE NOTE: + News articles referenced in this file are also to be archived under + "freefall:/c/www/bsddocs/press/". --> -<!-- +<!-- The FreeBSD French Documentation Project Original revision: 0.0 (traduction incomplete depuis la version originale 1.117) - + Version francaise : Stephane Legrand <stephane@freebsd-fr.org> Version francaise (mise a jour) : Jihad Fallah <jifangers@yahoo.fr> --> @@ -57,7 +57,7 @@ FreeBSD 5.</p> </story> - <story> + <story> <name>Une année en revue : turbulences, difficultés et succès dans le marché des OS</name> <url>http://www.computerworld.co.nz/news.nsf/PrintDoc/C20DECA717B0D5D5CC256DF1006B7A8E?OpenDocument&pub=Computerworld</url> <site-name>Computerworld</site-name> @@ -68,17 +68,17 @@ </story> <story> - <name>eRacks annonce un portable Centrino(TM) pour + <name>eRacks annonce un portable Centrino(TM) pour Linux/FreeBSD</name> <url>http://www.e-consultancy.com/newsfeatures/153803/eracks-announces-linux-centrino-tm-laptop.html</url> <site-name>e-consultancy</site-name> <site-url>http://www.e-consultancy.com/</site-url> <date>30 Décembre 2003</date> <author>Communiqué de presse eRacks</author> - <p>eRacks Open Source Systems annonce un portable basé sur Centrino(TM) + <p>eRacks Open Source Systems annonce un portable basé sur Centrino(TM) qui supporte FreeBSD.</p> </story> - + <story> <name>L'anniversaire des 10 ans du système d'exploitation FreeBSD : Silicon Valley est vivant et vivace !</name> <url>http://www.emediawire.com/releases/2003/12/emw93099.htm</url> @@ -97,7 +97,7 @@ <site-url>http://www.ofb.biz/</site-url> <date>02 Décembre 2003</date> <author>Ed Hurst</author> - <p>Dans cette première partie d'une série d'articles d'introduction, l'auteur + <p>Dans cette première partie d'une série d'articles d'introduction, l'auteur montre comment utiliser le programme d'installation de FreeBSD.</p> </story> @@ -143,7 +143,7 @@ <site-url>http://www.osnews.com</site-url> <date>11 Novembre 2003</date> <author>Gabe Yoder</author> - <p>L'auteur passe rapidement en revue FreeBSD 4.8 et le compare avec + <p>L'auteur passe rapidement en revue FreeBSD 4.8 et le compare avec GNU/Linux.</p> </story> @@ -154,7 +154,7 @@ <site-url>http://www.onlamp.com</site-url> <date>06 Novembre 2003</date> <author>Michael Lucas</author> - <p>L'auteur donne des détails quant à l'utilisation + <p>L'auteur donne des détails quant à l'utilisation de Apsfilter pour l'impression.</p> </story> @@ -165,7 +165,7 @@ <site-url>http://www.osnews.com/</site-url> <date>05 Novembre 2003</date> <author>Corey Holcomb-Hockin</author> - <p>L'auteur examine FreeBSD 4.9, décrit comment le mettre à jour + <p>L'auteur examine FreeBSD 4.9, décrit comment le mettre à jour pour corriger les problèmes de sécurité et intégrer les corrections de bugs et comment compiler un noyau sur mesure.</p> </story> @@ -196,7 +196,7 @@ sur les jails.</p> </story> - <story> + <story> <name>FreeBSD comble les lacunes avec la version 4.9</name> <url>http://siliconvalley.internet.com/news/print.php/3101631</url> <site-name>siliconvalley.internet.com</site-name> @@ -216,18 +216,18 @@ <p>L'auteur examine FreeBSD 5.1-RELEASE et le compare avec GNU/Linux.</p> </story> - <story> + <story> <name>Un bébé dans les bois : Un utilisateur Linux migre vers FreeBSD</name> <url>http://www.ofb.biz/modules.php?name=News&file=print&sid=267</url> <site-name>Open For Business</site-name> <site-url>http://www.ofb.biz/</site-url> <date>09 Octobre 2003</date> <author>Ed Hurst</author> - <p>L'auteur relate l'expérience de sa migration de Linux vers + <p>L'auteur relate l'expérience de sa migration de Linux vers FreeBSD.</p> </story> - - <story> + + <story> <name>Un système de mise à jour binaire automatisé pour la sécurité sous FreeBSD</name> <url>http://www.daemonology.net/freebsd-update/</url> <site-name>Daemonology.net</site-name> @@ -238,7 +238,7 @@ distribuer les mises à jour binaires liées à la sécurité sous FreeBSD.</p> </story> - <story> + <story> <name>Netcraft : BT l'hébergeur le plus fiable du mois de Septembre</name> <url>http://thewhir.com/marketwatch/net100703.cfm</url> <site-name>theWHIR</site-name> @@ -249,7 +249,7 @@ internet les plus fiables pour le mois de Septembre utilisent FreeBSD.</p> </story> - <story> + <story> <name>Utiliser les ACLs sous FreeBSD 5.X</name> <url>http://ezine.daemonnews.org/200310/acl.html</url> <site-name>DaemonNews</site-name> @@ -283,7 +283,7 @@ <date>18 Septembre 2003</date> <author>Dru Lavigne</author> <p>L'auteur décrit comment "nettoyer" l'arborescence des ports - et comment adapter les options de compilation des ports + et comment adapter les options de compilation des ports à l'aide des outils portupgrade.</p> </story> @@ -297,7 +297,7 @@ <p>L'article montre comment, lors la dernière émission de TechTV "The Screen Savers show", FreeBSD a progressé par rapport à Linux.</p> </story> - + <story> <name>Les Jails de FreeBSD</name> <url>http://www.onlamp.com/lpt/a/4139</url> @@ -309,7 +309,7 @@ Jails sous FreeBSD.</p> </story> </month> - + <month> <name>Août</name> @@ -333,7 +333,7 @@ <author>Michael Singer</author> <p>L'auteur discute des bénéfices qu'apporte le support natif de Java à FreeBSD.</p> </story> - + <story> <name>Les Listes de Contrôle d'Accès de FreeBSD</name> <url>http://www.onlamp.com/lpt/a/4053</url> @@ -344,7 +344,7 @@ <p>L'auteur explique comment utiliser Les Listes de Contrôle d'Accès, une des nouvelles fonctionnalités de FreeBSD 5.X.</p> </story> - + <story> <name>Astuces pour les Ports</name> <url>http://www.onlamp.com/lpt/a/4057</url> @@ -368,7 +368,7 @@ <date>25 Juillet 2003</date> <author>Jem Matzan</author> <p>Une étude comparative de systèmes d'exploitation dans leur version serveur - qu'ils soient gratuits ou propriétaires. L'article recommande fortement la famille + qu'ils soient gratuits ou propriétaires. L'article recommande fortement la famille des systèmes d'exploitation BSD au regard de leurs qualités.</p> </story> @@ -380,10 +380,10 @@ <date>18 Juillet 2003</date> <author>Ean Kingston</author> <p>L'auteur recommande FreeBSD, insistant sur sa licence, - sa simplicité, sa stabilité et la myriade d'applications + sa simplicité, sa stabilité et la myriade d'applications disponibles.</p> </story> - + <story> <name>Près de 2 millions de sites internet utilisent FreeBSD</name> <url>http://news.netcraft.com/archives/2003/07/12/nearly_2_million_active_sites_running_freebsd.html</url> @@ -394,7 +394,7 @@ <p>Le nombre de sites utilisant FreeBSD s'accroit régulièrement. Netcraft fournit les statistiques et en donne les raisons.</p> </story> - + <story> <name>Selon Netcraft, les meilleurs hébergeurs internet utilisent FreeBSD</name> <url>http://www.theage.com.au/articles/2003/07/10/1057783256883.html</url> @@ -402,7 +402,7 @@ <site-url>http://www.theage.com.au/</site-url> <date>10 Juillet 2003</date> <author>les rédacteurs du site internet</author> - <p>Un rapport de Netcraft conclue que 5 des 10 meilleurs hébergeurs + <p>Un rapport de Netcraft conclue que 5 des 10 meilleurs hébergeurs dans le monde utilisent le système d'exploitation FreeBSD.</p> </story> @@ -416,9 +416,9 @@ <p>Résumé des nouvelles caractéristiques de la branche 5.X, et notamment le nouveau service de gestion "jail".</p> </story> - + </month> - + <month> <name>Juin</name> @@ -450,7 +450,7 @@ <site-url>http://www.net-security.org/</site-url> <date>19 Juin 2003</date> <author>Szekely Ervin</author> - <p>L'article décrit les principales mesures à prendre concernant + <p>L'article décrit les principales mesures à prendre concernant la sécurité des stations de travail sous FreeBSD 4.X.</p> </story> @@ -464,9 +464,9 @@ <p>Trois entreprises se rassemblent et montent un nouveau miroir du site internet FreeBSD et des services CVSup.</p> </story> - + <story> - <name>FreeBSD Foundation sort la version 5.1</name> + <name>FreeBSD Foundation sort la version 5.1</name> <url>http://www.internetnews.com/dev-news/article.php/2218991</url> <site-name>Internetnews</site-name> <site-url>http://www.internetnews.com/</site-url> @@ -505,7 +505,7 @@ </story> </month> - + <month> <name>Avril</name> @@ -519,13 +519,13 @@ <author>Eugenia Loli-Queru</author> <p>OS News donne une interview approfondie de Wes Peters, - Greg Lehey et Warner M. Losh de l'équipe principale de FreeBSD + Greg Lehey et Warner M. Losh de l'équipe principale de FreeBSD ainsi que de Scott Long, développeur. L'article aborde notamment le support de Java, la compétition avec Linux et la branche 5.x de FreeBSD.</p> </story> </month> - + <month> <name>Mars</name> @@ -562,7 +562,7 @@ </story> </month> - + <month> <name>Janvier</name> @@ -593,7 +593,7 @@ <year> <name>2002</name> - + <month> <name>Octobre</name> @@ -621,7 +621,7 @@ <month> <name>Septembre</name> - + <story> <name>Les BSDs : sophistiqués, puissants et (le plus souvent) gratuits</name> @@ -673,7 +673,7 @@ <site-url>http://www.infoworld.com/</site-url> <date>09 Août 2002</date> <author>Maggie Biggs</author> - <p>Maggie Biggs s'intéresse au futur FreeBSD 5.0 et + <p>Maggie Biggs s'intéresse au futur FreeBSD 5.0 et découvre que ce système d'exploitation open-source s'est considérablement amélioré en ce qui concerne les outils et applications disponibles ainsi que sur la sécurité.</p> @@ -697,7 +697,7 @@ <month> <name>Mai</name> - + <story> <name>Multi-Boot FreeBSD et FreeBSD</name> <url>http://www.onlamp.com/pub/a/bsd/2002/05/09/Big_Scary_Daemons.html</url> @@ -713,7 +713,7 @@ <month> <name>Avril</name> - + <story> <name>Jordan Hubbard quitte l'équipe dirigeante de FreeBSD</name> <url>http://daily.daemonnews.org/view_story.php3?story_id=2837</url> @@ -731,7 +731,7 @@ <site-url>http://www.byte.com/</site-url> <date>22 Avril 2002</date> <author>Bill Nicholls</author> - <p>Un article sur FreeBSD 4.5 avec mention de la "pré-version + <p>Un article sur FreeBSD 4.5 avec mention de la "pré-version développeurs" de FreeBSD 5.0.</p> </story> @@ -765,9 +765,9 @@ <date>04 Avril 2002</date> <author>Michael Lucas</author> <p>Michael Lucas décrit quoi faire lorsqu'une panique système - survient. C'est la seconde partie de l'article; <a + survient. C'est la seconde partie de l'article; <a href="http://www.onlamp.com/pub/a/bsd/2002/03/21/Big_Scary_Daemons.html"> - la partie 1</a> décrivait comment préparer un système FreeBSD à gérer les + la partie 1</a> décrivait comment préparer un système FreeBSD à gérer les paniques.</p> </story> @@ -789,7 +789,7 @@ <site-url>http://www.infoworld.com/</site-url> <date>01 Avril 2002</date> <author>Matt Berger</author> - <p>Reportages de InfoWorld sur l'utilisation de FreeBSD pour un serveur web créé + <p>Reportages de InfoWorld sur l'utilisation de FreeBSD pour un serveur web créé à l'occasion d'une campagne publicitaire "remarquable".</p> </story> </month> @@ -938,7 +938,7 @@ and security on the upcoming FreeBSD 4.5 and FreeBSD 5.0 releases.</p> </story> - + <story> <name>American Megatrends Inc. Releases Latest Version of StorTrends NAS Software</name> <url>http://biz.yahoo.com/bw/020123/232287_1.html</url> @@ -1036,7 +1036,7 @@ <story> <name>Cleaning Up Ports</name> - + <url>http://www.onlamp.com/pub/a/bsd/2001/11/29/Big_Scary_Daemons.html</url> <site-name>OnLamp</site-name> <site-url>http://www.onlamp.com/</site-url> @@ -1047,13 +1047,13 @@ <story> <name>Stable SMB</name> - + <url>http://www.onlamp.com/pub/a/bsd/2001/11/15/Big_Scary_Daemons.html</url> <site-name>OnLamp</site-name> <site-url>http://www.onlamp.com/</site-url> <date>15 November 2001</date> <author>Michael Lucas</author> - <p>A short article on accessing a Windows(R) share from a + <p>A short article on accessing a Windows(R) share from a FreeBSD workstation.</p> </story> @@ -1085,7 +1085,7 @@ <site-url>http://www.osnews.com/</site-url> <date>08 October 2001</date> <author>Eugenia Loli-Queru</author> - <p>An interview with Matt Dillon, a key developer in + <p>An interview with Matt Dillon, a key developer in FreeBSD on the upcoming features in FreeBSD 5.0.</p> </story> @@ -1196,16 +1196,16 @@ </story> <story> - <name>Which OS is Fastest for High-Performance Network + <name>Which OS is Fastest for High-Performance Network Applications?</name> <url>http://www.samag.com/documents/s=1148/sam0107a/0107a.htm</url> <site-name>Sys Admin</site-name> <site-url>http://www.samag.com</site-url> - + <date>July 2001</date> <author>Jeffrey B. Rothman and John Buckman</author> - + <p>Linux, Solaris, FreeBSD and Windows 2000 are benchmarked for network applications. This article has a <a href="http://www.samag.com/documents/s=1147/sam0108q/0108q.htm"> @@ -1217,21 +1217,21 @@ <story> <name>NAI Labs Announces DARPA-Funded FreeBSD Security Initiative</name> - + <url>http://opensource.nailabs.com/news/20010709-cboss.html</url> - + <site-name>NAI Labs</site-name> <site-url>http://www.nailabs.com/</site-url> <author>NAI Labs Press Release</author> - + <p>NAI Labs, a division of Network Associates, Inc., announced a $1.2 million contract awarded by the U.S. Navy's Space and Warfare Systems Command to develop security extensions to the Open Source FreeBSD operating system.</p> </story> </month> - + <month> <name>June</name> @@ -1257,22 +1257,22 @@ </story> <story> - <name>Microsoft's FreeBSD Move Aimed At Next Generation Of + <name>Microsoft's FreeBSD Move Aimed At Next Generation Of Developers</name> - + <url>http://www.crn.com/sections/BreakingNews/breakingnews.asp?ArticleID=27727</url> <site-name>CRN</site-name> <site-url>http://www.crn.com/</site-url> <date>27 June 2001</date> - + <author>Paula Rooney</author> - + <p>A report on Microsoft's venture to port its C# programming language to FreeBSD.</p> </story> - + <story> <name>BSD guru to guide Apple on Unix</name> @@ -1282,13 +1282,13 @@ <site-url>http://www.macworld.co.uk/</site-url> <date>26 June 2001</date> <author>Macworld (UK) staff</author> - - <p>Apple (<a href="http://www.apple.com/">http://www.apple.com/</a>) - has recruited FreeBSD founder Jordan Hubbard to its team, in a bid + + <p>Apple (<a href="http://www.apple.com/">http://www.apple.com/</a>) + has recruited FreeBSD founder Jordan Hubbard to its team, in a bid to steer its Mac OS X BSD (Berkeley Software Distribution) efforts.</p> </story> - + <story> <name>Microsoft Uses Open-Source Code Despite Denying Use of Such Software</name> @@ -1297,7 +1297,7 @@ <site-url>http://www.wsj.com/</site-url> <date>18 June 2001</date> <author>Lee Gomes</author> - + <p>An article which states that open-source software connected with the FreeBSD operating system is used in several places deep inside several versions of Microsoft's Windows software, and on numerous @@ -1321,7 +1321,7 @@ <month> <name>May</name> - + <story> <name>System Logging</name> <url>http://www.onlamp.com/pub/a/bsd/2001/05/17/Big_Scary_Daemons.html</url> @@ -1343,7 +1343,7 @@ </story> </month> - + <month> <name>April</name> <story> @@ -1368,7 +1368,7 @@ <site-url>http://www.onlamp.com/</site-url> <date>22 March 2001</date> <author>Michael Lucas</author> - <p>A survey of the games available in the FreeBSD ports + <p>A survey of the games available in the FreeBSD ports collection.</p> </story> @@ -1447,7 +1447,7 @@ <author>Michael Lucas</author> <p>A system administrator's view of the Ports system.</p> </story> - + <story> <name>Is FreeBSD a Superior Server Platform to Linux?</name> @@ -1456,20 +1456,20 @@ <site-url>http://www.webtechniques.com/</site-url> <date>January 2001</date> <author>Nathan Boeger</author> - + <p>A reviewer finds FreeBSD 4.1 to be better suited for web serving than a Red Hat Linux distribution.</p> </story> - + <story> <name>A Roundtable on BSD, Security, and Quality</name> - + <url>http://www.ddj.com/documents/s=865/ddj0165a/</url> <site-name>Dr Dobbs Journal</site-name> <site-url>http://www.ddj.com/</site-url> <date>January 2001</date> <author>Jack J. Woehr</author> - + <p>A report from a roundtable at the recent USENIX Security Symposium 2000, involving several prominent developers in the BSD world.</p> @@ -1482,7 +1482,7 @@ <month> <name>December</name> - + <story> <name>BSD Ports Collection Basics</name> <url>http://www.onlamp.com/pub/a/bsd/2000/12/21/Big_Scary_Daemons.html</url> @@ -1505,19 +1505,19 @@ </story> </month> - + <month> <name>November</name> - + <story> <name>Open-sourcing the Apple</name> - + <url>http://www.salon.com/tech/review/2000/11/17/hubbard_osx/index.html</url> <site-name>Salon Magazine</site-name> <site-url>http://www.salon.com/</site-url> <date>17 November 2000</date> <author>Jordan Hubbard</author> - + <p>A geek's appraisal of the Apple OS X from Jordan Hubbard, one of the lead developers on the FreeBSD project.</p> </story> @@ -1570,10 +1570,10 @@ with links for more information.</p> </story> </month> - + <month> <name>September</name> - + <story> <name>INTERNET'S BUSIEST OPENSOURCE SOFTWARE ARCHIVE SETS NEW DOWNLOAD RECORD</name> @@ -1615,10 +1615,10 @@ <a href="http://www.trustedbsd.org/">TrustedBSD</a> project.</p> </story> </month> - + <month> <name>August</name> - + <story> <name>More FreeBSD Comics</name> @@ -1628,10 +1628,10 @@ <date>07 August 2000</date> <author>Illiad</author> - <p>See also the comics for the + <p>See also the comics for the <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000808&mode=classic">8th</a>, - <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000809&mode=classic">9th</a>, - <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000810&mode=classic">10th</a>, + <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000809&mode=classic">9th</a>, + <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000810&mode=classic">10th</a>, <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000811&mode=classic">11th</a>, and <a href="http://ars.userfriendly.org/cartoons/?id=20000812&mode=classic">12th</a>.</p> </story> @@ -1668,13 +1668,13 @@ <story> <name>The State of the Daemon</name> - + <url>http://www.unixreview.com/documents/s=1247/urm0006c/</url> <site-name>Unix Review</site-name> <site-url>http://www.unixreview.com/</site-url> <date>07 June 2000</date> <author>Michael Lucas</author> - + <p>An informative article on BSD, and where it is going.</p> </story> @@ -1686,7 +1686,7 @@ <site-url>http://sw.expert.com/</site-url> <date>June 2000</date> <author>Adam Darby</author> - + <p>An article evaluating various commercial OSes that contains a blurb about BSDI and FreeBSD.</p> </story> @@ -1706,7 +1706,7 @@ work from the University of California at Berkeley.</p> </story> </month> - + <month> <name>May</name> @@ -1745,10 +1745,10 @@ <site-url>http://www.techrepublic.com/</site-url> <date>16 May 2000</date> <author>Dru Lavigne</author> - + <p>A short guide to installing FreeBSD 4.0.</p> </story> - + <story> <name>Partial Reunification May Give BSD New Visibility</name> @@ -1770,7 +1770,7 @@ <site-url>http://www.cnn.com/</site-url> <date>05 May 2000</date> <author>Peter Wayner</author> - + <p>Open-source software sometimes provides a better solution than expensive commerical, closed software.</p> </story> @@ -1807,18 +1807,18 @@ <month> <name>April</name> - + <story> <name>The New BSDI to Offer Technical Support for the FreeBSD Operating System</name> - + <url>http://www.bsdi.com/press/20000418.mhtml</url> <site-name>BSDi</site-name> <site-url>http://www.bsdi.com/</site-url> <date>18 April 2000</date> <author>BSDi Press Release</author> - <p>BSDi will be offering technical support contracts for FreeBSD + <p>BSDi will be offering technical support contracts for FreeBSD beginning in May 2000.</p> </story> @@ -1830,13 +1830,13 @@ <site-url>http://www.zdnet.com/</site-url> <date>04 April 2000</date> <author>Stephan Somogyi</author> - + <p>Commentary on the BSDI/FreeBSD merger.</p> </story> - + <story> <name>FreeBSD 3.4 Review, Part 2: Adopting the Daemon</name> - + <url>http://www.32bitsonline.com/article.php3?file=issues/200004/freebsd2e&page=1</url> <site-name>32BitsOnline.com</site-name> <site-url>http://www.32bitsonline.com/</site-url> @@ -1846,13 +1846,13 @@ <p>The second part of a review of FreeBSD v3.4.</p> </story> </month> - + <month> <name>March</name> - + <story> <name>The legend of BSD</name> - + <url>http://www.sfbg.com/SFLife/34/26/tech.html</url> <site-name>sf life</site-name> <site-url>http://www.sfbg.com/</site-url> @@ -1862,7 +1862,7 @@ <p>An interview with three BSD veterans on the past and future of BSD.</p> </story> - + <story> <name>Bostic on the BSD tradition</name> @@ -1885,20 +1885,20 @@ <date>March 2000</date> <author>Michael Lucas</author> - <p>Michael Lucas presents a guide to customizing the FreeBSD kernel, + <p>Michael Lucas presents a guide to customizing the FreeBSD kernel, written for the Linux oriented.</p> </story> <story> <name>FreeBSD for the SVR4/Linux Administrator</name> - + <url>http://www.samag.com/archive/0903/feature.shtml</url> <site-name>SysAdmin</site-name> <site-url>http://www.samag.com/</site-url> <date>March 2000</date> <author>Michael Lucas</author> - <p>This article attempts to give a System V or Linux administrator + <p>This article attempts to give a System V or Linux administrator a basic grounding in FreeBSD configuration and usage.</p> </story> @@ -1917,7 +1917,7 @@ <month> <name>February</name> - + <story> <name>Business Lessons From Online Porn</name> @@ -1956,7 +1956,7 @@ <p>Promotes the BSD OSes as better alternatives to Linux in the areas of performance, reliability and security.</p> </story> - + <story> <name>Buddying up to BSD: Part Five - FreeBSD Continued</name> @@ -1969,7 +1969,7 @@ <p>A Linux user writes about his experiences with the FreeBSD ports system.</p> </story> - + <story> <name>Review of FreeBSD 3.4</name> @@ -1981,7 +1981,7 @@ <p>A review of FreeBSD 3.4.</p> </story> - + <story> <name>FreeBSD 4.0 And Beyond</name> @@ -2023,7 +2023,7 @@ <p>A report that looks at and debunks some of the myths associated with Open Source development.</p> </story> - + <story> <name>Linux Scales Enterprise Wall</name> @@ -2032,11 +2032,11 @@ <site-url>http://www.techweb.com/</site-url> <date>14 January 2000</date> <author>Mitch Wagner</author> - + <p>About 17 percent of enterprises plan to deploy FreeBSD or Linux as a primary platform for e-commerce within two years.</p> </story> - + <story> <name>Jobs announces new MacOS, becomes 'iCEO'</name> @@ -2049,7 +2049,7 @@ <p>Steve Jobs' Macworld Expo keynote speech mentions FreeBSD as one of the components in the new Darwin OS from Apple.</p> </story> - + <story> <name>Mac OS X</name> @@ -2096,9 +2096,9 @@ <date>15 December 1999</date> <author>Freei.Net Press Release</author> - <p>Freei.Net is purchasing hundreds of Intel's LB440GX 2U Rack Server - Platforms as the Internet service provider continues to experience - explosive growth in its subscriber base. ``The LB440GX flawlessly + <p>Freei.Net is purchasing hundreds of Intel's LB440GX 2U Rack Server + Platforms as the Internet service provider continues to experience + explosive growth in its subscriber base. ``The LB440GX flawlessly supports our FreeBSD operating system,'' said Steve Bourg, Freei.Net's Chief Technical Officer.</p> </story> @@ -2106,7 +2106,7 @@ <story> <name>FreeBSD 3.3. Robust OS well suited for Internet/Intranet Deployment</name> - + <url>http://www.data.com/features/1206a.html</url> <site-name>Data Communications Online</site-name> <site-url>http://www.data.com/</site-url> @@ -2117,10 +2117,10 @@ <p>Linux administrator turns to FreeBSD and finds it impressive.</p> </story> </month> - + <month> <name>November</name> - + <story> <name>FreeBSD at COMDEX</name> @@ -2129,7 +2129,7 @@ <site-url>http://slashdot.org/</site-url> <date>21 November 1999</date> <author>Brett Glass</author> - + <p>Brett Glass sent this message to the FreeBSD -chat mailing list, about his experiences and perceptions at COMDEX. Of particular interest are the problems he @@ -2146,8 +2146,8 @@ <author>Andrew Leonard</author> <p>Discusses <a href="http://www.redhat.com/">RedHat</a>'s acquisition - of <a href="http://www.cygnus.com/">Cygnus</a>, quotes - <a href="mailto:jkh@FreeBSD.org">Jordan Hubbard</a> at length, and + of <a href="http://www.cygnus.com/">Cygnus</a>, quotes + <a href="mailto:jkh@FreeBSD.org">Jordan Hubbard</a> at length, and mentions FreeBSD.</p> </story> @@ -2173,10 +2173,10 @@ <date>08 November 1999</date> <author>Michael Tarsala</author> - <p>In an interview with CBS MarketWatch, Bob Frankenberg, ex-CEO of + <p>In an interview with CBS MarketWatch, Bob Frankenberg, ex-CEO of <a href="http://www.novell.com/">Novell</a>, praises - FreeBSD for doing ``an exceptionally good job''. FreeBSD is - used in his current company, + FreeBSD for doing ``an exceptionally good job''. FreeBSD is + used in his current company, <a href="http://www.encanto.com/">Encanto</a>.</p> </story> @@ -2205,7 +2205,7 @@ <site-url>http://www.linuxworld.com/</site-url> <date>01 November 1999</date> <author>Vicki Brown</author> - + <p>October 17, 1999 marked a milestone in the history of FreeBSD -- the first FreeBSD conference was held in the city where it all began.</p> </story> @@ -2226,7 +2226,7 @@ <month> <name>October</name> - + <story> <name>ServerWatch's Review of FreeBSD</name> @@ -2235,7 +2235,7 @@ <site-url>http://serverwatch.internet.com/</site-url> <date>25 October 1999</date> <author>Kevin Reichard</author> - + <p>FreeBSD v3.2 is as close to the perfect Internet server operating system as it comes.</p> </story> @@ -2248,11 +2248,11 @@ <site-url>http://www.upside.com/</site-url> <date>20 October 1999</date> <author>Sam Williams</author> - + <p>A report from the first annual FreeBSDCon held in Berkeley, California.</p> </story> - + <story> <name>ENTERA DELIVERS FreeBSD STREAMING SERVER SUPPORTING QUICKTIME</name> @@ -2263,11 +2263,11 @@ <date>04 October 1999</date> <author>Entera Press Release</author> - <p>Entera announces a <a href="http://www.streamingserver.org/">free, - standards-based RTSP/RTP server</a> to stream QuickTime from a + <p>Entera announces a <a href="http://www.streamingserver.org/">free, + standards-based RTSP/RTP server</a> to stream QuickTime from a FreeBSD platform.</p> </story> - + <story> <name>Open Source Software Development as a Special Type of Academic Research</name> @@ -2278,15 +2278,15 @@ <date>October 1999</date> <author>Nikolai Bezroukov</author> - <p>This paper tries to explore links between open source software - development and academic research as a better paradigm for OSS + <p>This paper tries to explore links between open source software + development and academic research as a better paradigm for OSS development.</p> </story> </month> <month> <name>September</name> - + <story> <name></name> <url></url> @@ -2351,7 +2351,7 @@ <p>CNN reports that the winner during the "Linux Death Match" at the Chaos Computer Camp in Germany used FreeBSD tools - to win out over Linux attackers. More details are available at + to win out over Linux attackers. More details are available at <a href="http://www.42.org/~sec/Berichte/199908Camp/index.en.html#match">http://www.42.org/~sec/Berichte/199908Camp/index.en.html#match</a>.</p> </story> @@ -2367,7 +2367,7 @@ <p>See also the comics for the <a href="http://www.userfriendly.org/cartoons/archives/99aug/19990804.html"> - 4th</a> and the + 4th</a> and the <a href="http://www.userfriendly.org/cartoons/archives/99aug/19990805.html"> 5th</a>.</p> </story> @@ -2381,7 +2381,7 @@ <date>02 August 1999</date> <author>FAST Press Release</author> - <p>Said to be the largest search engine on the Internet, + <p>Said to be the largest search engine on the Internet, <a href="http://www.alltheweb.com/">FAST Web Search</a> <a href="http://www-new.fast.no/faq/faqfastwebsearch.html#Hardware"> uses the FreeBSD operating system</a>.</p> @@ -2397,11 +2397,11 @@ <date>02 August 1999</date> <author>Duke University press release</author> - <p>Using FreeBSD, Duke University computer science researchers have - developed a system for communication at speeds higher than one + <p>Using FreeBSD, Duke University computer science researchers have + developed a system for communication at speeds higher than one billion bits per second in a local area network of personal - computers. More details can be found at the - <a href="http://www.cs.duke.edu/ari/trapeze">Trapeze project</a> web + computers. More details can be found at the + <a href="http://www.cs.duke.edu/ari/trapeze">Trapeze project</a> web site.</p> </story> </month> @@ -2434,12 +2434,12 @@ <site-url>http://www.techwebuk.com/</site-url> <date>26 July 1999</date> <author>Peter McGarvey</author> - + <p>Network manager Peter McGarvey writes about his experience with - a number of varieties of Unix. He sums up: <i>FreeBSD is the + a number of varieties of Unix. He sums up: <i>FreeBSD is the greatest</i>.</p> </story> - + <story> <name>BSD a better OS than Linux?</name> @@ -2462,7 +2462,7 @@ <date>21 July 1999</date> <author>Bob Sullivan</author> - <p>BSD powers some of the biggest sites, and its users are among + <p>BSD powers some of the biggest sites, and its users are among the most jealous of Linux.</p> </story> @@ -2479,7 +2479,7 @@ Mentions <a href="http://www.FreeBSD.org/~picobsd/">picoBSD</a>.</p> </story> </month> - + <month> <name>June</name> @@ -2503,23 +2503,23 @@ <site-url>http://www.ntsystems.com/</site-url> <date>June 1999</date> <author>Ted Drude</author> - + <p>A survey of thin servers, featuring products using FreeBSD as their internal operating system.</p> </story> - + <story> <name>Information Technology and the Internet in Co-operation Ireland</name> <url>http://www.pcc.ie/net/ci.html</url> - <site-name>Public Communications Centre, + <site-name>Public Communications Centre, Ireland</site-name> <site-url>http://www.pcc.ie/</site-url> <date>June 1999</date> <author>Interview with Michael Doyle</author> - - <p>Michael Doyle, system administrator for + + <p>Michael Doyle, system administrator for <a href="http://www.co-operation-ireland.ie">Co-operation Ireland</a> roots for FreeBSD in this interview. Michael is using FreeBSD and <a href="http://www.postgresql.org">PostgreSQL</a> as @@ -2581,7 +2581,7 @@ <month> <name>May</name> - + <story> <name>Silicon Carny: Why I run FreeBSD</name> @@ -2604,9 +2604,9 @@ <date>26 May 1999</date> <author>David Greenman</author> - <p>Walnut Creek CDROM, Inc. announces that their popular software - archive at ftp://ftp.cdrom.com has surpassed the one trillion bytes - (one terabyte) milestone of files downloaded per day from a single + <p>Walnut Creek CDROM, Inc. announces that their popular software + archive at ftp://ftp.cdrom.com has surpassed the one trillion bytes + (one terabyte) milestone of files downloaded per day from a single server machine.</p> </story> @@ -2619,7 +2619,7 @@ <date>24 May 1999</date> <author>Christopher Lindquist</author> - <p>Reviews alternative PC operating systems. Includes a + <p>Reviews alternative PC operating systems. Includes a <a href="http://home.cnet.com/category/topic/0,10000,0-3709-7-285083,00.html">review of FreeBSD 3.2</a>.</p> </story> @@ -2635,7 +2635,7 @@ <p>Article on Gnome and the Open Source movement. Mentions FreeBSD.</p> </story> - + <story> <name>OS Also-Rans</name> @@ -2674,10 +2674,10 @@ <date>03 May 1999</date> <author>Anne Chen</author> - <p>Examples of FreeBSD deployment in the real world and why some + <p>Examples of FreeBSD deployment in the real world and why some technology officers find it attractive.</p> </story> - </month> + </month> <month> <name>April</name> @@ -2691,13 +2691,13 @@ <date>April 1999</date> <author>Lee Bruno</author> - <p>Linux and BSD Unix are starting to show up on more and more - corporate servers, running alongside or even replacing Netware + <p>Linux and BSD Unix are starting to show up on more and more + corporate servers, running alongside or even replacing Netware and Windows NT.</p> </story> <story> - <name>XML: Complete XML Development System Integrated with + <name>XML: Complete XML Development System Integrated with FreeBSD</name> <url>http://advocacy.FreeBSD.org/stories/pr_xml.html</url> <site-name>FreeBSD Advocacy</site-name> @@ -2705,8 +2705,8 @@ <date>29 April 1999</date> <author>Jordan Hubbard</author> - <p>Included with FreeBSD 3.1 is a complete, integrated SGML/XML - development system that installs with a simple, easy to use + <p>Included with FreeBSD 3.1 is a complete, integrated SGML/XML + development system that installs with a simple, easy to use command sequence.</p> </story> @@ -2719,7 +2719,7 @@ <date>26 April 1999</date> <author>Inktomi press release</author> - <p>FreeBSD is a supported operating system for a new version of + <p>FreeBSD is a supported operating system for a new version of Inktomi's carrier-class network cache platform.</p> </story> @@ -2732,8 +2732,8 @@ <date>22 April 1999</date> <author>Jordan Hubbard</author> - <p>Dual-Processor FreeBSD systems were used to generate a large - number of special effects in the cutting edge Warner Brothers film, + <p>Dual-Processor FreeBSD systems were used to generate a large + number of special effects in the cutting edge Warner Brothers film, <i>The Matrix</i>.</p> </story> @@ -2748,7 +2748,7 @@ <p>A system administrator shares his views on FreeBSD.</p> </story> - + <story> <name>The Oldest Free OS</name> <url>http://www.zdnet.com/sr/stories/column/0,4712,398025,00.html</url> @@ -2772,7 +2772,7 @@ <p>Introduces FreeBSD to Linux users.</p> </story> - + <story> <name>FreeBSD Offers a Sound Open Source Alternative</name> @@ -2829,7 +2829,7 @@ <date>20 March 1999</date> <author>Illiad</author> - <p>See also the serial from the + <p>See also the serial from the <a href="http://www.userfriendly.org/cartoons/archives/99mar/19990322.html">22nd</a>, <a href="http://www.userfriendly.org/cartoons/archives/99mar/19990323.html">23rd</a>, <a href="http://www.userfriendly.org/cartoons/archives/99mar/19990324.html">24th</a>, @@ -2861,8 +2861,8 @@ <date>05 March 1999</date> <author>Thomas Scoville</author> - <p>An article on the open-source / free-software debate. Mentions - Berkeley Unix as one of the early successes of shared source code + <p>An article on the open-source / free-software debate. Mentions + Berkeley Unix as one of the early successes of shared source code collaboration.</p> </story> </month> @@ -2896,7 +2896,7 @@ <month> <name>January</name> - + <story> <name>Twenty Years of Berkeley Unix</name> @@ -2961,7 +2961,7 @@ <date>07 January 1999</date> <author>K.C. Claffy, Tracie Monk & Daniel McRobb, UCSD/CAIDA, USA.</author> - + <p>The article describes a network management tool built on FreeBSD that has even used network connections to www.FreeBSD.org for performing network research.</p> @@ -2988,10 +2988,10 @@ by Linux folks.</p> </story> </month> - + <month> <name>November</name> - + <story> <name>The Open-Source Revolution</name> @@ -3004,7 +3004,7 @@ <p>A brief, business oriented introduction to the open source community.</p> </story> - + <story> <name>Report from Comdex--Walnut Creek CDROM, FreeBSD and Slackware</name> @@ -3037,7 +3037,7 @@ <month> <name>October</name> - + <story> <name>Linux/etc, The other free Unixes, part 2 of 2</name> @@ -3047,7 +3047,7 @@ <date>October 1998</date> <author>Terry Griffin</author> - <p>Continuation of an earlier column reviewing freely available + <p>Continuation of an earlier column reviewing freely available Unix like operating systems.</p> </story> @@ -3063,7 +3063,7 @@ <p>An introduction to FreeBSD, and where it stands with respect to the other free OSes.</p> </story> - + <story> <name>Unix back in the fight with NT</name> @@ -3073,7 +3073,7 @@ <date>26 October 1998</date> <author>Miguel Helft</author> - <p>An article touting the stability and power of the Unix platform + <p>An article touting the stability and power of the Unix platform over NT.</p> </story> @@ -3085,7 +3085,7 @@ <site-url>http://www.zdnet.com/</site-url> <date>20 October 1998</date> <author>Ryan Snedegar</author> - + <p>Ryan Snedegar reviews FreeBSD 2.2.7 and finds its web-serving performance to be better than Windows NT.</p> </story> @@ -3113,7 +3113,7 @@ <author>David Malone</author> </story> </month> - + <month> <name>September</name> @@ -3132,7 +3132,7 @@ <story> <name>Communications & Networking: Asynchronous Communications Using select and poll</name> - + <url>http://www.ddj.com/articles/1998/9809/9809e/9809e.htm</url> <site-name>Dr. Dobb's Journal</site-name> <site-url>http://www.ddj.com/</site-url> @@ -3158,7 +3158,7 @@ <p>A short introduction to FreeBSD 2.2.7.</p> </story> </month> - + <month> <name>August</name> @@ -3204,7 +3204,7 @@ possible similarities and describing faults that could be prevented.</p> </story> - </month> + </month> <month> <name>June</name> @@ -3232,7 +3232,7 @@ <author>Andrew Stone</author> </story> </month> - + <month> <name>May</name> @@ -3245,10 +3245,10 @@ <date>May 1998</date> <author>Ralf S.Engelschall</author> - <p>Practical approaches to distributing HTTP traffic at your site. + <p>Practical approaches to distributing HTTP traffic at your site. Includes a section on performance tuning Apache under FreeBSD.</p> </story> - + <story> <name>Is NT paranoid or is Unix out to get it?</name> @@ -3302,7 +3302,7 @@ <date>April 98</date> <author>Nels Johnson</author> - <p>For smaller companies and web sites, a FreeBSD and Apache on an + <p>For smaller companies and web sites, a FreeBSD and Apache on an Intel (PC) architecture machine is more than sufficient.</p> </story> </month> @@ -3331,7 +3331,7 @@ <p><i>Note</i>: the article is not available online.</p> </story> - + <story> <name>Five alternative operating systems reviewed</name> @@ -3341,11 +3341,11 @@ <date>25 March 1998</date> <author>Cormac Foster</author> </story> - </month> + </month> <month> <name>February</name> - + <story> <name>Source code for the masses</name> @@ -3363,7 +3363,7 @@ <month> <name>August</name> - + <story> <name>The Network Community</name> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/teams.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/teams.ent index df319d8193..184cb8e2fe 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/teams.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/teams.ent @@ -16,7 +16,7 @@ translations. If they haven't then you *will* break the builds for the other languages, and we will poke fun of you in public. - + $FreeBSD$ --> <!ENTITY a.admins "Les administrateurs <email>admins@FreeBSD.org</email>"> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/trademarks.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/trademarks.ent index 5155550701..24f72ae816 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/trademarks.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/trademarks.ent @@ -104,7 +104,7 @@ <!ENTITY soundblaster "<trademark class='registered'>SoundBlaster</trademark>"> <!-- http://www.cvsup.org/ --> -<!ENTITY tm-attrib.cvsup "<para>CVSup est une marque déposée de +<!ENTITY tm-attrib.cvsup "<para>CVSup est une marque déposée de John D. Polstra.</para>"> <!-- http://www.dell.com/us/en/gen/misc/policy_007_policy.htm --> @@ -142,7 +142,7 @@ <!ENTITY s390 "<trademark class='registered'>S/390</trademark>"> <!ENTITY thinkpad "<trademark class='registered'>ThinkPad</trademark>"> -<!ENTITY tm-attrib.ieee "<para>IEEE, POSIX, et 802 sont des marques déposées de +<!ENTITY tm-attrib.ieee "<para>IEEE, POSIX, et 802 sont des marques déposées de Institute of Electrical and Electronics Engineers, Inc. aux Etats Unis.</para>"> <!ENTITY posix "<trademark class='registered'>POSIX</trademark>"> @@ -384,8 +384,8 @@ <!ENTITY tm-attrib.general "<para>Plusieurs désignations utilisées par les constructeurs et vendeurs pour distinguer leurs produits sont mentionnées comme des marques déposées. Lorsqu'elles -apparaissent dans ce document et que le projet FreeBSD est au courant de cette -mention, la désignation est suivie du symbole <quote>™</quote> +apparaissent dans ce document et que le projet FreeBSD est au courant de cette +mention, la désignation est suivie du symbole <quote>™</quote> ou du symbole <quote>®</quote>.</para>"> <!ENTITY legalnotice ' diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/translators.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/translators.ent index 70b8f02c30..24f4a06bad 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/translators.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/translators.ent @@ -24,7 +24,7 @@ <email>dntt@prism.uvsq.fr</email>"> <!ENTITY a.fr.gioria "Sébastien Gioria <email>gioria@FreeBSD.ORG</email>"> -<!ENTITY a.fr.haby "Frédéric Haby +<!ENTITY a.fr.haby "Frédéric Haby <email>frederic.haby@mail.dotcom.fr</email>"> <!ENTITY a.fr.laurand "Pierre-François Laurand <email>pushf@club-internet.fr</email>"> diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/urls.ent b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/urls.ent index a220c91da6..6bcbdf8d31 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/urls.ent +++ b/fr_FR.ISO8859-1/share/sgml/urls.ent @@ -2,9 +2,9 @@ The FreeBSD Documentation Project The FreeBSD French Documentation Project - URLs des documents les plus utilisés. Comme ces documents peuvent changer + URLs des documents les plus utilisés. Comme ces documents peuvent changer de place dans l'arborescence des documentations (et du site web), il faut - disposer de variables pour ces URLs. Ces URLs peuvent être absolues ou + disposer de variables pour ces URLs. Ces URLs peuvent être absolues ou relative aux documents. $FreeBSD$ |